Les vaccins à ARN messager contre le SRAS-CoV-2 sont largement distribués, mais leur effet sur le microbiome intestinal humain, en particulier à long terme jusqu’à un an, est inconnu. Le microbiote intestinal humain est un déterminant essentiel de la santé humaine. Le déclin du genre Bifidobacteria est associé aux maladies inflammatoires de l’intestin, à l’obésité, aux troubles neurologiques, à l’infection à C. difficile et au COVID-19 sévère.
Description du cas/Méthodes :
Nous avons enregistré longitudinalement l’abondance relative du genre Bifidobacteria chez 4 sujets avant de recevoir le vaccin à ARNm (Pfizer ou Moderna), environ un mois après le vaccin et 6 à 9 mois plus tard. Des vaccins supplémentaires contre le SRAS-CoV-2 ont été administrés au cours de cette période, totalisant 2 à 3 doses. Les échantillons ont été prélevés aux moments mentionnés. Il n’y a eu aucun changement de régime alimentaire ni aucun nouveau médicament pendant toute la période et les sujets ont été invités à suivre le même régime tout au long des 6 mois. Des méthodes basées sur le séquençage métagénomique de nouvelle génération ont été appliquées aux échantillons obtenus à partir de la collecte fécale. L’ADN a été extrait et la bibliothèque préparée, enrichie et séquencée sur un système Illumina Nextseq 550. L’abondance relative des bifidobactéries a diminué après 1 mois chez 3 des 4 sujets à : 38 %, 258 %, 49 % et 90 % des niveaux pré-vaccinaux. Après 6 à 9 mois, l’abondance relative de toutes les bifidobactéries a diminué à : 15 %, 0 %, 35 % et 60 % des niveaux pré-vaccinaux. Cette étude est approuvée par l’IRB ( Figure 1 ).
Discussion:
Il s’agit de la première étude à démontrer une diminution de l’abondance relative des bactéries du genre Bifidobacteria 6 à 9 mois après la vaccination contre le SRAS-CoV-2. Tous les sujets sont tombés en dessous d’une abondance relative de 1 %. Bien qu’il s’agisse d’un petit échantillon, ces résultats peuvent suggérer un mécanisme potentiel de complications post-vaccinales ; cependant, aucun sujet de l’étude n’a présenté de complications significatives. Les vaccins contre la dysbiose intestinale post-ARNm SRAS-CoV-2 pourraient potentiellement être une indication future pour la restauration des bifidobactéries soit par voie orale, soit directement via une greffe fécale.
Sans doute un des premiers supports mainstream à publier un article objectif, quoique politiquement correct, sur la gestion du Covid par nos autorités et le milieu scientifique. Bien sur, bon nombre des points abordés l’ont été durant ces trois dernières année par la sphère dite « complotiste ». https://www.monde-diplomatique.fr/2023/04/journal#!/p_16
Les films à l’arrache c’est une chaine dédiée aux fictions, aux sketchs, toujours tournés en toute liberté sans aucune contrainte ni cahiers des charges. C’est aussi l’occasion de découvrir de nouveaux talents, des comédien-nes formidables que l’on voit trop peu souvent, et qui m’ont permis d’incarner les idées que j’avais dans la tête. Je les en remercie de tout mon coeur! Laurent Firode
C’est également une rare intrusion artistique, ironique, hilarante, incorrecte qui décrit le totalitarisme montant de ces trois dernières années. À voir sans modération !
Mardi 04 avril 2023 au 4, place Henri Chapays à Fontaine à partir de 18 h 30.
A 19 h, nous recevrons Jean François Guilhaudis, Professeur honoraire (relations internationales et droit international) de l’Université Grenoble Alpes, auteur, entre autres, de Relations internationales contemporaines (aux éditions Lexis Nexis).
Il nous parlera de la question des armes biologiques qui font leur retour au premier plan des spécialistes en partie à cause de la crise covid.
L’exposé tentera d’expliquer les raisons de ce retour à « la une », les problèmes qui se posent, leur degré de gravité, les moyens dont on dispose ou manque, pour les traiter, et de faire le point de la situation en ce début 2023.
Mais ces points d’actualité, parfois techniques, ne peuvent être abordés valablement, qu’après que l’on ait situé les armes biologiques, parmi les armes de destruction massive, et exposé la manière dont armement et désarmement ont évolué, en ce qui les concerne, depuis la seconde guerre mondiale.
Après cette conférence, un repas sera proposé par Grégory ainsi que des rafraîchissements et des desserts.
De plus nous mettrons en vente une vingtaine de pains bio.
ARNm, manipulation des chiffres et des statistiques, dérives sémantiques : des livres pour comprendre Alexandra Henrion Caude, PIerre Chaillot, Ariane Bihéran et Vincent Pavant nous éclairent, chacun dans leur domaine de compétence, sur ces trois dernières années de folie sanitaire.
De l’autre côté des mots, une autre vision de la crise. À partir de l’exemple du traitement de l’information dans la crise politique liée à l’épidémie de Covid, cet ouvrage interroge le rapport entre l’idéologie et le savoir : censure des mots, néologismes, mots détournés, sophismes… Notre langue est un patrimoine collectif reçu en héritage. Lorsque cette langue ne fait plus sens commun mais qu’elle est récupérée, transformée et corrompue par des intérêts privés ou des communautés, c’est la porte ouverte à la radicalisation et au terrorisme dans la pensée. Les auteurs – un mathématicien et une psychologue – mettent en lumière le traitement de la langue et de la logique, mis en œuvre par les sphères politique et médiatique depuis mars 2020 en France. Forts de leurs connaissances spécifiques, ils étudient le fonctionnement d’une information et d’une communication détournées. En s’appuyant sur des arguments sourcés et chiffrés, ils mettent en lumière la déconstruction des « vérités » scientifiques avancées par le gouvernement pour justifier ses actions politiques. Ils proposent une analyse détaillée de la « nouvelle langue », de la « nouvelle normalité » et des méthodes de contrainte psychique utilisées sur la population française.
Analyste et statisticien, Pierre Chaillot, dont les analyses publiées sur FranceSoir sont désormais bien connues de nos lecteurs, a consacré les trois dernières années à recueillir la quasi-intégralité des chiffres publiés au cours de la crise du Covid-19 pour en faire sens. Les résultats de ce travail ont été compilés dans son nouvel ouvrage Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels, publié aux éditions l’Artilleur, qu’il vient nous présenter dans le cadre de cet “Entretien essentiel“. Selon Pierre Chaillot, ce début d’année 2023 constitue un moment opportun pour revenir sur les évènements qui ont marqué la crise sanitaire car “tous ceux qui se sont exprimés pendant la période de crise ont été inécoutables tout simplement parce que les gens avaient peur de la situation : cette peur est en train de se terminer, ce qui permet aux gens de réfléchir.“ Regarder le passé pour éviter de reproduire les mêmes erreurs, un devoir indispensable, martèle le statisticien, puisque nos représentants politiques sont d’ores et déjà en train de plancher sur les réponses à adopter en prévision des prochaines pandémies, “notamment en accordant tous les pouvoirs à l’OMS au sein de l’Europe“. Aussi, “il est temps de savoir ce qu’il s’est passé de façon à ne pas se laisser faire dans le cas où le prochain coup ressemblerait à celui qu’on a vécu.“
Je ne suis pas complotiste mais généticienne, l’une des plus renommées d’après certains. Dans ce livre, je vous dirai ce qu’est l’ARN messager, celui qui compose les vaccins anti-covid. Parce que vous avez le droit de savoir. Êtes-vous prêts? Lauréate du prestigieux prix Eisenhower Fellowship aux États-Unis en 2013, Alexandra Henrion Caude a dirigé plusieurs équipes de recherche en génétique à l’hôpital Trousseau, puis à Necker en tant que directrice de recherche de l’Inserm. Elle a découvert l’implication de l’ARN dans différentes maladies génétiques de l’enfant et a révélé l’existence des ARN MitomiR, qui servent aux régulations fondamentales de la cellule.
Après plus de 2 ans de vaccins inutiles, expérimentaux et obligatoires, en violation des Droits de l’Homme, des millions de personnes sont mortes ou ont vu leur vie brisée. Contre la marche en avant de tout un système totalitaire…
Samedi 11 mars à 13 h 30 place Bellecour à Lyon. La manifestation est organisée par les collectifs de soignants suspendus et a pour but également de défendre un système de santé basé sur l’humain.
Bonjour à tous, nous organisons une soirée-conférence le mardi 14 mars 2023 au 4, place Henri Chapays à Fontaine.
A 19 h, une conférence sera donné par Lionel Poirot, alias Narendra Das, spécialiste en médecine Ayurvédique, diplômé de l’Université Ayurvédique du Gujarat, en Inde.
Il a étudié les textes médicaux classiques de l’Ayurveda, étudié sa philosophie,son histoire et les huit spécialités que compte cet art de vivre. Il a pratiqué dans les deux hôpitaux Ayurvédique que compte la ville de Jamnagar pendant plusieurs années. En complément de ses années universitaires, il perfectionna ses connaissances pratiques auprès de tradipraticiens du sud de l’Inde il a pu étudier entre autre la science du Nadi Pariksha (pouls) tel que l’enseigne le Lada Vidya.
Le Lada Vidya est une forme d’Ayurvéda encore pratiqué par de rares médecins traditionnels nomades de lignée Siddhar dans le sud de l’Inde.
Résident en France à nouveau, il anime conférences, stages et ateliers dans différentes écoles d’Ayurveda, de Yoga et des savoirs naturels.
En 2021 il créé l’université Ayurveda Datta qui dispense un post-formation en Ayurveda sous la forme d’un mentorat. Narendra Das consulte aussi dans la santé de l’habitat-habitant et pratique le Vastu shastra associée à la géobiologie occidentale.
Au cours de cette conférence, vous pourrez lui poser quelques questions.
Pour pourvoir aux frais de déplacement et d’organisation, un chapeau circulera à la fin de la conférence.
Ensuite, Gregory vous servira un repas, accompagné de rafraîchissements et de desserts.
Un magazine papier qui traite ses sujets avec des articles sourcés, de grande qualité rédactionnelle, une mise en page irréprochable ainsi q’une iconographie originale et pertinente. Le numéro de mars/avril est en kiosque. https://www.nexus.fr/
Bonjour à tous, nous organisons une soirée conférence le samedi 04 mars au 4, place Henri Chapays à Fontaine.
A partir de 16 h 30, un micro marché se tiendra avec la présence d’un producteur et marchand de fruits et légumes, ainsi qu’un producteur de confitures, huiles essentielles et beaucoup d’autres choses.
Les junistes qui le souhaitent peuvent eux-mêmes tenir un stand et échanger en monnaie libre.
À partir de 18 h, une conférence sera donnée par Tahar, sous le thème: « Introduction au Soufisme », se présentant ainsi :
« La réalité ne saurait se réduire aux apparences.
Dans le Coran (s.57:v.3), Dieu se présente à la fois comme l’extérieur et l’intérieur.
Or la création est à l’image de Dieu : derrière le monde des formes, du dogme et de la Loi, il existe une réalité intérieure qui représente le fondement de la religion et lui donne son véritable sens. C’est cette réalité que le Soufisme aide à percevoir, en partant de la norme extérieure ou périphérique, pour cheminer ensuite sur la voie initiatique, laquelle relie l’apparence à l’essence, l’écorce au noyau. »
A l’issue de la conférence, un repas sera donné par Grégory, avec quelques gâteaux ainsi que des rafraîchissements.
Au cours de cette soirée quelques intermèdes musicaux seront également présents.
Un tract pour alerter sur l’inquiétante direction que prennent nos sociétés manipulées par une propagande médiatique toute puissante. Les sources proposées font intervenir ceux qui en parlent le mieux.
Il reste 3 jours pour stopper « le plan pandémie » de l’OMS.
Derrière les murs du siège de l’Organisation mondiale de la Santé, un plan « Pandémie OMS » pourrait être adopté la semaine prochaine et donner à cette organisation des pouvoirs supranationaux contraignants pour les États.
Que répondre à la propagande Woke ou LGBTQR ? Chassez le patriarcat religieux, il revient par la science.
François-Marie Périer
« Il faut s’attendre à ce que les avancées de la physiologie et de la psychologie donnent aux gouvernements beaucoup plus de contrôle sur le mental des individus qu’ils n’en ont maintenant même dans les pays totalitaires. Fichte écrivit que l’éducation devait viser à détruite le libre arbitre afin que, après que les élèves aient quitté l’école, ils soient incapables, pour tout le reste de leur vie, de penser ou d’agir de façon autre que celle que leurs maîtres d’école l’auront souhaité. Mais en ces temps-là, c’était un idéal inaccessible : ce qu’il considérait comme le meilleur système de son vivant produisit Karl Marx. Dans le futur, de tels échecs ne seront pas à même de se produire lorsqu’il y aura dictature. Des régimes, des injections et des injonctions seront combinés, dés le plus jeune âge, pour produire la sorte de personnes et la sorte de croyances que les autorités considèrent désirables, et toute critique sérieuse des pouvoirs qui existent deviendra psychologiquement impossible. Même si tous sont misérables, tous se croiront heureux, parce que le gouvernement leur dira qu’ils le sont. »
“D’un buisson voisin sortit une infirmière, tenant par la main un petit garçon qui hurlait tout en marchant. Une petite fille lui trottait sur les talons avec un air inquiet. — Qu’est-ce qu’il y a ? demanda le Directeur. L’infirmière haussa les épaules. — Pas grand-chose, répondit-elle. C’est tout simplement ce petit garçon qui ne semble guère disposé à prendre part aux jeux érotiques ordinaires. Je l’avais déjà remarqué précédemment une fois ou deux. Et voilà qu’il recommence aujourd’hui. Il vient de se mettre à hurler… (…) De sorte que, reprit-elle, s’adressant de nouveau au Directeur, je l’emmène chez le Surveillant Adjoint de Psychologie. Simplement pour voir s’il n’y a pas quelque chose d’anormal. — C’est très bien, dit le Directeur. Menez-le chez le Surveillant. – Toi, tu vas rester ici, petite, ajouta-t-il, comme l’infirmière s’éloignait avec le sujet, toujours hurlant, confié à ses soins.”
“Au-dessus d’eux encore, il y avait les salles de récréation où, le temps s’étant mis à la pluie, neuf cents enfants plus âgés s’amusaient à des jeux de construction et de modelage, au zip-furet, et à des jeux érotiques. Bzz, bzz ! La ruche bourdonnait, activement, joyeusement. Le chant des jeunes filles penchées sur leurs tubes à essais montait avec allégresse, les Prédestinateurs sifflaient tout en travaillant, et dans la Salle de Décantation, quelles bonnes blagues on se disait au-dessus des flacons vides ! Mais le visage du Directeur, au moment où il pénétra dans la Salle de Fécondation avec Henry Foster, était grave, figé dans sa sévérité comme s’il était taillé dans le bois.”
“Quelles intimités suffocantes, quelles relations dangereuses, insensées, obscènes, entre les membres du groupe familial ! Pareille à une folle furieuse, la mère couvait ses enfants (ses enfants)… elle les couvait comme une chatte, ses petits… mais comme une chatte qui parle.” Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes, 1932
« On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux. (…) la seule peur — qu’il faudra entretenir — sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels. » Günther Anders, L’Obsolescence de l’homme (Editions Ivréa), 1956
Le Wokisme — Woke, abréviation de Awoke, Réveillé — se présente comme un réveil des jeunes consciences occidentales soudain douloureusement frappées d’un sentiment de culpabilité face à la faute historique de domination de leur culture blanche patriarcale sur la nature, le monde et en particulier sur les peuples d’Afrique noire, la femme, les Juifs et plus récemment l’Islam. On associe fréquemment les mots « mâle blanc dominant violeur ». Un viol qui historiquement concernerait la femme, la nature, les autres peuples. Or, nous verrons que cette triple violence est bien réelle, mais dans quasiment toutes les cultures, et que le Woke perpétue plus que jamais cette domination violente et mortifère d’un certain modèle masculin de « civilisation », « religieuse » ou « scientifique », et pas seulement occidental, sur la Vie elle-même dans ce qu’elle a de plus sacré.
1) Un peu d’Histoire
Historiquement, le Woke est né des bavures — assassinats — de la police américaine sur de jeunes noirs, certains sans casier judiciaire. Des faits non reconnus par la justice, après des siècles d’esclavage et des décennies d’apartheid, ayant provoqué émeutes et mouvements sociaux. Mais c’est au printemps 2020 que le Woke a explosé à la face du monde suite à la lente et brutale mort par étouffement de l’ancien délinquant Georges Floyd. Le policier sera dans ce cas condamné à 21 ans de prison pour homicide volontaire et ses collègues inculpés pour complicité de meurtre. C’était juste après les confinements et ses semaines d’oppression non justifiée. La phrase du George Floyd « I can’t breath! – Je ne peux pas respirer » reprise partout en Occident était on ne peut plus parfaite pour témoigner de ce qui venait d’arriver et de ce qui allait continuer en termes de masques… La grande violence subie par la population, blanche ou noire, jaune ou rouge, voulue par les pouvoirs en place, trouva là encore un exutoire manipulé en se retournant comme toujours contre elle-même, physiquement ou contre des symboles passés tels que les statues ou les biographies tronquées de personnages historiques certes loin d’être irréprochables et méritant d’être clarifiées. La question fondamentale est : sur quelles nouvelles valeurs rebâtir lorsque tout ou presque est remis en question ? Les populations blanches ou noires, toutes deux victimes des gouvernements, se sont opposées au lieu de s’unir contre l’absurdité du système économique, sanitaire et politique. Il y a l’immunité blanche en haut-lieu, des marchands d’armes, de big pharma, de l’industrie agro-alimentaire… et l’impunité des bas-fonds, avec ses autres commerces criminels. Les deux prennent la société en étau et en otage sans se déranger réciproquement, chacun profitant des affaires de l’autre, le chaos général étant bon pour leur ordre particulier. Les intellectuels se plaisent à dire que le Fascisme commence par le mécontentement des classes moyennes, suggérant par là la bêtise et la méchanceté foncières des petits-bourgeois des classes laborieuses respectant en réalité naïvement ou obtusément le contrat social. Mais ils oublient de dire, comme le rappelait l’écrivain et cinéaste homosexuel Pasolini, assassiné parce qu’il dénonçait un certain ordre pétrolier du monde, que c’est le Fascisme qui est déjà en œuvre dans les traités de libre échange, la criminalité des hautes sphères et leur capitalisme, dans le non-droit de la société d’en bas et la destruction des cultures, et que c’est ce fascisme là, en niant l’état de droit et le contrat social, qui fait qu’on en appelle à plus de droit et plus d’état, une attitude que les partisans du chaos nommeront fasciste tout simplement parce que revenir au contrat social dérange leurs affaires. Concernant le mouvement de défense des minorités sexuelles LGBT, il y a certes une oppression ou une discrimination touchant aux personnes homosexuelles, hommes ou femmes, dans un certain nombre de pays, puni-e-s de morts ou de châtiments corporels, alors que dans notre propre pays un certain de nombre de personnalités marquantes et valorisées de notre Histoire étaient elles-mêmes homosexuelles.
Colonies et conquêtes réciproques des peuples
Tout d’abord, et pas du tout par hypocrisie, il faut affirmer que oui, le racisme des Blancs occidentaux a conquis le Monde à partir des Grandes découvertes de la Renaissance, et a organisé le génocide de millions d’Amérindiens, des Guanches des Canaries et d’autres peuples, ainsi que la déportation et l’esclavage d’autres millions de Noirs africains vers les Amériques, sans compter la conquête des Indes et d’autres terres d’Asie et d’Océanie. Ajoutons les deux guerres mondiales, fruits de nos impérialismes, nos libéralismes nos racismes ou nos fascismes, les génocides herrero, juif et gitan (je reste pour l’instant dans ceux commis par les « Blancs ») la Guerre froide obligeant les peuples à se polariser pour l’URSS ou les USA, l’exportation de nos idéologies mortifères au XXe siècle Capitalisme, Fascisme, Communisme, Scientisme) ou de notre modèle économique agricole et énergétique suicidaire… Avouons qu’il est difficile de présenter l’Occident uniquement comme le gardien de la Civilisation, héritier des Grecs, de la Renaissance et des Lumières. Le problème est qu’une simple chronologie de l’Histoire mondiale nous démontre en quelques instants que les Perses, les Grecs, les Arabes, les Mongols, les Turcs et aujourd’hui les Chinois ou les Israéliens et bien d’autres, à petite ou grande échelle n’ont rien à envier en termes d’oppression territoriale, de génocides (arménien, tibétain, ouïghour entre autres) de guerres de conquête justifiées ou pas de mille façons, par le sentiment d’élection divine ou naturelle ou la simple loi du plus fort. Supposément à l’opposé de l’Ultralibéralisme, jamais le vote Vert n’a été aussi important, la préoccupation pour la planète aussi forte et le vivant aussi valorisé, la compassion pour les animaux aussi mise en avant dans le véganisme… et pourtant, aussi bien du côté de l’État que de la Gauche et des Verts, jamais on ne s’est autant attaqué de façon idéologique au corps de l’enfant et de l’adolescent, jamais on n’a autant cautionné les technologies vaccinales des lobbies capitalistes touchant à l’ARN, violant les droits individuels et le principe de précaution en oubliant les méthodes naturelles efficaces et sans effets secondaires catastrophiques et définitifs, contrairement aux vaccins.
Alors, voici des points bien réels parfois refoulés par tous les bords politiques, repris par les Woke, mais mis en avant bien avant eux par des personnalités à l’opposé des dérives et délires des Woke :
Oui, le racisme est très fort dans la police américaine qui a déclenché les émeutes, tout comme en Russie, en Chine, en Turquie, en Arabie saoudite, en Israël et ailleurs) Ces différents racismes montrent bien ce que le monde serait si on laissait libre-cours au sentiment de supériorité de ces peuples se prétendant élus. Oui, la consommation industrielle de viande est source d’énormes souffrances animales injustifiables, détruit la planète, nuit à notre santé physique, psychique et à notre rapport au monde, et abîme également physiquement et psychologiquement ceux qui travaillent dans cette filière. Oui, l’oppression de la femme (ou du féminin) malgré les postes de pouvoir qu’elle a pu occasionnellement occuper est une réalité historique insupportable encore en cours dans pas mal d’endroits. Oui, les pays musulmans du Proche-Orient sont un à un détruits sous les bombes pour des intérêts communautaires ou économiques depuis la deuxième guerre mondiale, dans l’accord parfait entre « Chrétiens » néo-conservateurs, « Musulmans » salafistes et « Juifs » sionistes. Mais les Chrétiens d’Orient souffrent aussi injustement et l’antisémitisme continue.
Soyons donc plus cultivés, intelligents et constructifs que les journalistes et les « intellectuels », de l’école élémentaire à l’Université, et du quotidien local au Monde, écrivant simplement ce que leurs maîtres ou financeurs leur dictent ou se préoccupant de ce que les précédents diront d’eux.
2) Covid, Spike et Woke : la simultanéité d’une offensive contre le corps et l’esprit de l’enfant et contre la Vie en général
Mais la question est : pourquoi la défense des minorités sexuelles s’est-elle transformée en une offensive sur tous les fronts de l’Éducation Nationale et des médias depuis plusieurs années, visant à demander de façon répétée à chaque enfant dès son plus jeune âge s’il pense être un garçon ou une fille, ou autre chose ? Quitte à l’amener dans un périlleux et douloureux processus de changement de sexe.
Les enseignants peuvent-ils répondre à cette question ?
De même, peuvent-ils expliquer pourquoi masquer, distancier, tester, isoler et vacciner des millions d’enfants non menacés par un virus, et ne menaçant personne ? Pourquoi introduire en eux un vaccin expérimental produit et promu par les firmes les plus corrompues en provoquant des milliers d’effets secondaires gravissimes voire mortels ? Dans les deux cas, il s’agit de la promotion simultanée, par l’école et les enseignants, de l’intrusion dans le corps des enfants avec des conséquences irréversibles sur leur vie et leur capacité à transmettre la vie. Et cela touche aussi les OGM, les semences non reproductibles, la disparition des abeilles, ainsi que le nucléaire. On peut y ajouter la 5G, inutile, dangereuse, et pourtant imposée partout dans la plus grande hâte par des décrets dès le début du Covid…. Faut-il vraiment y voir un hasard alors qu’on est dans un modèle même de civilisation prétendument émancipateur, mais de surveillance totale, contradictoire et manipulateur ? Qui est assez aveugle pour le soutenir ?
Historiquement, l’école a toujours été l’instrument du pouvoir étatique pour se perpétuer, même si en parallèle elle a aussi été l’expression d’une opposition très conformiste et contrôlée et qui a montré sa vraie teneur avec le Covid. Le tour de force avec le Woke est que l’Ultralibéralisme (qui vise à la synthèse entre Fascisme, Communisme, Capitalisme, Dictature scientifique et loi de la Jungle avec un état qui serve uniquement à assurer l’ordre nécessaire à ses affaires) a réussi non seulement à faire préférer l’école à ses parents, à passer par elle pour les attaquer en justice, à en faire des enfants-espions de la police de la pensée comme dans 1984, mais aussi à faire passer l’école pour le lieu branché et rebelle, bienveillant et compassionnel, des droits fondamentaux, alors qu’elle est devenue l’outil de l’écrasement des droits, de l’originalité de la pensée, des aspirations fondamentales de l’Humanité, remplacés par une bouillie où se mélangent la prévenance et la peur, la « communication non violente » et la perversion, au service de quelques immenses intérêts géopolitiques, économiques, civilisationnels, se résumant à ce but : nuire aux corps et aux âmes, et pourquoi pas les détruire ou les remplacer.
Avec la théorie du genre, on est exactement dans le même processus qu’avec les vaccinations imposées aux enfants pour quelque chose dont ils n’ont pas besoin : c’est une intrusion artificielle dans les corps et les esprits, « disruptive », pour reprendre un terme à la mode, c’est à dire imprévue et brutale, sous ses dehors bienveillants, aussi inutile que dangereuse, sans aucun recul, voulue par quelques personnes prétendant expérimenter leurs produits et leurs théories sur les enfants et les adolescents. Or, le casier judiciaire des fabricants et des promoteurs des vaccins suffit à démontrer que le bien de l’humanité et des sociétés est tout sauf leur préoccupation.
On doit donc rappeler aux chefs d’établissement, aux enseignants et aux éducateurs qui ont toujours soutenu les mesures gouvernementales à travers les générations :
– ils ont détruit les langues régionales comme le leur avait demandé Jules Ferry à la fin du XIXe siècle
– ils ont enseigné « Nos ancêtres les Gaulois » aux quatre coins de l’Empire, selon les mêmes directives du ministre qui expliquait bien que les droits de l’Homme n’étaient pas pour les Noirs.
– ils ont enseigné « Je serai soldat » avant la première Guerre mondiale…
Or, quel est le devoir fondamental de l’Éducation Nationale ?
– le personnel de l’éducation et les responsables en particulier ne sont pas payés par le gouvernement contrairement à ce qu’ils répètent en boucle « pour obéir aux consignes » et « pour appliquer la politique du gouvernement élu » en sous-entendant par là qu’ils accomplissent la logique d’un « jeu démocratique » auquel la population perd toujours tandis qu’eux y gagnent, sur le dos des enfants qui souffrent, leur salaire et leur confort social. Non, les chefs d’établissement, les enseignants et les éducateurs sont payés par la population pour véritablement informer et protéger les enfants, les amener à construire une société juste, libre et épanouissante, en accord avec la Planète, les valeurs des Lumières, les droits de l’Homme, au service de la réalisation de ce que l’Humanité a de meilleur, en dehors des pressions politiques et des lobbies. Ils ne sont pas là pour donner l’exemple de la lâcheté, de l’hypocrisie et du service rendu contre salaire à un modèle destructeur et oppressif.
– tout lobby est condamnable lorsqu’il favorise les intérêts d’une minorité au détriment d’une majorité. Il faut certes protéger une minorité opprimée dans son droit mais non chercher à influencer une majorité en la soupçonnant a priori.
– le fait qu’une minorité ait été ou soit encore opprimée ne lui donne pas le droit de culpabiliser une population entière non responsable en prétendant la rééduquer : il ne faut pas confondre justice et vengeance.
– le mouvement LGBT se dit contre l’oppression historique du mâle blanc occidental violeur et dominateur, mais l’idéologie du doute sur son identité sexuelle ou de genre, enseignée par les écoles, est en réalité une continuation et une accentuation de la guerre faite par la science à la Nature, au corps, au vivant, au biologique depuis la révolution industrielle, voire avant (voir plus loin)
– la théorie du genre et les questionnements sexuels enseignés à l’école sont aussi un prolongement des expérimentations idéologiques, des modes et théories intellectuelles, des créations sociales dont les corps et les esprits des enfants sont les terrains de jeux.
– la promotion de la pédophilie par d’anciens ministres ou hommes politiques à l’époque de la « libération sexuelle » et du « Il est interdit d’interdire », devrait rendre prudents les pédagogues zélés d’avant garde et les parents…
– il serait judicieux de se demander pourquoi Sade (XVIIIe siècle), incarnation de l’aristocrate prédateur et criminel de la société d’Ancien régime, a été transformé par toute la culture libertaire des années 60 en un modèle d’émancipation à suivre, et pourquoi le « philosophe » médiatique Raphaël Enthoven en a fait son maître à penser.
– on fait passer pour réactionnaire le refus de telles intrusions, alors qu’elles sont précisément un retour des théories sexuelles des années 60 et 70 qui ont mené à tant de dérives en particulier dans le milieu de l’éducation
– faut-il rappeler qu’il y a encore quelques années on considérait à l’hôpital qu’il n’y avait pas de souffrance chez le nouveau-né, et pas de conscience chez l’enfant de moins de 5 ans ? Comment se fait-il qu’aujourd’hui, par un étrange renversement, on l’amène à s’infliger autant de souffrances et à prendre autant de décisions précipitées ?
– imposer à un enfant ou un adolescent des questions qu’il ne s’est pas posé spontanément, c’est aller à l’encontre de son corps, de sa maturation, de lui-même, de son évolution naturelle.
– pourquoi ne pas demander à un enfant s’il a essayé de se scarifier ou encore autre chose pour savoir s’il en retire du plaisir, auquel cas il faudrait alors l’orienter vers le masochisme ou d’autres formes de sexualité ?
– pourquoi ne pas faire des programmes pour proposer dès l’enfance des substances telles que CBD, la Ritaline etc. afin qu’ils aient le choix, en leur disant qu’ils ont le droit de remplacer le calme naturel par des substances ?
– y-a-t-il vraiment une différence entre la violence patriarcale et archaïque de l’excision d’une petite fille africaine et l’opération proposée à un petit garçon occidental non informé des conséquences et manipulé par quelques idéologues bien-pensants ?
– l’enfant manque de discernement dans beaucoup de ses choix : l’accoutumance spontanée au sucre peut l’amener à toutes sortes de dépendances. Faut-il donc l’orienter vers tout ce qui peut le séduire très jeune ?
– est-on vraiment dans le libre choix lorsque le changement de genre est fortement valorisé par toute la société et la culture des jeunes ? – c’est toujours l’adulte qui imagine et oriente les questions à partir de modes intellectuelles jamais interrogées par les éducateurs qui les appliquent. – l’obsession précoce de l’orientation sexuelle peut amener à un narcissisme et à une fixation régressive sur le corps qui va à l’encontre de l’ouverture sur le monde, sur l’autre, sur la Vie en général.
– derrière les apparences l’hypersexualisation amène aussi à se détourner de luttes communes contre un système qui justement n’a jamais été autant dominé par le capitalisme, la consommation et le divertissement blanc occidental : c’est une forme de plus de matérialisme et de consommation, tout à fait dans l’esprit du « Il est interdit d’interdire « de Mai 68 qui, après avoir été une révolte contre la société de consommation, a conduit à son exacerbation décomplexée et à un comportement prédateur vis-à-vis du Vivant en général, menant à son risque d’extinction.
– la simultanéité de l’offensive vaccinale et du Woke n’a en réalité rien d’un hasard quand on voit que la source est commune et que les résultats convergent pour créer la confusion par de fausses questions de civilisation et la division dans les populations.
– les parents sont aussi stupéfaits et démunis pour la plupart face à cette offensive que l’ont été les parents de toutes les dictatures en voyant l’école se faire l’antenne de la doxa gouvernementale.
– l’école n’est-elle pas devenue le relais étonnamment naïf et empressé, et le reflet de l’hypersexualisation des écrans et jeux vidéo à des fins commerciales, permis par les gouvernements venant du privé et collaborant avec les lobbies du privé, avec des conséquences graves en termes de comportements sexuels ?
– par quelle autorité légitime sont imposés les questionnements de la théorie du genre pour qu’elles occupent soudain une telle place et quelle en est l’origine ?
– l’imposition de ces programmes par un petit nombre de décideurs est tout sauf représentative de la volonté démocratique, tout comme de nombreux autres aspects négatifs du libéralisme imposé aux populations : santé, agriculture, médias, réseaux sociaux…
– est-ce la « civilisation » qu’on impose aux enfants ou les délires intellectuels et expérimentaux de quelques-uns ?
– n’est-ce pas un peu inquiétant de constater que c’est le même gouvernement qui enferme ses citoyens, impose la vaccination, sacrifie l’hôpital, effondre son économie et sa santé, vend la France aux multinationales et aux GAFAM, censure la liberté d’expression, réprime avec brutalité les demandes de justice sociale et fait la promotion de la théorie du genre qui s’en prend aux corps et aux consciences des enfants ? Peut-on vraiment croire chez les enseignants et leurs cadres que ce gouvernement veut le bien des enfants malgré toutes les preuves qu’il donne de sa corruption et de son cynisme ?
– concernant la question de l’Islamophobie, les programmes émanent précisément d’autorités cherchant à se déculpabiliser de fautes géopolitiques ou coloniales qu’ils en ont commises en les faisant porter à des personnes non responsables.
– comme pour le Covid, le Wokisme est une entreprise d’hyperculpabilisation des populations permettant de les manipuler, exactement comme dans la Genèse de l’Ancien Testament : c’est une nouvelle forme de religion obscurantiste basée sur le conflit avec la Nature et la culpabilité de nous considérer tel Caïn, coupable de la mort de son frère Abel.. Une réinitialisation des consciences morales par la Science dont les enseignants sont les prêtres zélés.
– les procédés de contrainte ou de violence faite au corps rappellent étrangement les sévices que s’infligeaient certains religieux par sentiment de culpabilité pour expier un pêché originel dont il n’était pas responsables mais que leur faisaient porter les autorités.
3) Maltraiter le corps et la nature et culpabiliser : une continuité entre religions et science
Les bloqueurs de puberté, prises d’hormones croisées et opérations contrarient et font violence à tout un équilibre et une organisation qui ont produit et permis la vie dont nous bénéficions, et voudrait spontanément se perpétuer à travers nous. Rien de comparable au fait de nous mettre à marcher sur deux pieds ou apprendre à parler, créer pour épanouir toutes nos potentialités : il s’agit de contraindre tout notre métabolisme et nos cellules par une pression de tous les instants et une intervention extérieure en les détournant de ce qu’elles désirent naturellement.
Or, historiquement, la violence faite aux corps, appelée « soins de santé » par la prise d’hormones, la testostérone ou les œstrogènes, les bandages qui écrasent la poitrine ou le sexe, les opérations, etc. n’est que le prolongement de l’oppression de la Nature par l’agriculture intensive, les engrais chimiques, les greffes, les OGM en cherchant à lui imposer d’être à l’image de nos désirs ou de notre avidité, en un modèle qui a démontré qu’il détruisait la vie et l’Humanité.
Les procédés de contrainte, d’ablation ou de violences faites au corps rappellent étrangement les sévices que s’infligeaient certains religieux par sentiment de culpabilité pour expier un pêché originel dont il n’était pas responsables mais que leur faisaient porter les autorités. Les enseignants savent-ils et informent-ils les enfants et les jeunes que… ?
– si le taux de suicide est plus important chez les transgenres, ce n’est pas uniquement à cause de certaines discriminations, mais aussi à cause du regret et de la souffrance du corps et parce que beaucoup de transgenres se rendent compte que leur opération n’a rien changé à leur mal de vivre.
– de nombreux enfants et jeunes ont amèrement et toute leur vie regretté leur décision irrévocable après leur opération.
– l’Académie de Médecine déconseille les hormones en ces termes :
« une grande prudence médicale doit être de mise chez l’enfant et l’adolescent, compte tenu de la vulnérabilité, en particulier psychologique, de cette population et des nombreux effets indésirables, voire des complications graves, que peuvent provoquer certaines des thérapeutiques disponibles. À cet égard, il est important de rappeler la décision récente (mai 2021) de l’hôpital universitaire Karolinska de Stockholm d’interdire désormais l’usage des bloqueurs d’hormones. Si, en France, l’usage de bloqueurs d’hormones ou d’hormones du sexe opposé est possible avec autorisation parentale sans condition d’âge, la plus grande réserve s’impose dans cet usage, compte tenu des effets secondaires tels que l’impact sur la croissance, la fragilisation osseuse, le risque de stérilité, les conséquences émotionnelles et intellectuelles et, pour les filles, des symptômes rappelant la ménopause. Quant aux traitements chirurgicaux, notamment la mastectomie autorisée en France dès l’âge de 14 ans, et ceux portant sur l’appareil génital externe (vulve, pénis) il faut souligner leur caractère irréversible. » : https://www.academie-medecine.fr/la-medecine-face-a-la-transidentite-de-genre-chez-les-enfants-et-les-adolescents/
– les effets secondaires des hormones masculines sur les femmes sont les suivants : polyglobulie, prise de poids, acné, calvitie, apnée du sommeil, maladies cardiovasculaires, hypertension, diabète de type 2, troubles psychiatriques. – les effets secondaires des hormones féminines sur les hommes sont : thromboembolie veineuse, calculs biliaires, augmentation des enzymes hépatiques, prise de poids, hypertriglycéridémie.
– on ose parler de « soins », par ailleurs remboursés et très chers alors que de nombreuses personnes ne sont pas soignées, mais surtout alors que les effets secondaires seront pires que le mal-être. Encore un détournement de langage comme dans le cas des injections.
– le sentiment de culpabilité dans le cas du Wokisme est lié à la Nature, « Environnement », aux colonies, aux guerres économiques et aux injustices sociales. Mais cette culpabilité qu’on fait porter par des non-responsables contre des non-responsables aboutit exactement au contraire de ce qu’elle voudrait, en suscitant une autre violence contre soi et les autres, sans s’en prendre aux véritables responsables, et ce n’est certainement pas un hasard, quand on voit d’où émane cette idéologie.
– avec l’éco-anxiété et le Wokisme, on aboutit aussi à une forte culpabilité personnelle et une paralysie qui inhibe l’union avec d’autres formes de résistance et on diabolise les luttes non conformes au lieu de favoriser le dialogue et l’union des forces.
– l’éco-anxiété et le Wokisme amènent à abandonner la planète précisément à ceux qui la détruisent et créent les inégalités en haut-lieu, tout en espérant qu’elle survive principalement pour eux avec une société diminuée tant psychologiquement que physiquement par le marasme et les privations.
– L’état du monde, l’extinction des espèces, la disparition des abeilles, l’urgence écologique sont là pour témoigner de la folie qu’il y a à imposer des théories humaines à courte vue sur le vivant, sur un ordre naturel se déployant depuis des millions d’années… Allons-nous aveuglément appliquer aux enfants les détournements et expérimentations imposées à la Terre, aux végétaux et aux animaux ?
4) Une école semblable au Meilleur des mondes d’Aldous Huxley
Les enseignants ne devraient-ils pas s’interroger sur le fait que l’hypersexualisation des enfants a été annoncée par Aldous Huxley dans Le meilleur des mondes, décrivant à Londres l’organisation d’une société de castes où l’ignorance, la bêtise, les stupéfiants, la consommation et le divertissement règnent en maîtres afin de contrôler les populations soi-disant pour leur éviter des guerres ? Si Le meilleur des mondes est au programme des classes de lycée depuis des décennies, c’est parce qu’Aldous Huxley, il l’a clairement dit lui-même, nous a tout simplement mis en garde à travers lui contre notre avenir programmé :
– remise de leur liberté par les citoyens à l’establishment après une grande guerre
– état mondial scientifique conditionnant les individus
– hyper-sexualisation des enfants
– mépris et dévalorisation de la famille et de la conception biologique au profit de la culture et de la manipulation in vitro des embryons ;
– psychotropes dès l’enfance et prise constante de soma, euphorisant de type Prozac
– vie des « sauvages » dans des réserves en dehors de l’état mondial
– apprentissage par suggestion hypnopédique (en dormant)
– dépréciation des sentiments au profit du plaisir
– non-conformisme et sentiments non dictés par le plaisir considérés comme une menace pour la société
5) La « Destruktion », des valeurs occidentales du philosophe Heidegger appliquée dans la « déconstruction » à la mode.
Les proviseurs,, principaux, directeurs, enseignants, ne devraient-ils pas questionner le fait que la fameuse « déconstruction » des repères sociétaux et intellectuels, utilisée dans la théorie du genre, trouve sa source dans la « Destruktion » généralisée des certitudes occidentales, voulue par le philosophe allemand Heidegger, membre convaincu du parti nazi, non SS, mais fonctionnaire de l’Université ? Le concept est en fait hérité d’Heidegger lui-même.
On peut parler de « constructions » sociales pour les inégalités hommes-femmes et les rôles rigides qui leur sont assignés. En revanche, sauf si on est solipsiste ou schizophrène, le Réel se définit précisément par ce qui n’a pas besoin qu’on y croie pour exister : c’est ce qui produit et soutient la vie, en dehors des idéologies changeantes. Le sexe biologique n’a donc rien à voir avec une construction sociale, et c’est la construction sociale idéologique de l’Occidental qui s’attaque au Réel quand elle s’attaque à la biologie. Ce n’est pas une révolte de notre vraie nature contre la société qui l’opprime, c’est au contraire une ruse de la société, et des plus dominants (scientifiques, théoriciens les plus à la pointe de l’esprit occidental, pour continuer à opprimer la Nature aux sources mêmes du Vivant en nous. Et c’est à l’opposé de ce que font les sociétés traditionnelles les plus respectueuses de la Nature, de la femme et du corps, dont parlait en particulier Marija Gimbutas, la chercheuse lituanienne qui a beaucoup travaillé sur le culte de la Grande Déesse qui a précédé les religions du Livre patriarcales.
6) Les enseignants instaurent-ils des discussions autour de cette édifiante histoire anglaise ? La fermeture de la Tavistock and Portman clinic de Londres
L’affaire nationale Keira Bell au Royaume Uni et la Tavistock and Portman Clinic Pourquoi la Tavistock and Portman, la clinique de changement de genre la plus célèbre du monde a-t-elle été contrainte de fermer ses portes ?
Le Tavistock and Portman NHS Trust, la clinique de changement de genre la plus célèbre d’Angleterre, contrainte de fermer ses portes pour mise en danger de la sécurité de ses patients. le 1er décembre 2020, la Haute Cour de Londres avait donné raison à Keira Bell qui avait attaqué la célèbre Tavistock and Portman NHS Trust pour avoir influencé et précipité son changement et a jugé que l’on ne pouvait pas considérer qu’un enfant puisse faire preuve d’un consentement éclairé pour demander un changement de genre. » ? Les avocats de la clinique ont ensuite réussi à lui donner tort mais Keira Bell a déclaré : « Je suis surprise et déçue que le tribunal ne se soit pas inquiété du fait que des enfants âgés d’à peine 10 ans aient été mis sur la voie de la stérilisation ». Toutefois, elle affirme être « ravie » d’avoir contribué à faire « la lumière sur les pratiques obscures de l’un des plus grands scandales médicaux de l’ère moderne » Mais un nouveau rebondissement eut lieu pendant l’été 2022.
Cette même clinique spécialisée dans le transgenre, la Tavistock and Portman NHS Trust, va fermer ses portes en 2023 suite à de nombreux procès de la part de filles transgenres et de nombreuses dénonciations de son personnel ayant révélé le surdiagnostic de dysphorie et poussé aux opérations précoces :
« Le GIDS a fait l’objet d’un examen approfondi ces dernières années, un certain nombre d’anciens membres du personnel ayant fait part publiquement de leurs préoccupations concernant le “surdiagnostic” de la dysphorie de genre, les conséquences des interventions médicales précoces et l’augmentation significative des renvois de filles s’interrogeant sur leur identité de genre — une tendance qui se reflète en Europe et dans le monde. » Source : https://www.theguardian.com/society/2022/jul/28/tavistock-gender-identity-clinic-is-closing-what-happens-next En raison de craintes pour la sécurité des patients, le service national de la santé du Royaume-Uni (NHS) a annoncé la fermeture de la plus grande clinique pédiatrique du monde spécialisée dans le traitement de la dysphorie de genre, le Gender Identity Development Service in London (GIDS), connu sous le nom de Tavistock. Cette annonce fait suite aux recommandations émises par Dr Hilary Cass, mandatée par le gouvernement britannique pour procéder à un examen indépendant de ce service spécialisé. Le Dr Cass a estimé que le modèle de traitement fondé sur l’affirmation du genre n’était « pas une option sûre ou viable à long terme » car ses interventions reposent sur des preuves insuffisantes et son modèle de soins expose les jeunes à un « risque considérable » de mauvaise santé mentale. Récemment, la Suède et, avant elle, la Finlande en tant que pionnière, se sont distancées du modèle de traitement affirmatif du genre pour les enfants et adolescents dysphoriques. Au-delà du cas spécifique de Tavistock, ce sont les normes de soins de la World Professional Association for Transgender Health (WPATH) auxquelles se réfèrent l’Office fédéral de la santé et les médecins qui pratiquent dans les consultations spécialisées des services de pédiatrie d’hôpitaux cantonaux, qui sont ainsi mises en question. Le rapport intermédiaire de Dr Cass souligne notamment un manque profond de preuves et de consensus médical sur la meilleure approche pour traiter la dysphorie de genre chez les enfants. Il déplore qu’en dépit des controverses et des incertitudes, les services spécialisés prennent la déclaration des jeunes de se ressentir du sexe opposé comme point de départ du traitement, en négligeant les conditions de santé mentale concomitantes. Source : https://www.amqg.ch/fermeture-tavistock
7) Les anciennes sociétés matriarcales que semblent regretter les Woke sont à l’inverse des pratiques transgenres
– dans le système matriarcal, on est conscient de faire partie d’une intelligence qui nous dépasse et nous grandit, on est précisément dans la valorisation et la sacralisation de la Nature, la compréhension et l’adaptation aux lois naturelles, et pas le contraire.
– il y a dans le transgenre une forme de scarification et d’automutilation, de castration qui rejoint la violence faite à la Terre et la violence des sociétés patriarcales. Le transgenre promu par les programmes n’a rien d’initiatique et n’a rien à voir avec les Heyokas Indiens ou « clowns sacrés » d’Amérique du Nord.
8) Collaboration avec les inégalités communautaires, oppression de la femme et inversion accusatoire
Le Fascisme, c’est précisément l’imposition d’une volonté de puissance qui exalte le masculin : physique, intellectuelle, technologique aux plus démunis : les enfants et les anciens, la femme et la Nature. Il y a une grande hypocrisie de la part des partis de Gauche qui méprisent et dénoncent profondément les religions mais se voilent la face en acceptant que les femmes se voilent par clientélisme politique pour ce qui touche au communautarisme en défendant le patriarcat, le relativisme et le droit du plus fort plutôt que l’universalité des droits humains affichés.
Notons que l’enseignement du Christ lui-même dans les Évangiles est émancipateur pour la femme et à l’opposé du patriarcat, et à distinguer des constructions sociales des différentes branches telles que Catholicisme, Orthodoxie, Protestantisme, qui ont hérité des sociétés où elles sont nées, et où la religion a emprunté des cadres préexistants, comme l’Islam.
Le véritable réactionnaire et obscurantiste est le Woke lorsqu’il soutient une pratique extrêmement patriarcale et non inscrite dans le Coran, le Voile, en prétendant défendre un droit personnel et culturel, le Wokisme protège en réalité des courûmes patriarcales et attaque des droits humains. La charia qui permet la lapidation ou le féminicide pour adultère, tout comme la Loi ancienne juive ou les Lois de Manou des castes indiennes, est l’expression par excellence d’une « religion » du père diabolisant le corps et la femme et ne lui attribuant de valeur que dans le travail domestique ou agricole, ou cet autre « travail » qu’est la procréation, puis l’élevage des enfants, au bénéfice d’une société masculine, ce qui est la définition même de l’aliénation. Historiquement, il est difficile de trouver modèle plus « mâle dominant violeur » que l’Islam politique qui en quelques décennies avait conquis militairement le monde de l’Espagne aux frontières de l’Inde et était déjà en de constantes guerres tribales intestines. On peut se demander qui a intérêt à tenir la société par de si grosses ficelles, et répondre à cette question assez facilement en se souvenant que les Frères Musulmans sont les grands amis des Capitalistes, car ils sont conservateurs pour les mœurs et libéraux en économie : ils tiennent ainsi sagement la société en laisse pendant que les Capitalistes font leurs affaires. On est donc bien loin des idéaux de la Gauche.
C’est précisément parce qu’ils sont universels que les droits doivent être défendus partout et que personne n’a le droit, dans un état de droit, de faire porter sur des descendants ou n’importe qui des problèmes historiques.
9) De la culpabilisation à l’agression contre soi ou l’autre : psychologiquement, le Woke peut être manipulé par plusieurs choses :
– son propre ressentiment et son désir de vengeance contre une société dont il se sent exclu
– la culpabilité d’être un privilégié par son niveau ou son confort de vie
– la culpabilité des guerres occidentales contre les pays arabes et musulmans
– les arguments de certains prédicateurs musulmans
– la perspective d’une vie sans culpabilité
– le confort et le soulagement d’avoir trouvé un terrain de focalisation : son corps, ou un terrain de combat avec des responsables : ses ennemis classés à « l’extrême-droite », représentant ses propres refoulements et sa peur de voir la simple la réalité, alors qu’ils se battent précisément pour les valeurs que lui prétend défendre.
– la volonté des politiques et des néo-libéraux de diviser la société pour la contrôler, exactement comme ils ont importé de la main-d’œuvre bon marché non syndiquée et prête à tout pour casser les luttes sociales, en provenance des anciennes colonies, puis ont organisé le regroupement familial alors que commençait la crise économique des années 70, contre l’avis même de la Gauche communiste à l’époque, qu’on ne pouvait qualifier de fasciste.
10) De Francis Bacon au Woke : la modernité scientifique vise à la soumission du vivant jusqu’au nucléaire, aux OGM, à la culture des cellules souches, aux vaccins ARNm, et au Transgenre à travers le viol de tous les sanctuaires naturels ou humains.
La domination biologique de la Nature est l’essence même du patriarcat scientifique, religieux et sociétal. À partir du travail du philosophe David Fideler
Le père de la « Modernité » anglaise, modèle fondateur de la méthode scientifique occidentale, fut Francis Bacon (1561-1626). Il participa lui-même à des procès contre des « sorcières » et a expliqué dans son ouvrage Novum Organum (« Un nouvel Organe », titre très révélateur dans ce sujet touchant au patriarcat et au transgenre…), que la science était comme « une inquisition », que la nature devait être « l’esclave de l’humanité », qu’elle se révèle lorsqu’elle est « sous contrainte et vexée ; c’est-à-dire, lorsque par l’art et la main de l’homme elle est forcée hors de son état naturel, et pressée et moulée » « La nouvelle philosophie permettra à la race humaine de “recouvrer ce droit sur la nature qui lui appartient par legs divin” et d’établir la “domination de l’homme sur l’univers.” En bref, Bacon promet que sa nouvelle méthode conduira à un véritable progrès dans tous les domaines, inaugurera la “naissance véritablement masculine du temps” et fera de la nature “l’esclave de l’homme”, écrit en citant Francis Bacon le philosophe américain David Fideler auteur de Restoring the Soul of the World, Our Living Bond with Nature’s Intelligence (Inner Traditions, 2014, “Restaurer l’Âme du monde, notre lien vivant avec l’intelligence de la Nature”, non traduit).
Un viol scientifique et technologique que prolongent le Woke et le Transgenre
11) “La nouvelle expérience : mettre la nature au pilori” Intégralité de l’article de David Fideler :
“Au fur et à mesure que la nature était modelée en machine pendant la période de la révolution scientifique, un nouvel esprit a commencé à naître dans lequel la nature n’était pas considérée comme ayant une valeur intrinsèque, mais seulement comme un objet d’utilisation humaine — et comme un objet de contrôle technologique. Écrivant vers la fin du XVIe siècle, Francis Bacon a utilisé, pour décrire cette nouvelle idée de domination de l’homme sur la nature, un langage dont l’imagerie est choquante pour de nombreux lecteurs contemporains. Ce bref extrait de la philosophie de Bacon est tiré de L’âme du monde, chapitre 8, ‘In the Name of Utility: L’exploitation de la nature et le déclin du plaisir ». À l’instar de René Descartes dans sa quête d’une science universelle, Francis Bacon (1561-1626) a parlé d’un novum organum, un ‘nouvel instrument’ de recherche humaine qui satisfera les ambitions impériales de l’humanité sur le monde naturel. Cette nouvelle méthode, écrit-il, s’appliquera ‘non seulement aux sciences naturelles mais à toutes les sciences’ et ‘embrassera tout’. La nouvelle méthode d’enquête permettra une connaissance universelle et objectivée. Elle est comme un instrument, ‘une nouvelle machine pour l’esprit’, qui guidera infailliblement l’humanité pour comprendre le monde tel qu’il est réellement. Dans ce processus de connaissance de la réalité, Bacon nous assure que l’esprit ne sera pas ‘laissé à lui-même, mais guidé à chaque pas et que l’affaire sera faite comme par une machine’. De cette façon, l’humanité acquerra une connaissance infaillible et une maîtrise totale de la nature. La clé de la domination de la nature par Bacon réside dans la méthode expérimentale, et la ligne de démarcation entre expérimentation et domination n’est jamais distincte. La seule raison de l’expérimentation, en premier lieu, est d’acquérir le pouvoir sur le monde. Comme le souligne Carolyn Merchant, l’image de la nature qui guide Bacon est celle d’une femme qui attend d’être dominée et violée, et il jure à ses lecteurs que la nouvelle philosophie fera de la nature l’” esclave même de l’humanité ». Bacon a écrit que « la nature se montre plus clairement sous les épreuves et les vexations de l’art que lorsqu’elle est laissée à elle-même ». En d’autres termes, la voie sûre vers la compréhension passe par l’expérimentation mécanique. Pour Bacon, l’expérimentation est « une inquisition », dans laquelle la nature est contrainte de livrer ses secrets cachés. Dans le cadre de ses fonctions professionnelles, Bacon était un inquisiteur légal impliqué dans les procès de sorcellerie contemporains, ce qui a profondément influencé son langage et son imagerie concernant la domination de la nature. Au cours de ces procès, des confessions étaient arrachées par la torture à des femmes innocentes exposées sur le chevalet. De la même manière, Bacon insiste sur le fait que les expériences mécaniques de la nouvelle philosophie doivent approcher la nature « sous contrainte et vexée ; c’est-à-dire, lorsque par l’art et la main de l’homme elle est forcée hors de son état naturel, et pressée et moulée ». Grâce à l’expérimentation, il sera possible de faire avouer à la nature des choses qu’elle ne pourrait pas avouer dans le cadre d’un examen moins rigoureux. Mais une fois son secret dévoilé, on peut la forcer à le révéler encore et encore. Ainsi, Bacon explique que le chercheur scientifique doit « suivre et pour ainsi dire traquer la nature dans ses pérégrinations, et vous pourrez, quand vous le voudrez, la conduire et la ramener au même endroit ». Grâce à cette expérimentation, l’homme pourra « pénétrer plus avant », dépasser « les cours extérieures de la nature » et « trouver enfin un chemin vers ses chambres intérieures ». Puisque la mesure du savoir est le pouvoir, la nouvelle philosophie vise les découvertes utiles. Ainsi, écrit Bacon, les arts mécaniques ne se contentent pas « de guider avec douceur le cours de la nature ; ils ont le pouvoir de la conquérir et de la soumettre, de l’ébranler dans ses fondements ». Puisque « la domination de l’homme sur la nature ne repose que sur la connaissance », la clé de la maîtrise du monde par l’homme réside dans la recherche scientifique organisée. De cette façon, les découvertes de nombreux chercheurs seront réunies dans une entreprise commune et le savoir s’accroîtra progressivement. Bacon appelle à un effort commun, exhortant tous les hommes à faire la paix entre eux afin qu’ils puissent se tourner « avec des forces unies contre la Nature des choses, pour prendre d’assaut et occuper ses châteaux et ses forteresses, et étendre les frontières de l’empire humain, aussi loin que Dieu tout-puissant dans sa bonté puisse le permettre ». La nouvelle philosophie permettra à la race humaine de « recouvrer ce droit sur la nature qui lui appartient par legs divin » et d’établir la « domination de l’homme sur l’univers. » En bref, Bacon promet que sa nouvelle méthode conduira à un véritable progrès dans tous les domaines, inaugurera la « naissance véritablement masculine du temps » et fera de la nature « l’esclave de l’homme ».
12) L’EVRAS en Belgique
En Belgique, depuis 2012, l’EVRAS, Éducation à une Vie Relationnelle, Affective et Sexuelle, est une matière obligatoire, même si tous les établissements n’obéissent pas, en particulier ceux l’enseignement catholique. L’EVRAS se présente comme une prévention contre l’hypersexualisation et la pornographie dans la société, phénomènes entraînant de mauvais repères et un mauvais vécu sexuel, et une information contre la discrimination, pour promouvoir l’amour et le respect mutuel chez les jeunes. Il s’agit d’instaurer un « climat naturel, où on peut aborder beaucoup de choses sans jugement » Sur demande de l’école, l’EVRAS peut commencer en maternelle et il est souhaité qu’elle se poursuive tout au long du cursus scolaire, donc systématiquement chaque année. On peut regretter au passage qu’autant de moyens ne soient pas dévoués à l’enseignement de l’histoire réelle de l’Humanité, du système bancaire, des dictatures et de la mondialisation, car nul doute que nos problèmes disparaîtraient en une génération. Des dizaines d’organisations se sont regroupées pour faire pression sur le monde politique. Afin que l’EVRAS soit généralisée. Déjà en 2010, on lisait sur le site de l’OMS :
« Madrid, 20 octobre 2010 – L’éducation sexuelle devrait commencer dès la naissance. » et les rapports Kinsey
Cela rappelle fortement, juste après la Deuxième Guerre mondiale, les rapports Kinsey, fortement biaisés par les catégories sociales hors-norme, telles que des prostituées, qui avaient constitué la base des sondages déterminant un état des lieux de la sexualité des Américains moyens… Et ce n’est pas pour rien : Alfred Kinsey, professeur d’entomologie et de zoologie, est appelé le « père de la révolution sexuelle », et il avait lui-même une sexualité débridée et « complexe » (bisexualité, union libre et masochisme). Il manipula les études dans le but de faire exploser les cadres sociaux. Les rapports Kinsey s’étendaient sur la riche sexualité des bébés auxquels à aucun moment on avait demandé s’ils étaient d’accord pour participer à ces expérimentations. Tout comme en 2021 Stéphane Bancel, le PDG néo-milliardaire de Moderna, n’avait pas demandé l’autorisation de tester son injection ARNm aux enfants de 6 mois qu’il utilisait. Sans faire de mauvais esprit, l’EVRAS, avec son statut d’« expert », profite donc d’un énorme problème sociétal, l’hypersexualisation et la pornographie, permis et encouragé par tout un système, entre autres par la « libération sexuelle » depuis les rapports Kinsey, pour apporter une « solution » elle-même produite par le système. C’est un processus identique au processus virus/vaccin déjà produit et promu par l’OMS avec le même vocabulaire : « égalité des chances », « information », « respect », « bienveillance ». Tout n’est certainement pas à condamner, et on peut croire aux bonnes intentions d’un certain nombre de pédagogues et intervenants EVRAS… tout comme des vaccinateurs et applicateurs zélés des mesures sanitaires. Le problème est que tout le passé des organisations et des trusts derrière ces idéologies témoigne contre eux, à commencer par le Covid. Et on connaît la suite de ce qui est présenté aux Maternelles. Alors tout simplement, pourquoi ne pas pénaliser la pornographie violente si elle est si dommageable ? À cause des restes de la « libération sexuelle » contre l’ancien ordre moral, parce qu’il ne faut pas intervenir sur le marché qui fait loi, le plus grand crime étant d’empêcher la croissance, et parce qu’il faut continuer à déstructurer la société pour mieux lui imposer ensuite des lois absurdes et des manipulations indécelables… Par ailleurs, si la pornographie est un problème qui touche les préadolescents ou adolescents, pourquoi en parler dès la maternelle, voire dès la naissance ? Pourquoi ne pas associer plus étroitement les parents, en faisant une grande campagne contre la pornographie ?
Manipulation du vocabulaire et fin de la vie privée : novlangue et totalitarisme soft Les jeunes non-hétérosexuels se disent « non-binaires »…. du coup qualifier l’hétérosexualité de « binaire », c’est un peu discriminatoire… On n’est pas loin de « primaire » et « obtus », « manichéen », les termes ne sont pas neutres… La pudeur n’est pas nécessairement le signe d’une névrose, mais le signe qu’on a gardé le sens de l’intimité, du domaine du privé et du respect de certains sujets dont on connaît intuitivement l’enjeu capital : la Vie et l’Amour. Et parfois on voudrait juste vivre ça avec soi-même ou avec ceux qu’on a choisis. On parle souvent de la fin de la vie privée dans les temps qui sont les nôtres. C’est une caractéristique des systèmes totalitaires. Intrusion dans la vie intime des jeunes des la naissance, suggestion de modifications physiologiques, euthanasie qui avance, on prépare la fin de la vie privée dès la naissance, et on termine par la privation de la fin de vie dans la vieillesse. L’Amour et la Conscience sont précisément les sanctuaires et les refuges de cette vie privée, intime, nous ouvrant sur l’Universel. C’est pourquoi ils ont toujours été suspects et persécutés ou dévalorisés, aussi bien chez les marxistes que les capitalistes et les fascistes. Et les théocraties n’étaient pas en reste, car l’amour et la conscience sont ce qui nous relie directement à la transcendance, sans besoin d’idéologues ni de prêtres jaloux, laïques ou religieux. Ils nous relient à la Source et à l’Océan, et démasquent tout le factice des totalitarismes. Version du 2 février 2023
Mauvais genre– une épidémie mondiale Documentaire de 90 minutes, réalisé par Sophie Robert
Sommes-nous face à une épidémie de transidentité chez les jeunes ? D’où vient-elle et comment expliquer ce phénomène ? Quelles en sont les conséquences ? Qu’est-ce que le transgenrisme ? « Mauvais genre – une épidémie mondiale » le premier documentaire critique de l’idéologie du genre. « Mauvais genre – une épidémie mondiale » pose la problématique générale, questionne la réalité de cette épidémie et les différents facteurs qui ont concouru à l’explosion des chiffres. Il met en évidence le phénomène des influenceurs trans, la contamination par les pairs, la fragilité spécifique des jeunes autistes/TDAH, des jeunes homosexuels (en particulier des jeunes femmes non conformes aux stéréotypes de genre) et des jeunes avec antécédents psychiatriques vis-à-vis de cette propagande. Ce film déconstruit les arguments des transactivistes et les confronte à la réalité. Il met en évidence que ce qui est présenté comme un mouvement de mode spontané chez les jeunes, de personnes victimisées et brimées, est piloté par de puissantes associations caritatives richement dotées et une stratégie de lobbying redoutablement efficace issue des pays anglo-saxons, qui rayonne dans toute l’Europe de l’ouest.
Bonjour à tous, nous organisons une soirée conférence le mardi 31 janvier au 4, place Henri Chapays à Fontaine dès 18 h. À partir de 19 h, nous recevrons Richard Franck Esnault, médecin praticien, spécialiste de la thérapie fréquentielle et ionique, méthode d’analyse énergétique corporelle et psycho corporelle qui se base sur les ondes produites par les êtres vivants, il nous parlera aussi de la médecine quantique et de la communication des cellules par signaux éléctromagnétiques et biorésonance. Il nous fera une présentation de ces deux domaines d’attribution, avec une bonne dizaine de minutes de questions que vous pourrez lui poser pour en savoir un peu plus. Ensuite, un repas sera proposé par Grégory ainsi que des rafraîchissements et des desserts.
Dans une interview accordée au Defender, Francis Boyle, J.D., Ph.D., expert en armes biologiques et professeur de droit international à l’Université de l’Illinois, a déclaré que les dernières propositions de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pourraient violer le droit international. M. Boyle a demandé aux gouvernements fédéraux et des États américains de se retirer immédiatement de l’OMS.
http://www.wanttoknow.info/870511vaccineaids Montage et traduction François-Marie Périer, collectif Grelive, remerciements à Jean-Pierre Eudier et à la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV)
BY PEARCE WRIGHT, SCIENCE EDITOR The Aids epidemic may have been triggered by the mass vaccination campaign which eradicated smallpox. The World Health Organization, which masterminded the 13-year campaign, is studying new scientific evidence suggesting that immunization with the smallpox vaccine Vaccinia awakened the unsuspected, dormant human immuno defence virus infection (HIV). Some experts fear that in obliterating one disease, another disease was transformed from a minor endemic illness of the Third World into the current pandemic. While doctors now accept that Vaccinia can activate other viruses, they are divided about whether it was the main catalyst to the Aids epidemic. But an adviser to WHO who disclosed the problem, told The Times: ‘I thought it was just a coincidence until we studied the latest findings about the reactions which can be caused by Vaccinia. Now I believe the smallpox vaccine theory is the explanation to the explosion of Aids.’ ‘In obliterating one disease, another was transformed.’ Further evidence comes from the Walter Reed Army Medical Centre in Washington. While smallpox vaccine is no longer kept for public health purposes, new recruits to the American armed services are immunized as a precaution against possible biological warfare. Routine vaccination of a 19-year-old recruit was the trigger for stimulation of dormant HIV virus into Aids. This discovery of how people with subclinical HIV infection are at risk of rapid development of Aids as a vaccine-induced disease was made by a medical team working with Dr Robert Redfield at Walter Reed. The recruit who developed Aids after vaccination had been healthy throughout high school. He was given multiple immunizations, followed by his first smallpox vaccination. Two and a half weeks later he developed fever, headaches, neck stiffness and night sweats. Three weeks later he was admitted to Walter Reed suffering from meningitis and rapidly developed further symptoms of Aids and died after responding for a short time to treatment. There was no evidence that the recruit had been involved in any homosexual activity. In describing their discovery in a paper published in the New England Journal of Medicine a fortnight ago, the Walter Reed team gave a warning against a plan to use modified versions of the smallpox vaccine to combat other diseases in developing countries. Other doctors who accept the connection between the anti-smallpox campaign and the Aids epidemic now see answers to questions which had baffled them. How, for instance, the Aids organism, previously regarded by scientists as ‘weak, slow and vulnerable,’ began to behave like a type capable of creating a plague. Many experts are reluctant to support the theory publicly because they believe it would be interpreted unfairly as criticism of WHO. In addition, they are concerned about the impact on other public health campaigns with vaccines, such as against diptheria and the continued use of Vaccinia in potential Aids research. The coincidence between the anti-smallpox campaign and the rise of Aids was discussed privately last year by experts at WHO. The possibility was dismissed on grounds of unsatisfactory evidence. Advisors to the organization believed then that too much attention was being focussed on Aids by the media. It is now felt that doubts would have risen sooner if public health authorities in Africa had more willingly reported infection statistics to WHO. Instead, some African countries continued to ignore the existence of Aids even after US doctors alerted the world when the infection spread to the United States. However, as epidemiologists gleaned more information about Aids from reluctant Central African countries, clues began to emerge from the new findings when examined against the wealth of detail known about smallpox as recorded in the Final Report of the Global Commission for the Certification of Smallpox Eradication. The smallpox vaccine theory would account for the position of each of the seven Central African states which top the league table of most-affected countries; why Brazil became the most afflicted Latin American country; and how Haiti became the route for the spread of Aids to the US. It also provides an explanation of how the infection was spread more evenly between males and females in Africa than in the West and why there is less sign of infection among five to 11-year-olds in Central Africa. Although no detailed figures are available, WHO information indicated that the Aids league table of Central Africa matches the concentration of vaccinations. The greatest spread of HIV infection coincides with the most intense immunization programmes, with the number of people immunised being as follows: Zaire 36,878,000; Zambia 19,060,000; Tanzania 14,972,000; Uganda 11,616,000; Malawai 8,118,000; Ruanda 3,382,000 and Burundi 3,274,000. Brazil, the only South American country covered in the eradication campaign, has the highest incidence of Aids in that region. About 14,000 Haitians, on United Nations secondment to Central Africa, were covered in the campaign. They began to return home at a time when Haiti had become a popular playground for San Francisco homosexuals. Dr Robert Gallo, who first identified the Aids virus in the US, told The Times: ‘The link between the WHO programme and the epidemic in Africa is an interesting and important hypothesis. ‘I cannot say that it actually happened, but I have been saying for some years that the use of live vaccines such as that used for smallpox can activate a dormant infection such as HIV. ‘No blame can be attached to WHO, but if the hypothesis is correct it is a tragic situation and a warning that we cannot ignore.’ Aids was first officially reported from San Francisco in 1981 and it was about two years later before Central African states were implicated. It is now known that these states had become a reservoir of Aids as long ago as the later 1970s. Although detailed figures of Aids cases in Africa are difficult to collect, the more than two million carriers, and 50,000 deaths, estimated by the World Health Organization are concentrated in the Countries where the smallpox immunization programme was most intensive. The 13-year eradication campaign ended in 1980, with the saving of two million lives a year and 15 million infections. The global saving from eradication has been put at dollars 1,000 million a year. Charity and health workers are convinced that millions of new Aids cases are about to hit southern Africa. After a meeting of 50 experts near Geneva this month it was revealed that up to 75 million, one third of the population, could have the disease within the next five years. Some organizations which have closely studied Africa, such as War on Want, believe that South Africa’s black population, so far largely protected from the disease, could be most affected as migrant workers bring it into the country from the worst hit areas further north. The apartheid policy, they predict, will intensify its outbreak by confining the groups into comparatively small, highly populated towns where it will be almost impossible to contain its spread.
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The Times Première édition, lundi 11 mai 1987 http://www.wanttoknow.info/870511vaccineaids
Le vaccin antivariolique « a déclenché le virus du SIDA »
PAR PEARCE WRIGHT, RÉDACTEUR SCIENTIFIQUE L’épidémie de sida pourrait avoir été déclenchée par la campagne de vaccination de masse qui a éradiqué la variole. L’Organisation mondiale de la santé, qui a piloté cette campagne de 13 ans, étudie de nouvelles preuves scientifiques suggérant que l’immunisation par le vaccin antivariolique Vaccinia a réveillé l’infection par le virus de l’immunodéfense humaine (VIH), insoupçonné et dormant. Certains experts craignent qu’en éradiquant une maladie, on ait transformé une autre maladie endémique mineure du tiers monde en la pandémie actuelle. Si les médecins admettent aujourd’hui que la vaccination peut activer d’autres virus, ils sont divisés sur la question de savoir si elle a été le principal catalyseur de l’épidémie de sida. Mais un conseiller de l’OMS, qui a révélé le problème, a déclaré au Times : « Je pensais qu’il s’agissait d’une simple coïncidence jusqu’à ce que nous étudiions les dernières découvertes sur les réactions que peut provoquer la vaccination. Maintenant, je crois que la théorie du vaccin antivariolique est l’explication de l’explosion du sida. En éliminant une maladie, une autre s’est transformée ». D’autres preuves proviennent du Walter Reed Army Medical Centre à Washington. Bien que le vaccin antivariolique ne soit plus conservé à des fins de santé publique, les nouvelles recrues des services armés américains sont vaccinées à titre de précaution contre une éventuelle guerre biologique. La vaccination de routine d’une recrue de 19 ans a été le déclencheur de la stimulation du virus dormant du VIH vers le sida. Cette découverte de la manière dont les personnes atteintes d’une infection subclinique par le VIH risquent de développer rapidement le sida en tant que maladie induite par la vaccination a été faite par une équipe médicale travaillant avec le Dr Robert Redfield à Walter Reed. La recrue qui a développé le sida après avoir été vaccinée avait été en bonne santé tout au long de ses études secondaires. Il avait reçu de nombreuses vaccinations, puis son premier vaccin antivariolique. Deux semaines et demie plus tard, il a développé de la fièvre, des maux de tête, une raideur de la nuque et des sueurs nocturnes. Trois semaines plus tard, il a été admis à Walter Reed pour une méningite. Il a rapidement développé d’autres symptômes du sida et est décédé après avoir répondu brièvement au traitement. Rien ne prouve que la recrue ait été impliquée dans une quelconque activité homosexuelle. En décrivant leur découverte dans un article publié dans le New England Journal of Medicine il y a quinze jours, l’équipe de Walter Reed a lancé un avertissement contre un projet d’utilisation de versions modifiées du vaccin antivariolique pour combattre d’autres maladies dans les pays en développement. D’autres médecins, qui admettent le lien entre la campagne antivariolique et l’épidémie de sida, voient aujourd’hui des réponses à des questions qui les laissaient perplexes. Comment, par exemple, l’organisme du sida, auparavant considéré par les scientifiques comme « faible, lent et vulnérable », a commencé à se comporter comme un type capable de créer un fléau. De nombreux experts hésitent à soutenir publiquement cette théorie car ils pensent que cela serait interprété injustement comme une critique de l’OMS. En outre, ils s’inquiètent de l’impact sur d’autres campagnes de santé publique utilisant des vaccins, comme la lutte contre la diphtérie et l’utilisation continue de Vaccinia dans la recherche potentielle sur le sida. La coïncidence entre la campagne contre la variole et l’apparition du sida a été discutée en privé l’année dernière par des experts de l’OMS. Cette possibilité a été écartée en raison de preuves insuffisantes. Les conseillers de l’organisation pensaient alors que les médias accordaient trop d’attention au sida. On estime aujourd’hui que les doutes auraient été levés plus tôt si les autorités sanitaires africaines avaient plus volontiers communiqué les statistiques d’infection à l’OMS. Au lieu de cela, certains pays africains ont continué à ignorer l’existence du sida, même après que des médecins américains ont alerté le monde lorsque l’infection s’est propagée aux États-Unis. Cependant, à mesure que les épidémiologistes ont glané davantage d’informations sur le sida auprès des pays d’Afrique centrale réticents, des indices ont commencé à émerger des nouveaux résultats lorsqu’ils ont été examinés à la lumière des nombreux détails connus sur la variole, tels qu’ils figurent dans le rapport final de la Commission mondiale pour la certification de l’éradication de la variole. La théorie du vaccin antivariolique expliquerait la position de chacun des sept États d’Afrique centrale qui figurent en tête du classement des pays les plus touchés, la raison pour laquelle le Brésil est devenu le pays d’Amérique latine le plus touché et la façon dont Haïti est devenu le point de départ de la propagation du sida aux États-Unis. Il explique également comment l’infection s’est répandue de manière plus égale entre les hommes et les femmes en Afrique qu’en Occident et pourquoi il y a moins de signes d’infection chez les enfants de cinq à onze ans en Afrique centrale. Bien qu’aucun chiffre détaillé ne soit disponible, les informations de l’OMS indiquent que le classement de l’Afrique centrale en matière de sida correspond à la concentration des vaccinations. La plus grande propagation de l’infection par le VIH coïncide avec les programmes de vaccination les plus intenses, le nombre de personnes vaccinées étant le suivant : Zaïre 36 878 000 ; Zambie 19 060 000 ; Tanzanie 14 972 000 ; Ouganda 11 616 000 ; Malawi 8 118 000 ; Ruanda 3 382 000 et Burundi 3 274 000. Le Brésil, seul pays d’Amérique du Sud couvert par la campagne d’éradication, présente l’incidence la plus élevée du sida dans cette région. Environ 14 000 Haïtiens, détachés par les Nations unies en Afrique centrale, ont été couverts par la campagne. Ils ont commencé à rentrer chez eux à une époque où Haïti était devenu un terrain de jeu populaire pour les homosexuels de San Francisco. Le Dr Robert Gallo, qui a été le premier à identifier le virus du sida aux États-Unis, a déclaré au Times : « Le lien entre le programme de l’OMS et l’épidémie en Afrique est une hypothèse intéressante et importante. Je ne peux pas dire que cela s’est réellement produit, mais je dis depuis quelques années que l’utilisation de vaccins vivants tels que ceux utilisés pour la variole peut activer une infection dormante telle que le VIH. Aucun reproche ne peut être adressé à l’OMS, mais si l’hypothèse est correcte, il s’agit d’une situation tragique et d’un avertissement que nous ne pouvons ignorer. » Le sida a été officiellement signalé pour la première fois à San Francisco en 1981 et il a fallu attendre environ deux ans pour que les États d’Afrique centrale soient mis en cause. On sait maintenant que ces pays sont devenus un réservoir de sida dès la fin des années 70. Bien qu’il soit difficile de recueillir des chiffres détaillés sur les cas de sida en Afrique, les plus de deux millions de porteurs et les 50 000 décès estimés par l’Organisation mondiale de la santé sont concentrés dans les pays où le programme de vaccination antivariolique a été le plus intensif. La campagne d’éradication, qui a duré 13 ans, s’est achevée en 1980, avec le sauvetage de deux millions de vies par an et de 15 millions d’infections. L’économie mondiale résultant de l’éradication a été estimée à 1 milliard de dollars par an. Les associations caritatives et les professionnels de la santé sont convaincus que des millions de nouveaux cas de sida sont sur le point de frapper l’Afrique australe. Après une réunion de 50 experts près de Genève ce mois-ci, il a été révélé que jusqu’à 75 millions de personnes, soit un tiers de la population, pourraient être atteintes de la maladie dans les cinq prochaines années. Certaines organisations qui ont étudié de près l’Afrique, comme War on Want*, estiment que la population noire d’Afrique du Sud, jusqu’à présent largement protégée de la maladie, pourrait être la plus touchée, car les travailleurs migrants l’introduisent dans le pays depuis les régions les plus touchées, plus au nord. La politique d’apartheid, prédisent-ils, intensifiera son apparition en confinant les groupes dans des villes relativement petites et très peuplées où il sera presque impossible de contenir sa propagation.
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*ONG luttant contre la pauvreté
Note : l’article imprimé du Times comporte une coquille, il s’agit bien de Robert Gallo, le premier à identifier le virus du SIDA aux Etats-Unis, et non de Robert Gello.
Quelques faits de l’article en résumé :
– « Le Vaccinia antivariolique a pu réveiller le virus dormant du Sida. »
– « Les médecins admettent aujourd’hui que la vaccination peut activer d’autres virus. » 1987…
– Un conseiller de l’OMS : « Maintenant, je crois que la théorie du vaccin antivariolique est l’explication de l’explosion du sida. »
– Une réponse à la question des médecins : « Comment l’organisme du sida, auparavant considéré par les scientifiques comme « faible, lent et vulnérable », a commencé à se comporter comme un type capable de créer un fléau ? »
– « La théorie du vaccin antivariolique expliquerait la position de chacun des sept États d’Afrique centrale qui figurent en tête du classement des pays les plus touchés. »
– Le New England Journal of Medicine révèle qu’« au Walter Reed Army Medical Centre à Washington, la vaccination de routine d’une recrue de 19 ans a été le déclencheur de la stimulation du virus dormant du VIH vers le sida. »
– « Le Brésil, seul pays d’Amérique du Sud couvert par la campagne d’éradication, présente l’incidence la plus élevée du sida dans cette région. »
– « Le Dr Robert Gallo, qui a été le premier à identifier le virus du sida aux États-Unis, a déclaré au Times : « Le lien entre le programme de l’OMS et l’épidémie en Afrique est une hypothèse intéressante et importante. Je ne peux pas dire que cela s’est réellement produit, mais je dis depuis quelques années que l’utilisation de vaccins vivants tels que ceux utilisés pour la variole peut activer une infection dormante telle que le VIH. Aucun reproche ne peut être adressé à l’OMS, mais si l’hypothèse est correcte, il s’agit d’une situation tragique et d’un avertissement que nous ne pouvons ignorer. » »
– « Les plus de deux millions de porteurs et les 50 000 décès estimés par l’Organisation mondiale de la santé sont concentrés dans les pays où le programme de vaccination antivariolique a été le plus intensif. »
HEPATITE B – Engerix B de SmithKline Beecham LE PARISIEN Société – La justice reconnaît la responsabilité du vaccin – Pour la première fois, un tribunal reconnaît la responsabilité du vaccin contre l´hépatite B dans l´apparition de sclérose en plaques, une grave maladie neurologique, chez deux patients. – Un jugement qui relance la polémique sur les effets secondaires
Par Eric GIACOMETTI Le 8 juin 1998 à 00h00 POUR la première fois en France, un tribunal reconnaît la responsabilité du vaccin contre l´hépatite B dans la survenue de sclérose en plaques (voir encadré). Le tribunal de grande instance de Nanterre a condamné vendredi dernier, en première instance, le laboratoire pharmaceutique SmithKline Beecham à payer des provisions de 80 000 F et 50 000 F à deux victimes du vaccin atteintes de sclérose en plaques, Armelle Jeanpert et Arlette Leroy. En outre un expert, médecin à l´hôpital de Créteil, a été nommé pour évaluer l´ampleur du préjudice. Les juges sont formels, le laboratoire devra indemniser l´intégralité du préjudice subi à la suite de la vaccination avec le sérum Engerix B. Me Gisèle Mor, l´avocate des deux victimes, avait déjà gagné contre Pasteur-Mérieux (« le Parisien »-« Aujourd´hui » du 6 mai 1997) , en première instance, pour une victime atteinte d´un syndrome de Guillain Barré, une autre maladie neurologique provoquée par le vaccin controversé. Ce jugement jette un pavé dans la mare. Car les juges ne se sont pas laissés impressionner par l ´absolution du vaccin prononcée récemment par les autorités de santé publique. En effet, le 14 avril dernier, les experts du Comité technique des vaccinations s´étaient réunis en séance extraordinaire pour innocenter le vaccin malgré un nombre important de manifestations neurologiques, ou d´autres pathologies. Le secrétaire d´Etat à la Santé, Bernard Kouchner, avait déclaré qu´en l´absence de résultats épidémiologiques significatifs il n´avait aucune donnée indiquant un risque attribuable à cette vaccination. Etudes en cours Néanmoins plusieurs études épidémiologiques étaient toujours en cours pour évaluer le nombre exact de victimes éventuelles. De son côté, le laboratoire SmithKline Beecham, fabricant du vaccin incriminé, nie toute responsabilité du vaccin et devrait faire appel du jugement. Et pourtant, ce même laboratoire avait envoyé à Armelle Jeanpert, l´une des plaignantes, une lettre reconnaissant que la sclérose en plaques est un des effets indésirables rares mais possibles de la vaccination contre l´hépatite B. L’affaire du vaccin contre l´hépatite B prend donc de l´ampleur. On apprenait également vendredi dernier que le parquet de Paris avait ouvert une information judiciaire pour homicide involontaire. Le dossier est confié au juge Bertella-Geffroy, déjà en charge des affaires du sang contaminé et de l’hormone de croissance.
Bonjour à tous, nous organisons une soirée conférence le mardi 17 janvier 2023 à Fontaine à partir de 18 h, au 4, place Henri Chapays. Dans ce cadre, nous recevrons à 19 h, Laurent Mangia, un des membres les plus actifs de la monnaie libre sur Grenoble et alentour, qui nous fera une présentation de cette monnaie, pour repenser la création monétaire, l’expérimenter en y adhérant et proposer un modèle économique plus juste et plus durable, prenant en compte les générations futures, en alternative aux monnaies-pyramides de Ponzi qui aboutissent à la guerre de tous contre tous. La G1 (la « june ») est la première monnaie libre, conçue sur une blockchain écologique, une expérience citoyenne, solidaire… et peut-être subversive ! Dès 18 h, les personnes souhaitant vendre quelques unes de leurs affaires en monnaie libre sont les bienvenues, pour une brocante improvisée, comme un avant goût de la conférence. À la suite de cette conférence, un repas sera proposé par Grégory ainsi que des rafraîchissements. Et en cette période qui a célébré l’Epiphanie, nous mangerons quelques galettes des rois pour un moment convivial et chaleureux. Nous vous attendons nombreux pour cette première de l’année. Petite précision: les personnes voulant adhérer à l’association pourront le faire au cours de cette soirée.
Bonsoir à tous l’assemblée générale de notre association aura lieu jeudi 26 janvier 2022 à 19 h au 12, place Notre-Dame, Galerie-café La Vina à Grenoble. L’occasion de faire le bilan financier et moral de l’association ainsi que de tracer les grandes lignes de perspectives et projets pour l’année à venir. La reconduction du bureau sera également à l’ordre du jour et nous aborderons toutes éventuelles questions portant sur des points de la vie de l’association ayant pour but de la faire progresser. Les personnes adhérentes qui ne peuvent pas venir peuvent donner mandat à quiconque de l’association de voter en leurs noms le cas échéant. Un moment convivial autour de victuailles et boissons clôturera cette assemblée.
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