« Ceci n’est pas une guerre mais un test de notre humanité . »
F.W. Steinmeyer, président de l’Allemagne.
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Coronavirus : douze points pour sortir de l’hypnose (en octobre 2020)
1) Culpabilité et impunité des gouvernements contre innocence, surveillance et culpabilisation des populations.
La crise du Coronavirus se caractérise depuis le début par une culpabilité et une impunité réelles des gouvernements et une criminalisation, une culpabilisation et des dommages économiques et psychologiques subis par la population. C’est ce gouvernement et ceux qui l’ont précédé qui, depuis des années, ont détruit le système de santé (hôpitaux, maternités…), en mettant en danger les malades et les soignants, physiquement et psychologiquement, pour de l’argent. Ce sont les mêmes qui ont mis la planète à genoux, détruit les entreprises individuelles ou nationales, confié le monde aux banquiers et qui promeuvent un modèle suicidaire de société… et qui disent aujourd’hui vouloir protéger la population en lui ôtant sa liberté.
2) Corruption et incompétence des ministres et autorités de santé.
Les ministres et autorités de santé du gouvernement Macron – Agnès Buzyn et son mari Yves Lévy – ont été mêlés depuis le début à des conflits d’intérêt financiers et des affaires de corruption entre l’Inserm, l’industrie pharmaceutique, le Ministère, les 11 vaccins obligatoires et les laboratoires. Ils ne possèdent pas les compétences ni l’éthique pour occuper de tels postes, pas plus que le Conseil Scientifique réuni autour du Coronavirus n’était composé des vrais experts français.
3) Culture en laboratoire des coronavirus à Wuhan contre pangolin et marché au poisson.
Le Covid 19 est apparu officiellement en raison de la consommation par les humains du pangolin, animal sauvage, sur le marché de Wuhan, Chine, ville où se trouve un laboratoire mondialement connu où sont cultivés des coronavirus artificiels avec gènes de chauve-souris depuis le milieu des années 2010.
4) Diffamation et interdiction de l’hydroxychloroquine et de l’azitromicine du protocole du pr. Raoult.
Les travaux chinois, et les résultats exceptionnels obtenus par le protocole du Professeur Raoult et son intervention intitulée « Covid, Fin de partie » auraient permis, dés le 18 mars, de juguler rapidement l’épidémie à moindre coût par l’Hydroxychloroquine, curieusement interdite en France dans les mois précédant le pandémie, et l’Azitromicine. Bien que parfaitement au courant, le gouvernement a « inexplicablement » refusé cette solution.
5) Menaces contre le Pr. Raoult, pots de vin des laboratoires Gilead et conflits d’intérêt à BFM.
Des menaces de mort ont été proférées contre le Pr. Raoult par le CHU de Nantes qui a reçu plus de 500 000 euros entre autres de la part des laboratoires Gilead – déjà responsables avec les laboratoires Roche du Tamiflu et des dépenses inutiles et faramineuses contre la grippe H1N1 en 2009 – afin d’imposer le Remdesivir, antiviral jamais utilisé aux effets secondaires inconnus mais nécessairement lourds. Gilead possède d’importantes parts dans la chaîne privée BFM qui s’est distinguée par ses critiques incessantes contre l’Hydroxychloroquine. Une plainte est même déposée contre le Pr. Raoult alors que son protocole a sauvé des milliers de vie dans le monde.
6) Inutilité, nocivité et conséquences catastrophiques du confinement.
Aucun épidémiologiste de renommée mondiale n’a jugé nécessaire le confinement mis en place après des prédictions mathématiques alarmantes du professeur anglais Ferguson, déjà coupable d’une telle erreur pour la grippe H1N1, prédictions invalidées par lui-même dés le lendemain. En revanche, les dépistages, l’isolement des personnes touchées ou des plus fragiles – et éventuellement les masques, au début – prescrits par ces mêmes spécialistes ont été ignorés voire combattus par les « autorités » de santé citées plus haut. Aujourd’hui, les 30 000 morts du Covid ne dépassent pas ceux de la grippe annuelle classique nommée « Influenza ».
7) Censures et sanctions contre la vérité scientifique et la liberté d’expression.
Alors que le confinement faisait s’effondrer l’économie, malgré les aides publiques endettant plus endettant plus encore le pays, avec des conséquences physiques, psychologiques, sociale et de santé publique très importante à prévoir (dépendance ou abandon de l’état, incapacité à se soigner, isolement, perte de repères sociaux, dégradation du mode de vie et de la capacité de s’intégrer et d’agir individuellement et collectivement dans la société, tout en démultipliant l’utilisation, la puissance et la richesse des GAFA – Google, Apple, Facebook, Amazon) et que les libertés individuelles et collectives de la population étaient suspendues, avec des risques d’amendes lourdes et d’emprisonnement, les membres du gouvernement multipliaient les fausses informations, les contradictions, et laissaient mourir les personnes âgées dans les EHPAD en toute impunité.
Entre 5000 (Pr. Raoult) et 20 000 morts (Pr Perrone) auraient pu être évités.
8) Fausse « Deuxième vague », reconfinements, obligation, inutilité et nocivité du port du masque.
Une fois l’épidémie passée, et l’état d’urgence levé, on oblige au port des masques dont l’effet auto-intoxiquant sur le long terme est démontré, et on projette une seconde vague pourtant jamais observée. La pente du virus est 300 fois inférieure au printemps en septembre 2020, 40 % des personnes en réanimation sont des sujets rapatriés sur le territoire français, les personnes placées en réanimation le sont sa ns nécessité, on refuse toujours d’apploiquer le protocole hydroxichloroquine-azitromicine, 270 scientifiques se sont élevés en France contre la politique sanitaire du gouvernement. Le 10 septembre 2020, 35 scientifiques et médecins, dont le Pr. J-F Toussaint lancent un appel « Nous ne voulons plus être gouvernés par la peur ». La ministre des sports R. Maracineanu déclare que les « décisions du gouvernement ne sont plus fondées sur la réalité. » Les tests PCR massifs, dont 1 sur 5 n’est pas fiable, détectent des cas passés contractés sans effets, des traces infinitésimales non transmissibles et asymptomatiques.
9) Programme de recherche ruineux et voué à l’échec sur un vaccin au profit des lobbies pharmaceutiques
On lance un programme de recherche au coût pharaonique pour un vaccin imposé au monde entier,
hautement improbable concernant un virus mutant, avec des effets secondaires impossibles à évaluer, sachant que la vaccination entraîne une vulnérabilité accrue à d’autres agressions similaires, ainsi que l’a exprimé le Pr Raoult dans son audition devant l’Assemblée nationale en évoquant la dengue.
10) Gestion du déconfinement par un cabinet privé ultralibéral liée à des services secrets étrangers.
La gestion du déconfinement est assurée dès avril 2020 par la filiale française de Bain and Co., entreprise américaine spécialisée dans les licenciements économiques massifs, dirigée par une ancienne agent du Mossad, elle-même fille d’un général israélien. Quant à l’ascension d’Emmanuel Macron et la promotion du Vaccin Pfizer, c’est le cabinet Mc Kinsey, condamné dans le monde entier, entre autre pour les dizaines de milliers de morts des opioïdes aux USA, qui s’en charge.
11) Mise en place d’une surveillance totale.
Une surveillance toujours accrue de la population, visant à devenir totale, sur le modèle chinois, est mise en place à travers la 5G par un décret passant fin mars outre les réserves de l’Autorité Française de la Santé et abolissant le devoir de consultation des élus locaux et des populations. Un filtrage et une censure des informations et débats remettant en question la version officielle du gouvernement sont mis en place par lui-même, YouTube et Facebook. L’exigence d’information, de justice et de vérité a été renommée « haine » et « complot » et la censure et la répression ont été rebaptisées « protection » par ceux là même qui ont aujourd’hui des milliers de morts sur la conscience pour avoir interdit l’hydroxychloroquine. La confusion et la contradiction des informations, le fait d’obliger à faire après le danger ce qu’il fallait faire avant, est une façon de faire peur à la population sans la protéger, puis de faire semblant de la protéger en la surveillant et en continuant de lui faire peur une fois le traumatisme et la confusion mentale installés.
12) Mise en place d’un gouvernement mondial annoncé ou dénoncé par des intellectuels ou influenceurs de renommée mondiale.
L’idée d’instaurer un gouvernement mondial autoritaire, aussi appelé Dictature scientifique, existe depuis la Seconde Guerre mondiale, promue entre autres par le prix Nobel Bertrand Russell, Aldous Huxley et Jacques
Attali la reprenait dans un éditorial de L’Express en 2009, souhaitant qu’une nouvelle pandémie le permette avec régimes autoritaires, police et impôt mondiaux, comme le rapport de la fondation Rockfeller 2010.
Great Barrington
Par le professeur Sunetra Gupta pour le Daily Mail
Publié : 23 h 50 BST, 30 octobre 2020 | Mis à jour : 23 h 54 BST, 30 octobre 2020
La professeur Sunetra Gupta est épidémiologiste spécialiste des maladies infectieuses et professeur d’épidémiologie théorique au département de zoologie de l’université d’Oxford. Ses honoraires pour cet article ont été versés à The Childhood Trust, une organisation caritative qui lutte pour atténuer l’impact de la pauvreté des enfants.
« Le verrouillage (confinement) est une politique brutale et sans discernement qui oblige les personnes les plus pauvres et les plus vulnérables à supporter le poids de la lutte contre le coronavirus. En tant qu’épidémiologiste spécialiste des maladies infectieuses, je pense qu’il doit y avoir une meilleure solution.
C’est pourquoi, au début de ce mois, j’ai cosigné, avec deux autres scientifiques internationaux, une proposition d’approche alternative – une approche qui protège les personnes les plus à risque tout en permettant au reste de la population de reprendre, dans une certaine mesure, sa vie ordinaire.
Je m’attendais à un débat et à des désaccords sur nos idées, publiées sous la forme de la Déclaration de Great Barrington.
En tant que scientifique, j’en serais heureuse. Après tout, la science progresse grâce à ses idées et contre-idées.
Mais je n’étais absolument pas préparée à l’assaut d’insultes, de critiques personnelles, d’intimidations et de menaces qui a accueilli notre proposition. Le niveau de vitriol et d’hostilité, non seulement de la part de membres du public en ligne mais aussi de journalistes et d’universitaires, m’a horrifié.
Je ne suis pas une politicienne. Le brouhaha de la vie politique et le fait d’être dans le viseur des médias ne m’attirent pas du tout.
Je suis avant tout une scientifique, bien plus à l’aise dans mon bureau ou mon laboratoire que devant une caméra de télévision.
Bien sûr, j’ai des idéaux politiques profondément ancrés, que je décrirais comme étant intrinsèquement de gauche. Il est juste de dire que je ne m’alignerais pas normalement sur le Daily Mail.
J’ai des opinions bien arrêtées sur la répartition des richesses, sur l’importance de l’État-providence, sur la nécessité de services publics et d’investissements gouvernementaux dans les industries nationalisées.
Mais le Covid-19 n’est pas un phénomène politique. C’est un problème de santé publique – en fait, il est si sérieux que la réponse à ce problème a déjà conduit à une crise humanitaire. C’est pourquoi j’ai été consterné de voir s’ouvrir un fossé politique et de voir ceux qui, comme moi, remettent en question l’orthodoxie, subir des insultes.
Au cœur de notre proposition, il y a la reconnaissance que les confinements massifs causent d’énormes dégâts.
Nous voyons déjà comment les politiques actuelles de confinement ont des effets dévastateurs sur la santé publique à court et à long terme.
Les résultats – pour n’en citer que quelques-uns – comprennent des taux de vaccination infantile plus faibles, une aggravation des résultats des maladies cardiovasculaires, moins de dépistages du cancer et une détérioration de la santé mentale.
Il ne faut pas ignorer les pièges des confinements nationaux, surtout lorsque ce sont les travailleurs et les jeunes qui portent le plus lourd fardeau.
Je suis également très préoccupé par le fait que les confinements ne font que retarder l’inévitable propagation du virus. En effet, nous pensons qu’une meilleure solution consisterait à cibler les mesures de protection sur des groupes vulnérables spécifiques, tels que les personnes âgées dans les maisons de soins.
Bien sûr, il y aura des défis à relever, par exemple lorsque les personnes sont soignées dans leur propre maison familiale multigénérationnelle.
Je ne prétends certainement pas avoir toutes les réponses, mais ces questions doivent être discutées et examinées en profondeur.
C’est pourquoi j’ai trouvé si frustrante la façon dont, ces dernières semaines, les partisans des politiques de verrouillage ont semblé vouloir mettre fin au débat plutôt que de promouvoir une discussion raisonnée.
Je suis perplexe devant le fait que tant de personnes refusent même d’envisager les avantages potentiels de permettre aux citoyens non vulnérables, comme les jeunes, de vaquer à leurs occupations et de risquer l’infection, alors que ce faisant, ils renforceraient l’immunité collective et protégeraient ainsi la vie des citoyens vulnérables.
Pourtant, plutôt que de s’engager dans une discussion sérieuse et rationnelle avec nous, nos détracteurs ont rejeté nos idées en les qualifiant de « poudre de perlimpinpin » et de « vœux pieux ».
Ce refus de chérir la valeur de la méthode scientifique frappe au cœur de tout ce qui m’est cher en tant que scientifique. Pour moi, l’échange raisonné d’idées est la base de la société civilisée.
J’ai donc été stupéfait d’avoir été invité à participer à une émission de radio en milieu de matinée, alors que le producteur m’a averti quelques minutes avant le début de l’émission que je ne devais pas mentionner la Déclaration de Great Barrington. Le producteur a répété l’avertissement et a indiqué qu’il s’agissait d’une instruction d’un cadre supérieur de la radiodiffusion.
J’ai exigé une explication et, à quelques secondes de la fin, on m’a dit que le public ne connaissait pas la signification de l’expression « Déclaration de Great Barrington ».
Et ce n’était pas une expérience isolée. Quelques jours plus tard, une autre station de radio nationale a contacté mon bureau pour organiser une interview, puis a retiré l’invitation. Après réflexion, ils ont estimé que me donner du temps d’antenne ne serait pas « dans l’intérêt national ».
Mais la déclaration de Great Barrington représente une tentative sincère de la part d’un groupe d’universitaires ayant des dizaines d’années d’expérience dans ce domaine, de limiter les dégâts de l’enfermement. Je ne vois pas comment quelqu’un pourrait interpréter cela comme étant « contraire à l’intérêt national ».
De plus, les choses ne sont certainement pas arrangées par des médias tels que The Guardian, qui a publié à plusieurs reprises des articles d’opinion contenant des déclarations factuellement incorrectes et scientifiquement erronées, ainsi que des commentaires à la limite de la diffamation à mon égard, tout en refusant de donner à notre partie du débat l’occasion de présenter notre point de vue.
Je suis surprise, étant donné l’importance des questions en jeu – notamment le principe du journalisme équitable et équilibré – que le Guardian ne veuille pas présenter toutes les preuves à ses lecteurs. Après tout, comment encourager un débat franc et approprié sur la science ?
Dans le même temps, sur les médias sociaux, une grande partie du discours a manqué de tout décorum.
J’ai pratiquement cessé d’utiliser Twitter, mais je sais qu’un certain nombre d’universitaires s’en sont servis pour lancer des attaques personnelles contre ma personne, tout en qualifiant mon travail de « pseudo-science ». Malheureusement, nos détracteurs ont également ridiculisé la Déclaration de Great Barrington en la qualifiant de « marginale » et de « dangereuse ».
Mais « marginal » est un mot ridicule, qui implique que seule la science dominante compte. Si c’était le cas, la science stagnerait. Et nous qualifier de « dangereux » est tout aussi inutile, notamment parce qu’il s’agit d’un terme incendiaire, émotionnel, chargé d’implications d’irresponsabilité. Lorsqu’il est lancé par des personnes influentes, il devient toxique.
Mais cette pandémie est une crise internationale. Fermer la discussion par des injures et des calomnies, c’est vraiment dangereux.
Pourtant, de toutes les critiques qui nous ont été adressées, celle qui me dérange le plus est l’accusation selon laquelle nous nous livrons à une « élaboration de preuves fondée sur des politiques » – en d’autres termes, nous accumulons des faits pour répondre à notre programme idéologique.
Et cette idéologie, selon certains, est celle de l’extrémisme libertaire de droite.
Selon Wikipedia, par exemple, la Déclaration de Great Barrington a été financée par un groupe de réflexion d’extrême droite ayant des liens avec les négationnistes du changement climatique.
Il devrait être évident pour tout le monde qu’écrire une courte proposition et la poster sur un site web ne nécessite pas un grand financement. Mais laissez-moi l’expliquer clairement, puisque, apparemment, je dois le faire : Je n’ai pas accepté de paiement pour co-rédiger la Déclaration de Great Barrington.
L’argent n’a jamais été une motivation dans ma carrière. Cela me blesse profondément que quiconque me connaît, ou a même une connaissance professionnelle de passage, puisse croire une minute que j’accepterais un paiement clandestin pour quoi que ce soit.
J’ai la chance d’avoir une maison et un jardin que j’aime, et je ne pourrais pas demander plus de richesse matérielle que cela. Ma famille et mon travail sont bien plus importants pour moi. Pourtant, les attaques continuent d’affluer, de plus en plus souvent de nature personnelle.
On m’a accusée de ne pas avoir les compétences requises, d’être une épidémiologiste « théorique » qui a la tête dans les nuages. En fait, au sein de mon groupe de recherche, nous avons un laboratoire florissant qui a été l’un des premiers à développer un test d’anticorps pour le coronavirus.
Nous avons pu le faire parce que nous travaillons depuis six ans sur un vaccin contre la grippe, en utilisant une combinaison de techniques de laboratoire et de techniques théoriques. Notre technologie a déjà fait l’objet d’un brevet et d’une licence et constitue un exemple rare de modèle mathématique menant au développement d’un vaccin.
Mais ce qui est encore plus encourageant, c’est qu’il y a maintenant une vague de fond de mouvements – Us For Them, PanData19 et The Price of Panic, pour n’en citer que trois – qui cherchent à donner une voix à ceux qui, comme moi, pensent que les dommages collatéraux du verrouillage peuvent être pires que le virus lui-même.
Jeudi, une vaste coalition a été lancée sous la bannière de Recovery. Rassemblant des personnes issues de tous les horizons politiques, le mouvement appelle à l’équilibre et à la modération dans notre réponse à Covid-19, en s’appuyant sur un véritable débat public et une enquête publique approfondie.
Je suis ravie qu’il ait reçu un tel soutien.
Car, en fin de compte, le confinement est un luxe de riches, quelque chose que seuls les pays riches peuvent se permettre – et encore, seulement les ménages les plus aisés de ces pays.
Une façon de changer notre point de vue serait de répertorier toutes les façons dont les confinements à travers le monde nuisent aux sociétés. C’est ce que je fais actuellement en collaboration avec un certain nombre de collègues, sous la bannière www.collateralglobal.org.
Car la vérité toute simple est que le Covid-19 ne disparaîtra pas si nous continuons à nous imposer suffisamment de restrictions insignifiantes. Et plus nous tardons à le reconnaître, plus les dommages économiques permanents seront importants, et ce sont les jeunes et les personnes défavorisées qui en feront les frais.
Lorsque j’ai signé la Déclaration de Great Barrington le 4 octobre, je l’ai fait avec des collègues scientifiques pour exprimer notre point de vue selon lequel les fermetures nationales ne nous guériront pas du Covid.
Il est clair qu’aucun d’entre nous n’avait prévu une réponse aussi vitriolée.
Les attaques qui ont suivi ont été tout simplement honteuses.
Mais vous pouvez en être sûrs. Quoi qu’ils nous jettent à la figure, cela ne me fera pas changer d’avis, ni à mes collègues, sur les principes qui sous-tendent ce que nous avons écrit. »
Rappel historique
Analyses et notes sur la première partie de la gestion du covid de mars à août 2020 (François-Marie Périer)
Introduction : De la Bible à Gilead, à Galaad, Perceval et au Graal
« Il n’y a point de baume en Gilead, il n’y a point de médecins ici. Pourquoi la guérison de la fille de mon peuple ne s’opère-telle pas » ?
La Bible aurait-elle annoncé cette crise historique où semblent se jouer la santé et la liberté, le salut même peut-être, des peuples ? Une des lamentations de Jérémie trouve un étrange écho dans le Coronavirus. Ecoutons-là en anglais, puisque tout ou presque aujourd’hui se joue et se comprend dans cette langue.
Un mot doit nous frapper :
Jeremiah Weeps for His People : « For the brokenness of the daughter of my people I am crushed. I mourn; horror has gripped me. 22Is there no balm in Gilead? Is no physician there? Why then has the health of the daughter of my people not been restored? » Jeremiah, 8, 21–22
« Je suis brisé par la douleur de la fille de mon peuple, je suis dans la tristesse, l’épouvante me saisit. N’y a-t-il point de baume en Galaad ? N’y a-t-il point de médecin ? Pourquoi donc la guérison de la fille de mon peuple ne s’opère-t-elle pas ? »
Ce mot, on l’aura reconnu en anglais, est Gilead, qui est le nom du géant pharmaceutique américain manipulant toutes les attaques contre l’Hydroxichloroquine, à travers les innombrables pots de vin versés aux médecins – en particulier le CHU de Nantes (plus de 500 000 euros) d’où est parti l’appel intimant au Pr. Raoult de cesser son travail avec ce médicament, et les parts de capital prises dans le domaine de l’information. Cette étrange lamentation-prédiction sur le mensonge et la trahison des sages, des scribes et des médecins, les temps de la fin et le fait qu’il n’y ait pas de baume dans Galaad, c’est-à-dire Gilead, ne peut que nous troubler, ou nous faire sourire. Car effectivement, sages, scribes et médecins mentent et laissent mourir la fille du peuple et il n’y a pas de baume chez Gilead. Il y a presque 25 ans était sorti un livre : La Bible, le code secret, qui tentait de démontrer comment des combinaisons de mots et lettres horizontaux et verticaux pouvaient annoncer des évènements. Mais ici, c’est même beaucoup moins arbitraire, puisque c’est tout un texte qui colle à ce que nous vivons. Les rêves, les mythes, les prophéties, la poésie, lorsqu’ils sont inspirés, nous parlent de notre avenir en voyant à travers le temps. Écoutons cette lamentation de Jérémie en français :
- En ce temps-là, dit l’Eternel, on tirera de leurs sépulcres les os des rois de Juda, les os de ses chefs, les os des sacrificateurs, les os des prophètes, et les os des habitants de Jérusalem.
- On les étendra devant le soleil, devant la lune, et devant toute l’armée des cieux, qu’ils ont aimés, qu’ils ont servis, qu’ils ont suivis, qu’ils ont recherchés, et devant lesquels ils se sont prosternés ; on ne les recueillera point, on ne les enterrera point, et ils seront comme du fumier sur la terre.
- La mort sera préférable à la vie pour tous ceux qui resteront de cette race méchante, dans tous les lieux où je les aurai chassés, dit l’Eternel des armées.
- Dis-leur : Ainsi parle l’Éternel : Est-ce que l’on tombe sans se relever ? Ou se détourne-t-on sans revenir ?
- Pourquoi donc ce peuple de Jérusalem s’abandonne-t-il à de perpétuels égarements ? Ils persistent dans la tromperie, Ils refusent de se convertir.
- Je suis attentif, et j’écoute : Ils ne parlent pas comme ils devraient ; Aucun ne se repent de sa méchanceté, Et ne dit : Qu’ai-je fait ? Tous reprennent leur course, Comme un cheval qui s’élance au combat.
- Même la cigogne connaît dans les cieux sa saison ; La tourterelle, l’hirondelle et la grue Observent le temps de leur arrivée ; Mais mon peuple ne connaît pas la loi de l’Éternel.
- Comment pouvez-vous dire : Nous sommes sages, La loi de l’Éternel est avec nous ? C’est bien en vain que s’est mise à l’œuvre La plume mensongère des scribes.
- Les sages sont confondus, Ils sont consternés, ils sont pris ; Voici, ils ont méprisé la parole de l’Éternel, Et quelle sagesse ont-ils ?
- C’est pourquoi je donnerai leurs femmes à d’autres, Et leurs champs à ceux qui les déposséderont. Car depuis le plus petit jusqu’au plus grand, Tous sont avides de gain ; Depuis le prophète jusqu’au sacrificateur, Tous usent de tromperie.
- Ils pansent à la légère la plaie de la fille de mon peuple : Paix ! Paix ! disent-ils. Et il n’y a point de paix.
- Ils seront confus, car ils commettent des abominations ; Ils ne rougissent pas, ils ne connaissent pas la honte ; C’est pourquoi ils tomberont avec ceux qui tombent, Ils seront renversés quand je les châtierai, Dit l’Éternel.
- Je veux en finir avec eux, dit l’Éternel ; Il n’y aura plus de raisins à la vigne, Plus de figues au figuier, Et les feuilles se flétriront ; Ce que je leur avais donné leur échappera. –
- Pourquoi restons-nous assis ? Rassemblez-vous, et allons dans les villes fortes, Pour y périr ! Car l’Éternel, notre Dieu, nous destine à la mort, Il nous fait boire des eaux empoisonnées, Parce que nous avons péché contre l’Éternel.
- Nous espérions la paix, et il n’arrive rien d’heureux ; Un temps de guérison, et voici la terreur ! –
- Le hennissement de ses chevaux se fait entendre du côté de Dan, Et au bruit de leur hennissement toute la terre tremble ; Ils viennent, ils dévorent le pays et ce qu’il renferme, La ville et ceux qui l’habitent.
- Car j’envoie parmi vous des serpents, des basilics, Contre lesquels il n’y a point d’enchantement ; Ils vous mordront, dit l’Éternel.
- Je voudrais soulager ma douleur ; mon cœur souffre au dedans de moi.
- Voici les cris de la fille de mon peuple Retentissent sur la terre lointaine : L’Eternel n’est-il plus à Sion ? N’a-t-elle plus son roi au milieu d’elle ? – Pourquoi m’ont-ils irrité par leurs images taillées, Par des idoles étrangères ? –
- La moisson est passée, l’été est fini, Et nous ne sommes pas sauvés !
- Je suis brisé par la douleur de la fille de mon peuple, Je suis dans la tristesse, l’épouvante me saisit.
- N’y a-t-il point de baume en Galaad ? N’y a-t-il point de médecin ? Pourquoi donc la guérison de la fille de mon peuple ne s’opère-t-elle pas ? »
Demander « Pourquoi ? »
Galaad se traduit donc en anglais par Gilead. Galaad est le seul chevalier à avoir supporté de contempler l’intérieur du Graal parce qu’il était assez pur, mais pour cette raison même, il a du mourir peu après être devenu roi du Graal dans la Terre de Sarras. Le géant pharmaceutique Gilead est allé chercher dans la Bible l’idée du Baume de Galaad, tiré des montagnes de Palestine, qui guérit tout. Il était une préfiguration du Graal, et illustre la défiguration, parmi tant d’autres, du sacré et des archétypes à des fins de manipulation, par l’industrie pharmaceutique.
Bien avant Galaad, chez Chrétien de Troyes, Perceval avait été le premier chevalier à voir extérieurement le Graal, mais le chevalier et l’ermite qui avaient fait son éducation, au sortir de la forêt où sa mère l’avait élevé pour ne pas qu’il parte en quête d’aventure, lui avaient appris à ne pas poser de question, car les hommes, les vrais, ne posent pas de question… Ils acceptent le grand mystère de la foi, obéissent aux lois du monde et meurent quand on le leur demande… C’est cela la maturité… Perceval, donc, sagement obéissant, n’avait pas demandé « Pourquoi ? » et « Que se passe-t-il ? », lorsque le cortège du Graal était passé devant lui dans le château du roi Pêcheur (du verbe pêcher, des poissons). Il ne put donc accéder à son mystère, ni sauver le roi Pêcheur, provoquant la ruine du château du Graal… Nous devons donc demander « Pourquoi ? », « Que s’est-il passé ? » et « Que se passet-t-il encore ? », et ne pas demeurer sidérer et censuré comme Perceval obéissant naïvement aux autorités intellectuelles ou temporelles et refusant d’écouter sa conscience. C’est la fonction des mythes de nous remettre éternellement devant les mêmes défis et les enseignements dans les situations importantes.
On pourrait, concernant Emmanuel Macron, aussi parler aussi du mythe d’Œdipe. Œdipe, fils d’un père pédophile, attira la peste à Thèbes parce qu’après avoir tué son père et vaincu le Sphinx qui s’est ensuite suicidé, il avait épousé sa mère, le tout impunément. Dans certains cas, Œdipe se crève alors les yeux et quitte Thèbes, dans d’autres, il reste au pouvoir. D’étonnantes similitudes sont ici à l’œuvre avec le parcours personnel d’Emmanuel Macron, la crise du Coronavirus et le processus du bouc-émissaire renversé vers la population au lieu d’être endossé par l’ubris – la démesure – d’un gouvernement fautif de la tragédie en train de se jouer. Pour célébrer sa victoire en 2017, Emmanuel Macron a posé devant la pyramide du Louvre, comme le Sphinx d’Egypte, qui était le surnom de François Mitterand, figure paternelle historique du Parti socialiste qui s’est autodétruit après avoir porté le nouveau président au pouvoir.
1 – L’invocation de la théorie du complot
Stratégie du Choc et stratégie de la Tension : plan Condor en Amérique latine et Loge P2 en Italie.
Invoquer la théorie du complot, de la part de ceux qui considèrent que le gouvernement fait de son mieux et évite le pire, doit nous amener à rappeler à toute personne ayant un peu de mémoire ou de culture politique deux affaires célèbres récentes touchant à la mise en place de dictatures.
Le Plan Condor et le projet MK Ultra
Le New-York Times et d’autres journaux dénoncèrent dans les années 70 le projet MK Ultra (Mind Kontrol) mené clandestinement par la CIA, qui servit de base pour la manipulation psychologique dans le plan Condor. Le plan Condor fut élaboré par les prix Nobel Friedrich Von Hayek et Milton Friedman, ce dernier d’ailleurs cité au passage par le Pr Raoult devant la commission d’enquête fin juin. Les deux économistes furent les maîtres à penser de l’école ultra libérale des Chicago Boys, dans l’université fondée par David Rockefeller. La CIA utilisa les études du psychiatre canadien Donald Evan Cameron qui avait interrogé les criminels de guerre nazis à Nuremberg dont 150 seulement furent jugés, les autres allant rejoindre les services secrets des USA ou de certains pays arabes pour soutenir leur lutte contre la Communisme. Les militaires latino-américains furent secondés par les nazis et les fascistes exfiltrés par le Vatican et la Croix Rouge dans l’opération Ratline, réalisant une série de coups d’état dont le plus célèbre est celui du général Pinochet contre Allende au Chili le 11 septembre 1973. En suivant le protocole élaboré par le Dr Cameron, par la violence, la privation sensorielle, le martellement psychique, les coups d’état militaires plaçaient les populations en état de choc ou de sidération, pour les « reprogrammer » en suspendant les libertés publiques et en instaurant un régime autoritaire et libéral. Un séisme, une violente crise économique ou une épidémie pouvaient également servir de base à la suspension des libertés.
Le scandale international de la Loge Propaganda 2 en Italie
Dans les années 70 et 80, une loge maçonnique italienne menée par Licio Gelli, ancien combattant dans les armées de Franco et Mussolini, collaborateur des dictatures militaires mises en place par le plan Condor des Etats-Unis en Amérique du Sud, tenait l’Italie tout entière à travers quelques centaines de personnes influentes dans l’armée, le gouvernement, l’industrie, les journaux, la justice, mais aussi le Vatican, la Mafia et l’extrême-droite (mouvement Gladio), le tout supervisé par la C.I.A. L’intention de la Loge P2 était de remplacer toutes les instances étatiques du pays par des groupes privés tirant leurs ficelles. Silvio Berlusconi en faisait partie et son programme politique n’a jamais visé qu’à réaliser celui de la P2 en utilisant entre autre le Tittytainment, c’est-à-dire la régression intellectuelle diffusée par les médias et les écrans par les « seins » « Tiits », c’est-à-dire une télévision à stimulation sexuelle, et le divertissement, pour maintenir les gens sous contrôle avec leur consentement. Le Tittytainment fut théorisé par Zbigniew Brzezinzki, éminence grise de la C.I.A. à cette époque et il demeure toujours très influent. L’attentat de la gare de Bologne et ses 80 morts, voulu par ce groupe d’intérêt, a fait partie de la stratégie de la tension de ces années de plomb visant par le prétexte du terrorisme à instaurer des mesures autoritaires puis à rétablir le Fascisme dans un plan intitulé Rinascita démocratica, c’est-à-dire Renaissance démocratique. Dans un célèbre discours intitulé Ma patrie s’appelle Multinationale (1972) Eugenio Cefis, chef de la Loge P2 et directeur de l’ENI (Agip et le pétrole italien), faisait comprendre aux forces armées italiennes que la cause à défendre était désormais le libéralisme et non la souveraineté d’un pays.
Le plus dur est d’admettre l’absence de limites de certaines personnes sur la Terre, comme à l’intérieur d’une famille ou d’un couple. La psychopathie est malheureusement assez répandue et se caractérise par l’absence d’empathie, et cette absence d’émotion est précisément ce qu’on demande avant tout à un scientifique.
On a assisté à un véritable coup d’état américain en France à travers Gilead, Bill Gates et l’OMS, Macron, son entourage et BFM, anticipé comme on le verra par Jacques Attali dans l’Express il y a plus de dix ans et la fondation Rockefeller qui a précédé Bill Gates à l’OMS. Ce qui explique aussi que Didier Raoult parle de « guerre civile » entre Républicains et Démocrates aux USA concernant l’hydroxichloroquine. « En fait, il s’est toujours intéressé avec son père au contrôle de l’agriculture mondiale, à la distribution de nourriture et au contrôle aussi des grandes épidémies. Quand par la suite c’est Bain and Companie qui réorganise le déconfinement et la reprise des affaires en France. Il faut bien voir que Bill Gates a toujours été partenaire chez eux, ainsi d’ailleurs que le Mormon Mitchel Romney, ancien candidat républicain. On retrouve aussi derrière cela Bayer pharmaceutics, ancienne partie du conglométat Allemand IG Farben, qui devient partenaire de la Bill and Melinda Gates fondation pour la vaccination. Les fondateurs de Bain & Co sont aussi chairman à la tête de la réserve fédérale… Mitt Romney lui dirige les sociétés de capital risque. Donc celles qui recoivent les derniers brevets pour en financier de nouvelles entreprises, comme celles du projet ID 2020. Et tout cela avec des consultants empruntés à la CIA ! En fait, tout le programme Population Control qui passe selon un organigrammes assez complexe : Bain & Co – Starbucks, – B & M Gates fond – Bayer – Monsanto. Il leur suffit de backdoor sur tous les systèmes microsoft et apple pour produire l’interface aux liens biométriques… » Une source, résumant des études de Pierre Jovanovic. Retour des littéraires contre l’école de Vienne : Raoult, Dominique Michel, des croyants : De Donno, qui démontrent qu’abandonner l’humanité à des scientifiques et des commerciaux, c’est se condamner à ne pas avoir de recul. « Milton Friedman : il n’y a pas de repas gratuit. » Baudrillard, simulacres et simulations sur Sud Radio : ne fait pas ses citations au hasard : Foucault : idem : dictature sanitaire : Bio dictature.
Scandales passés
Les plus gros scandales de la médecine, aux conséquences tragiques, sont advenus dans la science et le silence de l’immense majorité des médecins, des médias et des représentants du peuple qui ont toujours nié contre toutes les preuves en invoquant une méthodologie évidemment manipulée pour rendre indémontrable par leurs critères les effets directs sur la santé publique. Le coronavirus n’a pas échappé à la règle.
Rappelons le Médiator et ses 500 à 2000 décès ; l’affaire du Sang contaminé et ses ministres ; l’immense scandale du téflon et du PFOA de Dupont de Nemours responsable de centaines de morts et de maladies graves (film Dark waters) (900 millions de $ versés par Dupont de Nemours) ; la Depakine et les malformations des nouveau-nés ; la pillule Diane 35 maintenue par l’Union Européenne ; le Pradaxa ; le Distilbène ; l’amiante dont les effets mortels étaient encore niés au Canada, ogre de l’industrie minière, il y a quelques années ; l’hormone de croissance, ses 111 morts officiels de la maladie de Kreutzfeld-Jacob et ses innombrables effets secondaires ; la maladie de Lyme et les tests incapable de la détecter ; le clordécone (Merex, Clérone ou Képone) ; le Round Up ; l’Isoméride ; le vaccin contre l’Hépatite B ; le Finastéride anticalvitie.
Jean-Dominique Michel, spécialiste mondial de la validation des études, Genève : imbécilité, létalité, malhonnêteté et perversion : « L’essentiel des morts du Covid sont des morts politiques, conséquence d’une politique sanitaire imbécile et létale. (…) Et les autorités viennent nous dire de manière scandaleuse : regardez comme le virus est dangereux. On est dans des zones de malhonnêteté intellectuelle et en mon sens de perversité. » Jean-Dominique Michel, Athlé-TV, avril 2020
Poids industrie pharmaceutique
« L’industrie pharmaceutique occupe une place centrale dans le dispositif d’information des médecins. Elle y consacre en France 3 milliards d’euros, dont les trois quarts sous la forme de la visite médicale [IGAS, 2007]. (…) l’information fournie est biaisée. » Marion Navarro, Regards croisés sur l’économie 2009/1 (n° 5), pages 210 à 214, Cairn Info, 2009
Ouverture progressive des yeux
Nous avions appris que nous ne sommes pas le centre de l’Univers, que l’Ancien Régime, le Capitalisme, le Marxisme, le Fascisme et les théocraties avaient mis la Terre et les hommes à genoux. Avec la crise du Coronavirus, nous avons vu se dévoiler clairement l’utopie totalitaire à venir annoncée par les plus grands intellectuels occidentaux depuis presque un siècle : la dictature sanitaire et scientifique justifiée là encore par le savoir révélé d’une élite d’initiés et ses délits d’initiés financiers soutenus par le pouvoir politique, une fois encore criant à l’ignorance et à l’obscurantisme contre ceux qui ne font que nommer les choses, et réagissant par l’ex-communication, comme aux temps de Galilée, la censure et le tabou, la menace et les amendes contre les sommités mondiales et les populations ne disant que la vérité. Une fois de plus, nos yeux se sont ouverts dans la douleur. Mais la question demeure : que faire ? Avant d’y répondre, voici un rappel des faits.
La déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 stipule qu’un pays dont la séparation des pouvoirs n’est pas assuré n’a pas de constitution. Or, dans la cinquième république, il n’a pas de pouvoir judiciaire en tant que tel, mais une « autorité judiciaire ». Et il ne peut y avoir de contradiction entre la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen et un gouvernement… sauf, peut-être dans l’état d’exception, c’est-à-dire, d’urgence (policier), et l’état de siège (militaire). La question est donc celle de la légitimité de l’état d’exception qui est le nôtre, par rapport à la pandémie, et de sa gestion correcte ou non par le gouvernement en place. Compte tenu de l’incompétence dramatique et des conflits d’intérêt avérés des politiques, du conseil scientifique et des médias avec l’industrie pharmaceutique, et les milieux de la finance, il est donc légitime et nécessaire de demander la destitution du chef de l’état et du gouvernement pour des raisons non seulement de santé et de sécurité publiques mais aussi de démocratie, de liberté individuelle et collective et de redressement économique.
Impunité du gouvernement responsable de toutes les erreurs et malhonnêteté et culpabilisation de la population inversement proportionnelle
Depuis le début du coronavirus, l’incompétence, les mauvaises décisions, la corruption et la responsabilité réelle des gouvernement et des médias, le sacrifice de la santé et les conflits d’intérêt liés à l’argent ont augmenté proportionnellement à la surveillance, à la suspicion, à la censure, à la restriction de la liberté de mouvement et d’action, au sentiment de culpabilité, à la crainte de la répression et des sanctions des populations à travers déclarations alarmantes, décrets, circulaires et mesures promulguées par le gouvernement ou votées à l’Assemblée en présence de très peu de représentants de chaque parti.
Rappelons que La France est à la 22e place pour les droits de l’Homme (Humanium.org) et à la 34e place pour la liberté de la Presse (Reporters Sans Frontières), le plus gros consommateur mondial de psychotropes par habitant et que la répression policière et la gestion politique des manifestations de 2019 a scandalisé l’opinion internationale.
2) Les faits
Mars 2020. Une pandémie a débuté depuis trois mois à Wuhan, Chine, à quelques kilomètres d’un des plus grands laboratoires mondiaux « Voulu et construit avec l’aide de la France, le très sensible laboratoire de virologie P4 de Wuhan » (site de France Culture, Le laboratoire P4 de Wuhan : une histoire française 17/04/2020 Philippe Reltien et Cellule investigation de Radio France) et l’institut de recherches sur les maladies infectieuses de l’armée américaine de Fort Detrick, qui expérimente avec des équipes internationales, depuis au moins cinq ans des coronavirus militaires utilisant des gènes de chauve-souris afin d’accélérer leur transmission à l’humain, comme le révéla fin 2015 l’émission Leonardo de la chaine italienne Rai3. Une subvention de 3,7 millions de dollars fut aussi versée par le National Institute of Health (N.I.H) des Etats-Unis au laboratoire de Wuhan pour travailler sur les coronavirus liés aux chauves-souris (Washington Post).
Le coronavirus nommé COVID 19 est cependant attribué à la consommation par la population locale d’animaux sauvages tels que le pangolin ou la chauve-souris, coutume pratiquée de très longue date, sans de tels effets jusque-là. Contamination qui serait advenue malgré l’impossibilité pour de nombreux spécialistes que le virus soit apparu et se soit développé de façon indépendante et se soit transmis aussi rapidement à l’humain (Alexandra Henrion-Caude, directrice de recherche à l’INSERM, à l’Hôpital Necker, et généticienne). Le chercheur anglais Neil Ferguson de l’Imperial College, qui avait déjà annoncé 150 millions de morts lors de la grippe aviaire en 2004 alors qu’elle en fit en tout 282, prédit selon un modèle mathématique deux millions de morts aux Etats-Unis, 500 000 au Royaume-Uni et 200 000 en France, puis dément dés le lendemain ses propres estimations avouant une erreur de calcul et les divise par dix. Le 16 mars, se basant pourtant sur le premier modèle de Ferguson et sans écouter les nombreux experts mondiaux en désaccord avec son discours alarmiste, le gouvernement français, dont une partie est ou a été partie prenante l’industrie pharmaceutique, et se trouve dont en conflit d’intérêt ouvert, ordonne par son président Emmanuel Macron le confinement de toute sa population, la fermeture de ses frontières, proclame six fois dans son discours le pays en état de guerre et, appuyé par un certain nombre de scientifiques et de laboratoires, multiplie par les médias et les organismes étatiques les déclarations et les décisions contradictoires et incohérentes sans jamais ouvrir le débat public aux voix divergentes qui s’élèvent dans la communauté scientifique et s’inquiètent de la démesure des réactions étatiques et de leur dérive autoritaire pour un virus qui n’est pas plus dangereux qu’une grippe saisonnière, comme tous les chiffres le démontreront par la suite. Sans tester sa population, affirmant contre toute vérité que les enfants seront très contaminés et contaminateurs, que les masques sont inutiles, puis les rendant obligatoires, dans une atmosphère de peur, de chaos et de soupçon généralisé d’être un « porteur sain » potentiellement responsable de la mort de nombreuses personnes. Le tout sans volonté de démontrer la chose ni son contraire, ni de protéger les personnes véritablement à risque, faisant s’effondrer l’économie. Le gouvernement français refuse de généraliser la prescription de l’hydroxychloroquine, efficace et bon marché, dont l’interdiction de la vente libre, décidée le 13 novembre 2019 en raison de certains effets toxiques, est confirmée mi-janvier alors que le COVID 19 est déjà mondialement connu. Ayant figuré de nombreuses années dans la liste des médicaments essentiels de l’Organisation Mondiale de la Santé, l’Hydroxychloroquine est expérimentée depuis le début de la pandémie avec d’excellents résultats à Marseille par le professeur Raoult, l’épidémiologiste le plus réputé au niveau mondial et auteur du plus grand nombre de publications scientifiques, sauvant la vie à de nombreux patients avec de faibles effets secondaires. La structure qu’il dirige, l’Institut Hospitalo-Universitaire (IHU) Méditerranée Infection est en conflit avec l’Institut National de la santé et de la Recherche Médicale (INSERM) dont la politique vise à supprimer les subventions des hôpitaux universitaires à son seul bénéfice pour des intérêts financiers et une recherche orientée vers le profit économique. L’INSERM a été dirigé entre 2014 et 2018 par Yves Lévy qui retira à cette intention son label au laboratoire du Dr Raoult. Yves Lévy n’est autre que le mari de la ministre et médecin Agnès Buzyn ayant démissionné après avoir dissimulé l’étendue de la pandémie, et elle-même prescrit de l’hydroxychloroquine à un producteur de télévision, comme 2000 médecins dans 30 pays avec d’excellents résultats. L’INSERM est aujourd’hui dirigé par Gilles Bloch. Plus de trois ans et demi avant, en septembre 2016, Jérome Salomon, ancien lobbyiste du Think Tank ultralibéral du parti socialiste Terra Nova, et directeur général de la Santé depuis janvier 2018, avait averti le gouvernement Hollande dont Emmanuel Macron était ministre de l’Economie de l’impréparation flagrante de la France à une pandémie. En 2018, le CNRS, par son nouveau directeur Antoine Petit, avait également retiré son label au laboratoire du Pr Raoult. L’ensemble des présidents de section du CNRS s’élevèrent fin 2019 contre l’appel d’Antoine Petit à l’élaboration selon ses propres mots d’une « loi inégalitaire, une loi vertueuse et darwinienne, disruptive, de programmation de la recherche, et s’inquiétant de sa vision de la recherche basée sur la compétition à tous les niveaux. (site Le Monde, 12/12/2019)
Les masques, les tests, les chiffres, les EHPAD, la Suissesse de 95 ans
L’Etat, qui a fait cesser de produire des masques depuis 2017, continue d’en brûler pendant la crise, exposant ainsi gravement ses soignants surmenés, en commande trop tardivement en Chine mais laisse sa commande partir au profit des Etats-Unis et de l’Allemagne qui augmentent la somme versée. Il refuse de mobiliser les établissements privés, interdit aux agences départementales de communiquer leurs chiffres, sature des services de santé déjà exsangues en raison des choix ministériels des années précédentes, laisse se détériorer l’état de santé des personnes touchées à domicile en l’absence d’une généralisation de l’Hydroxychloroquine puis les hospitalise et les intube en soins intensifs avec de graves conséquences sur les patients. Enfin, elle abandonne dans les EHPAD les personnes âgées dont le nombre de décès dus au Coronavirus est aujourd’hui évalué à 10 000, alors que l’interview à la télévision suisse d’une dame de 95 ans guérie et revenue chez elle cinq jours après avoir refusé l’intubation et demandé de l’Hydroxychloroquine fait le tour du monde.
Discovery et la vaccin sur l’ARN mutant
Abandonnant les autres champs de recherches, il lance en revanche Discovery, un programme de recherche sur un vaccin long, hasardeux et extrêmement couteux pour un virus dont l’ARN est mutant.
La 5G, surveillance et risque sanitaire
Il adopte par décret justifié par l’état d’urgence ou dans une assemblée nationale quasiment déserte des lois autorisant la surveillance et le contrôle généralisé (installation des antennes relais pour la 5 G par directive le 26 mars sans autorisation des communes ni consultation des populations ni attente des résultats de l’Autorité Française de la Santé qui écrit « Nous sommes incapables de dire si la 5 G n’est pas nuisible à la santé. »). Or, des citoyens du monde entier se sont émus du fait que Wu Han, la Lombardie et Seattle, où a été testée la 5G début 2020, ont été les zones à plus fort taux de Covid-19 sachant qu’un virus n’est pas à proprement parler un organisme biologique mais un brin d’information.
Loi Avia et partenariat public-privé contre les Fake news des plus menteurs
La loi Avia du 13 mai 2020 donne, à ceux-là mêmes qui sont responsables du chaos et de l’incohérence de l’information et de la crise, la possibilité de noter les bons et les mauvais articles de presse voire de supprimer dans l’heure des publications, sans action en justice, sous prétexte d’appel à la haine ou de terrorisme.
Un partenariat contre les « fake news » est mis en place entre Le Monde et Facebook alors que d’une part le quotidien français est un groupe privé appartenant à la téléphonie, à la banque et au luxe, a reçu plusieurs millions d’euros de la fondation de Bill Gates, également donateur à l’OMS, ne cessant de relayer sans les interpeller les déclarations incohérentes du gouvernement, et d’autre part le réseau social a été fortement mis en cause pour complicité d’influence du vote américain aux présidentielles en collaboration avec Donald Trump et la Russie. Sur les Smartphone, prétendant lutter contre les fake news, Google supprime de son Play Store toutes les applications faisant référence à la Covid-19. De nombreux développeurs disparaissent du système Android (Jacques Monin et Cellule investigation radio France, 26 mai 2020). Une application controversée pour son atteinte à la vie privée, « Stop Covid », est prévue pour après le déconfinement.
Anonymat des forces de l’ordre ?
Et projetant d’assurer l’anonymat des forces de l’ordre dans les manifestations (27 mai). Les lanceurs d’alerte sont menacés et la video d’une chercheuse américaine auteur d’un livre dénonçant l’industrie pharmaceutique et la recherche et les effets secondaires des vaccins sur la vulnérabilité aux virus est censurée. A Toulouse, une femme est mise en garde à vue plusieurs heures pour avoir déployé chez elle une banderole appelant à la démission pourtant légitime d’Emmanuel Macron.
Refus de protocoles qui fonctionnent
Les protocoles efficaces et sans effets secondaires des médecins Sabine Palliard-Franco, Denis Gastaldi et Jean-Jacques Ebstein sont tus par les médias, interdits ou sanctionnés, en opposition au serment d’Hippocrate, et on suspend la liberté d’exercer du corps médical français alors que le mercredi 25 mars, un décret du Ministère de la santé est publié, stipulant : « l’hydroxychloroquine et l’association Lopinavir-Ritonavir [peuvent] être prescrits, dispensés et administrés sous la responsabilité d’un médecin aux patients atteints par le Covid-19, dans des établissements de santé qui les prennent en charge ». Le texte autorise également cette prescription pour « la poursuite du traitement à domicile » si l’état de santé le permet, et « sur autorisation du prescripteur initial ». Le professeur Raoult remercie Olivier Véran, ministre de la santé, et Jérome Salomon, directeur général de la Santé déclare : « Il n’y a pas d’interdit en France, les médecins ont le droit de prescrire dans le cadre de l’AMM ou hors AMM sous leur propre responsabilité. (…) Tout patient qui rentre dans un protocole peut être inclus dans un essai (…) en stade précoce, au stade tardif, en réanimation ». En contradiction, le Haut Conseil de la Santé Publique recommandait, par son directeur Franck Chauvin, de l’utiliser uniquement pour des cas graves. Le 27 mars, le décret est reprécisé, engageant à se conformer au Haut Conseil de la Santé Publique. (Libération, Cédric Mathiot, Florian Gouthière, 27 mars 2020)
L’Artemisia annua, plante contenant le principe actif de l’hydroxichloroquine et ayant démontré son efficacité au Madagascar, est interdite en France par l’Académie Nationale de Médecine. Contrairement à toutes les annonces, l’Afrique noire, en raison de son climat majoritairement chaud est humide, mais qui consomme aussi de la chloroquine depuis des décennies contre le paludisme, n’est pas gravement touchée.
Thérapie plasmique en Italie : la première chose à faire contre le Coronavirus selon Nature
En Italie, fin février-début mars, le professeur Fausto Baldanti, virologue de laboratoire depuis 26 ans à l’IRCCS San Matteo de Pavie (Lombardie) et titulaire d’une chaire à l’université de la ville, devant l’arrivée de 110 patients âgés dans un état grave, redécouvre avec son collègue Raffaele Bruno l’usage du plasma purifié des personnes convalescentes ou guéries dont les anticorps neutralisant permettent à leur tour la guérison des malades atteints du Covid. La technique est connue depuis plusieurs dizaines d’années. Les globules blancs forment le plasma et les rouges sont rendus au donateur. Les indices inflammatoires diminuent, l’oxygénation augmente, la fièvre tombe rapidement. (Corriere della Sera, Simone Ravizza, 12 mai 2020). Mais un autre Lombard, le professeur Giuseppe De Donno de Mantoue, pneumologue-chef de l’hôpital Carlo Poma de Mantoue et son collègue l’hématologue Massimo Franchini, qui vont être connus dans toute l’Italie en sauvant Pamela Vincenti, une femme enceinte de 24 semaines et son enfant en appliquant la thérapie plasmique qui s’est aujourd’hui étendue à toute l’Italie. (Corriere della Sera, 22 avril 2020). Avec 39 ° de fièvre depuis plusieurs jours, elle ne pouvait ni accoucher ni être entubée sans risque très important. Extraire 600 ml de plasma coûte 163 euros et chacun des deux sacs de 300 ml peut sauver une vie. La thérapie intensive passe de 16 à 5 jours et l’amélioration constatée sur des dizaines de patients est souvent visible en quelques heures, leur permettant d’être très vite extubés. Le professeur De Donno définit le don de plasma comme un acte démocratique où le peuple soigne gratuitement le peuple, toujours avec le consentement des malades. L’acte est à réaliser très vite avant que les choses ne s’aggravent sérieusement, comme la chloroquine, et la revue Nature titrait le 1er mai 2020 que le « serum des convalescent » était le premier choix à faire pour les personnes atteintes du coronavirus. (https://www.nature.com/articles/d41587-020-00011-1). Le prof. De Donno a souligné la grande erreur du gouvernement italien de ne pas fermer davantage les zones infectées tout en ouvrant les zones saines du pays. Des résistances très fortes sont apparues en Italie en raison du fait, explique De Donno, que la thérapie est venue d’un petit hôpital d’excellence en province et non du monde universitaire fermé sur lui-même et parce que la technique n’est pas « sponsorisée », c’est-à-dire qu’elle n’obéit pas à un brevet ou des intérêts financiers. Et il précise qu’un vaccin n’aurait jamais sauvé la vie de ceux qu’il a sauvés et se montre sceptique sur les programmes de recherches le concernant et sur la synthèse de l’immunoglobuline, sorte de clonage des cellules. Il a reçu dans la même journée 18 propositions de travail du monde entier. Concernant le confinement, comme le prof. Raoult, il prône les tests et la technique du Lazaret, c’est-à-dire l’isolement des personnes touchées, et non le confinement de tous qui amène une contamination.
Le prof. Tarro de Naples est également réputé pour ses travaux et l’efficacité des soins.
« En pratique, on utilise le plasma des patients guéris du Covid-19. C’est le composant liquide du sang dans lequel les éléments corpusculaires (globules rouges, globules blancs et plaquettes) sont en suspension. (…) Les patients qui risquaient de se retrouver en soins intensifs étaient soumis à ce traitement. Étonnamment, les améliorations étaient déjà évidentes un à deux jours après le début de la thérapie. Risque zéro. Quels sont les risques liés au prélèvement de plasma sur une autre personne ? La procédure est considérée comme sûre car le sang du donneur est prélevé puis traité pour isoler le plasma du reste. En outre, un certain nombre de procédures sont appliquées pour le rendre sûr en désactivant les substances qui pourraient être nocives pour le destinataire. La plasmathérapie est déjà active dans d’autres parties du monde : les premiers résultats encourageants sont venus de Chine et les États-Unis suivent également cette voie. » https://www.coronavirus.it/coronavirus-cura-plasma/
Le problème est que les machines à traiter le plasma sont encrassées en France et qu’elles peuvent réinjecter du sang contaminé aux donneurs.
Déconfinement confié à un cabinet américain dirigé par une « ancienne » agente du Mossad et s’étant proposé gratuitement : Bain and Co
Début avril 2020, l’organisation du déconfinement est confiée à la filiale française de Bain et Cie, cabinet américain dirigé par Orit Gadiesh, une ancienne agente du Mossad et spécialisé dans les licenciements massifs, entaché par un scandale financier avec le ministère de la santé sud-africain. La nécessité d’un gouvernement mondial autoritaire pour lutter contre les pandémies est évoquée, reprenant des souhaits ou des mises en garde de Bertrand Russel et Aldous Huxley dans les années 30 et 50, les déclarations de Jacques Attali en 2009 dans l’Express et des simulations de 2010 de la fondation Rockefeller, alors que les plus hautes instances internationales et mondiales, et les multinationales liées à elles ont démontré leur culpabilité dans la gestion du virus.
Un traité de libre-échange est signé par l’Union Européenne avec le Mexique
Un traité de libre-échange est signé par l’Union Européenne avec le Mexique en toute discrétion. Le gouvernement lance une campagne de volontariat pour former des brigades familiales destinées à séparer les membres des familles dont une personne aurait été touchée par le virus, de nombreux détenus sont libérés pour ne pas saturer les établissements pénitenciers alors que la population risque amendes et emprisonnements en cas de non-respect des règles de sortie.
Des tests infectés au Covid sont détectés en Angleterre (Ouest-France)
On laisse craindre une seconde vague qualifiée de « hautement fantaisiste » par le professeur Raoult, parce qu’hypothèse à l’opposé de tous les comportements connus en épidémiologie, mais qui pourrait éventuellement advenir en raison même de la politique de confinement total du gouvernement, empêchant entre autre la population de développer son immunité, alors que 98 % des décès ont concerné des personnes atteintes de plusieurs pathologies graves et/ou en surpoids. Avant la reprise des cours, les enseignants des écoles primaires reçoivent une circulaire leur demandant de ficher et signaler les enfants et les familles tenant un discours critique sur la gestion de la crise par le gouvernement.
Trois études en conflit d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique
Trois études (New England Journal of Medecine, British Medical Journal, The Lancet), manipulées par une industrie pharmaceutique en état de « corruption systémique » selon une étude d’Harvard, concluent à la dangerosité de l’hydroxychloroquine et provoquent son interdiction. Le British Medical Journal publie un article dont il supprime les deux paragraphes d’une étude chinoise démontrant l’efficacité de l’hydroxychloroquine, et en conclut son inutilité. Dans une étude comparative, un médecin spécialiste réputé refuse de tester le groupe soigné par l’hydroxychloroquine et l’Azitromycine où il n’y a eu aucun mort ni aucune réanimation nécessaire. Parmi les 900 000 personnes testées par des rhumatologues ayant pris du Plaquénil, l’Hydroxychloroquine, aucune n’a fait d’accident cardiaque, mais la revue The Lancet qui a influencé la décision française de l’ ’interdire a refusé de prendre cette étude en compte.
Elles sont immédiatement dénoncées par des experts de santé indépendants puis bien plus tard par les grands médias nationaux.
Le docteur Christian Perrone déclare à l’Obs (le Nouvel Observateur) le 26 juin : « L’industrie pharmaceutique s’est beaucoup concentrée ces dernières années. Il n’y a plus que quatre ou cinq très gros groupes qui dominent le monde. Le niveau de corruption a monté de façon fantastique. […] Un rapporteur de l’ONU m’avait confié, voilà quelques années, que l’industrie pharmaceutique est la première source de corruption dans le monde, devant l’industrie du bâtiment ».
En revanche, le Remdesivir est un antiviral dont le coût de revient est de 9,32 $ mais dont le soin pourrait coûter jusqu’à 4500 $ par patient (https://www.dailymail.co.uk/health/article-8298253/How-remdesivir-cost-Experts-say-10-Gileads-antiviral.html). Ses tests et les lourds effets secondaires probable sde cet antiviral n’ont pas été communiqués par les laboratoires américains Gilead, déjà producteur du Tamiflu prévu pour des centaines d emillions de personnes en 2009, aux concentrations en aluminium, mercure et squallène, dépassant de loin les doses autorisés, et qui ns’étaient révélé inutile avec le refus des populations et l’extinction de la grippe H1N1.
Gilead, les USA et les essais avant mise en circulation
Gilead est un actionnaire important de la principale chaine d’information française, BFM TV, et le Remdesivir présenté par l’OMS comme le seul traitement fiable, est autorisé bien que la firme ait abaissé les exigences de ses essais pour le valider rapidement, et expérimenté de façon aléatoire par les hôpitaux américains sans l’approbation de la Food and Drug Administration d’Anthony Faucy (FDA). De manière générale, entre 5 et 15 % de résultats positifs permettent à un laboratoire de mettre sur le marché un médicament, sans prendre véritablement en compte les effets secondaires, alors que d’autres laboratoires n’obtiendront pas même ce taux là en reproduisant les mêmes essais. L’American Medical Association menace les médecins américains de perdre leur licence s’ils prescrivent l’hydroxychloroquine, accusée à tort d’avoir provoqué la mort de patients. Mi mai, Rick Bright, haut responsable sanitaire limogé par Donald Trump (Raphaëlle de Tappie, d’après la revue Science) en raison de son opposition systématique au soin par la Chloroquine, annonce dramatiquement une possible deuxième vague provoquant « l’hiver le plus sombre de l’histoire des Etats-Unis » alors que les chiffres ont été démontrés être ceux d’une grippe habituelle
Interdiction de publier les chiffres
L’état français interdit aux départements de publier leurs chiffres (Courrier International du…) et met en doute la politique efficace de dépistage de l’Allemagne qui s’étonne du discours autoritaire et infantilisant de la France.
Résultat du refus du traitement précoce par l’Hydroxychloroquine à domicile ou dans les hôpitaux, « SOS Médecins évalue à 16 % le nombre de ses médecins contaminés par le Covid-19, tandis que l’Ordre des médecins estime qu’une trentaine de praticiens libéraux sont décédés en France. Des médecins généralistes reprochent au ministre de la Santé d’avoir trahi sa promesse de les équiper de masques FFP2. » Radio France (6 juin 2020, https://www.franceinter.fr/endeuilles-par-le-covid-19-des-medecins-generalistes-estiment-avoir-ete-trahis-par-l-etat) :
Taux de létalité très bas
Trois mois après, on révèle que la pandémie a un taux de létalité de 0,3 à 0,5 % comme l’avaient observé depuis le début les scientifiques indépendants. Son étendue et sa contagiosité ne dépassent pas non plus les grippes saisonnières. (Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé chargé d’évaluer les études médicales au niveau mondial), inférieure même à celle de 2018-2019 (?). Les pays n’ayant pas adopté le confinement mais une politique de santé à l’opposé de celle de la France ont eu les meilleurs résultats.
Harcèlement vaccinal de Bill Gates à la tête des projets ruineux, mortifères et asservissant les états
Le milliardaire Bill Gates, principal donateur de l’OMS, impose pourtant sans relâche dans tous les médias l’idée de la nécessité de vacciner 7 milliards de personnes avant d’imaginer tout retour à la normale, déclarant lui-même (estimation extrêmement faible et peu réaliste) qu’il pourrait y avoir 700 000 effets « secondaires » à cette vaccination, soit le double des morts du Covid. Bill Gates est connu dans le monde entier pour la vente de programmes informatiques à l’obsolescence programmée, donc au coût financier et environnemental catastrophique, pour son soutien aux OGM et à Monsanto en Afrique par le projet AGRA (Alliance for a Green Revolution in Africa) au détriment de la sécurité et de la souveraineté alimentaire des populations, et pour sa fondation aux nombreux montages financiers avec l’industrie agroalimentaire, et pharmaceutique, les marchands d’armes et les milieux boursiers.
Manipulations et corruption à l’OMS : Rockefeller, Tedros Adhanom, Bill Gates
Pendant toute la durée de la crise, l’OMS a dévoilé sa corruption, son incompétence et la criminalité qui en découlent. Elle avait été créée au milieu du XXème siècle par la Fondation du pétrolier et géant bancaire Rockefeller, attaqué par la loi anti-trust, pour étendre son influence sur les champs de la Santé, après l’Education, l’Université, les Sciences Sociales et l’Agriculture. Aujourd’hui, la Fondation Bill et Melinda Gates a pris le relais et ouvre dans le même sens avec comme objectif déclaré depuis longtemps l’établissement d’un gouvernement mondial établi sur des bases ultralibérales en économie, une place toujours accrue de la science dans tous les domaines de l’activité humaine, et la réduction de la population.
L’OMS a commis depuis le début de la crise d’énormes erreurs d’appréciation, dont celle, capitale et décisive, de ne pas recommander d’arrêter le trafic aérien international au moment du Nouvel an chinois où des millions de voyageurs possiblement porteurs se sont répandus dans le monde, bien que la pandémie fût alors connue depuis un mois, pour ne pas nuire à l’industrie touristique.
Michael Ryan, directeur des questions d’urgence à l’OMS, affirme l’insensibilité du virus à la chaleur alors qu’il disparaît avec une température légèrement supérieure à 20 ° et un peu d’humidité.
L’Ethiopien Tédros Adhanom Gebreyesus
L’Ethiopien Tedros Adhanom Gebreyesus, plus communément appelé Tedros, le directeur de l’OMS, est un ancien membre du bureau politique d’une organisation reconnue comme terroriste par l’US Homeland Security : le Front de Libération du Peuple du Tigré. Il a été attaqué en justice dans son pays, alors qu’il était ministre de la santé, pour avoir refusé de reconnaître trois épidémies de choléra entre 2005 à 2012 là encore pour ne pas nuire au tourisme (New-York Times). Ministre responsable d’une répression violente lors de mouvements populaires de l’ethnie Amhara contre l’expropriation de leurs terres au profit de l’industrie des roses pour l’exportation, il est également accusé d’avoir ainsi fait plusieurs milliers de morts. Les dépenses annuelles de l’OMS uniquement en transports s’élèvent à 201 millions de Dollars, soit bien plus que toutes leurs campagnes contre le SIDA (Le Monde, E. Winilbeqh, 2017) et qu’une structures comme Médecins Sans Frontières employant pourtant trois fois plus de personnel. Tedros annonça une très haute « létalité » (capacité à provoquer la mort) du virus alors qu’elle se révéla être entre 0,3 et 0,5 %, soit 99, 5 % de personnes n’étant pas menacés.
Confiance et renouvellement du financement de l’OMS
Malgré cela, le gouvernement Macron, en mai 2020, renouvelle sa confiance en l’OMS et lui fait un don de 500 millions d’euros alors que la population française, victime de leur incompétence, voit chuter son niveau de vie avec des perspectives dramatiques en termes psychologique et de santé.
Confinement et effets de l’effondrement prévu
Mi-mai 2020, les études ont démontré à travers les courbes, que les politiques de confinement n’ont quasiment pas impacté la diffusion du virus comparé à son comportement habituel. Mais des millions et des millions de personnes souffriront et beaucoup mourront des effets secondaires de la gestion du coronavirus et de la crise économique provoquée par les gouvernements : impossibilité de se soigner suite au chômage dans beaucoup de pays pauvres à la couverture sociale insuffisante, malnutrition, suicide. Des troubles sociaux et psychologiques déjà observés s’ensuivront probablement de la gestion catastrophique et malveillante, risquant d’accentuer répression et surveillance et accusation. Il nous appartient donc d’imaginer une nouvelle société appelant dés à présent à la démission du gouvernement et à l’imagination ensemble d’un monde au service duquel seraient les personnes les plus éclairées et humanistes.
Persistance d’un modèle suicidaire et de surveillance
Malgré la mise en lumière de l’échec de tout un modèle économique destructeur et mondialisé avec les dangers de sa dépendance à la plus grande dictature du monde, la Chine, et en dépit des appels de nombreuses personnalités telles que Nicolas Hulot, Aurélien Barrau, et plusieurs dizaines de prix Nobel, pour une nouvelle société que tous désirent, la France, pas plus que l’Europe, n’oriente sa politique vers un avenir plus libre ni durable et poursuit dans la voie qui l’a amené à la crise, renforçant les mesures de surveillance et de répression assurant l’impunité des responsables. Le New Internet Protocol, processus de contrôle accru du Web par les états, a commencé à s’élaborer fin 2019 à Genève en étroite collaboration avec la Chine qui a proposé ses services à l’Europe ; on prévoit en France un plan de relance de la production d’automobile alors que le pétrole est la première source de pollution et de réchauffement climatique
Les médecines traditionnelles ou parallèles ayant démontré leur efficacité et ne présentant pas le coût et les effets secondaires lourds de l’industrie pharmaceutique sont toujours plus harcelées tandis qu’il demeure extrêmement difficile d’obtenir justice contre le système de santé dominant émaillé de multiples scandales.
Mondialisation, répression et surveillance : l’Europe et la banque contre le Conseil National de la Résistance : la Révolution managériale des anciens nazis et collaborateurs
En prenant de la distance sur quelques années, il est facile d’observer que l’apparition du virus, sa « gestion », les lois de surveillance et de contrôle décidées en raison de l’état d’urgence sanitaire ont été préparées par la recherche en laboratoire sur les armes bactériologiques et la destruction ou la consommation des espaces ou des espèces sauvages et la surconsommation. Puis, la situation de crise a été utilisée pour provoquer l’effondrement de l’économie au profit des seules structures étant capables de soutenir le choc puis de racheter les structures victimes, tout en renforçant la surveillance et la répression contre la contestation risquant légitimement de s’élever de l’injustice subie par les populations qui avaient déjà essuyé des années de politique décidée par l’Europe, la Mondialisation, les délocalisations, la concurrence déloyale : Europe, Organisation de Coopération et de Développement Economique (OCDE), Organisation Mondiale du Commerce (OMC), Banque Mondiale, Fond Monétaire International (FMI), traités continentaux et intercontinentaux (TAFTA, CETA, Mercorsur) ayant systématiquement amené à détruire l’agriculture, la pèche, l’artisanat, les PME, l’environnement, les droits sociaux, les services de santé, les transports, la culture et la souveraineté des pays où leur action est intervenue depuis l’après-guerre, avec l’intention déclarée de ne pas mettre de barrières ni de règles aux échanges commerciaux, sans consultation démocratique mais bien en signant des traités entre commissions et comités jamais élus par les démocraties d’Amérique du Nord, d’Europe ou d’Asie. En France, la politique de l’Europe, fondée par les industriels sur le modèle des Etats Unis avec comme objectif l’abolition des frontières pour un grand marché unique, a systématiquement attaqué et détruit tous les acquis humanistes du Conseil National de la Résistance après la Seconde Guerre mondiale dont les grands industriels et banquiers avaient été exclus en raison de leur collaboration avec le Nazisme avant et pendant le conflit. C’est la même volonté qui se poursuit aujourd’hui. A la tête de l’Europe d’hommes politiques et responsables (Mario Draghi, de Golman Sachs, et Jean-Claude Junker ont respectivement organisé la faillite de pays entiers comme la Grèce et l’évasion fiscale de milliards d’Euros par le Luxembourg. Avant d’entrer au gouvernement, Emmanuel Macron a ainsi fait carrière dans la finance (Rotschild), et l’agro-alimentaire (Sofiproteol-Avril, Nestlé), et Edouard Philippe dans le nucléaire (Areva), les domaines les plus libéraux et polluants et les moins respectueux de la justice sociale, de la santé et l’environnement et ils n’ont jamais cessé de poursuivre dans cette voie. En 2014, le futur président, secrétaire d’état à l’Elysée, vendit une partie d’Alsthom à General Electrics (Etats-Unis), refusant d’intervenir sur le marché et compromettant ainsi la souveraineté de la défense française.
Inversant les responsabilités et alors que tout démontre leur culpabilité, les pouvoirs nationaux et européens, industriels et médiatiques, dévalorisent l’expression de la démocratie au niveau national et la protection des populations par les états au profit d’une Europe du Libre-échange héritée des Lumières comme facteur de paix, de liberté, de prospérité, de sécurité et de progrès, à l’inverse de ce que vivent les populations dans la dégradation de leur vie quotidienne et de leur environnement.
Liberté et impunité pour les responsables les plus hauts-placés, libération de nombreux prisonniers pendant la crise et restriction de liberté des citoyens innocents
Menaces financières et judiciaire contre les lanceurs d’alerte et tous ceux qui défendent la démocratie et la justice et annoncent depuis longtemps la faillite du système et ont des solutions démocratiques, accessibles et démontrées.
Censure en France de l’interview d’une chercheuse américaine dénonçant la corruption de l’industrie pharmaceutique et de la recherche.
Test et vaccinations
Tests non-fiables compte tenu de la grande variété de coronavirus existants.
Grosses interrogations sur la fiabilité des tests, (60 % soit une erreur pour deux personnes), entraimant nécessairement de lourdes conséquences sur la vie des populations.
Tests neufs infectés au COVID en Angleterre (Ouest France, avril 2020)
Accusation et menace de « complotisme » faite aux personnes énonçant de simples faits et chiffres avérés, de la part de ceux-là même qui contrôlent la parole et l’action politique, médiatique, intellectuelle, industrielle, judiciaire… ayant démontré leur incompétence, leur ignorance, leurs mensonges, leur indifférence ou leur collaboration avec tous les processus de décision ayant amené la France et le monde à la catastrophe écologique, sociale, géopolitique et sanitaire malgré les avertissements depuis plusieurs décennies.
Pouvoir de l’industrie pharmaceutique
Reproduction des erreurs d’appréciation de la grippe porcine ou H1N1 et présence dans les médias de Roseline Bachelot, ex ministre de la santé (2009), mêlée au scandale de l’achat de dizaines de millions de doses du Tamiflu, vaccin très dangereux et inefficace qu’on voulait imposer à toute la population française et au monde, pour une « pandémie » ayant fait en tout
Pouvoir de l’industrie agro-alimentaire
Dissimulation et minimisation depuis des décennies des effets secondaires des pesticides, additifs, métaux lourds sur la santé à cause du lobby agro-industriel.
Refus de remettre en cause le modèle agroalimentaire hyperdestructeur, de consommation et de recherche amenant à des crises déclarées graves,
Liberté de conscience
La France est le pays où les médecines douces, les modes de vie alternatifs sont classées comme sectaires et où la foi religieuse et les spiritualités hors religions sont les plus soupçonnés et dévalorisés, à tel point que la France a été attaquée par la cour européenne des droits de l’homme dans les années 2000 pour atteinte à la liberté de conscience. Beaucoup de pays européens ou extraeuropéens : Allemagne, Suisse, Québec, Angleterre, pays nordiques, s’inquiètent depuis des années de la répression et du manque de transparence du gouvernement français.
Liberté de soins
Arrêt de l’enseignement de l’homéopathie et de son remboursement prévu par le gouvernement.
Non reconnaissance de médecines traditionnelles ayant démontre leur efficacité et leur adaptation depuis des milliers d’années.
Fausses informations sur le Coronavirus
L’exercice du pouvoir fait perdre les qualités qui ont permis d’y accéder et déconnecte les circuits empathiques du cerveau (capacité à se mettre à la place de l’autre).
Manipulation et instrumentalisation des communautés humaines et religieuses, contre la majorité de leurs membres, par les gouvernements et les lobbies, pour diviser la population française par des lois prétendant les protéger et accusation de nationalisme contre qui veut garder son indépendance..
Perte du sentiment d’appartenance à un pays.
Décisions et subventions nationales et internationales allant systématiquement contre la volonté exprimée par le vote démocratique et les referendums par la trahison des programmes électoraux et allant à l’encontre de l’écologie, de la santé, du travail et de la liberté d’expression.
Nombre de décès
Non reconnaissance ni exploitation de l’efficacité démontrée de l’Artémisia au Madagascar. Le Président de la République de Madagascar, Andry Rajoelina d’Artemisia annua dopé par des plantes médicinales locales.
Protection de la population africaine par l’artémisine de la Nivaquine massivement utilisée contre le paludisme local depuis 70 ans et de l’Artemisia Annua, traitement asiatique de 2000 ans d’âge introduit par deux jeunes médecins africains.
Optimed et prostitution sont les deux façons les plus rapides de gagner sa vie : quelle est la société qui a permis cela ?
Il avait promis à la France la crise et le fascisme si on ne votait pas pour lui. C’était pour mieux nous les préparer. La crise récente a fait ressortir les polarités ainsi les décisions parfois surprenantes de médecins qui tiennent aussi des rôles consultatifs ou exécutifs dans les hautes instances (Conseil Scientifique, Haut Conseil de la Santé Publique)
Le Professeur Perronne a rappelé avoir mis en place un système de déclaration des conflits d’intérêts avant toute prise de décisions, allant jusqu’à exclure les personnes des décisions ou débats si besoin est.
Début 2020, le collectif Data+Local recoupait les données de la base Transparence Santé, mise en place après le scandale du Médiator. Les 30 000 praticiens répartis en 32 CHU du territoire se sont partagés plus de 92 millions, auxquels s’ajoutent quelque 78 millions d’euros versés au titre notamment de conventions passées entre les CHU et les laboratoires. Tout cela ne prend bien sûr pas en compte les aides versées aux associations de victimes et ou patients.
Un livre essentiel : Jean-Dominique Michel, Covid : anatomie d’une crise sanitaire
Notes et résumé, par F.M. Périer
« Un anthropologue médical est quelqu’un dont le métier est d’analyser la recherche et la pratique médicale pour en percevoir la validité mais aussi l’idéologie, les présupposés, les systèmes de croyances explicites ou implicites. » p 152
Si j’étais un peu hyperbolique, je dirais qu’après avoir ouvert les yeux sur la place de la Terre dans l’Univers avec Copernic et Galilée, sur la lutte des classes et le capital avec Marx, sur l’inconscient avec Freud et Jung, sur la matière et le temps avec Einstein puis la physique quantique, sur le communisme avec Soljenitsyne, sur l’écologie et le capitalisme avec la crise des subprimes, les clergés avec les multiples scandales financiers ou de mœurs, on peut véritablement ouvrir les yeux sur les autorités médicales, la recherche et l’industrie pharmaceutique et la profonde corruption étatique dans le domaine de la santé avec le livre Covid, anatomie d’une crise sanitaire (HumenSciences, Débats, Paris, juin 2020. Son auteur, le Genevois Jean-Dominique Michel est à ma connaissance celui qui a le plus ouvertement déconstruit le discours et la stratégie officielle des gouvernements, en particulier celui de la France. Anthropologue de la santé, il évalue depuis des décennies pour l’Université suisse la déontologie [le respect des règles morales dont la valeur étalon est la préservation de la santé], la méthodologie et les a priori conscients ou inconscients des études médicales dans le monde, en permanence plongé dans les études les plus théoriquement sérieuses, menées par les laboratoires et les chercheurs les plus prestigieux. Il est spécialisé en santé mentale mais maîtrise la question de l’épidémiologie infectieuse. Jean-Dominique Michel a écrit Covid, anatomie d’une crise sanitaire, et ce livre doit absolument être lu, par ceux qui dénoncent ou soutiennent les mesures politiques mondiales, le confinement, les masques, les restrictions de liberté et l’horizon d’un vaccin proposé ou imposé à la Terre entière. Afin de savoir quel monde nous voulons pour demain. Je n’ai pas cité les sources de JDM, mais son ouvrage en compte environ 150, prises dans les meilleures références.
- 80 % des maladies dont souffrent ou meurent nos sociétés sont dues au laxisme de la législation, c’est-à-dire des gouvernements qui collaborent avec les multinationales : diabète sucré, cancers, maladies cardiovasculaires auto-immunes ou dégénératives. [pp 26-27]
- La troisième cause de mortalité dans nos sociétés est la mauvaise médecine : médicaments dangereux, faux diagnostics, traitements inappropriés. [p 27]
- La moitié des médicaments sur le marché ne passerait pas les tests actuels : peu d’effets thérapeutiques, effets secondaires nocifs.
- Les grandes industries toxiques ont infiltré les instances de contrôle étatique. p 27
- La seule méthode qui me paraisse valable est la considération de tous les points de vue et hypothèses. Mais toujours se référer, tôt ou tard, aux meilleures sources. [p 32]
- Rien dans les chiffres depuis le début 2020 ne permet de justifier la panique mondiale sanitaire et économique.
Dix faits :
1) L’épidémie ne présente pas de danger pour l’immense majorité. Plus de 98 % des personnes touchées en guérissent. (Note : si on veut vraiment protéger les gens, qu’on interdise la destruction de la terre et toutes les substances toxiques véritablement responsables de nos morts) (p 37)
2) le taux de létalité a été fortement surévalué : pourquoi ? (p 38)
3) le principal facteur de risque est passé sous silence : affections cardiovasculaires, respiratoires chroniques, diabète de type 2, maladies digestives, cancers, maladies auto-immunes et neurodégénératives. (p 39)
4) Les médias ont couvert la crise sous un prisme toujours déformant. (p 41)
5) La notion de risque est déroutante pour notre cerveau. Et elle a été exagérée depuis le début. (p 42)
6) L’absence de mise en perspective des données. Chaque année 790 000 personnes meurent de la pollution atmosphérique en Europe, 2 000 000 en Chine, 80 000 en France). Le Covid ne va pas impacter notre démographie. (p 43)
7) Les projections alarmistes reposent sur des modèles systématiquement surévalués. (p 44)
8) Le virus est d’une certaine banalité.
9) Nous avons toutes les raisons d’espérer en l’immunité de groupe et l’effet d’atténuation.
10) Le traitement par la chloroquine est efficace.
… et rien n’a indiqué que les mesures extrêmes prises par les autorités ont été efficaces.
Sommes-nous vraiment « en guerre » ?
L’entente sacrée des gouvernants sert quasiment toujours à occulter les causes réelles d’un problème.
« La première victime de toute guerre, c’est la vérité » Philip Snowden, La vérité et la guerre, Londres, 1916
Aucune des mesures prises et appliquées en Suisse et en France n’avait la moindre valeur scientifique, à part le lavage des mains (Pr Giesecke).
L’OMS a déclaré que le confinement n’avais jamais fait partie de ses recommandations.
Le nombre de victimes est corrélé de façon visible avec la sévérité du confinement (il l’a accentué)
Il y a eu emphase sur l’inutile et le nuisible et absence du nécessaire et du salvateur chez les gouvernements : ni test, ni soin, ni protection rapide des malades.
Si on ne teste que les morts, on arrive à 100 % de létalité.
La psychose, qui se caractérise par la distorsion cognitive et affective entraînant une perte de contact avec la réalité, est un terme pleinement indiqué pour les réactions des gouvernements et des médias.
C’est uniquement la destruction de l’hôpital et le refus de tester et traiter par la chloroquine qui a entraîné l’engorgement de certains services.
Nous sommes en train de vivre un invraisemblable psychodrame collectif.
Les données importantes n’ont jamais été communiquées et ont été remplacées par des affirmations absurdes.
JDM a, comme tous les scientifiques, sa propre base de données informatisées de références documentaires comprenant des milliers de titres sur une centaine de sujets différents.
Le 18 mars, l’intervention de Didier Raoult « Covid fin de partie » aurait du être décisive pour les choix gouvernementaux et les journaux.
La chloroquine avait démontré son efficacité contre le SRAS en 2005.
Des journalistes du Monde ont qualifié de fake news les études du Pr. Raoult, repris par le Ministère de la Santé, qui retire cette information après quelques heures !! Qui finance Le Monde ? Bill Gates. Qui veut le vaccin ? Bill Gates.
« Les conseils scientifiques sont en réalité politiques » Didier Raoult.
Les résultats des études de l’IHU Méditerranée-Infection tombés le 16 mars avec la chloroquine ont démontré des effets spectaculaires dans la réduction de la charge virale grâce au Plaquénil et à l’Azitromicine. Pourtant, ni les études chinoises ni l’essai clinique marseillais n’ont eu valeur de preuve selon les critères de la recherche scientifique : intégrisme procédural faussé éthiquement indéfendable : quel est le but ? On est loin des seuils de surdosage (2 g/jour, avec 2X500 mg/jour ou 1X600 mg/jour.)
« Albert Jacquard a souligné à quel point notre système scolaire et politique favorisait la mise en valeur des personnalités les plus dangereuses. » p 77
JDM et Didier Raoult sont issus de familles de résistants.
N’importe quel professionnel un peu rigoureux aurait pu tenir les analyses que JDM a partagées en connectant les données dont on dispose : « connect the dots »
La salutogenèse passe par l’intelligibilité, la cohérence et le pouvoir d’agir : les gens qui ont survécu aux camps de concentration n’étaient pas les plus robustes mais ceux qui réfléchissaient et élaboraient des mécanismes psychologiques de défense.
La sollicitude combinée à la force symbolique du dispositif médical peut mieux expliquer le placebo.
La médecine n’est pas une science
L’evidence based medecine (EBM) a été développée pour des maladies complexes, chroniques, pour l’essentiel non infectieuses et pour valider des traitements complexes et controversés, et non pas pour nier l’évidence en perdant un temps précieux et en prétextant une méthodologie totalement inadaptée avec un remède efficace et inoffensif suivant un protocole bien précis : soit le remède est efficace, soit il ne l’est pas.
Un vaccin n’a jamais été découvert contre le SIDA : ce sont les trithérapies, découvertes en 1996, qui ont fonctionné.
Le Professeur Raoult a soigné l’infection en 6 jours dans 80 % des cas et presque 100 % en 10 jours. Et au lieu de susciter le soulagement, il s’est vu vilipendé par des cohortes de pairs qui lui ont reproché de ne pas utiliser les méthodologies de l’evidence-based medecine. Son traitement est considéré comme le plus indiqué par une majorité de médecins à travers le monde, mais les autorités entravent sa prescription et laissent mourir les gens en prétextant la « méthodologie. » Et les « méthodologues » continuent de réclamer le sacrifice de victimes pour la science en voulant randomiser en double aveugle des patients atteints de formes graves du Covid. (p 91-92).
« Le dimanche 22 mars, l’IHU passait en force en invoquant le serment d’Hippocrate, choisissant ainsi de faire bénéficier leurs patients du traitement testé à l’IHU de Marseille. Le lendemain, le ministre de la Santé annonçait à tous les médecins de ville son opposition à l’usage dudit traitement, réservé aux hôpitaux et aux cas désespérés, à l’inverse du protocole fondé sur l’action en amont recommandé par Didier Raoult. (…) Avant de s’engager dans la course à la mairie de Paris, quand elle était encore ministre de la Santé, Agnès Buzyn a classé en urgence l’hydroxychloroquine au tableau des « substances vénéneuses ». (p 94).
Quelle valeur apporter aux critiques des « méthodologues » qui ferment les yeux depuis des années sur les failles profondes des protocoles de recherche « en bonne et due forme ? »
La chloroquine et l’hydroxychloroquine sont des substances prises par des centaines de millions de personnes depuis 70 ans.
« La position des autorités politiques et sanitaires françaises de temporiser pourrait relever de la non-assistance à personnes en danger. Elle reflète en tous les cas la déliquescence des valeurs derrière un moralisme scientifique. » (p 100).
« Les vrais scientifiques sont toujours des personnes vaillantes, ouvertes d’esprit, curieuses, déterminées et sachant au besoin s’affranchir des règles quand la situation l’exige. » (p 100)
« L’EBM n’a pas apporté de réelle amélioration dans la qualité des soins ni permis de réaliser des économies » malgré le déploiement de ses multiples études, tout en participant involontairement à la déshumanisation de la pratique médicale. (p 103) Elle offre des possibilités quasi infinies de manipulation et de fraude des données pour mettre sur le marché des médicaments inutiles ou nuisibles ou « prouver l’absence de lien entre un problème de santé et sa cause. L’industrie du tabac, de l’agroalimentaire, du pétrole et la pétrochimie, en particulier avec les pesticides, l’ont démontré avant l’industrie pharmaceutique. » Les patients n’ont plus la possibilité de faire un choix éclairé quant à leur traitement.
Blouses blanches et corruption
Les experts opposants à la chloroquine reçoivent des financements de Gilead, mais aussi Merck, Sharp & Dohme, Roche, Boehringer, Johnson, & Jonhson, Sanofi, GSK, Abbvie, Pfize, Novartis, Astrazeneca. Seuls Didier Raoult et Arnaud Fontanet n’avaient rien reçu de l’industrie pharmaceutique.
La recherche médicale est en crise depuis au moins quinze ans.
Un essai de réplication de 53 expériences pharmaceutiques, réalisé par Amgen, avec des résultats publiés dans la revue Science, en 2016, n’a pu aboutir que dans 7 cas.
« La plupart des études scientifiques sont erronées, et elles le sont parce que les scientifiques s’intéressent au financement et à leurs carrières plutôt qu’à la vérité. » Dr Richard Smith, rédacteur en chef du British Medical Journal en 2013. Un an après, il écrivit : « La recherche médicale, toujours un scandale. »
« La médecine fondée sur des preuves échoue en raison d’essais biaisés et d’une publication sélective. » (p 115)
La recherche médicale, c’est comme laisser les politiciens compter leurs propres votes (p 116)
La profession médicale est achetée par l’industrie pharmaceutique (…) Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des recherches cliniques. (p 117)
« L’industrie pharmaceutique trahit systématiquement ses responsabilités à l’égard de la population et des institutions. Elle a une influence omniprésente sur la médecine, la recherche, les patients, les médias, les administrations, les agences de régulation et les politiques. (…) Elle est maintenant hors de tout contrôle. » House of Commons Health Committee, UK, 2004-05
Énormément d’effets secondaires subis par les patients.
Agnès Buzyn prétendait que nul ne connaissant mieux les médicaments et les vaccins que l’industrie pharmaceutique, il était indispensable qu’ils soient présents dans les instances gouvernementales. Yves Lévy fut nommé, après l’Inserm, au Conseil D’État malgré son absence de formation juridique.
Aucun traitement, même éclairé, ne peut être réalisé sans le consentement libre et éclairé d’une personne.
Dans Remèdes mortels et crime organisé, comment le système pharmaceutique a corrompu le système de santé, le Pr Peter Gotzsche décortique la chronologie des médicaments dangereux : 1) Mise sur le marché par corruption étatique avec 2) connaissance et dissimulation des effets secondaires par le groupe pharmaceutique – 3) Achat de professeurs en médecine pour nier si nécessaire les liens directs entre maladie et médicament – 4) Retrait de la molécule avec l’arrivée du scandale après des bénéfices substantiels (Ex : le Vioxx mis sur le marché en 1999 après une procédure accélérée [comme le Remdesivir en 2020 dans les hôpitaux, note personnelle] et qui fera finalement 26 000 morts aux Etats-Unis avant d’être retiré quelques années plus tard) 5) des procès seront faits mais le groupe pharmaceutique conservera un gros bénéfice à l’arrivée et personne n’ira en prison. Idem automobile, Téflon…
« Il est effrayant de voir combien de similitudes existent entre cette industrie [pharmaceutique] et la mafia » : Richard Smith, BMJ : argent, meurtre et corruption.
L’industrie pharmaceutique tue beaucoup plus que la mafia.
L’utilisation simultanée du niveau de confiance et de l’intervalle de confiance d’un médicament permet de passer de 43 % à 51 % de fiabilité dans les essais des médicaments.
Le Tamiflu : Roche empocha des milliards et des milliards de dollars avec le Tamiflu en 2009 alors qu’un enquête démontra que le Tamiflu n’avait aucune efficacité réelle contre le H1N1. Mais Roche ne remboursa rien et les états ne demandèrent pas le remboursement car il n’avaient pas cherché à connaître sa vraie valeur médicale.
La mauvaise médecine (mauvais diagnostics, traitements inappropriés, médicaments toxiques), est devenue aux États-Unis la troisième cause de mortalité juste après les maladies cardiovasculaires et le cancer.
Mais toutes les instances privées, étatiques, universitaires se taisent.
Propagande et Fake News
La propagande anti-chloroquine a été dénoncée par Harvard, Oxford et Stanford, et le Parlement britannique.
Sanofi et Novartis ont proposé de produire et mettre sur le marché rapidement des millions de doses de chloroquine, mais l’Etat a bloqué le processus en attendant le résultat des essais scientifiques. Le Pr. Perrone avertissait que des centaines de personnes mouraient dans des conditions sordides comme dans les Ehpad où les survivants et les soignants étaient enfermés avec eux. Alors que 3000 patients étaient traités à Marseille avec moins de 0,5 % de mortalité et aucun accident cardiovasculaire avec une cohorte sans égale en termes de patients et de données récoltées. La charge virale était éteinte en 6 ou 10 jours maximum au lieu de 20. En revanche, beaucoup d’accidents cardiaques se sont produits en l’absence de Plaquénil.
La propagande travaille par répétition invariable d’informations fausses qui finissent par coloniser les esprits. Le martèlement crée un effet de familiarité avec l’idée propagée qui conduit à l’adopter même sans s’en rendre compte. Trois répétitions seulement peuvent déjà prendre la forme d’une intuition.
Pour déprogrammer quelqu’un, il faut comprendre où résident sa liberté et son absence de liberté et avoir recours aux métaphores pour enrichir ses représentations. Les mots imagés valent mille mots analytiques [parce que la métaphore part du réel, de quelque-chose qui fonctionne déjà contrairement à un raisonnement basé sur une sélection de faits ou d’arguments possiblement faux.
La position du gouvernement français vis-à-vis du traitement du COVID par l’IHU Méditerranée a les traits d’un scandale sanitaire : attaquer en justice.
25 mars, l’Association des médecins urgentistes de France, après la mort de l’un d’eux, lance un appel à l’hydroxychloroquine, aux masques et aux tests de dépistage, et se heurte au refus du gouvernement.
Peter Gotzsche dénonce le fait que des milliards de gens voient leur vie se détériorer et la mortalité par d’autres causes que le covid augmente. Faillites, suicides, dépressions, mise sous médicaments y compris d’enfants. « Les médecins cinglés peuvent être aussi dangereux que les politiques cinglés. »
Surtout, ne pas se déjuger
Renoncer à nos croyances active les mêmes zones cérébrales que la douleur physique, un peu comme si on nous arrachait une partie de nous-mêmes.
Il y a eu une prise de pouvoir par les autorités sanitaires avec un refus de se déjuger malgré toutes leurs « erreurs ».
La manière de vivre le désaccord signe la qualité relationnelle. Et il y a une forme de rage dans les rapports sociaux en France qui a conduit à des polémiques assassines. Aucune société ne peut produire du bien commun avec un climat aussi délétère.
Camus : « Il n’est pas d’autre bonheur dans la vie que l’adéquation profonde de qui nous sommes avec la vie que nous menons. »
Il y a une connexion-communion de la grande tribu des personnes intègres, vraies forces vives de la société, réservoir d’Humanité.
À quoi joue Didier Raoult ?
L’IHU Méditerranée Infection a publié plus qu’aucun autre centre en infectiologie de France au cours de la décennie écoulée.
« La robustesse statistique des premiers essais de l’IHU Méditerranée Infection interdit de donner un placebo (…) Une grand étude randomisée contre placebo est stupide et fait dresser les cheveux de tous ceux qui ont encore une éthique. J’ai honte des autorités sanitaires de notre pays. » Un chercheur dans un courrier adressé à JDM.
Logique de résistance du Pr. Raoult avec intérêt pour l’humain, la philosophie, l’histoire, le psychisme. Marié à une psychiatre dont les parents étaient des psychanalystes célèbres Jacques et Anne Caïn, sa mère ayant écrit un livre sur le psychodrame Balin qui reconfigure le rapport patient-soignant. Père général et médecin nutritionniste en Afrique, inventeur de la superamine qui a nourri des millions d’enfants algériens avec des produits locaux. Mère fiancée à Montherlant, prise pour modèle dans Les jeunes filles. Et son grand-père maternel fut un héros de la Résistance. Conscience lucide et douloureuse de ce à quoi se trouve confronté Raoult. Action qui relève de la résistance politique.
L’IHU a adopté une stratégie de rupture. Refuse d’envoyer une fausse bouée à la moitié des patients pour faire ensuite le décompte des noyés dans les deux groupes. Si 100 personnes envoient des signaux de détresse, Raoult et ses équipent envoient 100 bouées et traitent toutes les personnes infectées… Relève de la médecine de guerre [logique puisque « Nous sommes en guerre »… Et les autres, qui obéissent à l’Etat, ne le font pas !]
Quelques-uns des meilleurs traitements de l’Histoire ont été découverts par voie empirique.
Les autorités ont demandé de ne traiter que les personnes en état critique ! mais Marseille a réagi autrement.
Les Pr Karine Lacombe et Gilbert Deray sont en conflit d’intérêt direct avec Gilead. Doivent légalement l’annoncer. Ne le font pas.
Le Latium, New-York, le Maroc, le Sénégal, la Grèce adoptent le protocole du Pr Raoult.
Gros problème d’écoute chez les médecins et de mépris dans les « autorités sanitaires. » la maltraitance des étudiants en médecine commence par une violence préoccupante dés la première année. [il y a mépris des patients et mépris de la discipline en fin de compte, avec un ressentiment violent contre les vrais médecins et chercheurs, note personnelle].
Comment j’ai réussi à me soigner avec de l’hydroxychloroquine.
Aucune pharmacie en Suisse n’avait plus le droit d’honorer la prescription de son médecin pour peut-être lui sauver la vie : c’est la preuve que c’est l’industrie pharmaceutique, et non la médecine ni la santé, qui commande [machiavélisme des autorités de santé qui disent l’hydroxychloroquine inefficace ou dangereuse]. Au sixième jour, JDM est sorti d’affaire et a retrouvé l’appétit.
Tout le blocage est venu de l’Etat.
Démocratie sanitaire ou dictature sanitaire ?
P. Gotzsche : « Nous n’avons pas seulement contracté un virus chinois. Nous avons aussi attrapé une censure de type chinois. »
JDM : « Ce fut pour moi un des grands traumatismes professionnels de l’épidémie de Covid : découvrir qu’une dictature sanitaire pouvait insidieusement s’instaurer au détriment de la démocratie sanitaire et bien sûr de l’éthique. »
Soit nous finissons tous pucés et hypervaccinés (jusqu’à 40 envisageables) soit nous évoluons vers une authentique démocratie sanitaire en réseau et partage de compétences et de propositions diverses.
Expérience de Frome, dans le Somerset avec Helen Kingston et le programme Health Connections Mendip avec les Health Connector ou médiateurs de santé. La communauté est très importante, on utilise le social prescribing.
Les relations sociales fortes font baisser de 50 % le risque de mourir sur une période d’étude de 7,5 ans, en faisant baisser le taux de cytokines avec l’inflammation. L’hôpital n’est pas le meilleur lieu pour soigner beaucoup de maladies, à cause de l’isolement. Qui plus est, il stérilise les initiatives et étouffe sous la bureaucratie.
Et si l’on s’occupait vraiment de notre santé ?
Les plus grands facteurs des maladies chroniques sont :
- La malbouffe
- La pollution atmosphérique
- La chimie toxique
- Les médicaments et les traitements médicaux inutiles ou mal prescrits : c’est la troisième cause de mortalité en Occident.
- Les pesticides
- Le stress au travail
- La sédentarité
Comment faire ?
- Taxer la malbouffe
- Interdire les hydrocarbures générant des particules fines, perturbateurs endocriniens, les poisons domestiques et les pesticides.
- Utiliser plus de remèdes naturels
- Informer et former les citoyens, les autorités, les employeurs, les médias
- Développer des centres de ressources-santé.
80 % des maladies dont nous souffrons sont anthropogènes. Rien n’a été fait véritablement contre cela depuis plusieurs décennies, et le Covid le révèle.
« le constat est cinglant : les consortiums qui contrôlent aujourd’hui la production agricole, l’alimentation, la chimie, l’énergie, les transports, les médias, la publicité et les médicaments font le lit de nos cancers, nos infarctus, nos AVC, nos Alzheimer, Parkinson, dépressions et autres scléroses en plaques. En fait nous n’avons pas de système de santé, mais une industrie de la maladie. Et pas seulement en Suisse, ou en France. Au niveau mondial, son chiffre d’affaire est de 12 billions (12 000 milliards) de dollars. » (p 192)
La médecine se concentre sur la nosographie et non sur la salutogenèse, quasiment pas enseignée aux médecins en devenir.
L’industrie pharmaceutique vise à rendre captifs des pans entiers de la population à travers manipulation des données et des normes, falsification massive de la recherche, invention de diagnostics pour écouler des nouveaux médicaments, emprise d’intérêts privés sur les systèmes décisionnels publics, défaillance des autorités de surveillance et corruption systémique. « Tout le système est agi et piloté au profit d’une industrie pharmaceutique dont l’influence, les marges et les bénéfices sont hors de toute mesure. Les médecins, les facultés de médecine et les hôpitaux sont de facto sous la coupe de ces groupes qui dictent les usages et les pratiques, tiennent le marché, financent les congrès médicaux de par le monde et contrôlent tant la recherche que la presse spécialisée. » pp. 193-194
La communication de l’industrie du tabac a inspiré celle de l’industrie pharmaceutique.
Il y a 790 000 morts par an des poumons par la pollution ou largement autant par des traitements.
Augmentation des coûts de santé à cause de l’industrie pharmaceutique et culpabilisation de la population.
Il y a un modèle bio-psycho -socio-existentiel qui détermine certaines maladies.
« Ce qui nous rend vraiment heureux, c’est de pouvoir employer et développer nos compétences au service d’une cause noble, en nous appuyant sur nos valeurs fondamentales, dans le cadre de relations de qualité. »
Importance de l’épigénétique (relations, pensées, émotions, histoires de vie, habitudes) qui impacte notre corps en stimulant ou modérant l’expression de notre capital génétique.
Importance du microbiote, autrefois nommé flore intestinale, dans les maladies, la santé, les émotions, l’énergie.
Un certain nombre de personnes d’autres cultures ignorent les maladies cardiovasculaires, mais les développent en arrivant chez nous.
Une résilience collective
Disparition pure et simple du virus ou inscription dans les virus endémiques
Corée du Sud : le secret de la réussite a été l’information. Responsabilité, solidarité individuelle et collective, épidémie jugulée en 20 jours par textes, masques, sans confinement, sauf écoles. Taux de 4 décès par million d’habitants, un des plus bas au monde.
Hong Kong : personnes testées positives mises en quarantaine.
Italie : problème d’indiscipline collective, très forte densité de population (2ème monde après le Japon) vieille, beaucoup de maladies de cœur dues au tabagisme, peu de lits, le personnel de santé a été touché.
Allemagne : jusqu’à 300 000 à 500 000 tests par semaine, avec isolement des personnes touchées, confiance des Allemands envers leur exécutif contrairement à la France. Christian Drosten de l’hôpital de la Charité de Berlin met très vite un test au point. Plus de lits, plus de médecins par habitants. Souplesse liée aux structures fédérales [en France, tout le monde se trompe quand Paris se trompe].
Nous avons subi le virus mais c’est à nous d’inventer la fin de l’histoire.
En guise d’épilogue
Le Pr J.F. Toussaint, dans La Recherche a remis en cause l’utilité du confinement, avec un impact possible de 5 % max sur la maladie et des conséquences délétères beaucoup plus graves : donc le choix a été catastrophique en termes d’espérance de vie. Les travailleurs confinés en Espagne ont été plus touchés par le Covid.
« A l’heure de finaliser ce livre, le sort de la réponse à cette question : “à quoi a servi le confinement à l’aveugle ?” était scellé… »
« Que voulons-nous laisser aux générations futures. A quelle vie et à quel monde aspirons-nous pour bâtir enfin une société qui soit digne ? » p. 222