Les auteurs de l’étude financée par Gates notent que les « marquages » devraient persister pendant au moins 5 ans :
Nous présentons des données caractérisant l’expression du signal sur 9 mois chez les animaux et des études in vitro de photoblanchiment accéléré à la lumière solaire qui suggèrent que les marquages détectables persisteraient jusqu’au point temporel cible de cinq ans.
Les points quantiques (QD S10C5H encapsulés dans des microsphères de poly(méthacrylate de méthyle)) peuvent être détectés avec des smartphones adaptés pour une utilisation dans des conditions réelles :
Ces points quantiques sont destinés à être délivrés avec un « vaccin » contenu dans les patchs à micro-aiguilles :
L’administration concomitante d’un vaccin antipoliomyélitique inactivé a produit des titres d’anticorps neutralisants supérieurs au seuil considéré comme protecteur. Ces résultats suggèrent que les QD intradermiques peuvent être utilisés pour coder de manière fiable les informations et peuvent être administrés avec un vaccin.
Kim et al. , financés par le NIH, ont développé des patchs de micro-aiguilles contre la COVID-19 qui délivrent la sous-unité S1 de la protéine Spike du SARS-CoV-2. Ces patchs peuvent accroître la couverture vaccinale car ils peuvent être auto-administrés sans l’aide d’un professionnel de santé qualifié et ont une longue durée de conservation.
Si des passeports de vérification par points quantiques étaient déployés lors d’une future pandémie, les libertés fondamentales et l’autonomie physique des populations pourraient être totalement perdues. S’agissant d’un objectif du complexe biopharmaceutique, il faut s’attendre à ce qu’il encourage le déploiement mondial de cette plateforme invasive.
Les implants à points quantiques serviraient de passeports vaccinaux biologiques, leur détection sur la peau humaine étant requise pour entrer dans les supermarchés, les restaurants, les salles de sport et voyager. Tenter de contourner ce système sans se faire vacciner serait quasiment impossible.
Contrairement à un identifiant sur une carte ou un smartphone, les points quantiques sont physiquement placés dans le corps, symbolisant une profonde allégeance et une soumission à la fausse religion de l’idéologie du vaccin .
Alors que le gouvernement a annoncé le lancement d’une nouvelle campagne de vaccination hivernale à compter du 14 octobre 2025, le Syndicat Liberté Santé souhaite vous adresser un appel solennel et confraternel.
Les campagnes de vaccination contre le H1N1 en 2009 puis contre la Covid-19 à partir de 2021 ont brisé la confiance déjà bien entamée d’un grand nombre de nos citoyens et de professionnels de santé vis-à-vis des politiques de santé.
Le Syndicat SLS défend un soin à visage humain. Cela se caractérise par la préservation de la relation du médecin au patient, dont les fondements sont une information claire loyale et appropriée délivrée par le médecin pour un consentement libre et éclairé du patient.
Les dernières campagnes de vaccination massives, dont le bilan n’a toujours pas été tiré par les autorités sanitaires, prennent un caractère d’industrialisation de la santé aux dépens d’un soin individualisé et adapté à chaque patient, condition essentielle pour respecter la déontologie médicale.
D’autre part, le premier devoir du médecin, et des praticiens de santé en général, est celui de ne pas nuire.
Or nous savons que le vaccin Covid-19 reste un produit expérimental. Son efficacité, non démontrée par les laboratoires, est contestée par des études scientifiques rigoureuses. La sécurité du vaccin Covid-19 est quant à elle sérieusement remise en question par des chiffres alarmants d’effets indésirables et des témoignages de victimes, ainsi que par de récentes études à grande échelle.
Au regard des dérives constatées depuis plusieurs années (absence de prise en compte des signaux d’alerte des victimes et de la pharmacovigilance, stigmatisation et suspension ou interdiction d’exercice des soignants critiques, restrictions de la liberté de prescription et d’expression), il est impératif que chacune et chacun d’entre vous réfléchissent aux responsabilités déontologiques qui incombent à votre mission. Car c’est le médecin qui est le maillon fondamental de la confiance en une médecine allopathique préventive.
Participer à cette campagne, dans ces conditions, c’est cautionner une politique sanitaire qui a largement manqué à ses obligations fondamentales de sécurité et de transparence. C’est aussi risquer de compromettre la relation de confiance avec vos patients et votre intégrité professionnelle.
La Médecine se doit d’être indépendante et refuser l’immixtion dangereuse de l’État et de l’industrie pharmaceutique dans votre relation avec vos patients, incompatible avec la déontologie médicale.
Le Syndicat Liberté Santé vous invite donc à la réflexion sur les implications éthiques et en termes de santé publique concernant la campagne de vaccination hivernale.
Le Syndicat SLS reste à vos côtés pour vous accompagner, vous conseiller et vous défendre face à toute tentative de sanction ou de pression arbitraire destinée à vous détourner de votre vocation : le Soin Éthique et respectueux des patients.
À la demande de la justice américaine, Pfizer a finalement révélé une liste d’effets secondaires induits par les vaccins anti-Covid. Précisons que tout le monde n’est pas loti à la même enseigne puisque les lots des vaccins sont de qualité inégale. Ci-dessous, vérifiez avec quel lot vous avez été vaccinés.
Vaccins Covid (Freepik)
Tous les vaccins ont des effets secondaires plus ou moins délétères. Les vaccins contre le Covid ne font pas exception, au contraire, puisqu’ils ont été élaborés à la hâte en pleine pandémie. Les autorités sanitaires de nombreux pays, dont la France, ont longtemps nié l’existence de ces effets secondaires, pour ne pas affoler les populations, massivement vaccinées sous la contrainte. Quels sont ces effets secondaires ? La liste est longue. Très longue, comme le reconnaît enfin un document récemment rendu public par le laboratoire Pfizer, sommé par la justice américaine. Près de 300 pages (ci-dessous) de conséquences classées de graves à peu graves, mais qui sont toutes liées au vaccin.
Un lien entre vaccins et turbo-cancers
Pour tout scientifique digne de ce nom, il était difficile de nier ces effets délétères de la vaccination. Nous avons publié, dès 2021 et les premières injections de vaccins anti-Covid, les alertes régulières Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, directeur de recherche au CNRS, HDR en biochimie (il s’exprime ici en son nom propre).
Jean-Marc Sabatier (DR)
Nous lui demandions : existe-t-il, selon vous, un lien entre vaccins ARNm et turbo cancers qui explosent dans le monde ? « Oui, il existe un lien entre les turbo-cancers et les vaccins anti-Covid-19 (notamment à ARNm) affirme J-M. Sabatier : la suractivation du récepteur AT1R du SRA (Système rénine-angiotensine). Le SRA est impliqué dans la différenciation et la multiplication cellulaire, autrement dit, il commande la multiplication des cellules. Or, le cancer correspond à une prolifération anarchique de cellules. » Il précise : « La protéine spike vaccinale en se fixant sur le récepteur ECA2 gêne la dégradation de l’angiotensine 2 qui, en excès, va suractiver sa cible cellulaire, le récepteur AT1R. Le récepteur AT1R est pro-tumoral, pro-angiogénique (il favorise la vascularisation des tumeurs), pro-inflammatoire, et pro-oxydant (il relargue les particules réactives de l’oxygène, radicaux libres ou précurseurs de radicaux libres et engendrent un stress oxydant délétère pour les cellules).
Explosion de cancers dans le monde
Les substances anti-angiogéniques sont antitumorales, elles empêchent le développement des tumeurs. Il a été largement décrit que les antagonistes (bloqueurs) du récepteur AT1R ont une activité antitumorale contre les cancers du sein, de la prostate, des poumons, etc. Finalement, il existe bien un lien entre vaccins anti-Covid-19 et l’explosion des cas de turbo cancers. » Jean-Marc Sabatier a décrit dès mars 2020 l’activité pro-cancéreuse du dérèglement du SRA via l’activation du récepteur AT1R, médié par la protéine spike du virus SARS-CoV-2, alors que, à cette période précoce de la pandémie, aucun cas de cancer n’était rapporté.
Des troubles de la coagulation
En effet, les vaccins anti-Covid ne sont pas sans effet également sur les organes sexuels et la sexualité. « Les femmes possèdent un SRA ovarien (appelé OVRAS) qui joue un rôle clef dans la physiologie des ovaires, et les maladies ovariennes associées. Chez la femme, on peut ainsi observer (parallèlement aux autres pathologies Covid-19 potentielles) un dérèglement du cycle menstruel plus ou moins important et invalidant.
Un phénomène sous-estimé
Depuis 2021, à la suite de Jean-Marc Sabatier, plusieurs associations alertent sur une augmentation inquiétante de pathologies diverses et variées : cancers atypiques, maladies neurologiques, auto-immunes et cardiaques, etc. liées aux vaccins à ARN messager. Selon les organisateurs, certains services hospitaliers constatent cette hausse, mais n’osent pas s’exprimer officiellement. Les chiffres interpellent : 12% de la pharmacovigilance mondiale concernerait les vaccins Covid, et près de 12 000 études seraient en cours pour examiner un lien potentiel avec diverses pathologies. En France, le dernier rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) publié en juin 2023 faisait état de 193 934 signalements d’effets indésirables, dont 1 635 décès – des données issues d’un système de pharmacovigilance passive probablement sous-évaluées selon les organisateurs.
Traduction d’un article de Reclaim the net publié le 19 octobre 2025
L’Epidemic Intelligence from Open Sources est déjà en place dans plus de 100 pays. L’Organisation mondiale de la santé a introduit une refonte majeure de son réseau mondial de surveillance, en dévoilant une plateforme alimentée par l’IA qui suit les conversations en ligne et l’activité médiatique en temps réel.
Connu sous le nom d’Epidemic Intelligence from Open Sources 2.0 (EIOS), le système est présenté comme une nouvelle étape dans la « préparation à une pandémie », mais sa portée s’étend bien au-delà de la surveillance des maladies.
La mise à niveau fait partie d’une fusion croissante entre la surveillance de la santé, le suivi numérique et le contrôle centralisé de l’information.
Développée avec le European Commission’s Joint Research Center (JRC soit Centre mixte de recherche de la Commission européenne), la nouvelle version de l’EIOS est conçue pour analyser Internet à la recherche de signaux de menaces sanitaires émergentes.
Selon l’OMS, elle analyse désormais automatiquement les publications sur les réseaux sociaux, les sites Web et d’autres sources publiques pour détecter d’éventuelles épidémies.
Bien qu’il soit décrit comme un outil d’alerte précoce, il permet effectivement à une autorité sanitaire mondiale d’observer les conversations numériques du monde sous la bannière de la sécurité.
La page de collaboration EIOS de l’OMS indique que les partenaires explorent également des projets tels que « News Article Credibility Detection » (Détection de la crédibilité des articles d’actualité) et « Systèmes de classification de la désinformation ».
Ces initiatives suggèrent un intérêt croissant pour la façon dont l’information est catégorisée et filtrée.
Ce dernier effort semble lié au « Misinfo Classifier » (Classificateur de désinformation) du JRC, publié en 2020, que le JRC a décrit comme un programme d’IA qui détecte les « fausses nouvelles » en analysant le ton et l’intensité du langage dans les articles.
L’organisation a affirmé que l’outil a atteint un taux de réussite de 80% et a déclaré que « c’est conforme aux performances actuelles ».
À l’époque, le JRC a déclaré que le classificateur était déjà utilisé par la Commission européenne et le Parlement européen, et qu’il serait bientôt partagé avec des organisations professionnelles de vérification des faits.
L’existence de ce projet met en évidence la façon dont l’analyse des données et le contrôle de l’information sont intégrés dans l’infrastructure de santé publique.
L’OMS rapporte que EIOS opère déjà dans plus de 110 pays et collabore avec plus de 30 organisations, y compris les gouvernements nationaux et la Commission européenne. La plateforme est offerte « gratuitement » aux utilisateurs éligibles, ainsi que du matériel de formation et un soutien.
Cette approche relie les systèmes de surveillance nationaux directement à un réseau géré par l’OMS qui collecte et traite en permanence les données mondiales.
Le concept d’« écoute sociale » de l’OMS met davantage en lumière cette stratégie. Il définit l’écoute sociale comme « le processus d’écoute et d’analyse des conversations et des récits » pour comprendre les «attitudes, les connaissances, les croyances et les intentions » des gens.
En termes pratiques, cela signifie que l’organisation ne collecte pas seulement des données sur les maladies, mais analyse également la façon dont les citoyens pensent et communiquent en ligne.
Dans son annonce du 13 octobre, l’OMS a décrit EIOS 2.0 comme « plus ouvert, plus agile et plus inclusif ».
Cependant, sous ce langage se trouve un cadre de surveillance en expansion qui utilise l’intelligence artificielle pour interpréter le comportement social mondial.
Un système censé améliorer la sécurité sanitaire pourrait facilement fonctionner comme un outil de surveillance de l’opinion publique et de l’expression en ligne.
Cette initiative combine l’intelligence artificielle, la coopération gouvernementale et le suivi des médias sociaux sous le label de sécurité sanitaire mondiale. Il représente un passage du contrôle traditionnel des maladies à l’analyse continue de la communication publique, où les algorithmes déterminent quelles discussions semblent « pertinentes » ou « trompeuses ».
C’est quelque chose que l’OMS envisage de mettre en œuvre depuis un certain temps.
Pour les pays qui choisissent d’adopter l’EIOS, la dépendance aux données et aux analyses de l’OMS peut se faire au prix de l’indépendance numérique.
Sous la justification de la protection de la santé publique, l’OMS met en place un réseau numérique permanent qui surveille, classe et évalue le discours mondial, redéfinissant discrètement ce que signifie gérer la santé et l’information dans le même souffle.
Pour suivre les infos sur les moyens de surveillance et de censure, vous pouvez consulter « Reclaim the net« .
Nouveau projet injustifié d’obligation vaccinale grippale des soignants. Dites NON. Revue de la littérature.
Une proposition de loi proposée par Mme Agnès FIRMIN LE BODO, Mme Lise MAGNIER, Mme Anne LE HÉNANFF, M. Bertrand BOUYX, M. Xavier ALBERTINI » veut obliger les médecins à se vacciner contre la grippe sous des prétextes fallacieux contraires aux données acquises de la science.
Il est intégré au Projet de loi de financement de la Sécurité sociale présenté en octobre, 2026 dans un volet comportant l’obligation pour les professionnels de santé de se faire vacciner contre la grippe et la rougeole.
Ils prétendent, sans aucun argument factuel :« En étant vaccinés, cela réduirait significativement le risque de transmission du virus de la grippe à ces potentiels patients vulnérables ».
Nous nous appesantirons sur l’aberration d’une obligation de la vaccination contre la rougeole des soignants dans un prochain article. Dans l’immédiat nous rappelons les faits établis qui démentent leur propagande pour l’obligation de la vaccination anti-grippe.
Les liens de l’instigatrice du projet de loi avec l’industrie pharmaceutique
Madame Agnès FIRMIN-LE BODO est pharmacienne, titulaire d’une officine en ville.
Fin décembre 2023, alors qu’elle venait d’être nommée ministre de la santé, le journal Médiapart a révélé[1][2] qu’elle était visée par une enquête judiciaire ouverte en juin 2023″ pour avoir reçu « sans les déclarer » des cadeaux d’une valeur estimée à 20 000 euros des laboratoires Urgo et « s’être fait livrer à 21 reprises, de 2015 à 2020, des produits de luxe – des montres, bouteilles de vin et magnums de champagne, coffrets pour des week-end« [3][4]. Médiapart avait présenté le 8 janvier 2024 le comportement Firmin Le Bodo comme « un cas d’école de délinquance en col blanc ».
Le 14 octobre 2024, elle a été condamnée par le tribunal correctionnel du Havre, [5] à 8.000 euros d’amende, après avoir reconnu sa culpabilité, ce qui lui a permis d’éviter un procès public.
On peut craindre que sa proposition de loi ne traduise une fois de plus ses liens avec l’industrie pharmaceutique.
Quelques rappels sur la grippe
Plus de 200 virus influenza provoquent des symptômes grippaux.
Leur transmission se fait principalement par voie aérienne, par les gouttes de salive et d’éternuements que diffusent autour d’elles les personnes infectées, en parlant, en toussant ou en éternuant. Des millions de virus se retrouvent alors dans l’air, prêts à être inhalés et à vous contaminer. Mais aussi par contact interhumain rapproché : une personne malade vous serre la main ou vous embrasse ou par le contact avec des objets touchés par une personne malade.
L’éradication des virus grippaux est impossible car les nombreuses espèces animales qui peuvent être infectées (porcs, canards, poulets, chevaux) constituent des réservoirs inépuisables.
Le virus grippal se modifie chaque année de manière imprévisible et comme il n’existe pas d’immunité croisée entre les différentes souches, la maladie peut réapparaître chaque année.
Les vaccins antigrippaux sont peu efficaces
L’efficacité d’un vaccin contre la grippe à venir n’est jamais certaine car elle nécessite la concordance entre les souches vaccinales et celles qui circulent dans la population. Comme le virus grippal mute chaque année, la composition du vaccin est modifiée chaque année, selon les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui se réunit au mois de février pour déterminer quelles souches de la grippe seront incluses dans le vaccin de la saison suivante. « On se base sur les souches en circulation en février dans l’hémisphère sud pour déterminer quel vaccin sera donné en novembre dans l’hémisphère nord. Ça donne au virus le temps d’évoluer ». Il comporte presque toujours une souche contre l’A/H1N1, une contre le A/H3N2, et une ou deux souches contre l’influenza B.
A chaque fois, il s’agit d’un nouveau vaccin, dont ni l’efficacité ni la tolérance ne peuvent être déduites des expériences des années précédentes. Les campagnes de vaccination antigrippale de la population constituent donc plus des essais d’un vaccin qui « a de bonnes chances d’être efficace » que l’utilisation d’un médicament dont on connait l’efficacité, les effets secondaires et les contre-indications éventuelles.
Pour délivrer l’autorisation de mise sur le marché (AMM), les agences sanitaires se basent sur « l’efficacité sérologique » estimée d’après le taux des anticorps titrés au cours d’essais cliniques limités. Il n’existe pas d’études randomisées de qualité portant sur des échantillons représentatifs de population et jugées sur des critères cliniques.
On ne peut donc évaluer l’utilité réelle du vaccin qu’a posteriori, après la fin de l’épidémie annuelle par rapport aux année précédentes et sans comparaison possible avec un groupe témoin non vacciné. Ainsi, les estimations de l’efficacité du vaccin résultent le plus souvent de calculs mathématiques, de simulations, dont les résultats varient considérablement en fonction des hypothèses choisies et, pour cette raison sont loin d’être fiables malgré leur méthodologie scientifique.
L’efficacité du vaccin pour prévenir la grippe menant à des consultations ambulatoires, et dont le diagnostic a été confirmée par des tests diagnostiques d’amplification d’acides nucléiques se situe généralement entre 40 et 60% et parfois bien au-dessous.
Pour la saison 2016-2017 un rapport de l’Institut de Veille Sanitaire[6] a estimé à seulement 25% l’efficacité du vaccin pour l’ensemble des groupes à risque (25,7%) ainsi que chez les personnes 65 ans et plus (23,4%. Chez les personnes hospitalisées de 65 ans et plus, elle a été évaluée à 2,5%.
Les statistiques officielles de l’agence de santé publique « Santé France » sugèrent que le vaccin ne protège pas contre les formes graves ou mortelles de grippe. Ainsi, dans le Bulletin hebdomadaire du 17/01/2018, il est spécifié « depuis le 1er novembre 2017, 1 137 cas graves de grippe ont été signalés. 58% des cas pour lesquels le statut vaccinal était renseigné n’étaient pas vaccinés » ce qui était pratiquement le même chiffre que celui de la population générale. Or si le vaccin avait eu la moindre efficacité, les non vaccinés auraient dû être plus nombreux à souffrir de formes graves.
En 2009 Le professeur Gaston De Serres, épidémiologiste à l’Institut national de santé publique du Québec et professeur d’épidémiologie à l’Université Laval constatait tristement[7] : « Actuellement, on dépense des centaines de millions de dollars au Canada pour la vaccination contre l’influenza avec des performances qui sont, je dirais, bien modérées. On est loin d’avoir un vaccin qui rejoint nos attentes… L’efficacité du vaccin contre la grippe n’est simplement pas à la hauteur. »
Au Canada pendant l’hiver 2014-2015, les organismes officiels ont reconnu que l’efficacité du vaccin avait été particulièrement basse[8] — on parlait parfois dans les médias d’un taux d’efficacité de 0 % !
Une étude menée en 2014-15 en Italie a confirmé une totale inefficacité contre la grippe de souche A(H3N2)[9].
La méta-analyse Cochrane de 2014 a inclus toutes les études d’efficacité vaccinale publiées jusqu’en 2013. Cette mise à jour prend en compte 90 rapports de 116 études comparant l’effet du vaccin antigrippal avec un placebo, ou aucune intervention. Soixante-neuf rapports étaient des essais cliniques (70 000 personnes), 27 des études de cohorte (environ 8 millions de personnes) et 20 des comparaisons cas-témoins (près de 25 000 sujets). Cette macroanalyse montre que l’effet préventif du vaccin antigrippal parentéral inactivé chez les adultes sains est très faible : Il faudrait au moins vacciner 71 personnes pour prévenir un cas de grippe. De plus, et contrairement à ce qui est fréquemment avancé, la vaccination ne montre aucun effet appréciable sur les symptômes de la maladie et un effet très modeste dans la réduction de l’absentéisme au travail (1 jour) ou les durées d’hospitalisation.
Enfin la répétition annuelle des vaccinations antigrippales parait susceptible d’en diminuer l’efficacité. Une étude menée sur huit saisons grippales a montré que plus les personnes avaient reçu de doses de vaccin, plus l’efficacité du vaccin diminuait [10]. Au Canada, en 2015-2016, les personnes vaccinées en 2014-15 et lors des deux saisons précédentes avaient un risque significativement plus important de faire une grippe par rapport à celles qui n’avaient pas été vaccinées[11].
Aux USA, une étude de 2013 a également mis en évidence une efficacité vaccinale diminuée chez les individus vaccinés de façon répétée [12].
En 2025 l’étude systématique de la littérature de Ge H et al [13] confirme que les vaccins antigrippaux offrent une protection très modérée. Au total « aucune étude de qualité ne prouve avec certitude que le vaccin contre la grippe soit réellement utile comme moyen de prévenir la grippe, et les travaux dont on dispose actuellement montrent que l’efficacité clinique du vaccin est trop faible. »
Ainsi que le rappellent le Haut Conseil de la Santé Publique français, le Comité sur l’immunisation du Québec et l’institut Cochrane, « des études randomisées contre placebo à financement public sur plusieurs saisons grippales devraient être conduites pour lever ces doutes majeurs sur l’utilité réelle du vaccin ».
Les vaccins contre la grippe exposent à des complications.
Comme tout traitement actif les vaccins contre la grippe peuvent être suivis par des évènements indésirables.
Les vaccins sont fréquemment responsables de réactions locales mineures (érythème local, sensibilité et douleur), mais des effets secondaires, plus rares mais plus graves, ont été observés.
Citons le syndrome oculo-respiratoire décrit en 2000 au Canada [14] , les convulsions fébriles chez les jeunes enfants en Australie en 2010 [15], les narcolepsies-catalepsies[16] dont 650 ont été observés en Europe[17] après vaccination contre la grippe A H1N1 chez l’enfant et l’adulte jeune ayant reçu le vaccin antigrippal Pandemrix® (GlaxoSmithKline). En France, en septembre 2013, l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) a fait état de 61 cas de narcolepsie[18] (56 chez des personnes vaccinées avec le Pandemrix, trois vaccinées par le Panenza (Sanofi) – réservé aux nourrissons, aux femmes enceintes et aux personnes immunodéprimées – et 2 par des vaccins non identifiés). Trois adolescents ont été indemnisés[19] de 600.000 à 650.000 euros par l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam) pour narcolepsie secondaire à la vaccination contre la grippe A(H1N1)l.
Le risque de syndrome de Guillain-Barré estimé à 2 à 5 cas supplémentaires par million de vaccinations[21] et qui, d’après les statistiques publiées par le ministère américain de la Santé et des Services sociaux, est le principal effet secondaire donnant lieu à des demandes d’indemnisation pour complications survenues après vaccin contre la grippe.
La trop faible efficacité de ce vaccin et ses risque de complications graves explique la réticence considérable des soignants en bonne santé à se faire vacciner pour une maladie bénigne à leur âge, en France[22] comme dans la plupart des pays industrialisés[23]
L’obligation vaccinale des soignants contre la grippe est injustifiée
La grippe représente un risque professionnel pour les soignants, mais les nombreuses possibilités de contamination extraprofessionnelle en période d’épidémie (transports en commun, famille, etc..) rendent l’estimation du risque difficile. La seule étude directe, comparant des soignants à des non-soignants pour évaluer leur risque professionnel a montré un surrisque non significatif de grippe pour les soignants, plus lié à la présence d’enfants dans leur famille qu’à leur exposition professionnelle. La vaccination des soignants diminue le nombre d’infections grippales documentées, de syndromes grippaux et réduit l’absentéisme au travail, mais là encore dans des proportions minimes et le plus souvent non significatives [24][25][26][27][28].
En 2005, sous la présidence de Jacques Chirac, le ministre de la Santé Xavier Bertrand avait fait adopter une loi promulguée par Dominique de Villepin rendant le vaccin antigrippal obligatoire pour les soignants. Moins d’un an plus tard, un décret suspendait cette obligation, après un avis du Conseil supérieur d’hygiène publique de France, estimant notamment que cette obligation « risquerait d’altérer l’adhésion » du personnel médical à la vaccination.
En 2023, la HAS ne recommandait pas cette obligation vaccinale contre la grippe compte tenu notamment « de l’efficacité imparfaite » du vaccin et « de l’insuffisance des données disponibles à ce jour ».
C’est également la conclusion d’une macroanalyse Cochrane sur le sujet[29] : « Nous concluons qu’il n’existe pas de preuves de haute qualité indiquant que la vaccination des professionnels de santé contre la grippe protège les personnes âgées de 60 ans ou plus dont ils s’occupent sur les résultats spécifiques à la grippe. »
Au Québec, les autorités refusent l’obligation vaccinale des soignants
Au Québec le Comité sur l’immunisation (CIQ) a déclaré « il n’y a pas de quantification du fardeau de l’influenza chez les patients, dû aux travailleurs de la santé non vaccinés, et que les preuves manquent quant à l’efficacité de la vaccination des travailleurs de la sante à réduire ce fardeau en fournissant une protection indirecte aux patients. Une présomption que la vaccination des travailleurs de la santé permettrait de réduire un fardeau substantiel chez les patients est insuffisante pour justifier une obligation vaccinale.En l’absence de preuves scientifiques de qualité, le CIQ ne recommande pas la mise en place d’une politique de vaccination obligatoire des travailleurs de la santé. ». Le comité d’éthique publique du Québec ( CESP) considère d’ailleurs[30] que « les valeurs de liberté, de non-malfaisance et de respect ont plus de poids que la valeur de bienfaisance, dans la mesure où celle-ci n’est pas pleinement réalisée »
La cécité française sur l’obligation vaccinale antigrippale des soignants.
En 2024-2025, seulement 21 % des soignants en EHPAD étaient vaccinés contre la grippe.
Un taux que l’ancien ministre de la Santé Yannick Neuder a jugé « inacceptable ». « Au pays de Pasteur, c’est fou que seuls 20 % des soignants soient vaccinés », a-t-il déploré, paraissant ignorer les faits et analyses précités. et s’estimant plus compétent que ses confrères au point de vouloir leur imposer ce vaccin très discutable.
De même l’Assurance Maladie prétend [31] « 3 000 décès supplémentaires pourraient être évités chaque année si la couverture vaccinale atteignait l’objectif de 75% fixé par l’OMS » sans préciser que ce chiffre résulte non pas d’une analyse de faits constatés, mais seulement d’une simulation aux hypothèses incertaines démentie par les faits observés aux USA ou, depuis 1980, la mortalité liée à la grippe n’a pas notablement diminué, alors que la couverture vaccinale des personnes âgées a augmenté considérablement passant de 15% à 65 %[32].
Cette discordance trop habituelle entre les faits avérés et leur présentation par les autorités constitue la raison principale de la défiance de la population envers la parole de l’Etat et de ses experts concernant les vaccinations.
Pour redonner confiance, il est indispensable que les experts qui s’expriment en public ou qui orientent la politique sanitaire soient totalement transparents sur leurs liens avec l’industrie et que le ministère adopte une présentation des faits plus pondérée, plus objective, plus scientifique comme le ministre de la Santé R F Kennedy junior tente de l’imposer aux USA.
Il faudrait que nos autorités reconnaissent enfin qu’en démocratie la vaccination comme le réchauffement climatique ou la religion « ça se discute ».
[4] Dont Une montre Omega, Une montre Longines, Une montre Tag Heuer, Une Apple Watch, Trois iPhone, Une enceinte Devialet, 42 bouteilles de champagne, 10 magnums de champagne, 36 bouteilles de Bordeaux Une TV Samsung
[9] Caterina Rizzo et al Influenza vaccine effectiveness in Italy: Age, subtype-specific and vaccine type estimates 2014/15 season. Vaccine Volume 34, Issue 27, 8 June 2016, Pages 3102-3108
[10] McLean, H. Q., Thompson, M. G., Sundaram, M. E., Meece, J. K., McClure, D. L., Friedrich, T. C., et al.
Impact of repeated vaccination on vaccine effectiveness against influenza A(H3N2) and B during 8 seasons. Clin Infect Dis. 2014 ;59(10):1375-85.
[11] Skowronski, D. M. et al. A perfect storm : Impact of genomic variation and serial vaccination on low influenza vaccine effectiveness during the 2014-15 season. Clin Infect Dis. 2016 ;63(1):21-32.
[12] Ohmit, S. E. et al. Influenza vaccine effectiveness in the community and the household. Clin Infect Dis. 2013 ;56(10):1363-9
[13] Ge H, Cao H, Lv J, Li X, Lee A, Zou J, Jiang M, Xiao L, Gan Y, Shen M, Feng D. Efficacy of influenza vaccines and its relationship with immunological surrogate endpoints: a systematic review and meta-analysis of RCT. Clin Microbiol Infect. 2025 Sep 11:S1198-743X(25)00455-0. doi: 10.1016/j.cmi.2025.09.005. Epub ahead of print. PMID: 40945718.
[14] Skowronski, D. M., Strauss, B., De Serres, G., MacDonald, D., Marion, S. A., Naus, M., et al. Oculo-respiratory syndrome : a new influenza vaccine associated adverse event ? Clin Infect Dis. 2003 ;36(6):705-713.
[15] Armstrong, P. K., Dowse, G. K., Effler, P. V., Carcione, D., Blyth, C. C., Richmond, P. C., et al. Epidemiological study of severe febrile reactions in young children in Western Australia caused by a 2010 trivalent inactivated influenza vaccine. BMJ Open.2011 ;1(1):e000016.
[16] V Richeux Narcolepsie post-vaccin H1N1 : facteurs multiples mais causalité indéniable Medscape 12 mai 2017
[17] Société de pneumologie de langue française Narcolepsie postvaccinale de type 1 : environ 650 cas en Europe après vaccination H1N1 de 19 millions de personnes. 22 juin 2017.
[18] Vaccins pandémiques grippe A (H1N1) et narcolepsie : Mise à jour de l’information sur les dernières données scientifiques. ANSM.
[24] Wilde JA, et al. Effectiveness of influenza vaccine in health care professionals : a randomized trial. JAMA 1999 ; 281(10) : 908-13.
[25] Williams CJ, et al. Seasonal influenza risk in hospital healthcare workers is more strongly associated with household than occupational exposures : results from a prospective cohort study in Berlin, Germany, 2006/07. BMC Infect Dis. 2010 Jan ; 10 : 8
[26] Kuster SP, et al. Incidence of influenza in healthy adults and healthcare workers : a systematic review and meta-analysis. PLoS One. 2011 ; 6
[27] Ohmit, S. E, et al. Influenza vaccine effectiveness in the 2011-2012 season : protection against each circulating virus and the effect of prior vaccination on estimates. Clin InfectDis. 2014 ;58(3):319-27
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[32] Simonsen, L., Taylor, R. J., Viboud, C., Miller, M. A.,bJackson, L. A. Mortality benefits of influenza vaccination in elderly people : an ongoing controvesy. Lancet Infect Dis. 2007 ;7(10):658-66.
Cinq ans et plusieurs milliers d’études après le début de la campagne expérimentale de « vaccination » contre le COVID-19, l’heure est au bilan. Deux scientifiques ont condensé l’état des connaissances acquises sur la technologie des vaccins à ARN messager, utilisée depuis 2020 par les laboratoires Pfizer et Moderna, dans un document de deux pages. Nous en présentons ici une traduction en français.
Ce support didactique, clair et intégralement sourcé expose le gouffre qui sépare ce que ces injections font réellement et ce qu’elles étaient censées faire – et surtout ne pas faire. Il est destiné aussi bien aux personnes, vaccinées ou non, qui souhaitent comprendre à quel point la communauté scientifique et médicale s’est fourvoyée, qu’aux médecins qui ont suivi les ordres et qui ont injecté à l’aveugle leurs patients. L’occasion leur est donnée de corriger ce document s’ils estiment qu’il ne reflète pas l’état de la science.
1. On vous dit : « C’est un vaccin », mais ce n’est pas vrai
Ce n’est pas un « vaccin », car il répond à tous les critères d’un produit issu du génie génétique[1]. Il contient de l’ARNm modifié produit synthétiquement et emballé dans des nanoparticules lipidiques qui ont la capacité de transfecter nos cellules.
Ce n’est pas un « vaccin », car il circule dans notre corps et dans nos cellules sans être perçu comme étranger, contrairement aux particules des vaccins conventionnels[2].
Ce n’est pas un « vaccin », car en 2021, l’objectif de la vaccination a été révisé et sa définition a changé. Selon la nouvelle « norme », les « vaccins » ne doivent pas créer une immunité spécifique contre une maladie, mais seulement susciter une réponse immunitaire, même si cette réponse est non spécifique ou indésirable[3].
Ce n’est pas un « vaccin », car dès son entrée dans nos cellules, l’ARNm modifié pirate nos cellules pour les forcer à produire des protéines étrangères, dont la nature est en partie imprévisible[4].
Ce n’est pas un « vaccin », car après avoir reçu une injection d’ARNm, nous sommes toujours considérés comme « non vaccinés ». Il faudra encore deux semaines avant que les autorités médicales ne vous considèrent comme « vacciné ». Par conséquent, les rapports sur les effets indésirables (y compris l’hospitalisation et le décès) qui peuvent survenir au cours des deux premières semaines suivant la vaccination ne seront tout simplement pas comptabilisés, s’ils sont signalés. De même, il est difficile de plaider en faveur d’une quelconque demande d’indemnisation.
Ce n’est pas un « vaccin », car il est prévu que vous receviez régulièrement des injections de rappel. Ces injections répétées entraînent la production ininterrompue de l’antigène, voire de plusieurs antigènes[4]. Cela diffère d’une infection naturelle, dans laquelle l’antigène envahit notre corps de manière occasionnelle et transitoire. Cette présentation continue du même antigène affaiblit inévitablement notre système immunitaire[5].
2. On vous dit : « C’est de l’ARNm », mais ce n’est pas vrai
Ce n’est pas de l’ARN messager (ARNm), c’est de l’ARNm modifié (ARNmod)[6],[7]. Cet ARNmod imite l’ARNm, mais possède des caractéristiques complètement différentes :
Ce n’est pas de l’ARNm, car il est composé d’un nouveau code génétique synthétique. Une lettre du code génétique, le U, qui est l’uridine naturelle, est systématiquement remplacée par Psi, qui est la Nl-méthyl-pseudouridine (mΨ) synthétique.
C’est de l’ARN modifié, car on ne sait pas s’il se dégrade et quand il se dégrade. La transformation de U en Psi rend le modRNA moins inflammatoire et augmente sa longévité, qui passe de quelques heures à plusieurs mois. Les effets possibles de ces modifications sur les régulations épigénétiques et post-traductionnelles sont pour la plupart inconnus. Contrairement à l’ARNm naturel, qui se dégrade rapidement, l’ARNm des « vaccins » COVID-19 a été détecté dans le sang jusqu’à 28 jours[8] et dans les tissus jusqu’à huit semaines après l’injection[9]. Il a été démontré que la protéine de pointe produite par l’ARNm modifié injecté circule dans le sang jusqu’à six mois après l’injection[10].
C’est de l’ARN modifié, car la séquence a également été modifiée en augmentant la teneur en G (guanine) et en C (cytosine). C’est ce qu’on appelle « l’optimisation des codons », mais cette substitution supprime le système immunitaire inné, ce qui est également très problématique puisqu’il représente la première ligne de défense contre les micro-organismes envahissants[11].
Il contient de l’ADN en plus de l’ARNm modifié
C’est également de l’ADN, ce qui est tout à fait inattendu. De grandes quantités d’ADN contaminant ont été retrouvées dans le vaccin[12], dont les effets sont inquiétants en l’état de nos connaissances scientifiques, présentant des régulations altérées et un risque d’intégration dans notre génome[13]. Ces contaminants résultent d’un changement dans le processus de fabrication. Dans le processus initial, utilisé pour les essais cliniques, l’ARNm modifié était produit par transcription in vitro à partir d’ADN synthétique suivi d’une amplification PCR propre. Dans le processus modifié, utilisé sur la population pour les campagnes de « vaccination » par les gouvernements, l’ARN viral transcrit à l’envers en ADN était cloné dans des plasmides bactériens, entraînant la contamination du produit par un mélange d’ADN bactérien et d’ADN viral[14].
3. On vous dit : « Le vaccin restera dans votre muscle », mais ce n’est pas vrai
Le « vaccin » n’a jamais été conçu pour rester dans le muscle, mais pour passer dans la circulation sanguine, les ganglions lymphatiques et même le lait maternel.
Les nanoparticules lipidiques, qui enveloppent l’ARNm, ne restent pas dans la circulation sanguine comme c’est le cas avec un vaccin conventionnel. Au contraire, elles peuvent pénétrer dans n’importe quelle cellule de notre corps, y compris dans des organes clés tels que le cœur, le cerveau, le foie, les reins, les poumons, la rate, l’estomac, les ovaires et les testicules[15],[16].
Les nanoparticules lipidiques sont hautement inflammatoires et toxiques. Par conséquent, des injections répétées augmenteront les dommages causés à nos cellules, voire leur mort[17].
Un effet indésirable grave prédominant est la myocardite et la péricardite, c’est-à-dire l’inflammation du cœur, en particulier chez les jeunes. Cette inflammation résulte probablement d’une attaque auto-immune contre les cellules du cœur qui ont reçu les particules injectées et exprimé la protéine spike[18],[19].
4. On vous dit : « La technologie de l’ARNm permet de produire le messager désiré », mais ce n’est pas vrai
Le « Les vaccins sont sûrs » n’était qu’un mensonge depuis le début, car il était impossible d’anticiper ce que notre corps, transformé en « usine », produirait en termes d’antigènes et de quantité d’antigènes. Aucun dosage sûr ne peut être proposé puisque personne n’est en mesure d’anticiper la dose qui sera produite par nos cellules.
La technologie ARNm aboutit à la production de produits insensés aux effets biologiques totalement imprévisibles[4]. La substitution du « U » par le « Psi » dans le code génétique de l’ARNm entraîne un décalage dans la lecture du triplet qui sert normalement à assembler l’acide aminé correspondant de la future protéine par les ribosomes. Par exemple, si un messager lit ALE-XAN-DRA, chacun de ces trois triplets codant pour un acide aminé spécifique, le décalage de trame conduira à une lecture de LEX-AND-RA. La protéine résultante sera totalement différente et raccourcie, puisque « RA » est incomplet pour coder un troisième acide aminé. Le résultat est au mieux neutre, au pire létal, et dans tous les cas non-soi.
5. On vous dit : « L’ARNm ne peut pas être intégré dans l’ADN », mais ce n’est pas vrai
Le « vaccin » ARNm peut manifestement s’intégrer dans l’ADN, car la séquence correspondant à un fragment de l’ARN modifié du « vaccin » injecté a été trouvée dans les cellules sanguines du patient[20].
L’ARNm du « vaccin » peut manifestement être transcrit en sens inverse dans l’ADN, car il a été démontré que l’exposition de cellules humaines cultivées à l’ARNm « vaccin » activait LINE-1, qui fournit une transcriptase inverse, transformant l’ARNm « vaccin » en ADN[21].
En outre, l’ARNm codant pour la protéine spike a été trouvé de manière inattendue dans le noyau[22].
Les contaminants d’ADN trouvés dans les injections d’ARN modifié de BioNTech/Pfizer contiennent une séquence de virus de singe, à savoir la séquence du promoteur du virus simien 40 (SV40), qui est connue pour améliorer le transport de l’ADN dans le noyau. Cela augmente encore le risque d’intégration de cet ADN étranger dans le génome de nos cellules, avec des conséquences imprévisibles[23].
Si un tel événement se produit dans les cellules germinales mâles ou femelles impliquées dans la fécondation, le génome de la progéniture sera également modifié.
Toute intégration génomique d’une séquence dérivée d’un « vaccin » entraînera probablement l’expression d’un gène étranger et une régulation aberrante des gènes. Cette dernière peut entraîner l’activation d’oncogènes ou l’inactivation de gènes suppresseurs de tumeurs, deux phénomènes qui favorisent le cancer. Ce risque est aggravé par l’immunosuppression observée chez de nombreuses personnes « vaccinées », qui implique une défense immunitaire insuffisante contre les cellules tumorales. Il peut en résulter un « turbo-cancer ».
Selon le résumé officiel des caractéristiques du produit[19, p. 18] approuvé par l’EMA et la Commission européenne : « Aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n’a été réalisée ».
C’est la technologie des « vaccins » ARNm elle-même qui pose problème
L’ARNm synthétiquement modifié (ARNm) injecté détourne nos cellules en les forçant à produire des protéines étrangères. Certaines ont été conçues pour être produites (c’est-à-dire la protéine Spike dans le cas des injections de COVID-19), tandis que d’autres ne l’ont pas été. Ces dernières résultent de la fragmentation de l’ARNm et du décalage de la traduction. La production n’a pas d’interrupteur et peut affecter n’importe quel organe. En conséquence, notre système immunitaire détruira des cellules auparavant saines. Deux caractéristiques essentielles de l’ARNm naturel sont déformées :
Premièrement, l’ARNm naturel présente une expression spécifique à la cellule, ce qui garantit un ajustement en temps réel. En revanche, les nanoparticules lipidiques délivrent l’ARNm de manière totalement aveugle.
L’ADN est souvent appelé le « livre de la vie ». Il se trouve exclusivement dans le noyau, sauf pendant la division cellulaire. L’alphabet blanc est composé de 26 lettres, mais l’ADN ne comprend que 4 lettres : A (adénine), T (thymine, remplacée dans l’ARNm par U (uridine)), G (guanine) et C (cytosine).
Par le processus appelé « transcription », les gènes situés sur l’ADN sont copiés dans l’ARNm avec les lettres correspondantes. L’ARNm sort du noyau, où il peut être lu par les ribosomes et converti en protéines par le processus appelé traduction. L’ADN peut être comparé à un livre de pâtisserie, l’ARNm à une recette spécifique et la protéine au gâteau qui en résulte.
Les cellules remplissent des tâches variées (par exemple, les cellules de la peau par rapport aux neurones) et ont donc besoin d’ensembles de protéines spécifiques à la cellule (c’est-à-dire les gâteaux). Ces ensembles de protéines sont constamment ajustés dans le temps et dans l’espace, en fonction de l’âge et de l’activité, que nous dormions, mangions, fassions de l’exercice, buvions de l’alcool ou prenions des médicaments. Dans ce système, toute production d’une protéine étrangère consomme non seulement de l’énergie supplémentaire, mais perturbe également le bon déroulement des activités de nos cellules.
Deuxièmement, la production naturelle d’ARNm est soumise à une régulation extrêmement précise et a une durée de vie courte, ce qui garantit une adaptation rapide à des conditions de vie changeantes. Contrairement à cela, les ARNm synthétiques sont conçus pour renforcer la protéine sans interrupteur.
Contrairement à l’ARNm modifié, la longévité de l’ARNm naturel est étroitement régulée. Elle peut être naturellement réduite par différents mécanismes, tels que :
une rétroaction négative qui réduit ou arrête la production d’ARNm supplémentaire,
la régulation par des microARN qui agissent souvent d’une manière spécifique à la cellule,
des enzymes de dégradation de l’ARN (RNases) qui dégradent l’ARNm.
Télécharger ou consulter le document : Technologie des « vaccins » à base d’ARNm : GAME OVER
[1] Banoun H. mRNA: Vaccine or Gene Therapy? The Safety Regulatory Issues. Int J Mol Sci. 2023 Jun 22;24(13):10514. https://doi.org/10.3390/ijms241310514.
[4] Mulroney TE, Pöyry T, Yam-Puc JC, Rust M, Harvey RF, Kalmar L, et al. N1-methylpseudouridylation of mRNA causes +1 ribosomal frameshifting. Nature. 2024 Jan;625(7993):189-94. https://doi.org/10.1038/s41586-023-06800-3.
[5] Irrgang P, Gerling J, Kocher K, Lapuente D, Steininger P, Habenicht K, et al. Class switch toward noninflammatory, spike-specific IgG4 antibodies after repeated SARS-CoV-2 mRNA vaccination. Sci Immunol. 2023 Jan 27;8(79):eade2798. https://doi.org/10.1126/sciimmunol.ade2798.
[6] BioNTech. Our mRNA Platforms – revolutionizing vaccine technology. www.biontech.com/int/en/home/pipeline-and-products/platforms/our-mrna-platforms.html. « Nous utilisons de l’ARNm modifié par des nucléosides (modRNA) pour nos candidats RiboCytokines, qui contiennent des blocs de construction modifiés d’origine naturelle conférant une stabilité accrue et une immunogénicité réduite afin de minimiser les réactions immunitaires indésirables et de prolonger la durée de production des protéines – deux défis majeurs dans le développement de produits thérapeutiques sûrs et efficaces à base d’ARNm. »
[7] Granados-Riveron JT, Aquino-Jarquin G. Engineering of the current nucleoside-modified mRNA-LNP vaccines against SARS-CoV-2. Biomed Pharmacother. 2021 Oct;142:111953. https://doi.org/10.1016/j.biopha.2021.111953.
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[9] Röltgen K, Nielsen SCA, Silva O, Younes SF, Zaslavsky M, Costales C, et al. Immune imprinting, breadth of variant recognition, and germinal center response in human SARS-CoV-2 infection and vaccination. Cell. 2022 Mar 17;185(6):1025-1040.e14. https://doi.org/10.1016/j.cell.2022.01.018.
[10] Brogna C, Cristoni S, Marino G, Montano L, Viduto V, Fabrowski M, et al. Detection of recombinant Spike protein in the blood of individuals vaccinated against SARS-CoV-2: Possible molecular mechanisms. Proteomics Clin Appl. 2023 Nov;17(6):e2300048. https://doi.org/10.1002/prca.202300048.
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[18] Li M, Wang X, Feng J, Feng Z, Li W, Ya B. Myocarditis or Pericarditis Following the COVID-19 Vaccination in Adolescents: A Systematic Review. Vaccines (Basel). 2022 Aug 15;10(8):1316. https://doi.org/10.3390/vaccines10081316.
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Vaccins à ARNm auto-amplifiants, trans-amplifiants et à points quantiques de graphène… Une contamination massive du vivant est en cours !
La « vaccination » n’est plus un outil médical : c’est un dogme. Une obsession planétaire où la science s’efface devant la croyance. Jadis rempart contre certaines maladies, le » vaccin » est devenu l’icône d’un progrès technologiqu aveugle, sanctifié par les politiques, les industriels et les nouveaux prêtres d la médecine. Peu importent les échecs, les effets indésirables, les promesses non tenues : l’injection est désormais la réponse à tout. L’exemple le plus frappant : les vaccins à ARN messager contre le SARS- CoV-2. Présentés comme la clé de sortie de la crise sanitaire, ils devaient éradiquer le virus. Ils ont échoué. Transmission, contamination, effets indésirables graves : autant d’alertes ignorées, dissimulées, niées. Plutôt que de faire marche arrière, on accélère. Plusieurs centaines de nouveaux vaccins et thérapies à ARN messager de deuxième génération sont en développement, pour l’homme, les animaux et les plantes. Demain, ce ne sera pas uniquement une question de piqûres : il suffira de manger une salade pour être » vacciné « . Des légumes modifiés pour » protéger » ceux qui les consomment, une médecine furtive qui s’impose sans qu’on en mesure les enjeux. Ce n’est plus de la prévention, mais une dérive technologique vertigineuse, où l’expérimentation de masse devient la norme. À force de tout vouloir contrôler, ne risquons-nous pas de détruire l’équilibre des écosystèmes ? Des hommes aux animaux, des poissons d’aquaculture aux légumes que nous consommons, c’est tout le vivant qui pourrait être soumis en permanence à diverses formes de » vaccination « . Mais jusqu’où irons-nous ? Et, surtout, jusqu’où accepterons-nous d’aller ? Recherches scientifiques à l’appui, Jean-Marc Sabatier et Estelle Fougères vous livrent des réponses.
MEHA est une initiative européenne indépendante qui construit un mouvement pour une Europe à nouveau en bonne santé. Le réseau MEHA promeut la santé et la paix grâce à des approches collaboratives et scientifiques du changement social. Site internet : https://gomeha.com/
Le 7 octobre 2025, BRUXELLES, BEL — Des experts de la santé venus d’Europe et du monde entier se réuniront au Parlement européen pour lancer « Make Europe Healthy Again » (MEHA), une campagne européenne proposant des solutions aux crises de santé publique révélées par la pandémie de COVID-19. Cet événement est initié par la Dre Maria Hubmer-Mogg (Autriche, fondatrice de MEHA), avec le soutien du député européen Gerald Hauser (Autriche) et de la Fondation Patriots for Europe.
« Le temps est venu pour les Européens de se réapproprier leurs nations et la santé de leurs citoyens. MEHA œuvre pour une Europe où les citoyens reprennent possession de leur pouvoir, de leur voix, de leur santé et de leurs traditions. »a déclaré le Dr Maria Hubmer-Mogg, fondatrice de MEHA.
La mission de MEHA est de protéger les éléments essentiels de la vie : une alimentation propre, de l’eau, de l’air, de la terre, de l’espace et des communautés sûres, tout en aidant les nations à renforcer les systèmes qui préviennent les maladies chroniques, favorisent la vitalité et honorent la culture, la souveraineté, la paix et la dignité humaine.
Il s’agit d’une session axée sur les solutions où des parlementaires de tous les partis se réuniront pour discuter des problèmes de santé les plus critiques auxquels sont confrontés les Européens aujourd’hui.
Conférenciers principaux
Dr. Aseem Malhotra (GB) cardiologue de renommée internationale, conseiller médical de MAHA Action, Dr. Robert Malone (USA) médecin, scientifique et membre de l’ACIP
Parmi les autres invités de marque figurent : Rob Roos (NL), ancien député européen et vice-président de MEHA ; Dr A.S. Mattias Desmet (Belgique), la plus grande autorité mondiale en matière de psychologie du totalitarisme ; Dr A.S. Andrea Lamont Nazarenko (États-Unis), psychologue et autorité mondiale en matière de changement au niveau du système de santé publique ; Dr A.S. Kai Kisielinski (GER), Dr Aunt Cancer (GB), Sayer Ji (USA), Dr Beate Pfeil (GER), DDr. Dr Renate Holzeisen (IT), Philip Kruse (CH), PD Dr Michael Nehls (GER) ; Louis Fouché (FRA), Tom Lausen (GER) ; Dr Albert Donzelli (IT); Alexander Neskovic (SRB), Andrija Klaric (CRO) ; Sabine Stebel (GER), Elaine Mullally (IRL) ; Walter Surböck (AUT) et bien d’autres.
La vision du MEHA
La santé publique en Europe est aujourd’hui dominée par une gouvernance autoritaire qui érode la souveraineté nationale et prive les citoyens de leur pouvoir d’action. Le MEHA propose un nouveau paradigme : redonner la parole aux citoyens et donner aux nations les moyens de façonner leur propre avenir sanitaire.
La santé dépend de l’environnement qui nous entoure : notre alimentation, notre eau, notre air, nos maisons, nos écoles, nos lieux de travail et nos communautés. Ces déterminants sociaux et structurels de la santé sont les véritables causes profondes de l’épanouissement des individus.
MEHA aide les nations à consolider ces fondements afin que nous ne nous contentions pas de réduire les maladies chroniques, mais que nous les prévenions, favorisions la vitalité et construisions un avenir plus sain pour tous. Nous envisageons une Europe où la santé puise ses racines dans le patrimoine, la tradition et la sagesse de ses citoyens. Les nations et les communautés sont libérées de l’exploitation de puissances non élues et de profiteurs, et reprennent le contrôle de leur avenir.
Le chef du service d’oncologie de la Pitié Salpêtrière a publiquement réfuté il y a quelques jours la possibilité d’un lien entre l’explosion planétaire des cancers depuis la campagne d’immunisation contre le COVID et les multiples rappels vaccinaux. Or la déclaration des revenus qu’il admet avoir perçus de l’industrie pharmaceutique révèle un lien d’intérêt majeur avec le laboratoire Pfizer, qu’il a omis de déclarer lors de cette interview, comme la loi l’y oblige.
Fin septembre, sur l’antenne d’Europe 1, la journaliste Christine Kelly a interviewé le Pr Jean-Philippe Sano, chef du service d’oncologie médicale de la Pitié Salpêtrière, pour tenter de comprendre les causes de l’explosion des cancers dans le monde, en particulier en France et chez les jeunes ou les très jeunes adultes. Ce fait totalement inédit, incompatible avec la durée d’incubation traditionnelle des cancers semble être apparu il y a quelques mois. Le Pr Kayat, fondateur de l’Institut national du cancer, l’a relaté à plusieurs occasions dans les médias. Il évoquait il y a quelques mois une « augmentation foudroyante » de l’incidence du cancer du pancréas et de celui du poumon, notamment chez les femmes non fumeuses :
L’explication résiderait selon le Pr Sano dans les facteurs environnementaux traditionnels, soit les virus, le tabac et l’alcool, dont il a néanmoins convenu que la consommation était en baisse. Il évoque également la pollution, l’alimentation ou l’augmentation de l’espérance de vie en soulignant que les cancers sont une pathologie liée à l’avancée en âge. Interrogé sur la possibilité d’un lien avec les injections à ARN messager anti-COVID, il a exclu catégoriquement une telle hypothèse :
– Je vais vous poser la question qui tue, Jean-Philippe Spano, ne m’en voulez pas, mais on voit sur les réseaux sociaux beaucoup de personnes se disent que c’est à cause du vaccin, que cette recrudescence des cancers…
– Non.
– ous dites « non » alors que je n’ai même pas fini de poser ma question… […] dites-nous, là, devant les auditeurs d’Europe 1 qui sont en train de se demander « est-ce qu’il n’y a aussi, pas que, mais aussi un lien avec les effets secondaires du vaccin ? »
– Vous voulez parler de quel vaccin ?
– Le vaccin contre le COVID bien sûr.
– Non, non. Aujourd’hui, aucun lien n’est établi. Les seuls liens qui soient établis, ce sont ceux dont je viens de vous parler.
Plus récemment, nous avons analysé deux études d’incidence, italienne et sud-coréenne (la dernière date d’il y a quelques jours), qui rapportent une augmentation statistiquement significative des taux de cancer (30 à 125 %) chez les personnes ayant reçu le vaccin contre le COVID-19 par rapport aux personnes non vaccinées. Une nouvelle publication émanant de chercheurs japonais, dans laquelle ils expliquent avoir retrouvé de la protéine Spike exprimée dans les métastases d’un cancer du sein apparu après l’administration de la sixième dose du vaccin COVID de Pfizer, confirme aujourd’hui les inquiétudes des scientifiques.
Enfin, une dizaine d’équipes de chercheurs ont confirmé que les injections Pfizer et Moderna étaient massivement contaminées par de l’ADN résiduel, compétent pour son intégration dans le génome et donc pour le déclenchement d’un cancer, les injections Pfizer contenant par ailleurs du matériel génétique non déclaré issu d’un virus de singe oncogène (SV40). Celui-ci ayant déjà été retrouvé dans des biopsies de tumeurs de patients vaccinés, l’hypothèse d’une intégration génomique du vaccin ne peut plus décemment être écartée par les oncologues.
Ce qu’affirme le professeur Sano
La réponse du Pr Sano est donc profondément malhonnête sur le fond, mais également sur la forme :
il réfute la possibilité d’un lien, et donc d’un risque potentiellement majeur pour les personnes présentant des antécédents personnels ou familiaux de cancer, en affirmant qu’il n’existe à ce jour aucune preuve d’un tel lien. Il surfe ainsi à nouveau sur le mensonge que le corps scientifique, médical et politique a exploité durant la campagne de vaccination contre le COVID, selon lequel un médicament devrait être considéré comme sûr tant que son implication dans un événement indésirable n’est pas formellement établie. Or la règle d’or de la pharmacovigilance est que la responsabilité d’un médicament ne peut être exclue que si une cause alternative est identifiée, ce qui, selon les propres mots du Pr Sano, n’est pas le cas pour les cancers apparus récemment ;
il omet de préciser que les laboratoires n’ont produit aucune étude de cancérogénicité ni en amont ni en aval, bien qu’ils mentionnent dans leurs documents officiels le risque de cancer inhérent à leur plateforme vaccinale. Ainsi, il n’existe à ce jour aucune étude démontrant par quels mécanismes les injections anti-COVID ne peuvent pas induire de cancer. L’argument brandi par le corps médiatico-politique au début de la campagne de vaccination, où le risque de cancer a été soulevé avant les premières injections, a au contraire été battu en brèche puisqu’on sait aujourd’hui que le risque d’intégration du matériel génétique vaccinal dans le génome est non seulement réel, mais majeur ;
enfin, le Pr Sano a manqué à ses obligations déontologiques en omettant de déclarer ses liens d’intérêts avec le monde pharmaceutique. La consultation de la base Transparence.sante.gouv recense 291 déclarations depuis 2013 pour un montant de 216 692 €, dont 38 concernant le laboratoire Pfizer (33 568 € depuis juillet 2020), 11 concernant le laboratoire Astra Zeneca (8 739 € depuis février 2020) et 39, le laboratoire Gilead (42 869 €, essentiellement depuis février 2020), qui produit le Remdevisir.
Ce qu’il a omis de préciser lors de son interview
Ces sommes peuvent paraître dérisoires, mais la profondeur d’un lien d’intérêt n’a aucun rapport avec le montant déclaré par son bénéficiaire. En revanche, le fait de produire une image aussi distordue de l’état des connaissances scientifiques entourant la sécurité des injections anti-COVID ne peut pas s’expliquer autrement que par l’existence d’un conflit d’intérêts majeur.
Précisons également que le Pr Sano a été choisi en mars 2020 par Emmanuel Macron pour rejoindre le Comité analyse, recherche et expertise (CARE) COVID-19 chargé de fournir un éclairage scientifique à Olivier Véran sur les essais de nouveaux traitements et les pistes vers un futur vaccin. Si le lien entre les injections anti-COVID et l’augmentation de la hausse de l’incidence des cancers est prouvée, sa responsabilité sera donc immense puisqu’il ne peut ignorer en tant qu’oncologue que les cancers sont un effet indésirable des produits géniques auxquels sont assimilables ces injections. A-t-il alerté sur l’absence d’étude de cancérogénicité ? A-t-il encouragé le gouvernement à faire le choix du Remdevisir et du Paxlovid pour lutter contre les formes graves du COVID ? Ses liens d’intérêts ont-ils été divulgués durant la pandémie ? Sont-ils connus des revues dans lesquelles il officie comme expert ou comme rédacteur en chef ?
Pour ceux qui souhaitent savoir à quoi ressemble un scientifique honnête, nous proposons le visionnage de l’une des dernières interviews du Dr Kevin McKernan, expert mondial en génomique formé au MIT qui fut le premier à établir la contamination des injections Pfizer et Moderna. Il estime aujourd’hui que « Nous assistons potentiellement à la plus grande exposition cancérigène de l’histoire de l’humanité » et rappelle que la formule des injections Pfizer qui ont été administrées à la population n’est pas celle qui a été homologuée.
Personne n’est dupe, à commencer par Christine Kelly, qui confiait il y a quelques mois que la seule question qu’elle n’avait pu aborder librement dans sa carrière professionnelle était celle des vaccins anti-COVID. Nous savons désormais pourquoi.
Une publication de jeudi dans The Lancet intitulée « La Commission EAT-Lancet sur des systèmes alimentaires sains, durables et justes » présente ce que les auteurs appellent une « grande transformation alimentaire » — un programme mondial coordonné visant à repenser l’agriculture, les habitudes alimentaires et les finances afin que l’approvisionnement alimentaire de chaque nation s’inscrive dans des « limites planétaires » quantifiées.
Cette prise de contrôle du système alimentaire survient alors que le même réseau d’agences gouvernementales et de projets financés par Gates est déjà en train de réorganiser le code génétique des cultures elles-mêmes, transformant des virus végétaux destructeurs en plateformes d’ADN auto-réplicatives, illustrant comment la poussée vers une agriculture « durable » et « intelligente face au climat » est aussi une tentative de centraliser le contrôle à la fois sur les semences dans le sol et sur la nourriture dans nos assiettes.
Le nouveau rapport de 80 pages de la Commission lie son plan à l’Accord de Paris sur le « changement climatique », aux Objectifs de développement durable des Nations Unies et à la Convention sur la diversité biologique.
Il suggère :
restrictions mondiales sur la consommation de viande rouge,
une redistribution annuelle de 200 à 500 milliards de dollars américains en subventions agricoles,
et un suivi continu des systèmes alimentaires nationaux dans le cadre d’« objectifs fondés sur la science avec des mécanismes de suivi et de responsabilisation ».
Les bailleurs de fonds déclarés du document comprennent la Fondation Bill & Melinda Gates, la Fondation Rockefeller, le Wellcome Trust, la Fondation IKEA et la Fondation Children’s Investment Fund, dont les subventions ont financé le travail par l’intermédiaire de la Fondation EAT à Oslo.
La publication du Lancet soutient que le contrôle des systèmes alimentaires est essentiel pour contrôler chaque secteur majeur, en reliant l’alimentation, le climat, l’économie et la gouvernance dans un cadre mondial unifié.
« Les systèmes alimentaires se situent à l’intersection de la santé, de l’environnement, du climat et de la justice. Leur transformation est fondamentale pour répondre aux crises liées au climat, à la biodiversité, à la santé et à la justice. La centralité des systèmes alimentaires souligne l’interdépendance de ces crises, plutôt que de les considérer isolément, soulignant ainsi la nécessité de positionner la transformation des systèmes alimentaires comme un intégrateur global des sphères économique, de gouvernance et politique », indique le document.
La Commission appelle explicitement à des « coalitions intersectorielles » pour mettre en œuvre son cadre totalitaire dans le monde entier.
Les auteurs affirment que « des niveaux d’action sans précédent sont nécessaires pour changer les habitudes alimentaires ».
L’implication est claire : en redéfinissant l’alimentation comme un levier essentiel pour résoudre les crises mondiales, la Commission positionne les agences internationales et les fondations privées pour influencer ou orienter directement les politiques nationales bien au-delà de l’agriculture.
En pratique, cette vision dystopique transforme la politique alimentaire en un mécanisme de gouvernance mondiale, où des institutions non élues, sous la bannière de la durabilité, dictent unilatéralement la manière dont les nations cultivent, commercent et mangent.
Cela ressemble moins à un cadre nutritionnel qu’au plan d’un système totalitaire et hiérarchique de contrôle des besoins humains les plus fondamentaux.
Qui le finance et le fait avancer
Selon le Forum EAT lui-même et la divulgation du financement dans le Lancet, la Commission a reçu le soutien financier de plusieurs grandes fondations dites philanthropiques et institutions partenaires.
Le document précise qu’il a été « soutenu par le Wellcome Trust, la Fondation Rockefeller, la Fondation IKEA et la Children’s Investment Fund Foundation (CIFF) ».
Ces organisations ont fourni le financement qui a permis à la Commission EAT-Lancet de mener sa recherche pluriannuelle et de publier la mise à jour en octobre 2025.
Ensemble, ces fondations gèrent la Fondation EAT, basée à Oslo, qui coordonne les partenariats entre les agences des Nations Unies, les universitaires et les organisations privées pour faire avancer ce que la Commission appelle un « ensemble d’actions » visant à transformer la production et la consommation alimentaires mondiales.
Le « régime santé planétaire » : restrictions strictes sur les produits animaux
Le régime alimentaire de référence de la Commission stipule :
Bœuf, porc ou agneau 15 g par jour (≈ une portion par semaine)
Volaille 30 g par jour (≈ deux portions par semaine)
Lait ou équivalent 250 g par jour (≈ une tasse).
L’introduction mondiale de ces valeurs signifierait un déclin à grande échelle des secteurs de l’élevage et un glissement universel vers une production à base de plantes.
Réalignement financier à grande échelle
« Des ressources financières importantes, estimées entre 200 et 500 milliards de dollars par an, sont nécessaires pour soutenir la transformation… Les investissements existants peuvent être réorientés en alignant les incitations sur les objectifs », indique le document.
Le plan présente ces sommes comme essentielles pour repenser les chaînes d’approvisionnement et réorienter les subventions, et prévoit « environ 5 000 milliards de dollars par an » de bénéfices à long terme.
Une telle restructuration financière globale forcerait des nations entières à adhérer à un régime alimentaire à base de plantes.
Cela pénaliserait effectivement les agriculteurs, entraînerait l’effondrement de l’industrie de l’élevage et favoriserait des régimes alimentaires déficients sur le plan nutritionnel qui priveraient des milliards de personnes de protéines animales essentielles, de graisses, de vitamines B12 et D, de fer hémique et d’acides aminés essentiels – nutriments nécessaires aux systèmes immunitaire, endocrinien et neurologique.
Comptabilité des limites planétaires et surveillance mondiale
« Pour la première fois, nous quantifions la contribution du système alimentaire mondial aux neuf limites planétaires… Des mécanismes doivent être mis en place pour protéger l’élaboration des politiques de l’influence indue des entreprises, et la société civile et les mouvements sociaux ont un rôle important à jouer dans la promotion de la transparence et de la surveillance. »
Les « limites du système alimentaire » de la Commission attribueraient à chaque pays une part numérique de l’utilisation des terres, de l’eau, des nutriments et des émissions – des données qui seraient comparées à un registre mondial.
La justice comme norme opérationnelle
« Près de la moitié de la population mondiale se situe en dessous de ces bases sociales… Seulement 1 % de la population mondiale se situe dans une fourchette sûre et équitable. »
Les gouvernements sont appelés à « s’attaquer aux inégalités dans la répartition des avantages et des charges des systèmes alimentaires actuels ».
Lier la conformité aux mesures de justice sociale transforme efficacement la politique nutritionnelle et diététique en un outil de contrôle qui mesure l’équité ainsi que la nutrition.
En intégrant la production et la consommation alimentaires dans la rhétorique de la justice climatique, la Commission transforme la théologie du changement climatique, aujourd’hui discréditée, en un gourdin moral – un outil utilisé pour justifier la restructuration économique mondiale et consolider le contrôle sur ce que les gens sont autorisés à manger.
Même une conformité totale ne suffit pas
« Même avec ces transformations ambitieuses… le monde parvient à peine à retrouver un espace sûr pour l’utilisation de l’eau douce et le climat et continue de dépasser la limite biogéochimique pour l’azote et le phosphore. »
Bien qu’ils reconnaissent cette limitation, les auteurs appellent à des « niveaux d’action sans précédent ».
Conclusion
La Commission EAT-Lancet présente bien plus que de simples recommandations nutritionnelles.
Il propose un cadre mondial unifié pour repenser l’agriculture, la finance et l’alimentation autour de règles « planétaires » quantifiées.
Leurs soutiens – les fondations Rockefeller, Wellcome, IKEA et CIFF, ainsi que les programmes financés par Gates – fournissent l’argent et la portée institutionnelle nécessaires pour faire avancer ce projet par le biais des canaux de l’ONU.
Selon la Commission, cette transformation impliquerait des objectifs nutritionnels mondiaux, une réorientation des flux financiers d’un demi-billion de dollars et une surveillance continue des systèmes alimentaires nationaux.
Son objectif est de normaliser ce que l’humanité mange, comment elle cultive et comment cette conformité est mesurée.
Le timing n’est pas une coïncidence.
L’agenda des systèmes alimentaires émerge au moment même où les agences fédérales et les laboratoires financés par Gates réécrivent le code génétique des cultures en utilisant des plateformes virales auto-réplicatives – preuve que la même idéologie qui sous-tend la politique alimentaire « intelligente face au climat » s’infiltre désormais dans l’ADN de l’approvisionnement alimentaire, consolidant le contrôle de la graine à la fourchette.
Republication de l’article de Senta Depuydt diffusé dans le magazine Nexus No. 121 de mars – avril 2019
En Italie, le mouvement citoyen Corvelva s’est associé à des scientifiques pour analyser la qualité des vaccins en testant différents produits sur le marché. Ils souhaitaient vérifier l’éventuelle présence de polluants et contaminants, mais les premiers résultats les ont tout simplement stupéfiés.
C’est à la suite des travaux de la commission d’enquête parlementaire «Uranium» que le projet d’analyse des vaccins est né. Plusieurs chercheurs avaient en effet participé à cette commission, dont l’objectif était d’enquêter sur la raison d’un nombre élevé de décès et de maladies graves, principalement des cancers, survenus chez des militaires ayant été affectés à des missions à l’étranger.
Un chapitre embarrassant
Au départ, les recherches avaient surtout porté sur le rôle de l’uranium appauvri utilisé dans certaines armes de guerre. Mais, au cours de l’enquête, l’on s’était rapidement aperçu que de nombreux cas concernaient des militaires n’ayant pas quitté le sol italien ou n’ayant pas été impliqués dans des opérations sur le terrain. Ceux-ci avaient par contre été préparés à partir, notamment par l’injection rapprochée de nombreux vaccins ou rappels. Une enquête approfondie sur ces cas avait abouti à la rédaction d’un chapitre sur la sécurité des vaccins administrés aux militaires dans le fameux rapport Uranium.
Des lacunes impensables
Publié après quatorze ans d’enquête, ce rapport accablant avait été remis au Parlement italien en février 2018, à la veille des élections italiennes. Dans le chapitre relatif à la vaccination, les membres de la commission avaient attiré l’attention sur de nombreux problèmes et procédé à des recommandations. En premier lieu, ils avaient mis en cause l’administration de vaccins combinés, par exemple celle d’un vaccin penta- ou hexavalent (c’est-à-dire contre cinq ou six maladies) et celle de plusieurs injections en une seule visite.
Les calendriers vaccinaux recommandent parfois des vaccinations concomitantes, tant dans le schéma normal que pour les rattrapages ou la préparation aux voyages. Par exemple, chez les nourrissons, le vaccin contre les pneumocoques (Prevenar 13) doit être administré en même temps que les hexavalents (Infanrix ou Hexyon), bien que la notice de Prevenar 13 signale une augmentation d’effets secondaires comme une fièvre élevée ou des convulsions lorsque ces vaccins sont combinés. Les experts s’étonnaient des lacunes dans la littérature scientifique à propos des vaccins multiples et avaient finalement conclu qu’il valait mieux ne pas vacciner contre plus de cinq maladies en même temps.
Par ailleurs, ils se sont aussi penchés sur tout ce qui était susceptible, dans la composition des vaccins, d’entraîner des effets secondaires graves sur le système immunitaire, par exemple l’accumulation de toxiques liés aux adjuvants et conservateurs. Enfin, ils en étaient venus à s’interroger sur la qualité et la conformité des produits injectés, notamment sur la présence d’éventuels contaminants.
Première pollution: les nanoparticules
En 2006, la chercheuse Antonietta Gatti, responsable du laboratoire des biomatériaux du département des Neurosciences à l’université de Modène, avait été chargée par la commission d’enquête d’examiner la question de l’uranium appauvri, qui aurait affecté les militaires lors de conflits armés. Gatti avait identifié le rôle que des nanoparticules pouvaient avoir dans différentes pathologies organiques et mis en évidence le fait que le problème n’était pas uniquement dû aux propriétés toxiques de l’élément observé (l’uranium, par exemple). Le problème résidait surtout dans le fait que des particules solides de taille nanométrique pouvaient pénétrer à l’intérieur du noyau cellulaire et affecter n’importe quel tissu ou organe. L’existence de ces nanoparticules, principalement sous forme de pollutions aériennes, avait attiré l’attention de la communauté scientifique et Gatti avait dirigé deux projets de recherche sur ce sujet dans le cadre de programmes de l’Union Européenne.
Quelques années plus tard, Antonietta Gatti et celui qui devint son époux et collaborateur Stefano Montanari, furent invités à se pencher sur la présence des nanoparticules dans les vaccins, à la demande de chercheurs allemands étudiant la formation de granulomes (mini-kystes) au point d’injection. À leur grand étonnement, la quasi-totalité des échantillons analysés était polluée par un nombre élevé de nanoparticules, alors qu’il s’agissait de produits fabriqués par les plus grands laboratoires pharmaceutiques. In fine, un seul vaccin fut considéré «propre». Il s’agissait d’un vaccin pour chat, produit par un plus petit laboratoire!
Un rapport qui sème le trouble
La publication de ces résultats dans la revue Vaccine en janvier 2017 attira l’attention du public et marqua le début des ennuis pour les deux chercheurs. Diverses associations militant pour le libre choix à la vaccination, en Italie et à l’étranger, en firent un large écho et Gatti et Montanari furent invités à de nombreux débats sur la sécurité sur les vaccins. Ceci leur valut des représailles immédiates sous forme de pressions, menaces anonymes et manœuvres de harcèlement. Autrefois respectés pour leur rigueur scientifique, Gatti et Montanari ont depuis lors été l’objet d’une intense campagne de discrédit, jusqu’à ne plus avoir accès au microscope électronique dont ils ont besoin pour effectuer leurs travaux.
Finalement, la question des nanoparticules fut reprise par la commission d’enquête dans le chapitre sur la sécurité des vaccins administrés aux militaires, en ajoutant un énième problème à ceux déjà soulevés. Ce chapitre fit l’objet de grandes tensions parmi les membres composant la commission et surtout au sein de leur parti respectif. Toutefois, malgré les tentatives de la ministre Lorenzin et de son parti pour tenter de censurer l’information, le rapport fut rendu public dans son intégralité.
Contaminations biologiques multiples
C’est donc dans ce contexte que l’idée d’effectuer des contrôles complémentaires, indépendants, sur la qualité des vaccins s’est imposée à certains des membres ayant participé aux travaux de la commission. Vincenzo d’Anna, ancien parlementaire et président de l’Ordre national des biologistes, estimait que d’un point de vue éthique, comme scientifique, il fallait se demander si la recherche d’éventuels lots défectueux devait être entreprise ou si, au contraire, on pouvait l’exclure. Le partenariat avec l’association Corvelva, qui avait déjà participé à la diffusion du rapport de la commission Uranium, a finalement permis de lancer ce projet.
Plusieurs mois ont été nécessaires pour mettre en place le protocole et la méthodologie, récolter les fonds (plus de 50 000 euros), trouver les laboratoires agréés et finalement procéder aux analyses. Les premiers résultats ont bien confirmé l’utilité de la démarche. Dans le rapport remis aux autorités par Corvelva, sept lots de différents vaccins ont été soumis à un premier test, en commençant par des vaccins pédiatriques. Deux lots ont fourni des données concordant avec ce qui est attendu et annoncé dans les notices, mais cinq ne semblaient pas conformes et ont mené à une analyse plus approfondie de leur composition chimique et biologique (métagénomique), révélant une série d’anomalies graves.
Une partie de la recherche s’est donc concentrée sur la présence dans les vaccins d’ADN et d’ARN d’origine humaine, animale ou microbienne, en utilisant une méthode de séquençage appelée Next Generation Sequencing, réputée pour être l’une des techniques les plus performantes sur le marché. En voici quelques résultats.
Gardasil
Dans le vaccin contre le virus à papillome humain Gardasil 9, l’on a retrouvé de l’ADN humain dont on suppose qu’il provient des tissus sur lesquels a été prélevé le virus, ainsi que de l’ADN de souris, dont on ignore évidemment l’origine. L’on a aussi identifié du matériel génétique provenant de virus adventices, en l’espèce un fragment L1 du papillomavirus, ce qui pourrait constituer un risque du fait que, n’étant pas complètement dégradé, il pourrait interagir avec l’ADN de la personne vaccinée. On a aussi repéré des gènes du virus molluscum contagiosium, qui s’apparente à la famille de la variole, ainsi que du virus de la leucémie des souris, et du rétrovirus endogène humain K ou HERV-K. C’est sans doute ce dernier qui pourrait être le plus problématique, car il est associé à certains types de cancers (cancer des ovaires, de la prostate ou des testicules, cancer du sein, mélanome malin ou sarcome de Kaposi).
L’ennui, c’est que si ces fragments d’ADN et/ou de virus opérants, pour ceux dont on a aussi retrouvé les séquences ARN, entrent en interaction avec l’aluminium contenu dans le vaccin, il y a un risque d’inflammation, de réactions auto-immunes, voire de formation de tumeurs cancéreuses. Sachant que le vaccin Gardasil est suspecté d’accélérer le cancer du col de l’utérus plutôt que de le prévenir, ces constatations devraient conduire à la plus grande prudence et à la mise en œuvre immédiate de contrôles accrus et de nouvelles recherches.
Hexyon
L’analyse du vaccin Hexyon, l’hexavalent contre la polio, la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B et l’Haemophilus influenzae B, fabriqué par Sanofi Pasteur, révèle aussi de graves contaminations. On y a décelé une importante quantité d’ADN bactérien, mais aussi la présence d’ADN et d’ARN du virus du singe cercopithèque, ce qui montre que ces virus survivent. Ils proviennent de la culture de cellules Vero issues de reins de singe. Par le passé, un virus de singe, le SV40, a contaminé des millions de personnes par des vaccins polio et on le soupçonne d’avoir joué un rôle dans la propagation du sida et dans certains types de cancers. Bien que leur présence soit presque inévitable dans des cultures cellulaires, le principe de précaution exige évidemment de s’en débarrasser dans le produit final.
Priorix-Tetra
Enfin, un autre exemple de contamination inquiétant est fourni avec le vaccin Priorix-Tetra (produit par GSK), vaccin contre la rougeole, les oreillons, la rubéole et la varicelle. Les analyses ont montré qu’il contient une quantité d’ADN humain de près de 2 microgrammes, soit 140 fois plus que la norme maximale autorisée. Cet ADN de type MRC-5 correspond à une portion entière de génome des cellules fœtales utilisées pour la culture du virus vaccinal (en l’occurrence une ligne développée en 1966 à partir de tissu pulmonaire d’un fœtus avorté).
Or, selon Corvelva, dans les documents fournis par l’Agence européenne des médicaments, les normes actuelles sur la quantité d’ADN fœtal autorisée dans un vaccin sont uniquement établies à partir de calculs théoriques et non en fonction de critères expérimentaux. Par ailleurs, seules les préparations initiales sont testées et non les produits finis, si bien qu’en réalité, l’évaluation du véritable risque de mutation oncogène posé par la présence d’ADN humain dans un vaccin demeure assez floue et arbitraire.
Polluants chimiques
Corvelva a également fait réaliser des analyses sur les signaux ou traces chimiques contenus dans les vaccins. Les traces de dizaines de polluants ont été retrouvées dans la plupart des lots: herbicides dont glyphosate, pesticides, traces de médicaments et autres substances qui proviennent vraisemblablement de résidus issus d’autres lignes de production. Il y en avait en moyenne plus de 100 dans le Priorix-Tetra, plus de 200 dans l’Hexyon, plus de 300 dans le Gardasil.
Pour l’instant, une partie seulement a pu être identifiée. Il s’agirait par exemple de résidus de médicaments tels que l’amoxicilline (antibiotique), le tamsulosine (diurétique), le sildénafil (Viagra), le gabapentin (antiépileptique), ou l’atovaquone (anti-malaria), mais l’on pense aussi avoir trouvé des traces de morfamquat (un herbicide), de glyphosate (herbicide bien connu) ou de cyflumetophen (un antiacarien), pour n’en citer que quelques-uns.
Bien qu’il s’agisse d’infimes quantités, le fait que ces substances soient injectées et non ingérées ou respirées, et surtout le fait qu’elles le soient avec des adjuvants comme l’aluminium, dont l’objectif est de provoquer une réaction inflammatoire dans le corps, pourrait poser un risque, notamment pour les personnes qui consomment les médicaments détectés.
Antigènes absents!
Mais la véritable surprise de ces analyses, le choc auquel personne ne s’attendait, est l’absence d’antigènes dans plusieurs vaccins. Ce résultat est tellement surprenant que les échantillons concernés ont été testés à plusieurs reprises. Les antigènes, généralement des protéines ou des polysaccharides, sont les substances du vaccin qui correspondent aux maladies (polio, rubéole, etc.) contre lesquelles le corps est censé s’immuniser en générant des anticorps.
Ainsi, dans le Gardasil 9, seuls sept antigènes, au lieu de neuf, ont pu être identifiés. Les types de papillomavirus 11 et 58 n’ont pas été détectés. Dans le vaccin Priorix-Tetra, c’est le virus de la rubéole qui fait défaut, c’est-à-dire que sa présence est infinitésimale par rapport à la quantité considérée comme nécessaire pour induire une réaction immunitaire suffisante. Encore plus inquiétants sont les résultats du vaccin hexavalent Hexyon. On y a trouvé les protéines de la diphtérie, du tétanos et de la coqueluche, mais aucun des trois antigènes polio, ni celui de l’hépatite B ou de la méningite (Haemophilus Influenzae B). Enfin, c’est le vaccin Infanrix hexa qui surprend le plus, puisqu’aucun antigène n’a pu être détecté, ni avec les instruments standards, ni avec le Next Generation Sequencing, qui est actuellement la méthode la plus sensible.
Macromolécule récalcitrante
Si l’on n’a pas retrouvé de trace des protéines antigènes dans le vaccin Infanrix hexa, on a en revanche découvert une macromolécule insoluble composée de protéines. Interrogé par le quotidien Il Tempo sur cette curieuse trouvaille, le biologiste Vincenzo d’Anna a précisé: «Il est possible que ce soient les protéines antigènes qui auraient été modifiées sous l’action du formaldéhyde que l’on utilise comme conservateur. En tout cas, cette macromolécule ne réagit pas à la trypsine, alors qu’elle devrait se décomposer sous son action. Normalement, dans ce vaccin, on devrait retrouver quatre protéines distinctes et celles-ci devraient se désagréger lorsqu’on les soumet à un traitement à la trypsine, une enzyme qui permet normalement de “digérer” et décomposer les protéines. En clair, cela signifie qu’une autre substance est présente et exerce un effet agglomérant qui retient ces protéines. La question se pose de savoir dans quelle mesure ces protéines peuvent encore être identifiées. Ce n’est pas à nous d’expliquer ce phénomène, bien sûr, ni d’en extrapoler les conséquences, mais il est indispensable de le faire. Nous avons transmis cela aux agences italienne et européenne du médicament, notamment pour voir si elles ont une explication à fournir.»
Poursuivre les investigations
Il est difficile de spéculer sur cette macromolécule récalcitrante, mais il est en revanche évident que l’absence de deux antigènes dans le vaccin Gardasil, de trois autres dans le vaccin Hexyon et de celui de la rubéole dans le vaccin Priorix-Tetra est préoccupante. Comment les personnes qui ont reçu ces vaccins peuvent-elles être immunisées contre ces maladies? Autant d’anomalies alors que les analyses de Corvelva n’ont porté que sur un nombre limité de lots et d’échantillons!
À ce stade, il est donc urgent de procéder à des contrôles sur un plus grand nombre de vaccins. Ce travail doit être réalisé par les autorités de santé et Corvelva se démène pour les forcer à réagir. L’association a interpellé l’AIFA (Agence italienne des médicaments), l’lnstitut supérieur de la santé, et la ministre responsable Giulia Grillo. Après la fin de la première série d’analyses, les résultats ont été transmis au procureur général de la République et au service de tutelle de l’inspection sanitaire de la police nationale. L’Agence européenne des médicaments a également été avertie. En attendant, les analyses sont en cours de publication dans des revues scientifiques et ont été soumises à des chercheurs indépendants de plusieurs pays.
Communiquer
Le 24 janvier, l’association a également organisé une présentation officielle à la salle de presse de la Chambre des députés. En introduction, l’association a même projeté un extrait d’un cours sur la sécurité des vaccins enregistré à l’Institut Pasteur, dans lequel on soulignait l’importance et la difficulté d’éviter les contaminations lors de la production de vaccins et où l’on citait plusieurs incidents de ce type survenus dans l’histoire de la vaccination.
Le lendemain, les résultats ont aussi été discutés publiquement lors de la conférence «Vacciner en sécurité» organisée par l’Ordre national des biologistes agréés, en présence d’experts de réputation internationale (Giulio Tarro, Jacob Puliyel, Teresa Deischer, Anthony Mawson et Guillemette Crépeaux) qui ont attiré l’attention sur l’importance de poursuivre ces contrôles.
Déni
Mais la ministre de la Santé, que ses électeurs accusent de trahison, a pris ses distances avec l’événement, tout en refusant de faire des déclarations officielles. Dans une vidéo amateur, elle a néanmoins répondu à une mère de famille inquiète que «l’Agence du médicament [a] démonté tout le dossier point par point», ajoutant: «Vous n’imaginez tout de même pas que l’Agence mettrait en circulation des produits non testés.»
On attend donc les documents de l’agence, car pour l’instant celle-ci s’est contentée de ne répondre par écrit que sur un seul point spécifique, celui de la sécurité du vaccin Priorix-Tetra, pour lequel elle a renvoyé la responsabilité… à l’Allemagne, en vertu d’accords passés entre les différentes agences de santé européennes.
Une sénatrice du même parti (Le Mouvement Cinq étoiles) a en revanche eu le courage de relancer le débat. Viriginia La Mura a en effet adressé un courrier officiel au président de la commission à la santé et aux affaires sociales du Sénat pour rouvrir le dossier de la sécurité des vaccins, estimant qu’il est nécessaire d’entamer un véritable débat scientifique, en dehors des positions idéologiques. Elle a aussi attiré l’attention du Sénat sur la «Lettre ouverte de la part d’associations internationales à l’Organisation mondiale de la santé à propos de la sécurité des vaccins», signée par plus de 130 associations provenant de trois continents, dont une quinzaine en France.
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Médias félons
Lors de la conférence de presse au Parlement, la salle était comble et les journalistes semblaient médusés, mais manifestement la sécurité des vaccins est toujours un sujet tabou. Fidèles à la voix de leurs maîtres, les grands médias ont donc mis en scène la «polémique» et «l’indignation» à propos de «la rencontre no-vax qui s’était tenue à la chambre des députés». La Rai, chaîne de télévision publique, est même allée jusqu’à diffuser un lamentable sketch dans lequel un prétendu comique s’est écrié: «Vous vous rendez compte, tous les no-vax étaient réunis dans la même pièce. On a raté l’occasion de fermer la porte et de les gazer tous en un seul coup»!
Pour la énième fois, donc, on a assisté à une chasse aux no-vax et le véritable enjeu de l’événement a de nouveau été complètement occulté. Seuls les réseaux sociaux ont rapporté les faits… mais récemment YouTube et Facebook ont promis de prendre des mesures pour censurer les «anti-vaccins».
Départs précipités
À l’évidence, l’initiative de Corvelva est un véritable obélisque dans la mare et plonge les autorités de santé dans un fameux embarras. Difficile de savoir si les analyses de Corvelva, dont les premiers résultats ont été communiqués dès le mois d’août, ont pu hâter quelques départs, mais il est bien possible que des dirigeants des agences de santé aient choisi de s’éclipser avant d’être confrontés à leurs responsabilités.
Fin août, Stefano Vella, le président de l’AIFA, l’agence italienne des médicaments, a donné sa démission «en raison de son désaccord avec le gouvernement pour sa politique envers les immigrants dans l’affaire du navire Aquarius», refoulé par les autorités italiennes. Difficile de savoir s’il ne s’agit que d’un hasard du calendrier. Par ailleurs, le directeur général de la même agence, Mario Melazzini, n’a pas été renouvelé dans ses fonctions par la ministre, sans que des motifs précis aient été communiqués. Début décembre, la ministre a sabré dans sa propre administration et limogé une trentaine de membres du Conseil supérieur de la santé, organe le plus élevé de son ministère, mais dont les membres avaient été nommés par ses prédécesseurs. Mi-décembre, c’est Walter Ricciardi, directeur de l’Institut supérieur de la santé, et accessoirement un des 34 membres du comité directeur de l’OMS, qui a quitté son poste, estimant «qu’il n’était pas en accord avec les positions anti-scientifiques de certains membres du gouvernement, en particulier sur la politique des vaccins, et qu’il avait donc mieux à faire».
Se pourrait-il que la demande d’ouverture d’une commission d’enquête ministérielle à son encontre pour «évaluation et omission de déclaration de conflits d’intérêts», introduite la semaine précédant cette annonce, y soit pour quelque chose? Le collectif Vaccino Veritas avait en tout cas compilé un dossier impressionnant sur ses liens d’intérêts directs avec l’industrie du médicament (consultance et lobby institutionnel rémunéré). Il avait notamment pu le réaliser grâce aux données enregistrées sur le site de la Commission européenne, puisque Ricciardi est aussi membre de nombreuses commissions sur la santé en Europe. Voilà en tout cas un départ qui ressemble à une fuite…
Responsabilités
Depuis des années, les autorités de santé répètent inlassablement que les vaccins sont rigoureusement contrôlés, alors que les critiques se multiplient quant au manque de transparence sur tout ce qui concerne la vaccination. Il faut rappeler qu’avant la mise sur le marché, contrairement aux médicaments, les vaccins ne sont pas testés plus de quelques jours, ne sont pas non plus testés pour leur impact sur la fertilité ou pour d’éventuels effets oncogènes ou mutagènes, et que la sécurité des adjuvants est mise en doute sans que de véritables réponses soient apportées. Une fois en circulation, ils sont censés être contrôlés par un réseau de laboratoires agréés, mais qu’en est-il réellement?
Les conflits d’intérêts minent toutes les institutions sanitaires, et même la résolution du Parlement européen sur «les réticences à la vaccination» insiste sur la nécessité d’introduire une plus grande transparence dans les politiques de santé européennes, tant l’influence des lobbies est énorme. La question se pose: peut-on vraiment faire confiance aux autorités de santé? Les manquements révélés par les analyses de Corvelva doivent être approfondis, quelles qu’en soient les conséquences. Si l’on découvrait que de nombreuses personnes ont été vaccinées avec des produits défectueux, voire dangereux ou même inutiles lorsqu’ils ne contiennent pas d’antigènes, il s’agirait tout simplement d’un des plus grands scandales sanitaires de l’histoire.
Référence:
A. Gatti, S. Montanari, S. Rader « Vaccins oui ou non ? », Talma éditions, sept. 2017
Vous êtes nombreux à vous inquiéter de la technologie 5G et du “brouillard électromagnétique” qui nous englobe : Wi-Fi, Bluetooth, antennes satellite… Eh bien, 5400 études indépendantes et relues par les pairs confirment votre inquiétude.
Altération de la barrière hémato-encéphalique, perturbation du sommeil, fatigue chronique[4]
Impact sur les systèmes immunitaire, hormonaux, circulatoires, nerveux[5]
Même l’Organisation Mondiale de la Santé a déclaré que les “champs électromagnétiques” (CEM), étaient potentiellement cancérigènes.[6]
Pourtant, au 1ᵉʳ janvier 2025, l’Agence nationale des fréquences (ANFR) recense 61 854 antennes 5G techniquement opérationnelles en France.[7]
Nous vivons dans un véritable micro-ondes !
Il est temps de dire STOP à la multiplication des antennes 5G, le temps d’avoir des études vraiment sérieuses et une nouvelle commission indépendante pour établir des régulations strictes !
Une commission nébuleuse fait tout pour empêcher les régulations sur la 5G
Si les industries ne font rien, c’est parce que le lobby TELECOM est beaucoup trop puissant.
Une entité nébuleuse, l’ICNIRP, est chargée des régulations sur les ondes non-ionisantes (Wi-Fi, 5G, Bluetooth, etc.) à l’échelle internationale.[8]
Peu de temps avant sa disparition très soudaine, l’ancienne députée européenne Michèle Rivasi avait sorti un immense rapport de 100 pages pour dévoiler les dessous problématiques de l’ICNIRP.[9]
L’ICNIRP fonctionne comme un cercle fermé : ses membres sont choisis par les membres sortants, sans mécanisme de contrôle externe. Il s’agit d’un « club scientifique privé, autoproclamé, non soumis à supervision démocratique ».[10]
Plusieurs membres actuels ou passés sont également présents dans d’autres groupes décisionnels comme l’ICES (organisme proche de l’industrie, notamment militaire et télécom)[11]. C’est un immense circuit fermé.
Le président actuel de l’ICNIRP, le Pr Rodney Croft, illustre ces conflits d’intérêts. Il a dirigé des centres de recherche largement financés par l’industrie, comme le ACEBR en Australie[12], co-financé par Telstra, le plus gros opérateur télécom du pays.[13]
Croft a aussi été consultant rémunéré par plusieurs institutions liées au secteur sans fil, y compris Optus[14] et le gouvernement australien via l’ACMA[15], qui encaisse des milliards de dollars via les ondes radio dont elles détiennent les droits.[16]
Plusieurs autres membres de l’ICNIRP ont reçu des financements directs ou indirects de l’industrie.[17]
Sur les 13 membres principaux de l’ICNIRP, 6 sont également membres d’au moins une autre instance ou comité scientifique influent, souvent liés à l’industrie des télécoms, ou en collaboration avec celle-ci.[18]
Cela concerne notamment des structures comme l’ICES (International Committee on Electromagnetic Safety), une branche de l’IEEE, fortement liée aux intérêts des télécoms et du militaire.[19]
Face à ces révélations sur les potentiels conflits d’intérêt des membres de l’ICNIRP, comment peut-on leur confier notre santé ?
Les ondes non-ionisantes, c’est le type de rayonnement utilisé par toutes nos technologies sans fil : du Wi-Fi au Bluetooth, en passant par la 2G, 3G, 4G… et désormais la 5G.[20]
L’Organisation mondiale de la santé classe déjà ce type de rayonnement comme un cancérigène possible pour l’humain (groupe 2B).[21]
Pourtant, aucune étude scientifique publiée et relue par des pairs n’a été menée sur les effets sanitaires de la 5G dans ses bandes de fréquences spécifiques (700 MHz, 3,5 GHz, 26 GHz et plus).[22]
Les agences gouvernementales se sont reposées sur l’avis d’une poignée de scientifiques de l’ICNIRP, qui négligent volontairement les effets biologiques non thermiques des CEM– c’est-à-dire ceux qui ne relèvent pas d’un échauffement des tissus mais altèrent pourtant profondément les cellules vivantes.[23]
Mais cet argument est fallacieux pour deux raisons :
Les CEM ont bel et bien des effets thermiques, ils chauffent votre corps (je le montre plus bas)[24]
Même sans effet thermique, les CEM ont des effets nocifs (voir la section suivante).[25]
Prenons le premier point.
Pour appuyer leur décision, les membres de l’ICNIRP se sont basés sur une étude menée en 1989, sur une tête en plastique remplie d’eau, dont le modèle était un homme américain de 100 kg et 1m88.[26]
À titre de référence, en 2020, le Français moyen mesure 1m77 et pèse 81 kg, la Française moyenne mesure 1m64 et pèse 67 kg.[27] Rien à voir avec le modèle de l’étude de 1989 !
Pire encore. Une étude présentée par l’OMS a démontré que les fréquences des ondes non-ionisantes (5G, Wi-Fi, Bluetooth, etc.) chauffaient bel et bien les tissus biologiques et présentent donc des risques cancérigènes.[28]
Une décision de justice italienne a récemment confirmé nos conclusions : les avis scientifiques de l’ICNIRP ont été jugés biaisés et irrecevables.[29]
5400 études le disent : effet thermique ou non, les CEM ont un effet sur le corps humain
Je vous l’ai dit, il n’y a pas eu d’étude menée sur les effets de la 5G sur la santé.
Mais ce n’est pas le cas pour les CEM !
Un recensement de 5 400 études scientifiques indépendantes publiées, dont une majorité relues par les pairs, démontre que les ondes non-ionisantes ont des effets biologiques à des niveaux bien inférieurs aux seuils « officiels » de sécurité.[30] Voici une partie des effets identifiés :
Altération de la barrière hémato-encéphalique, perturbation du sommeil, fatigue chronique[34]
Impact sur les systèmes immunitaire, hormonal, circulatoire, nerveux[35]
Le mécanisme principal ? Le stress oxydatif.
Ce processus destructeur, favorisé par la formation de radicaux libres, peut être à l’origine d’inflammations chroniques, de cancers et de nombreuses maladies neurodégénératives.[36]
Et ces effets se produisent même sans effet thermique observé.[37]
Comment est-il possible d’ignorer ces études sur le danger des CEM ? Et pourquoi n’y a-t-il toujours pas d’étude sur la 5G, qui fait partie des CEM !
Des liens de plus en plus inquiétants entre ondes et cancers
Des recherches majeures ont confirmé que l’exposition au RFR peut causer des cancers chez les animaux (cerveau, cœur, glandes).[38]
Et les données épidémiologiques montrent une augmentation inquiétante des tumeurs cérébrales, notamment des glioblastomes.[39]
Entre 1995 et 2015, en Angleterre, les cas de glioblastomes ont doublé : passant de 983 à 2531 cas par an. Et les auteurs de l’étude précisent que ce n’est pas dû à de meilleurs outils de détection des cancers.[40]
Les cancers colorectaux explosent aussi chez les jeunes. Chez les 20-29 ans, leur incidence a augmenté de 8 % par an en Europe ces dix dernières années.[41]
Et, même s’il n’y a pas de lien avéré, la proximité des téléphones portables avec l’abdomen, dans les poches, pourrait jouer un rôle, selon les chercheurs.[42]
Les cancers de la peau (mélanome compris) sont également une source de préoccupation majeure. Plus de 90 % de la puissance des ondes millimétriques (haut débit de la 5G) est absorbée par la peau. Et ces ondes induisent des dommages cellulaires et des mutations pouvant aboutir à ces cancers.[43]
Pourtant, l’ICNIRP maintient que ces ondes ne sont pas cancérigènes…[44] Face à ces études et ces données, peut-on encore les croire ?
Comme dans l’amiante, le tabac ou le glyphosate, certaines grandes entreprises manipulent la science.[45]
Elles financent des études biaisées, infiltrent les agences de régulation et influencent les médias. Et surtout, elles sèment le doute.[46]
Harvard parle de « captured agency » : des institutions publiques qui ne servent plus l’intérêt général, mais ceux des industries qu’elles sont censées réguler.[47]
Le principe de précaution doit s’appliquer immédiatement. Le déploiement massif de la 5G, sans étude d’impact sanitaire préalable, est un pari irresponsable sur la santé publique.
Aujourd’hui, je vous demande donc de me prêter main forte, et exiger à l’ICNIRP:
De suspendre l’expansion de la 5G
De revoir totalement les normes de sécurité CEM en intégrant les effets non thermiques
D’assurer l’indépendance des instances d’évaluation sanitaire
De demander des vraies études sur l’impact de la 5G sur la santé
Nous n’avons simplement plus le temps, ni le luxe, d’attendre davantage.
[6] « IARC classifies radiofrequency electromagnetic fields as possibly carcinogenic to humans », International Agency for Research on Cancer (WHO)
[7] « Observatoire mobile en métropole au 1er janvier 2025 », ANFR (Agence nationale des fréquence
[8] « Aim, Status & History », ICNIRP (International Commission on Non-Ionizing Radiation Protection)
[9] « ICNIRP: Conflicts of interest , corporate capture and the push for 5G », Environmental Health Trust
[10] The International Commission on Non-Ionizing Radiation Protection: Conflicts of interest, corporate capture and the push for 5G, p. 33
[11] Idem, p. 30
[12] Idem, p. 52
[13] Idem, p. 80
[14] Idem, p. 53
[15] Idem, p. 54
[16] Idem, p. 54
[17] Idem, p. 55-95
[18] Idem
[19] Idem, p. 56
[20] « RF EMF (100 kHz-300 GHz) », ICNIRP
[21] « IARC classifies Radiofrequency Electromagnetic Fields as possibly carcinogenic to humans », International Agency for Research on Cancer (IARC)
[22] Kostoff et al., 2020
[23] Belpomme et al., 2018 ; Barnes & Greenebaum, 2020
[24] Kwan-Hoong Ng (20–22 October 2003). « Non-Ionizing Radiations – Sources, Biological Effects, Emissions and Exposures ». Proceedings of the International Conference on Non-Ionizing Radiation at UNITEN ICNIR2003 Electromagnetic Fields and Our Health.
[25] Kıvrak et al., 2017 ; Zothansiama et al., 2017
[26] Electromagnetic Biology and Medicine, Early Online: 1–18, 2011
[27] « Taille, poids et tour de taille : photographie 2020 des Français », Ligue Contre l’Obésité
[28] Kwan-Hoong Ng (20–22 October 2003). « Non-Ionizing Radiations – Sources, Biological Effects, Emissions and Exposures ». Proceedings of the International Conference on Non-Ionizing Radiation at UNITEN ICNIR2003 Electromagnetic Fields and Our Health.
[29] « Turin Court of Appeal’s verdict – SUMMARY », Radiation Research
[30] Tom Butler, “A Review of the Health Risks of Radiofrequency Radiation Employed in 5G Technology and the Implications for UK Policymaking”, 2020
Pour notre 10e congrès, nous nous sommes retrouvés à Paris dans la superbe salle de l’Espace Saint-Martin et nous ne chercherons pas à être faussement modestes : ce fut un évènement qui restera dans les mémoires !
Avant tout nous remercions les 250 personnes qui étaient présentes à Paris, ainsi que les presque 200 personnes qui nous ont suivis en streaming.
En tant que président, je veux également remercier toute l’équipe de l’AIMSIB qui s’est mobilisée pour la réussite de ce congrès.
Nous avons eu de très nombreux retours positifs et de très beaux messages de félicitations et cela nous touche beaucoup. Je vous rappelle que l’intégralité du Conseil d’Administration de l’AIMSIB est bénévole et votre satisfaction est notre plus belle récompense.
Cette réussite, nous la devons aussi et surtout aux différents intervenants qui ont parfaitement répondu à notre attente.
Nous avions trois invités d’honneur qui ont été tout simplement exceptionnels.
Dans l’ordre d’apparition :
Le Pr Gilles-Eric SERALINI qui, avec son coauteur Jérome Douzelet nous a fait un exposé rigoureux autour des « conflits d’intérêts et la science » en prenant comme exemple la véritable cabale organisée contre le Pr Seralini lors de son étude sur le RoundUp. Preuve après preuve, ils nous ont rappelé que ces travaux avaient été totalement validés, à tel point que Monsanto a été condamné à plus de 16 milliards de dollars de dommages et intérêts et que beaucoup de procès sont toujours en cours. Pourtant, ce pesticide est toujours distribué aujourd’hui, même si la France en limite l’usage.
Dr Pierre KORY qui nous a fait le grand honneur de venir des USA pour participer à ce congrès et qui nous a parlé de son expérience concernant le CDS (dioxyde de chlore) et le DMSO. Nous espérons évidemment que des études sérieuses pourront voir le jour sur ces 2 produits afin qu’ils soient reconnus en France et que les médecins puissent les prescrire sans risquer une plainte ordinale, voire pire.
Corinne LALO, ancienne grand reporter et journaliste d’investigation spécialisée dans la santé, nous a livré une synthèse spectaculaire de son dernier livre : « Fausses Pandémies, Vrais Mensonges ». Son exposé était tellement limpide que nous avons décidé qu’il sera le premier à être mis en ligne sur notre site dès que le montage des enregistrements vidéo sera réalisé.
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Nos fidèles amis Carole et Louis FOUCHÉ nous ont fait l’immense plaisir de venir partager à nouveau nos travaux.
Carole a fait un exposé très pointu sur les vaccins à base d’ARN modifié en se basant sur les multiples études concernant leur balance bénéfice-risque, et comme tous les autres, sans aucun conflit d’intérêts.
Louis a animé avec brio la table ronde qui a clôturé notre congrès où nous avons réfléchi sur l’évolution du système de santé et les solutions que chacun, individuellement mais aussi collectivement, pourrait mettre en place pour espérer qu’un système de soins cohérent puisse répondre aux besoins de tout un chacun. Car c’est bien le but de l’association AIMSIB : promouvoir une santé intégrative centrée sur le patient, l’individu, à l’opposé de cette médecine informatisée et déshumanisée que certains veulent nous imposer.
À côté de ces invités prestigieux, nous étions 3 membres du conseil scientifique de l’AIMSIB à venir partager nos recherches et nos expériences :
Vincent RELIQUET nous a parlé du chlorure de magnésium et de sa place en médecine à travers une approche historique dont il a le secret. Encore un remède naturel et efficace totalement rejeté par nos décideurs et nos académies.
Hélène BANOUN a réussi l’exploit de nous résumer en 40 mn toutes ses recherches récentes sur les virus et leur prophylaxie. Covid, grippe, VRS, varicelle-zona et même dermatose nodulaire des vaches n’ont plus de secrets pour elle, et elle nous a donné une synthèse des vrais résultats scientifiques autour des traitements préventifs (dont les vaccins) proposés pour la prévention de ces maladies. Sans oublier les aspects biopolitiques qui sont particulièrement présents, comme elle l’a très bien montré dans son livre « La Science face au Pouvoir ».
Votre serviteur a, quant à lui, exposé 40 ans d’expérience autour de la prise en charge des cancers et des nombreux remèdes oubliés, rejetés et laissés au bord de la route malgré des résultats cliniques très encourageants. Pourquoi un tel rejet ? Argent, ego, œillères, quelles sont les raisons d’un tel obscurantisme ? Là encore, nous appelons de nos vœux des études approfondies et objectives pour que des remèdes qui ne peuvent pas être brevetés et donc qui ne peuvent pas remplir les poches des actionnaires soient malgré tout évalués en toute objectivité.
photo groupe 3
Toutes les rediffusions des interventions seront progressivement mises en ligne sur notre site et disponibles pour tous nos adhérents et les personnes inscrites au congrès à distance et en présentiel. Cela demande un peu de travail de mixage et de montage. Nous vous remercions de votre patience.
Nous commencerons par les conférences de Pierre KORY et de Corinne LALO qui devraient être disponibles d’ici 2 ou 3 semaines, puis nous espérons publier une nouvelle vidéo par semaine.
De quoi vous informer en toute transparence, sans conflit d’intérêts et avec toute la bienveillance qui caractérise nos actions.
En espérant que cela vous donne envie de venir nous rencontrer pour notre 11e congrès qui devrait avoir lieu à Lille en octobre 2026 et où nous fêterons nos 10 ans d’existence et de combat pour une information franche, loyale et strictement scientifique en matière de santé.
Je conclurai en remerciant tous nos adhérents sans qui nous ne serions rien. N’oubliez pas de renouveler votre adhésion en 2026, mais aussi de diffuser autour de vous nos travaux pour que chaque citoyen puisse choisir en conscience les soins qui lui correspondent le mieux.
Et si vous n’êtes pas adhérent, n’hésitez pas à nous rejoindre pour la modeste somme de 30€ (et 10€ pour les non-imposables) afin de nous aider à poursuivre notre travail et notre démarche dont le seul but est LA SANTÉ, la vôtre, la nôtre et celle de la planète, car nous partageons tous le même équilibre.
Deux chercheurs indépendants ont recensé les problèmes de sécurité liés à la contamination ADN des injections Pfizer et Moderna ainsi que leurs enjeux réglementaires. Ils publient un document contenant 248 questions adressées à la FDA, qui a homologué les injections en 2020, mais qui n’a toujours pas publié les données concernant les tests de sécurité qu’elle est supposée avoir réalisés.
En décembre 2023, le chirurgien général de Floride, Josef Lapado, a adressé un courrier à la Food & Drug Administration (FDA) et aux Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC). Il y exprime ses préoccupations concernant la contamination ADN des vaccins anti-COVID Pfizer et Moderna, ainsi que l’utilisation par Pfizer de séquences de SV40, prohibé en raison de son potentiel cancérigène majeur. Ces observations, initialement rapportées par le Dr McKernan, sont aujourd’hui confirmées par une dizaine de laboratoires dans le monde, y compris la présence de SV40.
L’ancien directeur de la FDA, Peter Marks, a répondu le 14 décembre 2023 au courrier du Dr Lapado. Il estime que la présence de ces contaminants est conforme aux limites réglementaires et ne représente aucun danger pour la santé humaine :
Dans votre lettre, vous soulevez la question de la présence d’ADN promoteur/activateur SV40 dans ces vaccins et des préoccupations que cela soulève en matière de sécurité. Nous tenons à préciser que, sur la base d’une évaluation approfondie de l’ensemble du processus de fabrication, la FDA est convaincue de la qualité, de la sécurité et de l’efficacité des vaccins contre le COVID-19. L’évaluation des avantages et des risques réalisée par l’agence et la surveillance continue de la sécurité démontrent que les avantages de leur utilisation l’emportent sur les risques. De plus, avec plus d’un milliard de doses de vaccins à ARNm administrées, aucun problème de sécurité lié à l’ADN résiduel n’a été identifié. Vous trouverez ci-dessous les réponses à chacune de vos trois questions spécifiques.https://www.fda.gov/media/174875/download
Cette réponse a servi de base à la position de la FDA et à celle des agences réglementaires d’autres pays sur ce sujet. Elle constitue donc à ce titre un document réglementaire crucial.
Deux scientifiques indépendants, le Dr Wiseman (Senechion, Inc), spécialisé dans les questions réglementaires et de politique publique et Maria Gutschi, docteure en pharmacie, consultante et évaluatrice de médicaments, ont adressé en retour un courrier à la FDA. Ils ont recensé 248 questions concernant les problèmes de sécurité liés à la contamination ADN et à l’utilisation de SV40, auxquelles la FDA n’a pas répondu ou pour lesquelles elle a fourni une réponse mensongère. Cette liste a été consolidée dans un document publié il y a quelques jours.
Le document se présente comme une contestation point par point de la réponse de la FDA, accompagnée de questions supplémentaires liées aux tests de sécurité ou à la fabrication de ces produits.
Les questions portent notamment sur :
la désinformation concernant le risque de décès, les risques pour la grossesse et l’allaitement, les preuves dont disposait la FDA pour affirmer que les vaccins sont sûrs et efficaces (22 questions) ;
le changement de processus de fabrication : quand la FDA a-t-elle su que la formule commerciale n’était pas celle qu’elles avaient homologuée ? Quelles mesures a-t-elle prise pour s’assurer que ce changement n’aurait pas de conséquences négatives ? (41 questions) ;
la présence d’ADN résiduel et le risque d’intégration chromosomique : pourquoi les risques sont-ils si préoccupants ? Sur quels arguments se basait la formule « l’ARN ne peut pas entrer dans le noyau » ? Quelles études ont été conduites pour écarter ce risque ? Quelles preuves ont été présentées par Pfizer pour justifier la déclaration : « l’ADN résiduel […] a une très faible probabilité d’atteindre le noyau » ? (51 questions) ;
la présence de SV40 : ces séquences ont-elles été identifiées par la FDA durant le processus d’homologation ? Sur quelles bases la FDA a-t-elle considéré qu’elles ne remettaient pas en cause la capacité d’intégration du vaccin ? (27 questions)
la sécurité des injections en lien avec l’utilisation d’ARN modifié et de nanoparticules lipides, incluant : les études de sécurité, de biodistribution, de pharmacocinétique et de génotoxicité (68 études) ;
les signaux de cancer (1 question) ;
les erreurs de transcription : quelle analyse la FDA a-t-elle conduite, ou conduira-t-elle, pour enquêter sur les causes de ces défaillances et leurs risques potentie ? Pfizer ou Moderna ont-ils soumis des données ou une analyse des risques concernant la possible formation d’autres types de protéines ? (26 questions)
La dernière question concerne le statut des injections :
La FDA reconnaîtra-t-elle la réalité biologique de ces produits et les régira-t-elle comme des thérapies géniques ?
Le document est dense et technique, et place la FDA au pied du mur. Le renouvellement de la direction de l’agence, dont le nouveau commissaire a récemment formulé des engagements extrêmement forts en matière de transparence sur la sécurité des injections, permet d’espérer une réponse sincère et circonstanciée. Les conséquences politiques seraient probablement majeures pour l’équipe précédente compte tenu de la gravité de la négligence dont a fait preuve l’agence ou des fraudes qu’elle a activement couvertes. Pour Pfizer, il est en revanche difficilement concevable qu’il puisse survivre à une telle mise au point.
La liste traduite en français de ces 248 questions ainsi que le sommaire du document peuvent être téléchargés ici :
Une vaste étude sud-coréenne démontre que les injections anti-COVID augmentent le risque de cancer global et celui de six cancers de 20 % à 69 %. L’étude révèle également que les boosters ont provoqué une hausse massive du cancer du pancréas. Ces données confirment malheureusement celle d’une précédente étude italienne.
Une étude réalisée par des chercheurs sud-coréens[1] portant sur 8,4 millions d’adultes confirme que les injections anti-COVID ont été associées à une hausse massive des cancers. Il s’agit de la deuxième étude populationnelle qui établit une association positive entre l’augmentation du risque de cancer et la vaccination anti-COVID.
Conclusions de l’étude sud-coréenne
Les auteurs ont suivi l’évolution des diagnostics de cancer reçus par la population de Séoul entre 2021 et 2023, selon son statut vaccinal, pour 29 types de cancers différents. Ils ont découvert que les personnes vaccinées vs non vaccinées avaient un risque majoré de manière globale et plus spécifiquement pour 6 types de cancer, jusqu’à + 69 % pour celui de la prostate :
Risque global de cancer (tous types confondus) : + 27 % ;
Risque de cancer de la prostate : + 69 % ;
Risque de cancer du poumon : + 53 % ;
Risque de cancer de la thyroïde : + 35 % ;
Risque de cancer gastrique : + 34 % ;
Risque de cancer colorectal : + 28 % ;
Risque de cancer du sein : + 20 %.
L’étude a comparé les augmentations d’incidence par type de vaccin, mettant en évidence un risque accru apparu une injection génique à base de vecteur ADN :
Injections à vecteur ARN messager (Pfizer/Moderna) : + 20 % de risque global de cancer ;
Injections à vecteur ADN (Janssen/AstraZeneca) : + 47 % de risque global de cancer ;
Injections selon un schéma mixte → + 34 % de risque global de cancer.
Les chercheurs notent également une majoration du risque de cancer pour la population ayant reçu des boosters. Les types concernés sont les cancers gastriques et les cancers du pancréas pour lesquels l’augmentation est vertigineuse :
Cancer gastrique : + 23 % ;
Cancer du pancréas : + 125 %.
Convergence avec les données de l’étude italienne
Ces résultats rejoignent de manière spectaculaire ceux d’une précédente étude[2], publiée en juillet dernier par des chercheurs italiens dont nous avions analysé les conclusions au moment de sa parution :
Cancer global : + 23 % ;
Cancer du sein : + 54 % ;
Cancer de la vessie : + 62 % ;
Cancer colorectal : + 35 %.
Des augmentations avaient été également observées pour quatre autres types de cancers, mais elles avaient été jugées statistiquement non significatives :
Cancer hématologique : +31 % ;
Cancer de l’utérus : + 77 % ;
Cancer des ovaires : + 86 % ;
Cancer de la thyroïde : + 58 %.
Les auteurs de l’étude sud-coréenne pointent la répétition des injections ainsi que la probable oncogénicité de la protéine Spike en se basant sur le fait que le COVID est un virus oncogène, et concluent de manière politiquement correcte :
Compte tenu des associations observées entre la vaccination contre la COVID-19 et l’incidence du cancer selon l’âge, le sexe et le type de vaccin, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer si des stratégies de vaccination spécifiques pourraient être optimales pour les populations nécessitant une vaccination contre la COVID-19.
Il apparaît en réalité aujourd’hui, à la lueur du nombre d’études documentant l’explosion des nouveaux cancers apparus depuis la « vaccination de masse » ainsi que les mécanismes oncogéniques associés à ces thérapies géniques (au moins 17 selon notre recensement, qui pourrait être porté à 19 ou 20) que 70 % de la population mondiale a reçu un produit notoirement cancérigène favorisant les réinfections, sur la base d’incitations agressives fondées sur des données épidémiologiques frauduleuses.
La notion de « turbo cancer » a été récemment validée par les pairs. Combien de temps les personnes vaccinées devront-elles attendre pour que le lien avec les injections soit officiellement reconnu ?
Le fait d’avoir privilégié la vaccination en dépit de son inefficacité et de l’absence totale de recul plutôt que des molécules comme l’hydroxychloroquine[3],[4],[5],[6],[7] et l’ivermectine[8],[9] s’avère d’autant plus criminel. Le point commun entre ces deux molécules, outre le fait qu’elles ont démontré précocement leur efficacité, qu’elles sont considérées comme sûres, avec une innocuité confirmée par des centaines de milliards de doses administrées durant des décennies y compris chez les enfants et les femmes enceintes, est qu’elles sont toutes les deux des anticancéreux notoires.
Références
[1] Kim HJ, Kim MH, Choi MG, Chun EM. 1-year risks of cancers associated with COVID-19 vaccination: a large population-based cohort study in South Korea. Biomark Res. 2025 Sep 26;13(1):114. https://doi.org/10.1186/s40364-025-00831-w.
[2] Acuti Martellucci C, Capodici A, Soldato G, Fiore M, Zauli E, Carota R, et al. COVID-19 vaccination, all-cause mortality, and hospitalization for cancer: 30-month cohort study in an Italian province. EXCLI J. 2025 Jul 1;24:690-707. https://doi.org/10.17179/excli2025-8400.
[3] Arshad S, Kilgore P, Chaudhry ZS, Jacobsen G, Wang DD, Huitsing K, et al. Treatment with hydroxychloroquine, azithromycin, and combination in patients hospitalized with COVID-19. Int J Infect Dis. 2020 Jul 2;97:396-403. https://doi.org/10.1016/j.ijid.2020.06.099.
[4] Li YS, Ren HC, Cao JH. Correlation of SARS-CoV-2 to cancer: Carcinogenic or anticancer? (Review). Int J Oncol. 2022 Apr; 60(4):42. DOI: https://doi.org/10.3892/ijo.2022.5332.
[5] Chen MY, Yadav VK, Chu YC, Ong JR, Huang TY, Lee KF, et al. Hydroxychloroquine (HCQ) modulates autophagy and oxidative DNA damage stress in hepatocellular carcinoma to overcome sorafenib resistance via TLR9/SOD1/hsa-miR-30a-5p/Beclin-1 axis. Cancers (Basel). 2021 Jun 28;13(13):3227. https://doi.org/10.3390/cancers13133227.
[6] Zhou N, Liu Q, Wang X, He L, Zhang T, Zhou H, et al. The combination of hydroxychloroquine and 2-deoxyglucose enhances apoptosis in breast cancer cells by blocking protective autophagy and sustaining endoplasmic reticulum stress. Cell Death Discov. 2022 Jun 11;8(1):286. https://doi.org/10.1038/s41420-022-01074-6.
[8] Tang M, Hu X, Wang Y. Ivermectin, a potential anticancer drug derived from an antiparasitic drug. Pharmacol Res. 2021 Jan;163:105207. https://doi.org/10.1016/j.phrs.2020.105207.
[9] Braga L, Ali H, Secco I, Neves G, Goldhill D, Penn R, et al. Drugs that inhibit TMEM16 proteins block SARS-CoV-2 spike-induced syncytia. Nature. 2021; 594:88–93. https://doi.org/10.1038/s41586-021-03491-6.
Les médecins aux États-Unis doivent désormais informer honnêtement les citoyens des risques et de l’efficacité limitée des injections.
Aux États-Unis, les CDC, à l’instar du RIVM, informeront les citoyens des « risques et incertitudes » liés aux vaccins contre le coronavirus . La brochure d’information, obligatoire avant chaque vaccination, contiendra des informations choquantes pour l’Américain moyen.
Dans la campagne d’automne, on leur explique, entre autres, que les vaccins provoquent des « changements dans le système immunitaire », peuvent entraîner des maladies cardiaques, restent très longtemps dans le corps et offrent peu de protection .
Réunion de l’ACIP à Atlanta – un changement de cap
Une réunion mémorable de la commission conseillant les CDC sur leur programme national de vaccination s’est tenue au siège des CDC à Atlanta, en Géorgie. L’objectif était d’élaborer des recommandations concrètes pour les rappels de vaccination contre la COVID-19 à l’automne aux États-Unis.
Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (CCPV) a décidé de faire volte-face. Si les vaccins contre la COVID-19 restent accessibles à toutes les personnes de six mois et plus, il n’existe plus de recommandations nationales . La vaccination relève désormais d’une « décision clinique individuelle » .
Cela signifie que les Américains, en particulier ceux de plus de 65 ans ou souffrant de pathologies préexistantes, décideront avec leur médecin s’ils souhaitent se faire vacciner. L’accent est mis sur le consentement éclairé : les personnes doivent être pleinement informées à l’avance des « bénéfices, des risques et des incertitudes ».
Six risques et incertitudes sur la fiche d’information
Jusqu’à présent, le CDC a minimisé les risques potentiels de la vaccination dans sa « Déclaration d’information sur les vaccins » officielle.
Onze des douze membres du comité ont voté pour « six risques et incertitudes » : énumérer clairement
Effet protecteur uniquement de « faible qualité » – Les évaluations d’efficacité contre les conséquences graves telles que les décès, les hospitalisations et le Covid long sont faibles.
Protection supplémentaire contre les rappels saisonniers « modérée au maximum et de courte durée » – Les citoyens doivent comprendre que les avantages sont limités.
Les boosters d’ARNm modifient le système immunitaire – Avec comme conséquence possible une susceptibilité accrue aux infections futures, notamment au SARS-CoV-2 et à d’autres maladies respiratoires.
Décès documentés dus à des lésions cardiaques – Myocardite/péricardite et autres maladies cardiovasculaires après vaccination, même chez les enfants en bonne santé, avec une relation causale probable avec les vaccins à ARNm.
Post-vaccinales Syndrom (PVS) – Les rapports cliniques montrent que les vaccins peuvent, dans certains cas, déclencher un syndrome de vancomycine extrapyramidal (SVP) durable et invalidant. La fréquence et les facteurs de risque sont largement inconnus.
Les protéines Spike, l’ARNm et les nanoparticules lipidiques restent longtemps dans le corps – Des données montrent que chez certaines personnes, ces cellules persistent dans des organes comme les ganglions lymphatiques et le cœur pendant des mois, voire des années . Ce phénomène a été associé à des syndromes de vancomycine (SVV) et à d’autres effets secondaires.
De plus, il est souligné que la sécurité et l’efficacité pendant la grossesse n’ont jamais été testées dans des essais cliniques randomisés – et que dans une étude, davantage de bébés présentant des malformations sont nés de femmes vaccinées que de femmes non vaccinées.
« Des faits longtemps occultés »
De nombreux Américains seront probablement stupéfaits par ces informations. Cette transparence accrue est en grande partie due au professeur Retsef Levi , qui dirige un groupe de travail spécial des CDC chargé d’examiner de manière critique les prétendues « sécurité et efficacité ».
Les nouveaux membres nommés, tels que le professeur Charlotte Kupperwasser (Université Tufts) et le professeur Wafik El-Deiry (Université Brown), ont brisé les tabous lors de la réunion : lors d’une présentation en ligne, ils ont parlé ouvertement des problèmes de sécurité des vaccins à ARNm, diffusée en direct depuis le siège du CDC.
Finis les tabous : risques de cancer et contamination de l’ADN
Kupperwasser et El-Deiry ont abordé l’ensemble des questions, y compris la contamination de l’ADN et son lien possible avec le cancer.
L’oncologue El-Deiry, directeur du Centre de cancérologie de Legorreta, a exprimé des inquiétudes quant aux effets cancérigènes potentiels dès 2023.
Il a fait référence à des rapports et des études sur un lien avec le cancer du pancréas et du côlon .
On sait peu de choses sur le degré de contamination de l’ADN dans les nouveaux boosters.
Il exige :
programmes de surveillance proactive ,
études épidémiologiques ,
des autopsies approfondies pour déterminer la causalité.
Levi met en garde de toute urgence
Dans son discours de clôture, Levi a exprimé son inquiétude quant aux données de sécurité, citant les autopsies de deux adolescents décédés quelques jours après avoir reçu le vaccin.
Les CDC ont alors rejeté ces conclusions. Levi a demandé :
Avons-nous une culture de sécurité ? Comment reconnaître qu’il y a un problème lorsque les décès post-COVID sont comptabilisés comme « liés à la COVID », mais pas lorsque des enfants meurent d’un mécanisme connu trois jours après la vaccination ?
Il a souligné que les enfants sont morts d’ une myocardite subclinique , une inflammation inaperçue du muscle cardiaque qui peut être mortelle.
« C’est prouvé. Cela ne fait aucun doute. Pourtant, nous n’en parlons pas avec les patients et ne mentionnons pas ce risque. »
Le rapport attendu de la FDA ne se concrétise pas
Beaucoup s’attendaient à ce que Tracy Beth Høeg présente un rapport explosif de la FDA reliant 25 décès d’enfants aux vaccins. Le Washington Post en a déjà parlé, mais le document est apparemment toujours en attente.
Réactions
Sayer Ji (Greenmed Info) a parlé d’un « changement radical » : « Pour la première fois, j’ai vu des scientifiques du CDC admettre publiquement que tous les vaccins ne sont pas « sûrs et efficaces ». »
L’épidémiologiste Nicolas Hulscher met toutefois en garde contre l’euphorie : « C’est un petit pas dans la bonne direction. Mais les vaccins sont bien trop dangereux pour être laissés aux mains de médecins et de pharmaciens, en proie à une psychose collective depuis 2021. La pression universelle est peut-être terminée, mais le risque, immense, demeure. »
Conclusion : Les CDC abandonnent la rhétorique de la sécurité et de l’efficacité absolues. Ils s’engagent désormais à fournir des informations honnêtes sur les risques, les incertitudes et l’efficacité limitée du vaccin, ce qui rompt avec des années de politique officielle de vaccination.
Qui veut nous cacher quoi ? Le 21 septembre dernier, j’ai été stupéfait de lire l’article rédigé par mon ami Marcan, journaliste citoyen belge, pour le média BAM! (Belgian Alternative Media). On y apprend que la Commission européenne a organisé un exercice de simulation de pandémie en collaboration avec le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC). Cette grande répétition générale d’une catastrophe sanitaire mondiale avait pour objectif de tester les mécanismes de gestion de crise par les deux institutions et de mettre à l’épreuve leurs canaux de communication.
Fort bien, on n’en attend pas moins de l’Union Européenne. Gouverner, c’est prévoir, et on peut se féliciter que la bureaucratie bruxelloise se préoccupe de coordonner l’action des 27 pays membres en cas d’urgence dépassant la capacité de réponse des nations. Ce qui est très intriguant, c’est que cet exercice baptisé « Blue Orchid » (« Orchidée Bleue ») s’est déroulé le 8 février 2019, soit 10 mois avant l’ouverture du Corona Circus, et 8 mois avant le fameux Event 201 de New-York, où Américains et Chinois ont « joué » à prévoir une pandémie coronavirale. Ça fait beaucoup de coïncidences en l’espace d’une seule année.
Simulation dissimulée
Ce qui est encore plus intriguant, c’est que l’entraînement sur le sol européen s’est déroulé dans le plus grand secret, contrairement à sa version américaine du mois d’octobre. Sur l’Event 201 , on sait tout ou à peu près. On connaît ses recommandations finales (anticiper notamment les réticences à la vaccination et lutter contre la désinformation en censurant les réseaux sociaux), on connaît tous les participants (le directeur du CDC américain et son homologue chinois, le World Economic Forum, la fondation Bill et Melinda Gates, le John Hopkins Institute, l’industrie pharmaceutique, la CIA…) et on a accès aux documents relatifs à cet événement qui a été filmé et photographié en toute transparence.
Rien de tout cela pour « notre » exercice Orchidée Bleue : on ne saurait même pas qu’il a eu lieu si un député européen autrichien n’avait pas interrogé la Commission sur sa participation à d’autres simulations de crise sanitaire. C’est en effet le député Gerald Hauser, élu du parti FPÖ, qui a interpellé l’exécutif européen le 11 mars 2025 en lui posant trois questions précises . Et c’est grâce à lui que dans sa réponse du 30 juin, le Commissaire européen à la santé, le Hongrois Oliver Vàrhelyi, a bien dû dévoiler l’existence de Blue Orchid.
Chose incroyable et démocratiquement intolérable, on ne sait absolument rien de ce qui s’est passé le 8 février 2019. Dans une deuxième question posée le 29 juillet, Gérald Hauser s’indigne qu’il n’a trouvé aucune information ni publication sur l’Orchidée Bleue. Aucune trace non plus de cet exercice sur les sites de la Commission et de l’ECDC. Comme le dénonce Marcan dans son article, ce n’est pas normal car d’ordinaire, les exercices internes donnent lieu à un minimum de communication officielle. Même les alertes incendies sont consignées quelque part et font l’objet d’un rapport. Ici, c’est le trou noir, le vide intersidéral, l’obscurité totale !
Questions en suspens
N’en croyant pas mes yeux, j’ai pensé que le député autrichien et le journaliste citoyen n’avaient pas bien cherché sur internet. Sur la toile, avec de bons mots-clés en anglais, on devait forcément retrouver quelques infos sur l’Orchidée Bleue. Et bien bernique ! Chou blanc sur toute la ligne ! J’ai compulsé les 20 premières pages de Google avec plusieurs entrées et le moteur de recherche ne renvoie qu’à des sites de fleuristes et de botanistes. Les seules occurrences pertinentes concernent les questions parlementaires de Gerald Hauser et l’article de BAM!.
Plus étonné que jamais, j’ai demandé à ChatGPT ce qu’il savait de Blue Orchid et voici ce que l’IA m’a textuellement répondu : « Je n’ai pas trouvé d’information crédible confirmant l’existence de l’exercice “Blue Orchid” organisé par la Commission Européenne en février 2019 — du moins, rien de public ou officiellement documenté — et plusieurs sources semblent confirmer cette absence. » Pour l’intelligence artificielle, il n’est même pas sûr que l’événement se soit effectivement déroulé, c’est dire à quel point les organisateurs tenaient à la confidentialité !
Pourquoi cet exercice bien réel devait-il rester confidentiel si le but déclaré était de se préparer collectivement à une épidémie dévastatrice ? Pourquoi l’avoir caché si longtemps aux populations européennes ? Dans sa deuxième question adressée à la Commission, le député autrichien réclame trois explications : 1) Quels étaient les scénarios envisagés pour cet exercice ? 2) Quelles leçons et conclusions en ont été tirées ? 3) Comment le public peut-il obtenir des détails, notamment sur les participants et les institutions impliquées ? À ce jour, Gerald Hauser n’a pas encore reçu de réponse à son interpellation…
Hypothèse complotiste
Elle viendra certainement, probablement avant la fin de l’année. Le commissaire Oliver Vàrhely est un proche de Viktor Orban et il n’a aucune raison de faire des cadeaux à la Présidente Ursula von der Leyen. Il était déjà membre de la première équipe de la hyène corrompue et il a passé ses cinq années de premier mandat à défendre les intérêts de la Hongrie plutôt qu’à s’aligner sur Bruxelles. En 2024, le Fidesz hongrois s’est par ailleurs allié avec le FPÖ autrichien et le parti populiste tchèque ANO pour former le groupe parlementaire « les Patriotes pour l’Europe ». Puisqu’ils sont du même (tri)bord, on peut présumer que Vàrhely est en train de remuer le cocotier pour Hauser et on peut même se demander si sa sortie du 30 juin n’était pas une première noix jetée dans la mare. Vivement la suite de ce feuilleton politique !
Sans préjuger de son dénouement, on peut se permettre d’émettre une hypothèse. Quand un programme est clandestin, c’est logiquement parce que certains de ces aspects doivent être occultés. L’omerta est de règle dans la mafia, les services secrets tablent précisément sur le secret et l’armée a besoin de se muer en « grande muette » pour camoufler une part de ses activités. Et si c’était ça, la motivation de l’extrême discrétion européenne ? Dans une infolettre précédente, j’ai décrit l’évidente mainmise du Pentagone et de l’OTAN dans le pilotage de la pandémie. Aux Pays-Bas, les autorités ont d’ailleurs récemment confirmé qu’elles devaient en référer confidentiellement à l’Alliance Atlantique dans ce type de crise sanitaire.
Or les liens entre l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord et la Commission Européenne sont plus que étroits, on le voit encore très bien avec le conflit ukrainien. Et le siège des deux institutions sont situés à Bruxelles. Je peux me tromper mais je parierais volontiers ma chemise qu’il y avait des uniformes kakis lors des réunions préparatoires de l’Orchidée Bleue, ainsi que des officiers de différents services de renseignement. Mon intuition, je la fonde sur le fait que dès le début de la mascarade, on nous a fait croire que le covid était possiblement une attaque biologique nécessitant la mobilisation des forces armées et des services spéciaux. Aux États-Unis, c’est clairement la réaction aux risques CBRN (chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires) qui a dicté la politique suivie contre la pseudo pandémie. À mon avis, on s’apercevra qu’il en fut de même de ce côté-ci de l’Atlantique lorsque Blue Orchid aura livré ses secrets.
Une arme biologique ou biomimétique ?
Chez l’Oncle Sam, ça fait belle lurette que la crainte des virus « militarisés » accapare les états-majors et les structures en lien avec l’armée américaine. Dans leur « Manifeste conspirationniste» édité au Seuil en avril 2022 et dépublié par l’éditeur l’année suivante (du jamais vu dans l’histoire de l’édition !), les auteurs anonymes de cet ouvrage très documenté rappellent qu’il y a eu une kyrielle de simulations pandémiques depuis plus de 20 ans. Blue Orchid et l’Event 201 n’étaient que les énièmes épisodes d’une longue série. Or qui retrouve-t-on presque toujours aux manettes de ces exercices souvent organisés aux USA ? Le Center for Health Securityqui est en fait né en 1998 sous le nom de Center for Civilian Biodefense Stratégies,un département du John Hopkins Institute officiellement destiné à « la lutte contre le bioterrorisme ». Le nom a changé mais l’obsession américaine des virus ou bactéries « weaponized » est restée intacte.
En juin 2021, cette bande de bio-paranos a notamment organisé l’exercice Dark Winter sur la base militaire d’Andrews, dans le Maryland. Censée anticiper une attaque de la population américaine avec l’agent viral de la variole, cette simulation a plutôt prophétisé avec brio les attaques à l’anthrax de septembre suivant , une semaine après le 11 septembre. Pour mémoire, ces lettres empoisonnées au bacille du charbon étaient envoyées à différents médias et politiciens, généralement hostiles à l’état d’exception du Patriot Act. Il y eut cinq morts et on fit porter le chapeau d’abord à Al-Qaïda, puis à l’Irak, et enfin à un malheureux virologue du laboratoire bactériologique de Fort Detrick, lequel chercheur s’était opportunément « suicidé » peu auparavant. Une bien grosse ficelle pour hisser un faux drapeau…
Pour moi, le bioterrorisme est en soi un gigantesque « false flag ». Il n’existe toujours pas la moindre preuve que quiconque soit déjà parvenu à bricoler un agent infectieux et à le transformer en tueur de masse. Ce mythe hollywoodien, qui est aujourd’hui récupéré théâtralement par Donald Trump, est à mon sens une diversion destinée à camoufler une autre catégorie d’armes, bien réelle celle-là. Laquelle ? L’arme neurotoxique imitant à la perfection un fléau pandémique. À l’appui de ma supposition, je vous rappelle d’une part qu’une étude de 2018 a montré que les nanoparticules électroniques étaient désormais « aéorosolisables », autrement dit qu’elles pouvaient voyager sur des microgouttelettes en suspension dans l’air et qu’elles pouvaient ainsi « infecter » des humains à la manière des virus selon le postulat pasteurien. D’autre part, je vous suggère de visionner la conférence donnée en 2017 à l’Université de Georgetown par le Dr James Giordano, expert en neurotechnologie.
Si vous ne maîtrisez pas l’anglais, voici la traduction d’un passage essentiel épinglé par la journaliste Corinne Lalo dans son excellent ouvrage « Fausses pandémies, vrais mensonges » : « Si je suis un groupe terroriste, je vais me rendre dans plusieurs villes et je vais y provoquer des foyers épidémiques dispersés en y diffusant des nanoparticules neurotoxiques. Je vais choisir des individus cibles, des influenceurs qui partageront leur expérience de la maladie sur les réseaux sociaux. Internet sera le vrai virus, car tous les hypocondriaques se croiront malades. Ces influenceurs pourront aussi être ciblés par des ondes électromagnétiques car le cerveau est un organe électromagnétique ». Et le Dr Giordano d’ajouter : « Nos collègues de la branche médicale de l’OTAN ont montré que la dispersion de nanoparticules peut être utilisée pour provoquer ce qui ressemble à l’apparition subite d’un grand foyer épidémique ».
En d’autres termes, les armes chimiques et/ou électromagnétiques qui simulent des maladies et épidémies virales existent déjà dans les arsenaux occidentaux. Et il serait bien naïf de penser qu’elles ont été conçues pour y rester. Personnellement, je soupçonne que pareils poisons « biomimétiques » ont été dispersés dans le cadre de la psy op’ Covid-19. Au lendemain de la grande manifestation bruxelloise du 23 janvier 2022 réprimée à grands coups de grenades lacrymogènes, nous sommes des dizaines, peut-être des centaines, à avoir développé une grosse grippe bizarroïde. Pour les plandémistes, n’était-ce pas l’occasion rêvée de répandre la fiction des gains de fonction parmi la résistance ? À toute fin utile, je signale que la Belgique héberge aussi le SHAPE, le quartier général de l’OTAN en Europe…
Un variant de roman et une fleur qui n’existe pas
Quitte à me répéter inlassablement, il est patent qu’il n’y a jamais eu de virus pathogène impliqué dans l’hystérie covidienne. Cette dernière résulte d’un récit soigneusement fabriqué par des ingénieurs sociaux chargés de terrifier les foules. Avec un bon narratif, on peut faire croire n’importe quoi à des populations apeurées. Tenez, prenez le surnom donné au soi-disant dernier variant qui serait en train de circuler en Europe : Frankenstein ! En choisissant cette créature fictive (mais monstrueuse et échappant à son créateur) pour étiqueter les dernières séquences génomiques prétendument identifiées par PCR, les manipulateurs affichent explicitement leur intention de continuer à sidérer par la terreur.
Très curieusement, les personnes à l’origine de l’exercice Blue Orchid ont également opté pour un nom de code puisé dans l’imaginaire : une orchidée bleue, ça n’existe pas dans la nature ! Il y a bien des variétés sud-asiatiques de teinte violette avec des reflets bleutés, mais la fleur bleue qu’on peut trouver dans le commerce est en réalité une orchidée blanche dans laquelle les producteurs ont injecté du bleu de méthylène. Le colorant chimique est inoculé dans la tige et il se propage transitoirement aux pétales, donnant l’illusion d’un bleu roi ou d’un bleu azur. Inconsciemment ou volontairement, les simulateurs européens ont donc baptisé leur exercice avec un nom commun et une épithète qui fleure bon l’arnaque, l’artifice et le mensonge . Mon sentiment est que le dévoilement des tenants et aboutissants de Blue Orchid va nous rapprocher du pot-aux-roses.
Il s’agit de centaines de milliers de documents, obtenus par voie judiciaire, que la société pharmaceutique n’a pas publiés sur les effets indésirables des vaccins à ARN messager
Le 3 septembre , la députée européenne Christine Anderson a présenté la journaliste et consultante Naomi Wolf au Parlement européen. Mme Wolf a présenté le rapport « The Pfizer Papers », préparé avec Amy Kelly à partir de centaines de milliers de documents – que le laboratoire pharmaceutique n’a pas publiés – sur les effets indésirables des vaccins à ARN messager.
Ces documents, obtenus par voie judiciaire, ont été analysés par une équipe d’environ 3500 professionnels, dont des médecins et des avocats, qui ont produit plus de 100 rapports à ce jour. Mme Wolf a décrit les données trouvées et, exprimant sa surprise face aux expériences révélées, a évoqué la possibilité que le Parlement européen enquête sur l’intérêt d’utiliser le vaccin comme « une arme biologique déployée pour réduire les populations occidentales et exercer une influence politique ».
Elle a également demandé une enquête sur un accord parallèle entre BioNTech et un laboratoire pharmaceutique chinois, avec lequel elle s’est engagée à promouvoir le développement du même programme de vaccin contre la Covid-19 qu’avec Pfizer.
« Cette campagne de vaccination à ARN messager (ARNm) est entrée dans l’histoire comme le plus grand scandale médical de tous les temps. C’est le plus grand crime contre l’humanité […] Au cours des sept premiers mois de la vaccination à ARNm, on a enregistré 20 fois plus d’effets indésirables graves et 23 fois plus de décès que tous les autres vaccins réunis depuis leur introduction dans les années 1970, sur une période de 30 ans », a déclaré Mme Anderson.
En 2022, le procès remporté par l’avocat Aaron Siri a conduit à la divulgation forcée d’environ 450.000 documents Pfizer détenus par la Food and Drug Administration (FDA), l’« Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux ». Les documents cités par l’éditeur ont ensuite été demandés dans le cadre d’une procédure en vertu de la loi sur la liberté d’information (FOIA) sous l’administration Biden.
Capture d’écran de l’intervention de Naomi Wolf au Parlement européen le 3 septembre 2025. (Source : Naomy Wolf)
Les « Pfizer Papers » disposent de « rapports renvoyant directement aux documents originaux. Si vous avez des doutes sur l’une des conclusions, vous pouvez consulter les documents Pfizer et consulter le document original par vous-même », a indiqué Mme Wolf.
« Tout d’abord, et je pense que c’est très important pour vous, députés européens : Pfizer savait, un mois après le début de la campagne de vaccination publique – c’est-à-dire en novembre 2020 – que ce vaccin était inefficace pour stopper la Covid. »
« Je veux que vous digériez cela : cela signifie que tout ce qui a suivi – les obligations, les pertes d’emplois, les entreprises qui ont dû fermer, les enfants qui n’ont pas pu retourner à l’école ou à l’université faute de vaccination, les forces armées obligées de se faire vacciner, les pilotes forcés – tout cela reposait sur un mensonge. »
Naomi Wolf a expliqué que Pfizer affirmait que le matériel du vaccin restait au site d’injection dans le corps, mais « des graphiques ont été trouvés montrant que les matériaux — la protéine « spike », l’ARNm, les nanoparticules lipidiques (un sous-produit pétrochimique : le polyéthylène glycol, un dérivé du pétrole, qui entoure les nanoparticules lipidiques) et les graisses industrielles contenues dans le vaccin — ne sont pas restés dans le muscle deltoïde : ils se sont biodistribués dans le corps au cours des 48 heures suivantes et ‘se sont déplacés du site d’injection vers les principaux organes du corps’ ».
« Ils ont traversé la barrière hémato-encéphalique », a-t-elle ajouté, citant les documents.
Les informations officielles concernant les vaccins à ARNm indiquent qu’après la vaccination, l’ARNm pénètre dans les cellules musculaires. Une fois à l’intérieur, elles utilisent la machinerie cellulaire pour produire un fragment inoffensif de la protéine spike. Cette protéine se trouve à la surface du virus responsable de la Covid-19. Une fois la protéine produite, nos cellules la décomposent et l’éliminent, le laissant dans l’organisme comme déchet. Nos cellules présentent alors le fragment de protéine spike à leur surface. Notre système immunitaire reconnaît que la protéine n’a pas sa place. Cela le pousse à produire des anticorps et à activer d’autres cellules immunitaires pour combattre ce qu’il considère comme une infection. Voici ce que votre corps pourrait faire si vous contractiez la Covid-19.
Les documents réglementaires reconnaissent que les nanoparticules se biodistribuent dans tout le corps au cours des 24 à 48 premières heures, principalement dans les ganglions lymphatiques et le foie.
Des documents de Pfizer ont révélé que des nanoparticules s’accumulaient dans le foie, les glandes surrénales, la rate, le système lymphatique et les ovaires. L’intervention chirurgicale pratiquée sur les femmes vaccinées a révélé « des ovaires complètement obstrués, en plus d’autres lésions », a déclaré Mme Wolf.
« Pfizer a dû embaucher 2400 employés à temps plein pour traiter les signalements d’événements indésirables graves qu’elle commençait déjà à recevoir. Dans ses rapports, de novembre 2020 à février 2021, Pfizer a accumulé plus de 42.000 événements indésirables graves. »
Myalgie, inflammation, myocardite et avortements
Mme Wolf décrit comment l’effet secondaire numéro un mentionné dans les articles de Pfizer était la myalgie, qu’il définissait comme une douleur musculaire. « Combien de personnes connaissez-vous qui se sentent mal ? Pfizer savait qu’elles se sentiraient mal. Les médecins étaient perplexes. »
Le deuxième effet était la douleur articulaire. « Qu’est-ce que l’arthrite ? Qu’est-ce qu’une douleur articulaire ? Une douleur tendineuse. C’est une inflammation. Combien de personnes connaissez-vous qui boitent maintenant ou qui ont subi une opération du genou, de la hanche ou de l’épaule ? Beaucoup d’entre elles sont jeunes et en bonne santé. »
« Le troisième effet le plus courant, comme je l’ai mentionné, est la Covid. Mais il existe également un bilan catastrophique d’effets secondaires horribles à l’échelle industrielle. »
Parmi ces effets secondaires, elle détaille « des lésions cardiaques importantes – myocardite, péricardite – des problèmes au niveau de l’aorte et un grand nombre de troubles sanguins : thrombose, thrombocytopénie et caillots sanguins dans les poumons et les jambes ».
Carmen Berenguer Zurera, artiste et soignante à la maison de retraite Feixa Llarga, reçoit sa quatrième dose du vaccin contre la Covid-19 et la grippe, le 26 septembre 2022, à Barcelone, en Espagne. (Zowy Voeten/Getty Images)
Mme Wolf a déclaré que « ces nanoparticules lipidiques provoquent la coagulation dans le corps. Ceux qui travaillaient avec des nanoparticules lipidiques le savaient déjà avant l’ARNm. »
« Nos experts ont découvert que les nanoparticules lipidiques détruisent la gaine de myéline des nerfs, qui permet la conduction de l’électricité lors d’une impulsion […]. Il y a donc bien sûr des tremblements. Combien de personnes connaissez-vous qui souffrent actuellement de tremblements ? Nous observons des cas de syndrome de Guillain-Barré, de démences, de crises d’épilepsie, de graves troubles neurologiques, ainsi que toutes sortes de maladies auto-immunes, comme le lupus, car nous savons maintenant que ces injections endommagent le système immunitaire. »
Les documents indiquaient que Pfizer avait appris en avril 2021 que le vaccin avait causé des dommages aux enfants, notamment des myocardites et des péricardites, ainsi que des lésions cardiaques. « Nous n’avions jamais vu de jeunes s’effondrer de façon aussi massive. Pfizer savait que 35 enfants avaient subi des lésions cardiaques. »
« L’un des aspects les plus choquants que notre travail a mis en lumière est que la FDA savait, le CDC (Center for disease control) savait, et le ministère israélien de la Santé a essayé d’avertir le CDC et l’administration Biden que les mineurs souffraient de lésions cardiaques. »
« Nous avons déposé une demande FOIA pour obtenir des documents de l’administration Biden mentionnant une myocardite et avons trouvé des conversations actives, y compris avec jusqu’à 15 membres du personnel de la Maison-Blanche », a-t-elle poursuivi.
Au lieu de dire : « Nous devons revenir en arrière, nous devons informer les parents aux États-Unis et, par extension, dans le monde entier, pour protéger leurs enfants et leurs jeunes de ce risque, ils ont décidé de le dissimuler », a souligné Mme Wolf.
« Deux de nos rapports, à mon avis, établissent un lien de causalité. La moitié des effets indésirables graves, touchant le foie et les accidents vasculaires cérébraux, sont survenus dans les 48 heures suivant l’injection, y compris des décès. Pfizer le savait », a-t-elle ajouté.
Concernant les atteintes à la reproduction et les avortements, elle a cité « 1200 décès en trois mois », indiquant qu’« il ne s’agissait pas de décès statistiquement aléatoires de personnes âgées présentant de multiples comorbidités : il s’agissait de 1200 décès que les médecins ont signalés à Pfizer ou aux autorités parce qu’il y avait une causalité qui les concernait ».
Des recherches « surprenantes » sur la reproduction humaine
Naomi Wolf a déclaré qu’il était étrange qu’ils n’aient pas trouvé de recherche significative sur les effets pulmonaires, ce sur quoi ils s’attendaient à ce que Pfizer enquête étant donné qu’il s’agit supposément d’une maladie respiratoire, mais ils en ont trouvé sur la reproduction.
« Tous ces effets indésirables et ces dangers ne sont pas ce qui surprend le plus dans les documents Pfizer. Ce qui est surprenant, c’est que si la Covid est une infection respiratoire, on s’attendrait à trouver dans ces documents beaucoup d’informations sur les poumons, le taux d’oxygène et les muqueuses. Il n’y a quasiment aucune mention des problèmes respiratoires. »
Les recherches menées portaient sur la destruction des spermatozoïdes, des trompes de Fallope et des ovules, les dommages au placenta, les dommages aux fœtus in utero, les dommages à l’accouchement et les dommages à l’allaitement. Selon elle, il s’agit d’une « approche obsessionnelle et à 360 degrés visant à ruiner la reproduction humaine ».
« C’est ce qu’ils étudiaient. Pourquoi ? Pourquoi ont-ils pris des rats mâles et femelles, vacciné les mâles, les ont-ils accouplés avec des femelles non vaccinées, sacrifié les animaux et examiné les cellules de leurs organes sexuels pour détecter une infection respiratoire ? »
Les documents publiés ont révélé qu’ils étaient au courant des effets du vaccin sur la reproduction. Selon Mme Wolf, « ils savaient que des nanoparticules lipidiques, conçues pour traverser toutes les membranes du corps – le placenta est une membrane – traversaient le placenta des femmes à qui l’on avait conseillé, dans mon pays, de se faire vacciner pendant leur grossesse, contrevenant ainsi à des décennies de connaissances sur la protection des bébés in utero. Normalement, on ne donne rien à une femme enceinte, sauf en cas d’absolue nécessité. Or, on leur a conseillé de se faire vacciner. »
« Ils traversent le placenta et provoquent des calcifications, ce qui empêche le bébé de recevoir des nutriments et de l’oxygène. Dans mon pays, des sages-femmes m’ont informée, de manière indépendante, que des bébés naissent prématurément parce que le placenta ne se développe pas normalement ; elles m’envoient des photos de placentas plats et anormaux, avec un apport insuffisant de sang et d’oxygène, et c’est pourquoi les bébés doivent naître prématurément. »
« Il n’est pas facile d’accoucher d’une mère dont le placenta est endommagé : le placenta s’affaisse pendant l’accouchement, ce qui entraîne des hémorragies pendant le travail ou la rétention d’une partie du placenta, ce qui est extrêmement dangereux. Ainsi, la mortalité maternelle et fœtale chez les femmes qui ont résolu ce problème en Occident a augmenté de 40 % depuis les injections. Pfizer le savait. »
Elle mentionne également que Pfizer savait que les nanoparticules traverseraient la membrane entourant les testicules des bébés mâles in utero et dégraderaient les cellules de Leydig et de Sertoli des garçons nés de mères vaccinées. « Même si les bébés ne sont pas vaccinés, ils le reçoivent quand même de leur mère. Quel est l’effet ? Les cellules de Leydig et de Sertoli sont les usines à hormones mâles : elles activent les hormones mâles à l’adolescence, déclenchant ainsi le développement corporel typique de l’homme : une voix grave, des épaules larges, une pilosité corporelle et faciale, et, à l’âge adulte, la capacité à procréer. »
« Nous ne savons pas si ces enfants mâles exposés in utero deviendront des adultes normaux et fertiles, même s’ils ne sont jamais vaccinés à l’ARNm. Pfizer savait qu’ils endommageaient les testicules des mâles in utero. »
Mme Wolf a cité un rapport d’andrologie qui « confirmait la diminution du nombre et de la mobilité des spermatozoïdes chez les hommes vaccinés. C’est un sujet que vous devriez examiner. Je pense que Pfizer a des connaissances sur les dangers que le sperme des hommes vaccinés représente pour les femmes, mais qu’il ne révèle pas. »
Les documents de Pfizer avertissent les sujets masculins de l’étude de ne pas avoir de relations sexuelles avec des femmes non vaccinées en âge de procréer ; et, s’ils en avaient, d’utiliser deux méthodes de contraception fiables. Pfizer définit l’exposition comme incluant « le contact cutané, l’inhalation et les fluides corporels comme le sperme ».
« À ce jour, nous ne savons pas exactement ce que cela signifie. Nous savons que des femmes, selon certaines sources, ont eu d’horribles crampes et problèmes lors de rapports sexuels avec des maris vaccinés. Nous ignorons pourquoi Pfizer leur a déconseillé de le faire. »
Des expériences sur des bébés ?
Dans une étude citée dans le rapport, il a été conseillé aux femmes vaccinées de ne pas tomber enceintes. Wolf explique que 270 femmes sont tout de même tombées enceintes, et que « les dossiers de 234 de ces grossesses ont été perdus », malgré « l’obligation de Pfizer d’effectuer un suivi ».
« Sur les 36 femmes qui ont accouché, plus de 80 % ont perdu leur bébé. »
D’après l’étude, elle cite que « l’une des sections les plus troublantes » des documents de Pfizer est intitulée « rapport sur la grossesse et l’allaitement ».
« Cela me rend triste et me donne un sentiment de lourdeur d’en parler, car c’est une nouvelle très sombre. »
Concernant le document, elle explique qu’il se compose de huit pages préparées spécifiquement pour la Maison-Blanche et livrées en avril 2021.
« Le rapport comprend un graphique montrant les dommages menstruels chez des dizaines de milliers de femmes : 15.000 femmes avec des saignements quotidiens après la vaccination ; 10.000 femmes avec deux menstruations par mois ; 7500 femmes sans règles du tout. »
Elle mentionne également « des filles de 10 ans qui saignaient après avoir été injectées ; des femmes de 85 ans qui saignaient après avoir été injectées ; des femmes qui saignaient, qui laissaient passer des caillots – des vies ruinées et, certainement, une fertilité ruinée. »
Il y a un graphique montrant qu’ils ont mené des expériences sur des bébés, et ils le savaient ; ils ont mené des expériences sur au moins trois bébés qui sont décédés. Elle a montré que les bébés allaités par des mères vaccinées souffraient de vomissements, d’œdèmes (gonflement des tissus), de fièvre, d’un manque de prise de poids et étaient inconsolables. Je n’arrive pas à m’enlever ça de la tête. Un bébé a eu des convulsions après avoir été allaité par sa mère vaccinée et a été emmené aux urgences où il est décédé d’une défaillance multiviscérale : son système s’est complètement arrêté.
Naomie Wolf a déploré que « à ce jour, les femmes en Europe ne le savent pas ; la plupart des femmes aux États-Unis non plus ».
Mme Wolf affirme en outre qu’il était connu en 2017 que les nanoparticules lipidiques pouvaient être nocives pour la fertilité humaine, mais elles étaient quand même utilisées.
Elle faisait probablement référence à l’étude menée par Rahim Dad Brohi du Laboratoire clé de génétique, d’élevage et de reproduction du ministère de l’Éducation de Chine, Collège des sciences et technologies animales, Université agricole de Huazhong, à Wuhan, en Chine.
« Malgré les avantages des nanoparticules, plusieurs applications nanotechnologiques ont exposé les humains et les animaux à leurs toxicités potentielles. Concernant l’exposition humaine aux nanoparticules (NP), celles-ci peuvent pénétrer dans l’organisme par inhalation, ingestion, absorption cutanée, injection ou implantation », indique l’étude.
« Par conséquent, l’utilisation généralisée des nanomatériaux a suscité des inquiétudes quant à l’impact négatif des NP sur la santé humaine, principalement sur les systèmes reproducteurs masculins et féminins et sur la santé fœtale, en particulier compte tenu de la petite taille des NP, de leur facilité de pénétration et de biocompatibilité, et de leur capacité potentielle à traverser la barrière placentaire. »
La rédactrice en chef a expliqué aux députés que son enquête avait débuté après avoir rapporté des témoignages décrivant des troubles menstruels après l’injection d’ARNm. Elle a été bannie du jour au lendemain sur Twitter, Facebook et YouTube. « Ma biographie a changé simultanément dans le monde entier, ce qui est curieux. Je ne pensais pas que l’IA était si répandue à l’époque, mais quelque chose l’a changé : je suis passée de “boursière Rhodes, docteure d’Oxford” à “théoricienne du complot”. »
Liens avec la Chine
Mme Wolf a demandé aux députés européens d’enquêter pour savoir si le développement du vaccin a constitué « une arme biologique déployée pour réduire les populations occidentales et exercer une influence politique ».
Elle note qu’elle a trouvé un document de la SEC reliant BioNTech, avec lequel Pfizer a produit le vaccin à ARNm – « dont on nous a dit qu’il s’agissait d’une société allemande, mais ce n’est pas entièrement allemand » – avec Fosun Pharma, l’un des plus grands laboratoires de Chine.
Pour Mme Wolf, cette alliance était inquiétante.
Selon elle, le déploiement du vaccin en Occident n’est pas aléatoire et les effets secondaires observés dans les documents « n’ont pas été distribués de manière aléatoire ».
« En tant que consultante politique, j’ai été frappée par le fait que le plus grand nombre d’événements indésirables graves se concentre dans les démocraties occidentales les plus influentes : plus de 42.000 aux États-Unis, suivis par un nombre significatif dans les pays européens démographiquement et politiquement importants : l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni, l’Italie, l’Espagne et la Grèce, dans cet ordre. Les 52 pays restants dans le reste du monde ne représentent qu’environ 7000 événements indésirables. »
« Je terminerai en soulignant que si l’on considère ceux qui ont été obligés de se faire vacciner – c’est vrai dans mon pays et, je pense, dans une grande partie de l’Europe occidentale – il s’agissait de nos soldats, des marines, des forces aériennes, des agents des forces spéciales, de la nouvelle génération de pilotes, de nos étudiants souhaitant retourner en classe. Il est intéressant de noter que les grandes universités de l’Ivy League ont exigé le vaccin. Qui d’autre était obligé de se faire vacciner ? Nos professionnels de santé : médecins, infirmières et premiers intervenants. »
« Fosan Pharmaceuticals, filiale de Fosan International, l’une des plus grandes entreprises chinoises, a rejeté à trois reprises le vaccin proposé par Biden. C’est révélateur », a pointé Mme Wolf. Fosan est l’entreprise associée à BioNTech.
Le vaccin de BioNTech développé en Chine
BioNTech a été fondée en 2008 et est enregistrée en Allemagne. Le Dr Ugur Sahin est PDG des traitements d’immunothérapie. En 2018, la collaboration Pfizer-BioNTech a vu le jour, sous la forme d’un accord bilatéral pour le développement de vaccins antigrippaux à ARNm.
BioNTech a été cotée au NASDAQ aux États-Unis en octobre 2019, selon la SEC (Securities and Exchange commission).
Le 15 mars 2020, Shanghai Fosun Pharmaceutical Industrial Development Co., Ltd. a annoncé avoir obtenu une licence exclusive de BioNTech pour développer et commercialiser en exclusivité le vaccin Covid-19, développé sur la base de la plateforme technologique d’ARNm de BioNTech, sur le territoire (en Chine).
En vertu de l’accord, Fosun paierait à BioNTech les frais de licence (y compris le paiement initial, le développement clinique, l’enregistrement et les paiements d’étape de vente) pour un montant total ne dépassant pas 385 millions de dollars américains, et paierait des redevances de vente à un taux de 35 % du bénéfice brut annuel pendant la durée de ces redevances.
Le document indique qu’à la date de l’annonce, le vaccin prophylactique de la Coopération fait l’objet d’études précliniques en Allemagne. Les études cliniques et les travaux connexes sur le Territoire (c’est-à-dire la Région administrative spéciale de Chine continentale, Hong Kong et Macao, et la Région de Taïwan, ci-après dénommée la Région administrative spéciale) n’ont pas encore commencé.
À la même date, la SEC a déclaré que les deux sociétés avaient annoncé une collaboration stratégique de développement et de commercialisation pour faire progresser le vaccin candidat à ARNm BNT162 de BioNTech en Chine pour la prévention des infections au Covid-19.
« BioNTech conservera tous les droits de développement et de commercialisation du vaccin dans le reste du monde. »
Parallèlement, BioNTech a confirmé les termes de l’accord, précisant que les deux sociétés travailleraient ensemble sur le développement du BNT162 en Chine.
Le 17 mars, un dossier déposé auprès de la SEC indiquait que Pfizer Inc. et BioNTech avaient signé une « lettre d’intention pour le développement et la distribution conjoints (hors Chine) d’un potentiel vaccin contre le coronavirus à base d’ARNm destiné à prévenir l’infection par le Covid-19 ».
« Cette collaboration vise à accélérer le développement du premier programme de vaccin à ARNm contre la Covid-19 de BioNTech, le BNT162 (le même que le programme de vaccin chinois), qui devrait entrer dans les essais cliniques d’ici la fin avril 2020. »
Pfizer a confirmé la collaboration le même jour
En mai 2021, Fosun a déclaré que « la coentreprise adoptera[it] des mécanismes de protection de la propriété intellectuelle appropriés pour protéger la propriété intellectuelle, le savoir-faire et les secrets commerciaux de BioNTech ».
Il y a quatre mois, le sénateur américain Ron Johnson a tenu une audition intitulée « La corruption de la science et des agences fédérales de santé : comment les responsables de la santé ont minimisé et dissimulé la myocardite et d’autres effets indésirables associés aux vaccins contre la Covid-19 ». Il a publié un rapport intermédiaire de plus de 2400 pages de documents détaillant l’incapacité des agences fédérales de santé à alerter adéquatement le public sur les risques, par exemple de myocardite et d’inflammations cardiaques associées, suite à la vaccination à ARNm contre la Covid-19. Mme Johnson a cité, entre autres, la collaboration de Mme Wolf.
INFO IMPORTANTE POUR TOUS LES INJECTÉS AUX VAXX ARNm
Une équipe de chercheurs japonais a signalé en janvier 2023 une découverte de première importance affirmant que :
L’hécatombe de jeunes, victimes à vie de myocardites suite au vaxx cov 19 était due à la protéine SPIKE qu’il contient.
Cette protéine Spike peut être détruite par la nattokinase une enzyme contenue dans le NATTO, fromage millénaire de soja fermenté en vogue au Japon.
Nota : on en trouve maintenant du bio en France particulièrement dans le midi (voir les adresses sur Internet).
Pour rappel, on savait déjà que la protéine Spike (ou de pointe) s’introduit dans les cellules, accapare leur ARN à son service pour la répliquer dans tout l’organisme à l’infini – une fois installée, en cas d’une invasion virale épidémique, elle transforme les défenses immunitaires en réaction auto-immune pouvant aboutir à une septicémie éclair. C’est donc une bombe à retardement !
Cette info intéresse aussi les non-vaxxés à cause de la possible contagion aérienne de proximité intime avec des vaxxés.
Justement, il se fait que la nattokinase est le composant majoritaire du SERRACOR NK, puissant remède que nous connaissions déjà.
COMPOSITION DU SERRACOR NK
Le Serracor est composé à 100% d’enzymes extraites selon un procédé naturel avec :
La nattokinase majoritaire (vue plus haut)
La Serrapeptase du ver à soie
La Bromélaïne
Le Co-enzyme Q10
La nattokinase
Historique
En 1907 un chercheur japonais a découvert une activité d’enzyme protéase dans le natto.
En 1925, il fut démontré que cette protéase dégradait la fibrine, la trame fibreuse des caillots sanguins et la gélatine.
En 1956, l’activité fibrinolytique et thrombolytique de la nattokinase fut confirmée.
Un rapport réalisé par une équipe de chercheurs de Harvard a montré que lorsque la concentration de fibrinogène devient trop élevée en vieillissant, cela représente un risque cardiovasculaire. L’équipe ayant prescrit quotidiennement 2 gélules de nattokinase (à 2000 FU par gélule) sur trois groupes de femmes à risques pendant deux mois, ils ont constaté que le taux de fibrinogène avait nettement diminué dans les trois groupes.
La serrapeptase
Les vers à soie entretiennent dans leurs intestins une culture de bactéries, les «Serratiae 15». Ce sont ces dernières qui sécrètent en fait la serrapeptase. Et c’est précisément cet enzyme qui permet au ver, une fois métamorphosé en chrysalide puis en papillon, d’ouvrir par dissolution, une brèche dans le cocon. La serrapeptase n’attaque que les tissus morts à l’exclusion de tous tissus vivants.
C’est un puissant anti inflammatoire naturel non toxique,
C’est un fibinolytique efficace contre les fibromes utérins, l’endométriose, les seins polykystiques, et même les anciennes cicatrices chéloïdes
C’est un nettoyeur du sang qui évite les caillots et les thromboses.
La bromélaïne
Sa réputation n’est plus à faire contre les kystes et les fibromes.
Le Coenzyme Q10
Remède roi de l’insuffisance cardiaque
Catalyseur indispensable au fonctionnement des enzymes.
Équilibrant enzymes / coenzymes
En conclusion, nous pouvons dire que l’avantage de l’utilisation du Serracor par rapport à la nattokinase seule est que celle-ci en tuant la spike laissera sur place beaucoup de déchets morts, alors que le Serracor effectue un nettoyage complet par digestion.
ÉTUDE DU Dr LAURENT BANNOCK SUR LES ENZYMES – Au centre de médecine nutritionnelle de Santa Fe, USA
Les enzyme sont des catalyseurs des métabolismes : elles assistent et stimulent les réactions biochimiques du corps dans leur fonctionnement. Nous disposons dans notre organisme de 3.000 enzymes qui génèrent plus de 7.000 réactions. Bien que surtout connues pour leurs fonctions digestives, elles sont loin de se réduire à ce domaine.
L’importance des enzymes doit donc être sérieusement prise en compte, en ces temps où l’alimentation est raffinée et souvent cuite à haute température. Le Dr Bannock a sélectionné pour cette étude des sujets dont l’examen clinique laissait penser que leur alimentation était carencée en enzymes. Serracor a été donné comme unique traitement à l’ensemble des sujets en expérimentation.
Expérimentations
Deux domaines d’analyse ont été abordés : la protéine C réactive et la vitesse de sédimentation. La mesure de la protéine C réactive représente un signe d’inflammation. Des niveaux élevés de protéine C réactive indiquent généralement un risque accru d’arthrose, de diabète ou encore de maladie cardio-vasculaire.
Dès le début de l’étude, il a pu être mis en évidence par les tests de protéine que les gens à partir de 40 ans émettent de moins en moins d’enzymes. Les conséquences sont multiples :
Le mécanisme de réparation des tissus du corps se trouve déséquilibré et perd de sa capacité à digérer les quantités de fibrine déposées un peu partout, depuis les simples coupures jusqu’à l’intérieur des organes internes et des vaisseaux sanguins (plaques sclérotiques artérielles).
Les femmes peuvent développer le syndrome fibrokystique du sein, des fibromes utérins, de l’endométriose.
Avec l’âge, les blessures donnent des cicatrices plus visibles.
En remplaçant les enzymes perdues, la quantité de tissus cicatriciel et fibreux peut être contrôlée. Même les cicatrices anciennes et chéloïdes peuvent être éliminées des années après leur formation.
Au niveau du sang, les enzymes améliorent la circulation sanguine en absorbant la fibrine en excès, ce qui cause l’épaississement du sang et la possibilité de formation de caillots. Normalement, le sang est purifié dans le foie, mais bien souvent celui-ci présente un état d’intoxication qui l’empêche de travailler efficacement. Le processus de nettoyage prend alors du retard et les déchets s’accumulent.
L’absorption des enzymes du Serracor NK permettant d’éliminer la fibrine en excès dans le sang réduit la tendance des cellules sanguines à s’agglutiner et de former des thromboses. Par ailleurs, les enzymes réduisant la taille des déchets, ceux-ci peuvent passer directement dans les intestins.
RÉSUMÉ DES INDICATIONS DU SERRACOR
Angine de poitrine
Artériosclérose
Articulations raides
Cardio-vasculaires : tous problèmes
Cicatrices chéloïdes
Cœur : insuffisance
Diabète type 2
Douleurs inflammatoires
Embolie pulmonaire
Enzymes/coenzymes : déséquilibre
Fibrine en dépôts multiples
Fibrome utérin
Hémorroïdes
Inflammations en tous genres
Insuffisance cardiaque
Cœur faible ou nécrosé
Kystes
Phlébites
Protéine Spike présente dans le corps
Sang vicié et trop épais
Seins fibrokystiques
Thromboses
POSOLOGIE
Action curative lourde : 3 à 4 gélules 30 min avant 3 repas - pose 2 jours les WE.
Action curative standard : 2 gélules 30 min avant 3 repas - pose 2 jours les WE.
Action entretien : 2 gélules par jour, 30 min avant un repas
J’ai alerté dès mars 2021 sur la non innocuité des vaccins covid donc sur les risques avérés, en particulier sur les myocardites et l’hypertension artérielle qui sont maintenant reconnus officiellement par l’ANSM (Agence de « sécurité du médicament ») et l’ONIAM (Office d’indemnisation des « Accidents » médicaux).
👇🧐 Tout avait déjà été dit dès les premiers mois du plan de #vaccination .
(X) @AgretDenis / En effet, Le Médecin Urgentiste Denis Agret avait signalé, dès le 6 mars 2021, la dangerosité liée à la vaccination anti-Covid, avec des sources provenant de l’ANSM et de Santé… pic.twitter.com/KQYcxbqgGo
J’avais également alerté sur les risques très graves liés à la vaccination covid chez les femmes enceintes (mort in utéro par thrombose du cordon ombilical…) en avril et Juin 2021 en me fondant sur les rapports ANSM.
👇🧐 Partage de l'information / du Dr. @AgretDenis Toutes les preuves étaient sous vos yeux dès le premier semestre 2021, mais les médias mainstream les ont ignorées et continuent encore aujourd’hui de vous les dissimuler pour protéger les décideurs.
👇🧐 Pour rappel. La cardiologie est au courant depuis des années que les myocardites peuvent avoir des conséquences gravissimes conduisant à la réanimation voir au décès. Pourquoi ne pas avoir tout stopper dès le 20 juillet 2021, lorsque que le Dr Denis Agret a donné l’alerte… pic.twitter.com/uDNALT3XEj
Toutes mes alertes m’ont valu du discrédit médiatique, des procès d’intention de la part de la justice et de l’ordre des médecins qui est allé jusqu’à me radier en janvier 2025 : abus de pouvoir manifeste. J’ai bien sûr fait appel de cette décision inique auprès du conseil d’Etat dont la décision tarde à venir.
A force de lire les publications scientifiques (pubmed), de recueillir des témoignages de nombreuses victimes des vaccins dont des autopsies récentes d’enfants décédés après vaccination, je suis arrivé à la conclusion largement établie y compris par des médecins de la société française de cardiologie que les vaccins pédiatriques (DTP, ROR, méningocoque) causent des myocardites, des maladies de Kawasaki (vascularites).
« Les myocardites liées aux vaccins c’est une entité qui est connu depuis des années ! » Les vaccins DTP et grippe causent des myocardites. Dr Kerneiss et Roubille Congrès SFC 2022 https://x.com/aileastick1/status/1849154950321852558
Les vaccins causent des vascularites (vascularites à IgA). Ces vascularites peuvent donc causer chez les enfants des myocardites, des maladies de Kawasaki (caractérisée par une inflammation de la paroi des vaisseaux sanguins (vascularite) dans tout le corps) avec ou sans anévrisme coronaire, des infarctus du myocarde…
Le rapport de l’ANSM sur la « Surveillance des vaccins obligatoires chez les enfants de moins de deux ans » confirme la non innocuité des vaccins avec des risques graves dont décès, maladie de Kawasaki et des « échecs » vaccinaux.
Evidemment, la sous déclaration majeure des effets indésirables graves des vaccins pédiatriques a pour conséquence la non information du grand public et des médecins.
👇🤨 #France Partage de l'info merci à @AgretDenis ——————- Vous lirez dans le rapport ANSM que les vaccins pédiatriques causent des thrombopénies, des maladies de Kawasaki = vascularites ayant des conséquences cardiaques graves dont myocardites et anévrismes… pic.twitter.com/9SsZdXMd43
Les « échecs » vaccinaux décrit dans le rapport ANSM sont très graves et probablement bien plus nombreux du fait d’une sous déclaration majeure : « 7 cas d’échec vaccinal …considérés comme des échecs vaccinaux confirmés chez des enfants âgés de 7 à 11 mois : des infections à Haemophilus influenzae de type b (méningite dans 5 cas ; 1 sepsis avec arthrite du coude et 1 ostéomyélite du genou) et d’un cas d’otite moyenne aigue et bactériémie à Streptococcus pneumoniae de sérotype 3 vaccinal. Le critère de gravité était une hospitalisation dans 5 cas et une mise en jeu du pronostic vital dans 2 cas. »
Les obligations vaccinales de masse peuvent causer des « épidémies » vaccinales comme je l’ai démontré dans ces publications sur les vaccins méningocoques (B, C , A, W, Y) et ROR Rougeole Oreillons Rubéole comme en janvier 2018 pour la rougeole.
👇🧐 Partage de l'info. Merci à @AgretDenis pour son combat pour la vérité. ______________________ Réponse à l'AFP qui me diffame sans m'avoir consulté à propos de cette vidéo https://t.co/dqHaAnJ479… vu plus de 300.000 fois sur mes réseaux. Article AFP "Factuel" du 6/1/2024… pic.twitter.com/vptXY4a9V4
En septembre 2023, la quasi-totalité des vaccins ont été classés sur la liste des substances vénéneuses : 1 très toxiques, 2 toxiques, 3 nocives …, 7 cancérogènes, 8 mutagènes, 9 toxiques pour la reproduction. C’est l’ANSM qui l’a annoncé !
Les médias et l’ANSM laissant entendre qu’il s’agit d’une formalité administrative pour « harmoniser les conditions de prescription et de délivrance » mentent bien évidemment.
Or, cela consiste simplement à reporter la responsabilité juridique sur les prescripteurs et à dédouaner les grands dirigeants de laboratoires pharmaceutiques.
Le 30/07/2025, le conseil national de l’ordre des médecins a rappelé, à propos des pesticides, que « sur le plan médical, le doute n’est pas raisonnable lorsqu’il s’agit de substances susceptibles d’exposer la population à des risques majeurs » et que « ces alertes ne peuvent être ignorées« . Il rappelle également le principe constitutionnel de précaution.
Alors pourquoi mes alertes sur les conséquences graves des vaccins sur la santé des enfants et des adultes sont-elles ignorées ?
Pour votre parfaite compréhension, plusieurs conférences que j’ai tenu au sujet des risques des vaccins ici.
👇🧐 Partage de l'info @AgretDenis ——————- Conférence du Dr Denis AGRET 26/05/2025 Pour la liberté vaccinale Désolé #Bigpharma , Désolé Pasteur et mes confrères, Aucun vaccin n'est sûr, donc tous les vaccins comportent des risques graves. Histoire des vascularites… pic.twitter.com/SHHmMp4dSv
Toutes ces obligations vaccinales (DTP diphtérie tétanos polio, coqueluche, Haemophilus, Hépatite B, pneumocoque, ROR rougeole oreillons rubéole, Méningocoque B, C, A, W, Y soit plus de 15 souches de maladies) pour la vie en collectivité sont assimilables à un pass sanitaire dont nous sommes très nombreux à avoir contesté le bien-fondé avec les vaccins covid. Il ne peut y avoir de discrimination pour scolariser les enfants du fait de leur statut vaccinal.
Compte tenu des risques graves liés aux vaccins, les obligations vaccinales de janvier 2018 et janvier 2025 sont illicites.
L’obligation vaccinale pour les enfants concernent environ 670 000 naissances tous les ans en France. En tant qu’adultes conscients, il est de notre devoir de les protéger des risques graves liés aux vaccins.
C’est donc en ma qualité de père de famille, de médecin et de lanceur d’alerte, d’objecteur de conscience que je demande l’abrogation définitive de la loi et de son décret du 25 janvier 2018 relatif à la vaccination obligatoire et l’abrogation du décret du 5 juillet 2024 relatif à l’obligation vaccinale contre les méningocoques de type B et ACWY entré en vigueur le 1er janvier 2025.
et la révision démocratique des conditions dans lesquelles ces décrets ont été adoptés et qui posent grandement question.
Il conviendra aussi d’abroger définitivement les obligations vaccinales concernant la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (juin 1938, novembre 1940, juillet 1964).
Par conséquent, il est nécessaire d’abroger toutes les obligations vaccinales qui sont venues se rajouter au fil des années étant donné les risques graves connus et avérés des vaccins et des échecs vaccinaux documentés par l’ANSM.
Aujourd’hui, je suis seul à écrire, mais non seul à avoir compris dont de très nombreux médecins.
Pour Tribune Libre, le 14 septembre 2025, Stéphanie Reynaud s’entretient avec le Dr Denis Agret à l’Université d’Été Rassemblante 2025 à Castres, un événement organisé par Cécile Maïchak entourée de dizaines de bénévoles.
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