Cette étude estime le fardeau du COVID-19 sur la mortalité en Allemagne. On s’attend à ce que de nombreuses personnes soient décédées à cause du nouveau virus COVID-19 qui, autrement, ne seraient pas mortes. L’estimation du fardeau de la pandémie de COVID-19 sur la mortalité par le nombre de décès liés au COVID-19 officiellement signalés s’est avérée difficile pour plusieurs raisons. Pour cette raison, une meilleure approche, qui a été utilisée dans de nombreuses études, consiste à estimer le fardeau de la pandémie de COVID-19 en calculant la surmortalité pour les années pandémiques. Un avantage d’une telle approche est que les impacts négatifs supplémentaires d’une pandémie sur la mortalité sont également couverts, comme une éventuelle pression induite par une pandémie sur le système de santé. Lire l’étude
« La série, dont les deux premiers volets sont sous-titrés en français, aborde les nombreux parallèles entre l’Holocauste et les trois dernières années de confinement avec ses procédures médicales forcées. Elle s’appuie sur l’expérience de Vera Sharav en tant que survivante et en tant que mère d’Amikhai Sharav, un jeune homme décédé des suites de la prise d’un médicament, dont les risques n’avaient pas été divulgués au public. » Senta Dupuydt
Le texte ci-dessous est une fiction. Toute ressemblance avec des personnes ou des événements existants ou ayant existé ne serait que pure coïncidence.JCI
C’est en février 2020 que la rumeur véhiculée par les médias a commencé à se répandre. Un virus redoutable s’abattait sur l’Europe. Venu de Chine, où il continuait de dévaster une région entière, il se répandait rapidement en Italie du Nord, faisant de nombreuses victimes. C’était en 2020, en France et nous étions toujours en état d’urgence sécuritaire à cause des attentats. Nous avions 20 ans et la belle et légitime insouciance de la jeunesse avait abandonné notre génération depuis longtemps. L’ultralibéralisme avait épuisé toutes nos ressources et commençait à éradiquer l’humain de la planète.
La communication, dans un premier temps, fut très rassurante. Le gouvernement nous fit savoir que « chez nous », en France, la situation était totalement maîtrisée. Aucune chance que ce virus passe nos frontières. Un peu comme le nuage radioactif venu de Tchernobyl et qui fut bloqué à l’entrée de notre pays en 1986. De toute manière, notre nation était prête à affronter n’importe quelle pandémie. Notre ministre de la Santé, qui devait, quelque temps plus tard, démissionner pour briguer un poste à la mairie de Paris était catégorique. Nous n’avions aucune raison de nous inquiéter et c’est pourquoi le 15 mars nous pouvions aller voter pour les municipales. Pourtant, deux jours plus tard, le pays était totalement confiné. C’est ainsi, dans une complète dissonance cognitive, que le régime totalitaire de Pandémia posa ses premiers jalons en France, mais aussi sur toute la planète dont la moitié de ses habitants fut également contrainte à un maintien à résidence.
Bien entendu, nous ne savions pas que, jamais, dans l’histoire de la médecine, aucune épidémie n’avait été éteinte en isolant les non-malades. Cette mesure nous semblait logique, cohérente. Le slogan « Restez chez vous ! » se mit à fleurir un peu partout dans les médias et sur les réseaux sociaux. Nous étions presque heureux de pouvoir participer à cette action nationale, mais aussi planétaire, même si, pour la majorité des citoyens, rester cloîtré 24 heures sur 24 dans 30, 40 ou 50 mètres carré avec des enfants en bas âge était un vrai calvaire. Même si le nombre des violences conjugales devait exploser. Même si une quantité phénoménale de personnes devait renoncer à soigner leurs propres maladies. Le Covid 19 (c’était le nom de la maladie provoquée par le virus qui lui s’appelait le SARS-CoV-2) était devenu l’ennemi public numéro un.
Puis, pendant ce confinement qui dura deux mois, les choses ont lentement dégénéré jusqu’à partir en vrille. On nous a demandé de faire nous-mêmes nos propres autorisations de sortie. Pas plus d’une heure, obligation de ne pas s’éloigner au-delà d’un kilomètre de son domicile et seulement pour des motifs autorisés. Les contrevenants s’exposaient à des amendes ou des peines de prison après trois récidives. Des hélicos furent même spécialement dédiés à la traque de promeneurs solitaires en montagne, sur les plages ou en forêt. Alors, un monde virtuel s’imposa à nous : enseignement, contacts familiaux, culture, travail (quand c’était possible) ne devinrent accessibles que par le filtre des écrans. Pendant ce temps, certains services de réanimation étaient en zone rouge : plus assez de lits, pas de masques (les stocks de l’État avaient disparu), pas de protections ni de blouses, pas de tests, pas assez de personnel. Il faut savoir que 69 000 lits hospitaliers avaient été supprimés durant les 15 dernières années par les gouvernements successifs, de gauche comme de droite…
Rapidement, tous les services des hôpitaux de France autres que ceux du Covid 19 se sont vus désertés ou transformés en unité Covid selon les besoins de l’épidémie. Des soins et des opérations ont été reportés. On appelait ça un Plan blanc. Le soir à 20 heures, il fallait même applaudir aux fenêtres le personnel soignant devenu des héros, mais toujours maintenu par nos dirigeants dans le plus total dénuement et qui en paya un lourd tribut. Curieusement, la médecine de ville semblait écartée de toute cette histoire. Le Conseil scientifique, composé de compétences douteuses, mais toutes arrosées par les labos pharmaceutiques, nous avait dit qu’aucun traitement n’existait et qu’il fallait attendre la venue d’un vaccin. Ainsi, si l’on commençait à ressentir les symptômes de la maladie, la seule chose à faire était de prendre du paracétamol et d’attendre la guérison ou d’appeler le SAMU en cas de détresse respiratoire ou si l’on se sentait défunter. En fait on avait peu d’information sur ce virus, sur sa contagion, sur la gravité de la maladie et les symptômes qu’il provoquait. Cependant, tous les soirs sur les chaînes d’information télévisées et radiophoniques les morts étaient comptés par le sombre directeur général de la Santé.
Dans le même temps, nos ministres nous dirent que les masques, pour le grand public et ceux qui travaillaient encore, étaient totalement inutiles. Il fut d’ailleurs rapidement devenu impossible d’en trouver et les pharmaciens qui en avaient encore se virent même interdits d’en vendre ou même d’en donner sous peine d’amende, voire de prison. Devant l’absence de tests, les labos vétérinaires, habitués à ce genre d’exercice, ont alors proposé leur aide qui contrairement à leurs homologues allemands, a été refusée par les instances gouvernementales. Des négociants, travaillant depuis longtemps avec la Chine et qui avaient la possibilité d’importer de grosses quantités de masques grâce à leurs contacts furent également écartés.
Et puis une grande partie de la vie économique s’est arrêtée. On s’est vite rendu compte que notre alimentation et la plupart des biens de consommation dépendaient totalement de l’extérieur du pays. Qu’ils faisaient parfois un long voyage avant d’arriver dans nos foyers. Le spectre de la pénurie planait au-dessus des populations. Du coup, la nécessaire décroissance, tant attendue par certains, était, si je peux dire, à notre porte. Mais ce n’était évidemment pas sous cette forme brutale et barbare que ses partisans l’avaient imaginée. Il fallait attendre, attendre que ce Covid19 sans traitement trouve son vaccin.
C’est à ce moment que sur les réseaux sociaux est apparu un type qui prétendait avoir le remède contre le méchant virus ; une vieille molécule contre le paludisme, pas chère et facile à fabriquer. Elle pouvait dès les premiers symptômes de la maladie, selon lui et son équipe, soigner et guérir. Ce médecin/chercheur, un peu chevelu et barbu, directeur d’un institut hospitalo-universitaire (IHU) en maladies infectieuses à Marseille, et classé mondialement comme l’un des meilleurs dans son domaine fut rapidement hué et traité de fou par tous nos médias et scientistes psychorigides dont la religion venait d’être salie. Ce mécréant avait écarté l’Evidence-Based Medicine au profit d’un pragmatisme reposant sur l’observation, l’expérience et le soin. Grave erreur, même si blasphémer était encore théoriquement possible en France. Qu’il teste et soigne avec son unité des milliers de personnes n’y changea rien. Que de multiples études, anciennes et plus récentes, produites par les Chinois, prouvent que le protocole qu’il utilisait, fonctionnait, non plus. La Science dans sa grandeur dogmatique avait décidé que seule une étude occidentale en double aveugle et contre placebo pouvait valider ce remède farfelu. Ce qui n’était pas très éthique, car donner un placebo à quelqu’un dans un état critique va un peu à l’encontre du serment d’Hippocrate. Mais bon, passons. Nous apprîmes d’ailleurs dans la foulée que très peu de temps après le début de l’épidémie, cette molécule contenue dans différents médicaments délivrés sans ordonnance à des millions de personnes et depuis plus de 50 ans venait d’être classée dans la catégorie des poisons. Son utilisation n’était maintenant autorisée que dans un cadre hospitalier. Mais curieusement, durant cette période, l’armée française en acheta une tonne.
En fait, l’étude randomisée tant attendue ne vit jamais le jour officiellement. En revanche, plusieurs autres études bidon concoctées par des scientifiques corrompus s’en donnèrent à cœur joie contre le traitement qui perturbait les plans d’un Big Pharma totalement décomplexé. Devant leur amateurisme et la multitude de leurs biais, les prestigieuses revues les ayant publiées furent tout de même obligées de se rétracter, mais il était trop tard, le mal était fait. De nombreux pays interdirent donc, dans le traitement du Covid, l’utilisation de la molécule persécutée, en s’appuyant sur des études erronées alors que nombre de médecins, people ou politiques se traitèrent avec, sans état d’âme mais dans le plus grand secret. Heureusement, dans d’autres hôpitaux, d’autres médecins soignèrent. Des médecins de ville aussi. Ce qui leur valut d’être menacés de radiation par le Conseil de l’Ordre. Depuis quand un toubib devait-il soigner ses patients ? Puisqu’il n’y avait, scientifiquement, pas de remède ! C’est peut être pour ça que les personnes de plus de 75 ans se virent, par décret gouvernemental, refuser l’accès aux hôpitaux pendant que dans les ehpad et même à domicile, en guise de derniers sacrements, ce même décret, dans un souci de compassion, autorisait (encourageait ?) les médecins à leur injecter un sédatif totalement déconseillé dans les détresses respiratoires, facilitant ainsi une issue fatale que rien ne permettait d’attribuer au cruel virus, puisque ces personnes n’étaient pas testées et qu’il était interdit, selon les directives de l’OMS, de les autopsier. Finalement, et en s’appuyant sur l’une des études fallacieuses et dépubliées, le médicament gênant fut totalement interdit par notre ministre de la Santé, l’Agence nationale de sécurité du médicament et la Haute autorité de santé. Ainsi que l’antibiotique associé au traitement. Curieux d’interdire à la fin du pic épidémique un antibiotique utilisé lui aussi depuis si longtemps sur les coronavirus, non ? Car contrairement à la croyance populaire, les médecins ne pouvaient ignorer que certains macrolides ont une réelle action anti-virale. De nombreuses études l’avaient déjà démontré. Son usage aurait également évité les complications bactériennes comme celles responsables, bien plus que le virus, de l’hécatombe provoquée par la grippe espagnole. Hélas, les antibiotiques n’étaient pas encore connus à cette époque. En gros, les toubibs avaient perdu leur droit de prescrire.
Alors, ceux qui devaient mourir moururent, certains furent gravement secoués, mais la grande majorité des contaminés fut quand même asymptomatique. Bien que provoquant des pathologies étranges, ce virus n’était finalement pas si mortel ni contagieux, bien qu’en matière de létalité, la France ait occupé le haut du podium par rapport à certains de ses voisins européens ou africains qui n’appliquaient pas les mêmes mesures et soignaient avec le traitement interdit. Les chiffres officiels, pour ceux qui voulaient bien se donner la peine de les consulter, pouvaient en attester. On avait plus de 99 % de chance de ne pas succomber du Covid si on le croisait. D’ailleurs, mourrait-on du Covid ou avec le Covid (le CDC devait constater plus tard que le Covid 19 seul ne concernait que 6 % de la totalité des décès attribués à cette maladie) ? La plupart des décès concernaient des personnes très âgées avec de grosses pathologies ou d’autres plus jeunes, mais avec de grands facteurs de comorbidité. Bien sûr, tout individu, scientifique ou pas, échafaudant ces constats était immédiatement rangé par les bien-pensants dans la case des pervers narcissiques et complotistes. En fait, la majorité des gens ne voulaient pas se prononcer, arguant le fait qu’ils n’étaient ni médecin ni virologue ou épidémiologiste et déléguant leur pensée aux sachants, en tous cas la partie d’entre eux largement médiatisée qui propageait la seule vérité, sans pour autant être exempts de conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique.
Puis on nous libéra. L’été fut mitigé : virus, pas virus, annonces de traitement par les labos, puis rétractations, avions-nous le droit de sortir du territoire, nos voisins étrangers pouvaient-ils venir chez nous ? Les informations contradictoires ne furent pas en manque de la part de nos dirigeants. Quoi qu’il en soit, la peur ne devait pas retomber. Depuis la fin du printemps, il était déjà question d’une deuxième vague épidémique qui allait nous submerger dès la sortie du déconfinement. Comme elle ne vint pas comme prévu, on nous l’annonça successivement pour après la fête de la musique, le retour des vacances estivales puis l’automne. On parla d’un nouveau confinement, alors que, une fois encore, si l’on voulait bien s’informer, de nombreuses études en montraient l’inutilité et la nocivité (l’OMS finit d’ailleurs par le déconseiller). Les masques à l’intérieur de tout espace public furent rendus obligatoires. Et les propos alarmistes relayés par les médias mainstream, propriétés de milliardaires dégénérés, s’amplifièrent jusqu’au mois de septembre. La rentrée des classes se fit masqué ; pour les enseignants, mais aussi les élèves âgés de plus de 11 ans. On asphyxia donc nos enfants, parfois comme ce fut le cas en Allemagne, jusqu’à la mort, les enseignants faisant scrupuleusement appliquer les consignes de l’État et les forces de l’ordre investissant les établissements scolaires afin de vérifier que lesdites consignes étaient bien respectées. Les élèves en étaient réduits à se cacher dans les toilettes pour pouvoir respirer. Puis le nombre de tests PCR (ceux dont on avait tant manqué durant le pic épidémique, mais dont la fiabilité était plus que douteuse) s’accéléra, dépassant le million par semaine et transformant en gouffre le budget de notre Sécurité sociale. Des foules terrorisées, mais sans symptôme vinrent faire la queue pour se faire tester. Et les « cas positifs » grimpèrent en flèche. Forcément, puisque le nombre de cycles d’amplification réalisés sur ces tests pour détecter une trace du virus restait très élevé et qu’il n’était, de toute façon, pas communiqué par les labos ni aux médecins, ni aux patients. Une sorte de psychose collective s’installa. Il ne s’agissait pourtant que de « cas positifs », c’est-à-dire de personnes ayant croisé un jour un coronavirus, pas forcement le SARS-CoV-2. Et très majoritairement de faux positifs, vu la quantité de cycles d’amplification pratiquée. Donc, très peu de gens malades, peu d’hospitalisations ou de mises en réanimation, les chiffres officiels pouvaient une fois de plus le démontrer. Le rapport 2020 de l’ATIH fera état l’année suivante d’un taux d’hospitalisation de seulement 2 % pour le covid Mais la peur, distillée par les médias, s’était installée. Une peur irrationnelle qui avait investi tous les cerveaux. Les critères d’identification d’une épidémie avaient changé discrètement : on ne parlait plus de malades ni de morts, mais de cas. Le glissement sémantique avait opéré. Ne pas respecter ces nouvelles règles et ce discours sécuritaire revenait à mettre la vie d’autrui en danger, mais aussi à s’exposer à des sanctions très sévères. Toute personne, enfants compris, dite « positive » était immédiatement exclue et mise en quarantaine.
Le masque devint bientôt obligatoire en toute circonstance. Dedans, dehors, à la ville, à la campagne, pour travailler, en famille. Il fut même chaudement recommandé dans nos rapports intimes par nos amis canadiens. La folie quoi ! Des personnes seules et masquées au volant de leur voiture furent rapidement monnaie courante. Certains faisaient même leur footing avec cette muselière rapidement nauséabonde, véritable piège à bactéries et virus. De nouvelles pathologies se mirent à fleurir : acné, rougeur, rosacée, dermite, eczéma, essoufflement, déshydratation… Ne parlons pas du gaz carbonique inhalé provoquant des vertiges ni des produits toxiques contenus dans certains masques. Pourtant, aucune étude scientifique sérieuse n’était capable de démontrer les bénéfices et l’efficacité d’un tel bâillon. La police se mit à traquer les citoyens non masqués. Tout contrevenant s’exposait à une amende, voire une peine de prison après trois récidives. Les forces de l’ordre d’un état australien, bien que l’Australie ne comptait pratiquement plus de décès, pouvaient même, sous le coup d’une dénonciation, les jeter en prison sans autre forme de procès. En revanche, dans le même temps, l’État français continuait de supprimer un nombre considérable de lits d’hôpitaux et de moyens pour la Santé. De son côté, la censure commença à opérer sur les réseaux sociaux. Associés aux fake checkers de grands quotidiens, les GAFAM devinrent les gardiens de la bonne pensée. Loin, bien sûr, de tout propos haineux, il devint impossible de partager des informations non conformes à la parole officielle. Les mensonges et les mesures absurdes de l’État, les chiffres manipulés sur le nombre de « cas », l’absence de traitements précoces, pourtant efficaces, le nombre d’hospitalisations et même de morts attribué un peu trop souvent et facilement au Covid, ne pouvaient pas être remis en question sans que l’on soit traité de traître à la Nation, de dangereux complotiste ou même de révisionniste. Les enfants et les adolescents furent sommés avec l’aide d’une propagande abjecte de s’éloigner définitivement de leurs grands-parents s’ils ne voulaient pas les tuer en les contaminant. Des scientifiques, des médecins et des chercheurs parfois seuls ou en collectifs, à partir de données factuelles, essayèrent pourtant d’endiguer la peur, mais malgré leurs diplômes, leurs titres et leur expérience ils furent ridiculisés, traités de « rassuristes » par les médias dont la voix était devenue parole d’évangile. À ce moment, plus de 90 études émanant de chercheurs renommés et en faveur d’un protocole utilisant la molécule interdite, associée ou non à des macrolides ou du zinc, virent également le jour. Que ces modes de soins soient utilisés avec succès dans de nombreux pays émergents ne changea pourtant pas l’opinion française. Les médias étaient catégoriques : tout ceci était inefficace et dangereux, car non prouvé ! La majorité des médecins désinformés continuèrent donc à les ignorer (parfois sans savoir que la molécule en question venait tout de même d’être discrètement réautorisée sur ordonnance) tout en fustigeant, sur les forums dédiés à leur profession, leurs confrères prescripteurs de ces traitements. Une odeur pestilentielle de totalitarisme s’était répandue sur notre planète déjà pas trop en forme.
L’expérience de Milgram, associée à La Théorie du choc, se déroulait, sous nos yeux aveuglés, à l’échelle de l’humanité. On nous tuait au nom de la vie. Quand je pense qu’il eut suffi que tous ces gens bien portants et sans symptômes ne se fassent pas tester pour que tout s’arrête, se dégonfle. Avaient-ils seulement compris que dans la logique de leur folle terreur ils devraient se faire tester tous les cinq jours, encore et encore ? Savaient-ils que quotidiennement et bien avant l’épidémie, mouraient entre 1 600 et 1800 Français ? Peut-être, tout simplement, venaient-ils de réaliser qu’ils étaient mortels ? Nous étions devenus les instigateurs de notre propre souffrance. Une fiction maintenait les populations dans la sidération et seul, nous disaient un inquiétant milliardaire et ses serviteurs, un vaccin d’un nouveau type administré aux 7 milliards d’individus peuplant la planète, les sauverait du terrible fléau. Mais pouvions-nous vraiment faire confiance à un informaticien dont la principale obsession était de réduire la population mondiale ? Ce vaccin était pourtant une véritable folie en termes de bénéfices/risques puisque le taux de létalité de ce virus, proche de celui de la grippe était ridiculement bas et qu’il était possible de soigner les malades dès la première phase de la maladie. En revanche et selon les sources de l’ONU, 25 000 êtres humains mouraient de faim chaque jour dans le monde. Un fait sûrement sans importance face au Covid, puisqu’une loi autorisant les vaccins ARNm fut quand même votée en catimini et sans débat au parlement européen. Aux États-Unis, une société inconnue et n’ayant jamais rien produit dans ce domaine se trouva même parmi les leaders dans cette course au vaccin qui de toute façon, à cause des multiples mutations constatées du virus, semblait illusoire. Orwell faisait figure de rigolo face à la poignée de dingos, qui en plusieurs décennies et grâce à leur pognon, avait accédé à tous les pouvoirs et corrompus, voire investi la quasi-totalité des gouvernements mondiaux pour finalement mettre en place une répression financée par nos propres impôts et animée par des forces de l’ordre ayant totalement oublié leur mission : protéger les populations et non les persécuter.
Au cours des mois suivants, les multiples mutations du virus le rendirent infiniment moins dangereux pour les personnes fragiles ou très âgées qui pouvaient le rencontrer. En cet automne 2020, la surmortalité dont était responsable le Covid, s’élevait d’après l’INSEE à 30 000 personnes. Pourtant, si l’on tenait compte des données suivantes, en France, l’action meurtrière de ce virus pouvait être remise en cause : – Curieusement, la grippe de 2019/2020 n’avait fait officiellement que 72 morts contre une moyenne de 10 000 les précédentes décennies. Où étaient passés ces morts ? La grippe avait-elle fait cette année un deal avec le Covid ? – L’interdiction de soigner avait entraîné un débordement des hospitalisations et des réanimations, mais surtout tué beaucoup de monde. Un professeur de médecine réputé évaluait ces décès à 20 000. – Aucun chiffre n’était disponible quant aux morts provoquées par la canicule particulièrement sévère de l’été 2020. – Combien de décès avaient-ils pu être causés par le refus d’hospitalisation des plus de 75 ans, l’absence de soins, de consultations et le report d’opérations imposées par le confinement ? – Combien devions-nous dénombrer de suicides provoqués par l’incessante propagande anxiogène, l’effondrement de nos défenses immunitaires, la destruction des emplois et la montée de la pauvreté ? – Combien de morts sans rapport avec le Covid lui avait-on attribuées ?
Alors, qu’en était-il réellement de la dangerosité de ce virus ? Les gens étaient totalement perdus, submergés par un flot incessant de désinformation mortifère, ils avaient oublié toute faculté de réflexion. Une détresse psychologique engendrant parfois des troubles psychiatriques semblait même envahir les esprits les plus rationnels.
Puis, toujours pour notre bien, le curseur des restrictions monta d’un cran. Le Premier ministre nous fit savoir que si les Français ne comprenaient pas (quoi ?) il allait mettre en place des mesures bien « saignantes ». Il fut donc d’abord décrété un couvre-feu dans les principales métropoles françaises puis certains départements. Le virus avait-il l’heure à son poignet ? Tout ce qui avait un pouvoir de détente, de bien-être, ferma ou fut réglementé par des restrictions menant à la faillite : restaurants, salles de sport, de spectacle tirèrent définitivement leur rideau… Les réunions familiales, ainsi que les gestes d’affection, furent officiellement déconseillées et limitées en nombre comme les repas à table entre amis qui ne devaient plus dépasser six convives. Des arrêtés interdisaient même sur certains départements le transport d’instruments de musique ! Les Belges, quant à eux, furent obligés de déclarer leur « bulle sociale » aux autorités. Ils venaient de tuer nos petits moments de bonheur. Avec l’assentiment d’une population toujours en proie à la sidération, hypnotisée par son bourreau.
Paradoxalement, transports en commun et hypermarchés restaient bondés. La demande de recommandation temporaire d’utilisation de la molécule gênante et stigmatisée depuis le début de la crise fut refusée à l’IHU de Marseille par l’ANSM et le labo qui ravitaillait leur pharmacie cessa de les approvisionner. La volonté des instances supérieures de ne pas vouloir soigner dans la première phase de la maladie devenait criminelle : puisqu’il n’avait pas été possible, malgré toutes les études bidon, de démontrer la dangerosité (en respectant les posologies et précautions d’utilisation) de ce médicament connu depuis 60 ans, comment pouvait-on en limiter à nouveau son usage ? D’autant qu’à ce moment, un site internet recensait une centaines d’études dans le monde en démontrant l’efficacité. C’est aussi à cette période que des généticiens révélèrent que ce virus était à gains de fonctions dont la principale était de faciliter la pénétration des cellules. En d’autres termes, les séquences de son génome n’existaient pas dans la nature mais faisaient, en revanche, l’objet d’un brevet déposé en 2006. La vie sociale était devenue un cauchemar sans fin orchestré par le mensonge, la défiance et la terreur. Les non-porteurs de masque dans des lieux déserts finiraient-ils par être lynchés sur la place publique par les zombies qui leur servaient de congénères ?
De leur côté, les mouvements politiques ou syndicaux étaient toujours aussi silencieux. Avaient-ils compris ou étaient-ils toujours empêtrés dans leurs jeux de pouvoir ? Puis arrivèrent de nouveaux confinements (zéro mort pour l’Irlande le jour de son reconfinement) et de nouvelles privations de liberté, de nouvelles lois. À de rares exceptions comme la Suède qui sans confinement, ni masque, ni couvre-feu, ni peur semblait totalement sortie, et sans dégâts collatéraux, de cette épidémie, la majorité des états de la planète s’étaient soumis au totalitarisme de ce nouvel Ordre mondial qui ne disait toujours pas son nom, imposant les mêmes mesures incohérentes d’un point de vue scientifique, mais liberticides et sans deadline. Nous n’étions plus autorisés à sortir de chez nous que pour aller travailler. Pour ceux, bien évidemment qui avaient encore du travail, car une apocalypse économique était en train d’aligner rapidement les pays riches sur le niveau des plus pauvres. Des millions d’entreprises avaient sombré dans la faillite entraînant avec elles autant d’humains dans la misère et la mort. La surconsommation n’était plus qu’un lointain souvenir et pour beaucoup, manger était devenu leur seule préoccupation. Le « grand reset » annoncé par ces grands malades qu’étaient nos élites mondialistes lors du prochain forum de Davos était il déjà en marche ? Des révoltes réprimées par des méthodes barbares et sanglantes éclatèrent partout dans le monde.
Puis les vaccins arrivèrent. Sans pour autant faire tomber les mesures liberticides, puisqu’un passe sanitaire fut même ajouté à la liste : test PCR ou preuve d’injection (grâce à une application sur smatphone) pour aller dans la plupart des lieux publics y compris les établissements hospitaliers. Cet apartheid ne sembla pas, malgré de nombreuses manifestations, émouvoir la grande majorité des citoyens ni les clans politiques, sauf, peut-être et curieusement, ceux à la réputation sulfureuse. La transformation de ce cet outil de contrôle en passe vaccinale ne fit pas plus de vagues. Il était désormais impossible, sans preuve de vaccination, d’accéder aux lieux publics et récréatifs, dont, comble de l’absurdité, les stations de ski. Les personnes gravement malades n’échappèrent pas davantage à cette nouvelle règle. Pour recevoir son traitement à l’hôpital, il fallait être injecté. Pendant ce temps, le port du masque, généralisé en toutes situations, avait transformé les humains en des zombies terrorisés, obéissants et vides de pensée. Jamais un tel vent de folie n’avait soufflé sur nos sociétés depuis peut-être la dernière guerre mondiale. Les réfractaires à l’injection furent livrés à la vindicte populo-médiatique, traités d’irresponsables, d’assassins et privés de leur travail dans certains secteurs professionnels. Les plus touchés furent les 15 000 soignants et 5 000 pompiers qui du jour au lendemain se retrouvèrent sans aucun revenu avec interdiction de travailler dans un autre secteur, sauf à démissionner de la fonction publique. De nouveaux boucs émissaires venaient d’être désignés : les anti-vax. Le glissement sémantique poursuivait son chemin. Certains commentateurs très en vue proposèrent sans état d’âme de les affamer et de ne plus les soigner. Ces complotistes décadents et dangereux pour la société étaient devenus l’origine de tous nos tourments.
« Tous vaccinés, tous protégés » fut le mantra martelé à longueur de journée par tous les médias et par tous les moyens dont les panneaux d’affichage des sociétés d’autoroute. Pendant un an et demi, on « vaccina » à tour de bras. D’abord les vieux, puis les moins vieux pour finir avec les enfants (qui rappelons-le, ne risquaient rien avec ce virus). Les doses s’enchaînèrent : 1, 2, 3, 4, 5… La norme devint une injection tous les trois mois. Pouvions-nous encore sérieusement parler de vaccin ? Pour certains, le doute n’était toujours pas permis bien que les vagues de variants se succédaient encore, rendant malades des colonies de doubles, triple ou quadruple injectés à l’immunité naturelle détruite par ces produits qui selon des virologues renommés, facilitaient même la contamination. Ce truc ne marchait manifestement pas. En revanche il invalidait et tuait beaucoup. Les courbes de surmortalité des agences officielles grimpaient en flèche dans toutes les tranches d’âge, sans qu’aucun média n’en relaie la gravité mais en travestisse les causes. On assista, impuissants à une avalanche d’accidents cardio-vasculaires ; péricardites, myocardites, thromboses, les jeunes sportifs tombaient comme des mouches. On vit une véritable épidémie de troubles menstruels et de fausses couches. Ceux qui n’avaient jamais entendu parler du syndrome de la mort subite de l’adulte le découvrirent dans la presse. Beaucoup de choses devinrent officiellement dangereuses comme faire ses lacets ou faire la sieste. On parla même de l’infarctus de l’enfant comme d’une normalité en hausse… Il fallait bien justifier cette hécatombe d’effets secondaires graves et mortels. Finalement, au bout de quelques mois, le passe vaccinale fut tout de même levé. L’opacité sur les contrats liant l’Europe aux laboratoires pharmaceutiques commença également à poser problème à certains eurodéputés. Il s’agissait tout de même de 72 milliards d’euros ponctionnés aux Européens pour l’achat de 4,5 milliards de doses. Soit 10 doses par habitant. Pfizer fut contraint par la Justice américaine de libérer des milliers de pages concernant l’évaluation de ses produits. Ainsi, les biostatisticiens purent constater la multitude de biais dans les études réalisées par cette entreprise déjà condamnée pour fraude à des milliards de dollars dans le passé. En outre, personne ne savait réellement ce que contenaient ces sérums. Des équipes de scientifiques indépendants, dans différents pays, y trouvèrent étrangement du matériel qu’ils supposèrent être des nanotechnologies. La protéine spike, toxine avérée, produite par notre corps grâce l’ARN messager et sensée rester sur le lieu d’injection semblait se disséminer dans différents organes. Les trop rares autopsies pouvaient en témoigner. Autre curiosité, certains « vaccinés » devenaient aimantés sur la zone d’injection. Des tas de vidéos circulèrent sur le Net où l’on voyait toutes sortes d’objets métalliques littéralement collés sur les épaules de personnes fraîchement piquées. Un code alphanumérique, détectable en activant le bluetooth de certains smartphones, semblait également avoir été attribué à ces personnes. La réalité avait rattrapé la science-fiction. En toute logique, puisque ce truc n’empêchait ni la transmission ni, avec les nouveaux variants, les rares formes graves de la maladie (les faits et les statistiques accessibles et non dissimulées pouvaient en attester), le nombre de volontaires pour les doses à venir chuta considérablement. Une haute responsable de Pfizer, lors d’une audience au Parlement européen, fut contrainte d’avouer que l’entreprise n’avait fait aucun test concernant les contaminations, laissant l’auditoire dans une forme de désarroi proche de la stupeur. Alors, à quoi donc pouvaient bien servir ces produits ? Pourquoi avoir choisi l’ARN messager ? Pourquoi avoir choisi la protéine la plus mutagène de ce virus dont il ne faisait d’ailleurs pratiquement plus aucun doute que son origine, humaine, était le résultat d’une fuite de laboratoire ? Pourquoi la propagande des médias continuait-elle à encourager ces injections ?
Bien sûr, il restait encore des citoyens masqués et vivant dans la peur du virus, mais la sidération collective quant au covid était clairement en voie de résorption. Le régime de Pandémia commençait à s’effriter. Était-ce pour cela que nous fumes plongés sans transition dans un climat de guerre, celle entre l’Ukraine et la Russie. Ce conflit, qui n’était pourtant pas le nôtre, nous priva alors de ressources en énergie, car il fallait bien punir l’envahisseur russe qui avait réagi aux provocations des États-Unis qui étaient en train de rompre les accords de Minsk. Certes, la Russie n’était pas un modèle de démocratie, mais tout le monde semblait avoir oublié qu’une partie du peuple ukrainien russophone subissait depuis des années l’oppression et les bombardements d’un état fantoche dirigé par un clown pathétique et corrompu, bras armé de l’OTAN, épaulé par des factions nazies. Oublié l’Ukraine et ses trafics d’armes et d’organes, de drogue, ses réseaux de prostitution, de pédophilie, et ses laboratoires clandestins au service de l’État profond américain. Oublié, que toute guerre est toujours dégueulasse, indigne de notre statut d’être humain et qu’elle remplit invariablement les mêmes poches en décimant des populations qui ne l’ont pas choisie. Une fois de plus la pensée binaire avait envahi l’espace médiatique. Les drapeaux jaune et bleu se mirent à fleurir sur les réseaux sociaux. On pensa même débaptiser des établissements portant des noms un peu trop slaves. Des milliers de mains applaudirent les sanctions contre les Russes dont les importations de pétrole et de gaz furent stoppées, plongeant une Europe belliciste dans un embargo volontaire. Le Russe était devenu l’ennemi sanguinaire à combattre. Une mesure bien évidemment sans conséquence pour l’ancienne URSS, mais qui allait entraîner les citoyens dans de nouvelles restrictions, particulièrement de chauffage. L’inflation et les pénuries devinrent incontrôlables et la vie impossible. Le petit coq présidentiel qui gouvernait la France, seul, aux ordres de ses maîtres mondialistes et de leur avant-garde européenne, et pour un deuxième mandat, nous servit encore, sur un ton martial, un discours culpabilisant autant que débilitant qui allait faire de notre futur hivernal, et malgré le « réchauffement climatique », une véritable petite ère glaciaire. En gros il allait falloir faire des économies et se geler le cul pour sauver l’Ukraine. Et le fleuron du génie français ne pourrait rien à nos frimas : le hasard avait voulu que juste à ce moment, on s’aperçoive que la plupart des cuves de réacteurs de nos centrales nucléaires comportaient les mêmes fissures d’origine que celles de notre futur EPR. Les coupures seraient donc inévitables. La seule bonne nouvelle, finalement, était que ces cuves défectueuses depuis cinquante ans ne nous avaient pas encore pété à la gueule. La menace d’une guerre nucléaire qui filtrait dans les médias devenait pour la France assez ridicule dans le sens où le lobby nucléaire avait été suffisamment actif pendant des décennies pour que l’on arrive au même résultat sans qu’aucun missile ne vienne s’écraser sur notre territoire. La température dans les foyers fut donc limitée à 19 °. On créa même pour l’occasion une police des températures. Tout contrevenant s’exposait bien sûr à une amende.
Puis, après presque trois années de dystopie, la caste aux manettes du monde dévoila peu à peu ses projets pour l’humanité. Le Forum économique mondial dirigé par un sinistre chauve en était l’un des acteurs principaux. Ce même monsieur n’avait-il d’ailleurs pas écrit dans son livre The great reset que « nous ne ne posséderions plus rien et que nous serions heureux » ? Était-ce la fin de la propriété pour le petit peuple ? Était-ce la fin, également, de certaines valeurs fondatrices ? Les mots, à cette période, avaient perdu de leur sens pour s’en voir attribué de nouveaux par une novlangue destructrice. Par exemple, on ne disait plus « pauvre », mais « en situation de sobriété subie ». Cette construction du langage était au service de ce que l’on appelait le wokisme, une forme de pensée binaire où l’exception devenait une règle s’appuyant sur le détournement d’idées vertueuses et l’inversion des valeurs. Ainsi l’écologie devint un outil totalitaire, le racisme une culpabilisation à être blanc, la libération sexuelle un encouragement au transgenre, la concertation le 49.3, le droit à l’avortement la possibilité d’avorter au neuvième mois, la liberté d’expression une nuisance à la démocratie. En fait, le transhumanisme était en marche. Une campagne d’affichage du planning familial nous affirmait qu’aujourd’hui les hommes « pouvaient être enceints », Le Monde nous disait que l’hétérosexualité était ringarde, les utérus artificiels allaient devenir la norme et le piratage du cerveau humain ainsi que la suppression de notre libre arbitre une réalité incontournable. L’intelligence artificielle serait le moteur de cette idéologie effrayante. Une déconstruction de la pensée collective, fruit de plusieurs siècles de culture, d’histoire, de religions, de luttes et de valeurs morales était en cours. Le passé devait être effacé de notre mémoire, nos institutions, la santé, l’éducation, la justice, disparaître avec nos systèmes de protection sociale comme, par exemple, les retraites et l’assurance chômage.
Parallèlement, la censure sur les réseaux sociaux et les médias devint très offensive. Toute position ou idée en désaccord avec la doxa devenait une déviance quasi psychiatrique qu’il fallait éradiquer. L’opposition politique devint de fait du complotisme, voire du terrorisme. On organisa même à ce sujet et dans différents pays des « assises des dérives sectaires et du complotisme ». La caste mondialiste, composée d’une poignée d’oligarques psychopathes était en train de cocher sur leur agenda, toutes les étapes nécessaires à leur volonté de maîtriser l’humanité et de la maintenir dans une seule polarité, ainsi que celles leur permettant de s’accaparer les dernières ressources terrestres et biens privés. L’affaire était déjà bien engagée puisque trois fonds de pension, Black Rock, Vanguard et State street, possédaient déjà pratiquement la totalité de toutes les compagnies de la planète. Infiltrés partout, les agents de cette oligarchie eugéniste, formés à l’école des Young leaders, se trouvaient maintenant à la tête des états, dans toutes les ONG, la culture, la santé, l’économie, la justice mais aussi les religions. Décennie après décennie, cette pieuvre mafieuse était arrivée à ses fins grâce à une corruption généralisée épaulée par des idiots utiles et conformistes soumis à leurs hiérarchies.
La finance avait privatisé le monde et semblait arriver dans une impasse. L’OMS avait pris le contrôle de la Santé mondiale et le cartel des grandes entreprises pharmaceutiques, sous la direction d’un froid et lugubre médecin, conseiller de longue date du bureau ovale, en était leur bras armé. La Science, pas la vraie, mais celle de la propagande, était devenue la nouvelle religion et les mécréants pourchassés. L’écologie s’était transformée en dogme totalitaire ajoutant au pass vaccinal un pass carbone sans que pour autant rien ne soit fait pour endiguer l’extinction des espèces ou l’abandon de tout pesticide. Des milliers de cargos continuaient toujours à sillonner les mers, dépeuplées de leurs faunes et végétaux, mais remplies de plastiques. L’inflation continuait de grimper avec le prix de l’énergie, entraînant en occident, la faillite de centaines de milliers de petites et moyennes entreprises qui n’avaient pas encore succombé aux confinements successifs. L’argent numérique et la suppression du liquide, ultime moyen de contrôle du bétail que nous étions, couplé à un crédit de carbone, allaient finaliser le plan mondialiste de réorganisation planétaire. Dans les médias, des sujets sur la dépopulation comme ultime solution au réchauffement climatique, commençaient d’ailleurs à éclore et à investir les esprits. Fallait-il être totalement aveugle pour ne pas voir qu’un processus de destruction massif visant les populations était en marche ? La plupart d’entre nous l’étaient, le cerveau rincé par la propagande et la futilité matérialiste.
Famines, guerres et maladies, durant ces années, un quart de l’humanité fut décimé. Le virus n’en fut bien évidemment pas la cause, mais bien la destruction de tous les états occupés par les fous de Davos. Mais ce furent en premier lieu les vaccinations massives ou plus exactement les injections géniques expérimentales vers lesquelles les naïfs s’étaient rué pour retrouver une hypothétique liberté, qui furent dévastatrices, entraînant de multiples pathologies gravissimes et de morts dans des proportions gigantesques. Aujourd’hui encore nous en subissons les conséquences, entre autres, par le niveau très élevé de stérilité des jeunes adultes.
Je ne me souviens plus quand, où et comment le changement à commencé à poindre. Lentement, les survivants se sont organisés. Des comités de lutte clandestine naissaient un peu partout dans le monde. Les classes sociales dites « supérieures » également menacées d’anéantissement se réveillèrent lentement lorsque, enfin, elles comprirent quel sort leur était promis et que ce qui se passait avec tant de similitudes au sein de presque toutes les nations n’était plus de l’ordre de manœuvres politiques excessives. Car pour l’Ordre mondial en marche, la quatrième révolution industrielle, la fusion de notre identité physique, numérique et biologique étaient la seule voie possible pour l’humanité. Ainsi le scientifique le plus pointu n’avait pas plus de valeur qu’un technicien de surface. Ce principe d’égalité, tout à fait juste et normal et qui n’avait jamais existé, hélas, dans notre ancien monde dit « moderne », devenait dans ce contexte génocidaire une réalité terrifiante pour toute une catégorie d’individus anciennement aisée, de droite ou issue d’un socialisme libéral, ce qui revenait au même. Alors, médecins, chercheurs, juristes, journalistes, notables et adeptes des Bisounours, qui avaient déjà basculé d’une peur à l’autre, de celle du virus à celle de la dictature établie, finirent eux aussi par entrer en résistance, car ils avaient encore un peu à perdre dans cette apocalypse. En fait, l’épidémie avait vite été oubliée tant le chaos était grand, dans les corps, mais aussi les têtes. Le basculement vers la lumière se fit véritablement lorsque les forces de l’ordre et l’Armée refusèrent progressivement leur rôle de bourreaux. Comprenant qu’ils étaient aussi les esclaves et la main armée d’un dogme dont le totalitarisme s’appuyait sur la plus furieuse des folies, nombre d’entre eux rejoignirent les forces résistantes jusqu’à ce que la totalité de ces milices d’État, de plus en plus faibles, capitule. La forteresse commençait enfin à céder. Jusqu’au renversement, jusqu’à la victoire. Jusqu’à ce que tous les acteurs cinglés de ce génocide mondial soient arrêtés, jugés et condamnés.
Les procès s’enchaînèrent, beaucoup de vestes se retournèrent, les relations brisées le restèrent et le déni, malgré tout, persista chez un grand nombre d’esprits. Les architectes fanatiques de l’eugénisme et du transhumanisme, quant à eux, ne remirent jamais en question le bien-fondé du plan qu’ils avaient échoué à mettre en place afin de garder pour leur usage personnel les dernières ressources terrestres. Ils étaient les élus, une réduction drastique et un contrôle des humains étaient donc dans leur logique monstrueuse, une mesure incontournable.
Dix années plus tard, les cicatrices étaient évidemment encore présentes, mais l’humanité avait résolument changé de paradigme. La rareté des ressources essentielles ne lui avait de toute façon pas laissé le choix. Une vie inconditionnelle et renouvelable sur le long terme semblait possible pour tous les êtres et espèces de cette planète. Le matérialisme avait laissé la place à plus de spiritualité.
Nous œuvrons tous, aujourd’hui, à maintenir debout ce fragile équilibre.
Le 13 mai prochain, des citoyens et associations du monde entier se rassembleront dans les villes pour témoigner, par l’image et la parole, de la réalité des effets indésirables des vaccins covid.
23 pays ont déjà répondu présents, entre Europe, Amérique du Sud, Amérique du Nord et Inde,
70 000 décès, 11 millions d’effets indésirables dont près de 3 millions graves, c’est à dire handicapants à vie, c’est, depuis décembre 2020, l’estimation la plus basse des données internationales officielles, à multiplier par 5 ou 100 en raison de la sous-déclaration due au déni médical et médiatique frappant les victimes. Les vaccins covid ont donc possiblement provoqué plus de 250 millions d’effets secondaires graves et causé la mort de 7 millions de personnes.
Un bilan accablant et annoncé pour des vaccins expérimentaux, inefficaces, produits et promus par les firmes internationales les plus condamnées, validés par des conseils scientifiques aux multiples conflits d’intérêts. auquel il faut ajouter les conséquences sociales et économiques des confinements, les suspensions professionnelles, les effets catastrophiques du masque et de la distanciation sur les enfants.
Le 5 mai 2023, l’Organisation Mondiale de la Santé a déclaré terminée la pandémie de covid-19, mais la vérité sur les vaccins ne fait que commencer.
Un V (Victime, Vaccin, Voix, Visibilité, Vaillance, Vérité, Victoire) et une rose de la couleur choisie pourront être portés par les participants à la journée.
European Forum For Vaccine Vigilance – Children Health Defense Europe – Isofia International – World Freedom Alliance – Medicos Por la Verdad – World Coucil for Health – Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations – Corvelva – Afectados Por las Vacunas – Aletheia Italia – CoviLeaks – Greek Medical Freedom Alliance – Grelive – Ippocrateorg – Ita.li – Aletheia – Reinfo Les Collectifs – Truth Be Told – Unión Argentina de Profesionales Integrativos.
Dans la foulée de l’événement du 10 décembre, voici la réédition internationale de la journée de témoignage pour les victimes qui aura lieu le 13 mai prochain.
Après plus de 2 ans de vaccins imposés, inutiles, expérimentaux , en violation des Droits de l’Homme, des millions de personnes sont mortes ou ont vu leur vie brisée.Contre la marche en avant de tout un système totalitaire… que faire le 13 mai 2023 ?
– EXPOSER dans les lieux les plus fréquentés de grands portraits de personnes décédées suite à des injections, ou gravement affectées par celles-ci, en mentionnant le nom de la victime, l’âge, le vaccin, la cause, et le temps écoulé après la vaccination. Les manifestations peuvent être fixes ou en mouvement. Les portraits peuvent également être affichés sur les voitures, sur les fenêtres, sur les balcons, ou collés dans des espaces publics autorisés, des panneaux…
– PARLER : témoigner des événements indésirables si vous êtes une victime, un parent, un médecin, un soignant, une organisation.
– INFORMER par des rapports officiels de l’ANSM, des faits et des chiffres, des conséquences de toutes les décisions de la dictature sanitaire (masques, tests PCR, confinements, corruption, interdiction de soins et médicaments…)
Et disons NON à la guerre totale contre la vie et les libertés, enjeu des vaccinations, avec les OGM, la censure, la carte d’identité numérique, la surveillance globale, la 5G, la fin de la souveraineté des États et de l’argent liquide
Comment aider ?
– diffuser partout la nouvelle de l’événement – organiser un événement et rassembler les gens – convaincre des personnalités de lancer un appel général à témoigner pour cette journée – recueillir des témoignages auprès des organisations de victimes ou autour d’elles avant les événements et convaincre les victimes de s’exprimer directement, ou par le biais d’inscriptions ou de textes – imprimer et distribuer des rapports nationaux et internationaux complets sur les événements indésirables, des faits et des chiffres – expliquer les processus des événements indésirables : anticorps, spike, système HLA… – montrer clairement la direction dans laquelle toutes les décisions sont prises depuis des années – inviter des médecins, des personnalités, des avocats, des hommes politiques – rassembler la presse alternative et la presse grand public – programmer un set musical
L’oppression ne dure que parce que nous sommes silencieux et divisés. Si chacune de nos voix ne comptait pas, ils n’essaieraient pas de contrôler chacune d’entre elles. Participez à cette Journée historique d’union de la Résistance mondiale.
En partenariat avec de nombreuses structures nationales et internationales, médias, personnalités, collectifs, familles de victimes.
Les vaccins à ARN messager contre le SRAS-CoV-2 sont largement distribués, mais leur effet sur le microbiome intestinal humain, en particulier à long terme jusqu’à un an, est inconnu. Le microbiote intestinal humain est un déterminant essentiel de la santé humaine. Le déclin du genre Bifidobacteria est associé aux maladies inflammatoires de l’intestin, à l’obésité, aux troubles neurologiques, à l’infection à C. difficile et au COVID-19 sévère.
Description du cas/Méthodes :
Nous avons enregistré longitudinalement l’abondance relative du genre Bifidobacteria chez 4 sujets avant de recevoir le vaccin à ARNm (Pfizer ou Moderna), environ un mois après le vaccin et 6 à 9 mois plus tard. Des vaccins supplémentaires contre le SRAS-CoV-2 ont été administrés au cours de cette période, totalisant 2 à 3 doses. Les échantillons ont été prélevés aux moments mentionnés. Il n’y a eu aucun changement de régime alimentaire ni aucun nouveau médicament pendant toute la période et les sujets ont été invités à suivre le même régime tout au long des 6 mois. Des méthodes basées sur le séquençage métagénomique de nouvelle génération ont été appliquées aux échantillons obtenus à partir de la collecte fécale. L’ADN a été extrait et la bibliothèque préparée, enrichie et séquencée sur un système Illumina Nextseq 550. L’abondance relative des bifidobactéries a diminué après 1 mois chez 3 des 4 sujets à : 38 %, 258 %, 49 % et 90 % des niveaux pré-vaccinaux. Après 6 à 9 mois, l’abondance relative de toutes les bifidobactéries a diminué à : 15 %, 0 %, 35 % et 60 % des niveaux pré-vaccinaux. Cette étude est approuvée par l’IRB ( Figure 1 ).
Discussion:
Il s’agit de la première étude à démontrer une diminution de l’abondance relative des bactéries du genre Bifidobacteria 6 à 9 mois après la vaccination contre le SRAS-CoV-2. Tous les sujets sont tombés en dessous d’une abondance relative de 1 %. Bien qu’il s’agisse d’un petit échantillon, ces résultats peuvent suggérer un mécanisme potentiel de complications post-vaccinales ; cependant, aucun sujet de l’étude n’a présenté de complications significatives. Les vaccins contre la dysbiose intestinale post-ARNm SRAS-CoV-2 pourraient potentiellement être une indication future pour la restauration des bifidobactéries soit par voie orale, soit directement via une greffe fécale.
Sans doute un des premiers supports mainstream à publier un article objectif, quoique politiquement correct, sur la gestion du Covid par nos autorités et le milieu scientifique. Bien sur, bon nombre des points abordés l’ont été durant ces trois dernières année par la sphère dite « complotiste ». https://www.monde-diplomatique.fr/2023/04/journal#!/p_16
Les films à l’arrache c’est une chaine dédiée aux fictions, aux sketchs, toujours tournés en toute liberté sans aucune contrainte ni cahiers des charges. C’est aussi l’occasion de découvrir de nouveaux talents, des comédien-nes formidables que l’on voit trop peu souvent, et qui m’ont permis d’incarner les idées que j’avais dans la tête. Je les en remercie de tout mon coeur! Laurent Firode
C’est également une rare intrusion artistique, ironique, hilarante, incorrecte qui décrit le totalitarisme montant de ces trois dernières années. À voir sans modération !
Mardi 04 avril 2023 au 4, place Henri Chapays à Fontaine à partir de 18 h 30.
A 19 h, nous recevrons Jean François Guilhaudis, Professeur honoraire (relations internationales et droit international) de l’Université Grenoble Alpes, auteur, entre autres, de Relations internationales contemporaines (aux éditions Lexis Nexis).
Il nous parlera de la question des armes biologiques qui font leur retour au premier plan des spécialistes en partie à cause de la crise covid.
L’exposé tentera d’expliquer les raisons de ce retour à « la une », les problèmes qui se posent, leur degré de gravité, les moyens dont on dispose ou manque, pour les traiter, et de faire le point de la situation en ce début 2023.
Mais ces points d’actualité, parfois techniques, ne peuvent être abordés valablement, qu’après que l’on ait situé les armes biologiques, parmi les armes de destruction massive, et exposé la manière dont armement et désarmement ont évolué, en ce qui les concerne, depuis la seconde guerre mondiale.
Après cette conférence, un repas sera proposé par Grégory ainsi que des rafraîchissements et des desserts.
De plus nous mettrons en vente une vingtaine de pains bio.
ARNm, manipulation des chiffres et des statistiques, dérives sémantiques : des livres pour comprendre Alexandra Henrion Caude, PIerre Chaillot, Ariane Bihéran et Vincent Pavant nous éclairent, chacun dans leur domaine de compétence, sur ces trois dernières années de folie sanitaire.
De l’autre côté des mots, une autre vision de la crise. À partir de l’exemple du traitement de l’information dans la crise politique liée à l’épidémie de Covid, cet ouvrage interroge le rapport entre l’idéologie et le savoir : censure des mots, néologismes, mots détournés, sophismes… Notre langue est un patrimoine collectif reçu en héritage. Lorsque cette langue ne fait plus sens commun mais qu’elle est récupérée, transformée et corrompue par des intérêts privés ou des communautés, c’est la porte ouverte à la radicalisation et au terrorisme dans la pensée. Les auteurs – un mathématicien et une psychologue – mettent en lumière le traitement de la langue et de la logique, mis en œuvre par les sphères politique et médiatique depuis mars 2020 en France. Forts de leurs connaissances spécifiques, ils étudient le fonctionnement d’une information et d’une communication détournées. En s’appuyant sur des arguments sourcés et chiffrés, ils mettent en lumière la déconstruction des « vérités » scientifiques avancées par le gouvernement pour justifier ses actions politiques. Ils proposent une analyse détaillée de la « nouvelle langue », de la « nouvelle normalité » et des méthodes de contrainte psychique utilisées sur la population française.
Analyste et statisticien, Pierre Chaillot, dont les analyses publiées sur FranceSoir sont désormais bien connues de nos lecteurs, a consacré les trois dernières années à recueillir la quasi-intégralité des chiffres publiés au cours de la crise du Covid-19 pour en faire sens. Les résultats de ce travail ont été compilés dans son nouvel ouvrage Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels, publié aux éditions l’Artilleur, qu’il vient nous présenter dans le cadre de cet “Entretien essentiel“. Selon Pierre Chaillot, ce début d’année 2023 constitue un moment opportun pour revenir sur les évènements qui ont marqué la crise sanitaire car “tous ceux qui se sont exprimés pendant la période de crise ont été inécoutables tout simplement parce que les gens avaient peur de la situation : cette peur est en train de se terminer, ce qui permet aux gens de réfléchir.“ Regarder le passé pour éviter de reproduire les mêmes erreurs, un devoir indispensable, martèle le statisticien, puisque nos représentants politiques sont d’ores et déjà en train de plancher sur les réponses à adopter en prévision des prochaines pandémies, “notamment en accordant tous les pouvoirs à l’OMS au sein de l’Europe“. Aussi, “il est temps de savoir ce qu’il s’est passé de façon à ne pas se laisser faire dans le cas où le prochain coup ressemblerait à celui qu’on a vécu.“
Je ne suis pas complotiste mais généticienne, l’une des plus renommées d’après certains. Dans ce livre, je vous dirai ce qu’est l’ARN messager, celui qui compose les vaccins anti-covid. Parce que vous avez le droit de savoir. Êtes-vous prêts? Lauréate du prestigieux prix Eisenhower Fellowship aux États-Unis en 2013, Alexandra Henrion Caude a dirigé plusieurs équipes de recherche en génétique à l’hôpital Trousseau, puis à Necker en tant que directrice de recherche de l’Inserm. Elle a découvert l’implication de l’ARN dans différentes maladies génétiques de l’enfant et a révélé l’existence des ARN MitomiR, qui servent aux régulations fondamentales de la cellule.
Après plus de 2 ans de vaccins inutiles, expérimentaux et obligatoires, en violation des Droits de l’Homme, des millions de personnes sont mortes ou ont vu leur vie brisée. Contre la marche en avant de tout un système totalitaire…
Samedi 11 mars à 13 h 30 place Bellecour à Lyon. La manifestation est organisée par les collectifs de soignants suspendus et a pour but également de défendre un système de santé basé sur l’humain.
Bonjour à tous, nous organisons une soirée-conférence le mardi 14 mars 2023 au 4, place Henri Chapays à Fontaine.
A 19 h, une conférence sera donné par Lionel Poirot, alias Narendra Das, spécialiste en médecine Ayurvédique, diplômé de l’Université Ayurvédique du Gujarat, en Inde.
Il a étudié les textes médicaux classiques de l’Ayurveda, étudié sa philosophie,son histoire et les huit spécialités que compte cet art de vivre. Il a pratiqué dans les deux hôpitaux Ayurvédique que compte la ville de Jamnagar pendant plusieurs années. En complément de ses années universitaires, il perfectionna ses connaissances pratiques auprès de tradipraticiens du sud de l’Inde il a pu étudier entre autre la science du Nadi Pariksha (pouls) tel que l’enseigne le Lada Vidya.
Le Lada Vidya est une forme d’Ayurvéda encore pratiqué par de rares médecins traditionnels nomades de lignée Siddhar dans le sud de l’Inde.
Résident en France à nouveau, il anime conférences, stages et ateliers dans différentes écoles d’Ayurveda, de Yoga et des savoirs naturels.
En 2021 il créé l’université Ayurveda Datta qui dispense un post-formation en Ayurveda sous la forme d’un mentorat. Narendra Das consulte aussi dans la santé de l’habitat-habitant et pratique le Vastu shastra associée à la géobiologie occidentale.
Au cours de cette conférence, vous pourrez lui poser quelques questions.
Pour pourvoir aux frais de déplacement et d’organisation, un chapeau circulera à la fin de la conférence.
Ensuite, Gregory vous servira un repas, accompagné de rafraîchissements et de desserts.
Un magazine papier qui traite ses sujets avec des articles sourcés, de grande qualité rédactionnelle, une mise en page irréprochable ainsi q’une iconographie originale et pertinente. Le numéro de mars/avril est en kiosque. https://www.nexus.fr/
Bonjour à tous, nous organisons une soirée conférence le samedi 04 mars au 4, place Henri Chapays à Fontaine.
A partir de 16 h 30, un micro marché se tiendra avec la présence d’un producteur et marchand de fruits et légumes, ainsi qu’un producteur de confitures, huiles essentielles et beaucoup d’autres choses.
Les junistes qui le souhaitent peuvent eux-mêmes tenir un stand et échanger en monnaie libre.
À partir de 18 h, une conférence sera donnée par Tahar, sous le thème: « Introduction au Soufisme », se présentant ainsi :
« La réalité ne saurait se réduire aux apparences.
Dans le Coran (s.57:v.3), Dieu se présente à la fois comme l’extérieur et l’intérieur.
Or la création est à l’image de Dieu : derrière le monde des formes, du dogme et de la Loi, il existe une réalité intérieure qui représente le fondement de la religion et lui donne son véritable sens. C’est cette réalité que le Soufisme aide à percevoir, en partant de la norme extérieure ou périphérique, pour cheminer ensuite sur la voie initiatique, laquelle relie l’apparence à l’essence, l’écorce au noyau. »
A l’issue de la conférence, un repas sera donné par Grégory, avec quelques gâteaux ainsi que des rafraîchissements.
Au cours de cette soirée quelques intermèdes musicaux seront également présents.
Un tract pour alerter sur l’inquiétante direction que prennent nos sociétés manipulées par une propagande médiatique toute puissante. Les sources proposées font intervenir ceux qui en parlent le mieux.
Il reste 3 jours pour stopper « le plan pandémie » de l’OMS.
Derrière les murs du siège de l’Organisation mondiale de la Santé, un plan « Pandémie OMS » pourrait être adopté la semaine prochaine et donner à cette organisation des pouvoirs supranationaux contraignants pour les États.
Que répondre à la propagande Woke ou LGBTQR ? Chassez le patriarcat religieux, il revient par la science.
François-Marie Périer
« Il faut s’attendre à ce que les avancées de la physiologie et de la psychologie donnent aux gouvernements beaucoup plus de contrôle sur le mental des individus qu’ils n’en ont maintenant même dans les pays totalitaires. Fichte écrivit que l’éducation devait viser à détruite le libre arbitre afin que, après que les élèves aient quitté l’école, ils soient incapables, pour tout le reste de leur vie, de penser ou d’agir de façon autre que celle que leurs maîtres d’école l’auront souhaité. Mais en ces temps-là, c’était un idéal inaccessible : ce qu’il considérait comme le meilleur système de son vivant produisit Karl Marx. Dans le futur, de tels échecs ne seront pas à même de se produire lorsqu’il y aura dictature. Des régimes, des injections et des injonctions seront combinés, dés le plus jeune âge, pour produire la sorte de personnes et la sorte de croyances que les autorités considèrent désirables, et toute critique sérieuse des pouvoirs qui existent deviendra psychologiquement impossible. Même si tous sont misérables, tous se croiront heureux, parce que le gouvernement leur dira qu’ils le sont. »
“D’un buisson voisin sortit une infirmière, tenant par la main un petit garçon qui hurlait tout en marchant. Une petite fille lui trottait sur les talons avec un air inquiet. — Qu’est-ce qu’il y a ? demanda le Directeur. L’infirmière haussa les épaules. — Pas grand-chose, répondit-elle. C’est tout simplement ce petit garçon qui ne semble guère disposé à prendre part aux jeux érotiques ordinaires. Je l’avais déjà remarqué précédemment une fois ou deux. Et voilà qu’il recommence aujourd’hui. Il vient de se mettre à hurler… (…) De sorte que, reprit-elle, s’adressant de nouveau au Directeur, je l’emmène chez le Surveillant Adjoint de Psychologie. Simplement pour voir s’il n’y a pas quelque chose d’anormal. — C’est très bien, dit le Directeur. Menez-le chez le Surveillant. – Toi, tu vas rester ici, petite, ajouta-t-il, comme l’infirmière s’éloignait avec le sujet, toujours hurlant, confié à ses soins.”
“Au-dessus d’eux encore, il y avait les salles de récréation où, le temps s’étant mis à la pluie, neuf cents enfants plus âgés s’amusaient à des jeux de construction et de modelage, au zip-furet, et à des jeux érotiques. Bzz, bzz ! La ruche bourdonnait, activement, joyeusement. Le chant des jeunes filles penchées sur leurs tubes à essais montait avec allégresse, les Prédestinateurs sifflaient tout en travaillant, et dans la Salle de Décantation, quelles bonnes blagues on se disait au-dessus des flacons vides ! Mais le visage du Directeur, au moment où il pénétra dans la Salle de Fécondation avec Henry Foster, était grave, figé dans sa sévérité comme s’il était taillé dans le bois.”
“Quelles intimités suffocantes, quelles relations dangereuses, insensées, obscènes, entre les membres du groupe familial ! Pareille à une folle furieuse, la mère couvait ses enfants (ses enfants)… elle les couvait comme une chatte, ses petits… mais comme une chatte qui parle.” Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes, 1932
« On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux. (…) la seule peur — qu’il faudra entretenir — sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels. » Günther Anders, L’Obsolescence de l’homme (Editions Ivréa), 1956
Le Wokisme — Woke, abréviation de Awoke, Réveillé — se présente comme un réveil des jeunes consciences occidentales soudain douloureusement frappées d’un sentiment de culpabilité face à la faute historique de domination de leur culture blanche patriarcale sur la nature, le monde et en particulier sur les peuples d’Afrique noire, la femme, les Juifs et plus récemment l’Islam. On associe fréquemment les mots « mâle blanc dominant violeur ». Un viol qui historiquement concernerait la femme, la nature, les autres peuples. Or, nous verrons que cette triple violence est bien réelle, mais dans quasiment toutes les cultures, et que le Woke perpétue plus que jamais cette domination violente et mortifère d’un certain modèle masculin de « civilisation », « religieuse » ou « scientifique », et pas seulement occidental, sur la Vie elle-même dans ce qu’elle a de plus sacré.
1) Un peu d’Histoire
Historiquement, le Woke est né des bavures — assassinats — de la police américaine sur de jeunes noirs, certains sans casier judiciaire. Des faits non reconnus par la justice, après des siècles d’esclavage et des décennies d’apartheid, ayant provoqué émeutes et mouvements sociaux. Mais c’est au printemps 2020 que le Woke a explosé à la face du monde suite à la lente et brutale mort par étouffement de l’ancien délinquant Georges Floyd. Le policier sera dans ce cas condamné à 21 ans de prison pour homicide volontaire et ses collègues inculpés pour complicité de meurtre. C’était juste après les confinements et ses semaines d’oppression non justifiée. La phrase du George Floyd « I can’t breath! – Je ne peux pas respirer » reprise partout en Occident était on ne peut plus parfaite pour témoigner de ce qui venait d’arriver et de ce qui allait continuer en termes de masques… La grande violence subie par la population, blanche ou noire, jaune ou rouge, voulue par les pouvoirs en place, trouva là encore un exutoire manipulé en se retournant comme toujours contre elle-même, physiquement ou contre des symboles passés tels que les statues ou les biographies tronquées de personnages historiques certes loin d’être irréprochables et méritant d’être clarifiées. La question fondamentale est : sur quelles nouvelles valeurs rebâtir lorsque tout ou presque est remis en question ? Les populations blanches ou noires, toutes deux victimes des gouvernements, se sont opposées au lieu de s’unir contre l’absurdité du système économique, sanitaire et politique. Il y a l’immunité blanche en haut-lieu, des marchands d’armes, de big pharma, de l’industrie agro-alimentaire… et l’impunité des bas-fonds, avec ses autres commerces criminels. Les deux prennent la société en étau et en otage sans se déranger réciproquement, chacun profitant des affaires de l’autre, le chaos général étant bon pour leur ordre particulier. Les intellectuels se plaisent à dire que le Fascisme commence par le mécontentement des classes moyennes, suggérant par là la bêtise et la méchanceté foncières des petits-bourgeois des classes laborieuses respectant en réalité naïvement ou obtusément le contrat social. Mais ils oublient de dire, comme le rappelait l’écrivain et cinéaste homosexuel Pasolini, assassiné parce qu’il dénonçait un certain ordre pétrolier du monde, que c’est le Fascisme qui est déjà en œuvre dans les traités de libre échange, la criminalité des hautes sphères et leur capitalisme, dans le non-droit de la société d’en bas et la destruction des cultures, et que c’est ce fascisme là, en niant l’état de droit et le contrat social, qui fait qu’on en appelle à plus de droit et plus d’état, une attitude que les partisans du chaos nommeront fasciste tout simplement parce que revenir au contrat social dérange leurs affaires. Concernant le mouvement de défense des minorités sexuelles LGBT, il y a certes une oppression ou une discrimination touchant aux personnes homosexuelles, hommes ou femmes, dans un certain nombre de pays, puni-e-s de morts ou de châtiments corporels, alors que dans notre propre pays un certain de nombre de personnalités marquantes et valorisées de notre Histoire étaient elles-mêmes homosexuelles.
Colonies et conquêtes réciproques des peuples
Tout d’abord, et pas du tout par hypocrisie, il faut affirmer que oui, le racisme des Blancs occidentaux a conquis le Monde à partir des Grandes découvertes de la Renaissance, et a organisé le génocide de millions d’Amérindiens, des Guanches des Canaries et d’autres peuples, ainsi que la déportation et l’esclavage d’autres millions de Noirs africains vers les Amériques, sans compter la conquête des Indes et d’autres terres d’Asie et d’Océanie. Ajoutons les deux guerres mondiales, fruits de nos impérialismes, nos libéralismes nos racismes ou nos fascismes, les génocides herrero, juif et gitan (je reste pour l’instant dans ceux commis par les « Blancs ») la Guerre froide obligeant les peuples à se polariser pour l’URSS ou les USA, l’exportation de nos idéologies mortifères au XXe siècle Capitalisme, Fascisme, Communisme, Scientisme) ou de notre modèle économique agricole et énergétique suicidaire… Avouons qu’il est difficile de présenter l’Occident uniquement comme le gardien de la Civilisation, héritier des Grecs, de la Renaissance et des Lumières. Le problème est qu’une simple chronologie de l’Histoire mondiale nous démontre en quelques instants que les Perses, les Grecs, les Arabes, les Mongols, les Turcs et aujourd’hui les Chinois ou les Israéliens et bien d’autres, à petite ou grande échelle n’ont rien à envier en termes d’oppression territoriale, de génocides (arménien, tibétain, ouïghour entre autres) de guerres de conquête justifiées ou pas de mille façons, par le sentiment d’élection divine ou naturelle ou la simple loi du plus fort. Supposément à l’opposé de l’Ultralibéralisme, jamais le vote Vert n’a été aussi important, la préoccupation pour la planète aussi forte et le vivant aussi valorisé, la compassion pour les animaux aussi mise en avant dans le véganisme… et pourtant, aussi bien du côté de l’État que de la Gauche et des Verts, jamais on ne s’est autant attaqué de façon idéologique au corps de l’enfant et de l’adolescent, jamais on n’a autant cautionné les technologies vaccinales des lobbies capitalistes touchant à l’ARN, violant les droits individuels et le principe de précaution en oubliant les méthodes naturelles efficaces et sans effets secondaires catastrophiques et définitifs, contrairement aux vaccins.
Alors, voici des points bien réels parfois refoulés par tous les bords politiques, repris par les Woke, mais mis en avant bien avant eux par des personnalités à l’opposé des dérives et délires des Woke :
Oui, le racisme est très fort dans la police américaine qui a déclenché les émeutes, tout comme en Russie, en Chine, en Turquie, en Arabie saoudite, en Israël et ailleurs) Ces différents racismes montrent bien ce que le monde serait si on laissait libre-cours au sentiment de supériorité de ces peuples se prétendant élus. Oui, la consommation industrielle de viande est source d’énormes souffrances animales injustifiables, détruit la planète, nuit à notre santé physique, psychique et à notre rapport au monde, et abîme également physiquement et psychologiquement ceux qui travaillent dans cette filière. Oui, l’oppression de la femme (ou du féminin) malgré les postes de pouvoir qu’elle a pu occasionnellement occuper est une réalité historique insupportable encore en cours dans pas mal d’endroits. Oui, les pays musulmans du Proche-Orient sont un à un détruits sous les bombes pour des intérêts communautaires ou économiques depuis la deuxième guerre mondiale, dans l’accord parfait entre « Chrétiens » néo-conservateurs, « Musulmans » salafistes et « Juifs » sionistes. Mais les Chrétiens d’Orient souffrent aussi injustement et l’antisémitisme continue.
Soyons donc plus cultivés, intelligents et constructifs que les journalistes et les « intellectuels », de l’école élémentaire à l’Université, et du quotidien local au Monde, écrivant simplement ce que leurs maîtres ou financeurs leur dictent ou se préoccupant de ce que les précédents diront d’eux.
2) Covid, Spike et Woke : la simultanéité d’une offensive contre le corps et l’esprit de l’enfant et contre la Vie en général
Mais la question est : pourquoi la défense des minorités sexuelles s’est-elle transformée en une offensive sur tous les fronts de l’Éducation Nationale et des médias depuis plusieurs années, visant à demander de façon répétée à chaque enfant dès son plus jeune âge s’il pense être un garçon ou une fille, ou autre chose ? Quitte à l’amener dans un périlleux et douloureux processus de changement de sexe.
Les enseignants peuvent-ils répondre à cette question ?
De même, peuvent-ils expliquer pourquoi masquer, distancier, tester, isoler et vacciner des millions d’enfants non menacés par un virus, et ne menaçant personne ? Pourquoi introduire en eux un vaccin expérimental produit et promu par les firmes les plus corrompues en provoquant des milliers d’effets secondaires gravissimes voire mortels ? Dans les deux cas, il s’agit de la promotion simultanée, par l’école et les enseignants, de l’intrusion dans le corps des enfants avec des conséquences irréversibles sur leur vie et leur capacité à transmettre la vie. Et cela touche aussi les OGM, les semences non reproductibles, la disparition des abeilles, ainsi que le nucléaire. On peut y ajouter la 5G, inutile, dangereuse, et pourtant imposée partout dans la plus grande hâte par des décrets dès le début du Covid…. Faut-il vraiment y voir un hasard alors qu’on est dans un modèle même de civilisation prétendument émancipateur, mais de surveillance totale, contradictoire et manipulateur ? Qui est assez aveugle pour le soutenir ?
Historiquement, l’école a toujours été l’instrument du pouvoir étatique pour se perpétuer, même si en parallèle elle a aussi été l’expression d’une opposition très conformiste et contrôlée et qui a montré sa vraie teneur avec le Covid. Le tour de force avec le Woke est que l’Ultralibéralisme (qui vise à la synthèse entre Fascisme, Communisme, Capitalisme, Dictature scientifique et loi de la Jungle avec un état qui serve uniquement à assurer l’ordre nécessaire à ses affaires) a réussi non seulement à faire préférer l’école à ses parents, à passer par elle pour les attaquer en justice, à en faire des enfants-espions de la police de la pensée comme dans 1984, mais aussi à faire passer l’école pour le lieu branché et rebelle, bienveillant et compassionnel, des droits fondamentaux, alors qu’elle est devenue l’outil de l’écrasement des droits, de l’originalité de la pensée, des aspirations fondamentales de l’Humanité, remplacés par une bouillie où se mélangent la prévenance et la peur, la « communication non violente » et la perversion, au service de quelques immenses intérêts géopolitiques, économiques, civilisationnels, se résumant à ce but : nuire aux corps et aux âmes, et pourquoi pas les détruire ou les remplacer.
Avec la théorie du genre, on est exactement dans le même processus qu’avec les vaccinations imposées aux enfants pour quelque chose dont ils n’ont pas besoin : c’est une intrusion artificielle dans les corps et les esprits, « disruptive », pour reprendre un terme à la mode, c’est à dire imprévue et brutale, sous ses dehors bienveillants, aussi inutile que dangereuse, sans aucun recul, voulue par quelques personnes prétendant expérimenter leurs produits et leurs théories sur les enfants et les adolescents. Or, le casier judiciaire des fabricants et des promoteurs des vaccins suffit à démontrer que le bien de l’humanité et des sociétés est tout sauf leur préoccupation.
On doit donc rappeler aux chefs d’établissement, aux enseignants et aux éducateurs qui ont toujours soutenu les mesures gouvernementales à travers les générations :
– ils ont détruit les langues régionales comme le leur avait demandé Jules Ferry à la fin du XIXe siècle
– ils ont enseigné « Nos ancêtres les Gaulois » aux quatre coins de l’Empire, selon les mêmes directives du ministre qui expliquait bien que les droits de l’Homme n’étaient pas pour les Noirs.
– ils ont enseigné « Je serai soldat » avant la première Guerre mondiale…
Or, quel est le devoir fondamental de l’Éducation Nationale ?
– le personnel de l’éducation et les responsables en particulier ne sont pas payés par le gouvernement contrairement à ce qu’ils répètent en boucle « pour obéir aux consignes » et « pour appliquer la politique du gouvernement élu » en sous-entendant par là qu’ils accomplissent la logique d’un « jeu démocratique » auquel la population perd toujours tandis qu’eux y gagnent, sur le dos des enfants qui souffrent, leur salaire et leur confort social. Non, les chefs d’établissement, les enseignants et les éducateurs sont payés par la population pour véritablement informer et protéger les enfants, les amener à construire une société juste, libre et épanouissante, en accord avec la Planète, les valeurs des Lumières, les droits de l’Homme, au service de la réalisation de ce que l’Humanité a de meilleur, en dehors des pressions politiques et des lobbies. Ils ne sont pas là pour donner l’exemple de la lâcheté, de l’hypocrisie et du service rendu contre salaire à un modèle destructeur et oppressif.
– tout lobby est condamnable lorsqu’il favorise les intérêts d’une minorité au détriment d’une majorité. Il faut certes protéger une minorité opprimée dans son droit mais non chercher à influencer une majorité en la soupçonnant a priori.
– le fait qu’une minorité ait été ou soit encore opprimée ne lui donne pas le droit de culpabiliser une population entière non responsable en prétendant la rééduquer : il ne faut pas confondre justice et vengeance.
– le mouvement LGBT se dit contre l’oppression historique du mâle blanc occidental violeur et dominateur, mais l’idéologie du doute sur son identité sexuelle ou de genre, enseignée par les écoles, est en réalité une continuation et une accentuation de la guerre faite par la science à la Nature, au corps, au vivant, au biologique depuis la révolution industrielle, voire avant (voir plus loin)
– la théorie du genre et les questionnements sexuels enseignés à l’école sont aussi un prolongement des expérimentations idéologiques, des modes et théories intellectuelles, des créations sociales dont les corps et les esprits des enfants sont les terrains de jeux.
– la promotion de la pédophilie par d’anciens ministres ou hommes politiques à l’époque de la « libération sexuelle » et du « Il est interdit d’interdire », devrait rendre prudents les pédagogues zélés d’avant garde et les parents…
– il serait judicieux de se demander pourquoi Sade (XVIIIe siècle), incarnation de l’aristocrate prédateur et criminel de la société d’Ancien régime, a été transformé par toute la culture libertaire des années 60 en un modèle d’émancipation à suivre, et pourquoi le « philosophe » médiatique Raphaël Enthoven en a fait son maître à penser.
– on fait passer pour réactionnaire le refus de telles intrusions, alors qu’elles sont précisément un retour des théories sexuelles des années 60 et 70 qui ont mené à tant de dérives en particulier dans le milieu de l’éducation
– faut-il rappeler qu’il y a encore quelques années on considérait à l’hôpital qu’il n’y avait pas de souffrance chez le nouveau-né, et pas de conscience chez l’enfant de moins de 5 ans ? Comment se fait-il qu’aujourd’hui, par un étrange renversement, on l’amène à s’infliger autant de souffrances et à prendre autant de décisions précipitées ?
– imposer à un enfant ou un adolescent des questions qu’il ne s’est pas posé spontanément, c’est aller à l’encontre de son corps, de sa maturation, de lui-même, de son évolution naturelle.
– pourquoi ne pas demander à un enfant s’il a essayé de se scarifier ou encore autre chose pour savoir s’il en retire du plaisir, auquel cas il faudrait alors l’orienter vers le masochisme ou d’autres formes de sexualité ?
– pourquoi ne pas faire des programmes pour proposer dès l’enfance des substances telles que CBD, la Ritaline etc. afin qu’ils aient le choix, en leur disant qu’ils ont le droit de remplacer le calme naturel par des substances ?
– y-a-t-il vraiment une différence entre la violence patriarcale et archaïque de l’excision d’une petite fille africaine et l’opération proposée à un petit garçon occidental non informé des conséquences et manipulé par quelques idéologues bien-pensants ?
– l’enfant manque de discernement dans beaucoup de ses choix : l’accoutumance spontanée au sucre peut l’amener à toutes sortes de dépendances. Faut-il donc l’orienter vers tout ce qui peut le séduire très jeune ?
– est-on vraiment dans le libre choix lorsque le changement de genre est fortement valorisé par toute la société et la culture des jeunes ? – c’est toujours l’adulte qui imagine et oriente les questions à partir de modes intellectuelles jamais interrogées par les éducateurs qui les appliquent. – l’obsession précoce de l’orientation sexuelle peut amener à un narcissisme et à une fixation régressive sur le corps qui va à l’encontre de l’ouverture sur le monde, sur l’autre, sur la Vie en général.
– derrière les apparences l’hypersexualisation amène aussi à se détourner de luttes communes contre un système qui justement n’a jamais été autant dominé par le capitalisme, la consommation et le divertissement blanc occidental : c’est une forme de plus de matérialisme et de consommation, tout à fait dans l’esprit du « Il est interdit d’interdire « de Mai 68 qui, après avoir été une révolte contre la société de consommation, a conduit à son exacerbation décomplexée et à un comportement prédateur vis-à-vis du Vivant en général, menant à son risque d’extinction.
– la simultanéité de l’offensive vaccinale et du Woke n’a en réalité rien d’un hasard quand on voit que la source est commune et que les résultats convergent pour créer la confusion par de fausses questions de civilisation et la division dans les populations.
– les parents sont aussi stupéfaits et démunis pour la plupart face à cette offensive que l’ont été les parents de toutes les dictatures en voyant l’école se faire l’antenne de la doxa gouvernementale.
– l’école n’est-elle pas devenue le relais étonnamment naïf et empressé, et le reflet de l’hypersexualisation des écrans et jeux vidéo à des fins commerciales, permis par les gouvernements venant du privé et collaborant avec les lobbies du privé, avec des conséquences graves en termes de comportements sexuels ?
– par quelle autorité légitime sont imposés les questionnements de la théorie du genre pour qu’elles occupent soudain une telle place et quelle en est l’origine ?
– l’imposition de ces programmes par un petit nombre de décideurs est tout sauf représentative de la volonté démocratique, tout comme de nombreux autres aspects négatifs du libéralisme imposé aux populations : santé, agriculture, médias, réseaux sociaux…
– est-ce la « civilisation » qu’on impose aux enfants ou les délires intellectuels et expérimentaux de quelques-uns ?
– n’est-ce pas un peu inquiétant de constater que c’est le même gouvernement qui enferme ses citoyens, impose la vaccination, sacrifie l’hôpital, effondre son économie et sa santé, vend la France aux multinationales et aux GAFAM, censure la liberté d’expression, réprime avec brutalité les demandes de justice sociale et fait la promotion de la théorie du genre qui s’en prend aux corps et aux consciences des enfants ? Peut-on vraiment croire chez les enseignants et leurs cadres que ce gouvernement veut le bien des enfants malgré toutes les preuves qu’il donne de sa corruption et de son cynisme ?
– concernant la question de l’Islamophobie, les programmes émanent précisément d’autorités cherchant à se déculpabiliser de fautes géopolitiques ou coloniales qu’ils en ont commises en les faisant porter à des personnes non responsables.
– comme pour le Covid, le Wokisme est une entreprise d’hyperculpabilisation des populations permettant de les manipuler, exactement comme dans la Genèse de l’Ancien Testament : c’est une nouvelle forme de religion obscurantiste basée sur le conflit avec la Nature et la culpabilité de nous considérer tel Caïn, coupable de la mort de son frère Abel.. Une réinitialisation des consciences morales par la Science dont les enseignants sont les prêtres zélés.
– les procédés de contrainte ou de violence faite au corps rappellent étrangement les sévices que s’infligeaient certains religieux par sentiment de culpabilité pour expier un pêché originel dont il n’était pas responsables mais que leur faisaient porter les autorités.
3) Maltraiter le corps et la nature et culpabiliser : une continuité entre religions et science
Les bloqueurs de puberté, prises d’hormones croisées et opérations contrarient et font violence à tout un équilibre et une organisation qui ont produit et permis la vie dont nous bénéficions, et voudrait spontanément se perpétuer à travers nous. Rien de comparable au fait de nous mettre à marcher sur deux pieds ou apprendre à parler, créer pour épanouir toutes nos potentialités : il s’agit de contraindre tout notre métabolisme et nos cellules par une pression de tous les instants et une intervention extérieure en les détournant de ce qu’elles désirent naturellement.
Or, historiquement, la violence faite aux corps, appelée « soins de santé » par la prise d’hormones, la testostérone ou les œstrogènes, les bandages qui écrasent la poitrine ou le sexe, les opérations, etc. n’est que le prolongement de l’oppression de la Nature par l’agriculture intensive, les engrais chimiques, les greffes, les OGM en cherchant à lui imposer d’être à l’image de nos désirs ou de notre avidité, en un modèle qui a démontré qu’il détruisait la vie et l’Humanité.
Les procédés de contrainte, d’ablation ou de violences faites au corps rappellent étrangement les sévices que s’infligeaient certains religieux par sentiment de culpabilité pour expier un pêché originel dont il n’était pas responsables mais que leur faisaient porter les autorités. Les enseignants savent-ils et informent-ils les enfants et les jeunes que… ?
– si le taux de suicide est plus important chez les transgenres, ce n’est pas uniquement à cause de certaines discriminations, mais aussi à cause du regret et de la souffrance du corps et parce que beaucoup de transgenres se rendent compte que leur opération n’a rien changé à leur mal de vivre.
– de nombreux enfants et jeunes ont amèrement et toute leur vie regretté leur décision irrévocable après leur opération.
– l’Académie de Médecine déconseille les hormones en ces termes :
« une grande prudence médicale doit être de mise chez l’enfant et l’adolescent, compte tenu de la vulnérabilité, en particulier psychologique, de cette population et des nombreux effets indésirables, voire des complications graves, que peuvent provoquer certaines des thérapeutiques disponibles. À cet égard, il est important de rappeler la décision récente (mai 2021) de l’hôpital universitaire Karolinska de Stockholm d’interdire désormais l’usage des bloqueurs d’hormones. Si, en France, l’usage de bloqueurs d’hormones ou d’hormones du sexe opposé est possible avec autorisation parentale sans condition d’âge, la plus grande réserve s’impose dans cet usage, compte tenu des effets secondaires tels que l’impact sur la croissance, la fragilisation osseuse, le risque de stérilité, les conséquences émotionnelles et intellectuelles et, pour les filles, des symptômes rappelant la ménopause. Quant aux traitements chirurgicaux, notamment la mastectomie autorisée en France dès l’âge de 14 ans, et ceux portant sur l’appareil génital externe (vulve, pénis) il faut souligner leur caractère irréversible. » : https://www.academie-medecine.fr/la-medecine-face-a-la-transidentite-de-genre-chez-les-enfants-et-les-adolescents/
– les effets secondaires des hormones masculines sur les femmes sont les suivants : polyglobulie, prise de poids, acné, calvitie, apnée du sommeil, maladies cardiovasculaires, hypertension, diabète de type 2, troubles psychiatriques. – les effets secondaires des hormones féminines sur les hommes sont : thromboembolie veineuse, calculs biliaires, augmentation des enzymes hépatiques, prise de poids, hypertriglycéridémie.
– on ose parler de « soins », par ailleurs remboursés et très chers alors que de nombreuses personnes ne sont pas soignées, mais surtout alors que les effets secondaires seront pires que le mal-être. Encore un détournement de langage comme dans le cas des injections.
– le sentiment de culpabilité dans le cas du Wokisme est lié à la Nature, « Environnement », aux colonies, aux guerres économiques et aux injustices sociales. Mais cette culpabilité qu’on fait porter par des non-responsables contre des non-responsables aboutit exactement au contraire de ce qu’elle voudrait, en suscitant une autre violence contre soi et les autres, sans s’en prendre aux véritables responsables, et ce n’est certainement pas un hasard, quand on voit d’où émane cette idéologie.
– avec l’éco-anxiété et le Wokisme, on aboutit aussi à une forte culpabilité personnelle et une paralysie qui inhibe l’union avec d’autres formes de résistance et on diabolise les luttes non conformes au lieu de favoriser le dialogue et l’union des forces.
– l’éco-anxiété et le Wokisme amènent à abandonner la planète précisément à ceux qui la détruisent et créent les inégalités en haut-lieu, tout en espérant qu’elle survive principalement pour eux avec une société diminuée tant psychologiquement que physiquement par le marasme et les privations.
– L’état du monde, l’extinction des espèces, la disparition des abeilles, l’urgence écologique sont là pour témoigner de la folie qu’il y a à imposer des théories humaines à courte vue sur le vivant, sur un ordre naturel se déployant depuis des millions d’années… Allons-nous aveuglément appliquer aux enfants les détournements et expérimentations imposées à la Terre, aux végétaux et aux animaux ?
4) Une école semblable au Meilleur des mondes d’Aldous Huxley
Les enseignants ne devraient-ils pas s’interroger sur le fait que l’hypersexualisation des enfants a été annoncée par Aldous Huxley dans Le meilleur des mondes, décrivant à Londres l’organisation d’une société de castes où l’ignorance, la bêtise, les stupéfiants, la consommation et le divertissement règnent en maîtres afin de contrôler les populations soi-disant pour leur éviter des guerres ? Si Le meilleur des mondes est au programme des classes de lycée depuis des décennies, c’est parce qu’Aldous Huxley, il l’a clairement dit lui-même, nous a tout simplement mis en garde à travers lui contre notre avenir programmé :
– remise de leur liberté par les citoyens à l’establishment après une grande guerre
– état mondial scientifique conditionnant les individus
– hyper-sexualisation des enfants
– mépris et dévalorisation de la famille et de la conception biologique au profit de la culture et de la manipulation in vitro des embryons ;
– psychotropes dès l’enfance et prise constante de soma, euphorisant de type Prozac
– vie des « sauvages » dans des réserves en dehors de l’état mondial
– apprentissage par suggestion hypnopédique (en dormant)
– dépréciation des sentiments au profit du plaisir
– non-conformisme et sentiments non dictés par le plaisir considérés comme une menace pour la société
5) La « Destruktion », des valeurs occidentales du philosophe Heidegger appliquée dans la « déconstruction » à la mode.
Les proviseurs,, principaux, directeurs, enseignants, ne devraient-ils pas questionner le fait que la fameuse « déconstruction » des repères sociétaux et intellectuels, utilisée dans la théorie du genre, trouve sa source dans la « Destruktion » généralisée des certitudes occidentales, voulue par le philosophe allemand Heidegger, membre convaincu du parti nazi, non SS, mais fonctionnaire de l’Université ? Le concept est en fait hérité d’Heidegger lui-même.
On peut parler de « constructions » sociales pour les inégalités hommes-femmes et les rôles rigides qui leur sont assignés. En revanche, sauf si on est solipsiste ou schizophrène, le Réel se définit précisément par ce qui n’a pas besoin qu’on y croie pour exister : c’est ce qui produit et soutient la vie, en dehors des idéologies changeantes. Le sexe biologique n’a donc rien à voir avec une construction sociale, et c’est la construction sociale idéologique de l’Occidental qui s’attaque au Réel quand elle s’attaque à la biologie. Ce n’est pas une révolte de notre vraie nature contre la société qui l’opprime, c’est au contraire une ruse de la société, et des plus dominants (scientifiques, théoriciens les plus à la pointe de l’esprit occidental, pour continuer à opprimer la Nature aux sources mêmes du Vivant en nous. Et c’est à l’opposé de ce que font les sociétés traditionnelles les plus respectueuses de la Nature, de la femme et du corps, dont parlait en particulier Marija Gimbutas, la chercheuse lituanienne qui a beaucoup travaillé sur le culte de la Grande Déesse qui a précédé les religions du Livre patriarcales.
6) Les enseignants instaurent-ils des discussions autour de cette édifiante histoire anglaise ? La fermeture de la Tavistock and Portman clinic de Londres
L’affaire nationale Keira Bell au Royaume Uni et la Tavistock and Portman Clinic Pourquoi la Tavistock and Portman, la clinique de changement de genre la plus célèbre du monde a-t-elle été contrainte de fermer ses portes ?
Le Tavistock and Portman NHS Trust, la clinique de changement de genre la plus célèbre d’Angleterre, contrainte de fermer ses portes pour mise en danger de la sécurité de ses patients. le 1er décembre 2020, la Haute Cour de Londres avait donné raison à Keira Bell qui avait attaqué la célèbre Tavistock and Portman NHS Trust pour avoir influencé et précipité son changement et a jugé que l’on ne pouvait pas considérer qu’un enfant puisse faire preuve d’un consentement éclairé pour demander un changement de genre. » ? Les avocats de la clinique ont ensuite réussi à lui donner tort mais Keira Bell a déclaré : « Je suis surprise et déçue que le tribunal ne se soit pas inquiété du fait que des enfants âgés d’à peine 10 ans aient été mis sur la voie de la stérilisation ». Toutefois, elle affirme être « ravie » d’avoir contribué à faire « la lumière sur les pratiques obscures de l’un des plus grands scandales médicaux de l’ère moderne » Mais un nouveau rebondissement eut lieu pendant l’été 2022.
Cette même clinique spécialisée dans le transgenre, la Tavistock and Portman NHS Trust, va fermer ses portes en 2023 suite à de nombreux procès de la part de filles transgenres et de nombreuses dénonciations de son personnel ayant révélé le surdiagnostic de dysphorie et poussé aux opérations précoces :
« Le GIDS a fait l’objet d’un examen approfondi ces dernières années, un certain nombre d’anciens membres du personnel ayant fait part publiquement de leurs préoccupations concernant le “surdiagnostic” de la dysphorie de genre, les conséquences des interventions médicales précoces et l’augmentation significative des renvois de filles s’interrogeant sur leur identité de genre — une tendance qui se reflète en Europe et dans le monde. » Source : https://www.theguardian.com/society/2022/jul/28/tavistock-gender-identity-clinic-is-closing-what-happens-next En raison de craintes pour la sécurité des patients, le service national de la santé du Royaume-Uni (NHS) a annoncé la fermeture de la plus grande clinique pédiatrique du monde spécialisée dans le traitement de la dysphorie de genre, le Gender Identity Development Service in London (GIDS), connu sous le nom de Tavistock. Cette annonce fait suite aux recommandations émises par Dr Hilary Cass, mandatée par le gouvernement britannique pour procéder à un examen indépendant de ce service spécialisé. Le Dr Cass a estimé que le modèle de traitement fondé sur l’affirmation du genre n’était « pas une option sûre ou viable à long terme » car ses interventions reposent sur des preuves insuffisantes et son modèle de soins expose les jeunes à un « risque considérable » de mauvaise santé mentale. Récemment, la Suède et, avant elle, la Finlande en tant que pionnière, se sont distancées du modèle de traitement affirmatif du genre pour les enfants et adolescents dysphoriques. Au-delà du cas spécifique de Tavistock, ce sont les normes de soins de la World Professional Association for Transgender Health (WPATH) auxquelles se réfèrent l’Office fédéral de la santé et les médecins qui pratiquent dans les consultations spécialisées des services de pédiatrie d’hôpitaux cantonaux, qui sont ainsi mises en question. Le rapport intermédiaire de Dr Cass souligne notamment un manque profond de preuves et de consensus médical sur la meilleure approche pour traiter la dysphorie de genre chez les enfants. Il déplore qu’en dépit des controverses et des incertitudes, les services spécialisés prennent la déclaration des jeunes de se ressentir du sexe opposé comme point de départ du traitement, en négligeant les conditions de santé mentale concomitantes. Source : https://www.amqg.ch/fermeture-tavistock
7) Les anciennes sociétés matriarcales que semblent regretter les Woke sont à l’inverse des pratiques transgenres
– dans le système matriarcal, on est conscient de faire partie d’une intelligence qui nous dépasse et nous grandit, on est précisément dans la valorisation et la sacralisation de la Nature, la compréhension et l’adaptation aux lois naturelles, et pas le contraire.
– il y a dans le transgenre une forme de scarification et d’automutilation, de castration qui rejoint la violence faite à la Terre et la violence des sociétés patriarcales. Le transgenre promu par les programmes n’a rien d’initiatique et n’a rien à voir avec les Heyokas Indiens ou « clowns sacrés » d’Amérique du Nord.
8) Collaboration avec les inégalités communautaires, oppression de la femme et inversion accusatoire
Le Fascisme, c’est précisément l’imposition d’une volonté de puissance qui exalte le masculin : physique, intellectuelle, technologique aux plus démunis : les enfants et les anciens, la femme et la Nature. Il y a une grande hypocrisie de la part des partis de Gauche qui méprisent et dénoncent profondément les religions mais se voilent la face en acceptant que les femmes se voilent par clientélisme politique pour ce qui touche au communautarisme en défendant le patriarcat, le relativisme et le droit du plus fort plutôt que l’universalité des droits humains affichés.
Notons que l’enseignement du Christ lui-même dans les Évangiles est émancipateur pour la femme et à l’opposé du patriarcat, et à distinguer des constructions sociales des différentes branches telles que Catholicisme, Orthodoxie, Protestantisme, qui ont hérité des sociétés où elles sont nées, et où la religion a emprunté des cadres préexistants, comme l’Islam.
Le véritable réactionnaire et obscurantiste est le Woke lorsqu’il soutient une pratique extrêmement patriarcale et non inscrite dans le Coran, le Voile, en prétendant défendre un droit personnel et culturel, le Wokisme protège en réalité des courûmes patriarcales et attaque des droits humains. La charia qui permet la lapidation ou le féminicide pour adultère, tout comme la Loi ancienne juive ou les Lois de Manou des castes indiennes, est l’expression par excellence d’une « religion » du père diabolisant le corps et la femme et ne lui attribuant de valeur que dans le travail domestique ou agricole, ou cet autre « travail » qu’est la procréation, puis l’élevage des enfants, au bénéfice d’une société masculine, ce qui est la définition même de l’aliénation. Historiquement, il est difficile de trouver modèle plus « mâle dominant violeur » que l’Islam politique qui en quelques décennies avait conquis militairement le monde de l’Espagne aux frontières de l’Inde et était déjà en de constantes guerres tribales intestines. On peut se demander qui a intérêt à tenir la société par de si grosses ficelles, et répondre à cette question assez facilement en se souvenant que les Frères Musulmans sont les grands amis des Capitalistes, car ils sont conservateurs pour les mœurs et libéraux en économie : ils tiennent ainsi sagement la société en laisse pendant que les Capitalistes font leurs affaires. On est donc bien loin des idéaux de la Gauche.
C’est précisément parce qu’ils sont universels que les droits doivent être défendus partout et que personne n’a le droit, dans un état de droit, de faire porter sur des descendants ou n’importe qui des problèmes historiques.
9) De la culpabilisation à l’agression contre soi ou l’autre : psychologiquement, le Woke peut être manipulé par plusieurs choses :
– son propre ressentiment et son désir de vengeance contre une société dont il se sent exclu
– la culpabilité d’être un privilégié par son niveau ou son confort de vie
– la culpabilité des guerres occidentales contre les pays arabes et musulmans
– les arguments de certains prédicateurs musulmans
– la perspective d’une vie sans culpabilité
– le confort et le soulagement d’avoir trouvé un terrain de focalisation : son corps, ou un terrain de combat avec des responsables : ses ennemis classés à « l’extrême-droite », représentant ses propres refoulements et sa peur de voir la simple la réalité, alors qu’ils se battent précisément pour les valeurs que lui prétend défendre.
– la volonté des politiques et des néo-libéraux de diviser la société pour la contrôler, exactement comme ils ont importé de la main-d’œuvre bon marché non syndiquée et prête à tout pour casser les luttes sociales, en provenance des anciennes colonies, puis ont organisé le regroupement familial alors que commençait la crise économique des années 70, contre l’avis même de la Gauche communiste à l’époque, qu’on ne pouvait qualifier de fasciste.
10) De Francis Bacon au Woke : la modernité scientifique vise à la soumission du vivant jusqu’au nucléaire, aux OGM, à la culture des cellules souches, aux vaccins ARNm, et au Transgenre à travers le viol de tous les sanctuaires naturels ou humains.
La domination biologique de la Nature est l’essence même du patriarcat scientifique, religieux et sociétal. À partir du travail du philosophe David Fideler
Le père de la « Modernité » anglaise, modèle fondateur de la méthode scientifique occidentale, fut Francis Bacon (1561-1626). Il participa lui-même à des procès contre des « sorcières » et a expliqué dans son ouvrage Novum Organum (« Un nouvel Organe », titre très révélateur dans ce sujet touchant au patriarcat et au transgenre…), que la science était comme « une inquisition », que la nature devait être « l’esclave de l’humanité », qu’elle se révèle lorsqu’elle est « sous contrainte et vexée ; c’est-à-dire, lorsque par l’art et la main de l’homme elle est forcée hors de son état naturel, et pressée et moulée » « La nouvelle philosophie permettra à la race humaine de “recouvrer ce droit sur la nature qui lui appartient par legs divin” et d’établir la “domination de l’homme sur l’univers.” En bref, Bacon promet que sa nouvelle méthode conduira à un véritable progrès dans tous les domaines, inaugurera la “naissance véritablement masculine du temps” et fera de la nature “l’esclave de l’homme”, écrit en citant Francis Bacon le philosophe américain David Fideler auteur de Restoring the Soul of the World, Our Living Bond with Nature’s Intelligence (Inner Traditions, 2014, “Restaurer l’Âme du monde, notre lien vivant avec l’intelligence de la Nature”, non traduit).
Un viol scientifique et technologique que prolongent le Woke et le Transgenre
11) “La nouvelle expérience : mettre la nature au pilori” Intégralité de l’article de David Fideler :
“Au fur et à mesure que la nature était modelée en machine pendant la période de la révolution scientifique, un nouvel esprit a commencé à naître dans lequel la nature n’était pas considérée comme ayant une valeur intrinsèque, mais seulement comme un objet d’utilisation humaine — et comme un objet de contrôle technologique. Écrivant vers la fin du XVIe siècle, Francis Bacon a utilisé, pour décrire cette nouvelle idée de domination de l’homme sur la nature, un langage dont l’imagerie est choquante pour de nombreux lecteurs contemporains. Ce bref extrait de la philosophie de Bacon est tiré de L’âme du monde, chapitre 8, ‘In the Name of Utility: L’exploitation de la nature et le déclin du plaisir ». À l’instar de René Descartes dans sa quête d’une science universelle, Francis Bacon (1561-1626) a parlé d’un novum organum, un ‘nouvel instrument’ de recherche humaine qui satisfera les ambitions impériales de l’humanité sur le monde naturel. Cette nouvelle méthode, écrit-il, s’appliquera ‘non seulement aux sciences naturelles mais à toutes les sciences’ et ‘embrassera tout’. La nouvelle méthode d’enquête permettra une connaissance universelle et objectivée. Elle est comme un instrument, ‘une nouvelle machine pour l’esprit’, qui guidera infailliblement l’humanité pour comprendre le monde tel qu’il est réellement. Dans ce processus de connaissance de la réalité, Bacon nous assure que l’esprit ne sera pas ‘laissé à lui-même, mais guidé à chaque pas et que l’affaire sera faite comme par une machine’. De cette façon, l’humanité acquerra une connaissance infaillible et une maîtrise totale de la nature. La clé de la domination de la nature par Bacon réside dans la méthode expérimentale, et la ligne de démarcation entre expérimentation et domination n’est jamais distincte. La seule raison de l’expérimentation, en premier lieu, est d’acquérir le pouvoir sur le monde. Comme le souligne Carolyn Merchant, l’image de la nature qui guide Bacon est celle d’une femme qui attend d’être dominée et violée, et il jure à ses lecteurs que la nouvelle philosophie fera de la nature l’” esclave même de l’humanité ». Bacon a écrit que « la nature se montre plus clairement sous les épreuves et les vexations de l’art que lorsqu’elle est laissée à elle-même ». En d’autres termes, la voie sûre vers la compréhension passe par l’expérimentation mécanique. Pour Bacon, l’expérimentation est « une inquisition », dans laquelle la nature est contrainte de livrer ses secrets cachés. Dans le cadre de ses fonctions professionnelles, Bacon était un inquisiteur légal impliqué dans les procès de sorcellerie contemporains, ce qui a profondément influencé son langage et son imagerie concernant la domination de la nature. Au cours de ces procès, des confessions étaient arrachées par la torture à des femmes innocentes exposées sur le chevalet. De la même manière, Bacon insiste sur le fait que les expériences mécaniques de la nouvelle philosophie doivent approcher la nature « sous contrainte et vexée ; c’est-à-dire, lorsque par l’art et la main de l’homme elle est forcée hors de son état naturel, et pressée et moulée ». Grâce à l’expérimentation, il sera possible de faire avouer à la nature des choses qu’elle ne pourrait pas avouer dans le cadre d’un examen moins rigoureux. Mais une fois son secret dévoilé, on peut la forcer à le révéler encore et encore. Ainsi, Bacon explique que le chercheur scientifique doit « suivre et pour ainsi dire traquer la nature dans ses pérégrinations, et vous pourrez, quand vous le voudrez, la conduire et la ramener au même endroit ». Grâce à cette expérimentation, l’homme pourra « pénétrer plus avant », dépasser « les cours extérieures de la nature » et « trouver enfin un chemin vers ses chambres intérieures ». Puisque la mesure du savoir est le pouvoir, la nouvelle philosophie vise les découvertes utiles. Ainsi, écrit Bacon, les arts mécaniques ne se contentent pas « de guider avec douceur le cours de la nature ; ils ont le pouvoir de la conquérir et de la soumettre, de l’ébranler dans ses fondements ». Puisque « la domination de l’homme sur la nature ne repose que sur la connaissance », la clé de la maîtrise du monde par l’homme réside dans la recherche scientifique organisée. De cette façon, les découvertes de nombreux chercheurs seront réunies dans une entreprise commune et le savoir s’accroîtra progressivement. Bacon appelle à un effort commun, exhortant tous les hommes à faire la paix entre eux afin qu’ils puissent se tourner « avec des forces unies contre la Nature des choses, pour prendre d’assaut et occuper ses châteaux et ses forteresses, et étendre les frontières de l’empire humain, aussi loin que Dieu tout-puissant dans sa bonté puisse le permettre ». La nouvelle philosophie permettra à la race humaine de « recouvrer ce droit sur la nature qui lui appartient par legs divin » et d’établir la « domination de l’homme sur l’univers. » En bref, Bacon promet que sa nouvelle méthode conduira à un véritable progrès dans tous les domaines, inaugurera la « naissance véritablement masculine du temps » et fera de la nature « l’esclave de l’homme ».
12) L’EVRAS en Belgique
En Belgique, depuis 2012, l’EVRAS, Éducation à une Vie Relationnelle, Affective et Sexuelle, est une matière obligatoire, même si tous les établissements n’obéissent pas, en particulier ceux l’enseignement catholique. L’EVRAS se présente comme une prévention contre l’hypersexualisation et la pornographie dans la société, phénomènes entraînant de mauvais repères et un mauvais vécu sexuel, et une information contre la discrimination, pour promouvoir l’amour et le respect mutuel chez les jeunes. Il s’agit d’instaurer un « climat naturel, où on peut aborder beaucoup de choses sans jugement » Sur demande de l’école, l’EVRAS peut commencer en maternelle et il est souhaité qu’elle se poursuive tout au long du cursus scolaire, donc systématiquement chaque année. On peut regretter au passage qu’autant de moyens ne soient pas dévoués à l’enseignement de l’histoire réelle de l’Humanité, du système bancaire, des dictatures et de la mondialisation, car nul doute que nos problèmes disparaîtraient en une génération. Des dizaines d’organisations se sont regroupées pour faire pression sur le monde politique. Afin que l’EVRAS soit généralisée. Déjà en 2010, on lisait sur le site de l’OMS :
« Madrid, 20 octobre 2010 – L’éducation sexuelle devrait commencer dès la naissance. » et les rapports Kinsey
Cela rappelle fortement, juste après la Deuxième Guerre mondiale, les rapports Kinsey, fortement biaisés par les catégories sociales hors-norme, telles que des prostituées, qui avaient constitué la base des sondages déterminant un état des lieux de la sexualité des Américains moyens… Et ce n’est pas pour rien : Alfred Kinsey, professeur d’entomologie et de zoologie, est appelé le « père de la révolution sexuelle », et il avait lui-même une sexualité débridée et « complexe » (bisexualité, union libre et masochisme). Il manipula les études dans le but de faire exploser les cadres sociaux. Les rapports Kinsey s’étendaient sur la riche sexualité des bébés auxquels à aucun moment on avait demandé s’ils étaient d’accord pour participer à ces expérimentations. Tout comme en 2021 Stéphane Bancel, le PDG néo-milliardaire de Moderna, n’avait pas demandé l’autorisation de tester son injection ARNm aux enfants de 6 mois qu’il utilisait. Sans faire de mauvais esprit, l’EVRAS, avec son statut d’« expert », profite donc d’un énorme problème sociétal, l’hypersexualisation et la pornographie, permis et encouragé par tout un système, entre autres par la « libération sexuelle » depuis les rapports Kinsey, pour apporter une « solution » elle-même produite par le système. C’est un processus identique au processus virus/vaccin déjà produit et promu par l’OMS avec le même vocabulaire : « égalité des chances », « information », « respect », « bienveillance ». Tout n’est certainement pas à condamner, et on peut croire aux bonnes intentions d’un certain nombre de pédagogues et intervenants EVRAS… tout comme des vaccinateurs et applicateurs zélés des mesures sanitaires. Le problème est que tout le passé des organisations et des trusts derrière ces idéologies témoigne contre eux, à commencer par le Covid. Et on connaît la suite de ce qui est présenté aux Maternelles. Alors tout simplement, pourquoi ne pas pénaliser la pornographie violente si elle est si dommageable ? À cause des restes de la « libération sexuelle » contre l’ancien ordre moral, parce qu’il ne faut pas intervenir sur le marché qui fait loi, le plus grand crime étant d’empêcher la croissance, et parce qu’il faut continuer à déstructurer la société pour mieux lui imposer ensuite des lois absurdes et des manipulations indécelables… Par ailleurs, si la pornographie est un problème qui touche les préadolescents ou adolescents, pourquoi en parler dès la maternelle, voire dès la naissance ? Pourquoi ne pas associer plus étroitement les parents, en faisant une grande campagne contre la pornographie ?
Manipulation du vocabulaire et fin de la vie privée : novlangue et totalitarisme soft Les jeunes non-hétérosexuels se disent « non-binaires »…. du coup qualifier l’hétérosexualité de « binaire », c’est un peu discriminatoire… On n’est pas loin de « primaire » et « obtus », « manichéen », les termes ne sont pas neutres… La pudeur n’est pas nécessairement le signe d’une névrose, mais le signe qu’on a gardé le sens de l’intimité, du domaine du privé et du respect de certains sujets dont on connaît intuitivement l’enjeu capital : la Vie et l’Amour. Et parfois on voudrait juste vivre ça avec soi-même ou avec ceux qu’on a choisis. On parle souvent de la fin de la vie privée dans les temps qui sont les nôtres. C’est une caractéristique des systèmes totalitaires. Intrusion dans la vie intime des jeunes des la naissance, suggestion de modifications physiologiques, euthanasie qui avance, on prépare la fin de la vie privée dès la naissance, et on termine par la privation de la fin de vie dans la vieillesse. L’Amour et la Conscience sont précisément les sanctuaires et les refuges de cette vie privée, intime, nous ouvrant sur l’Universel. C’est pourquoi ils ont toujours été suspects et persécutés ou dévalorisés, aussi bien chez les marxistes que les capitalistes et les fascistes. Et les théocraties n’étaient pas en reste, car l’amour et la conscience sont ce qui nous relie directement à la transcendance, sans besoin d’idéologues ni de prêtres jaloux, laïques ou religieux. Ils nous relient à la Source et à l’Océan, et démasquent tout le factice des totalitarismes. Version du 2 février 2023
Mauvais genre– une épidémie mondiale Documentaire de 90 minutes, réalisé par Sophie Robert
Sommes-nous face à une épidémie de transidentité chez les jeunes ? D’où vient-elle et comment expliquer ce phénomène ? Quelles en sont les conséquences ? Qu’est-ce que le transgenrisme ? « Mauvais genre – une épidémie mondiale » le premier documentaire critique de l’idéologie du genre. « Mauvais genre – une épidémie mondiale » pose la problématique générale, questionne la réalité de cette épidémie et les différents facteurs qui ont concouru à l’explosion des chiffres. Il met en évidence le phénomène des influenceurs trans, la contamination par les pairs, la fragilité spécifique des jeunes autistes/TDAH, des jeunes homosexuels (en particulier des jeunes femmes non conformes aux stéréotypes de genre) et des jeunes avec antécédents psychiatriques vis-à-vis de cette propagande. Ce film déconstruit les arguments des transactivistes et les confronte à la réalité. Il met en évidence que ce qui est présenté comme un mouvement de mode spontané chez les jeunes, de personnes victimisées et brimées, est piloté par de puissantes associations caritatives richement dotées et une stratégie de lobbying redoutablement efficace issue des pays anglo-saxons, qui rayonne dans toute l’Europe de l’ouest.
Bonjour à tous, nous organisons une soirée conférence le mardi 31 janvier au 4, place Henri Chapays à Fontaine dès 18 h. À partir de 19 h, nous recevrons Richard Franck Esnault, médecin praticien, spécialiste de la thérapie fréquentielle et ionique, méthode d’analyse énergétique corporelle et psycho corporelle qui se base sur les ondes produites par les êtres vivants, il nous parlera aussi de la médecine quantique et de la communication des cellules par signaux éléctromagnétiques et biorésonance. Il nous fera une présentation de ces deux domaines d’attribution, avec une bonne dizaine de minutes de questions que vous pourrez lui poser pour en savoir un peu plus. Ensuite, un repas sera proposé par Grégory ainsi que des rafraîchissements et des desserts.
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