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Les cinq rebelles et la santé

Source : BAM NEWS

Robert Kennedy Jr vient d’être confirmé à la tête du département américain de la santé (HHS). Son arrivée avec des équipiers de poids, le Pr Jay Bhattacharya au NIH, le Dr Dave Weldon au CDC, le Dr Marty Makary à la FDA et le Dr Aseem Malhotra comme conseiller du président Trump, laisse espérer une révolution dans la politique de santé américaine. Mais ces cinq rebelles lors de la “crise sanitaire”, défenseurs de la science et des libertés, seront‑ils à la hauteur de leurs promesses? Feront‑ils éclater la vérité sur l’origine du coronavirus, le hold‑up de Big Pharma et le désastre, présent et à venir, des injections covid? Auront‑ils le pouvoir de s’attaquer aux responsables et à la corruption du système? On veut le croire, mais on les jugera sur leurs actes. Galerie de portraits de Kennedy et ses hommes, placés aux postes clés.

Jamais la nomination d’un secrétaire d’État à la santé n’aura suscité autant de controverses que celle de Robert Kennedy Jr. Le secrétariat des HHS (Health & Human Services), équivalent américain du ministère de la santé, représente près de 20% du budget fédéral. Celui qui occupe ce poste, contrôle 14 subdivisions ou agences gouvernementales. Il supervise et finance la recherche médicale et scientifique par l’intermédiaire des NIH (National Institutes of Health). Il contrôle la sécurité et l’efficacité des produits pharmaceutiques et des aliments à travers la FDA (Food & Drug Administration). Il pilote la prévention et le suivi des épidémies par l’intermédiaire du CDC (Center For Disease Control). Il assure un accès aux soins pour les personnes âgées ou précarisées via Medicare et Medicaid. C’est donc véritablement un pouvoir colossal qui vient d’être confié à Robert Kennedy Jr.

Sa nomination a catalysé tous les espoirs de changement de ceux qui dénoncent la corruption des agences gouvernementales et réclament une remise en question de la santé publique. Une réforme du système, notamment de la recherche biologique et médicale, qui, à n’en pas douter, aurait un impact au niveau mondial. Robert Kennedy Jr s’est aussitôt heurté aux calomnies de la presse et aux attaques d’une majorité de la communauté scientifique et médicale ainsi que des membres du parti démocrate contre celui qu’ils dépeignent comme un “dangereux complotiste antivax”. Il a cependant survécu à un parcours miné, obtenant de justesse l’aval de la Commission des Finances puis de la Santé, jusqu’à la confirmation de sa nomination par un vote du Sénat, 52 voix contre 48, jeudi 13 février 2025.

Promettre, faire des compromis, trahir; telles sont les règles du jeu politique. Il ne doit sa validation par la Commission des Finances, 14 voix contre 13, qu’aux promesses faites au sénateur républicain Bill Cassidy. Promesse, par exemple, de conserver le système actuel de surveillance de la sécurité, notamment celle des vaccins, et de continuer à affirmer qu’ils ne sont pas la cause de l’autisme. Véritables concessions, ou jeu de passe‑passe politique? Les promesses n’engagent que ceux qui y croient… Mais on doit pourtant se demander si cette nouvelle équipe, déployée par Trump pour assainir la santé publique, aura les moyens de ses ambitions.

C’est Trump lui‑même qui a placé la première mine sur la route de Robert Kennedy Jr. En effet, dès le lendemain de son investiture, le président lançait fièrement un titanesque projet de développement de l’IA, dont l’une des missions devrait être une nouvelle plateforme vaccinale ARNm contre le cancer. Doutes et frustration ont alors succédé aux espoirs d’un vrai changement de cap. Vers quel genre d’âge d’or le président Trump veut‑il vraiment ouvrir la voie? Une société du contrôle numérique, où les patients sont des numéros de dossiers et les soins sont prodigués par une machine? Donald Trump qui n’a d’ailleurs jamais exprimé le moindre regret concernant le lancement accéléré des injections contre le Covid‑19 via l’opération Warp Speed en 2020, injections qui continuent de faire de nombreuses victimes à travers le monde.

Difficile pour Kennedy de concilier ses convictions personnelles, sur l’avortement, la fluoration de l’eau et surtout le manque de sécurité des vaccins, avec une ligne politique définie par la Maison‑Blanche, et des politiques et fonctionnaires sous influence du lobby industriel de la santé, qui les finance. Ce double écueil est apparu clairement lors des auditions devant le Sénat.

Alors, peut‑on annoncer une véritable révolution dans la politique sanitaire américaine grâce à l’arrivée des “hommes de Kennedy” aux postes clés?  Quelle sera leur marge de manœuvre? Le Pr Christian Perronne, auteur de la préface du livre de Robert Kennedy Jr, Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, invité du gala MAHA (Make America Healthy Again) et interrogé au téléphone par BAM! lors de ce gala, reste optimiste mais pragmatique. “Il faut leur laisser le temps de s’installer. Je pense qu’il va y avoir des changements. C’est déjà énorme ce qui se passe. Ces nominations sont déjà une véritable révolution. Ensuite, on jugera leurs actes”…

Robert F. Kennedy Jr, la bête noire de Big Pharma

Il vient d’être confirmé au poste de Secrétaire d’État chargé de la Santé et des Services Sociaux (HHS). Avocat, spécialiste en droit de l’environnement, il est aussi  l’héritier symbolique d’une grande dynastie démocrate. Il est le neveu du président John F. Kennedy et le fils du sénateur, ministre de la justice, puis candidat à la présidence, Robert F. Kennedy, tous deux assassinés lorsque “Bobby Jr” était enfant. Après avoir été lui‑même candidat aux présidentielles de 2024, Robert Kennedy Jr s’est rallié au camp de Donald Trump, en août 2024, en échange d’une promesse du futur président de lui donner l’opportunité de réformer la santé publique aux États‑Unis. Le pari de Kennedy était que Trump, désillusionné par les hommes dont il s’était entouré durant son premier mandat et désireux d’un vrai changement, serait le seul capable de lui fournir cette véritable opportunité[1] de “drainer le marécage” de Washington, le marécage au sein des agences de régulation[2].

Selon les propres déclarations de Kennedy, il s’est mis d’accord avec le président sur trois objectifs majeurs[3]. Tout d’abord, éliminer la mainmise des intérêts privés et la corruption des agences de santé publique. “Il m’a demandé d’éradiquer la corruption et de mettre fin aux conflits d’intérêts au sein de nos agences de régulation, à cette mainmise des multinationales, qui a transformé ces agences en marionnettes de l’industrie qu’elles sont censées réguler[4].” Ce premier objectif est une condition indispensable pour atteindre le second, qui est de recentrer la priorité des agences fédérales sur l’excellence scientifique et d’en restaurer la transparence.

Le troisième objectif tient particulièrement à cœur à Robert Kennedy Jr, cofondateur de l’association Children Health Defense (CHD) qui défend la santé des enfants. Il s’agit de s’attaquer à l’épidémie de maladies chroniques qui détruit la société américaine. Ce n’est pas un moindre défi. 74% des américains sont obèses ou en surpoids et plus de 50% souffrent d’une ou plusieurs maladies chroniques. On observe une augmentation, parfois exponentielle, du diabète, des maladies auto‑immunes et cardiovasculaires, de l’ADHD et de l’autisme, des dépressions et des addictions. 38% des adolescents sont diabétiques ou pré-diabétiques et 77% sont considérés inaptes au service militaire. Pour Robert Kennedy Jr, c’est “non seulement un problème de sécurité nationale, mais aussi un problème moral et spirituel[5].”

Il pointe principalement du doigt “deux coupables: les aliments ultra‑transformés et les produits chimiques toxiques, présents dans l’alimentation, la médecine et l’environnement[6].” Des affirmations notamment supportées par 32 études qui montrent que les aliments ultra‑transformés causent de multiples problèmes de santé[7]. “Nous sommes massivement empoisonnés par Big Food et Big Pharma[8]. Nos enfants baignent dans une soupe toxique de produits chimiques délétères[9].” D’où la naissance du programme MAHA (Make America Healthy Again), pour restaurer la santé de l’Amérique, et dont le président Trump souhaite voir “des résultats mesurables dans les deux ans[10].”

Pour Robert Kennedy Jr, les vaccins sont l’un des composants de la “soupe toxique” qui menace la santé des enfants. De nombreuses études ont établi des liens troublants entre vaccination et autisme[11], ainsi que d’autres troubles neurodéveloppementaux[12].

À propos des vaccins… Aux USA, l’augmentation des diagnostics d’autisme suit une courbe exponentielle[13]. Une étude relue par des pairs, parue en janvier 2025, conclut à un risque d’autisme accru de 170 %, ainsi que d’autres troubles neurodéveloppementaux accrus de 212 %, chez les enfants vaccinés[14]. Ce que le CDC, le Centre de Contrôle des Maladies, continue de nier fermement. Pourtant, un document interne du CDC atteste d’une réunion, durant laquelle les intervenants des agences de régulation et de l’industrie, auraient discuté de la façon de cacher des données embarrassantes. Il faut dire qu’avec 72 injections préconisées dans l’agenda vaccinal des enfants américains entre 0 et 18 ans, c’est un marché que le lobby pharmaceutique n’est pas disposé à perdre. D’autant plus que la loi fédérale de 1986 sur les blessures causées par les vaccins[15], protège les fabricants contre toute poursuite liée aux effets indésirables. Une protection renforcée en 2011 par un jugement de la Cour Suprême, qui s’est prononcée contre un recours en justice au niveau des États fédéraux[16].

La sécurité des vaccins est l’un des chevaux de bataille de Robert Kennedy Jr. Mais il avoue lui‑même que Donald Trump “ne souhaite pas que je supprime l’accès aux vaccins.  Dans ce pays, nous croyons au libre choix. Mais il faut connaître les risques et les avantages de tout ce que nous consommons. Pour cela nous avons besoin d’une bonne science, nous avons besoin d’un consentement éclairé[17]”.

Parmi les autres produits toxiques dans le collimateur du nouveau Secrétaire à la Santé, il y a également la fluoration de l’eau du robinet. RFK Jr a déjà demandé au président de faire cesser l’adjonction de fluorure dans l’eau potable, après l’avoir mis en garde contre sa neurotoxicité[18].

Kennedy Jr a également fait partie des opposants à la politique menée par Anthony Fauci, durant la “crise” Covid‑19. Fauci dont il a répertorié les nombreuses compromissions dans un livre paru en décembre 2021, Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma – leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique. Dès le mois de mai 2021, il avait par ailleurs demandé au gouvernement fédéral de suspendre l’autorisation de mise sur le marché des “vaccins contre le Covid‑19”, les qualifiant de “vaccins les plus mortels jamais fabriqués[19].” Il lui tient donc à cœur de faire la lumière sur cette affaire. Et les hommes qui le seconderont, si leur nomination par le président Trump est confirmée par le Sénat, tiennent tout autant que Kennedy Jr à ce que la vérité prévale.

Jay Bhattacharya, le défenseur des libertés

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Nommé directeur des NIH (National Institutes of Health / Institut nationaux de la Santé), Jay Bhattacharya contrôlera un budget colossal de plus de 47 milliards de dollars[20], pour le financement de la recherche scientifique, biologique et médicale. Parmi les 27 instituts que regroupe le NIH, il y a par exemple le NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases), supervisant la recherche sur les maladies infectieuses, dirigé jusqu’en décembre 2022 par Anthony Fauci, qui fut notamment à l’origine des fonds attribués à EcoHealth Alliance pour les recherches en gain de fonction sur le SARS‑COV‑2 à Wuhan.

Chercheur à l’université de Stanford, Jay Bhattacharya est à la fois professeur de médecine, d’économie et de recherche en politique de santé. Épidémiologiste et économiste des maladies infectieuses, il dirige notamment le Centre sur la Démographie de la Santé et du Vieillissement de Stanford. C’est un homme ouvert d’esprit, qui croit et pratique le dialogue.

Il fut l’un des premiers à s’insurger contre la gestion du Covid‑19 par les autorités sanitaires. Dès octobre 2020, il rédigea, avec deux autres épidémiologistes de renom, la Déclaration de Great Barrington[21], qui a depuis recueilli plus de 940 000 signatures. Dans cette lettre ouverte, il mettait en garde les responsables de la santé publique contre les conséquences néfastes des confinements généralisés, proposant comme alternative la protection focalisée des personnes fragiles, tout en laissant le reste de la société ouverte, favorisant le développement d’une immunité de groupe.

Tandis qu’un véritable débat scientifique aurait été nécessaire, les responsables du NIH s’étaient au contraire alarmés du bruit suscité par cette déclaration. Leurs e‑mails (obtenus grâce à la Loi sur la Liberté d’Information) ont révélé qu’ils ont alors jugé qu’il fallait réagir par “une opération pour les discréditer, rapide et dévastatrice[22], en qualifiant notamment le Professeur Bhattacharya et ses coauteurs d’“épidémiologistes marginaux[23]. Accusation tournée en dérision par l’intéressé, par la création d’une émission scientifique incontournable intitulée Science à la marge (Science from the Fringe)[24].

Revanche du destin, le “marginal” devrait se retrouver à la tête du plus important organisme gouvernemental de financement de la recherche biomédicale au monde. Plus de 300 000 chercheurs, 2 500 universités et de nombreux organismes publics et privés, dépendent des subventions des NIH. Leur rôle est donc primordial dans l’orientation et le contrôle de la recherche.

Jay Bhattacharya, défenseur de la liberté académique et pourfendeur du pseudo consensus scientifique, entend restaurer la confiance dans la science et la recherche, en divisant les centres de décision afin d’éviter un monopole du pouvoir entre les mains d’un petit groupe de bureaucrates. Une façon aussi de stimuler l’excellence. Appelé à témoigner devant la Commission du Congrès sur le Covid, le Pr Bhattacharya avait en effet dénoncé la censure pratiquée par “une petite cabale de bureaucrates, arrogants, mesquins et puissants”[25], fonctionnant “davantage comme des dictateurs que comme des scientifiques”[26]. Il avait qualifié leur “acceptation de la censure gouvernementale de la discussion scientifique” comme étant la plus grande menace actuelle contre la démocratie[27], démontrant que le gouvernement américain avait été la principale source de désinformation[28].

Le Pr Bhattacharya souhaite qu’une commission, non plus politique mais scientifique, puisse enquêter sur les politiques Covid, qui ont violé l’éthique médicale, réduit des scientifiques au silence et imposé des injections dangereuses et dévastatrices. “La censure tue la science et, dans ce cas, je pense que la censure a tué des gens”, il estime qu’il faudra présenter des excuses aux Américains[29].

Marty Makary, monsieur immunité naturelle

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Le Dr Marty Makary, est le choix de Donald Trump pour prendre la tête de la FDA (Food and Drug Administration), l’agence américaine de régulation des aliments et des médicaments. Bien que considérée comme la moins controversée parmi la sélection de Trump pour la santé, cette nomination a quand même fait grincer quelques dents. “La FDA a perdu la confiance des Américains et a perdu de vue son objectif premier de régulateur” a expliqué le président. Avant d’ajouter, “l’agence a besoin du Dr Marty Makary, chirurgien oncologue très respecté et expert en politique de santé, pour changer de cap”[30].

Ce spécialiste du cancer du pancréas avait lui‑même sévèrement jugé l’agence qu’il doit maintenant diriger. “Le covid nous a permis de jeter un regard lucide sur une FDA défaillante, embourbée dans la politique et la bureaucratie”[31]. Tandis que Robert Kennedy Jr, annonçait : “La guerre de la FDA contre la santé publique est sur le point de prendre fin”. Il avait cité une liste de produits censurés par l’administration, comme les cellules souches, l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, les vitamines, des aliments comme le lait cru et des bienfaits naturels non brevetables, comme l’exposition au soleil, avant de lancer un avertissement. “Si vous travaillez pour la FDA et que vous faites partie de ce système corrompu, j’ai deux messages pour vous : 1. sauvegardez vos dossiers, et 2. préparez vos valises”[32]

La FDA octroie ou refuse les autorisations de mise sur le marché des produits alimentaires et pharmaceutiques. Cette administration est souvent dénoncée pour ses compromissions avec les entreprises privées qu’elle régule et dont provient 45% de son financement[33]. La pratique des “portes tournantes”, qui permettent à d’anciens salariés de Big Pharma d’obtenir des postes de régulation, et aux anciens fonctionnaires de négocier leur fin de carrière dans les compagnies qu’ils ont régulées, favorise la corruption. On rappellera que c’est la FDA qui, sommée au titre de la Loi sur la Liberté de l’Information (Freedom of Information Act) de fournir sa documentation sur la sécurité des injections Pfizer, avait demandé un délai de 75 ans, avant d’être contrainte à la fournir sous 8 mois par la justice[34]. La FDA fut aussi à l’origine d’une campagne médiatique mensongère pour ridiculiser le recours à l’Ivermectine, en qualifiant ce médicament reconnu de longue date d’antiparasitaire pour chevaux.

Diplômé de Harvard en santé publique, chef du service de chirurgie spécialisé dans la transplantation de cellules pancréatiques à la l’Université médicale John Hopkins, membre de l’Académie Nationale de Médecine, le Dr Marty Makary s’est fait connaître par de nombreuses publications scientifiques et trois NYTimes best‑sellers, dans lesquels il dénonçait notamment le coût exorbitant de la santé aux USA, les erreurs médicales et le manque de transparence. Après avoir initialement soutenu les confinements et le port du masque au tout début de la crise covid, Marty Makary s’était insurgé contre le refus d’Anthony Fauci de reconnaître l’immunité naturelle, acquise par une partie de la population. Citant 200 études dont la sienne, -65 vérifiées par le Lancet-, il avait argumenté: “toutes les études concluent que l’immunité naturelle est au moins aussi efficace que l’immunité acquise par le vaccin et probablement plus efficace”[35].

Sans être par ailleurs opposé à la vaccination, il avait cependant réagi énergiquement contre les obligations vaccinales, déplorant notamment que les universités aient “ignoré les données et forcé de jeunes étudiants en bonne santé à choisir entre le risque de myocardite ou être mis à la porte de leur école, même s’ils avaient déjà acquis une immunité naturelle”[36]. Marty Makary avait témoigné dans ce sens devant la Commission du Congrès

Il soutient la plateforme Make America Healthy Again proposée par Robert Kennedy Jr, et sa propre mission à la FDA sera “d’évaluer les produits toxiques qui empoisonnent l’alimentation, ainsi que les médicaments et autres produits pharmaceutiques (..) pour s’attaquer à l’épidémie de maladies chroniques, notamment chez les enfants”, selon les termes du président[37]. Il milite pour la prévention et l’éducation plutôt que la médication, ce qui n’est pas forcément pour plaire à l’industrie. “Nous avons la population la plus surmédicalisée et la plus malade du monde et personne ne parle des causes profondes”. Citant par exemple : “Peut-être devrions‑nous parler des repas scolaires, plutôt que de mettre les enfants sous médicaments contre l’obésité”[38].

Dave Weldon, le cauchemar des fabricants de vaccins

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Choisi par le président Trump pour diriger le CDC (Center for Disease Control), le Dr David Weldon doit occuper le poste clé de la prévention et du contrôle des maladies, bien que n’ayant pas de formation classique en santé publique. En revanche, ce médecin généraliste de Floride a une longue expérience de la politique. Ce républicain a en effet été élu pour représenter son État au Congrès durant sept mandats consécutifs, de 1995 à 2009, avant de reprendre ses consultations médicales.

Durant son passage à la Chambre des Représentants, le Dr Weldon a siégé dans plusieurs commissions dont celles concernant la science, ou la santé et les services sociaux. Il s’est distingué par des prises positions dissidentes. En 2007, il a notamment proposé, sans succès, un projet de loi (le Vaccine Safety and Public Confidence Act) pour faire interdire le thimerosal dans les vaccins. Ce dérivé du mercure est fréquemment utilisé comme conservateur dans les préparations vaccinales. Et, bien que le CDC nie officiellement tout lien de causalité, il est soupçonné d’être associé à la multiplication des cas d’autisme parmi les enfants. Dave Weldon réclamait également la création d’une agence indépendante, chargée de mener des recherches sur la sécurité des vaccins. Il avait alors pointé du doigt les conflits d’intérêts au sein du CDC et de la FDA[39].

Sa position, proche de celle de Robert Kennedy Jr sur ce sujet, pourrait donc ébranler le CDC, l’agence fédérale qui détermine les programmes de vaccination. D’autant plus que la gestion coercitive du Covid‑19 par le CDC est fortement critiquée. Son ancienne directrice, Rochelle Walenski, a elle‑même admis avoir diffusé des informations fausses ou incomplètes[40], notamment sur l’efficacité et la sécurité des injections ou en parlant d’une “pandémie des non‑vaccinés” sans avoir de données sur le statut vaccinal des malades hospitalisés[41]. Grâce à la Loi sur la Liberté d’Information, on a désormais la preuve que le CDC a directement orchestré, sur les réseaux sociaux, la censure des opposants[42]. Donald Trump, lui‑même, en nommant le Dr Dave Weldon, a officiellement dénoncé le CDC pour “s’être livré à la censure, à la manipulation de données et à la désinformation”[43].

Dave Weldon est également à l’origine d’un amendement qui porte son nom, et interdit au département de la santé de financer des programmes pratiquant la discrimination contre les personnels soignants qui refusent de promouvoir ou de pratiquer l’avortement. Il a par ailleurs participé à l’interdiction du dépôt de brevet sur les embryons humains. Pour la première fois dans l’histoire du CDC, la nomination de son directeur devra être confirmée par le Sénat, suite à une modification de la loi de finance.

Aseem Malhotra, “no retreat, no surrender”

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Cardiologue britannique de renom, le Dr Aseem Malhotra a été choisi par le président Trump pour être son conseiller pour les questions de santé.

Aseem Malhotra est considéré comme l’un des experts mondiaux dans le domaine de l’Evidence‑Based Medecine (EBM), médecine qui tient compte à la fois des connaissances scientifiques et de l’expertise clinique, mais aussi des spécificités et préférences des patients. Auteur et relecteur pour de nombreuses publications scientifiques renommées, le Dr Malhotra a également été l’un des plus jeunes conseillers santé du gouvernement britannique. En plus de la cardiologie, il s’intéresse particulièrement à la prévention des maladies coronariennes, au surpoids, à l’obésité et au diabète de type 2.

Fervent pratiquant et défenseur d’un mode d’alimentation et de vie sains, il est le producteur d’un documentaire choc intitulé First Do No Pharm. Il y dénonce l’influence néfaste de Big Pharma, qu’il accuse d’avoir détourné le secteur de la santé pour son propre profit. Il met en garde contre l’usage excessif de médicaments, identifiés comme la troisième cause de décès à travers le monde, derrière les maladies cardiovasculaires et le cancer. Il exhorte la population à reprendre la responsabilité de sa propre santé, en insistant sur l’importance de l’alimentation (réduction de la consommation d’aliments ultra‑transformés et de sucre) et d’une bonne hygiène de vie. Le Dr Aseem Malhotra a présenté le régime qu’il recommande, inspiré par l’alimentation des villageois de Pioppi, dans le sud de l’Italie, dans son livre The Pioppi Diet. Un ouvrage qui a suscité des polémiques dans la sphère médicale orthodoxe, tout comme ses deux autres ouvrages, The 21‑Day Immunity Plan et A Statin‑Free Life.

En rejoignant l’équipe de Trump à la Maison Blanche, il a promis de s’attaquer à la première cause de mortalité aux USA, les maladies cardiovasculaires. Il veut sensibiliser les Américains au problème de la malbouffe et la combattre, au même titre que le tabac. Il préconise de bannir des écoles et des hôpitaux les aliments ultra‑transformés et voudrait instaurer une taxe sur les snacks sucrés, sodas et crèmes glacées. Il sera donc un rouage essentiel de “la plus grande opération que le pays ait jamais connue contre les mauvaises habitudes alimentaires des Américains” annoncée par Trump.

C’est un drame personnel, le décès prématuré de son père suite à l’injection à ARNm, qui a ouvert les yeux du cardiologue britannique sur les scandales liés au covid et aux injections géniques. Son père, lui‑même médecin connu et respecté, est décédé en juillet 2021 d’une crise cardiaque, alors qu’il n’avait pas d’antécédents pouvant l’expliquer. Suite à l’autopsie et à des discussions avec des collègues chercheurs, Aseem Malhotra découvrit les risques cardiovasculaires liés aux injections, risque que ses collègues avaient choisi de taire, pour ne pas perdre le financement de leurs recherches par Big Pharma. Examinant alors les chiffres officiels du gouvernement britannique, il a alors lui‑même constaté une augmentation de 14000 cas d’arrêts cardiaques suite au déploiement des “vaccins” en 2021, par rapport à l’année précédente[44].

Réalisant que son père avait été “victime du plus grand crime en col blanc de l’histoire”[45], Aseem Malhotra a juré de se battre “pour une justice sanitaire universelle, jusqu’à mon dernier souffle”[46]. Et pour honorer la mémoire de son père, il a fait la promesse: “ta disparition prématurée ne sera pas vaine et nous obtiendrons justice pour ceux qui ont souffert inutilement d’une injection d’ARNm qui n’aurait jamais dû être approuvée et certainement pas administrée sans consentement éclairé”[47].

Ami proche de Robert Kennedy Jr, Aseem Malhotra n’aura de cesse de réclamer que “les vaccins covid à ARNm soient suspendus dans le monde entier et que les personnes blessées par le vaccin reçoivent une aide réelle”[48]. Laissons‑lui le mot de la fin, une référence à la loi de Sparte, qu’il martèle en clôture de ses messages sur X: “no retreat, no surrender” – “ni retraite, ni reddition. Puissent Robert Kennedy Jr et sa nouvelle équipe incarner cette devise.

KAro pour BAM!


Illustration de  BAM!

Sources:

[1] RFK Jr: Teaming up With Trump, Pavel Durov’s Arrest, CIA, and the Fall of the Democrat Party

[2] RFK Jr at Tucker Carlson, Full Speech

[3] RFK Jr: Teaming up With Trump, Pavel Durov’s Arrest, CIA, and the Fall of the Democrat Party

[4] RFK Jr: Teaming up With Trump, Pavel Durov’s Arrest, CIA, and the Fall of the Democrat Party

[5] Hearing to consider the nomination of Robert F. Kennedy, Jr., of California, to be Secretary of Health and Human Services | The United States Senate Committee on Finance

[6] RFK Jr: Teaming up With Trump, Pavel Durov’s Arrest, CIA, and the Fall of the Democrat Party

[7] Massive study identifies 32 harmful health conditions directly linked to the consumption of ultra‑processed food | Blaze Media

[8] RFK Jr at Tucker Carlson, Full Speech

[9] Robert F. Kennedy Jr. – America: Past, Present, and Future, https://x.com/sensereceptor/status/1808365245704163696

[10] RFK Jr at Tucker Carlson, Full Speech

[11] https://x.com/autismactionnet/status/1887481937410793777

[12]‘Jaw‑dropping’ Study Finds Vaccinated Children Have 170% Higher Risk of Autism

[13] https://x.com/autismactionnet/status/1887481937410793777

[14] https://childrenshealthdefense.org/defender/study‑vaccinated‑children‑autism‑risk‑increase/

[15] The National Childhood Vaccine Injury Act and the Supreme Court’s Interpretation | Journal of Ethics | American Medical Association

[16] Supreme Court Rules in Favor of Protecting Vaccine Makers from State Lawsuits – Policy & Medicine

[17] RFK Jr at Tucker Carlson, Full Speech

[18] Wide Awake Media on X: « Robert F. Kennedy Jr: « The Trump White House will advise all U.S. water systems to remove fluoride from public water. » « Fluoride is an industrial waste associated with arthritis, bone fractures, bone cancer, IQ loss, neurodevelopmental disorders, and thyroid disease. » « Fluoride

https://t.co/0Pi3pqGUPR » / X ,

RFK Jr. Wants Fluoride Out Of Water — And It’s Not Nearly As Crazy As His Detractors Claim | The Daily Caller

[19] Louisiana lawmakers ask Gov. John Bel Edwards to reject rule adding COVID vaccine to school shot list | News | theadvocate.com

[20] National Institutes of Health (NIH) Funding: FY1996‑FY2025

[21] La Déclaration de Great Barrington

[22] Emails reveal how Fauci, head of NIH colluded to try to smear experts who called to end lockdowns | Daily Mail Online

[23] Emails reveal how Fauci, head of NIH colluded to try to smear experts who called to end lockdowns | Daily Mail Online

[24] Science From The Fringe (@SciFrTheFringe) / X ou https://www.youtube.com/@scifromthefringe/videos

[25] https://x.com/drjbhattacharya/status/1481147080299057153

[26] https://x.com/vigilantfox/status/1631018021496946707

[27] https://x.com/drjbhattacharya/status/1587857277570060289

[28] Testimony to U.S. House of Representatives Select Subcommittee on the Coronavirus Crisis Jay Bhattacharya, MD, PhD Prof. of Heal

[29] https://x.com/drjbhattacharya/status/1575113848784244737

[30] https://truthsocial.com/@realDonaldTrump/posts/113529561942926805

[31] Johns Hopkins surgeon Marty Makary picked to lead Food and Drug Administration

[32] https://x.com/robertkennedyjr/status/1849925311586238737

[33] FDA at a Glance

[34] Judge scraps 75‑year FDA timeline to release Pfizer vaccine safety data, giving agency eight months – Washington Examiner

[35] Harvard Chan alum Marty Makary chosen to lead FDA

[36] Remarks to the Select Subcommittee on the Covid Pandemic Marty Makary M.D., M.P.H., Professor at Johns Hopkins University School

[37] https://truthsocial.com/@realDonaldTrump/posts/113529561942926805

[38] Harvard Chan alum Marty Makary chosen to lead FDA

[39] Nominee For CDC Director, Weldon, May Push For Big Changes In Vaccine Policy

[40] Statistical and Numerical Errors Made by the US Centers for Disease Control and Prevention During the COVID‑19 Pandemic

[41] https://x.com/warclandestine/status/1669002086170652672

[42] https://x.com/texaslindsay_/status/1552438882222100480 et The C.D.C. Isn’t Publishing Large Portions of the Covid Data It Collects – The New York Times

[43] Nominee For CDC Director, Weldon, May Push For Big Changes In Vaccine Policy

[44] https://x.com/draseemmalhotra/status/1574389600914534400

[45] https://x.com/draseemmalhotra/status/1800099596368249040

[46] https://x.com/draseemmalhotra/status/1800099596368249040

[47] https://x.com/draseemmalhotra/status/1585599985860898816

[48] https://x.com/draseemmalhotra/status/1849514037119537257

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Les nanoparticules ARNm atteignent les organes vitaux et le coeur

Une étude de plus qui confirme le lien entre les vaccins Covid et les maladies cardiaques.

Source : essentiel news

Article de Brenda Baletti pour Children’s Health Defense. Traduction et titres de Senta Depuydt

Les nanoparticules lipidiques (LNP), utilisées pour délivrer l’ARNm du vaccin Covid-19 aux cellules du corps, ne restent pas au point d’injection – elles circulent dans tout le corps et atteignent les organes vitaux, y compris le cœur, selon un nouvel article publié dans Nature Biotechnology.

Les résultats “suggèrent un mécanisme potentiel par lequel les vaccins ARNm à base de LNP pourraient contribuer aux complications cardiaques signalées”, notamment la myocardite, écrivent les auteurs de l’étude.

Publiées dans l’une des revues scientifiques les plus prestigieuses, les conclusions de l’étude contredisent les affirmations des responsables de la santé publique et des scientifiques lors du déploiement du vaccin Covid-19, selon lesquelles les LNP étaient sûres parce qu’elles ne se déplaçaient que vers des sites ciblés spécifiques dans le corps.

Un nouveau type de test

Selon les auteurs, il n’existe pas de technologie adéquate pour déterminer où les transporteurs de nanoparticules, telles que les nanoparticules lipidiques, aboutissent dans l’organisme après avoir été administrés par injection intramusculaire, en particulier pour les médicaments tels que les vaccins, qui contiennent de faibles doses de particules.

Dans cette étude, les auteurs ont mis au point une technologie expérimentale permettant de déterminer où les différents vecteurs de nanoparticules, y compris les LNP, se retrouvent dans l’organisme après une injection intramusculaire. Ils ont testé cette technologie sur des souris.

Les chercheurs ont constaté que même à des doses extrêmement faibles, les LNP portant l’ARNm de la protéine Spike du SARS-CoV-2 atteignaient les organes vitaux. Elles ont atteint le tissu cardiaque et provoqué des modifications cellulaires ou tissulaires.

Les LNP injectant l’ARNm Covid-19 circulent de manière systémique et sont absorbées par les organes vitaux, ce qui entraîne la production de la protéine Spike toxique à l’échelle du corps”, a écrit Nicolas Hulscher, épidémiologiste et administrateur de la Fondation McCullough, sur Substack.

Selon Karl Jablonowski, chercheur principal à l’ONG Children’s Health Defense, l’idée fausse la plus répandue au début du déploiement du vaccin Covid-19 était que les nanoparticules lipidiques “restaient dans les cellules musculaires“.

Cette idée a été perpétuée par de grandes publications, telles que Science et Open Forum Infectious Diseases –une revue financée en partie par les Centers for Disease Control and Prevention et Pfizer – même si l’étude de Pfizer elle-même a montré qu’après seulement 8 heures, seulement 22 % des LNP initialement injectées restaient au site d’injection, que 18 % migraient vers le foie et 1 % migraient vers la rate.

Cet article illustre parfaitement que ces affirmations sont fausses, puisqu’on y trouve des LNP injectées par voie intramusculaire dans le cœur, le foie, les reins, la rate, la tête et “tous les ganglions lymphatiques analysés”, a déclaré M. Jablonowski.

La recherche aurait dû être effectuée avant la vaccination de masse, et non après

Selon l’étude, plus de 30 nouveaux médicaments – y compris des outils d’édition du génome, des médicaments à base d’ARNm et de protéines – ont été approuvés par la Food and Drug Administration des États-Unis et l’Agence européenne des médicaments.

Mais les développeurs de médicaments sont confrontés à un défi majeur dans l’application clinique de ces outils : comment s’assurer que les médicaments n’atteignent que les cellules qu’ils ciblent?

Pour cibler des cellules spécifiques, les médicaments utilisent des “nanocarriers” (nanoporteurs) – de minuscules particules capables de transporter un médicament dans tout l’organisme – sélectionnés pour leur capacité différentielle à cibler des types de cellules particuliers. Différents types de nanoporteurs, notamment les liposomes, les vecteurs viraux et les LNP, les nanoparticules lipidiques, ont été utilisés dans les vaccins Covid-19.

Les nanoporteurs sont dotés d’un revêtement qui les rend stables et les aide à atteindre les cellules cibles. Cependant, lorsqu’ils sont introduits dans l’organisme, ils subissent des modifications qui rendent leur fonction plus imprévisible.

Selon M. Jablonowski, ces changements sont dus au fait que des protéines se lient aux nanoparticules et influencent leur destination et leur mode d’interaction.

Cette interaction avec les protéines de l’environnement est inéluctable et constitue une source d’incertitude critique”, a-t-il déclaré.

C’est ce qui fait des LNP un outil de thérapie génique risqué, généralement utilisé uniquement par des personnes qui “luttent pour leur vie et sont prêtes à accepter les effets indésirables potentiels résultant du fait que les LNP atteignent la mauvaise cible”, a déclaré M. Jablonowski.

Une personne en bonne santé ne prendrait pas un risque aussi important pour un bénéfice aussi minime.

Technologie de précision

Les chercheurs ont entrepris de mettre au point une technologie appelée “Single Cell Precision Nanocarrier Identification”, conçue pour cartographier et quantifier l’endroit où aboutissent les nanoporteurs injectés dans une souris.

Leur technologie utilise l’apprentissage automatique pour analyser les données d’images, ce qui permet de quantifier avec précision l’emplacement des nanoparticules au niveau de l’organe, du tissu et de la cellule unique dans l’ensemble du corps.

Ils l’ont spécialement conçue pour mesurer les faibles doses de médicaments généralement présentes dans les vaccins. Ils l’ont ensuite testée sur plusieurs nouveaux types de médicaments et ont pu identifier avec succès la localisation des nanoparticules dans l’ensemble du corps d’une souris.

Après avoir injecté dans le muscle une LNP contenant l’ARNm de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, les chercheurs ont détecté l’ARNm et la protéine de pointe dans le foie, la rate, les poumons, le cœur, la tête et les reins de la souris.

Ces résultats ont des “implications directes pour la traduction clinique” des médicaments, ont-ils déclaré.

Risque cardiaque confirmé

“Notre découverte de changements dans l’expression des protéines immunitaires et vasculaires dans le tissu cardiaque après l’administration de l’ARNm LNP spike correspond aux rapports de myocardite et de péricardite dans un sous-ensemble d’individus ayant reçu des vaccins ARNm”, écrivent-ils.

Au 27 décembre 2024, 27 357 cas de myocardite et de péricardite avaient été signalés au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) aux États-Unis, dont 20 846 cas attribués à Pfizer, 5 952 cas à Moderna et 482 cas au vaccin de Johnson & Johnson.

La principale limite de la technologie Single Cell Precision Nanocarrier Identification est qu’elle ne peut pas être utilisée sur des sujets vivants. Cela signifie qu’il n’y a toujours pas de moyen de suivre efficacement l’évolution des LNP chez les êtres humains vivants.

“Cette technologie ne peut pas fournir les informations dynamiques et longitudinales qu’offrent les méthodes utilisées sur les animaux vivants, telles que la TEP ou l’imagerie par bioluminescence”, a déclaré M. Jablonowski.

Les auteurs de l’étude ont déclaré que des recherches supplémentaires étaient nécessaires pour déterminer si des effets similaires se produisent chez l’homme et si les changements moléculaires qu’ils ont trouvés dans l’organisme des souris sont liés à des symptômes cliniques.

Action urgente pour les agences de santé 

Commentant la déclaration des auteurs selon laquelle les effets similaires probables sur les humains devraient être explorés dans des travaux futurs, Jablonowski a déclaré :

Tous les organismes de réglementation des vaccins dans le monde qui ont approuvé les LNP pour une distribution de masse devraient se repentir de leur décision hâtive et complaisante, car ce “travail à réaliser par la suite”, aurait dû l’être bien avant l’approbation.

Aux États-Unis, le processus d’approbation des vaccins dure dix ans. Parmi tous ceux qui ont été approuvés jusqu’à présent, aucun n’est réellement sûr, mais le processus permet d’éliminer certains des vaccins les plus dangereux. Cinq ans après sa création, la plateforme vaccinale à ARNm Covid-19 ressemble de plus en plus à l’un des plus dangereux.”

Hulscher est d’accord, écrivant que “des études de biodistribution auraient dû être réalisées AVANT la “vaccination” de masse de la population mondiale”. Il demande que les “injections invasives de thérapie génique” soient immédiatement retirées du marché.

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Quand la presse aux ordres vous cache une conclusion de pharmacovigilance

Source : AIMSIB

Attention, affaire lamentable ! C’est l’histoire d’une dame sans histoire âgée de 30 ans qui développe les signes caractéristiques de la maladie de Charcot quelques jours après une seconde administration du vaccin anti-Covid de Pfizer, et que le centre de pharmacovigilance déclarera imputable à cette injection. Publication de la nouvelle dans la presse locale et c’est immédiatement le drame, on déprogramme l’article en extrême urgence. Depuis quand une décision d’imputabilité d’un centre de pharmacovigilance ne peut pas faire l’objet d’une nouvelle journalistique, depuis quand les sujets sanitaires sont-ils tous gérés par destruction de la liberté d’informer ? Courage Madame « Mélanie », bonne lecture. 

Le 30 décembre dernier, France Bleu Auvergne faisait paraître un article sous le titre : « Première reconnaissance officielle, pour une Moulinoise, atteinte de la maladie de Charcot après un vaccin anti-covid ».

Cet article n’est resté en ligne que quelques heures pour, finalement, faire l’objet d’une dépublication en fin de journée.

Cette succession d’événements a été suffisante pour enflammer les réseaux sociaux, mais aussi les rédactions de presse (tous supports confondus).

Il ne pouvait en être autrement pour un sujet « hyper » clivant. Nous avons, en effet, d’un côté les défenseurs acharnés d’un vaccin anti-covid, dont ils sont absolument certains qu’il ne peut pas être à l’origine de pathologies très graves, comme la maladie de Charcot, et de l’autre côté, non pas comme cela est présenté de façon simpliste, ceux que certains nomment les « antivax », mais des personnes qui, depuis qu’elles ont été vaccinées contre la Covid, en 2021, 2022 … ont déclenché des pathologies plus ou moins graves dont les médecins ne pouvaient expliquer le déclenchement soudain.

Une question s’est alors légitiment posée : et si les vaccins anti-covid étaient à l’origine de la détérioration de mon état de santé ? Il semble pourtant qu’il soit, en France, interdit de se poser cette simple question.

Pire, si vous posez cette question, vous êtes immédiatement diabolisé et taxé de complotiste. C’est ainsi la meilleure façon de faire taire, non pas toute critique, mais toute tentative visant à émettre des doutes quant à un discours officiel dont les chiens de garde persistent à affirmer, de façon sentencieuse, que les vaccins anti-covid ne présentent aucun risque, ou, en tout cas, pas de risque grave pour la santé.

Des vigies semblent donc scruter la moindre apparition d’articles sur le sujet, comme pour mieux réagir à des affirmations qui pourraient remettre en cause un discours officiel, quitte à se comporter comme des maîtres censeurs.

Concrètement, que s’est-il passé le 30 décembre dernier ?

France Bleu Auvergne fait paraître un article, pourtant très neutre, et sans parti pris, qui fait suite à un long entretien avec Mélanie, jeune femme âgée de 35 ans, atteinte de la maladie de Charcot. Cet article avait le grand mérite de montrer la solitude et la détresse des malades atteints de telles pathologie et de leur famille, surtout quand ils cherchent à comprendre pourquoi.

Il convient ici de préciser que la maladie de Charcot, aussi connue sous le nom de sclérose latérale amyotrophique (SLA), est une maladie neurodégénérative. C’est une maladie rare (extrêmement rare chez les personnes comme Mélanie qui, au moment du diagnostic, avait 31 ans) dont la prévalence est de 2,7 sur 100 000.

La sclérose latérale amyotrophique (SLA), est une maladie grave qui entraîne le décès de la personne dans un délai de 3 à 5 ans en moyenne, après l’apparition de la maladie, principalement en raison de l’atteinte des muscles responsables de la respiration. Il convient encore de préciser qu’à ce stade des recherches scientifiques, les causes de la maladie de Charcot demeurent inconnues dans 90 % des cas (on parle de cas sporadiques). En revanche, des causes héréditaires de la maladie de Charcot ont pu être mises en évidence dans 10 % des cas.

Mais quel est l’apport de cet article, à l’origine de tant de réactions ?

Il est écrit : « C’est bien le vaccin anti-Covid, qu’elle a reçu, en 2021, qui est à l’origine de la maladie de Charcot (de Mélanie) …/… La pharmacovigilance vient de la reconnaître (…) ».

Ces seules affirmations ont mis le feu aux poudres

Devant les vives réactions des lecteurs de cet article, principalement sur les réseaux sociaux, la Direction de France Bleu a décidé de mettre un terme de façon brutale à un débat dont, manifestement, elle ne veut pas, en le dépubliant. Le même média tente alors de s’en justifier : « Un article qui évoquait la reconnaissance d’un lien entre la maladie de Charcot et le vaccin de Pfizer/BioNTech contre le Covid-19. Cet article avait été publié à partir d’informations parcellaires, ayant entraîné une erreur d’interprétation ».

France Bleu reconnaît, alors, qu’il s’agit là d’une information sensible mais, dans son grand courage, qu’elle ne veut pas participer  » à la propagation de fausses informations ». De préciser, encore, qu’il ne s’agit en aucun cas de censure, en d’autre temps, sous d’autres régimes, la presse d’État n’aurait pas fait mieux.

Mais ce média va plus loin en se livrant, alors, à une diffusion de vérités toutes relatives, il affirme :
– « Les autorités sanitaires françaises n’ont jamais confirmé de lien entre la vaccination contre la Covid-19 et la sclérose latérale amyotrophique (SLA, maladie de Charcot). La responsabilité du vaccin dans l’apparition de la maladie de la patiente évoquée n’a, à ce jour, pas été reconnue »,

De minimiser enfin le rôle de la pharmacovigilance en précisant : « C’est l’ANSM qui tranche, et non un organisme de pharmacovigilance. Et à ce jour, l’ANSM n’a pas communiqué sur un quelconque lien entre la maladie de Charcot et le vaccin Pfizer contre la Covid-19. »

Qu’en est-il réellement ? Ces objections sont-elles recevables ?

Non.

Sur le premier point : la non reconnaissance d’un lien entre la SLA de Mélanie et le vaccin Pfizer contre la Covid.

Si France Bleu avait eu le souci de vérifier ses informations, nous lui aurions présenté la fiche établie par le centre de pharmacovigilance qui a traité le cas de Mélanie. Ce média aurait vu que dans les jours qui ont suivi une deuxième injection (juin 2021), Mélanie a été victime de fasciculations. Un mois après, ont été constatées des atteintes neurologiques. Au mois de septembre 2022, était posé le diagnostic d’une SLA. En conclusion, il est écrit :
– « Diagnostic de SLA dont les premiers signes se sont manifestés quelques jours après la D2 de Comirnaty»

Le pharmacovigilant note : « L’imputabilité retenue en l’espèce est établie selon la méthode française officielle de 1985 publiée par Bégaud et al. (Bulletin officiel du ministère chargé de la santé n° 84/50 fr 1985) et réactualisée par le Cercle de Réflexion sur l’imputabilité en 2011 (publié dans Théraphie 2011 ; 66:517- 25). Les éventuels scores d’imputabilité qui auront été retenus sont établis sans préjudice des éléments d’investigation qui pourraient être effectués dans le cadre de procédures juridiques ou amiables d’indemnisations ».

Nous précisons ici que Mélanie n’avait aucun antécédent médical, et que le facteur héréditaire a été écarté.

Donc, contrairement à ce qu’affirme France Bleu, la SLA, contractée par Mélanie est bien imputable au vaccin Pfizer contre la COVID et cette imputabilité a bien été confirmée par une autorité sanitaire.

Il convient de ne pas minimiser, comme France Bleu, le rôle et l’importance des centre régionaux de pharmacovigilance qui ont une mission dévolue par le Ministère de la Santé.

À ce titre, la pharmacovigilance a pour mission la surveillance des médicaments et la prévention du risque d’effets indésirables résultant de leur utilisation, que ce risque soit potentiel ou avéré après commercialisation. Dans ce cadre, la pharmacovigilance met en place des enquêtes et des études pour analyser les risques et participer à la mise en place et au suivi des plans de gestion des risques. La pharmacovigilance s’appuie sur une base réglementaire nationale et européenne : lois, décrets, directives, bonnes pratiques de pharmacovigilance publiées par arrêté.
Dans notre cas d’espèce, nous avons eu confirmation par le CRPV que le cas de Mélanie a été remonté à l’ANSM avec pour commentaire : « ce dossier a été remonté à l’ANSM en proposant un « cas marquant », ce qui signifie que nous souhaitons appuyer l’attention de l’ANSM sur les cas de SLA déclarés après vaccination contre la Covid-19 ». Au moment où a été rédigé l’article, l’ANSM était informée.

Nous précisons encore qu’au niveau de l’association AAVIC TEAM, dont fait partie Mélanie, nous avons au moins un deuxième cas identique.

Quant au rôle de l’ANSM défendu par France Bleu et sur le fait que ce soit elle qui tranche et non la pharmacovigilance. Si, effectivement, c’est elle qui tranche, comment peut-on imaginer aujourd’hui, sur ce cas, et à la lumière des protocoles d’examens qui ont été mis en œuvre pour établir cette imputabilité, qu’elle puisse dire autrement ? Il semble impossible qu’elle puisse avoir un avis contraire à la lumière des résultats qui lui seront présentés. Mieux, il va être de son devoir de prendre en considération le risque d’effets indésirables graves, et examiner les options permettant de prévenir les risques ou les réduire, au besoin, pour prendre des mesures appropriées. À partir de là, il convient que certaines attitudes doctes soient abandonnées.

Cette réponse méritait d’être apportée, d’autant plus qu’à la suite de ces articles, certains ont cru bon publier à leur tour des articles inutilement blessants et confinant à la diffamation.

Un, en particulier, a retenu notre attention, celui publié le 2 janvier 2025 par le Journal International de Médecine. Cet article odieux, qui brille par son absence de contenu et une compassion de façade,

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https://www.jim.fr/viewarticle/non-ahttps://www.jim.fr/viewarticle/non-aucun-lien-n-%C3%A9t%C3%A9-%C3%A9tabli-entre-vaccination-2025a100001nucun-lien-n-%C3%A9t%C3%A9-%C3%A9tabli-entre-vaccination-2025a100001n

n’a pour finalité que de décrédibiliser les associations, dont AAVIC TEAM, qui tentent d’aider ces malades qui, après des injections contre la COVID, se trouvent dans une situation d’errance médicale insupportable. Nous parlons en particulier au niveau de cette association, de plusieurs centaines de personnes dont la vie a été bouleversée : pathologies graves, perte d’autonomie, perte d’emploi, situation financière précaire … aussi l’absence d’empathie de certains « vaccinolâtres » écervelés leur est insupportable. D’ailleurs, et à la suite d’Hannah Arendt, nous affirmons que « la mort de l’empathie humaine est l’un des premiers signes et le plus révélateur d’une culture sur le point de sombrer dans la barbarie ».

Notre combat est d’aider ces malades à faire éclater la vérité, à ce qu’ils soient pris en charge comme il se doit et qu’ils soient indemnisés à hauteur des préjudices qui sont les leurs.

Le dernier combat de Mélanie est d’être la porte-parole de ces malades, et de faire entendre leur voix.

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Le ministère de la vérité

Source : mondialisation.ca

Le Digital Services Act ou DSA est désormais actif dans l’Union européenne depuis l’été dernier. Cette organisation, ignorant la volonté des peuples européens, a décidé de se doter des moyens efficaces pour lutter contre ce qu’elle appelle la « désinformation » et des publications aux contenus « illicites » ! Evidemment, on se pose sur le champ la question de savoir ce qui est « licite » ? Il va de soi, et tout le monde l’aura compris depuis bien longtemps, qu’il s’agit d’un instrument de contrôle, de censure des informations qui ne sont pas en parfaite symbiose avec le discours idéologique mondialiste des serviteurs de la Trilatérale, les Léo-straussiens et autres Forum Economique Mondial (FEM), Bri, Dolder Club, Bilderberg … etc. Ces gens conduisent le monde vers un Nouvel Ordre Mondial enfin advenu dans toute son ampleur et prévu par l’Agenda 2030 ayant planifié dans le détail les mesures successives permettant cet avènement de la dictature absolue, « le meilleur des mondes », une sorte de confinement indéfini pour tous les peuples strictement autorisés à vivre dans la seule mesure d’une soumission inconditionnelle…

La liberté d’expression n’est pas compatible avec un Nouvel Ordre Mondial : l’UE, dont la seule raison d’être est celle de servir ce projet, fait donc tout ce qui est possible pour appliquer le plan concocté par les tyrans du mondialisme. Les peuples de l’Union européenne ont été pris en otage par ses dirigeants qu’ils n’ont pas mandatés …

Avec l’arrivée des nouveaux élus aux Etats-Unis, on remarque que Meta et Instagram ont mis fin à la censure qu’ils pratiquaient sous le contrôle des plus grands « démocrates » de la planète !

Et voilà que l’UE de son côté se met à faire le contraire de ce qui se passe aux USA. 

Le DSA exige des plates-formes numériques une censure acharnée sous peine de sanctions pouvant infliger une perte de 6% de leur chiffre d’affaires annuel.

Le DSA va utiliser des outils comme NewsGuard pour exercer sa dictature. Cette dernière société est une entreprise privée qui joue un rôle de chien de garde au service du système de censure. NewsGuard évalue tous les sites d’information et contrôle leur alignement sur l’idéologie dominante seule tolérée par le DSA. Cette société s’est donnée le pouvoir d’attribuer des notes de « crédibilité » à tous les médias et particulièrement aux sites alternatifs qui proposent une lecture plus objective de l’information en promotionnant la liberté d’expression désormais proscrite dans l’Union européenne. Les limiers de NewsGuard se permettent d’agir sans le moindre mandat des peuples qu’ils prétendent contrôler en ignorant leurs droits ! Qui a donné à ces gens un tel pouvoir, avec quelle légitimité ?

Tout média qui sera jugé dans ses publications non conforme aux critères idéologiques de la « vérité » définie par le DSA , sera pénalisé financièrement, étranglé et à terme éliminé. Les revenus publicitaires seront réduits via des mécanismes de dévalorisation commandés par les algorithmes de service ! 

Mis à part l’expérience des Grecs puis celle de l’Odénossonie en Amérique du Nord avant l’arrivée des colons européens, puis celle du Chiapas dont la devise déclare que : « Dans une véritable démocratie, c’est le peuple qui commande et c’est l’État qui obéit« , il n’existe pas de démocraties pouvant sérieusement se donner ce titre. On se souvient du discours historique de Sieyès du 7 septembre 1789 : « Le peuple… dans un pays qui n’est pas une démocratie – et la France ne saurait l’être –, le peuple ne peut parler, ne peut agir que par ses représentants. » Depuis longtemps, les médias inféodés au système, comme les politiques, ne cessent de faire croire que nous sommes en démocratie alors que nous ne l’avons jamais été. La démocratie a été systématiquement et volontairement confondue avec les libertés publiques et privées !

Mais les libertés publiques et privées c’était encore beaucoup trop : il fallait réduire ces libertés à néant, faute de quoi il n’était pas possible d’envisager un Nouvel Ordre Mondial incompatible avec les idées de démocratie et de libertés …

L’esprit critique, le sens de l’objectivité, la voix des sciences, la sagesse de l’expérience et le simple bon sens, tout cela n’est pas recevable par les inquisiteurs du DSA qui appliquent la censure à l’encontre de tous ceux qui sont jugés hérétiques, schismatiques, idolâtres, divergents, non alignés, « complotistes », récalcitrants, opposants voire « terroristes », « climato-sceptiques » ou « menaces pour la sécurité des États » etc …

En revanche, l’AFP qui doit faire figure d’organisme de référence de la vérité, est grassement rémunérée pour que tout ce qu’elle transmet soit strictement conforme à l’idéologie mondialiste.

Ainsi le débat public n’a pas lieu puisqu’il est totalement orienté dans une seule direction. Les opinions divergentes ne sont donc pas accessibles ou difficilement accessibles pour le grand nombre qui est maintenu dans sa bulle d’informations stérilisées et univoques.

Le DSA est donc bien « Le ministère de la vérité » ayant traversé la fiction pour devenir réalité !

Nous sommes officiellement manipulés, orientés à ne penser que dans un sens : celui du mondialisme qui s’impose brutalement à tous.

Le DSA n’est pas autre chose qu’un instrument de censure et de contrôle idéologique, une expression violente de la dictature des « élites » mondialistes non élues et qui décident pour tous ce que sera la vie de tous.

Conclusion

Quoi qu’il arrive, nous pouvons et devons contourner la censure. Il y a des Plates-formes comme Odysee.com ou CrowdBunker.com en France qui relaient les informations censurées et militent intelligemment pour la liberté d’expression.

Le site mondialisation.ca est une référence pour la liberté d’expression, l’information objective, non censurée. 

Il est donc toujours possible de contourner le dispositif des inquisiteurs: leur maltraitance, leur persécution, leurs interdits, leurs sanctions et leurs bûchers et s’informer correctement ! Finalement, le problème n’est pas de savoir si l’on peut s’informer, mais si l’on veut vraiment s’informer!

La servitude volontaire est une faiblesse chez ceux qui se sont exposés trop longtemps au dressage psychologique en acceptant la facilité de l’information fast-food des télévisions et des autres médias inféodés, baxtérisés à l’argent public pour certains et pour les autres, formatés à l’idéologie mondialiste dont leurs propriétaires milliardaires sont les gourous !

Nous, les Européens, pouvons-nous accepter le totalitarisme d’un « ministère de la vérité » ? Pouvons-nous tolérer le retour de l’inquisition? Toutes ces créations de l’Union européenne ne sont ni légitimes, ni acceptables éthiquement comme humainement ! Nous avons le devoir de boycotter ces institutions, de les mettre en échec, de les combattre par tous les moyens et de les détruire en se moquant de leur prétention!

Jean-Yves Jézéquel

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Depuis la nuit des temps, des ondes pour soigner

Source : AIMSIB

Voilà un article qui ne manquera pas d’attiser l’incrédulité agressive de certains car bien sûr que oui, certains dispositifs générateurs d’ondes admettent bien de larges capacités thérapeutiques, possiblement bien supérieures au potentiel accessible à la simple chimie du médicament conventionnel. Depuis quand et pour quoi faire, c’est Sylvie Henry-Réant, membre du conseil scientifique AIMSIB, qui a répondu pour nous aux questions posées par Esther Einrich : oublier Flexner et le massacre culturel qu’il a réussi à infuser dans nos esprits ? Bonne lecture. 

Esther Einrich : Bonjour Sylvie, tu es formatrice en physique appliquée à la biologie au sein d’Aton Atl depuis 2015. Ton expertise va nous aider à mieux comprendre les possibilités thérapeutiques offertes par l’emploi des ondes sur le corps humain. Nous avons tous entendu parler des machines utilisées en Russie, en Allemagne, en Pologne, en Bulgarie, et dans bien d’autres pays, les praticiens s’en servent depuis longtemps pour soigner l’inflammation, l’arthrose, gérer les suites postopératoires, pallier la douleur, résorber les fractures, renforcer le système immunitaire, réduire les tumeurs, estomper la dépression… Tu veux bien nous faire un bref rappel historique des premières découvertes scientifiques en la matière ?

Sylvie Henry-Réant : L’utilisation d’ondes sur le corps humain date de la nuit des temps. Des hiéroglyphes en Égypte montrent que la baguette de sourcier était utilisée. Au temps des Lumières, Messmer envoyait des ondes et du magnétisme sur les personnes pour les soigner. La vibration sonore a également été utilisée pour soigner les populations en Afrique (tam-tams et tambours, vagues de la mer…). Beaucoup plus tard, c’est Lakhovsky qui a été le précurseur en France. Il pensait que « les maladies ont pour cause un déséquilibre oscillatoire cellulaire provoqué par des causes extérieures ou intérieures ». En conséquence, il suffisait de rééquilibrer les champs entre nos cellules et les ondes cosmiques pour soigner les maladies. Pour Lakhovsky, il n’a jamais été question de détruire les cellules malades, mais de les aider à retrouver leurs oscillations habituelles, leurs propres fréquences de vibration.

lakho

Lakhovsky, entre 1930 et 1940, a guéri des cancers en phase terminale avec un bon taux de réussite. L’appareil demande de la prudence à l’utilisation, car il émet des ondes sous un très haut voltage (basse puissance) et les antennes qui ne doivent pas être touchées, sont très accessibles. Il existe actuellement en France un appareil fonctionnel en banlieue parisienne.
Suite à Lakhovsky, il y a eu une quantité impressionnante de techniciens, ingénieurs, thérapeutes qui ont créé des machines de rééquilibrage, basées sur différents principes théoriques. On peut en citer quelques-unes. Celle du Dr Voll fait de l’électro-acupuncture. La machine Mora est basée sur un principe de radiesthésie où un système électronique est censé enregistrer l’émanation ondulatoire de la personne, en inverser la phase pour la lui renvoyer afin d’annuler le système dysfonctionnel. Il y a également des machines à ondes pulsées (0 – 100 Hz) pour guérir des problèmes essentiellement articulaires ou inflammatoires. Un certain nombre de médecins ont écrit des ouvrages sur le sujet pour vanter leurs réussites mais rares sont ceux qui, comme le Dr Georges Dussert, décrivent suffisamment les caractéristiques des ondes utilisées pour que ce soit exploitable.

L’histoire a joué son rôle dans le développement de la médecine par les ondes. En Russie, sous un régime communiste dès 1917, il y avait peu de moyens financiers au service du peuple, et une industrie chimique misérable : beaucoup de travaux en santé se sont portés sur l’emploi des ondes, remède idéal, bon marché. Des appareils russes ont ensuite commencé à être commercialisés en Europe. Ils ont aussi été copiés par des chercheurs européens qui ont proposé un certain nombre de modèles.

En Europe, à la fin de la guerre de 1914, la situation est autre : il faut recycler les outils de production des substances chimiques toxiques utilisés pendant la guerre. Les entreprises de la chimie cherchent à maintenir leur chiffre d’affaires, ce qu’elles font en commercialisant des médicaments et des produits phytosanitaires.
Les principaux actionnaires de ces industries et les banques associées font des pieds et des mains pour supprimer les médecines alternatives non chimiques en Europe. Après des années de combats, ils ont réussi à faire en sorte que la phytothérapie ne soit plus reconnue en France, et finalement, en 2018, à éjecter l’homéopathie. Toutes les techniques alternatives à base d’ondes développées en 1914 et 1940 ont été considérées comme du charlatanisme. Aux États-Unis, le rapport Flexner, établi en 1910 pour l’institut Carnegie, a eu pour conséquence d’ostraciser toutes les techniques médicales non conformes aux standards du modèle européen de médecine.

Malgré cela, en Europe les appareils de « soins ondulatoires » commencent à se développer dans les années 1960 et il y a une forte progression depuis les années 2000.

Depuis Lakhovsky beaucoup pensent donc que des étoiles aux cellules du corps humain, l’univers est régi par les vibrations et leur flux. Sonothérapie, thérapies utilisant les ondes électromagnétiques, médecine informationnelle, bio-résonance, thérapies utilisant les ondes lumineuses sont quelques exemples de pratiques qui agissent sur les vibrations et leur flux, mais elles ne fonctionnent pas toutes de la même façon, peux-tu nous aider à y voir plus clair ?

Pour essayer de s’y retrouver au sein de toutes ces ondes thérapeutiques, il faut revenir aux fondamentaux :
– Qu’est-ce qu’une onde ?
– Quelles sont ses principales caractéristiques ?

Une onde est quelque chose qui oscille avec une certaine amplitude. Si ce qui oscille est une pression, ce sont des ondes de type sonore (ou un tremblement de terre !) ; si ce qui oscille est un champ électrique ou magnétique, ce sont les ondes électromagnétiques. Ce sont les deux principales ondes utilisées en thérapie. Les ondes électromagnétiques (EM) sont extrêmement nombreuses et se caractérisent par leurs fréquences qui peuvent aller de quelques fractions de Hertz jusqu’à des milliards, voire des milliers de milliards de Hertz.  Voici un spectre des différentes ondes électromagnétiques qui peuvent exister afin de pouvoir s’y retrouver.

Selon leur utilisation, les ondes EM se répartissent dans les domaines suivants :
• 20 à 20 000 Hz (spectre des ondes sonores audibles)
• courant électrique et communication sur ses lignes : 50 à 33 000 Hz
• de 20 000 Hz à 1 MHz (spectre des ondes ultrasonores )
• ondes radios entre 200 kHz jusqu’à 200/300 MHz
• ondes intermédiaires (micro-ondes) de l’ordre du GHz, utilisées comme porteuses pour le Wi-fi, les radars, les fours à micro-ondes. Elles ont la propriété de chauffer tellement qu’elles permettent la cuisson.
• infrarouges : 1012 Hz à 1013,5 Hz
• lumière visible autour de 1013,5-14 Hz
• ultra-violets : 1015 Hz
• rayons X, puis les ondes cosmiques

freq ondes

Nous comprenons que les ondes interagissent sur le vivant de façon différente selon leurs caractéristiques, elles peuvent ainsi affaiblir, tuer, guérir ou régénérer selon le cas. Comment agissent-elles sur le vivant ?

• Les ondes de fréquences très élevées, UV haute fréquence, rayon X, gamma, et cosmiques vont avoir des effets délétères sur la structure physiologique, et sont toujours toxiques.
• certains ultraviolets sont utilisés par la peau pour fabriquer de la vitamine D. Leur intensité et la durée d’exposition doivent être limitées sous peine de causer des brûlures.
• Les ondes visibles sont plutôt bénéfiques à condition que leur densité ne soit pas trop élevée sinon on peut avoir un effet énergétique trop important.
• Les ondes infrarouges sont bénéfiques. Ce sont celles avec lesquelles on se chauffe, et évidemment quand c’est trop, c’est trop. Et si on met les mains dans le feu, on se brûle.
• Les ondes GHz sont utilisées comme porteuses pour la téléphonie, le wifi, le Bluetooth, la 5G. Qui utilise un téléphone, ou est proche d’une antenne, est irradié d’ondes avec des fréquences variables allant du MHz au GHz. Les ondes GHz interagissent avec l’eau du corps. Elles engendrent une rotation des molécules d’eau. C’est l’eau qui bout dans les fours à micro-ondes. L’exposition à une densité trop importante de ces ondes provoque la cuisson. Si la puissance n’est pas trop forte, il y aura une perturbation cellulaire, mais l’être impacté y survivra.
• Les ondes d’une fréquence plus faible de l’ordre du MHz, peuvent interagir avec certains processus vitaux, notamment avec les pulses générés par les courants ioniques du corps au travers des canaux protéiques dans les membranes. Cette interaction est fonction de la façon dont la fréquence des ondes EM externes est calée avec la fréquence des pulses ioniques internes et la façon dont la protection naturelle du corps intervient.
• Les ondes à plus basses fréquences, dans le domaine du son, peuvent interagir directement avec les processus vivants. Elles sont utilisées à des fins thérapeutiques, notamment dans les cabinets de kinésithérapie pour le renforcement osseux.

Les protéodies ou musique des protéines est un concept créé par le physicien français Joël Sternheimer dans les années 1960-1980. Il a découvert que les ondes de matières associées aux acides aminés qui composent une protéine, peuvent être  transposées dans la gamme tempérée de Bach. Les notes ainsi obtenues, jouées selon l’ordre où elles se présentent dans la protéine,  correspondent à une musique, la protéodie. Certaines se retrouvent dans des œuvres classiques. Par exemple, dans le Printemps de Vivaldi, on retrouve une grande partie de la musique associée à l’actine, particulièrement active au printemps. L’émission d’une protéodie active ou inhibe le fonctionnement de la protéine qui y est associée. La protéodie est quelque chose de très très puissant, pouvant être bénéfique mais facilement très toxique.
◦ Certaines plantes peuvent émettre de façon bénéfique, des parties de protéodies : voir les travaux de Jean Thoby.

• Les ondes très basses fréquences, en dessous de 1 000 Hz, sont associées au courant électrique et de ses harmoniques, à certains protocoles de courants porteurs en lignes (CPL). Le courant électrique du réseau domestique,  c’est 50 Hz. Mais sur nos réseaux électriques se trouvent toutes sortes de fréquences allant jusqu’à 5 000 Hz, voire des pulses aux environs de 32 000 Hz. Ces fréquences parasites sont induites par les transformateurs, et par le CPL. Le CPL est un protocole de télécommunication utilisé pour faire passer internet sur le réseau électrique ou généré par le Linky et la domotique. Le CPL n’est pas arrêté par les compteurs électriques. Ces fréquences interfèrent aussi avec notre fonctionnement biologique. Certaines sont même utilisées en thérapie. La différence entre les fréquences parasites sur nos lignes électriques et la thérapie est le mode opératoire. Les fréquences parasites sont diffusées de façon arbitraire et en quasi continu. En thérapie, la fréquence et sa modulation sont choisies avec soin et appliquées sur une durée limitée. Une dose trop élevée est néfaste.

Si dans mes cours j’explique pourquoi et comment les différents types d’ondes interagissent avec le vivant et l’humain en particulier, les thérapeutes n’ont pas attendu de le savoir pour les utiliser.
Comme pour les plantes médicinales, ils ont utilisé leur intuition et la méthode essai – réussite – erreur pour établir leurs protocoles.

Effectivement il y a plusieurs appareils de soin disponibles sur le marché, sur quels critères se baser pour faire le bon choix ?

Il existe actuellement sur le marché pléthore de machines qui ont toutes des spécificités différentes voire des machines qui ont toutes les spécificités possibles pour être sûr de couvrir tous les besoins et choix des clients.

1 – Des machines utilisent les champs magnétiques, fixes ou pulsés, les micro-courants, continus ou pulsés ou les ondes électromagnétiques mono-fréquence ou pulsées.
2 – D’autres machines mettent en avant « les ondes scalaires », mot mystérieux qui en « jette ». Le mot vient de traductions erronées du russe. Il faudrait parler d’ondes de torsion, qui est un type d’onde différent des ondes électromagnétiques usuelles, liées à une ou des configurations particulières d’états de spins électroniques.

Autant le fonctionnement des machines de type 1 est mis en évidence facilement, autant le fonctionnement des machines de type 2 est compliqué à constater. Actuellement, à en croire les constructeurs, chaque appareil peut fonctionner sur tous les modes existants ou presque. Toutefois, il existe encore des machines spécifiques, plus adaptées à un mode de fonctionnement qu’un autre. Pour bien utiliser tous ces appareils, il me semble nécessaire d’avoir une bonne connaissance de la physiologie et de connaître l’effet des différentes ondes sur le corps, et ce qu’on peut en attendre. Le vrai problème est de trouver les bonnes références ! Il existe des bases de données d’origines diverses, où des fréquences thérapeutiques sont données. Toutefois il y a peu d’études où tous les paramètres des soins sont donnés, et avec tous les résultats, bons et moins bons. La quasi-totalité des utilisateurs (soignants) qui publient ne donnent leurs observations que sur les cas positifs et on n’a aucune idée des taux d’échec. Il reste difficile d’évaluer a priori les chances de succès d’un soin.

Et si on parlait des appareils qui fonctionnent de façon très ciblée, en mesurant le degré de cohérence / décohérence des fonctions vitales d’un patient ?

Lakhovsky disait que les cellules avaient une fréquence propre sur laquelle elles oscillaient et que, quand elles étaient décalées de cette fréquence, leur fonctionnement variait de légèrement à totalement défectueux. Dire que les cellules ont une fréquence propre signifie que tous les organites à l’intérieur de la cellule sont en cohérence de phase avec cette fréquence. Tous les systèmes intérieurs de la cellule fonctionnent en harmonie, en phase. C’est comme dans un orchestre, quand il y a un chef d’orchestre qui donne le rythme, et que tous les musiciens sont en cohérence de phase pour générer une harmonie. C’est un peu ce qui va se passer dans la cellule. Dans le cas contraire, la dysharmonie engendre un dysfonctionnement.

Comment recadrer des cellules en décohérence ? L’hypothèse est : lorsqu’une cellule n’est plus complètement en cohérence de phase, il va y avoir des organites dans la cellule qui ne vont pas tout à fait être en phase, sans être toutefois trop décalés sinon cela ne fonctionnerait plus du tout. On envoie une onde proche de la cohérence de phase de la cellule en question, ou un pulse qui est équivalent à plusieurs ondes, de phase et de fréquence très proches. Les cellules vont capter la fréquence qui leur est propre (comme une antenne) et vont se ré-harmoniser sur cette fréquence. De façon pratique, l’appareil envoie un pulse, puis est censé recapturer ce qui est réfléchi ou réémis par le corps. L’appareil considère que la fréquence absorbée est la fréquence de cohérence qu’il indiquera au thérapeute. Le soin consistera à envoyer cette fréquence qui a été mesurée sur la personne, ou à envoyer un pulse qui contient les fréquences possiblement valables pour ré-harmoniser le corps. Ce principe est théorique et hypothétique. La capacité des appareils à le faire demande une vérification.

Une dernière question importante : comment s’assurer qu’il n’y a pas d’effets délétères toxiques avec les techniques utilisées ?

En vérifiant les effets secondaires liés à la technique, si la personne se sent mal ou bien. C’est comme pour un médicament chimique, ce n’est pas parce qu’il s’agit d’ondes que c’est inoffensif. La toxicité des ondes provient d’un excès, ou de l’envoi de fréquences non adaptées qui entrave un processus biologique. Actuellement beaucoup de personnes deviennent électro-sensibles à cause du développement fabuleux de la téléphonie.

Dans le domaine des ondes radios et des micro-ondes en 1940, le bruit ambiant était d’un certain niveau. Actuellement le niveau est de l’ordre de 1021 fois plus élevé, le tout en 80 ans.

Il était seulement de 1018 plus élevé en 2016 et on a pris un facteur 1 000 à cause de la 4G et de la 5G. Où va-t-on s’arrêter ? Il est clair que nous nous adaptons mais avec des défaillances biologiques qu’on attribue à divers facteurs, en particulier au vieillissement de la population. Toutefois, on s’aperçoit que les jeunes (0-40 ans) actuellement sont bien plus malades que leurs parents, grands-parents et arrières grands-parents ne l’étaient au même âge.

Sylvie Henry-Réant
Décembre 2024

Depuis la nuit des temps, des ondes pour soigner Lire la suite »

Impact des vaccins COVID-19 sur le cerveau

Source : Le Point Critique

Une série d’études récentes alerte sur le lien entre les vaccins COVID-19 et l’apparition de troubles neurologiques ou psychiatriques peu de temps après une vaccination. Les mécanismes susceptibles d’expliquer ces atteintes ne sont pas formellement élucidées, mais les rapports d’évaluation de Pfizer et de Moderna indiquaient tous les deux que le vaccin pénètre dans le cerveau.

En octobre 2023, une étude de cohorte italienne[1] a révélé qu’une personne vaccinée sur trois (31,2 %) avait subi des complications neurologiques, la plupart du temps bénignes et transitoires, au cours des six mois suivant la vaccination. On dispose aujourd’hui d’une série de nouvelles études, qui alertent sur le risque de complications neurologiques graves associées aux vaccins anti-COVID.

Dans cet article, nous recensons les dernières études concernant l’impact des injections sur le cerveau, ainsi que certaines publications plus anciennes dont les résultats sont connus depuis plus de deux ans. À ce jour, la base React 19 en recense 625.

Nouvelles études parues en 2023-2024

Le Journal de l’Association médicale canadiennealertait en 2022 sur un nombre croissant de patients présentent des troubles neurologiques fonctionnels (TNF) après la vaccination contre le SRAS-CoV-2[2], affectant la motricité, les fonctions sensitives ou sensorielles. Les dernières études confirment que les injections peuvent initier ou exacerber des processus auto-immuns, provoquer des altérations des systèmes de contrôle inflammatoires ou des conditions pro-inflammatoires, et induire un large spectre de symptômes neurologiques ou psychiatriques.

Troubles neurologiques débilitants

Une étude internationale (Garcia-Dominguez et al.)[3] publiée en juillet 2024 (preprint) a analysé le rôle potentiel des vaccins dans l’apparition de trois troubles neurologiques débilitants : l’encéphalite auto-immune (AE), le trouble du spectre de la neuromyélite optique (NMOSD) et la maladie associée aux anticorps anti-MOG (MOGAD).

Résultats : La vaccination était impliquée dans 26,3 % des NMOSD, 52,4 % des AE et 85,7 % des MOGAD recensés dans la base du VAERS depuis sa création (1990), mais la plupart de ces cas sont survenus secondairement au vaccin contre le SRAS-CoV-2.

Épilepsie

Une méta-analyse italienne (Dasara et al.)[4] publiée en juillet 2024 a recensé l’ensemble des études concernant l’apparition d’un statut de mal épileptique (SE) chez les personnes vaccinées contre le COVID-19. Les auteurs présentent deux cas d’état de SE réfractaire survenus après une injection Pfizer.

Résultats : L’un des patients a nécessité 150 jours d’hospitalisation, le second est décédé de complications infectieuses après 90 jours d’hospitalisation. Sept autres cas ont été recensés dans la littérature, 4 après une injection Moderna, 2 après une injection Pfizer, 1 après une injection AstraZeneca. Le délai moyen d’apparition des symptômes était de 4,5 jours. Les auteurs concluent que l’EDM est une complication rare mais sévère de la vaccination anti-COVID.

Maladie d’Alzheimer

Une étude sud-coréenne (Roh et al.)[5] publiée en mai 2024 a analysé l’évolution de l’état neurologique des personnes vaccinées (519 330) vs non-vaccinées (38 687) sur une période de trois mois.

Résultats : L’incidence de la maladie d’Alzheimer et des démences légères a augmenté de façon significative chez les personnes vaccinées, en particulier celles ayant reçu des vaccins à ARNm. Trois mois après une injection ARNm, la hausse est de :

  • + 23 % de maladies d’Alzheimer
  • + 140 % de démences légères

Les démences légères étant un stade précoce de la maladie d’Alzheimer, qui est associée à une espérance de vie moyenne de 8 à 12 ans, ce deuxième résultat est considéré comme dramatique par les scientifiques.

Troubles psychiatriques

Une étude sud-coréenne (Kim et al.)[6] publiée en juin 2024 a évalué l’impact de la vaccination anti-COVID sur 10 troubles psychiatriques. La cohorte représente 50 % de la population de Séoul (4 348 412 personnes).

Résultats : L’incidence cumulée de dépression, d’anxiété, de troubles dissociatifs, liés au stress et somatoformes, de troubles du sommeil et de troubles sexuels était plus élevée dans le groupe vacciné, trois mois après la vaccination.

  • Dépression : + 68 %
  • Anxiété, dissociative, stress, troubles du sommeil : + 44 %
  • Troubles du sommeil : + 93 %
  • Troubles sexuels : 556 %

Psychoses

Une revue systématique lettonienne (Lazareva et al.)[7] publiée en avril 2024 a recensé l’ensemble des rapports de cas sur l’apparition d’une psychose suite à la vaccination contre le COVID-19.

Résultats : Les femmes étaient impliquées dans 54 % des cas, avec un âge moyen de 34 ans et un délai moyen d’apparition des symptômes de 6 jours. Le délai moyen d’apparition des symptômes était de 6 jours, avec une durée moyenne de 52 jours, mais 50 % des patients n’ont obtenu un rétablissement complet.

Maladies à prions

Une étude indienne (Begum et al.)[8] publiée en juillet 2024 relate un cas d’apparition tardive de la maladie de Creutzfeldt-Jakob chez un homme de 83 ans à la suite d’une infection COVID-19. Le patient a développé les premiers symptômes un an après l’infection, il est décédé sept mois plus tard d’un choc septique et d’une défaillance respiratoire.

Résultats : Le mécanisme n’est pas discuté dans l’étude, mais selon le chercheur Walter Chesnut[9], ce cas confirme que la protéine Spike du SARS-CoV-2, peut induire une maladie à prions. Il suggère plus spécifiquement que les protéines contaminées par la protéine Spike deviennent des prions.

Nous envisageons presque certainement une toute nouvelle forme de maladie à prions. Une maladie neurodégénérative traditionnelle qui ne se limite pas à la maladie neurodégénérative. Cette nouvelle version attaque plusieurs protéines, plusieurs organes. Nous avons besoin de biopsies et d’autopsies pour déterminer dans quelle mesure, le cas échéant, cela se produit. Ma crainte est qu’il y ait une vague silencieuse de construction de la maladie à prions qui nous attrapera (pour certains) par surprise.Chesnut W. The Spike protein and systemic prion disease: RBD Prion-Like domain/mitochondrial interactions induce a novel form. 2024 Jul 22. https://wmcresearch.substack.com/p/the-spike-protein-and-systemic-prion.

Le statut vaccinal du patient n’est pas évoqué, contrairement à celui dont le cas a été relaté dans une étude italienne en mars 2024[10]. L’étude décrit le cas d’une patiente de 51 ans ayant développé une forme génétique de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) après une infection COVID. La patiente avait contracté le COVID deux mois auparavant et avait reçu une dose de vaccin Pfizer six mois plus tôt. Elle est décédée deux mois plus tard.

Retard de développement et autisme*

Une étude turque (Erdogan et al.)[11] publiée en janvier 2024 a évalué les implications potentielles des vaccins ARNm (en l’occurrence Pfizer) chez des femelles rats enceinte et leur progéniture sur trois critères : les comportements de type autiste, le développement neuronal et les performances motrices.

Résultats : Trois résultats alarmants se dégagent de l’étude.

  • Les rats mâles ont présenté des comportements de type autisme prononcé, caractérisés par une réduction marquée de l’interaction sociale et des schémas de comportement répétitifs.
  • Il y a eu une diminution substantielle du nombre neuronal dans les régions critiques du cerveau, indiquant une neurodégénérescence potentielle ou un neurodéveloppement altéré.
  • Les rats mâles ont démontré une altération des performances motrices, mises en évidence par une réduction de la coordination et de l’agilité.

Les auteurs concluent :

Nos résultats révèlent que le vaccin ARNm BNT162b2 (Pfizer) modifie significativement l’expression génique du WNT et les taux de BDNF chez les rats mâles et femelles, avec des effets particulièrement prononcés observés chez les mâles. Ces résultats suggèrent un impact profond du vaccin sur les principales voies du développement neurologique.
Ils soulignent l’importance de la poursuite de la recherche dans ce domaine pour garantir la sécurité et le bien-être de toutes les personnes, en particulier celles qui sont enceintes et leur progéniture.

Caillots cérébraux*

Une étude américaine (Ryu et al.)[12] publiée en août 2024 a étudié les mécanismes sous-jacents aux thromboses et aux symptômes neurologiques mettant en jeu le pronostic vital chez les patients atteints de COVID longs.

Résultats : La fibrine, composante clé des caillots sanguins, pulmonaires ou cérébraux, se lie à la protéine Spike du SRAS-CoV-2, formant des caillots sanguins pro-inflammatoires qui entraînent une thromboinflammation systémique, une neuropathologie et une perte neuronale. Ce mécanisme est impliqué dans les COVID longs mais également les cancers, par destruction des cellules NK (natural killers). Les auteurs ne pensent pas que cette découverte remette en cause la sécurité des vaccins ARNm qui produiraient selon eux « de petites quantités de protéine Spike qui s’accumulent localement et dans les ganglions drainants, où la réponse immunitaire est initiée et la protéine est éliminée ». Cet optimisme est contreduit par les études de biodistribution et par la découverte de quantités astronomiques de quantités Spike chez de nombreux vaccinés, à distance de plusieurs mois d’une injection.

NB. Le manuscrit a été reçu le 13 février 2023 par l’éditeur. Pourquoi une telle rétention ?

Décès dus à des maladies neurologiques chez les jeunes adultes

Une étude portugaise (Alegria et al.)[13] publiée en preprint en juin 2024 a analysé l’évolution des décès par tranche d’âge, recensés par le CDC entre 2000 et 2023 et impliquant une maladie neurologique.

Résultats : Les décès excessifs impliquant une maladie neurologique se sont produits pour la plupart des groupes d’âge. L’effet le plus fort a été observé chez les 15-44 ans :

  • 2020 : + 4,4 % (cause sous-jacente) et + 11,2 % (causes multiples)
  • 2021 : + 10,0 % et 20,6 %
  • 2022 : + 9,9 % et 14,7 %
  • 2023 : + 8,1 % et 7,1 %

Les chercheurs précisent : « Les résultats indiquent qu’à partir de 2020, un nouveau phénomène conduisant à une augmentation des décès neurologiques semble être particulièrement présent chez les personnes âgées de 15 à 44 ans. »

Effets secondaires neurologiques déjà documentés

Les études présentées ici ne représentent qu’un petit échantillon des publications disponibles aujourd’hui.

Ce qu’on savait en octobre 2021 lorsque l’obligation vaccinale est entrée en vigueur

Une revue de la littérature indienne parue en octobre 2021 (Garg et al.)[14] a recensé 147 études.

Résultats : Les complications neurologiques rapportées après la vaccination anti-COVID augmentent de manière continue depuis le déploiement des injections. Les plus « dévastatrices » sont la thrombose veineuse cérébrale et les sinus veineux cérébraux chez les femmes en âge de procréer.

Autres complications neurologiques majeures :

  • la paralysie de Bell principalement après les vaccins ARNm ;
  • la myélorite transverse aiguë ;
  • l’encéphalomyélite disséminée aiguë ;
  • la polyneuropathie démyélicanisante aiguë ;
  • la réactivation du zona de l’herpès, fréquente après un vaccin ARNm.
Complications neurologiques des vaccins COVID (d'après Garg et al.)
Complications neurologiques des vaccins COVID (d’après Garg et al.)

Ce qu’on savait en décembre 2022, lorsque la HAS a recommandé la vaccination à partir de 6 mois[15]

  • Une revue de la littérature conduite par des chercheurs américains et iraniens (Mohseni Afshar et al.)[16] recensait 249 études en novembre 2022. Les événements indésirables (EI) neurologiques susceptibles d’être exacerbés ou induits par la vaccination anti-COVID incluent des maladies neuro-immunologiques telles que la myasthénie grave (MG) et le syndrome de Guillain-Barré (SGB), les crises d’épilepsie, la réactivation du virus varicelle-zona, les accidents vasculaires cérébraux, la paralysie de Bell, la myélite transverse (MT) et l’encéphalomyélite aiguë disséminée (EADM). Les auteurs mettent en garde :

Tout symptôme neurologique après la vaccination contre la COVID-19 peut être potentiellement critique et doit être évalué avec prudence.

  • Une seconde revue de la littérature réalisée par deux chercheurs indiens (Chatterjee et al.)[17]recense les complications neurologiques documentées à l’issue de 18 mois de vaccination en distinguant les atteintes du système nerveux central (SNC) et du système nerveux périphérique (SNP). Les auteurs précisent :

La précipitation de nouvelles lésions cérébrales démyélinisantes […] et l’aggravation de troubles neurologiques préexistants (comme l’épilepsie, la sclérose en plaques) sont très préoccupantes, bien que aucune preuve concluante impliquant les vaccins n’est disponible dès à présent. […] La sécurité, au moins des vaccins à ARNm, est toujours discutée pour les patients atteints de sclérose en plaques rémittente active, NMOSD et MOGAD. Il est recommandé aux patients présentant des symptômes neurologiques aigus de consulter un médecin, en particulier avant la vaccination.

Commentaire : Selon le Pr Josef Finsterer[18], cette étude omet plusieurs événements graves. La figure ci-dessous est issue de l’étude de Chatterjee et al. complétée par celle de Finsterer(**).

Complications neuroleptiques par système nerveux (d'après Chatterjee et al.)
Complications neuroleptiques par système nerveux (d’après Chatterjee et al.)

État des connaissances acquises en février 2023

Une revue de la littérature iranienne (Hosseini et al.)[19] publiée en février 2023 établit le profl neurologique des vaccins, sur la base d’un recensement de 147 études.

Les complications le plus courantes sont les troubles cérébrovasculaires et les troubles démyélinisants, notamment la myélite transverse, la sclérose en plaques (SEP) inaugurale et la neuromyélite optique. Les auteurs précisent :

Les vaccins anti-COVID peuvent parfois avoir des effets secondaires graves sur le système nerveux, y compris le cerveau, la moelle épinière, les nerfs crâniens et les nerfs périphériques. Ces effets sont souvent aigus et transitoires, mais ils peuvent être sévères et même fatals dans quelques cas.

Profil neurologique des vaccins anti-COVID (d’après Hosseini et al.)
Profil neurologique des vaccins anti-COVID (d’après Hosseini et al.)

La maladie de Creutzfeldt-Jakob doit-elle être ajoutée à cette liste ?

Le tout premier article du Point critique, paru en février 2022, concernait de Mauricette Doyer, décédée quelques mois plus tard d’une maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) qu’elle avait déclarée quinze jours après sa 2e dose de vaccin Pfizer. D’autres cas similaires ont été décrits depuis après une vaccination anti-COVID[20]. Nous posions cette question, en nous basant sur un faisceau d’études et sur l’émergence d’un signal au Nouveau-Brunswick (Canada) où un cluster de maladies neurodégénératives de type MCJ avait été signalé : Maladie de Creutzfeldt-Jakob postvaccinale, une épidémie dans l’épidémie ?

Le lien entre la maladie de Maurciette et la vaccination a été jugé plausible par la justice mais les autorités sanitaires, que ce soit en France et au Canada, ne sont pas curieuses de savoir si cette maladie à déclaration obligatoire pourrait avoir été inoculée à des millions de citoyens : des échanges de mails montrent que l’enquête canadienne a été étouffée, et Olivier Véran n’a jamais répondu à l’alerte du Pr Montagnier qui aurait dû pourtant déclencher une suspension a minima temporaire de la vaccination pour s’assurer qu’elle ne mettait pas en danger la population.

Les preuves d’un lien possible entre la maladie de Creutzfeldt-Jakob et les injections anti-COVID se sont multipliées depuis deux ans, mais l’alerte a été donnée dès 2021 par plusieurs scientifiques[21],[22],[23],[24] suite à la découverte de séquences de type « prions » dans le virus du SARS-CoV-2 et la confirmation que la protéine Spike peut franchir la barrière hématoencéphalique et pénétrer dans le cerveau[25],[26],[27]. D’autres mécanismes susceptibles d’induire une MCJ ont été découverts en 2021-2023[28][29],[30],[31],[32],[33] : induction du mauvais repliement de nombreuses protéines, formation d’agrégats amyloïdes, accumulation de la protéine Spike dans la rate…

Ces données ont été consolidées en 2023 dans une revue de la littérature[34], qui analyse le rôle potentiel de la protéine Spike dans les maladies neurodégénératives, dont la MCJ. Les inquiétudes suscitées par cette étude ont été renforcées par la publication d’une étude[35] qui démontre que la technologie ARNm utilisée dans les injections génère des erreurs de traduction (décalage du cadre ribosomique), se traduisant par la production de protéines errantes ou inconnues autre que la protéine Spike.

De manière plus anecdotique, des chercheurs ont lancé un appel à témoins concernant la survenue de symptômes neurologiques débilitants chez des personnes vaccinées. Ils ont recueilli 60 cas sur un échantillon de 15 000 visites, ce qui représente une fréquence de 1 cas sur 66, alors que la maladie est réputée toucher touche 1 personne sur 1000000.

Selon le Dr Chesnut, on peut également s’inquiéter de l’affinité entre de nombreuses complications des injections avec la maladie à prions (cardiomyopathie, diabète de type 2, caillots…) et, inversement, de l’implication potentielle des prions dans les complications neurologiques des COVID longs. Il cite notamment une étude tchèque de 2023[36] dont la conclusion est particulièrement inquiétante :

Ensemble, nous supposons, en partie, le COVID prolongé peut impliquer l’induction d’une émergence spontanée du prion, en particulier chez les individus susceptibles d’être à son origine, ce qui peut expliquer certaines de ses manesfestestions virales après une infection virale aiguë.

Conclusion

À ce jour, en France, les seuls signaux de sécurité confirmés des vaccins ARNm COVID-19 sont l’hypertension artérielle, la myocardite/péricardite et les saignements menstruels importants (Pfizer et Moderna) ainsi que l’apparition d’un érythème polymorphe et d’une réaction au site d’injection (Moderna). Trois complications neurologiques sont toujours sous surveillance pour le vaccin Pfizer (thrombose veineuse cérébrale, méningo-encéphalite zostérienne, syndrome de Guillain-Barré), deux pour le vaccin Moderna (perte de connaissance et syndrome de Parsonage Turner), mais l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), en charge de la pharmacovigilance, a cessé de publier les données depuis un. Son dernier rapport remonte au 28 août 2023, on suppose donc qu’elle n’a pas pu établir de lien avec le vaccin.

Cette mini-revue de la littérature suggère pourtant que les preuves sont pléthoriques. On dispose aujourd’hui d’une série d’études démontrant que le vaccin traverse la barrière hématoencéphalique, ce qui peut expliquer un grand nombre des complications neurologiques observées, mais l’Agence européenne des médicaments le savait au moment où les vaccins Pfizer et Moderna. Ses rapports d’évaluation[37],[38]. le mentionnent explicitement :

De faibles niveaux d’ARNm ont pu être détectés dans tous les tissus examinés à l’exception du rein. Cela comprenait le cœur, les poumons, les testicules et également les tissus cérébraux, indiquant que la plate-forme ARNm/LNP traversait la barrière hématoencéphalique, bien qu’à des niveaux très bas (2 à 4 % du niveau plasmatique).Rapport d’évaluation Moderna, p. 47. https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/spikevax-previously-covid-19-vaccine-moderna-epar-public-assessment-report_en.pdf

Plusieurs rapports de la littérature indiquent que les ARN formulés par LNP peuvent distribuer de manière plutôt non spécifique à plusieurs organes tels que la rate, le cœur, les reins, les poumons et le cerveau.Rapport d’évaluation Pfizer, p. 54. https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf#page=54

D’autres éléments suggèrent que le concepteur du vaccin Pfizer était conscient des effets délétères qu’il aurait sur le cerveau.

Que faut-il en conclure ? Ceux qui n’ont pas encore trouvé la réponse à cette question seraient avisés de se dépêcher. La prochaine pandémie est déjà là, les vaccins aussi, mais cette fois les choses sont plus claires : les fabricants ont déjà admis que l’efficacité n’avait pas été évaluée chez l’homme et on connaît déjà le nom de certains effets secondaires graves.

* Article mis à jour le 31 août 2024.


Références

[1] Salsone M, Signorelli C, Oldani A, Alberti VF, Castronovo V, Mazzitelli S, et al. NEURO-COVAX: An Italian population-based study of neurological complications after COVID-19 vaccinations. Vaccines (Basel). 2023 Oct 21;11(10):1621. https://doi.org/10.3390/vaccines11101621.

[2] Zhu A, Burke MJ.Functional neurologic disorder associated with SARS-CoV-2 vaccination. CMAJ. 2022 Aug 15;194(31):E1086-E1088. https://doi.org/10.1503/cmaj.220039.

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[38] European Medicines Agency. Committee for Medicinal Products for Human Use (CHMP) Assessment report. COVID-19 Vaccine Moderna. Common name: COVID-19 mRNA Vaccine (nucleoside-modified) Procedure. No. EMEA/H/C/005791/0000. 2021 Mar 11. P. 47. https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/covid-19-vaccine-moderna-epar-public-assessment-report_en.pdf.

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Le système de santé de Singapour est-il confronté à une crise ? L’oncologue le plus expérimenté de Singapour tire la sonette d’alarme

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« Mes collègues signalent une augmentation des cancers du sang, des leucémies, des rechutes, ainsi que des cancers du côlon et du sein. »

Pendant de nombreuses années, Singapour a prospéré sous la direction exceptionnelle de notre père fondateur, le Premier ministre Lee Kuan Yew, et de son équipe visionnaire. Je faisais partie de ceux qui sont retournés à Singapour en mars 1975, contribuant ainsi à sa gouvernance draconienne mais bienveillante.

Cependant, nous constatons aujourd’hui des tensions alarmantes sur notre système de santé.

En 2020, Temasek, la société d’investissement gouvernementale de Singapour, a investi 330 millions de dollars singapouriens (250 millions de dollars américains) dans la société de biotechnologie allemande BioNTech, qui développait un vaccin expérimental contre le coronavirus en partenariat avec le géant pharmaceutique Pfizer.

Que sont exactement ces vaccins à ARNm ?

En tant que consultant de l’OMS, j’ai supervisé la fabrication et l’utilisation de nouveaux vaccins contre l’hépatite B à Singapour. Ces technologies d’ARNm ont été initialement utilisées pour des thérapies ciblées contre le cancer et n’ont pas été conçues à l’origine pour une vaccination de masse.

Le vaccin à ARNm de Pfizer provient de la partie spiculaire du virus SARS-CoV-2, qui possède un brevet de l’USCDC remontant au 2 mai 2004. L’ajout d’une glycoprotéine du VIH a été controversée, soulevant des soupçons quant à ses implications.

En 2021, la vaccination obligatoire avec le vaccin Pfizer a commencé et tous les employés ont dû s’y conformer sous peine de licenciement. Depuis lors, j’ai tragiquement perdu 34 membres de mon personnel médical supérieur, dont ma tante et mon frère estimés. Ma tante a été infectée par un membre du personnel qui avait été vacciné avec Pfizer, ce qui a entraîné sa mort. Mon frère, âgé de 86 ans, qui a reçu le vaccin Moderna en 2021 suivi de deux doses de Pfizer, a succombé à la COVID-19. Durant cette période, le variant Delta, une souche à pointes ciblées, était répandu.

En 2023, Singapour avait atteint un taux de vaccination de 95 % avec Pfizer. Cependant, cela a coïncidé avec une tendance inquiétante au déclin de la population, caractérisée par une augmentation des taux de mortalité et une diminution des taux de natalité au sein de la population hautement vaccinée.

La perte de personnel de santé de première ligne en raison des infections au COVID-19 dans les hôpitaux publics et à l’aéroport de Changi a mis à rude épreuve l’infrastructure de santé. Cela a conduit à des services d’urgence et à des cliniques de médecins généralistes débordés. Pour combler le déficit, 400 médecins ont dû être importés. Malgré des efforts de vaccination généralisés dans les zones de logement, les inquiétudes concernant les vaccins à ARNm ont persisté. Les médecins qui ont exprimé ces inquiétudes ont été suspendus pour avoir prétendument diffusé de fausses informations.

Les décès ont-ils cessé ? Malheureusement non. Malgré la suppression de la loi sur les coroners en mai 2023[ source ], qui a interrompu les enquêtes sur les décès liés aux médicaments , les taux de mortalité annuels et les cas de cancer ont continué d’augmenter.

Mes collègues signalent une augmentation des cancers du sang, des leucémies, des rechutes, ainsi que des cancers du côlon et du sein.

Des collègues seniors prennent leur retraite ou réduisent leur activité pour répondre aux besoins des patients existants, tandis que de nombreux médecins quittent le secteur public. Le secteur privé compte désormais de plus en plus sur des médecins plus jeunes pour les remplacer.

Assistons-nous à l’effondrement de notre système de santé en raison de la perte de personnel due au COVID-19 et des inquiétudes concernant la sécurité des vaccins à ARNm ? Cette question reste cruciale pour la future politique de santé et la résilience du système de Singapour.

– Professeur Gabriel Oon, 8 novembre 2024

Le professeur Gabriel Oon , est connu comme l’oncologue le plus expérimenté de Singapour. Son travail a non seulement modifié le traitement du cancer à Singapour, mais a également influencé les pratiques mondiales. Le professeur Gabriel a joué un rôle clé dans la lutte contre le cancer du foie à Singapour lorsqu’il s’agissait d’un problème de santé majeur. En tant que président fondateur de la Société d’oncologie de Singapour (SSO ) et de la Société d’immunologie et de rhumatologie de Singapour (SSIR), ainsi que secrétaire général de l’Association Asie-Pacifique pour l’étude du foie (APASL) , le professeur Oon a amélioré la médecine collaboration et pratiques à Singapour.
Avant que quiconque dans la communauté médicale « établie » ne qualifie le professeur Gabriel Oon d’« antivaxxer », il est important de souligner qu’il a joué un rôle clé dans le développement du vaccin contre l’hépatite B. Son travail de pionnier a joué un rôle déterminant dans la lutte contre l’hépatite B et le cancer du foie. Dans les années 1970, l’hépatite B était très répandue à Singapour, avec un taux de 9,1 % parmi les donneurs de sang volontaires en 1975 .
Son travail avec l’Organisation mondiale de la santé a contribué à faire de Singapour le premier pays à déployer un programme national de vaccination contre l’hépatite B , entraînant une baisse significative des taux de cancer du foie et des cas d’hépatite B. Mondialement reconnu, le professeur Oon a collaboré avec le professeur Baruch Blumberg, lauréat du prix Nobel , découvreur de l’hépatite B, pour améliorer nos connaissances sur les infections par l’hépatite et le cancer du foie.

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Les inconvénients immunologiques associés à la traduction puissante de l’ARNm du vaccin actuel contre la COVID-19 peuvent être surmontés par des vaccins muqueux

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Par Maurizio Federico

Centre national pour la santé mondiale, Istituto Superiore di Sanità, 00161 Rome, Italie

Vaccins 2024 , 12 (11), 1281 ; https://doi.org/10.3390/vaccines12111281

Soumission reçue : 11 octobre 2024 / Révisé : 11 novembre 2024 / Accepté : 13 novembre 2024 / Publié : 14 novembre 2024

(Cet article appartient au numéro spécial Efficacité, immunogénicité et sécurité des vaccins contre la COVID-19 et Stratégies de vaccination contre la COVID-19 )
Abstrait

L’action des vaccins à base d’ARNm nécessite l’expression de l’antigène dans des cellules ciblées par des complexes lipidiques nanoparticules-ARNm. Lorsque l’antigène vaccinal n’est pas entièrement retenu par les cellules productrices, sa diffusion locale et systémique peut avoir des conséquences dépendant à la fois des niveaux d’expression de l’antigène et de son activité biologique. Une particularité des vaccins COVID-19 à base d’ARNm réside dans les quantités extraordinairement élevées d’antigène Spike exprimées par les cellules cibles. De plus, le vaccin Spike peut être excrété et se lier aux récepteurs cellulaires ACE-2, induisant ainsi des réponses d’importance pathogénétique, notamment la libération de facteurs solubles qui, à leur tour, peuvent déréguler des processus immunologiques clés. De plus, les réponses immunitaires circulatoires déclenchées par le vaccin Spike sont assez puissantes et peuvent conduire à une liaison croisée efficace des anticorps anti-Spike, ainsi qu’à l’émergence d’anticorps à la fois auto- et anti-idiotypes. Dans cet article, les inconvénients immunologiques de la forte efficacité de la traduction de l’ARNm associé aux vaccins contre la COVID-19 sont discutés ainsi que les arguments soutenant l’idée que la plupart d’entre eux peuvent être évités avec l’avènement des vaccins muqueux contre la COVID-19 de nouvelle génération. 19 vaccins.

Mots-clés :

Vaccins à ARNm contre la COVID-19  ; Pointe du SRAS-CoV-2  ; vaccins muqueux ; ACE-2  ; auto-immunité

1. Introduction

Les vaccins à base d’ARNm contre la COVID-19 ont été distribués à de nombreuses personnes dans leurs versions originales et actuelles mises à jour. En outre, la technologie de l’ARNm constitue la base de vaccins expérimentaux supplémentaires ainsi que de la dernière génération d’immunothérapies anticancéreuses. Il est donc obligatoire d’identifier, de surveiller et d’analyser en profondeur les événements inattendus les plus pertinents que cette technologie peut produire chez l’homme, même si ceux-ci se produisent rarement.

Plusieurs caractéristiques distinguent les vaccins contre la COVID-19 à base d’ARNm des vaccins « traditionnels » basés sur des virus atténués/inactivés, des produits de sous-unités ou des produits recombinants, qui ont été si utiles pour l’élimination/le confinement de plusieurs maladies infectieuses. Premièrement, la formulation du vaccin comprend des nanoparticules lipidiques (LNP) complexées avec des molécules d’ARNm produites par le processus de transcription in vitro. Deuxièmement, l’immunogène ne fait pas partie de la formulation du vaccin, mais il devrait être synthétisé par les cellules internalisant les complexes ARNm/LNP. Cette preuve justifie la définition plus appropriée du promédicament (conçu comme une substance pharmacologiquement inactive qui est convertie dans le corps en un médicament pharmacologiquement actif) plutôt que du vaccin [ 1 ]. Troisièmement, l’immunogène (c’est-à-dire la protéine virale Spike) est synthétisé par les cellules cibles à des niveaux très élevés et persiste dans le temps [ 2 ]. Quatrièmement, l’immunogène reconnaît, se lie et active un récepteur cellulaire de signalisation répandu, à savoir l’enzyme de conversion de l’angiotensine (ACE)-2, et est stabilisé dans sa conformation de préfusion par deux mutations consécutives en proline aux positions d’acides aminés 986 et 987. qui n’ont pas d’impact négatif sur la liaison/activation de l’ACE-2. Par conséquent, l’abondance, la diffusion, la persistance, l’activité biologique et la stabilité de l’immunogène sont des points clés distinguant les vaccins COVID-19 à base d’ARNm.

Dans cet article, les conséquences les plus pertinentes de la surproduction de l’antigène Spike après la vaccination contre le COVID-19 à base d’ARNm et de la réponse immunitaire circulatoire plutôt puissante évoquée sont discutées. Une image complète de toutes les préoccupations possibles serait d’une utilité majeure pour le développement de vaccins plus sûrs et plus ciblés contre le SRAS-CoV-2 et d’autres agents infectieux aéroportés. Parmi ceux-ci, les vaccins muqueux méritent une certaine attention compte tenu de leur action au point d’entrée du virus et de l’absence d’effets systémiques indésirables.

2. Niveaux élevés et persistants de pic de circulation après la vaccination

Les complexes ARNm/nanoparticules lipidiques (LNP) peuvent pénétrer dans n’importe quel type de cellule. L’injection dans le muscle deltoïde favorise leur entrée dans les cellules musculaires ; cependant, l’inflammation modérée induite par certains composants lipidiques [ 3 ] peut attirer des cellules professionnelles présentatrices d’antigène (APC) vers le site d’injection. Les APC peuvent ingérer les LNP, subir une activation et migrer vers les ganglions lymphatiques [ 4 ]. De plus, des quantités non quantifiables de complexes ARNm/LNP injectés échappent à l’internalisation cellulaire au site d’injection, entrant ainsi en circulation. De manière cohérente, les études de biodistribution réalisées par un fabricant de vaccins à ARNm COVID-19 ont mis en évidence la diffusion potentielle des LNP injectés par voie intramusculaire dans presque tous les tissus [ 5 ].

L’ARNm et le vaccin Spike persistent dans l’organisme longtemps après la vaccination. Une étude réalisée sur des échantillons autooptiques de patients après vaccination contre le COVID-19 a démontré la persistance de l’ARNm du vaccin dans les ganglions lymphatiques axillaires bilatéraux jusqu’à 30 jours après la vaccination [ 6 ]. Notamment, l’ARNm du vaccin a également été trouvé dans les ventricules cardiaques jusqu’à 20 jours après l’injection, et sa présence était corrélée à des lésions myocardiques associées à un nombre anormalement élevé de macrophages myocardiques. Dans une autre étude, l’ARNm du vaccin a été trouvé jusqu’à 60 jours après la deuxième dose dans des biopsies des ganglions lymphatiques axillaires homolatéraux [ 2 ].

Une partie du Spike exprimé de manière intracellulaire reste exposée sur la membrane plasmique des cellules cibles sous sa forme trimérique, tandis qu’une fraction cohérente de celui-ci peut être excrétée et circuler. En conséquence, une médiane de 47 pg/mL de Spike libre a été mesurée dans le plasma des vaccinés 1 à 2 jours après l’injection, avec des pics de 174 pg/mL [ 2 ]. Ces niveaux de Spike dans le plasma semblent étonnamment élevés, allant, par exemple, aux concentrations de cytokines inflammatoires détectées chez les sujets présentant une inflammation systémique aiguë [ 7 ]. Cette preuve est particulièrement pertinente compte tenu de la forte affinité de Spike pour ACE-2, c’est-à-dire un récepteur cellulaire répandu impliqué dans plusieurs processus physiologiques clés.

3. ACE-2 : Résumé des fonctions, de la distribution et de la signalisation lors de la liaison de pointes

ACE-2 est une protéine transmembranaire de type I longue de 805 acides aminés avec une région N-terminale extracellulaire glycosylée contenant le domaine carboxypeptidase dont la fonction consiste à éliminer les acides aminés uniques de l’extrémité C-terminale de ses substrats. ACE-2 est un régulateur clé du système rénine-angiotensine-aldostérone, qui contrôle la pression artérielle. Il catalyse la conversion de l’angiotensine I, un décapeptide, en angiotensine 1 à 9, qui peut être convertie en peptides d’angiotensine vasodilatateurs plus petits (par exemple, angiotensine 1 à 7) par l’ECA dans les poumons. L’ACE-2 se lie également à l’angiotensine II, c’est-à-dire un octapeptide généré par le clivage de l’angiotensine I piloté par l’ACE, pour produire l’angiotensine vasodilatatrice 1-7. ACE-2 est également impliqué dans la production de bradykinines, c’est-à-dire un groupe de peptides ayant de puissants effets vasodilatateurs [ 8 ].

ACE-2 est exprimé par une grande variété de cellules, notamment les entérocytes, les cardiomyocytes, les tubules rénaux, le système vasculaire et les cellules canalaires. À l’inverse, l’expression de l’ACE-2 dans les tissus respiratoires est limitée à un petit nombre de types de cellules spécialisées, c’est-à-dire les cellules alvéolaires de type II et les macrophages alvéolaires [ 9 ].

L’interaction entre l’ACE-2 et l’angiotensine II induit diverses voies de signalisation conduisant finalement à la libération de plusieurs cytokines, dont l’IL-6, le TNF-α et le TGF-β [ 10 ]. Notamment, les effets de l’interaction de l’ACE-2 avec Spike récapitulent ceux décrits pour sa liaison avec ses ligands naturels [ 11 ]. En particulier, dans les cellules endothéliales vasculaires, Spike naturel génère un bloc des fonctions mitochondriales [ 12 ]; pendant ce temps, la commutation de la signalisation dépendante de l’intégrine ⍺5β1 conduit à la translocation nucléaire de NF-κB. Ces événements induisent finalement l’expression de VCAM-1, ICAM-1, de facteurs de coagulation et la libération de cytokines inflammatoires TNFα, IL-1β et IL-6 [ 13 ]. Des mécanismes d’activation similaires ont été rapportés pour les macrophages et les cellules dendritiques [ 14 , 15 ]. Il est important de noter que Spike naturel induit dans les cellules épithéliales et endothéliales la libération de cytokine pléiotrope TGF-β [ 16 ].

4. L’axe SARS-CoV-2 Spike/ACE-2/TGF-β dans la surveillance immunitaire antitumorale et la transition épithéliale à mésenchymateuse

La liaison de Spike avec ACE-2 produit de profondes altérations de la signalisation intracellulaire avec l’activation de facteurs de transcription et la libération de plusieurs facteurs solubles. En particulier, il a été constaté que les cellules endothéliales vasculaires humaines traitées avec Spike libèrent à la fois du TGF-β1 et du TGF-β2 [ 17 ], ce qui est cohérent avec les précédentes preuves « in vivo » suggérant un rôle clé du TGF-β dans la pathogenèse du COVID-19 [ 18 , 19 ].

Le TGF-β, avec ses trois isoformes, c’est-à-dire -β1 à -β3, est un régulateur clé de la réponse immunitaire adaptative [ 20 ], agissant, par exemple, comme un inhibiteur de l’activité de présentation d’antigène dans les cellules dendritiques (DC) grâce à la régulation négative des molécules du complexe majeur d’histocompatibilité (CMH) [ 21 , 22 ] ( Figure 1 ). Il réduit également l’expression de l’IL-12 et des molécules co-stimulatrices telles que CD40 dans les macrophages et CD80, CD83 et CD86 dans les CD, dans le cadre des mécanismes de régulation de l’activation des cellules immunitaires médiées par APC [ 23 , 24 ].

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Graphique 1. Effets spectateurs de la liaison Spike/ACE-2. La protéine libre SARS-CoV-2 Spike se lie aux cellules exprimant l’ACE-2, induisant ainsi une signalisation intracellulaire, conduisant à la libération de facteurs solubles. Parmi ceux-ci, le TGF-β est connu pour réguler négativement l’activité de présentation de l’antigène dans les APC via une régulation négative du CMH de classe I/II. Le TGF-β est également un moteur majeur de la transition épithéliale-mésenchymateuse qui est à la base du développement des tumeurs solides et des métastases.

Le TGF-β peut également interférer avec les mécanismes de surveillance immunitaire contrôlant la croissance des cellules tumorales. Par exemple, le TGF-β peut induire la polarisation des macrophages de M1 (marquée par la libération de cytokines inflammatoires telles que l’IL-1β, l’IFN-γ, le TNF-α, l’IL-12 et l’IL-18) vers les macrophages M2, sécrétant cytokines anti-inflammatoires comme l’IL-1ra et l’IL-10, et caractérisées par de multiples propriétés immunosuppressives du microenvironnement tumoral [ 25 ]. D’autre part, le TGF-β est un moteur majeur de la transition épithéliale-mésenchymateuse (EMT) [ 26 ], qui est à la base du développement des tumeurs solides et des métastases. Dans ce scénario, les résultats cohérents des travaux expérimentaux de deux groupes de recherche ont soulevé l’hypothèse selon laquelle Spike naturel peut contribuer à l’EMT ( Figure 1 ). En détail, Lai et ses collègues ont fourni la preuve que la signalisation liée au TGF-β fait partie du mécanisme sous-jacent à l’acquisition d’un phénotype de type mésenchymateux de cellules cancéreuses du sein humaines exprimant Spike. Plus important encore, ils ont démontré que le nombre de métastases pulmonaires chez les souris inoculées avec des cellules cancéreuses du sein 4T1 exprimant Spike augmentait par rapport à celui induit par les cellules parentales. 27 , 28 ]. Ciszewski et ses collègues ont observé que le traitement avec Spike recombinant de type sauvage des cellules endothéliales humaines HUVEC et HMEC-1 induit la libération de TGF-β associée à la trans-différenciation cellulaire. En étudiant le mécanisme d’action sous-jacent, ils ont prouvé l’implication de l’axe ACE-2/TGF-β/MRTF (facteur de transcription lié à la myocarde)-β dans l’EMT observé. Enfin, la contribution du TGF-β dans l’EMT lié à Spike a été en outre corroborée par la démonstration que les cellules endothéliales humaines traitées par Spike n’ont pas réussi à se trans-différencier en présence d’anticorps anti-TGF-β [ 17 ].

Les résultats de ces études posent la question de savoir si Spike peut contribuer à l’EMT chez l’homme. Même si aucune donnée clinique décrivant les événements associés à ces réponses immunitaires pathologiques n’est disponible jusqu’à présent, les implications potentielles en termes de sécurité des vaccins contre la COVID-19 semblent également se manifester compte tenu des preuves selon lesquelles les ARNm/LNP peuvent pénétrer dans n’importe quel type de cellule. Par exemple, l’entrée malheureuse de complexes ARNm/LNP dans des cellules tumorales déjà émergées peut reproduire les conditions décrites par Lai et ses collègues, représentant ainsi un risque en termes de formation de métastases. D’un autre côté, des effets pathogénétiques de spectateur peuvent être induits par la production locale de fortes concentrations de Spike par des cellules normales ciblées par les ARNm/LNP et situées à proximité des cellules tumorales, comme décrit par Ciszewski et coll. Pour ces raisons, étendre les études à des systèmes cellulaires supplémentaires ainsi qu’à des modèles « in vivo » appropriés apparaît obligatoire compte tenu de la possibilité que des complexes ARNm/LNP circulent dans l’organisme après la vaccination.

5. Immunité non spécifique induite par le vaccin à ARNm COVID-19 : liaison croisée d’anticorps, autoanticorps, anticorps anti-idiotypes et changement de cadre ribosomal

Les niveaux élevés de vaccin Spike produits après l’injection sont associés à une réponse immunitaire circulatoire extraordinairement puissante, avec la production de titres élevés d’anticorps anti-Spike. D’une part, ce résultat est considéré comme un avantage en termes de protection antivirale ; d’un autre côté, cependant, une immunogénicité aussi puissante peut être associée à des effets indésirables pertinents apparaissant généralement en présence de stimuli antigéniques à la fois élevés et persistants. Ceux-ci incluent la liaison substantielle des anticorps anti-Spike réagissant de manière croisée avec les antigènes du « soi » avec l’induction de processus non physiologiques/pathogénétiques, l’émergence d’auto-anticorps et la génération d’anticorps anti-idiotypes. Ces événements ont été corrélés à l’émergence chez les vaccinées de pathologies comme la thrombocytopénie, la myocardite, divers troubles du cycle menstruel, la réémergence d’infections latentes et le syndrome vaccinal post-COVID (PCVS).

Les anticorps à réaction croisée se lient à des cibles hétérologues via le mécanisme du mimétisme moléculaire. Très probablement, des effets pathogénétiques peuvent se produire lorsque des quantités suffisantes d’entre eux se lient à des cibles moléculaires non spécifiques agissant dans des processus biologiques pertinents. Grâce à une analyse informatique du mimétisme moléculaire entre Spike et des épitopes humains connus, il a été rapporté que Spike partage des motifs linéaires immunogènes avec, entre autres, la thrombopoïétine (TQPLL) et la tropomyosine alpha-3 (ELDKY) [ 29 ]. Ces résultats semblent pertinents puisque le premier est un facteur de croissance clé nécessaire à la différenciation mégacaryocytaire et à la production de plaquettes, et le second est un composant structurel des cardiomyocytes. Dans une autre étude, il a été rapporté que Spike partage 41 déterminants immunitaires minimaux avec 27 protéines humaines spécifiques au système reproducteur féminin liées à l’ovogenèse, à la réceptivité utérine, à la décidualisation et à la placentation [ 30 ].

Des études cliniques ont fourni la preuve que l’injection de vaccins à ARNm contre la COVID-19 peut être associée à la production d’auto-anticorps, c’est-à-dire d’anticorps non anti-Spike reconnaissant les auto-antigènes, comme conséquence possible d’une dérégulation immunitaire générale. Par exemple, Xu et ses collègues [ 31 ] ont trouvé des anticorps neutralisants anti-interféron de type I chez 10 % des individus vaccinés en bonne santé, bien qu’avec une taille d’échantillon limitée. Dans une autre étude, 18 % des patients développant un PCVS produisent des auto-anticorps contre les sous-unités des neurofilaments [ 32 ]. Même si, dans certains cas, les auto-anticorps peuvent représenter des spectateurs innocents, il est encore difficile de savoir si la vaccination réactive l’auto-immunité latente préexistante ou induit la génération « de novo » d’auto-anticorps.

Le mimétisme moléculaire est également à la base des effets des anticorps anti-idiotypes ( Figure 2 ).

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Graphique 2. Génération d’anticorps anti-idiotypes après la vaccination contre le COVID-19. Le système immunitaire peut générer des anticorps contre les séquences d’anticorps anti-Spike reconnaissant le domaine Spike liant le récepteur ACE-2 (domaine de liaison au récepteur, RBD). Grâce à un mécanisme de mimétisme moléculaire, ces anticorps (anticorps anti-idiotypes) peuvent se lier à l’ACE-2 tout comme le Spike immunogène.

Dans le cas où l’immunogène est un antigène se liant à un partenaire moléculaire, le système immunitaire peut réagir contre les séquences au sein des anticorps anti-antigènes induits qui reconnaissent la région de l’antigène qui se lie à son partenaire, par exemple dans le cas de Spike, le domaine de liaison au récepteur (RBD). Dans des conditions physiologiques, ce mécanisme contribue au contrôle de la production d’anticorps spécifiques de l’antigène. Cependant, en présence de quantités excessives d’anticorps spécifiques de l’antigène, comme dans le cas de la vaccination anti-COVID-19 à base d’ARNm, l’hyperproduction d’anticorps anti-idiotype qui en résulte peut conduire à des effets imitant ceux induits par la liaison de Spike avec ACE-2 [ 33 ]. Bellucci et ses collègues ont récemment démontré les effets secondaires associés à la production d’anticorps anti-idiotype se liant à l’ACE-2. En particulier, ils ont signalé des complications cliniques neurologiques, notamment une radiculite, une myélite et un syndrome de Guillain-Barré, chez des sujets infectés et non infectés par le SRAS-CoV-2, ayant reçu une injection de vaccins contre la COVID-19 à base d’ARNm et développant des auto-anticorps anti-ACE-2. 34 ]. Malheureusement, les autoanticorps et les anticorps anti-idiotypes devraient persister au-delà de la durée de la réponse immunitaire anti-Spike.

La découverte récente selon laquelle l’incorporation de N1-méthyl-pseudouridine à la place du résidu naturel d’uridine dans le squelette de l’ARNm associé au vaccin peut induire un décalage de cadre ribosomal +1 a ajouté une autre couche de complexité en termes de réponse immunitaire induite par le vaccin. Il a été estimé qu’environ 8 % du total des produits traduits représentent des protéines inconnues immunogènes chez l’homme [ 35 ]. Le potentiel auto-immun des produits protéiques aberrants ainsi générés représente un point supplémentaire qui doit être étudié plus en profondeur.

6. Vaccins muqueux : une alternative potentiellement exempte d’effets secondaires systémiques

Le champ de bataille du COVID-19 est le système respiratoire, où le vaccin idéal contre le COVID-19 devrait développer sa force immunologique et antivirale la plus efficace. Les données cliniques rapportées concernant les vaccins COVID-19 actuels à base d’ARNm soutiennent l’idée selon laquelle la forte réponse immunitaire circulatoire est associée à une immunité antivirale dans les zones respiratoires qui est trop limitée [ 36 ].

De la même manière que ce qui a été démontré avec les infections naturelles [ 37 ], les vaccins muqueux ont le potentiel de susciter des réponses immunitaires efficaces dans le compartiment respiratoire grâce à l’induction à la fois d’IgA dimères/sécrétoires neutralisantes dans le district oronasopharyngé [ 38 ] et de CD8 de mémoire résidente antivirale. + Lymphocytes T dans les voies respiratoires inférieures [ 39 ]. Ainsi, des vaccins muqueux efficaces ont l’avantage incomparable de bloquer la chaîne de transmission du SRAS-CoV-2 ainsi que d’autres virus aéroportés.

À l’heure actuelle, deux vaccins muqueux COVID-19 ont été approuvés et d’autres sont en expérimentation clinique [ 40 ]. Il convient de noter qu’en aucun cas ces vaccins ne devraient induire de réponses immunitaires systémiques robustes comme celles observées avec les vaccins actuels contre la COVID-19. Cependant, une immunisation systémique sous-optimale/faible ne doit pas être considérée comme un inconvénient fonctionnellement pertinent compte tenu du compartimentage du système immunitaire respiratoire [ 41 ], qui limite l’accès des IgG neutralisantes et des cellules immunitaires antivirales du district circulatoire. À l’inverse, cela représente un avantage en termes de forte réduction/absence d’effets systémiques immunologiques induits par les vaccins COVID-19 à base d’ARNm injectés par voie parentérale, y compris la production d’anticorps anti-idiotypiques circulatoires indésirables.

7. Conclusions

Plusieurs éléments de preuve expérimentaux soutiennent l’idée selon laquelle la protéine Spike est produite en abondance et persiste après la vaccination par ARNm COVID-19. Cependant, les vaccins actuels contre la COVID-19 à base d’ARNm reconnaissent une série de limitations pertinentes, notamment le déclin rapide de la réponse immunitaire, l’incapacité de développer une réponse immunitaire efficace au point d’entrée du virus et l’efficacité réduite des formulations mises à jour en raison de la phénomène de péché antigénique originel [ 42 , 43 ]. D’un autre côté, une traduction puissante de l’ARNm associée à une surproduction de Spike peut conduire à une dérégulation de la signalisation ACE-2 et de la production de cytokines, à une réaction croisée des anticorps contre des cibles moléculaires non spécifiques, à l’émersion d’anticorps auto- et anti-idiotypes et à des réponses immunitaires. d’importance incertaine contre des produits inconnus. De plus, les cytokines produites après la liaison Spike/ACE-2 peuvent influencer défavorablement le devenir des tumeurs encore « dormantes » et des pathologies auto-immunes préexistantes ainsi que des inflammations chroniques. Pour ces raisons, l’indication actuelle des vaccins à ARNm contre la COVID-19 pour la population « fragile » doit être soigneusement réévaluée à la lumière de la typologie de chaque fragilité spécifique.

Malgré l’efficacité remarquable de la production d’antigènes, des tentatives pour améliorer les performances de ces vaccins COVID-19 à base d’ARNm ont été faites dans le sens de renforcer la production de Spike grâce à l’injection parentérale de vecteurs à base d’ARNm auto-réplicatifs [ 44 ]. Notamment, le ministère japonais de la Santé a récemment approuvé un essai clinique pour tester la sécurité et l’efficacité d’un vaccin COVID-19 basé sur cette technologie [ 45 ]. Ce choix semble véritablement discutable étant donné les lacunes décrites ci-dessus induites par la production excessive et la persistance de Spike circulatoire dictées par les vaccins COVID-19 actuels à base d’ARNm. Dans ce scénario, l’augmentation des quantités et de la persistance de Spike en circulation devrait exacerber les effets secondaires à la fois cellulaires et immunologiques, mais sans agir sur la limitation fonctionnelle la plus importante de ces vaccins, à savoir leur incapacité à susciter une immunité neutralisante dans les voies respiratoires. à la compartimentation immunitaire du système respiratoire. De plus, un stimulus immunogène trop puissant et persistant est connu pour induire une tolérance immunologique, comme cela a également été rapporté dans quelques articles sur les vaccins actuels contre le COVID-19. 46 , 47 ].

À l’inverse, une voie plus plausible à suivre est représentée par le développement de vaccins muqueux efficaces [ 48 ] compte tenu de leur capacité à agir au point d’entrée du virus et à éviter la plupart des effets secondaires systémiques observés dans les vaccins à ARNm COVID-19 injectés par voie intramusculaire. .

La technologie basée sur l’ARNm suscite actuellement l’intérêt de nombreux scientifiques du monde entier. Dans le cas des vaccins contre la COVID-19, il semble plus que raisonnable qu’une charge d’enquête adéquate soit concentrée sur l’identification et l’analyse d’événements inattendus, dans le but évident de rendre cette stratégie prophylactique plus sûre et adaptée à une utilisation dans un grand nombre de personnes. de personnes en bonne santé.

Financement

Ce travail a été soutenu par la subvention RiPrEI, no. Rip 001, du ministère de la Santé, Rome, Italie.

Déclaration du comité d’examen institutionnel

Sans objet.

Déclaration de consentement éclairé

Sans objet.

Déclaration de disponibilité des données

Aucune nouvelle donnée n’a été créée.

Remerciements

Je remercie Rosangela Duranti et Federica Magnani pour leur assistance en matière de secrétariat.

Conflits d’intérêts

L’auteur ne déclare aucun conflit d’intérêts.

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SATOSHI OMURA ET L’IVERMECTINE

Source : Gérard Maudrux – covid factuel

Charles de Gaulle disait : « des chercheurs qui cherchent, on en trouve, mais que des chercheurs qui trouvent, on en cherche ». Des chercheurs qui trouvent, il en est un au Japon, peu connu chez nous. Pourtant son travail a déjà sauvé des centaines de millions de personnes dans le monde, sans doute des milliards d’animaux domestiques et d’élevage. Et je pense que ce n’est pas fini si les politiques, l’OMS de Bill Gates, l’industrie pharmaceutique et les Ordres médicaux retournent à la vraie médecine.

Cet homme, c’est Satoshi Omura, le découvreur de l’avermectine et l’inventeur de l’ivermectine, produit également peu connu, et pourtant inégalé. Aucun médicament n’a un tel panel d’actions, aucun médicament n’est aussi peu toxique. J’avais l’habitude de dire que plus un produit est efficace, plus il peut avoir d’effets secondaires, jusqu’à ce que l’ivermectine me contredise. De nombreuses pistes prometteuses sont encore inexplorées, comme les bactéries multirésistantes, les cancers, voire certaines maladies neurologiques. Satoshi Omura n’est ni connu ni reconnu chez nous, mais quand même reconnu ailleurs, avec notamment un prix Nobel en 2015 pour saluer son travail et le service rendu à l’humanité.

Pharmacologue spécialisé dans la recherche sur les antibiotiques, alors devenu chercheur aux USA, il est rappelé par l’Université de Kitasato à Tokyo pour un poste de professeur. Pour se donner les moyens de ses recherches, il crée la première collaboration industrie-université : l’industriel finance la recherche et récupère en retour la propriété des brevets. Ce qui intéressait Omura n’était pas l’argent pouvant être récolté par un brevet, mais d’avoir les moyens d’une recherche efficace. Il signera avec le laboratoire Merck, dirigera le laboratoire de pharmacologie de l’université en plus de sa chaire de professeur, trouvant nombre de composés utilisables. La plus grosse prise sera l’avermectine. Professeur, il formera également dans sa carrière 120 médecins spécialistes et 32 professeurs d’université.

Chercheur et homme de terrain, il découvre un nouvel actinomyces (variété de bactérie) dans de la terre en bordure du terrain de golf de Kawana dans la préfecture de Shizuoka. Après avoir donné une solution de culture de cette bactérie mélangée à de la nourriture à des souris infectées par des nématodes (ce sont des vers), il constate un effet vermifuge. Il développera avec Merck 522 composés dont 26 seront commercialisés comme produits pharmaceutiques, médicaments vétérinaires, pesticides et réactifs de recherche en biologie. De son côté, son collaborateur chez Merck, le Dr William Campbell étudiera les milliers de microbes de la banque de Merck, sans en trouver un seul capable de produire de tels composants. L’actinomyces découvert sera appelé Streptomyces avermectinius.

Streptomyces avermectinius produit  de l’avermectine, composé organique comportant 8 composants aux propriétés assez proches, qu’il était difficile de séparer industriellement, ce qui pourra être fait grâce au catalyseur de Geoffrey Wilkinson, qui recevra en 1973 un prix Nobel pour cette découverte. Ce n’est qu’avec ce catalyseur que la double liaison peut être sélectivement réduite pour produire de l’ivermectine. Pour cette découverte, avec les immenses bénéfices qu’elle engendrera, l’OMS déclarera l’ivermectine « produit essentiel ». Satoshi Omura et William Campbell recevront le Prix Nobel de médecine en 2015.

L’IVERMECTINE, PRODUIT VETERINAIRE

Omura fera ensuite plusieurs expériences, pour constater que l’ivermectine était active non seulement sur les nématodes, mais également sur les arthropodes (invertébrés, présentant le plus grand nombre d’espèces et d’individus dans le monde animal), efficace tant en ingestion qu’en injection, et sur les parasites internes et externes. Après une expérience (sur 24 vaches de pâturages dont 12 injectées en sous-cutané) présentée à un congrès à Philadelphie en 1979 et ayant enthousiasmé la salle (pratiquement 100 % des parasites ayant disparu après une seule injection à 0,2 mg/kg), l’ivermectine sera commercialisée comme produit vétérinaire en 1981 et après 3 ans il deviendra le médicament vétérinaire le plus vendu dans le monde pendant 20 ans.

Grâce à cela, Merck ayant accepté de reverser une partie des bénéfices, l’Institut Kitasato aux finances difficiles sera sauvé. Mieux, les préfectures de Saitama ou de Chiba ayant le plus petit nombre de lits par habitant, un grand terrain a été acheté dans la ville de Kitamoto et un hôpital de plus de 400 lits a été construit. Omura et son institut ont également pu ouvrir le Kitasato Medical Center, ainsi qu’une école d’infirmières avec internat. Autres temps, autres mœurs de l’industrie pharmaceutique et de chercheurs efficaces, travaillant pour la population.

IVERMECTINE ET ONCHOCERCHOSE

En 1973, Robert McNamara, alors président de la Banque Mondiale (institution financière internationale finançant des opérations dans les pays en voie de développement), déclarait : « L’onchocercose est la maladie la plus grave du point de vue sanitaire et économique pour les populations des pays d’Afrique de l’Ouest ». Il dirigera l’éradication de cette onchocercose, qui se passera mal, avec plusieurs morts.

L’onchocercose, également connue sous le nom de « cécité des rivières », est transmise à l’homme par des moucherons, l’agent causal est un nématode appelé onchocerca volvulus. Ce ver quasiment invisible à l’œil nu (microfilaire) vit dans l’organisme pendant 14 à 15 ans, au cours desquels il donne naissance à des millions de larves, jusqu’à 1 000 par jour, se déplaçant dans tout le corps, et devenant adultes après 6-12 mois. Ils peuvent se propager à la peau et aux yeux, provoquant de fortes démangeaisons et des lésions cutanées, le plus grave étant la cécité.

Omura a testé l’ivermectine sur l’onchocercose, et a découvert que cela ne tuait pas les vers adultes mais seulement les larves, ce qui n’est pas un inconvénient, car les vers adultes ne vivant que quelques jours, c’est l’éradication des larves qui traite rapidement la maladie. Ce point est bénéfique car la campagne mise en place en 1973 par McNamara avec d’autres traitements, entraînait des décès par choc dû à une réaction dite de Mazotti : lorsqu’un onchocerca adulte meurt, il éclate provoquant l’intervention d’une bactérie avec laquelle il vit en symbiose, Wolbachia, provoquant une inflammation rapide pouvant être mortelle, comme peut l’être le choc cytokinique avec le Sars-Cov-2. L’ivermectine, qui ne tue que les larves, supprime ce risque d’effet indésirable pouvant être mortel, avec tout autant d’efficacité, tuant toutes les larves et laissant les adultes vivre leur vie et mourir de mort naturelle après quelques jours.

À l’origine africaine, l’onchocercose est passée en Amérique au XVIIIe siècle, accompagnant les esclaves. En 1987, près de 40 pays d’Afrique et d’Amérique du Sud et plus de 21 millions d’individus étaient atteints. La France sera le premier pays à autoriser l’ivermectine dans l’onchocercose, grâce à une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) de l’ancêtre de l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament). L’Agence du médicament de 1987 l’autorisait dans l’indication onchocercose au vu d’une seule publication portant sur 1 206 patients, l’ANSM de 2021 refuse l’AMM de l’ivermectine dans l’indication covid pouvant sauver des dizaines de millions de vies dans le monde malgré, à l’époque de notre demande, 50 publications portant sur 40 000 patients (dont 2 expériences françaises montrant 100 % de réussite en prophylaxie et en curatif). Autres temps, autres mœurs : les autorités sanitaires de l’époque visant l’intérêt des populations avant celui de l’industrie, les autorités actuelles visant l’intérêt de l’industrie avant celui des populations.

L’ivermectine sera alors utilisée avec succès pour éradiquer l’onchocercose, une prise par an étant en général suffisante pour éviter la maladie sans la transférer. Omura s’intéressera ensuite aux autres maladies parasitaires, comme la filariose lymphatique, autre maladie due à un nématode transmis par des moustiques, provoquant des œdèmes considérables par destruction du tissu lymphatique (éléphantiasis).  La zone endémique concernait 1,3 milliards de personnes en 2000, avec environ 120 millions de contaminés. Les zones où la filariose lymphatique est endémique chevauchent souvent des zones où l’onchocercose est endémique, de sorte que l’ivermectine est utilisée dans les deux zones où les deux sont endémiques. Plus de 300 millions de personnes sont actuellement traitées à l’ivermectinedans les deux zones.

En fait l’ivermectine est efficace chez l’homme dans tous les vers intestinaux et d’autres parasites comme la gale en 2006, remplaçant avec 2 doses seulement des traitements autrefois difficiles et longs. D’autres recherches sont encore en cours contre toutes les maladies tropicales, mais également contre plusieurs maladies virales. En 2020, 4,5 milliards de doses avaient été produites et distribuées chez l’homme depuis l’origine.

IVERMECTINE ET CORONAVIRUS

Les études de l’activité de l’ivermectine sur les virus, et sur les effets délétères du Sars-Cov-2 comme le choc cytokinique mortel, ne datent pas du covid mais du début du siècle, n’en déplaise à Mme Costagliola de l’Inserm qui a pesé de tout son poids pour faire en sorte que l’ivermectine ne soit pas utilisée, tant en France qu’auprès du Dr Andrew Hill chargé de rédiger un rapport utilisé par l’Agence Européenne et l’OMS. Elle a créé une polémique en ne se basant que sur une étude, celle des docteurs Kylie et Wagstaff de l’Université Monash en Australie. Elle a tout simplement ignoré la totalité des autres travaux  sur l’ivermectine par ignorance et incompétence sur le sujet.

En effet Satoshi Omura m’a rappelé, en m’envoyant son livre que je souhaitais  traduire (son éditeur n’était pas intéressé), que dans sa conférence lors de la remise de son prix Nobel, il signalait qu’«il a été constaté que l’ivermectine avait des effets anticancéreux, mais également antiviraux, inhibant en particulier la croissance des flavirus». Les flavivirus sont des virus à ARN (comme le corona) transmis par les moustiques et les acariens et comportant environ 70 espèces, comme le virus de l’encéphalite japonaise, le virus de la dengue, ou le virus du Nil occidental. C’est ce que madame Costagliola aurait dû savoir avant de dénigrer l’ivermectine auprès des autorités, ce que Mme Christelle Ratignier-Carbonneil, directrice de l’ANSM (directrice de l’ARS Grand Est depuis le 15 juin 2024) aurait dû savoir en se renseignant à la source quand on lui a demandé une autorisation de mise sur le marché pourl’ivermectine. Quand des millions de vie sont en jeu, on ne laisse rien au hasard, on ne bâcle pas.

L’Université de Kitasato, où est née l’ivermectine, a fait des recherches dès février 2020 pour savoir si l’ivermectine pouvait être efficace, et des chercheurs qui cherchent et qui trouvent, ils en ont, alors que chez nous personne n’a rien trouvé car on n’a rien cherché, sinon à cacher ses actions.

Dans une expérience du professeur Kazuhiko Katayama, des cellules Vero ont été infectées par le nouveau coronavirus, et de l’ivermectine a été administrée pour étudier l’évolution de ce virus. Les cellules Vero sont des lignées cellulaires cultivées à partir de cellules épithéliales rénales de singes verts africains, et sont largement utilisées dans la recherche et la production de vaccins en raison de leur bonne prolifération de divers virus et de leur grande sensibilité aux toxines bactériennes. Cette expérience a montré qu’il était clair que l’ivermectine inhibait la croissance du virus d’une manière dépendante de la concentration, sans atteindre une concentration cytotoxique contrairement à ce qu’affirmait Mme Costagliola sans s’appuyer sur aucune étude de son organisme, l’Inserm, pourtant Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale.

Des expériences utilisant des hamsters ont également été menées par les professeurs Hideaki Hanaki et Takayuki Uematsu, les infectant avec le nouveau coronavirus, constatant que la charge virale dans les poumons du groupe hamster traité à l’ivermectine le troisième jour était réduite à environ 90 % par rapport au groupe non traité à l’ivermectine. L’institut Pasteur confirmera en 2022 un effet bénéfique de l’ivermectine dans une étude semblable.

Les chercheurs de l’université ont également constaté dans les expérimentations animales un puissant effet anti-inflammatoire. Omura a alors essayé d’induire une pneumonie artificielle chez des souris pour voir ce que pouvait donner l’ivermectine, constatant qu’elle était 10 fois plus active que la clarithromycine (antibiotique de la famille des macrolides), connue pour ses propriétés antiinflammatoires, avec réduction des cytokines inflammatoires. Sans aller jusque-là et interroger le Japon sur ce point, l’ANSM et Costagliola, auraient pu ouvrir le Vidal ou le dossier du Soolantra, qui est de l’ivermectine en pommade. Dans le Vidal on peut lire : « L’ivermectine appartient à la classe des avermectines qui ont des effets anti-inflammatoires par inhibition de la production de cytokines inflammatoires induites par le lipopolysaccharide ». Rappelons qu’à l’époque les patients mouraient du covid  en raison d’un choc cytokinique.

Par ailleurs, depuis les études sur les flavirus, on sait que l’ivermectine bloque le transport du virus dans la cellule en agissant sur les importines α et β. Le Pr Hideaki Hanaki de l’Université de Kitasato a montré aussi que l’ivermectine se lie à la spike protéine, bloquant sa liaison au récepteur ACE2, porte d’entrée du virus dans la cellule, et le Dr Hiroshi Maruta, en Australie, que l’ivermectine inhibe une substance appelée PAK1 kinase. Cette kinase augmente lorsqu’elle est infectée par des bactéries et inhibe la fonction immunitaire, empêchant la production d’anticorps, fonction restaurée par l’ivermectine, d’où son action connue, immunomodulatrice. Tout ceci a été développé lors du 96e congrès de la Société japonaise des maladies infectieuses et du 69e congrès annuel de la Société japonaise de chimiothérapie le 8 mai 2021. Seuls les « complotistes » suivent ces informations et les rendent publiques, les autres les cachent.

Toutes ces actions sont confirmées par nombre de publications, régulièrement évoquées ici. Pour faire court, je rappellerai les deux premières expériences françaises de Pierre Loué et de Charlotte Bernigaud  montrant une efficacité dépassant les 90 % en ehpad, là où on avait le plus de morts, ce tant en prophylaxie qu’en curatif. Ces expériences étaient connues de l’ANSM, de Costagliola et de l’Inserm, comme actuellement les 7 publications françaises, toutes favorables, les 18 études mondiales en prophylaxie, toutes dépassant 80 % d’efficacité et les 105 études mondiales dans plus de 30 pays, portant sur plus de 220 000 patients, signées de 1206 médecins différents.

N’oublions pas non plus le rapport du Dr Andrew Hill demandé par Unitaid (qui avait comme présidente notre ancienne ministre de la Santé Marisol Touraine), et la publication de l’OMS (page 17) sur les traitements possibles du covid. Les deux montrent une baisse de 75 % de la mortalité des patients sous ivermectine versus patients sans traitement, dans des études randomisées sélectionnées pour leur qualité. Pour en refuser la prescription, les deux préconisent qu’il faudrait encore plus d’études pour confirmer, études que tous les pays ont refusé de faire, comme le refus de l’Inserm de Mme Costagliola et du Dr Yazdan Yazdanpanah au Dr Loué qui proposait de reproduire ses résultats dans 5 ehpads, lors de sa réunion du 4 mai 2020.

Ce refus d’autorisation devant tant d’études comparé aux conditions de validation dans l’onchocercose ou la filariose montre bien que les décisions actuelles sont politiques et non médicales, l’intérêt de l’industrie pharmaceutique passant avant celui des patients. Autres temps, autres mœurs.

Les études faites sur l’ivermectine depuis sa création permettaient indiscutablement, dès les premiers jours de l’épidémie, d’avancer une possible efficacité contre le Sars-Cov-2, et orienter vers un essai de traitement rapide étant donné que l’ivermectine était également connue comme un des médicaments les plus sûrs au monde.

Ceux qui l’ont fait, ont constaté une efficacité remarquable, inespérée dans le contexte, reléguant la maladie au niveau de la grippe saisonnière en matière de dangerosité. Les autorités, les professionnels qui ont empêché de traiter, qui ont empêché que ces informations soient divulguées, ne pouvaient pas ne pas savoir, ou alors ils étaient totalement incompétents et auraient dû se taire s’ils ne savaient pas. Une fois qu’on leur a mis les faits sous le nez, ils ont continué à cacher et empêcher toute prescription, en toute connaissance de cause, mettant en danger la vie d’autrui.

IVERMECTINE ET CANCERS

En février 2023, j’évoquais l’action de l’ivermectine sur plusieurs cancers, à la suite d’un témoignage spectaculaire que je rapportais. En fait ces propriétés sont connues et en cours d’évaluation par quelques chercheurs trop peu nombreux depuis des années. Dans le manuscrit de son livre qu’il m’avait envoyé, je constate que Satoshi Omura l’évoquait déjà lors de sa remise de prix Nobel.

Un livre pourrait être écrit sur toutes les études faites sur le sujet par des chercheurs isolés du monde entier. Pour faire court, l’action de l’ivermectine a été constatée et étudiée dans tous les cancers. La plus spectaculaire est dans les cancers gynécologiques, sein et ovaires, et dans bien d’autres indications (colon, rectum, reins, poumons, mélanome, leucémie…), actions que l’on peut retrouver dans plusieurs centaines d’études et publications. Je vous invite à relire mon billet de février 2023, qui cite notamment entre autres un article de 2020 de Pharmacologic Research. Cet article étudie à partir de 114 études les différents mécanismes d’action de l’ivermectine dans différents cancers. On peut y lire que « l’ivermectine a de puissants effets anti-tumoraux, y compris sur les métastases, dans une variété de cellules cancéreuses,… L’ivermectine favorise la mort programmée des cellules cancéreuses ou apoptose (processus par lequel des cellules déclenchent leur autodestruction en réponse à un signal), l’autophagie et la pyroptose,…l’ivermectine peut également inhiber les cellules souches tumorales et inverser la multi-résistance aux médicaments et exerce un effet optimal lorsqu’elle est utilisée en association avec d’autres agents chimiothérapeutiques. »

En marge de ces potentiels effets sur les cancers, n’oublions pas cette autre découverte (qui a 5 ans quand même !) : la remyélinisation, ouvrant des voies dans le traitement de la sclérose en plaques (ici et ). On a également trouvé une action contre les bactéries multi-résistantes, comme la tuberculose, maladie infectieuse qui reprend de la vigueur dans le monde, après avoir épuisé les drogues classiques.  En effet l’ivermectine détruit le biofilm, membrane protectrice élaborée par les bactéries pour se protéger d’un environnement hostile, rendant alors la bactérie résistante, à nouveau sensible aux antibiotiques.

CONCLUSION

L’ivermectine n’a pas fini de nous étonner, tant sa molécule est complexe et son panel d’indications large, inégalé, et de loin, dans la pharmacopée. Une vraie molécule miracle. Ses possibles nouvelles indications ne sont pas des découvertes récentes suite à sa mise en avant dans le covid, mais j’ai bien peur que l’attitude des autorités et des médecins de plateaux et de salon n’ait mis un frein à une recherche pourtant prometteuse dans ce domaine. En effet, aujourd’hui on ne peut pas prononcer le mot ivermectine devant 90 % des médecins, sans passer pour un médecin incompétent, malfaisant et complotiste à fuir et ne surtout pas écouter. Même chose pour tout médecin qui aurait l’idée de parler de sa découverte dans une nouvelle maladie, chez un patient qui était par hasard sous ivermectine pour une autre indication. C’est pourtant comme cela que la médecine a progressé depuis des siècles : par l’expérience, l’observation, la diffusion, et non par l’argent et la statistique.

L’autre problème de l’ivermectine est que sa production ne coûte rien (quelques euros le kilo alors que cela se prescrit en milligrammes), et qu’elle est tombée dans le domaine public. Aucun laboratoire ne financera une quelconque recherche sans aucun retour sur investissement, le médicament pouvant être alors produit et commercialisé par n’importe quel autre laboratoire, qui profiterait alors des résultats de la recherche et de la découverte. Ainsi, Merck qui a financé la recherche sur l’ivermectine il y a 40 ans a pu en toucher les bénéfices pendant une trentaine d’années, mais a dénigré son bébé en 2020, dans l’espoir de sortir le Molnupiravir dont on savait qu’il était mauvais, mais pouvant être commercialisé à 1 500 euros la dose. L’ivermectine commercialisée dans le covid, ce sont des dizaines de milliards de pertes pour l’industrie du médicament (et de l’OMS, de l’EMA, de certains politiques, de financiers, de fonds,..), tels Pfizer, Moderna, AstraZeneca, pour les principaux.

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Autisme et vaccination: un nouveau lanceur d’alerte au CDC a compilé les preuves

Source : Essentiel.News

Steve Kirsch, un entrepreneur américain très suivi durant la pandémie, et fondateur de l’organisation Vacsafety.org, lance un appel aux médias mainstream pour publier le dossier explosif de 300 pages accablantes qu’on lui a confié.

Cette boîte de Pandore est une collation de documents prouvant que le CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies aux Etats-Unis) a volontairement trompé le public depuis 30 ans sur le lien entre l’autisme et la vaccination. Le dossier rend justice au Dr Andrew Wakefield, à Brian Hooker (voir le documentaire Vaxxed I), au scientifique repenti William Thompson et à tant d’autres, dont les carrières ont été détruites pour avoir tenté de mettre fin à cette catastrophe planétaire (1 enfant sur 33 aux USA).

L’on ne doute pas que Robert Kennedy Jr. sera amené à se pencher sur ces informations, puisque l’équipe de sa fondation Children’s Health Defense est essentiellement composée de familles touchées par ce type de dommages vaccinaux. Selon les rumeurs, de nombreux employés du CDC seraient en train de préparer leur lettre de démission depuis l’annonce de la nomination de Kennedy à la santé.

Reste à savoir si un média grand public aura le courage de s’en emparer. C’est certainement “le moment où jamais”. Le barrage est sur le point de céder.

Traduction de la lettre de Steve Kirsch publiée le 18 novembre

Résumé

“J’ai récemment reçu un trésor de documents électroniques provenant du CDC. Ces documents n’ont jamais été mis à la disposition du public.

Les documents comprennent des enregistrements vocaux, des courriels, des notes manuscrites, des diagrammes et des données.

L’affirmation souvent répétée selon laquelle « les vaccins ne causent pas l’autisme » est tout simplement incompatible avec cette preuve qui peut être authentifiée.

Je travaille avec Trevor Fitzgibbon pour présenter cela à tous aux médias grand public, afin d’atteindre une population différente. Ils sont les mieux placés pour le faire, il y a peu de chances que les médias alternatifs puissent y parvenir.

C’est un énorme scandale et nos enfants en ont payé le prix depuis des décennies parce que le CDC ne veut pas admettre publiquement qu’ils avaient tort

J’ai parlé avec un journaliste de haut niveau chez Inside Edition qui pensait que c’était l’une des plus grandes histoires de la décennie. Il a dit qu’il essaierait d’inviter ses amis de 60 Minutes et d’autres formats de ce type à se pencher sur l’affaire (l’histoire est trop énorme pour Inside Edition).

Je vous tiendrai au courant.

Les documents peuvent être authentifiés par des personnes à l’intérieur et à l’extérieur du CDC.

J’ai envoyé les documents à d’autres de notre côté (juste au cas où quelque chose m’arriverait).

Brian Hooker a analysé les données de l’étude sur l’autisme du CDC à partir de l’article de DeStefano ; les preuves que j’ai reçues confirment ce qu’il a trouvé.

L’article de Hooker est publié dans la littérature scientifique évaluée par des pairs et est simplement une analyse des données que les responsables du CDC ont ordonné au scientifique du CDC William Thompson de détruire.

Regardez la dernière rangée. La valeur OR (Odds Ratio, rapport de cotes) et la valeur p.  C’est sans appel! Personne n’a insinué qu’il y avait des erreurs de calcul. Et l’article a passé deux cycles de relecture par des pairs dans DEUX revues médicales différentes !

Vous voyez le ratio de cotes de 3,86 dans la dernière rangée ? Et la valeur p de 0.005 ? Ces chiffres sont accablants. Il n’y a aucun moyen d’expliquer des effets aussi importants.

C’est pourquoi Coleen Boyle (ndlr: la supérieure du Dr Thompson au CDC) a ordonné à Thompson de détruire les données du sous-groupe montrant la valeur élevée de ce rapport de cotes : puisqu’ils ne pouvaient pas faire disparaître le signal, ils ont fait disparaître les données.

De plus, les preuves que j’ai obtenues montrent que Coleen Boyle aurait carrément refusé de témoigner devant le Congrès sur cette question si le membre du Congrès américain Bill Posey avait été autorisé à la convoquer. Pourquoi aurait-elle dit ça, s’il n’y avait rien à cacher? Malheureusement, Posey a été contraint par ses pairs au Congrès d’abandonner l’enquête pour protéger les sociétés pharmaceutiques. C’est pourquoi cela ne s’est jamais produit.

OR= 3,86 avec une valeur p de 0.005 indique une catastrophe absolue. 

Cela signifie que la plupart des cas d’autisme de ce sous-groupe sont causés par des vaccins.

Il n’y a pas d’autre explication possible de ces données.

Si les vaccins ROR ne sont pas liés à l’autisme, toutes les valeurs de RO dans le tableau ci-dessus doivent être très proches de 1 (et les valeurs p doivent être >0,10) parce qu’il s’agit de mesures du moment de l’injection ROR (et non du moment du diagnostic d’autisme) qui doit être NON PERTINENTE si les injections sont sûres.

Comment le CDC a-t-il réagi aux allégations de Thompson selon lesquelles son patron Coleen Boyle lui aurait illégalement ordonné de détruire les documents d’analyse de sous-groupe liant le vaccin ROR à l’autisme ?

Le CDC a fait une enquête interne et a parlé aux personnes qui étaient dans la pièce où l’incident s’est produit. Quatre d’entre elles ont nié les faits et ont accusé Thompson d’avoir fabriqué toute l’histoire. L’enquête interne des CDC a donc conclu qu’ils avaient raison parce qu’ils étaient 4 contre 1. C’est tout.

Mais ma boîte de Pandore montre que toutes les preuves sont cohérentes avec ce que dit Thompson à propos de l’ordre de détruire les données qu’ils n’aimaient pas.

Et le papier de DeStefano en est déjà la preuve puisque le ratio de cotes de 3,86 dans les données aurait dû être signalé dans l’article.

En sciences, vous n’êtes pas autorisé à faire une analyse de sous-groupe, à trouver un signal, puis à ne pas le rapporter dans les conclusions. Si vous pensez que le signal est faux, vous devez alors fournir les données montrant qu’il est faux.

Vous ne pouvez pas rembobiner la cassette en arrière, détruire les preuves et prétendre que cela ne s’est pas produit… c’est contraire à l’éthique. Vous devez vous enfoncer dans le terrier du lapin. C’est ainsi que fonctionne la science.

Il est illégal de détruire les données gouvernementales. Et vous ne détruisez jamais les données de l’étude avant la publication de votre étude. C’est sans précédent. Pourquoi feraient-ils cela ? Ils l’ont fait pour cacher le signal, parce qu’ils ne pouvaient pas le cacher grâce à la manipulation statistique.

Personne ne peut expliquer les données temporelles du pédiatre : le CDC a changé de sujet lorsqu’une pédiatre lui a demandé d’expliquer les données qu’elle a observées dans sa pratique

La pédiatre “L” (elle ne voulait pas que son nom soit utilisé jusqu’à ce qu’elle ait parcouru manuellement ses dossiers d’hospitalisation en urgence pour confirmer ses estimations) estime qu’environ 180 enfants de son cabinet avaient présenté un autisme régressif d’apparition brutale. Parmi ceux-ci, elle pense que la majorité s’est produite dans les 2 semaines suivant une visite de vaccination. Elle n’a jamais pensé à regarder les données réelles, donc cela pourrait être près de 100% des cas. Les services d’urgence ne suivent pas cela, vous devez donc examiner manuellement chaque cas individuellement. Elle m’a dit qu’elle le ferait.

Il n’y a aucun moyen d’expliquer ces chiffres si les vaccins ne déclenchent pas l’autisme.

Lorsqu’elle a confronté le CDC à ce problème, elle leur a demandé : « Alors, comment expliquez-vous que les cas d’autisme sont si susceptibles de se produire juste après la vaccination si les vaccins ne causent pas l’autisme ? » Ils ont simplement changé de sujet en soulignant ce que les études évaluées par des pairs ont montré et évité de répondre à la question. Les vrais scientifiques ne changent jamais de sujet lorsqu’on leur demande d’expliquer les données. La science concerne la recherche de la vérité, et non le rejet des données que vous n’aimez pas.

Mais le Dr. L n’est pas la seule.

Le pédiatre Doug Hulstedt a suivi les antécédents de tous ses patients porteurs d’autisme. Il a vu plus de 180 enfants autistes au cours de ses 35 ans de carrière de pédiatre et il est très apprécié par ses patients pour ses soins médicaux.

Sur les 44 enfants atteints d’autisme « à survenance rapide », 100% de ces cas sont survenus dans les 14 jours suivant l’administration d’un ou plusieurs vaccins.

100%.

Tout ce que Doug a fait, c’est établir les antécédents médicaux en demandant les dossiers de vaccination des enfants et la date à laquelle l’autisme a été remarqué pour la première fois par les parents.

Il n’y a pas une seule étude dans la littérature médicale qui a examiné les enfants atteints d’autisme à régression rapide et a tracé la date du vaccin qui était la plus proche de l’événement, qu’il soit avant ou après. Pourquoi cela ? Parce que l’on trouverait un énorme signal. C’est pourquoi les études ne le font jamais.

Si les vaccins ne causent pas d’autisme, il y aura autant de « vaccins aussi proches » du développement soudain de l’autisme avant la vaccination qu’après la vaccination.

C’est pourquoi ces études sur l’autisme ne trouvent jamais de signal. Ils utilisent toujours une méthodologie qui ne prend pas les données temporelles en compte. Ils n’utilisent jamais la mesure la plus sensible que je viens de décrire. Et la plupart des pédiatres, si vous leur demandez leurs données à ce sujet, ne savent pas vous répondre, parce qu’ils ne les suivent pas. Et la plupart refusent d’examiner leurs propres chiffres.

Les cabinets pédiatriques où les parents choisissent de ne pas vacciner leurs enfants ont ZÉRO cas d’autisme

Je connais un grand cabinet pédiatrique en Californie. En 25 ans, aucun des milliers d’enfants de leur pratique (dont presque tous ne sont pas du tout vaccinés) n’a reçu un diagnostic d’autisme parmi les enfants non vaccinés. ZÉRO.

Comment la communauté médicale explique-t-elle cela ? Elle ne le fait pas.

Si l’autisme est principalement causé par des toxines environnementales ou par l’hérédité, comment expliquer ces données ? Toutes les cliniques pédiatriques proches de ce cabinet pédiatrique ont des taux d’autisme standards.

Des études publiées dans la littérature médicale montrent des ratios de cotes compris entre 4,2 et 5,0, lorsque l’on compare les enfants entièrement vaccinés par rapport aux enfants entièrement non vaccinés

Comment chaque étude de la littérature évaluée par des pairs qui compare les enfants entièrement vaccinés et les enfants entièrement non vaccinés peut-elle montrer un ratio de cote très similaire pour l’autisme ? Chaque étude, sans exception. Le ratio de cotes de ces études est supérieur à 4. Étant donné que 99% des enfants sont vaccinés, le risque attribuable à la population (PAR) est de 75% ou plus.

En d’autres termes, la plupart des cas d’autisme sont causés par les injections parce que nous avons un ratio élevé et parce que les cinq critères de Bradford Hill sont amplement satisfaits. S’il y a une explication plus probable pour le ratio de cotes, pourquoi personne sur cette planète n’est-il en mesure de la fournir ? Les attaques sont toutes des arguments qui balayent tout d’un revers de la main sans rien montrer de solide.

Ainsi, le principe de précaution de la médecine exige de supposer que les vaccins provoquent l’autisme, jusqu’à preuve du contraire.

Voici les études :

Voici les études dont vous n’entendez tout simplement jamais parler :

  1. Paul Thomas (2020) avait 0 cas d’autisme. 561 parmi le total des 561 enfants non vaccinés de sa pratique. Pour ceux qui ont suivi le calendrier de vaccination du CDC, il y avait 15 cas d’autisme chez 894 patients. La valeur p du test exact de Fisher est de 0,0008, ce qui est stupéfiant. Le OR était infini, avec une limite de confiance inférieure de 95% de 2,3. Voir aussi cet excellent article sur l’étude qui souligne que “les enfants non vaccinés sont en meilleure santé selon plusieurs indicateurs et bénéficient de 25 fois moins de visites pédiatriques“. Les méchants ont pu faire rétracter le document en affirmant que les taux plus élevés d’autisme chez les vaccinés étaient dus à plus de visites au cabinet. Le problème avec cette critique est que la raison de la rétractation a ensuite été réfutée dans un article ultérieur !
  2. Hooker (2021) : 5,03 ratio de cotes pour l’autisme chez les vaccinés par rapport aux non vaccinés.
  3. Mawson (2017) : 4,2 ratio de cotes pour l’autisme chez les personnes vaccinées par rapport aux non vaccinés (666 dans cette étude).
  4. Geier (2013) : rapport de 2,1 à 3,4 dans la base de données Vaccine Safety Database en fonction de l’âge au moment de l’injection. Un ratio de cotes qui augmente avec l’âge. Cette étude, publiée dans la littérature évaluée par des pairs, a été réalisée à l’aide d’une méthodologie en deux phases utilisée par le CDC. Elle a montré que le vaccin HepB était aussi fortement associé à l’autisme. Ils ont examiné chacune des 3 périodes de vaccination et à chaque fois, le ratio de cotes augmentait et la valeur p était faible ! L’étude n’a jamais été rétractée. Après que Brian Hooker ait trouvé ce signal dans la base de données VSD, son accès a été immédiatement révoqué par le CDC,  sans la moindre explication. Rien de tel que d’être ouvert à la transparence des données, n’est-ce pas ?
  5. Garner / Groupe de contrôle (2022) : 82 ratio de cotes pour l’autisme chez les vaccinés par rapport aux non vaccinés. « Pour ceux qui n’ont aucune exposition aux vaccins post-partum, aux vaccins prénatals ou à l’injection de vitamine K, le taux total d’autisme dans l’ensemble de l’étude du groupe de contrôle est de 0% (0 sur 1 024) ». Lorsque j’ai fait un calcul du ratio de cotes sur les réponses à mon enquête auprès de 10 000 enfants : OR=82 CI:5.1197 à 1315 z statistique : 3,114 Niveau de signification. P = 0,0018. Voir aussi le site Web du groupe Control.
  6. Lyons-Weiler (2022) : L’étude était trop petite pour évaluer le risque d’autisme, mais a montré de meilleurs résultats de santé chez les non vaccinés que chez les vaccinés pour d’autres affections. Voir cet article qui note que les non vaccinés avaient de meilleurs résultats lors des visites de contrôles que les vaccinés, ce qui élimine un argument commun que les anti-anti-vaccins utilisent. L’article constate que “les familles non vaccinées se sont plus souvent présentées aux visites de contrôle que les familles vaccinées”.
  7. Étude de Liz Mumper : Elle a divisé l’incidence de l’autisme par 6 dans sa pratique en limitantles vaccins administrés aux enfants. Comment la communauté médicale explique-t-elle cela? Une réduction de 6X est énorme. Elle a également reproduit le travail de Paul Thomas.
  8. Une nouvelle étude de 50 000 enfants (soumise par Tony Mawson pour publication mais pas encore publiée) montre les mêmes ratios de cote pour les maladies chroniques que les études Hooker et Mawson. L’ensemble de données est très important.
  9. L’étude Generation Rescue (GR) réalisée le 26 juin 2007 a montré que les enfants vaccinés étaient nettement moins lotis dans toutes les catégories examinées. « Pour moins de 200 000 $, nous avons pu réaliser une étude que le CDC, avec un budget de 8 milliards de dollars par an, n’a pas été capable de faire ou n’a pas voulu faire. » Où est l’enquête du CDC ? Introuvable ! Ils ne veulent tout simplement pas le faire. Lisez l’enquête et consultez cet article pour plus d’informations. GR ne pouvait pas altérer l’étude ou manipuler les résultats parce qu’elle a été réalisée par une société d’enquête indépendante sans conflits d’intérêts. Si les sociétés pharmaceutiques n’aimaient pas le résultat, elles auraient facilement pu commander une autre société de sondage. Mais ils ne l’ont pas fait !!! Ou peut-être qu’ils l’ont fait et ont simplement choisi de ne pas publier les résultats parce qu’ils étaient si mauvais. Dans tous les cas, l’absence d’un sondage montrant le contraire du sondage GR est très très problématique pour le récit “sûr et efficace”.

Il y a un défaut de la partie adverse à citer une seule étude qui montre le contraire de ce que ces études montrent, par exemple, que les personnes entièrement vaccinées sont soit en aussi bonne santé, soit en meilleure santé que les personnes entièrement non vaccinées.

J’ai trouvé indépendamment un ratio de cotes très similaire lorsque j’ai interrogé 10 000 parents en leur demandant: “parlez-moi de vos enfants”

Tout le monde peut reproduire l’enquête sur les parents que j’ai faite. Vous obtiendrez les mêmes résultats. Mais personne n’est prêt à regarder.

J’ai demandé à 10 000 parents de me parler de leurs enfants et j’ai énuméré une vaste gamme de maladies chroniques, y compris deux contrôles négatifs pour valider les résultats.

Voici les résultats. Les données sources sont disponibles pour que chacun puisse les analyser. Un seul professeur de mathématiques courageux (Hal Switkay) a fait exactement cela et a validé mes résultats et mes méthodes.

Les OR sur les témoins négatifs (malformation congénitale et défaut génétique) étaient respectivement de 0.9 et 1.0.

Pour l’autisme, j’ai obtenu un rapport de cotes de 4,5, ce qui est à mi-chemin des valeurs trouvées dans les études que j’ai citées ci-dessus (Hooker (2021) a trouvé 5,03 et l’étude de Mawson de 2017 a trouvé 4,2).

Voici le tableau récapitulatif des OR.

Notez comment la vaccination aggrave toutes les maladies chroniques (les chiffres sont tous >1), un résultat conforme aux études citées ci-dessus :

Ratios de cotes dans mon enquête auprès des parents. Plus vous étiez vacciné, plus vous avez de chances d’avoir ces conditions. Les enfants entièrement vaccinés étaient 4,5 fois plus susceptibles d’être diagnostiqués avec l’autisme que leurs pairs non vaccinés.

Les études sur l’autisme publiées dans la littérature ont été conçues pour NE PAS trouver de signal. Lorsque les erreurs ont été signalées, les auteurs ont refusé de répondre aux critiques. Ce n’est pas ce que font des scientifiques honnêtes.

Nous pouvons montrer comment chacun des documents présentés par les partisans du vaccin sont défectueux. Choisissez le meilleur et discutons-en !

Par exemple, il y a 164 articles énumérés dans cet article de Michael Simpson qui, selon lui, sont la preuve qu’il n’y a pas d’association entre les vaccins et l’autisme. Il affirme que le meilleur article est une méta-analyse de 2014 de Taylor et al., “Les vaccins ne sont pas associés à l’autisme : une méta-analyse fondée sur des preuves d’études de cas, de contrôle et de cohorte” (vous pouvez voir l’article ici sans frais) qui analyse 10 études (5 de chaque type), y compris Madsen (2002), Hviid (2003), DeStefano (2004), Andrews (2004), Smeeth (2004) et Verstraeten (2003).

Le problème bien sûr est que tous ces documents ont été démystifiés dans l’analyse SafeMinds.

Les meilleures études étaient les études de cohorte et l’une des études de cohorte a été jugée « à haut risque ». Les quatre autres études de cohorte ont été décrites dans l’analyse SafeMinds. Pour les études cas-témoins, les deux plus importantes de l’étude ont également été décrites dans l’analyse SafeMinds.

Ainsi, le meilleur des meilleurs de leurs meilleures études a été démystifié. Ces méta-analyses sont aussi faibles que les documents qu’elles reprennent.

Pouvons-nous parler en détail des 3 meilleurs articles de chaque groupe ? Ils ne veulent pas en discuter publiquement. Ils ne le font jamais. Comment sommes-nous censés résoudre nos différends si l’autre partie ne s’engage pas dans un dialogue civil avec quiconque n’est pas d’accord avec lui ?

Le professeur Hviid, co-auteur de l’article le plus référencé pour réfuter le lien entre l’autisme et la vaccination (l’étude Madsen), a refusé de répondre à toute question sur son article. Pourquoi refusent-ils de répondre aux questions légitimes qui ont été soulevées ?

Vous ne pouvez pas prouver l’hypothèse nulle

Tout scientifique sait que vous ne pouvez jamais prouver l’hypothèse nulle.

En anglais simple, vous ne pouvez pas prouver qu’il n’y a pas de lien. Vous pouvez seulement prétendre que “les études que nous avons faites n’ont pas trouvé de lien”.

C’est ce qu’ils devraient dire s’ils étaient semi-honnêtes. Mais bien sûr, c’est faux. Ils évitent simplement les études dans la littérature évaluée par des pairs qui montrent le contraire.

Les personnes qui prétendent qu’il n’y a aucune preuve dans la littérature scientifique que les vaccins causent l’autisme vous mentent simplement et la presse ne fait que répéter ce qu’on lui sert

L’essentiel ici est que la presse ment toujours lorsqu’elle dit que les vaccins ne causent pas l’autisme parce que vous ne pouvez jamais prouver un négatif (selon la section précédente).

Lorsque les gens font cette déclaration, ils doivent ignorer les articles de la littérature évaluée par les pairs, les données des médecins et les histoires des parents (qu’ils ne peuvent pas expliquer dans leur ensemble parce qu’ils sont cohérents avec les rapports des médecins).

Au mieux, ils pourraient dire : « Les études que nous choisissons de croire n’ont pas trouvé de signal ; les études que nous avons décidé de ne pas croire ont trouvé un ÉNORME signal. Mais nous avons choisi de ne pas croire à ces autres études parce que tout le monde sait que les vaccins ne causent pas l’autisme. » Voyez le raisonnement circulaire ici ?

Mais il n’y a pas de DONNÉES qui devraient amener les gens à ne pas “croire” les études qui ont montré le lien. Ils ne croient tout simplement pas à ces études parce qu’ils arrivent à une conclusion différente et non parce qu’ils ont réellement trouvé un défaut légitime dans les études.

La presse ignore ces études parce qu’elles obéit aux « experts ». Cela fonctionne parfaitement parce que la plupart des journalistes se refèrent à des experts en qui ils ont confiance et n’investiront pas le temps d’écouter les deux parties expliquer les données et d’arriver à leur propre conclusion. Ils vont directement croire à l’”expert” avec les plus hautes références.

Pourquoi ne pas simplement divulguer les preuves à Tucker Carlson, Joe Rogan, etc?

Parce que je veux qu’une source médiatique grand public couvre l’histoire et interviewe les employés du CDC qui authentifieront les preuves. Il est peu probable qu’ils le fassent si l’histoire est déjà couverte par quelqu’un d’autre.

Interprétation par l’IA de mes preuves

Croyez-le ou non, trouver un épidémiologiste honnête est vraiment difficile de nos jours.

Donc… toutes les données sont ajoutées dans un LLM (une machine d’intelligence artificielle) neutre pour analyse.

Ce sera très intéressant de voir le résultat.

Analyse experte des données

James Lyons-Weiler est un expert en autisme. Il convient que les études conçues pour trouver une association ont en fait été conçues pour ne pas trouver d’association.

Voici sa réaction à mon article :

Tout finira par sortir et ce sera un très très mauvais jour pour Merck.

Steve a raison. J’ai analysé toutes les études sur l’autisme et la vaccination citées dans une lettre adressée au président Trump lors de son 1er mandat. Aucun n’était capable de tester valablement le lien causal. L’épidémiologie n’est pas un instrument adéquat pour étudier des problèmes comme les dommages vaccinaux; et même lorsque ça l’est, et qu’une association très forte a pu être démontrée, le CDC a toujours tout fait pour l’enterrer.

In fine

Quelqu’un dans les médias grand public touchera-t-il à cette histoire ? Nous sommes sur le point de le découvrir.

Autisme et vaccination: un nouveau lanceur d’alerte au CDC a compilé les preuves Lire la suite »

Confirmation de la présence d’ADN vaccinal dans leVaccin Pfizer contre la COVID-19 – Pré-print – Didier Raoult

Source : Patrice Gibertie

La production rapide de vaccins à base d’ARN messager (ARNm) a été choisie comme la stratégie la plus adaptée pour lutter contre la pandémie de COVID-19.

Trois études ont rapporté la présence d’ADN en quantités significatives dans les vaccins à ARNm de Pfizer.

Nous avons cherché à confirmer la présence de cet ADN résiduel. La quantification de l’ADN plasmidique du vaccin à l’aide du fluorimètre Qubit sur un flacon de vaccin a montré qu’il était de 216 ng/dose en moyenne et environ 24 fois plus élevé, atteignant 5 160 ng/dose en moyenne, après traitement au Triton-X-100.

De plus, nous avons obtenu par séquençage de nouvelle génération la séquence de la matrice vaccinale d’ADN plasmidique complète (7 824 paires de bases) avec une couverture élevée (98,3 %) et des profondeurs de séquençage (moyenne, 4 181-4 389 lectures), indiquant la présence de l’ADN plasmidique en nombre élevé de copies.

Ces résultats appellent à une évaluation du nombre de copies et de la nature de l’ADN dans les vaccins à ARNm à plus grande échelle et en plusieurs lots, notamment en ce qui concerne le risque putatif d’intégration de l’ADN après administration dans les cellules.

En fait, ces résultats d’énormes quantités de séquences d’ADN plasmidique par
La dose de vaccin soulève notamment des interrogations quant à un risque putatif de son intégration dans l’organisme humain.
génome après son entrée dans les cellules en raison de leur conditionnement dans des lipides cationiques (Klinman et al,
2010).

Dans la thérapie génique basée sur l’ADN, il a été rapporté qu’une proportion de 10 à 20 % des cellules sont généralement transfectées et environ 1 à 10 % des cellules transfectées de manière transitoire sont devenues stables ransfecté à la suite d’une intégration ultérieure probablement via des événements de croisement.

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Le prof. Bhakdi présente un test de dépistage pour les effets secondaires des injections Covid

Source : essentiel news

Un simple test des ongles et l’usage de la nattokinase pourraient aider à prévenir les thromboses.

Le Dr Sucharit Bhakdi propose une nouvelle méthode de diagnostic pour les personnes susceptibles de souffrir de dommages causés par la vaccination. Ce test, développé en collaboration avec le Dr Hannes Strasser, mesure la circulation sanguine dans les vaisseaux capillaires dans le lit de l’ongle, qui est indicatif des problèmes de thrombose.

Selon Bhakdi et Hannes, les tests démontrent également un effet bénéfique de la nattokinase pour la prévention et le traitement des thromboses.

Le professeur Sucharit Bhakdi est un éminent microbiologiste qui s’est exprimé à de nombreuses reprises dans le cadre des politiques sanitaires “Covid-19” déployées en Allemagne. Il est également l’un des membres fondateurs de l’association Doctors for Covid Ethics qui a été parmi les premières à alerter l’Agence européenne des médicaments des risques liés aux injections Covid, notamment les thromboses.

Une annonce encourageante

Lors d’une interview récente pour Report 24, le professeur Bhakdi a présenté des essais en cours concernant la prévention de troubles vasculaires liés aux vaccins:

Une des répercussions importante du congrès “Retour à la normalité” qui s’est tenu à Vienne en avril dernier est la discussion que j’ai pu avoir avec le Dr. Hannes Strasser. C’est un médecin avec une grande patientèle qui est aussi politiquement actif. Il est très bien informé et a régulièrement conseillé son parti le FPO.

Le Dr Hannes m’a dit:

Nous avons pensé que si tu as raison en affirmant que les petits vaisseaux et les micro-vaisseaux étaient obstrués par des caillots, cela pourrait se détecter dans la surface inférieure des ongles. Il existe des examens microscopiques très simples pour les vaisseaux du lit des ongles, qui ne sont ni invasifs, ni coûteux et faciles à réaliser.

J’ai alors demandé si quelqu’un pouvait faire cela. Et sa collègue m’a répondu qu’elle pouvait démarrer immédiatement. Cinq semaines plus tard, le Dr Hannes Strasser m’a rappelé en me disant:

C’est incroyable. Ma collègue a fait cet examen du lit de l’ongle sur toutes les personnes chez qui l’on suspectait des dommages causés par la vaccination. Chez beaucoup, je pense même la majorité, elle a effectivement observé des changements vasculaires.

Prévenir la formation de caillots sanguins

Ensuite, ils se sont demandés si la dissolution des caillots pouvait jouer un rôle important dans la prévention des thromboses et des accidents vasculaires. En principe, cela pourrait se faire à l’aide de la nattokinase. C’est une substance qui est utilisée comme une des principales épices dans la cuisine japonaise.

L’on peut même se demander si c’est une des raisons de la longévité de ce peuple qui en mange depuis l’enfance. Car en vieillissant, les petits vaisseaux sanguins ont tendance à se boucher. Peut-être que cela permet aux organes des personnes âgées au Japon de mieux fonctionner. En tout cas, c’est mon hypothèse.

Cette hypothèse est considérée comme fantaisiste par la plupart des médecins conventionnels, et on me qualifie à nouveau de fou. Mais je trouve l’idée passionnante. Je peux vous dire que j’ai moi-même commencé à prendre de la nattokinase – donc maintenant je fais un peu de publicité pour cette substance. Et je dois dire que je remarque des effets positifs sur moi.

Je n’en donnerai pas plus de détails, mais j’ai immédiatement demandé au Dr Strasser quels étaient ses résultats:

Avez-vous pu documenter tout cela ? Il a répondu : « Oui, nous interrogeons les patients, et enregistrons leurs antécédents médicaux et leurs résultats avant le traitement à la nattokinase et après. Les résultats sont parfois assez étonnants, car la circulation sanguine retourne presque à la normale.

Je lui ai répondu:

Alors faites-en une étude et publiez-la dès que possible dans une revue scientifique internationale. Le monde aura ainsi une méthode simple à portée de main pour diagnostiquer les dommages causés par les vaccins et ce traitement pourrait avoir de nombreux effets positifs. Je ne dis pas qu’ils seront à nouveau en parfaite santé, mais moins malades, c’est déjà mieux que très malades…

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 J’ai soigné les malades du Covid »: entretien avec le Dr Bernard Giral

Source : Quartier Général

Le docteur Bernard Giral est médecin généraliste à Fontvieille et président de la CTPS (Communauté territoriale professionnelle de santé) du pays d’Arles (Bouches-du-Rhône). Lorsque l’épidémie de Covid est arrivée en France début 2020, il fait partie de la courageuse minorité de médecins qui ont refusé les consignes mortifères d’inaction des « autorités sanitaires » parisiennes (restez chez vous, prenez du Doliprane, appelez les services d’urgence en cas de détresse respiratoire). Il a au contraire soigné les gens, principalement avec le protocole de l’IHU de Marseille, et avec une totale réussite puisque aucun des quelques 1 500 malades soignés n’est décédé. Son action est très reconnue localement (voir par exemple ici la cérémonie de remise de la médaille de la ville il y a quelques mois), mais demeure inconnue ou impensée des autorités centrales. Elle confirme une fois de plus que la première cause de mortalité durant l’épidémie de Covid de 2020-2022 ne fut pas le virus en lui-même mais le refus de soigner les malades. Ce refus était de nature idéologique et il était éminemment contraire au fondement même de l’éthique médicale. L’action du Dr Giral démontre par ailleurs que les déserts médicaux ne sont pas une fatalité et qu’il existe des façons de s’organiser collectivement et de créer de véritables dynamiques locales lorsque l’initiative part d’en bas (des professionnels et des bénévoles de terrain) plutôt que de tomber d’en haut (des cabinets ministériels et de leurs consultants privés).

1) Bonjour Bernard Giral. Qui êtes-vous ? Quels ont été votre parcours et votre activité sur le pays d’Arles où vous exercez depuis très longtemps ?

J’ai 78 ans et je suis toujours actif ! Je suis de formation scientifique au départ. J’ai fait une maitrise en physiologie puis le cursus de la faculté de médecine, le tout à Montpellier. Une fois mon diplôme en poche, je me suis installé comme médecin généraliste à Fontvieille (dans le nord des Bouches-du-Rhône) en 1974 et j’y exerce donc depuis 50 ans.

Outre mon cabinet de généraliste, je me suis investi rapidement dans des coordinations de défense de la médecine, puis dans le syndicalisme. Enfin, j’ai été élu aux URPS pour la région Paca (les Unions Régionales des Professionnels de Santé représentent les professionnels de santé libéraux). Je suis également très engagé sur le plan local. J’ai organisé la Formation Médicale Continue associative locale, monté une fédération d’associations de Formation Médicale Continue sur notre territoire et organisé une dizaine de congrès dans la région, et pas uniquement sur des questions médicales. En mars 2000, par exemple, j’ai organisé un congrès au Palais des Papes en Avignon pour célébrer l’échéance calendaire mythique. Le principe était de faire témoigner de manière documentée des acteurs de l’aventure ayant côtoyé l’extrême dans les différents axes dans l’espace et dans le temps (Jean-Louis Étienne, Patrick Baudry, Jeannot Lamberton, Michel Siffre, Jean-Pierre Beltoise, Michel Fournier, Didier Raoult pour l’aventure des antibiotiques et d’autres encore).

Enfin, j’ai collectivisé mon cabinet en rassemblant des professionnels du territoire. Ceci nous a permis de lancer en 2016 la première Maison de Santé pluriprofessionnelle (MSP) du territoire, labellisée par l’Agence Régionale de Santé (ARS), puis la première Communauté Professionnelle Territoriale de Santé (CPTS) de la région PACA et la troisième de France. Le bassin de population de notre CPTS regroupe 28 communes et compte 170 000 habitants. J’en suis toujours le président. J’ai également favorisé la coopération entre les soignants et entre les établissements dans le secteur gériatrique. Bref, je suis « un combattant de la médecine de ville » comme le rapportait récemment le journal local La Provence. J’essaye notamment d’empêcher que ces territoires se transforment en déserts médicaux comme on le voit dans de plus en plus de régions françaises.

2) Nous remontons un petit peu le temps. Nous sommes en février-mars 2020, bientôt confinés, l’épidémie de Covid est censée déferler sur la France. Que constatez-vous ? Que dit l’Agence Régionale de Santé (ARS) aux soignants de terrain ? Comment vous organisez-vous dans votre réseau ?

A l’arrivée de l’épidémie de Covid, avec mes associés professionnels de santé, nous ouvrons un centre de consultation externalisé et sécurisé pour y diriger les patients suspects d’être infectés et permettre ainsi à tous les autres de continuer à être suivis et soignés en toute sécurité dans les cabinets médicaux. Ce centre de consultation externe d’urgence est le premier de France. Nous l’installons dans la salle des fêtes de Fontvieille (le lecteur peut regarder ici une petite vidéo réalisée dans ce centre).

Je dois dire que j’ai eu évidemment à l’époque une longue discussion avec l’ARS qui n’a pas validé notre démarche. Elle recommandait de s’en tenir au strict confinement, conformément aux directives nationales du « Restez chez vous, prenez du Doliprane en cas de fièvre et appelez le 15 en cas d’aggravation ». Ces directives, dont j’ai été stupéfait de voir qu’elles étaient validées par la Haute Autorité de Santé (HAS), étaient contraires à notre devoir de médecins qui, conformément au Serment d’Hippocrate, est de soigner les gens et de sauver des vies en toutes circonstances, et non de rester les bras croisés sans rien faire, en attendant que les plus fragiles se dégradent et partent en urgence à l’hôpital où leurs chances de survie étaient d’emblée sérieusement hypothéquées. Le président Macron avait déclaré « l’état de guerre », et ceci me confortait dans ma position de médecin-soldat du front, engagé « à corps perdu », en utilisant tous les moyens et toutes les armes à ma disposition, afin de sauver le maximum de vies. J’avais d’ailleurs écrit au président pour sécuriser notre démarche et tenter de la faire valider en haut lieu.

Bref, je suis donc passé outre l’aval de l’ARS et m’en suis toujours félicité. Par la suite, nous avons du reste créé quatre autres centres à Tarascon, Arles, Saint-Rémy de Provence et Châteaurenard, tous sécurisés selon le même protocole et répartis sur tout le territoire de notre CPTS. Vingt jours après l’ouverture du premier centre, l’ARS me demandait simplement de m’engager sur l’honneur pour certifier la sécurisation de tous ces centres qui devaient ensuite devenir des centres de dépistage, puis des centres de vaccinations (ces derniers étaient ensuite gérés par les communes concernées). 

Ce dispositif nous a permis de supporter le choc des confinements en 2020. Cette mesure radicale (le confinement) était en effet inutile voire contre-productive. Les contaminations ont explosé dans les espaces clos. Il a fallu parfois prendre en charge des familles entières. J’ai dû également prendre en charge des centaines de travailleurs agricoles confinés du jour au lendemain dans des gourbis, en lieu et place du travail au grand air.

3) Concrètement comment avez-vous soigné les malades sur le pays d’Arles ?

Je connaissais les travaux d’infectiologie des équipes du professeur Raoult depuis très longtemps, et j’avais suivi la création de l’IHU de Marseille en 2016. Donc, lorsqu’il a déclaré qu’il ne fallait pas paniquer, que l’on pouvait dépister et surtout que l’on pouvait traiter les gens de manière efficace en intervenant de façon précoce, dès les premiers symptômes, cela m’a paru être du bon sens médical et c’est ce que je m’apprêtais à faire de toutes façons. J’ai donc appliqué le protocole de l’IHU : hydroxychloroquine et azithromycine aux doses indiquées, avec du zinc et de la vitamine D en appoint.

A cet égard, je dois dire que je n’ai jamais compris la polémique qui s’est développée sur la prétendue toxicité cardiaque de l’hydroxychloroquine. Cela ressemblait à un montage politique et médiatique totalement déconnecté de la réalité du terrain. J’ai prescrit de l’hydroxychloroquine pendant plusieurs décennies, par exemple pour des malades atteints d’un lupus. Cette molécule ne devient toxique qu’à partir d’une certaine dose, dont nous étions très loin dans ce protocole. L’efficacité et la toxicité d’un médicament dépendent de son dosage. Et c’est vrai d’ailleurs de la plupart des médicaments (à commencer par le Doliprane, qui peut rapidement devenir toxique). Tout médecin est censé le savoir. Ce montage politique et médiatique était donc un scandale, et je l’ai fait savoir dans la presse dès le mois de mars 2020, puis dans une lettre ouverte au ministre de la Santé Olivier Véran début avril. Je relayais la colère des soignants et des patients devant cette volonté d’empêcher la prescription précoce de l’hydroxychloroquine en médecine de ville et de réserver son usage pour les patients hospitalisés, c’est-à-dire à une phase de la maladie où le dernier des imbéciles a bien compris son inefficacité, l’orage inflammatoire ayant succédé à la phase virale.

Alors bien sûr, devant les mises en garde voire les critiques répétées à l’égard du risque cardiaque de l’hydroxychloroquine, nous avons équipé nos centres d’électrocardiographie pour pouvoir faire un ECG aux patients une première fois avant prescription et une seconde de contrôle quelques heures après la première prise. Rien d’extraordinaire, mais cela sécurisait le soin et rassurait tout le monde.

Enfin, pour protéger l’hôpital (dont tout le monde redoutait l’engorgement), nous avons créé une ligne téléphonique dédiée aux professionnels de terrain : infirmières et médecins. Il y avait là une pneumologue et un réanimateur qui conseillaient sur les conduites à tenir en termes de médications, niveaux d’oxygénation à domicile, etc., afin de faciliter le maintien des malades à domicile sous notre surveillance, en lien avec les confrères hospitaliers. D’ailleurs, la plupart de ces derniers ont bien compris l’intérêt de notre action. Nous (médecine de ville) étions la première ligne de défense, qui a absorbé une grande partie du choc, ce qui a permis à la deuxième ligne (hospitalière) de tenir sans grandes difficultés.

Par la suite, nous avons eu évidemment des difficultés d’approvisionnement et de délivrance en pharmacie pour l’hydroxychloroquine. Lorsque nous n’en avions plus, nous avons continué avec l’azithromycine, le zinc et la vitamine D. Compte tenu des évolutions en réanimation, nous avons également introduit par la suite la corticothérapie et des anticoagulants ainsi que de l’oxygénation à haut débit. Et je dois dire que, là encore, nous l’avons fait dans l’inobservance totale des recommandations nationales mais, par contre, dans l’intérêt premier et supérieur de nos patients.

4) Au final, quels sont vos résultats ? Avez-vous pu les chiffrer ?

Je n’ai pu le faire que pour ma propre patientèle. Au final et en ce qui me concerne donc, j’ai pris en charge environ 1 500 personnes malades de la Covid. Deux d’entre elles (qui avaient des comorbidités importantes) ont fait un passage aux urgences pendant 2 à 4 jours pour oxygénothérapie à très haut débit, puis sont ressorties en étant tirées d’affaire. Au final, je n’ai donc aucun mort du Covid à déplorer. Ceci équivaut à 100% de succès avec un traitement inoffensif et peu couteux.

Je veux en revanche témoigner du fait que, dans ma patientèle habituelle (les personnes qui me déclarent comme étant leur médecin traitant), 4 personnes qui avaient attrapé le Covid, qui ne m’ont pas consulté et qui s’en sont tenues au Doliprane, sont décédées.

Enfin, je veux également signaler que ce protocole m’a permis de soigner avec succès de graves malades poly-pathologiques contrairement à toute attente. Par exemple, l’une d’elle, pesant 103 kilos, diabétique insulinée, insuffisante respiratoire et insuffisante cardiaque, a été sauvée en 12 jours à domicile.

5) Quel regard portez-vous sur la politique de vaccination obligatoire et totale (y compris enfants et femmes enceintes) de manière générale ? Avez-vous constaté une efficacité et avez-vous observé des effets secondaires graves ?

Le 1er janvier 2021, j’ai été interviewé sur les vaccins qui allaient bientôt sortir. J’ai répondu que ces vaccins me paraissaient apparentés aux techniques de thérapies géniques qui se développent ces dernières années mais sont encore au stade expérimental en ce qui concerne les virus et les humains. Dans ces conditions, j’ai rappelé en fin de compte l’importance du principe de précaution. J’en ai conclu que si ces nouvelles thérapies pouvaient sans réserve être administrées à des patients en danger de mort, leur application à des sujets en parfaite santé posait question et méritait davantage de données. Il faut en réalité des années pour mettre au point un bon médicament. Cet empressement m’inquiétait. J’ai également pointé du doigt l’incohérence totale entre le fait d’un côté d’interdire l’usage d’un médicament largement utilisé depuis 50 ans sans problème, et d’un autre côté de se précipiter pour administrer sous contrainte un « vaccin » mis au point et fabriqué à la hâte pour répondre à une urgence (ou profiter d’une aubaine ?). Cette contradiction dépasse mes capacités de compréhension.

Quant à l’efficacité et aux possibles effets indésirables graves de la vaccination, je n’ai pas de chiffres précis à vous donner. Je peux seulement témoigner de ma pratique de terrain quotidienne. Sur cette base, je peux vous dire deux choses qui sont des constats cliniques. La première est que la majorité des récidives de Covid que j’ai eu à soigner par la suite concernaient des personnes vaccinées, ce qui relativise l’efficacité. La seconde est que j’ai noté une augmentation des cas de cancers dans ma patientèle, en particulier des cancers du Pancréas, ainsi que d’autres pathologies, apparues dans les semaines ou les mois suivant la vaccination anti-covid. Face à ce constat, et pour évoquer l’imputabilité à une thérapie vaccinale, il conviendrait de cumuler les témoignages de médecins libéraux et hospitaliers (comme celui que vous avez traduit récemment du Dr Ute Krüger en Suède) et croiser tout ça avec des études épidémiologiques bien évidemment.

6) Les médecins qui ont dit publiquement qu’ils ne suivraient pas les consignes du gouvernement (ou bien qui ont même été parfois dénoncés par des « confrères » voire par des patients) ont généralement été poursuivis par le Conseil de l’ordre des médecins. Avez-vous connu pareille mésaventure (ou d’autres médecins dans votre réseau arlésien) ?

Non. Nous n’avons pas été concernés par les poursuites de l’Ordre des médecins. A vrai dire, c’aurait été un comble et cela aurait été un peu gros ! En ce qui me concerne, comme je vous l’ai dit, je n’ai eu aucun mort du Covid sur quelques 1 500 malades soignés pour une maladie qu’on présentait au départ comme la nouvelle peste ou la nouvelle grippe espagnole, et que l’on mettait en scène tous les soirs à la télévision en égrenant le nombre d’hospitalisés et de morts. Et si personne n’est mort parmi nos patients, c’est bien parce que nous avons soigné les gens en conformité avec notre serment d’Hippocrate. Nous n’avons donc rien à nous reprocher, bien au contraire. Ce qui n’est pas le cas de tous.

7) Quelles leçons tirez-vous de cette période exceptionnelle ? Quel message auriez-vous envie de faire passer aux jeunes pour l’avenir ? 

Je crois que cette crise a montré le pire et le meilleur. Je ne vais pas revenir sur le pire, votre propre travail l’a hélas amplement documenté. Mais cette crise du Covid a aussi montré que l’on pouvait réagir de façon très rapide, cohérente et même innovante pour organiser efficacement la santé publique dans un moment de crise épidémique, pour peu que l’on reste fidèle à son expérience accumulée sur le terrain et à ses valeurs. Le drame du Covid a montré l’aveuglement ou la soumission de beaucoup de médecins du fait de la pression extrêmement forte venue d’en haut et de consignes sanitaires face auxquelles je vous ai dit mon incompréhension et ma colère. J’espère que les futurs médecins resteront fidèles à leur éthique professionnelle. Ils doivent être avant tout au service de leurs patients et non du pouvoir politique du moment dont le spectacle évolutif est déconcertant et peu rassurant.  

Propos recueillis par Laurent Mucchielli

 J’ai soigné les malades du Covid »: entretien avec le Dr Bernard Giral Lire la suite »

Pfizer Papers, la somme de toutes les fraudes

Source : Le Point Critique

The Pfizer Papers: Pfizer’s Crimes Against Humanity est le fruit de la collaboration de 3 250 médecins et scientifiques, qui ont consacré deux années à analyser les 450 000 pages de données de l’essai Pfizer. L’ouvrage est paru le 19 octobre. Il démontre que le laboratoire et les agences sanitaires avaient conscience dès novembre 2020 de l’extrême toxicité de l’injection anti-COVID, mais qu’elles ont contourné la législation pour l’imposer à des millions de citoyens.

En septembre 2021, un collectif de professionnels de santé et de scientifiques, le Public Health and Medical Professionals for Transparency (PHMT) a intenté une action en justice contre la FDA pour la forcer à divulguer les données de l’essai clinique du « vaccin » Pfizer. Fait inédit, le laboratoire s’est invité dans le procès pour prêter assistance au régulateur américain. En 2022, un tribunal a finalement condamné la FDA à publier sous huit mois l’intégralité des données sur laquelle elle s’est appuyée pour homologuer l’injection Pfizer. Il lui avait fallu quatre mois pour conclure que le vaccin était sûr et efficace, elle réclamait 75 ans pour les éditer et les anonymiser, en invoquant la masse de données à traiter.

Près de 500 000 pages de données déclassifiées par la justice

La journaliste Naomi Wolf, fondatrice du site DailyClout jette aujourd’hui un énorme pavé dans la mare. En 2021, lorsque les premiers documents ont commencé à être publiés, le producteur de médias Steve Bannon (WarRoom) lui a lancé un défi qu’elle a accepté de relever : « Eh bien, vous allez lancer un projet pour les lire. » Elle a réuni une équipe de 3 250 médecins et scientifiques bénévoles qui ont analysé pendant deux ans les 450 000 pages de documents déclassifiés. The Pfizer Papers: Pfizer’s Crimes Against Humanity (Les documents Pfizer : Les crimes contre l’humanité de Pfizer)est le fruit de cette mise en commun de milliers d’intelligences individuelles.

Il contient l’intégralité des données collectées lors des essais cliniques et durant la phase dite de « post-commercialisation », c’est-à-dire entre décembre 2020 et février 2021, lorsque le vaccin a été déployé en population générale alors qu’il ne bénéficiait encore que d’une autorisation d’urgence – « un laissez-passer qui a permis à Pfizer de se précipiter sur le marché avec un produit qui n’a pas été entièrement testé ».

L’objectif est à la fois d’exposer l’éventail des fraudes commises par Pfizer avec la complicité des agences de régulation, et de démontrer qu’il ne s’agit pas d’un énième scandale sanitaire mais d’un authentique crime contre l’humanité, où les populations n’ont pas été informées qu’elles participaient à une expérimentation clinique et que la formule qui leur était injectée n’était pas celle qui a été homologuée :

De nombreuses personnes qui ont reçu cette injection, lors de son lancement en 2020-2021-2022 et jusqu’à aujourd’hui, n’ont pas réalisé que les tests normaux de sécurité d’un nouveau vaccin – tests qui prennent généralement dix à douze ans – avaient tout simplement été contournés grâce aux mécanismes de l’« état d’urgence » et de l’« autorisation d’utilisation d’urgence » de la FDA. Ils n’ont pas compris que le véritable « test » était en fait l’observation par Pfizer et la FDA de ce qui leur arrivait, à eux et à leurs proches, après que ces citoyens aient retroussé leurs manches et se soient soumis à l’injection. Nous ne devons jamais oublier que plusieurs millions de ces personnes qui se sont soumises à l’injection ont été « obligées » de la prendre, sous peine de perdre leur emploi, de voir leurs études suspendues ou de perdre leur poste dans l’armée si elles refusaient.

La plupart des informations contenues dans le livre ont été distillées sur le site DailyClout au fur et à mesure des livraisons de données par la FDA. En l’espace de deux ans, les auteurs ont analysé 2 369 documents et fichiers de données totalisant des centaines de milliers de pages et ont publié près d’une centaine de rapports. Ils sont désormais réunis dans un document de 408 pages, rédigé en anglais mais accessible à tous, à la fois par son circuit de diffusion et par l’effort de vulgarisation réalisé par les auteurs.

Principales informations contenues dans les Pfizer Papers

Naomi Wolf raconte la genèse de ce projet dans l’introduction du livre, où elle en détaille les informations les plus choquantes des documents Pfizer. La plupart ont été déjà publiées dans Le Point critique, mais l’intérêt des Pfizer Papers est de les avoir réunies dans un même espace, créant un effet de masse qui donne le vertige.

  • Pfizer savait dès décembre 2020 que les vaccins ne pouvaient pas stopper la propagation du COVID.
  • Pfizer savait à l’issue des essais précliniques que le matériel génétique ne reste pas dans le muscle deltoïde mais se disperse dans tout le corps en 48 heures « comme un coup de fusil », traverse toutes les membranes du corps humain et s’accumule dans les principaux organes : le foie, les glandes surrénales, la rate, le cerveau, les ovaires.
  • Pfizer a dû embaucher 2 400 personnes à temps plein pour traiter la « forte augmentation » des effets indésirables rapportés entre décembre 2020 et février 2021.
  • Pfizer savait dès avril 2021 que les injections endommageaient le cœur des enfants et des jeunes adultes.
  • Pfizer savait dès le 28 février 2021 que son injection était liée à une myriade d’effets indésirables graves :

COVID-19 sévère ; lésions hépatiques ; effets indésirables neurologiques ; paralysie faciale ; lésions rénales ; maladies auto-immunes ; engelures (une forme localisée de vascularite qui affecte les doigts et les orteils) ; syndrome de dysfonctionnement d’organes multiples […] ; activation d’infections herpétiques dormantes ; lésions de la peau et des muqueuses ; problèmes respiratoires ; structure pulmonaire endommagée ; insuffisance respiratoire ; syndrome de détresse respiratoire aiguë […] ; et le SRAS (ou SRAS-CoV-1, qui n’a pas été observé dans le monde depuis 2004, mais qui apparaît dans les documents de Pfizer comme un effet secondaire des injections). […]
Ensuite, des maladies sanguines à l’échelle industrielle : caillots de sang, caillots pulmonaires, caillots de jambe ; thrombocytopénie thrombotique […] ; vascularite […] ; taux astronomiques de troubles neurologiques – démences, tremblements, Parkinson, Alzheimer, épilepsies.
Des affections cutanées terribles. Une pléthore de problèmes cardiaques : myocardite, péricardite, tachycardie, arythmie, etc.

  • Pfizer savait que la plupart de ces événements indésirables étaient très probablement imputables au vaccin : la moitié des effets indésirables graves liés au foie, y compris les décès, et la moitié des accidents vasculaires cérébraux ont eu lieu respectivement dans les 72 heures ou les 48 heures suivant l’injection ;
  • Pfizer a enregistré plus de 1 233 décès au cours des trois premiers mois où l’injection a été déployée dans la population[1].
  • Pfizer savait à l’issue de son étude préclinique que l’injection était contre-indiquée pendant la grossesse. Il a exclu les femmes enceintes de l’essai pivot, mais elles ont été incitées agressivement à se faire injecter, sans aucune protestation de la part du laboratoire :

Les documents indiquent clairement que le fait de nuire à la capacité de reproduction de l’homme et de provoquer des avortements spontanés de bébés n’est « pas un bug, c’est une caractéristique ».

  • Pfizer savait que les nanoparticules lipidiques sont connues pour dégrader le système reproducteur :

Les nanoparticules, dont les nanoparticules lipidiques sont un sous-type, traversent la barrière sang-testicule et endommagent les cellules de Sertoli, les cellules de Leydig et les cellules germinales des hommes. Ces cellules sont les usines de la masculinité […]. Nous ne savons donc pas si les bébés garçons nés de mères vaccinées deviendront des adultes mâles et fertiles.

  • Pfizer connaissait les dommages menstruels causés par l’injection, il les a énumérés dans ses documents : « Les scientifiques de Pfizer ont calmement observé et noté tout cela, mais n’ont rien dit aux femmes. »
  • Pfizer savait dès le 28 février 2021[2] que son injection entraînerait des décès de bébés, des échecs de grossesse et des événements indésirables graves chez les femmes enceintes :

Dans une section des documents, plus de 80 % des grossesses suivies ont entraîné une fausse couche ou des avortements spontanés. Dans une autre partie des documents, deux nouveau-nés sont morts, et Pfizer a décrit la cause du décès comme une « exposition maternelle » au vaccin.

Des effets indésirables ont été observés dans plus de 54 % des cas d’« exposition maternelle » au vaccin, dont 53 cas d’avortement spontané (51)/avortement (1)/avortement manqué (1) après la vaccination.

Le lait maternel de quatre femmes est devenu « bleu vert ». Pfizer a produit un tableau de bébés malades, rendus malades à la suite de l’allaitement de mères vaccinées, avec des symptômes allant de la fièvre à l’œdème (poussée gonflée) à l’urticaire en passant par les vomissements. Un bébé a eu des convulsions et a été emmené en réanimation, où il est mort d’une défaillance du système à organes multiples.

  • Pfizer savait que son injection pouvait tuer :
    • le nombre de décès enregistrés lors de l’essai clinique était supérieur dans le groupe vacciné par rapport au groupe placebo ;
    • le nombre de décès dus à des événements cardiovasculaires a été multiplié par plus de 3,7 chez les sujets vaccinés.
  • Pfizer a falsifié les données de l’essai clinique pour obtenir l’autorisation de commercialiser son vaccin :

Pfizer a dissimulé huit décès vaccinés survenus au cours de l’essai clinique afin de donner aux résultats favorables pour recevoir son âge de l’EUA de 16 ans et plus.

  • Pfizer a mis fin à l’essai clinique pivot le 12 mars 2021 en vaccinant la quasi-totalité de la cohorte placebo, rendant impossible l’évaluation de la sécurité des injections, alors que le protocole prévoyait que les sujets soient suivis pendant deux ans.
  • Pfizer a signalé par écrit en octobre 2021 que pour les enfants âgés de 5 à 11 ans, « les dommages subcliniques [i. e. sans symptômes] se manifesteraient chez les patients à long terme », ce qui signifie que les injections répétées se traduiraient par des dommages cliniques, c’est-à-dire des séquelles.

Un volume d’effets secondaires d’ampleur biblique

Les Pfizer Papers détaillent également le bilan de la première année de la campagne de vaccination de masse, où les rapports de cas de maladies auto-immunes déclarés dans la base de pharmacovigilance américaine (VAERS) ont été multipliés par 24 entre 2020 et 2021. Les décès annuels liés à l’auto-immunité ont été multipliés par 37 sur la même période uniquement aux États-Unis, mais le bilan tiré par les lanceurs d’alerte australiens est aussi édifiant. La pharmacovigilance n’a donc jamais joué son rôle, elle a probablement servi à identifier les maladies qui seraient les plus lucratives à traiter après le tsunami vaccinal (500 nouveaux vaccins sont attendus pour les années à venir, avec près de 1 000 essais cliniques déjà en cours) :

En d’autres termes, ces injections ont manifestement causé très tôt des dommages très spécifiques à l’homme. Et au lieu de les arrêter ou de les retirer du marché, Pfizer a redoublé d’efforts, la FDA a redoublé d’efforts et le CDC [Centers for Disease Control and Prevention] a redoublé d’efforts ».Baletti B. Pfizer’s ‘Crimes Against Humanity’ — and Legacy Media’s Failure to Report on Them. Children Health Defense. 21/10/2024. /https://childrenshealthdefense-org.translate.goog/defender/naomi-wolf-the-pfizer-papers-book/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp.

Effets indésirables recensés dans le VAERS après une vaccination, 2021-2024

L’Agence européenne des médicaments (EMA) a estimé le 16 septembre 2022 que les données d’efficacité et de sécurité étaient suffisamment rassurantes pour précipiter l’homologation des vaccins. L’autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle a été convertie le 10 octobre 2022 en AMM standard, un an avant la fin de l’essai clinique pivot, prévue initialement en décembre 2023 (elle a finalement été avancée à fin avril 2023 pour Moderna et fin février pour Pfizer). Le résultat est accablant puisque les essais cliniques ont établi que l’efficacité des vaccins Pfizer et Moderna était négative, notamment sur les formes gaves. Le régulateur des essais cliniques précise par ailleurs pour Pfizer que la vérification de l’intégrité des données n’est pas terminée.

La FDA refuse de soumettre les dernières données

Naomi Wolf estime sur la base de ses données qu’« Il est impossible de ne pas conclure qu’il ne s’agit pas d’une négligence, d’une cupidité ou d’un manque de rigueur de la part du Pfizer ». Elle précise dans les Pfizer Papers :

J’ai voulu croire pendant très longtemps qu’il ne s’agissait pas d’un programme de dépopulation, mais finalement, les preuves contenues dans les documents Pfizer m’ont convaincue que c’était exactement ce dont il s’agissait.

La publication des Pfizer Papers peut-elle peser sur l’avenir du laboratoire et permettre le bannissement des injections ARNm COVID-19 ? Celui-ci a été voté par un tribunal régional australien en raison de quantités massives d’ADN non réglementaire retrouvées dans les vaccins Pfizer et Moderna, en particulier d’ADN d’un virus de singe (SV40) oncogène dans la formule commerciale des vaccins Pfizer, mais cette secousse n’a pas encore provoqué de répliques parmi les pays qui ont massivement injecté leur population :

La bataille se poursuit. Aucun des auteurs de ce crime massif contre l’humanité n’est en prison, ni même inculpé au civil ou au pénal. Il y a au moins trois procès contre Pfizer – deux des nôtres et un de Brook Jackson – mais, à ce jour, aucun de ces procès n’a abouti. Le litige traîne en longueur, mais il n’en reste pas moins que le mot est lâché. Le mot est lâché.

Moderna ne sera pas épargné par cette vague, la parution des Moderna Papers est annoncée pour le printemps prochain, mais on sait déjà que le régulateur australien a couvert la contamination des échantillons de son vaccin. En attendant, la FDA résiste autant qu’elle peut. Elle a déposé le 17 octobre une requête visant à faire faire rejeter la plainte de PHMT au motif qu’elle aurait livré l’ensemble des données réclamées par la justice, ce qui est contesté par l’avocat de PHMT, Aaron Siri, qui estime qu’un million de pages sont toujours séquestrées par la FDA. Manquent notamment à l’appel la liste complète des ingrédients présents dans le vaccin Pfizer ainsi que le résultat des contrôles qualité que l’agence est censée avoir effectués avant d’homologuer l’injection :

Le module 3, ou la documentation sur les contrôles de fabrication des produits chimiques, représente généralement environ 20 à 30 % de la demande d’homologation d’un nouveau médicament ou produit biologique, car il traite de la capacité du fabricant à démontrer que son processus garantit la pureté, la puissance et l’absence de contaminants dans le produit final tel que distribué au patient. Étant donné que de nombreux rapports, y compris dans des publications évaluées par des pairs, indiquent que le produit Comirnaty de Pfize est contaminé par des microARN non conformes, des plasmides d’ADN, du SV40, différents métaux, des protéines, des micro- et macro-objets dans les flacons, les défaillances du processus de fabrication suscitent de vives inquiétudes.Sasha Latypova, ancienne cadre de l’industrie pharmaceutique.

Seul bémol, le livre est proposé à la vente à 37 € et il est écrit en anglais. La biostaticienne et lanceuse d’alerte Christine Cotton, auteur de l’ouvrage Tous vaccinés, tous protégés, y a déjà exposé le dédale des fraudes et des violations des pratiques cliniques commises par Pfizer lors de la fabrication de son injection. Elle fut en réalité l’une des toutes premières à avoir compris l’ampleur de la fraude. Elle publie aujourd’hui un nouveau livre en anglais, de 213 pages, intitulé The trial was almost perfect (L’essai était presque parfait), disponible en téléchargement gratuit. Il serait dommage de se priver de cette lecture édifiante, où la chercheuse dissèque avec une précision chirurgicale le cadavre de l’essai clinique Pfizer.

L'essai était presque parfait, Christine Cotton, couverture
Christine Cotton. L’essai était presque parfait

Références

[1] Pfizer. 5.3.6 Cumulative analysis of post-authorization adverse event reports of PF-07302048 (BNT162B2) received through 28-Feb-2021. https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-postmarketing-experience.pdf?fbclid=IwAR0ojrw_W7XJAgf9yUS8STlUICMnEk1UvHeLH6EejSHBtrc63HOPrB57Mz0. Version republiée en avril 2022 : https://phmpt.org/wp-content/uploads/2022/04/reissue_5.3.6-postmarketing-experience.pdf.

[2] Pfizer. COVID-19 vaccine safety review for PLLR label update. BNT162b2 cumulative review from pharmacovigilance database: Pregnancy and lactation cumulative review. 2021 Apr 20. https://phmpt.org/wp-content/uploads/2023/04/125742_S2_M1_pllr-cumulative-review.pdf.

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Injections ARNm : un scandale sanitaire inédit

Pour des oncologues britanniques le lien de causalité est établi entre vaccins covid et cancers turbo, les statistiques américaines confirment le désastre.
Le Dr James Royle, chirurgien britannique de renom, a tiré la sonnette d’alarme face à une augmentation significative des « cancers turbo » agressifs et à propagation rapide.

Lire l’article

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Déclaration de Bruxelles : pour une réforme radicale des Ordres des médecins

Non aux Ordres qui nous trahissent.

En soutenant des politiques sanitaires inadaptées mais très favorables aux laboratoires pharmaceutiques, nos Ordres européens ont vendu la médecine aux financiers.
Nous sommes très nombreux à nous révolter contre cette scandaleuse complicité, mais l’inquisition que les Ordres organisent avec délectation, dissuadent très efficacement toute contestation et même toute tentative de débat. Ces procédés fachistes sont intolérables.


Lire l’article sur le site de l’Ordre Universel des praticiens de Santé

Voir également la vidéo d’Alain Colignon via la Web TV de Jean-Dominique Michel

La déclaration de Bruxelles

Déclaration de Bruxelles : pour une réforme radicale des Ordres des médecins Lire la suite »

Bill Gates face à un tribunal Néerlandais

Source : Profession Gendarme

C’est bien le tribunal néerlandais de Leeuwarden qui jugera si le milliardaire mégalomane Bill Gates, avec 16 autres accusé.es, est responsable des graves dommages causés à 7 citoyen.nes des Pays-Bas par l’injection de prétendus »vaccins » anti-Covid19 dont ni la sûreté ni l’efficacité n’étaient prouvées pendant la prétendue pandémie.

Les 7 citoyen.nes des Pays-Bas qui ont déposé une plainte le 10 juillet 2023 contre 16 personnalités et contre l’état des Pays-Bas affirment avoir été trompé.es par toutes les informations provenant du gouvernement, du milieu médical, des firmes pharmaceutiques et de la fondation Bill & Melinda Gates : ces personnes ordinaires ont cru à la dangerosité extrême du nouveau coronavirus chinois, elles avaient confiance dans les vaccins, elles se sont fait injecter le produit expérimental de Pfizer et elles sont tombées malades ensuite. Une de ces personnes est décédée après le dépôt de la plainte l’an dernier. Une autre était représentée par son père car, après avoir été injectée, elle est tombée malade et ne peut plus parler.

Au contraire des 16 autres accusé.es, Bill Gates n’a pas répondu aux griefs de la plainte : il a préféré, étant citoyen des États-Unis et ne résidant pas aux Pays-Bas, soulever l’incompétence du juge néerlandais. Celui-ci devait examiner cette question avant de se pencher sur le fond du dossier. Il y a donc eu une audience publique le 18 septembre 2024 au tribunal de district de Leeuwarden : elle a duré 1h.30 et certaines victimes ont pu s’exprimer.

Bill Gates n’était pas présent. Il était représenté par un avocat du prestigieux cabinet Pels Rijcken, qui n’a pas manqué de taxer les plaignant.es de complotistes…

Le jugement a été rendu le 16 octobre 2024 et c’est une première victoire, selon les deux avocats de l’association Recht Oprecht qui assistent les 6 victimes des injections : beaucoup trop de juges aux Pays-Bas soutiennent encore le programme des injections et ont du mal à croire à leur nocivité. Me Arno van Kessel constate que le jugement du tribunal a clairement enregistré les fondements des conclusions des plaignant.es. L’avocate française Me X, qui a publié deux vidéos Youtube sur ce sujet, pense elle aussi que c’est un bon signe, car le tribunal a pris la peine, dans son jugement de 9 pages, de rappeler les faits, de détailler l’argumentation des victimes, avant d’expliquer pourquoi la responsabilité de Bill Gates devait être examinée en même temps que celle des 15 autres accusé.es et celle de l’état néerlandais lui-même. S’il avait voulu mettre Gates hors de cause, il aurait pu simplement arguer de sa citoyenneté étatsunienne qui empêchait de le juger aux Pays-Bas.

L’examen de ce jugement est celui de l’avocate française Me X dans sa vidéo du 21 octobre 2024.

I. Rappel des faits et des griefs

Lorsque la pandémie de Covid-19 a été déclarée au printemps 2020, différentes mesures ont été adoptées aux Pays-Bas, dont le port du masque et un programme national de vaccination anti-Covid19. Le Premier ministre Mark Rutte, familier du Forum de Davos, a reçu de Klaus Schwab une lettre datée du 20 octobre 2020 : Schwab lui demandait de veiller que le projet de réforme post-Covid19 exposé dans son livre (la Grande Réinitialisation) soit mené à bien aux pays-Bas ; Schwab indiquait que les injections de  »vaccin anti-Covid19 » étaient cruciales pour la réussite du projet.

Mark Rutte avait également reçu fin 2020 une invitation à la réunion annuelle du FEM en mai 2021 et le jugement du tribunal de Leeuwarden cite un extrait de cette invitation :

« Cette réunion annuelle sera la première occasion pour les dirigeants des gouvernements et des entreprises de se réunir à nouveau et de concevoir une voie de relance commune et de reconstruire une société plus résiliente, plus cohésive et plus durable. Elle s’appuiera sur le processus de la Grande Réinitialisation (Great Reset), une mobilisation sans précédent d’idées concrètes issues de groupes d’action, de plate-formes et autres initiatives du forum pour façonner le monde de l’après Covid-19. »

Le jugement rappelle les faits concernant Bill Gates : ses liens avec l’organisation GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et l’immunisation), l’OMS et le Forum économique mondial (FEM) ou Forum de Davos dirigé par Klaus Schwab. Statutairement, l’objectif du Forum de Davos est : « la réunion de leadeurs du business, de chefs de gouvernement et de dirigeants économiques dans une communauté globale, s’engageant à améliorer l’état du monde. » Cette « amélioration du monde » a notamment été formulée par Klaus Schwab en juillet 2020 dans son livre Covid-19 : la Grande Réinitialisation (ou Great Reset).

En tant que directeur de la Fondation Bill & Melinda Gates et contributeur au budget de l’OMS, Bill Gates a depuis 20 ans largement financé des programmes de vaccination dans le monde et ses déclarations publiques font la promotion de tous les vaccins. Concernant les prétendus  »vaccins » expérimentaux contre le Covid-19, le juge néerlandais rappelle que, le 3 décembre 2020, lors d’une entrevue avec Bill Gates sur la chaîne étatsunienne NBC News qui fut ensuite publiée sur Youtube, le philanthrope milliardaire avait déclaré : « Il semble que presque tous les vaccins vont être un succès. »

Le juge rappelle que les plaignant.es lui demandent de constater que l’état des Pays-Bas et les 16 personnalités accusées ont manœuvré de façon illégale pour induire la population en erreur et l’amener à accepter les injections, alors qu’ils savaient ou auraient dû savoir que ces injections n’étaient ni sûres ni efficaces. Ce faisant, les accusé.e ont permis (selon les plaignant.es) de mettre en œuvre le projet de la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab : une réorganisation totale des sociétés humaines : « Dans cette réorganisation, tous les facteurs qui affectent la vie humaine sont soumis à un changement forcé par le FEM et l’ONU : la caractéristique de ce changement forcé est qu’il est planifié et présenté comme justifié parce que le monde souffrirait de crises majeures qui ne pourraient être résolues que par une intervention mondiale, centralisée et rigoureuse. L’une de ces grandes crises majeures serait la pandémie de Covid19. »

Toujours selon les plaignant.es, l’ensemble des accusé.es a pris des mesures illégales en vue d’amener la population à accepter des injections censées les protéger contre un virus allégué, ce qui a provoqué de graves préjudices pour les 7 victimes une fois reçues les injections.

II. La compétence du juge néerlandais pour cause de « connexité ».

Pour décider si le tribunal néerlandais de Leeuwarden peut juger le citoyen étasunien Bill Gates avec les 16 autres accusé.es, le juge va utiliser deux moyens de droit, l’un national et l’autre européen.

L’article 7§1 du Code de procédure civil néerlandais dit que, si un tribunal néerlandais possède juridiction sur un parmi plusieurs défendeurs dans un même dossier, alors il a juridiction sur tous les autres, à condition qu’il y ait une telle connexité entre les plaintes contre les différents défendeurs que cela justifie l’opportunité de ne pas séparer les accusés.

Puis, pour renforcer cette disposition nationale et parce qu’il n’existe aucun traité spécifique entre les USA et les Pays-Bas, le juge a cherché dans les règles communes du droit international privé relatif à la compétence judiciaire, et notamment dans la jurisprudence de la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE).

« Selon la jurisprudence de la cour de justice de l’union européenne, il y a connexité lorsque :

  1. la demande est fondée sur le même complexe de faits
  2. les demandes sont juridiquement si étroitement liées qu’on ne peut raisonnablement s’attendre à ce que le demandeur fasse traiter son affaire par différents tribunaux.

Si les deux conditions sont remplies, on peut supposer que le traitement commun des créances (les demandes des plaignants) est justifié pour des raisons d’efficacité et que l’exigence de prévisibilité est remplie. »

Le tribunal de Leeuwarden, ayant examiné tous les faits qui étaient reprochés aux 17 personnes (morales et physiques) citées dans la plainte de Recht op Recht, expose alors ceci.

« Les plaignant.es fondent leur plainte contre les défendeurs sur le fait que ceux-ci, en tant que groupe international, ont agi illégalement à leur égard. Les défendeurs, et donc Bill Gates, font partie d’un groupement international de personnes individuelles, entités juridiques et autres entités qui, dans le cadre de la mise en œuvre d’un projet appelé « Covid19 : the Great Reset » ont induit les gens en erreur afin de leur faire accepter des injections de vaccins anti-Covid19, alors qu’ils savaient ou auraient dû savoir que ces injections n’étaient ni sûres ni efficaces. »

Il résulte de la plaidoirie de Bill Gates que celui-ci a compris de la même manière la position des plaignant.es. Notamment, « les plaignant.es soutiennent que Bill Gates a commis cette tromperie au niveau international en publiant sur Youtube deux vidéos en avril et décembre 2020 : dans ces vidéos, Bill Gates aurait fait de fausses déclarations respectivement sur la nécessité des injections anti-Covid19 et sur leur sûreté pour la population. Parce que Bill Gates pouvait prévoir que ces actions collectives pourraient créer des dommages tels que ceux subis par les plaignant;es, il est, selon les plaignant;es, responsable de ces dommages en vertu du code civil hollandais. »

Le juge poursuit : « Bill Gates peut considérer que les actes illégaux qui lui sont reprochés différent des actes illégaux reprochés aux autres défendeurs ; mais cela ne change rien au fait que, pour les plaignant.es, toutes ces actions ont été accomplies par un groupe et que le fondement des réclamations doit d’abord évaluer si, comme le prétendent les plaignant.es et comme Bill Gates le conteste, il existe un groupe international de personnes physiques, de personnes morales et autres entités qui, dans le cadre de la mise en œuvre d’un projet appelé « Covid19 : the Great Reset », ont amené des personnes à recevoir des injections anti-Covid19 dont elles savaient ou auraient dû savoir qu’elles n’étaient ni sûres ni efficaces.

Il existe un risque qu’un jugement séparé des réclamations contre les défendeurs conduise à des jugements contradictoires sur cet ensemble de faits, qui est le même pour tous les défendeurs et qui constitue la base de leur prétendue responsabilité dans un délit collectif.

Au vu du cadre susmentionné, la cohérence requise entre la réclamation contre Bill Gates et celles contre les autres défendeurs est donc établie. Le tribunal de Leeuwarden a donc une compétence internationale pour entendre la plainte contre Bill Gates sur la base de l’article 7§1 du Code de procédure civile néerlandais. »

Par ailleurs, puisque William Henry Gates III a eu tort de tenter d’échapper à un procès en contestant la compétence du tribunal, il a été condamné à payer les frais juridiques en tant que partie perdante, soit 1 406,00 € (frais d’avocats et frais procéduraux supplémentaires) que Gates doit payer dans les 14 jours. Ce jugement du 16 octobre 2024 est provisoirement exécutoire et détermine que l’affaire sera remise à l’ordre du jour le 27 novembre 2024 pour une conclusion de réponse de la part de Bill Gates.

L’avocate française Me X. qui a fait l’analyse de ce jugement dans sa vidéo du 21 octobre 2024 résume ainsi le raisonnement du juge néerlandais : puisque les plaintes des sept citoyen.nes des Pays-Bas contre les 17 défendeurs sont fondées sur le même ensemble de faits et sont donc liées par  »connexité », et puisqu’un tribunal indépendant ne peut permettre d’aboutir à une situation où la décision qui serait rendue à l’étranger contre Bill Gates et aux Pays-Bas contre les autres accusés seraient contradictoires – car cela porterait préjudice à l’ensemble des plaignant.es qui accusent Bill Gates au même titre que les autres –, alors il est nécessaire de juger Bill Gates devant le même tribunal néerlandais qui jugera les autres accusé.es.

Jocelyne Chassard

Sources :

Bill Gates face à un tribunal Néerlandais Lire la suite »

Jury : Les travailleurs licenciés pour avoir refusé le vaccin contre le COVID-19 recevront plus d’un million de dollars chacun

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale

Les responsables des transports ferroviaires de la région de la baie de Californie ont été condamnés à verser plus de 7 millions de dollars aux employés des transports qui avaient été licenciés parce qu’ils avaient refusé de se faire vacciner contre le COVID-19 il y a plusieurs années.

Le 23 octobre, un jury fédéral du tribunal de district du nord de la Californie a donné raison à six anciens employés de la société de transport régional de la baie de San Francisco (BART) qui avaient refusé de se faire vacciner pour des raisons religieuses.

BART a été condamné à verser au groupe plus de 7,8 millions de dollars, chaque individu recevant entre 1,2 et 1,5 million de dollars, a déclaré le 24 octobre le Pacific Justice Institute, qui représentait les travailleurs des transports en commun dans le procès. L’institut, un cabinet d’avocats qui représente les six anciens employés depuis 2022, a déclaré que le jury de huit personnes a délibéré pendant deux jours cette semaine avant de rendre le verdict qui a accordé les indemnités aux employés.

Il y a environ une semaine, le jury fédéral a également déterminé que BART n’avait pas réussi à prouver qu’il avait subi une contrainte excessive en refusant des aménagements aux anciens employés dans cette affaire.

Le 23 octobre, le jury a en outre estimé que les six employés s’étaient acquittés de la charge de démontrer qu’il existait un conflit entre leurs croyances religieuses et la vaccination obligatoire de BART, qui a été mis en œuvre en 2021.

Selon le cabinet d’avocats, le jury a également accepté les chiffres avancés par les plaignants pour les pertes de salaire qu’ils ont subies après avoir perdu leur emploi. Le jury a ensuite ajouté 1 million de dollars chacun à ces chiffres, a indiqué le cabinet, qualifiant le verdict de « tremblement de terre juridique ».

« Les employés des chemins de fer ont choisi de perdre leur gagne-pain plutôt que de renier leur foi. Cela montre en soi la sincérité et la profondeur de leurs convictions », a déclaré Kevin Snider, avocat en chef de l’Institut de la justice du Pacifique, qui était l’avocat principal du procès. « Après près de trois ans de lutte, ces travailleurs essentiels ont le sentiment d’avoir été entendus et compris par le jury et sont ravis et soulagés par le verdict.

Le cabinet d’avocats a déclaré : « Au cours du procès, les jurés ont entendu des témoignages convaincants d’employés dévoués. L’un des plaignants avait travaillé pendant plus de 30 ans pour BART, avec 10 ans d’assiduité parfaite, avant d’être licencié sans ménagement. Une autre était en arrêt de travail depuis des mois, sans date de retour prévue, lorsqu’elle a été licenciée ».

Les avocats de BART ont fait valoir que les nombreux employés qui n’étaient pas d’accord pour recevoir le vaccin avaient des raisons laïques, et non religieuses. Mais le jury n’a pas accepté ces arguments, selon le Pacific Justice Institute.

Le mandat de vaccination a été approuvé par le conseil d’administration de BART en octobre 2021 et stipulait que tous les employés devaient être vaccinés contre le COVID-19. Il permettait à certains employés d’être exemptés du vaccin, notamment pour des raisons religieuses.

Un an plus tard, les employés de BART ont intenté une action collective en justice, accusant l’opérateur de refuser des accommodements religieux en violation de la législation de l’État.

Le juge de district William Alsup, qui a présidé le procès contre BART, a décidé que les politiques de l’opérateur ne violaient pas le droit à la liberté religieuse des employés, selon une ordonnance qu’il a rendue en mars.

Une autre ordonnance rendue par Alsup en janvier indiquait que BART avait reçu 188 demandes d’exemption et d’accommodement religieux, et que 40 d’entre elles avaient choisi de ne pas aller jusqu’au bout de la procédure. Ces personnes ont été licenciées ou ont finalement été vaccinées.

« La classe putative des plaignants échoue parce que ses membres ont peu en commun au-delà de leur demande d’accommodement religieux », a déclaré le juge dans son ordonnance. « Ils ne partagent pas une objection religieuse commune. Ils ne partagent pas une vocation ou un ensemble de droits contractuels. Ils ne présentent pas un ensemble similaire d’aménagements potentiels et de charges associées. Ils ne présentent pas les mêmes préoccupations en matière de santé et d’exposition. »

« Les aménagements potentiels n’ont pas d’incidence sur le même groupe de travailleurs. Ces travailleurs n’ont pas les mêmes droits négociés ».

Epoch Times a contacté BART pour obtenir des commentaires le 25 octobre mais n’a pas reçu de réponse avant l’heure de publication. Le porte-parole de l’opérateur ferroviaire, James Allison, a déclaré au média local SFGate qu’il n’avait « aucun commentaire » à faire sur le verdict.

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Turbo-cancers, maladies auto-immunes et pathologies neurologiques survenant après la vaccination ARNm anti-covid

Autour du déferlement prochain de preuves accablantes concernant les fraudes gravissimes qui ont entouré la mise sur le marché de certains produits à ARNm, il demeure toujours aussi nécessaire et aussi difficile d’en évaluer les effets indésirables, tous soigneusement niés, donc camouflés. Voici le témoignage exceptionnel d’une courageuse pathologiste allemande, Ute Krüger, qui a décidé de communiquer autour de son expérience professionnelle amassée pendant toutes ces années COVID. C’est accablant et pourtant rien ne bouge, on continue imperturbablement à promouvoir ces injections pour soi-disant protéger les populations occidentales contre… l’hiver. Jusqu’à quand la cécité, voir la corruption la plus échevelée? Bonne lecture.

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Vaccins pédiatriques “classiques”: résidus toxiques, nanoparticules métalliques et ADN étranger

Dans un article précédent, nous avons rapporté les observations du Dr Ana Mihalcea dans la vidéo “Qu’y a-t-il dans les vaccins Covid?“. Cette vidéo a suscité beaucoup de réactions, certaines mettant en avant un manque de rigueur scientifique de la part du Dr Ana Mihalcea. Comme annoncé, nous publierons prochainement d’autres documents qui convergent et/ou contestent ses affirmations.

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Voir également l’interview de Senta Depuydt par Nexus il y a trois ans. Elle revient sur son article pémonitoire publié dans ce même magazine en 2019.

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