Libertés sous surveillance – Chronique d’une dictature vaccinale annoncée

Bonjour à tous, à l’occasion de la sortie de son livre Libertés sous surveillance, nous vous invitons à rencontrer le Dr Jean-Pierre Eudier à Grenoble le mardi 24 septembre à 18 h 30 à la Vina, 12 place Notre-Dame. Participation libre, réservation conseillée, nombre de places limité.
https://www.decitre.fr/livres/libertes-sous-surveillance-9782874342257.html

Qui peut rationnellement croire qu’au mois de mars 2020, l’immense majorité des médecins et chercheurs les plus diplômés, dépourvus de conflits d’intérêt et au service de la santé publique depuis longtemps, aient soudain été frappés de complotisme et d’obscurantisme… alors que les firmes pharmaceutiques les plus condamnées de notoriété publique, alliés à des membres de gouvernements incompétents sur le sujet et en proie en de nombreuses affaires, avec quelques médecins de plateaux sur des chaines privées ou publiques financées et contrôlés par ces mêmes gouvernements ou industries, secondés par des cabinets de conseil, des agences de presse subventionnées et des fact checkers post adolescents ignorant tout du sujet… soient soudain devenus le modèle de l’expertise, de la vertu et du désintéressement? Et cela en enfermant, distanciant, masquant, vaccinant, censurant, et punissant d’amendes des millions d’individus, et en réalisant les plus gros profits de leur histoire?

Quatre ans et demi après la froide et folle politique sanitaire d’un gouvernement qui n’a cessé depuis de confirmer ses dénis de démocratie et d’écologie et ses conflits d’intérêt au profit des plus riches, il est plus que jamais temps de réagir par la libération de la parole. Le professeur Perronne, longtemps en charge de la santé publique française et internationale dans les plus hautes instances, blanchi devant l’Union Européennes de toutes les accusations subies, vient de publier un nouveau livre où il fait le récit des mirages qui furent les siens en raison d’un vaste système de corruption mêlant industrie pharmaceutique, médecins, cadres de santé, médias, hauts fonctionnaires.

Il appelle à agir, à ne pas accepter la fatalité de l’effondrement de la santé et de la démocratie, à l’heure, ajoutons-le, où les obligations vaccinales telles que Gardasil et Beyfortus, continuent à se multiplier, montant à 13 ou davantage encore le nombre des vaccinations imposées aux enfants dans les premiers mois de leur vie, dans l’absence d’évaluation des effets cocktails inévitables et l’explosion de l’épidémie d’autisme infantile.

https://www.decitre.fr/livres/le-reveil-4-ans-apres-9782813229830.html#resume

Le Dr Jean-Pierre Eudier, né en 1948, est le président d’honneur de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations, fondée en 1954, et président du European Forum for Vaccine Vigilance, fondé en 1999.

Il était chirurgien dentiste à Kincshasa, RD du Congo, en 1982, lorsqu’éclata la crise du SIDA, suite à une campagne massive et inefficace de vaccination contre la variole, qui déclencha en revanche le virus dormant du SIDA, comme le démontrèrent toutes les statistiques internationales comparant l’étendue des vaccinations et celle de la propagation du SIDA (pj) Un documentaire récent d’Arte, Des vaccins et des hommes, 2022, a confirmé l’inutilité des vaccinations de masse, avec le cas d’école précisément, de la variole.

Ancien humanitaire en Afrique où il a voyagé ou oeuvré dans une cinquantaine de pays, Jean-Pierre Eudier est au coeur des questions vaccinales depuis plus de 40 ans, en contact avec toute la réalité du phénomène, des lobbies pharmaceutiques aux victimes directement brisées par les vaccinations, en passant par les journalistes d’investigation et lanceurs d’alerte, les avocats, les médecins et chercheurs dissidents les plus renommés, et quelques politiques de bonne volonté, et cela à l’échelle internationale. Il a également bien connu la députée européenne et figure de l’écologie Michèle Rivasi dont le dernier post Facebook dénonçait une fois de plus les contrats entre Pfizer et l’Union Européenne décidés par un SMS d’Ursula von der Leyen dont le mari travaillait avec la firme américaine.

En vous remerciant,

François-Marie Périer