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Une pandémie d’impostures  ?

Jour après jour, tel un barrage, le rempart de mensonges ayant caractérisé cette crise dite sanitaire se lézarde et se fend ; ce qui semble devoir suivre risque de noyer les endormis dans des vagues de vérités trop puissantes pour celles et ceux qui n’ont pas encore réalisé que, depuis le début, la pandémie et les mesures qui ont suivi ont été orchestrées sur la base de mystifications.

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ADE (aggravation dépendante des anticorps) : aggravation de l’infection par les anticorps monoclonaux et les vaccins !

L’ADE est bien connue pour être un risque pour les infections à coronavirus, ainsi que pour la dengue. L’ADE est une réponse immunitaire paradoxale qui rend une personne précédemment exposée à la maladie, ou à un vaccin la ciblant, plus – et non moins – vulnérable en cas d’infection ultérieure.

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Stop aux injections anti-covid chez les jeunes : la recommandation des agences sanitaires du Danemark, Royaume-Uni, Belgique et Suède

Vacciner les jeunes contre le covid est inutile, inefficace et dangereux. De plus en plus d’agences sanitaires nationales le reconnaissent et retirent leur recommandation initiale basée sur les communiqués publicitaires mensongers des fabricants de vaccin.

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L’ICAN

La mission de l’ICAN (réseau d’action pour le consentement éclairé) est d’enquêter sur la sécurité des procédures médicales, des médicaments pharmaceutiques et des vaccins tout en éduquant le public sur son droit au « consentement éclairé ».

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Des chercheurs japonais publient d’étranges cas de caillots sanguins après les vaccins COVID de Pfizer

De plus en plus de cas de dommages causés par les vaccins COVID-19 continuent d’être publiés dans les revues médicales, et à présent des chercheurs japonais publient quelques cas de caillots sanguins inhabituels découverts lors d’autopsies après les vaccins Pfizer COVID qui semblent corroborer ce que certains  embaumeurs de pompes funèbres signalent également, soit, d’étranges caillots sanguins trouvés dans les corps de personnes décédées.

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Analyse de la pandémie COVID-19 par l’IRSAN

L’IRSAN, Institut de Recherche pour la valorisation des données de SANté, regroupe des experts issus du monde des études en santé, des médecins, des bio-statisticiens, des épidémiologistes, des data-scientists, des spécialistes du numérique en santé. L’IRSAN propose des éléments d’information en santé, générés en temps réel à partir des données issu des recherches méthodologiques du groupe Systèmes Complexes et Epidémiologie (SCEPID).
L’IRSAN, allie des expertises éprouvées à l’ancrage régional de la société au plus près des professionnels de terrain, soucieux d’apporter des analyses pour les professionnels de santé comme pour le grand public.

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Une étude d’observation prospective à l’échelle de 223 128 sujets utilisant l’appariement par score de propension

Prophylaxie à l’ivermectine utilisée pour le COVID-19
Contexte : L’ivermectine a démontré différents mécanismes d’action qui protègent potentiellement à la fois de l’infection par la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) et des comorbidités liées au COVID-19. Sur la base des études suggérant une efficacité dans la prophylaxie combinée au profil d’innocuité connu de l’ivermectine, un programme de prévention à l’échelle de la ville utilisant l’ivermectine pour le COVID-19 a été mis en œuvre à Itajaí, une ville du sud du Brésil dans l’État de Santa Catarina. L’objectif de cette étude était d’évaluer l’impact de l’utilisation régulière d’ivermectine sur les taux d’infection et de mortalité par COVID-19 ultérieurs.

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Ils veulent endoctriner nos enfants à l’école pour les vacciner contre le covid !

En cette période marquée par les conséquences désastreuses de la fermeture des écoles dénoncées en leur temps par l’Unicef, du port du masque et du télé-enseignement (déscolarisation, retards d’apprentissage, troubles psychologiques) et par les inquiétudes que suscite la possible diminution des périodes scolaires pour « économiser le chauffage », le ministre vient de demander aux professeurs de tenir quatre « séances d’information » sur la vaccination aux élèves des Cycle 2 (CP CE1 CE2) et 3 (CM1 CM2), supprimant ainsi 6 à 8 heures supplémentaires d’enseignement utile pour distiller sa propagande en l’absence des parents.

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La Santé en bande organisée – Dissimulations, menaces et barbouzeries : le monde du médicament et ses arrangements entre amis

En collaboration avec le Pr Christian Riché, la journaliste d’investigation Anne Jouan publie La Santé en bande organisée (Robert Laffont). Elle y raconte notamment comment elle a enquêté sur l’affaire du Mediator au Figaro et les entraves, y compris internes, qu’elle a dû surmonter.

Pressions, menaces, petits arrangements entre amis, méthodes de barbouzes : ce livre aux frontières du polar et de l’enquête journalistique éclaire les recoins obscurs de la gestion de la santé publique en France et dévoile les coulisses de l’affaire du Mediator.
Pendant onze ans, le Pr Christian Riché, alias  » Monsieur Rungis « , a été une source de la journaliste Anne Jouan. Expert à l’Agence française du médicament depuis sa création en 1993 suite au scandale du sang contaminé, il dévoile dans ce livre, de l’intérieur, le fonctionnement d’une institution censée assurer la sécurité sanitaire mais au sein de laquelle certains sont souvent plus préoccupés par leurs liens avec l’industrie pharmaceutique et leurs propres intérêts.
 » Monsieur Rungis  » – qui a aidé le Dr Irène Frachon dans son combat pour faire interdire le Mediator – détaille ainsi son audition musclée par l’Inspection générale des affaires sociales, pas vraiment intéressée par sa vérité. Il confie comment l’Agence a maltraité la lanceuse d’alerte. Mais explique aussi que tous les scandales n’ont pas leur héroïne et que de nombreuses histoires ne sont jamais arrivées jusqu’au grand public : la roulette russe avec un lot de produits sanguins contenant des fractions du virus du Sida ; la demande pour modifier un rapport afin de satisfaire un industriel ; le  » On peut s’arranger  » d’un laboratoire face aux graves effets secondaires d’un médicament. Ou encore la sollicitation d’experts pour retarder l’interdiction d’un herbicide toxique…
Tout est ici raconté.

Interview d’Anne Jouan dans Paris Match

Son enquête sur la corruption dans le monde de la médecine révèle des relations mafieuses entre éminents spécialistes, laboratoires et hommes politiques. Elle lui a valu menaces, intimidations, pressions. A elle et à ses informateurs.

Paris Match. Y a-t-il aujourd’hui des médicaments sur le marché dont on pense qu’ils sont dangereux ? 
Anne Jouan. 
Le problème ne réside pas seulement dans le présent et le futur, mais aussi dans le passé. Dans ce livre, le Pr Riché raconte comment, à la fin des années 80, les autorités sanitaires ont joué à la roulette russe en décidant de laisser sur le marché français un lot de produits dérivés du sang alors que l’Allemagne avait découvert qu’il contenait des fractions du virus du Sida. Cette attitude en dit long sur la façon dont les intérêts industriels passent, souvent, avant l’intérêt des patients.  

Il y aussi l’exemple du Vioxx (un anti-inflammatoire utilisé pour soulager notamment les douleurs de l’arthrose) en 2004…
Oui, en 2004, il est retiré du marché mondial en raison de ses risques cardiaques, le médicament a fait 40 000 morts aux États-Unis. En France, où 500 000 personnes en ont consommé, il n’y a officiellement aucun décès car on n’a jamais réalisé de décompte ! Le système cardio-vasculaire des Français serait-il plus robuste que celui des Américains ? Un an après l’arrêt de la commercialisation du Vioxx, Emmanuelle Wargon (alors numéro deux de l’agence du médicament) expliquait au Sénat qu’il eût été plus adéquat de prendre «une mesure alternative à un retrait» du marché, le Vioxx ayant «de réels bénéfices» (sic). Autrement dit, une responsable de l’agence française du médicament tenait des propos plus en faveur de l’industrie que des patients. On peut multiplier à l’envie les exemples de cette légèreté à laquelle s’ajoute de l’incompétence : l’hiver dernier, lors d’une réunion, la directrice scientifique de l’agence a proposé aux participants stupéfaits d’organiser au cimetière du Père Lachaise un pèlerinage sur la tombe du père de l’homéopathie ! La directrice scientifique ! Aujourd’hui la question essentielle est de savoir si cette agence est toujours à même d’assurer la sécurité de nos concitoyens en matière de médicaments. Selon plusieurs de nos sources internes, la réponse est malheureusement clairement non.

Dans votre livre, le Pr Jean-Roger Claude, éminent professeur de toxicologie est membre de la Commission d’autorisation de mise sur le marché des médicaments. Sa femme est conseillère des Laboratoires Servier. Quelles compensations le couple touchait-il pour faire pression sur les autorités sanitaires afin de promouvoir certains médicaments ? 
Le Pr Jean-Roger Claude a travaillé dès la fin des années 1970 pour la commission d’autorisation de mise sur le marché, une instance décisionnelle essentielle pour commercialiser un médicament. En 2006, il en a été nommé membre comme représentant de l’Académie de pharmacie. Or, en parallèle de ses activités, le Pr Claude exerçait comme consultant pour le compte de nombreux laboratoires pharmaceutiques et Servier faisait même partie de sa clientèle depuis 1973 ! C’était d’ailleurs son plus gros client car le laboratoire du Mediator représentait 40% de son chiffre d’affaire annuel. Depuis 1989, il a touché 1,6 million d’euros de Servier. En 1998, il épouse Nancy Bouzon, qui deviendra directrice de la toxicologie de Servier. Il a été poursuivi dans le procès du Mediator et relaxé comme beaucoup d’autres pour prescription. Il n’a pas fait appel. Il n’était pas le seul. Nous revenons sur toute une galaxie de personnages, experts et politiques qui cachetonnaient pour le compte de l’industrie pharmaceutique en parallèle de leurs activités pour le compte de l’État. Ces arrangements avec la déontologie ne sont pas le fait de quelques-uns, c’est le fruit du dysfonctionnement de tout un système. A savoir, être au plus près de l’industrie et de l’emploi plutôt que des patients.

Il y a d’autres personnalités dans votre livre…
Oui, on y trouve d’autres « beautiful people » comme le Pr Claude Griscelli, le père des bébé bulle qui était consultant pour Servier depuis le début des années 2000 ; ou encore l’ex-doyen de Paris Descartes, Gérard Friedlander, lui aussi grand ami du labo du Mediator. C’est d’ailleurs lui qui signe le certificat médical du Pr Griscelli pour excuser son absence au procès en juin 2020. C’est encore lui, le Pr Friedlander, qui demande à un professeur de médecine de l’hôpital européen Georges Pompidou, expert judiciaire pour le Mediator, de rencontrer les gens de Servier afin d’être «moins dans l’opposition » (sic). Le même Friedlander a été rémunéré par Servier en 2013 pour son médicament contre l‘ostéoporose Protelos mis sous surveillance dès 2007 à cause de ses effets secondaires. Ces émoluments touchés par l’ex-doyen de la part de Servier sont lisibles dans la déclaration d’intérêts de son épouse, Anne-Marie  Armanteras de Saxcé, ex-conseillère santé d’Emmanuel Macron à l’Elysée.

Dans votre livre on a l’impression qu’un système de corruption existe à tous les niveaux de l’Etat, de droite à gauche. Aujourd’hui, sous Emmanuel Macron ça continue ?
Parlons plutôt de collusions ou d’amitiés utiles. Dans le chapitre sur l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS), nous racontons comment depuis une vingtaine d’années, la santé publique est tenue en France par un petit groupe. Parmi toute cette bande, on trouve Didier Tabuteau, premier directeur général de l’agence du médicament de 1993 à 1997 (donc à des dates clés du Mediator). L’homme a créé la chaire Santé de Sciences Po. Aujourd’hui, il est vice-président du Conseil d’État. Il a été directeur de cabinet de Bernard Kouchner, ce sont les fameux « Kouchner boys » parmi lesquels on retrouve Gilles Duhamel (ancien de chez Kouchner et inspecteur IGAS), Philippe Duneton (ancien directeur de l’agence et membre du cabinet Kouchner), Philippe Lamoureux (lui aussi ancien de chez Kouchner, ex-inspecteur IGAS, ex-secrétaire général de l’agence et directeur des entreprises du médicament), Jérôme Salomon (ancien de chez Kouchner, et directeur général de la Santé), Emmanuelle Wargon (elle aussi ancienne de chez Kouchner). Sans oublier l’ancien directeur général de l’AP-HP, Martin Hirsch, lui aussi ex-directeur du cabinet Kouchner, l’homme qui se plaignait des papiers du Figaro auprès de l’actionnaire, Thierry Dassault, au point que ce dernier m’a passé plusieurs appels en 2016 pour me dire que mes articles « faisaient de la peine à Martin Hirsch », sic. Toute cette clique forme un mélange politico-industriel à part, les uns (IGAS) inspectant en cas de pépin les autres, anciens collègues et amis, dans une sorte de vase clos endogame. Juges et parties.  Derniers exemples en date : l’éphémère ministre de la Santé Brigitte Bourguignon, battue aux dernières législatives et… recasée à l’IGAS. Ou encore : Fabienne Bartoli, l’ex numéro 2 de l’agence qui s’est illustrée en 2009 par des propos aberrants sur le Mediator, elle aussi membre de la chaire Santé de Science Po est devenue au printemps directrice générale de la Haute autorité de santé (HAS). Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se recycle et se transforme.

N’y a-t-il pas des gens honnêtes dans ces instances ?
Mais si ! Une source qui connaît bien les « Kouchner boys » confie : «Nous sommes des personnes honnêtes et écœurées à l’excès par ces pratiques florentines, mafieuses même, que l’on croyait éloignées de la politique de santé publique ». Ce sont justement tous ces écœurés de l’agence, toutes ces sources dépitées et catastrophées par ce manque criant de compétences, ces compromissions et cette incurie qui me donnent des informations. Ils s’en remettent à la presse car leur institution, le gendarme français du médicament, ne tient plus sur ses jambes et qu’ils sont inquiets.

Source

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Coronavirus : la conclusion finale

Les travaux du Dr Campra, de Mik Andersen et d’autres équipes multidisciplinaires permettent d’avancer des preuves de ce qu’on observe dans les sérums vaccinaux des 4 produits expérimentaux ayant actuellement reçu une autorisation conditionnelle de mise sur le marché : Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson. La comparaison des résultats liés à l’observation des sérums avec des informations issues de publications scientifiques permet de comprendre et de reconstituer un puzzle qui s’avère lisible et parfaitement inquiétant. 

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Le grand remplacement des médecins : les « chatbots » , même les psychiatres !

Vous êtes triste, déprimé, révolté, agacé, fatigué, douloureux, nauséeux, anorexique ou boulimique, hagard, impuissant devant l’aveuglement de trop de citoyens devant la violence et la puissance mortifère des quelques milliers de milliardaires qui gouvernent…

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« L’objection de conscience, position légitime face à la technologie ARNm à des fins vaccinales »

Dans le cadre des campagnes de vaccination de masse, les vaccins les plus utilisés dans les pays occidentaux sont basés sur l’ARNm. Certains pays ont imposé une vaccination obligatoire et de nombreux autres ont exigé un passeport vaccinal pour accéder aux transports publics et autres activités, produisant une discrimination systémique, une exclusion sociale, une ségrégation et une stigmatisation à l’encontre des personnes non vaccinées. Cet article vise à présenter plusieurs incertitudes scientifiques sur lesquelles, les objecteurs de conscience aux injections d’ARNm comme traitement préventif de la COVID-19, pourraient s’appuyer.

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Examen par des pairs : 94 % des patients vaccinés ayant des problèmes de santé ultérieurs ont un sang anormal, selon une microscopie italienne

Des médecins en Italie ont étudié le sang de patients qui avaient reçu une injection de vaccins à ARNm COVID-19 et ont trouvé des corps étrangers longtemps après la vaccination, selon une nouvelle étude .
Les trois médecins, tous chirurgiens – Franco Giovannini, MD, Riccardo Benzi Cipelli, MD et Giampaolo Pisano, MD – ont examiné le sang fraîchement prélevé de plus d’un millier de patients en utilisant l’observation directe au microscope pour voir ce qui se passait dans le sang.

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Étude rétrospective de l’impact de la vaccination COVID-19 sur l’évolution du nombre cumulé de décès COVID-19

La part des décès dans les classes d’âge au-delà de 60 ans reste pratiquement inchangée sur les trois périodes étudiées, avant, pendant et après vaccination. Ceci semble indiquer l’incapacité des vaccins à limiter la mortalité COVID-19 chez les plus fragiles, en dépit des messages répétés du Ministère de la Santé.

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Le rétropédalage de Pfizer, en vue des procès ?

Le message selon lequel le vaccin diminuerait les « formes graves », sans cesse martelé par la Santé publique du Canada et du Québec et par Santé Publique France est FAUX.
Sur le site de Pfizer Canada, ce communiqué pourrait ressembler à une notice légale en vue de se protéger contre d’éventuelles poursuites… TROP TARD !

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Photos de microscopie choquantes de caillots sanguins extraits de ceux qui sont « morts subitement » – structures cristallines, nanofils, particules crayeuses et structures fibreuses

Aujourd’hui, nous publions une série de photos de microscopie de laboratoire de caillots bizarres qui sont maintenant régulièrement trouvés chez des adultes qui sont «morts subitement», généralement quelques mois après les vaccinations contre le covid.

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Quel est le mode d’action des molécules d’un traitement anti-Covid-19 précoce ?

Les traitements ambulatoires précoces agissent sur le Covid-19 et les bactéries de diverses manières. Certaines molécules agissent en bloquant l’entrée et/ou les effets délétères du virus dans la cellule, d’autres en prévenant d’une infection bactérienne qui peut suivre une attaque virale et provoquer une surinfection prompte à envahir l’organisme notamment lorsque le système immunitaire de l’hôte est affaibli par la vieillesse ou par des comorbidités.

Cet entretien est réalisé avec Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS et docteur en biologie cellulaire et microbiologie, affilié à l’institut de neurophysiopathologie à l’université d’Aix-Marseille.

Nous précisons que Jean-Marc Sabatier s’exprime ici en son nom.

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Refusons la poursuite des injections anticovid qui favorisent l’augmentation des cancers

Il est temps d’engager une grande campagne populaire contre la poursuite de la pseudo vaccination anti-covid dont l’inefficacité contre l’épidémie est devenue évidente alors que liste des complications dans la vraie vie, s’allonge. Les pétitions en cours n’ont pas suffi[1]. Chacun d’entre vous sait maintenant que les AVC, les morts brutales lors d’un effort, les infarctus et les myocardites, les régressions intellectuelles, les encéphalopathies se multiplient, et particulièrement chez les sujets jeunes et les adolescents qui ne risquaient pas de mourir du covid.

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