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Le système de santé de Singapour est-il confronté à une crise ? L’oncologue le plus expérimenté de Singapour tire la sonette d’alarme

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« Mes collègues signalent une augmentation des cancers du sang, des leucémies, des rechutes, ainsi que des cancers du côlon et du sein. »

Pendant de nombreuses années, Singapour a prospéré sous la direction exceptionnelle de notre père fondateur, le Premier ministre Lee Kuan Yew, et de son équipe visionnaire. Je faisais partie de ceux qui sont retournés à Singapour en mars 1975, contribuant ainsi à sa gouvernance draconienne mais bienveillante.

Cependant, nous constatons aujourd’hui des tensions alarmantes sur notre système de santé.

En 2020, Temasek, la société d’investissement gouvernementale de Singapour, a investi 330 millions de dollars singapouriens (250 millions de dollars américains) dans la société de biotechnologie allemande BioNTech, qui développait un vaccin expérimental contre le coronavirus en partenariat avec le géant pharmaceutique Pfizer.

Que sont exactement ces vaccins à ARNm ?

En tant que consultant de l’OMS, j’ai supervisé la fabrication et l’utilisation de nouveaux vaccins contre l’hépatite B à Singapour. Ces technologies d’ARNm ont été initialement utilisées pour des thérapies ciblées contre le cancer et n’ont pas été conçues à l’origine pour une vaccination de masse.

Le vaccin à ARNm de Pfizer provient de la partie spiculaire du virus SARS-CoV-2, qui possède un brevet de l’USCDC remontant au 2 mai 2004. L’ajout d’une glycoprotéine du VIH a été controversée, soulevant des soupçons quant à ses implications.

En 2021, la vaccination obligatoire avec le vaccin Pfizer a commencé et tous les employés ont dû s’y conformer sous peine de licenciement. Depuis lors, j’ai tragiquement perdu 34 membres de mon personnel médical supérieur, dont ma tante et mon frère estimés. Ma tante a été infectée par un membre du personnel qui avait été vacciné avec Pfizer, ce qui a entraîné sa mort. Mon frère, âgé de 86 ans, qui a reçu le vaccin Moderna en 2021 suivi de deux doses de Pfizer, a succombé à la COVID-19. Durant cette période, le variant Delta, une souche à pointes ciblées, était répandu.

En 2023, Singapour avait atteint un taux de vaccination de 95 % avec Pfizer. Cependant, cela a coïncidé avec une tendance inquiétante au déclin de la population, caractérisée par une augmentation des taux de mortalité et une diminution des taux de natalité au sein de la population hautement vaccinée.

La perte de personnel de santé de première ligne en raison des infections au COVID-19 dans les hôpitaux publics et à l’aéroport de Changi a mis à rude épreuve l’infrastructure de santé. Cela a conduit à des services d’urgence et à des cliniques de médecins généralistes débordés. Pour combler le déficit, 400 médecins ont dû être importés. Malgré des efforts de vaccination généralisés dans les zones de logement, les inquiétudes concernant les vaccins à ARNm ont persisté. Les médecins qui ont exprimé ces inquiétudes ont été suspendus pour avoir prétendument diffusé de fausses informations.

Les décès ont-ils cessé ? Malheureusement non. Malgré la suppression de la loi sur les coroners en mai 2023[ source ], qui a interrompu les enquêtes sur les décès liés aux médicaments , les taux de mortalité annuels et les cas de cancer ont continué d’augmenter.

Mes collègues signalent une augmentation des cancers du sang, des leucémies, des rechutes, ainsi que des cancers du côlon et du sein.

Des collègues seniors prennent leur retraite ou réduisent leur activité pour répondre aux besoins des patients existants, tandis que de nombreux médecins quittent le secteur public. Le secteur privé compte désormais de plus en plus sur des médecins plus jeunes pour les remplacer.

Assistons-nous à l’effondrement de notre système de santé en raison de la perte de personnel due au COVID-19 et des inquiétudes concernant la sécurité des vaccins à ARNm ? Cette question reste cruciale pour la future politique de santé et la résilience du système de Singapour.

– Professeur Gabriel Oon, 8 novembre 2024

Le professeur Gabriel Oon , est connu comme l’oncologue le plus expérimenté de Singapour. Son travail a non seulement modifié le traitement du cancer à Singapour, mais a également influencé les pratiques mondiales. Le professeur Gabriel a joué un rôle clé dans la lutte contre le cancer du foie à Singapour lorsqu’il s’agissait d’un problème de santé majeur. En tant que président fondateur de la Société d’oncologie de Singapour (SSO ) et de la Société d’immunologie et de rhumatologie de Singapour (SSIR), ainsi que secrétaire général de l’Association Asie-Pacifique pour l’étude du foie (APASL) , le professeur Oon a amélioré la médecine collaboration et pratiques à Singapour.
Avant que quiconque dans la communauté médicale « établie » ne qualifie le professeur Gabriel Oon d’« antivaxxer », il est important de souligner qu’il a joué un rôle clé dans le développement du vaccin contre l’hépatite B. Son travail de pionnier a joué un rôle déterminant dans la lutte contre l’hépatite B et le cancer du foie. Dans les années 1970, l’hépatite B était très répandue à Singapour, avec un taux de 9,1 % parmi les donneurs de sang volontaires en 1975 .
Son travail avec l’Organisation mondiale de la santé a contribué à faire de Singapour le premier pays à déployer un programme national de vaccination contre l’hépatite B , entraînant une baisse significative des taux de cancer du foie et des cas d’hépatite B. Mondialement reconnu, le professeur Oon a collaboré avec le professeur Baruch Blumberg, lauréat du prix Nobel , découvreur de l’hépatite B, pour améliorer nos connaissances sur les infections par l’hépatite et le cancer du foie.

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Revirement sur l’enseignement de la théorie du genre à l’école

Source : Essentiel.News

L’intervention au Sénat du ministre délégué à la réussite scolaire force le gouvernement français à faire marche arrière.

Le quotidien français Le Monde a relaté la nouvelle la semaine dernière sans faire preuve de la déontologie dont il se targue pourtant. Sa journaliste Sylvie Lecherbonnier écrit en effet, à la fin de son premier paragraphe: «il n’existe pas de théorie du genre, vocable utilisé comme repoussoir par un courant réactionnaire, mais des études sur le genre.»

Cette affirmation, outre le fait qu’elle est ouvertement et manifestement fausse, a sans doute été imaginée pour décrédibiliser, aux yeux de ses lecteurs les moins avertis, le discours historique du ministre français délégué à la réussite scolaire, Alexandre Portier, devant le sénat français le 27 novembre dernier.

Dans son discours, sous les exclamations indignées d’une partie de l’assemblée, et avant d’être interrompu dans son élan, M. Portier, ministre de 34 ans, normalien et professeur de philosophie, explique:

L’école a pour mission de protéger nos enfants et en même temps de les aider à construire leur jugement par eux-mêmes. […] C’est aussi pour ça qu’il est évidemment hors de question de laisser faire tout et n’importe quoi. Je vous le dis à la fois comme élu mais aussi, comme beaucoup ici, en tant que père de famille, ce programme, en l’état, n’est pas acceptable, et il doit être revu. […]

Premièrement, je m’engagerai personnellement pour que la théorie du genre ne trouve pas sa place dans nos écoles, parce qu’elle ne doit pas y avoir sa place. Deuxièmement, le militantisme n’a pas non plus sa place dans nos écoles. […]

Voici la vidéo de son intervention ci-dessous, qui a fait suite à une tribune sénatoriale signée par 100 sénateurs sur le sujet.

Théorie du genre

Pour rappel, la théorie du genre stipule en substance que le sexe biologique est secondaire – voire anecdotique – dans l’identité individuelle des êtres humains, et que la façon dont les individus décident de s’autoproclamer supplante largement, dans la définition de ce qui constitue un «homme» ou une «femme», la génétique ou les organes reproducteurs.

La conséquence logique et naturelle de cette théorie est notamment qu’il est tout à fait possible que des hommes tombent enceintes; ce que les théoriciens du genre revendiquent effectivement, bien qu’une telle conclusion falsifie rigoureusement leur théorie, reductio ad absurdum.

Ainsi, la théorie du genre est combattue par beaucoup de féministes, qui affirment que cette idéologie réduit les femmes à une série de stéréotypes caricaturaux; selon elles, il ne suffit pas par exemple de s’habiller en rose, de porter des talons aiguilles et de déambuler avec déhanchement pour être une femme; ou qu’un homme biologique ne peut pas, en réalité, être une lesbienne.

En substance, ces féministes revendiquent une appellation d’origine contrôlée pour les femmes.

C’est donc une alliance hors norme entre les féministes et les conservateurs qui s’oppose en ce moment, en France et dans le monde, à ce que la théorie du genre soit imposée aux enfants. Ils qualifient cette idéologie d’obscurantiste, et refusent de voir les écoliers y être exposés.

Le gouvernement français fait marche arrière

Suite à la tribune sénatoriale et au discours d’Alexandre Portier, le gouvernement français a décidé de faire marche arrière. Selon les médias, l’entourage d’Anne Genetet, ministre de l’éducation nationale, affirme désormais que la théorie du genre ne figurera pas dans la version définitive du programme scolaire.

Selon les informations du Monde, avant ce revirement, la direction générale de l’enseignement scolaire travaillait encore sur une version qui intégrait cette notion au programme dans le cadre de la «lutte contre les discriminations.»

Ce revirement a produit les exclamations indignées de plusieurs associations militantes, dont par exemple la Civiise, qui prétend pourtant agir contre les violences sexuelles faites aux enfants. Elle a publié un communiqué indiquant que «jamais le besoin d’instruire les enfants de manière progressive et ajustée à leur âge et de leur permettre de comprendre les enjeux de la vie affective et relationnelle, de l’intimité, du consentement, n’ont été plus évidents et consensuels.»

Pour en savoir plus

Essentiel News a eu l’occasion de traiter de ce sujet à de nombreuses reprises, notamment pour mettre en lumière les mutilations irréversibles que l’idéologie du genre fait subir aux enfants, les scandales qui en découlent, et la multiplication des appels à la prudence sur ce sujet.

Pour creuser encore davantage la thématique, notamment pour ce qui concerne la Suisse romande, ci-dessous figure une vidéo faisant intervenir Vanessa Van der Lelij et Diego Bischof, respectivement présidente et vice-président de l’ACPS, le Collectif Parents Suisse.

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Vaccinations et guerres bactériologiques ou de Caffa à Gaza : une série de conférences appréciées du Dr Jean-Pierre Eudier dans le Dauphiné

« Avant 1914, déjà, Auguste Trillat étudiait comment diffuser au mieux une épidémie… Éminent chercheur, il mettra sa science et son ingéniosité au service de l’armée pendant la Grande Guerre. » Étienne Aucouturier1

« Une partie du monde a été vacciné par du vaccin tué, inactivé, et une autre partie a été vaccinée par du virus vivant, et ce virus, quand il s’est retrouvé dans l’intestin, s’est mis d’accord avec d’autres virus dans l’intestin qui étaient très proches et on l’a très bien vu avec le Covid, qui s’est recombiné avec d’autres virus qui étaient dangereux et qui f**t des polyomiélites. Celui qu’il vient d’y avoir à Gaza n’est pas un virus naturel. Le virus de la polyomielite de Gaza est un virus vaccinal. Il y a actuellement trente fois plus de polyomiélites qui sont dues à du virus vaccinal qu’à du virus naturel. » Pr. Didier Raoult, le 9 septembre 2024 sur Cnews.

«Je cherche d’abord à comprendre les questions.»

Accueilli par des membres et sympathisants et des collectifs locaux, le Dr Jean-Pierre Eudier, président d’honneur de la Ligue depuis que sa collègue Martine Gardenal lui a succédé au titre de présidente, a effectué un voyage apprécié en Dauphiné en cette fin septembre, donnant trois conférences à l’occasion de la sortie du livre collectif de la Ligue Liberté sous surveillance (éd. Marco Pietteur). A Grenoble, il a été accompagné du chercheur Dominique Labbé, co-auteur de l’ouvrage collectif de référénce Un nouveau regard sur le Covid 19 (Ed. Demi-Lune, 2024).

Gap, ville élue il y a quelques années numéro un pour la qualité de vie en France, Voiron aux portes de la Grande Chartreuse et son élixir des Pères chartreux, Grenoble, berceau de la Révolution française mais aussi laboratoire élu de nombreuses innovations technologiques et sociales aux effets parfois ambigus tels que houille blanche, syndicat d’initiative, planning familial, informatique, intelligence artificielle, énergie atomique, nanotechnologies et transhumanisme, et plus récemment l’écologie deux point-zéro, le clientélisme et les indulgences communautaristes de la mairie ELVV d’Eric Piolle. Le Dauphiné fut autrefois donné au futur roi de France, d’où l’expression Dauphin. Le lien avec le mammifère marin venant de l’expression qui vint spontanément au roi lorsqu’il vit son fils encore enfant venir vers lui. Aimant à affubler Jean-Pierre du qualificatif de roi de France, en raison de la légitimité historique de la Ligue, de la noblesse de son combat pour l’Humanité, et de l’aspect «sacré» pour les corps et les esprits que ce combat revêt, je ne pouvais m’empêcher de faire ce rappel qu’il me pardonnera certainement, comme les lecteurs…

Jean-Pierre Eudier aime à dire: «Je cherche à comprendre les questions.» C’est en effet par l’analyse de toutes les interrogations simultanées que pose un phénomène, une épidémie, que les réponses arrivent souvent. La pensée complexe d’Edgar Morin, c’est aussi cela.

Voyageur né ayant dès l’âge de 17 ans réalisé deux tours d’Europe en auto-stop, Jean-Pierre a toujours aimé rencontrer les hommes, ressentir les terres, comprendre l’histoire en train de se faire.

Un parcours au plus près de l’Histoire

C’est pourquoi, le connaissant depuis bientôt quatre ans et l’ayant interviewé plusieurs fois, j’ai voulu que son témoignage de vie, avec ses rencontres, ses voyages, ses prises de conscience et ses rendez-vous avec l’Histoire qui nous a menés jusqu’au point de bascule actuel, et dont les vaccins pointent la direction, soit le fil de ses interventions.

Selon Hegel, les grands hommes font l’Histoire, vecteurs de la Raison cherchant à se réaliser à travers l’Humanité, une raison confisquée et amputée de son âme aujourd’hui qui enfante des monstres. Pour Marx, ce sont les peuples, acceptant ou pas la domination de ceux qui possèdent l’argent, le capital. C’est dans la coopération des deux qu’est le salut.

De son côté, Jean-Pierre avait clairement décidé d’orienter sa prise de parole sur le rapport étroit entre vaccins et guerres bactériologiques. Or, ce qui pourrait apparaître comme le summum du complotisme, y compris pour des vaccino-sceptiques informés se révèle en réalité irréfutable, à la vue de la succession chronologique des faits, année après année, de leur convergence et de la direction claire qu’il s’en dégage.

A la manière dont on relie par des lignes les numéros d’un jeu pour enfant, un dessin et dessein d’ensemble apparaît clairement au fur et à mesure de l’exercice. Des décisions impliquant des populations entière ne peuvent être prises que par de gens extrêmement puissants, connus ou pas. Et encore une fois l’inentendable suit autant l’innommable que le silence des témoins. La Dr Simone Delarue, épouse de Fernand Delarue, ancien président de la Ligue et elle-même présidente jusqu’en 1992, avait publié en 1990: Vaccinations et guerre biologique. Un livre à lire absolument, qu’il serait bien trop long de résumer ici.

De l’empoisonnement des puits à la guerre bactériologique moderne

Le Dr Eudier a d’abord rappelé que l’empoisonnement des puits ou la projection de cadavres contaminés dans des villes assiégées faisaient partie des techniques de guerre dès l’Antiquité, poursuivies au Moyen-Âge par les Turcs à Caffa en Crimée, ou par les couvertures souillées de variole offertes aux Indiens d’Amérique du Nord par les colons anglais au XVIIIème siècle.

Puis, entrant dans la pépriode moderne et préventive, il a cité la vaccination des enfants de Louis XVI par l’inoculation de la vaccine, maladie bénigne commune aux vaches et aux humains, et Jenner, Anglais ayant travaillé sur le pis des vaches à l’extrême fin du XVIIIème siècle pour immuniser les population contre la variole. Enfin celle, peu convaincante, des armées de Napoléon par Parmentier.

En 1923, après la Grande Guerre, on interdit les armes bactériologiques et chimiques à des fins offensives, mais pas préventives ou défensives, et c’est le début de toute une recherche au sein de laboratoires comme Porten Down en Angleterre, et la guerre chimique menée par le Japon contre la Chine en Mandchourie dans les années 30. La fin de la première Guerre mondiale voit lui succéder la Grippe espagnole après une grande campagne de vaccinations et juste avant l’avènement du fascisme italien en 1922 avec la marche sur Rome. C’était il y a précisément un siècle. Guerres, épidémies, crises économiques: un excellent moyen pour le contrôle des nations à travers les stratégies du choc.

Après la deuxième Guerre mondiale, une date fondamentale est 1969 aux États-Unis où le ministère de la Défense demande aux scientifiques le temps et le prix nécessaires à l’élaboration d’un virus contre lequel il n’y aurait pas de parade. La réponse est « dix ans de recherche et millions de dollars.» Beaucoup de recherches dans ce sens furent dissimulées sous la recherche contre le cancer, voire celle d’un vaccin anticancéreux. En 1972, un nouvel accord sur les armes bactériologiques est négocié entre les États-Unis et l’Union soviétique. C’est à cette période-là, en 1976, qu’Ebola, issu des manipulations du laboratoire de Porten Down en Angleterre, fait sa première apparition à la frontière entre l’Angola et le Congo belge – Zaïre ou Congo-Kinchasa – sous le règne de Joseph-Désiré Mobutu, avec un demi-millier de morts.

Il faut noter que les apparitions et disparitions d’Ebola, comme d’autres virus, furent souvent liées aux orientations politiques désirées, et préparées en haut-lieu dans les pays qui en furent le théâtre, comme les réunion de l’Event 201 et le déclenchement de la crise Covid quelques mois plus tard l’ont démontré.

L’épidémie de SIDA des années 80 au Zaïre et la rencontre de Leonard Horowitz

Les années 1978-1987 sont décisives pour le Dr Eudier: peu après l’évacuation du Vietnam par les Occidentaux, obligé de quitter le pays en guerre, il ouvre un cabinet de dentiste à Kinchasa et assiste à l’explosion de l’épidémie de SIDA suite à la campagne de vaccination contre la variole et rencontre Jonathan Mann, fonctionnaire du center for Disease Control (CDC) et de l’OMS, «homme charmant au demeurant», comme le dit l’expression, qui déclarera plus tard nous dit Jean-Pierre «Le SIDA a été semé, nous allons voir ce que nous allons récolter.»2Jonathan Mann disparaîtra en mer au large de la Nouvelle Écosse dans le vol Swissair 111 New-York-Genève du 2 septembre 1998.3

En 1992, après une mission humanitaire avec Médecins du Monde en Albanie, où il prédit la guerre avec la Serbie et l’exode sept ans plus tard, le Dr Eudier effectue une visite de l’Irak après sa défaite au Koweit, qui lui met la puce à l’oreille sur l’usage d’armes bactériologiques, mais l’éveil n’a pas encore eu lieu, si bien qu’en 1994 il effectue une autre mission en Côte d’Ivoire en coopération avec l’Allemagne pour réhabiliter le système vaccinal.

L’éveil se produit en 1998 lors d’un congrès dentaire aux États-Unis avec la rencontre de Léonard Horowitz4 et la découverte de livres sur les origines du SIDA en lien à la vaccinologie entre USA et Afrique noire. L’histoire de la recherche sur les virus lui apparaît indissociablement liée à la recherche militaire. Aidé par le Pr Beljanski, chercheur révolutionnaire et médecin personnel de François Mitterrand pour lutter contre son cancer, Jean-Pierre invitera le Dr Horowitz en France et traduira Emerging Viruses, AIDS and Ebola sorti le 10 décembre 2000 sous le titre La guerre des virus : Sida et Ebola – Naturel, accidentel ou intentionnel ?

Les plus de quarante pays où il travailla ou œuvra sur le continent africain lui révélèrent l’incurie et l’irresponsabilité effrayante des programmes vaccinaux réalisés principalement en zones rurales avec des populations isolées, invisibilisées, comme en témoigne le programme de GAVI et son président Bill Gates sur les adivasis, les populations aborigènes de l’Inde «contre la poliomyélite» entre 2000 et 2017, provoquant, selon des médecins indiens relayés par Robert Kennedy Jr, d’innombrables cas de paralysies d’enfants. Il y eut également, révélés par la Pr Vandana Shiva, figure de proue de la lutte anti-OGM, des implants sous-cutanées primus par la Bill & Melinda Gates Fooudation permettant de réguler la fertilité féminine. Ce programme amena l’expulsion de GAVI du sous-continent.

Le détournement de l’action humanitaire, si bien qu’il décida en 1996 de se concentrer sur la vente de matériel dentaire dans le « Tiers-Monde » et l’Afrique, la santé passant en grande partie par les dents, avant de fonder Mecolux en 2004 à cet effet. Mais ces incessantes pérégrinations lui permirent aussi des rencontres décisives dans la compréhension des ressorts profonds de la marche du monde. Le climat, ignoré sciemment par l’industrie pharmaceutique, peut être aussi être systématiquement en cause dans la santé des peuples: en 2003, au cours d’un voyage au Burkina Faso où est en cours une campagne de vaccination imposée contre la méningite qui sévit au Sahel, il constate que c’est l’Harmattan, le vent qui dessèche la végétation comme les poumons – ayant conformément à la théorie des signatures de Paracelse, la forme d’arbres, nos bronches qui nous oxygènent étant nos branches – jusqu’à la maladie, qui en est à l’origine et qu’il s’agit avant tout de réhydrater les populations à commencer par les enfants.

Michel Georget et la présidence de la Ligue

En 2009, il est témoin au Tchad d’une série d’accidents vaccinaux et en 2014, c’est la seconde épidémie d’Ebola. L’Université Lafayette de Louisiane annonce un vaccin en mars 2017.

C’est la même année que le Dr Eudier rencontre son collègue le Pr. Michel Georget de l’Université de Tours, auteur de plusieurs livres sur les vérités indésirables des vaccinations. Celui-ci le pousse à accepter la présidence de la Ligue et en 2017, et Florence Wurtz entame une fidèle collaboration par des bulletins d’information réguliers.

Trois rencontres avec le Pr Montagné: en 1998 à l’Institut Pasteur à Paris, puis en 2019 avec le Dr Andrew Wakefield qui révéla le lien entre le vaccin ROR rougeole oreillons, rubéole et l’autisme infantile (documentaire Vaxxed, 2016), enfin en 2021 au Luxembourg où le professeur fut invité à prendre la parole. Le Dr Eudier salue le combat du Pr Perronne qui, après leur différend passé au sujet de la variole, et ce malgré ses études relativement anciennes et iconoclastes sur la maladie de Lyme, a récemment déclaré avoir été abusé des années durant par tout un système mêlant laboratoires, universités, journaux médicaux et pharmacovigilance.

Une actualité immédiate qui confirme partout l’Histoire et notre devoir de parole

Parmi les buts déclarés de l’intervention russe en Ukraine, outre la protection des populations russophones et russophiles du Donbass en raison du non-respect des accords de Minsk, il y a sa « dénazification » 80 ans après la « Shoah par balle » perpétrée par une armée ukrainienne en partie acquise aux Nazis en raison de la terrible répression et extermination par la faim exercée par les Soviétiques dans les années 20 et 30. Mais il y a aussi la mise hors d’état de nuire – nous l’espérons du moins – de plusieurs laboratoires d’armes biologiques, que les Américain et Anthony Fauci, fait docteur Honoris Causa de l’Université de Sienne en juin 2023, voudraient massivement rapatrier en Italie, terre inféodée à l’OTAN, aux multiples expérimentations sociales depuis sa défaite en 1945. La grande manifestation de Pesaro, le 1er mai 2023 et d’autres, à Trieste et ailleurs, ont fait connaître ce nouveau combat.

Les déclarations du Pr Raoult citées en début d’article ont-elles joué dans le verdict en appel du 2 octobre 2024 lui interdisant d’exercer la médecine pour deux ans – décision « de communication » selon lui-même étant donné qu’il ne consultait plus depuis des années ?

Aujourd’hui, informe le Dr Eudier, de nombreux états possèdent des armes bactériologiques. Il est de leur devoir de défendre les citoyens, et un sigle, NRBC, résume l’arsenal des défenses nationales : nucléaire, Rayonnement, bactériologique, chimique. Et il serait bien étonnant qu’elles n’aient jamais toutes été testées. Le problème, si tant est que les pouvoirs publics aient été par le passé plus vertueux dans leur tâche, est que tout ou presque est privatisé ou aux mains d’intérêts privés.

Nous l’évoquions en introduction, le décompte des faits et des dates trace, à l’instar des dessins enfantins constitués de numéros apparemment épars et incohérents, une silhouette toujours plus claire qui n’est pas du domaine des contes de fées. Plutôt du récit d’une Histoire qui se répète, donc entre mythe, actualité et science-fiction, l’âpre réalité humaine, tout simplement, où ni une bonne, ni une mauvaise action ou information ne furent jamais perdues pour certains. C’est dans l’ombre, et le petit nombre, des laboratoires, cabinets politiques, rédactions des journaux ou tables d’écrivains que l’histoire s’écrit, jouée ou révélée ensuite au grand nombre sur les murs de la caverne de Platon ou dans la pleine lumière. Virus et Vishnou ont la même étymologie : vis, la force, ce qui pénètre à l’intérieur des choses. Le dieu indien qui protège l’Univers s’incarne régulièrement sous formes d’avatars – descentes – pour la perte des méchants, le salut de la Terre, un nouveau tour de roue de l’Humanité, nous disent les écritures indiennes.

Il ne fait plus aucun doute, la chute de la natalité et de l’espérance de vie en Occident depuis 2021 le signalent officiellement, que les virus sont des armes de masse, tout comme les vaccins, dans la guerre qui nous fut déclarée le 16 mars 2020. Les mots des résistants en sont aussi. L’appel du 18 juin 1940 l’a démontré, tout comme le discours légendaire de Churchill, refusant la paix d’Hitler la même année, «mobilisa la langue anglaise et l’envoya au combat.» en même temps que son peuple. C’est la force du Logos qui ramène le Cosmos contre le Chaos. Il nous appartient, à la Ligue comme ailleurs, de continuer à redonner la mémoire et de rouvrir l’horizon, en continuant à témoigner de la réalité des faits, qu’ils soient historiques ou personnels, chacun à notre échelle.

C’est en visitant l’immense Inde en train, pendant plusieurs années, au contact des populations que le Mahatma Gandhi réveilla sa force tout aussi immense et libéra par «la force de la Vérité» le Sous-continent avec son compagnon Nehru et tous les anonymes. A la suite de la conférence de Voiron, une action commune avec tous les collectifs de la région a été décidée pour reprendre le dialogue public. Souhaitons que les voyages du Dr Eudier se multiplient partout.

François-Marie Périer

Signalons également touchant à notre sujet le remarquable travail de cet été 2024, sur les chemtrails, de Jean-Dominique Michel, Chemtrails : Crimes contre l’Humanité ou attrape-nigauds? à partir de sources scientifiques et de médias mainstream francophones et internationaux et du documentaire Vers un climat artificiel, de Jacqueline Roche.

1https://guerremoderne.com/auguste-trillat-aux-origines-de-la-guerre-bacteriologique/?cn-reloaded=1

2Nous n’avons pu à ce jour retrouver la référence

3https://www.scientificamerican.com/article/weaponized-ebola-is-it-really-a-bioterror-threat/

4https://drlenhorowitz.com/

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Eric Cantona – Droigts

Opposants politiques, révolutionnaires
Journalistes, travailleurs ordinaires
Là-bas aux 4 coins du monde
De tout l’univers à la ronde
Les procès des incendiaires volontaires
Jugés devant d’immenses parterres
De vieux loups affamés
Et de laides hyènes aux aguets
Justice universelle sous influence
Qui au delà du réel mène la danse
Pour que parfaitement tout roule
Et qu’un jour satisfaite soit la foule
Tout y est dans des coffres scellés
Avant que n’aient été prononcés
Du haut de leur biblique refuge
Les verdicts de messieurs les juges
L’homme n’a plus ses droits
Il ne lui reste que ses doigts
Pour à ces bandes de tordus
Les leur foutre au cul
Prison à vie, condamnation à mort
Tortures, supplices, humiliations encore
Pour ceux qui ne sont certes pas des anges
Soit mais faudrait-il que personne ne dérange
Opposants politiques, révolutionnaires
Journalistes, travailleurs ordinaires
Tous nous donnent les preuves ici et là
De tout ce que nous savions pourtant déjà
La théorie du complot n’étant plus envisageable
Il est l’heure des comptes et de se mettre à table
Au lieu de ça ce sont les blonds, les brutes, les truands
Jugés par des corrompus armés jusqu’aux dents
Tous manipulés comme des marionnettes
De celles qu’on dégueule dans les toilettes
Des chiens qui aux ordres lèvent la patte
Des fifres que le pouvoir nourrit, des costards cravates
L’homme n’a plus ses droits
Il ne lui reste que ses doigts
Pour à ces bandes de tordus (bouffons)
Les leur foutre au cul (profond)
Opposants politiques, révolutionnaires
Journalistes, travailleurs ordinaires
Tout est méthodiquement orchestré
Pour qu’au néant messieurs soient livrés
Ce sera bientôt chose faite
Les tortionnaires ont lancé leur requête
Les mêmes qui encore aujourd’hui
Quelles qu’en soient les idéologies
Et tant pis pour les massacres à foison
Autour de la table des négociations
Parlent sans scrupules de liberté
De paix et de ne rien oublier
Pendant que d’autres, de souffrances perpétrées
En tortures enchaînées
Peuvent crever enfin
Comme crèvent les chiens
L’homme n’a plus ses droits
Il ne lui reste que ses doigts
Pour à ces bandes de tordus
Les leur foutre au cul

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RKI files : la fuite et la suite

Voici l’intervention du Professeur Stefan Homburg au Bayerischer Hof (Munich) traitant de la mise en ligne par un lanceur d’alerte de données (10 Go) émanant de l’Institut Robert Koch (RKI), équivalent allemand de Santé Publique France, lors de la période covid et des atteintes liberticides qu’elle a engendrées. Cette fuite de documents confirme, sans équivoque, la soumission de la médecine et de la science aux plus hautes instances politiques.

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COVID-19 : le naufrage de la science

Dès le début de l’année 2020, le média en ligne https://infodujour.fr/ s’est demandé pourquoi un virus sorti de nulle part tenait la communauté scientifique en échec ? Pourquoi, dans leurs laboratoires, les chercheurs étaient désemparés face à ce microbe hérissé de pointes, au comportement erratique ? Pourquoi, dans les hôpitaux, les urgentistes étaient déconcertés par la grande variété des symptômes dont souffrent leurs patients Covid ? Pourquoi ne comprenaient-ils pas cette maladie ?

Infodujour.fr a interrogé de nombreux médecins et chercheurs dans le monde. Ils étaient -et sont encore- dans le brouillard. Quant aux autorités politiques, elles naviguent à vue, influencées par des scientifiques ignorants et/ou corrompus et des médias dévoyés sous l’influence de puissants lobbies.

Pourquoi la science fondamentale et la médecine du 21ème siècle n’ont-elles pas compris ce qui se passait ? Où est la faille ?
C’est ce que nous avons voulu savoir en reprenant le fil des événements sur les trois années de la pandémie. Voici l’histoire de l’échec de la médecine et du naufrage de la science.

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La ministre néerlandaise de la Santé reconnaît que la politique pandémique est une opération militaire. « Le ministère de la Santé obéit à l’OTAN et à NCTV »

La nouvelle ministre néerlandaise de la Santé admet : « Nous devons suivre les ordres de l’OTAN, des États-Unis et de NCTV ; Le Covid est une opération militaire »

Source : europereloaded.com

La ministre néerlandaise de la Santé, Fleur Agema, a reconnu au Parlement que la politique néerlandaise en matière de pandémie se déroule « sous la direction du Coordonnateur national pour la sécurité, la lutte contre le terrorisme (NCTV) et la Défense » et doit se conformer aux « obligations de l’OTAN ». Ce faisant, elle a confirmé ce que des chercheurs tels que Cees van den Bos avaient révélé précédemment sur la base de documents du Wob (FOI) : la politique corona était un « coup d’État » de la NCTV.
Le médecin de famille Els van Veen dit qu’elle comprend enfin ce qui lui est arrivé, ainsi qu’à d’autres médecins critiques, pendant la crise du coronavirus : « C’était une opération militaire, le ministre de la Santé obéit à l’OTAN et à NCTV ».

Jeudi 24 octobre, Fleur Agema a eu une première : elle a été la toute première ministre de la Santé de l’histoire parlementaire à expliquer son action par des « obligations envers l’OTAN ». Et non pas une, mais six fois , comme l’a fait le député Pepijn van Houwelingen (FVD). Une vidéo de trois minutes, dans laquelle Agema explique à la Chambre que la préparation à une pandémie est liée aux obligations conventionnelles et que le service de renseignement NCTV en est le responsable, est devenue virale sur X. Van Houwelingen a immédiatement promis de répondre aux questions de la Chambre.

Agema a fait ces remarques lors d’un débat sur la « résilience ». Elle a déclaré que les Pays-Bas doivent se préparer à tout type de catastrophe, comme « les menaces hybrides, les menaces militaires, les catastrophes naturelles ou une nouvelle pandémie ». Un « renforcement substantiel » de la résilience du pays est nécessaire, a-t-elle déclaré, ajoutant :

« Sous la direction de NCTV et du ministère de la Défense, nous élaborerons un plan d’action au printemps. »

Elle a déclaré peu après avoir pris ses fonctions de ministre qu’elle avait été informée de la résilience et des engagements de l’OTAN :

« Depuis ce briefing, je suis avec mon ministère pour faire le point sur ce dont nous avons besoin pour respecter ces engagements de l’OTAN. Nous le faisons sous la direction de NCTV. Plusieurs ministères sont impliqués dans ce domaine. J’ai demandé s’il y avait un chevauchement entre la préparation à une pandémie et la résilience des soins, et c’est effectivement le cas. Elle a ajouté : « Vous voulez disposer des mêmes outils que ceux dont nous aurions eu face à la crise du coronavirus. »

L’un des premiers à commenter l’apparition d’Agema sur X fut le chercheur de Woo, Cees van den Bos. Sous le titre « le coup d’État », il a qualifié la NCTV de « bamiluk » de l’OTAN : (ER : Merci à son collègue néerlandais Michel van der Kemp d’avoir trouvé « coup d’État » comme traduction probable de « bamiluk »).
« Ce pays ne sera libre que si la NCTV est complètement supprimée et si ce genre de gouvernement fantôme ne reprend plus jamais pied. C’est le plus grand obstacle qui s’oppose à une démocratie », a-t-il déclaré.

Il a ajouté qu’il n’y a aucun contrôle sur NCTV :

« NCTV a carte blanche, comme cela a été démontré pendant le corona. »

Selon Van den Bos, ceux qui pensent que le coronavirus est terminé (« arrêtons d’en parler ») attendent une nouvelle « confrontation à la réalité ». Il a remercié Agema pour sa « franchise ».

Van den Bos avait précédemment souligné – également dans ce journal – que NCTV était aux commandes pendant la crise du coronavirus, en la personne de Pieter-Jaap Aalbersberg, qui avait succédé à Dick Schoof à la tête de NCTV début 2019. Fin 2022, Van den Bos a accusé la NCTV d’avoir commis un « coup d’État ». La gestion de la crise était presque partout entre les mains des services militaires et de renseignement, et dans notre pays, elle incombait à la NCTV. Outre la gestion quotidienne de l’organisation de crise, la NCTV a même confié à sa mission la coordination du processus parlementaire (« timing et congruence mutuelle »). Selon un rapport de mi-mars 2020, les services de renseignement ont mis en place une équipe distincte à cet effet. Commentant le vote parlementaire, il a déclaré : « L’ambition et l’accord ne sont pas surprenants ». Il s’agissait probablement d’empêcher des motions ou des amendements inattendus à une nouvelle législation.

Début 2023, la journaliste Elze van den Hamelen décrivait dans ce journal le rôle de l’OTAN, en s’appuyant sur le travail d’enquête de Van den Bos : « Les documents montrent que depuis au moins 2019, soit plus d’un an avant la pandémie de coronavirus, le gouvernement a mis en place un grande organisation pour « lutter contre la désinformation ». L’initiative est venue de l’OTAN et de l’UE, souligne Van den Bos :

« Il s’agissait d’une opération militaire dirigée contre sa propre population. Non pas pour rebuter les gens, mais pour influencer leur comportement. »

Pendant la pandémie de coronavirus, l’OTAN a fixé les lignes directrices de la réponse au covid et coordonné la « Stratcom » (communications stratégiques). « Les lignes directrices ont été diffusées par l’intermédiaire des ministres des Affaires étrangères des États membres .» Cela explique-t-il pourquoi la Suède, qui n’a rejoint l’OTAN que cette année, a été le seul pays d’Europe à adopter une politique plus indulgente pendant la crise du coronavirus ?

Plus tôt, le leader de Verheid, Willem Engel , avait fait des révélations similaires. Lors de son procès le 22 novembre 2022 à Rotterdam, au cours duquel il a été accusé de « sédition », Engel a prononcé un long discours dans lequel il a montré comment le gouvernement a œuvré pour lutter contre les critiques de la politique relative au coronavirus. Selon lui, cela impliquait les agences de quatre ministères : NCTV (Justice), AIVD (Intérieur), MIVD (Défense) et PCD19 (VWS).

« Ils ont formé une équipe de crise qui a travaillé en collaboration avec d’autres agences gouvernementales, comme l’OM, ​​les maires, le pouvoir judiciaire et les médias », a-t-il rapporté dans De Ander Krant le 27 novembre 2022. « Ils utilisent une méthode militaire qui revient à cartographier, supprimer et perturber. »

Les critiques du monde médical ont quant à elles vivement réagi aux révélations de l’Agema, notamment l’éthicienne médicale Wendy Mittemeijer :

« Pour la première fois depuis quatre ans, j’entends publiquement admettre que la NCTV était aux commandes pendant la crise du coronavirus et qu’elle devait être mise en œuvre. C’était une opération militaire. Cela n’a pas été permis pendant quatre ans. C’était une théorie du complot. J’apprécie l’honnêteté du ministre, qui reconnaît que cela a été admis et qu’il n’était pas responsable. »

La médecin généraliste Els van Veen a vécu cette politique avec cœur : « Près de cinq ans après le début du coronavirus, je comprends beaucoup mieux ce qui s’est passé, a-t-elle déclaré le 27 octobre. Après cette vidéo et cette explication, je comprends effectivement tout. D’où la censure des critiques et surtout des médecins critiques. D’où la visite de la police en 2021, apparemment à cause d’un tweet sur les cases à cocher. D’où des lettres et une enquête de l’Inspection, basée sur des rapports anonymes et infondés selon lesquels je diffusais de la désinformation. C’est pourquoi le gouvernement et VWS ne veulent pas divulguer les documents du WOB, qu’ils ont été peints en noir, que les procès-verbaux de l’OMT sont gardés comme s’ils étaient des secrets d’État. La NCTV gouverne ce pays, mais elle le fait les yeux fermés. »
Ce qu’elle a vu à plusieurs reprises sur la Museumplein, selon elle, correspond également à une opération militaire : « Cette manifestation a été interdite, des civils innocents ont été écrasés par le ME, des chiens policiers ont été mordus, des canons à eau ont été utilisés. Nous avons été maltraités par la police, par la justice et donc, je comprends maintenant, avec l’approbation de NCTV et de M. Aalbersberg. C’était une opération militaire. »

Son message a généré quelque 225 000 vues et de nombreuses réactions en deux jours, notamment un commentaire de Stefan Homburg, professeur émérite de finances publiques à l’Université Leibniz de Hanovre et l’un des principaux critiques allemands du coronavirus. En juillet dernier, il s’est exprimé, aux côtés de la journaliste Aya Velázquez, lors de la conférence de presse à Berlin où a été divulguée l’ensemble des données des procès-verbaux des réunions de l’équipe allemande de crise Covid (les « protocoles RKI », du nom de l’Institut Robert Koch, qui est similaire à notre RIVM) a été présenté. Homburg affirme que le message de Van Veen « correspond parfaitement à l’expérience allemande : comme nous l’avons découvert dans les fuites #RKIFiles, un général de l’OTAN (Holtherm) était aux commandes de ce qu’on appelle la « pandémie ».

Les nouvelles d’Agema correspondent également à ce que Robert F. Kennedy Jr. a déclaré à plusieurs reprises à propos de la production de vaccins contre le coronavirus aux États-Unis. Selon lui, il s’agissait d’une opération militaire, avec la participation étroite du Département américain de la Défense (DOD) et du complexe militaro-industriel. La Défense, selon lui, était aux commandes et payait les sociétés pharmaceutiques pour leurs marques, de sorte que les gens penseraient qu’ils obtenaient quelque chose de Pfizer ou de Moderna.

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Tract : les dangers d’une monnaie numérique de Banque Centrale et de la fin du cash

Contrairement aux modes de paiement actuels, les futures monnaies numériques ne sont pas anonymes. Elles contiennent des informations relatives à la vie privée, contrairement à une carte bancaire qui n’intègre pas le détail de nos transactions. Seule la banque qui l’a émise peut en connaitre l’historique. En outre, peut-on réellement imaginer un monde où toute forme de commerce ne reposerait que sur une fiabilité informatique et électrique ? La possession d’un téléphone portable va t-elle devenir une obligation légale ? Cette monnaie deviendra t-elle programmable avec une date d’expiration ? Surveillance, contrôle total de l’individu et crédit social, le risque démocratique semble suffisamment élevé pour qu’un débat citoyen existe.

Téléchargez et faites circuler le tract ci-dessous !

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Conférence-Débat sur le thème de la Jeunesse

Samedi 26 octobre prochain à Saintes toute la journée à l’Auditorium de la salle Saintonge.
Ouverture des portes à 8 h 30, début de la conférence à 9 h et final vers 18 h/18 h 30

Le thème de la Jeunesse étant plus que jamais d’actualité (vaccinations Gardasil-9, Beyfortus, vaccinations à ARN-M, éducation à la sexualité à l’école, dysphorie de genre, alimentation, écrans, sommeil …), nous vous invitons à venir très nombreux assister à cette conférence et échanger avec nos intervenants qui se feront un plaisir de nous apporter tous les conseils, informations et précisions utiles sur ces différents sujets tellement importants pour l’avenir de nos Jeunes.
Des intervenants de grande qualité et des thèmes riches et très diversifiés auxquels viendront se rajouter quelques activités et animations artistiques.
L’entrée est gratuite avec une participation « au chapeau » suivant les possibilités de chacun (participation libre et en conscience).

Le collectif de Saintes.

Contact/renseignements :

– Jacqueline NEVEUX – 06 43 03 84 85 – neveux.jacqueline@yahoo.com

– Céline GARNIER – uniquement par mail – zebcel@wanadoo.fr

– Michel REGNEAULT – 06 74 50 98 46 – michelregneault@orange.fr

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Dangers des nouveaux vaccins : Jean-Marc Sabatier s’explique chez Karl Zéro

Dans une interview accordée à Karl Zéro, le chercheur Jean-Marc Sabatier alerte sur les risques des vaccins à ARN messager auto-amplifiants en développement et donne des conseils pour renforcer son immunité naturellement.

Les nouveaux vaccins à ARN messager inquiètent

Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, met en garde contre les vaccins à ARN messager auto-amplifiant actuellement en développement. Selon lui, cette nouvelle technologie est « la pire de toutes » et « la plus dangereuse » car elle permettrait une production continue et non maîtrisée de protéine Spike dans l’organisme.
Le chercheur explique que contrairement aux vaccins ARNm actuels, les versions auto-amplifiantes contiennent un complexe enzymatique capable de répliquer l’ARN messager indéfiniment. « On ne maîtrise strictement rien, ni la quantité de protéine Spike produite, ni les endroits où ça va aller », dit-il.

Des conseils pour renforcer son immunité naturellement

Face à ces risques, Jean-Marc Sabatier recommande de renforcer son immunité naturellement. Il conseille notamment :

  • Une supplémentation en vitamine D (3000 à 8000 UI/jour selon le poids)
  • Du magnésium (300 mg/jour)
  • Du zinc (15-25 mg/jour)
  • De la vitamine C à haute dose en cas de Covid long (3-4g/jour)
  • Des antioxydants comme la N-acétylcystéine ou le glutathion
  • Des oméga-3 (2g/jour)

Le chercheur insiste sur l’importance de la vitamine D, capable selon lui d’activer jusqu’à 2000 gènes protecteurs dans l’organisme.
Bien que ces recommandations ne constituent pas une prescription médicale, elles visent à optimiser le fonctionnement du système immunitaire face aux nouveaux défis sanitaires.

Source : idj infodujour

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Pourquoi ?

63 questions sur le covid-19 qui attendent une réponse.

  1. Pourquoi ne nous a-t-on pas dit que le SARS-COV-2 avait été breveté par Moderna en 2018 ?
  2. Pourquoi Moderna a-t-elle produit 100 000 doses de « vaccin » anti-COVID en 2019 avant le début de la pandémie ?
  3. Pourquoi, contre toute évidence scientifique, le confinement et les masques ont-ils été utilisés ?
  4. Pourquoi nous a-t-on dit que le « vaccin » reste dans le bras, alors qu’il s’accumule dans tout le corps ?
  5. Pourquoi le test PCR a-t-il été recommandé alors qu’il n’est pas conçu à des fins diagnostiques ?
  6. Pourquoi les définitions de « vaccin » et d’« immunité collective » ont-elles été modifiées avant l’épidémie de COVID-19 ?
  7. Pourquoi une pandémie a-t-elle été déclarée alors que le taux de mortalité était proche de celui de la grippe ?
  8. Pourquoi les tests de génotoxicité, de tératogénicité et de cancérogénicité n’ont-ils pas été effectués, et pourtant nous a-t-on dit que le « vaccin » était sûr ?
  9. Pourquoi n’y a-t-il pas eu de suivi adéquat de toutes les personnes injectées lors de l’utilisation d’un nouveau produit de thérapie génique ?
  10. Pourquoi les médecins et le public n’ont-ils pas été rappelés à l’importance de signaler les effets indésirables de ces « vaccins » génétiques expérimentaux ?
  11. Pourquoi a-t-on recommandé un « vaccin » en pleine pandémie, alors qu’il est contre-indiqué en vaccinologie ?
  12. Pourquoi un « vaccin » a-t-il été recommandé à ceux qui avaient une immunité naturelle, par principe supérieure ?
  13. Pourquoi une nouvelle thérapie génique a-t-elle été lancée après trois mois, au lieu des dix ans requis ?
  14. Pourquoi ne nous a-t-on pas dit que, dans l’essai Pfizer, plus de personnes sont mortes dans le groupe vacciné ?
  15. Pourquoi nous a-t-on dit que ces injections étaient « sûres et efficaces » alors que les preuves ne le confirmaient pas ?
  16. Pourquoi les voix scientifiques « dissidentes » ont-elles été – et sont-elles – discréditées, punies et emprisonnées ?
  17. Pourquoi les médecins ont-ils été, pour la première fois dans l’histoire, découragés de traiter une maladie et invités à attendre un vaccin ?
  18. Pourquoi les traitements précoces ont-t-il été découragés, alors que nous savons qu’ils constituent l’outil le plus important pour lutter contre toute maladie infectieuse ?
  19. Pourquoi des médicaments efficaces et très sûrs comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine ont-ils été discrédités et même interdits ?
  20. Pourquoi les laboratoires ont-ils refusé que leurs données soient publiées pendant 75 ans ?
  21. Pourquoi a-t-on recommandé des injections, des masques et des confinements aux enfants alors qu’on savait qu’ils n’étaient pas gravement atteints et ne propageaient pas le COVID ?
  22. Pourquoi les injections COVID ont-elles été recommandées pendant la grossesse, alors que plus de 80 % des bébés ont été perdus lors des essais chez les femmes vaccinées au 1er trimestre ?
  23. Pourquoi l’autorisation d’urgence a-t-elle été confirmée alors que plus de 2 000 personnes sont décédées dans les 90 jours suivant le déploiement des « vaccins »  ?
  24. Pourquoi n’y a-t-il pas de tollé scientifique après la publication de plus de 3 500 articles démontrant les effets secondaires des injections anti-COVID ?
  25. Pourquoi les conflits d’intérêts sont-ils tolérés parmi les autorités médicales, alors que la FDA, l’EMA et l’OMS sont financées à 80-90 % par l’industrie ?
  26. Pourquoi n’y a-t-il pas eu d’éducation adéquate des médecins, des patients et du public, et donc aucune possibilité de consentement éclairé ?
  27. Pourquoi et comment les médias ont-ils été convaincus de pousser le même agenda à l’échelle mondiale ?
  28. Pourquoi des protocoles médicaux efficaces, qui existent depuis 2020, ont-ils été interdits et déclarés illégaux ?
  29. Pourquoi ne nous informe-t-on pas des décès inutiles qui ont été attribués au COVID mais qui ont en réalité été causés par des mesures iatrogènes (ex : Midazolam, ventilation) réalisées début 2020 ?
  30. Pourquoi le rôle crucial du statut en vitamine D, de l’alimentation et du microbiome n’a-t-il pas été communiqué, alors que ces mesures auraient pu prévenir près de 100 % des décès COVID ?
  31. Pourquoi une procédure médicale a-t-elle été imposée à des personnes contre leur volonté, alors que la déclaration de Nuremberg s’y oppose ?
  32. Pourquoi les recherches sur le gain de fonction, comme celles portant sur le COVID-19, ne sont-elles pas interdites dans le monde entier ?
  33. Pourquoi un produit à base d’ARNm est-il encore utilisé, alors que nous savons que l’ARNm est incorporé dans le génome humain et entraîne la production d’autres protéines inconnues ?
  34. Pourquoi le concept d’ARNm, qui a échoué, n’a-t-il pas été arrêté, alors que l’on sait qu’il augmente la probabilité que le receveur contracte le COVID-19, démontrant ainsi une efficacité négative ?
  35. Pourquoi ces injections continuent-elles d’être recommandées, alors qu’au moins 17 millions de personnes seraient mortes à cause d’elles ?
  36. Pourquoi n’y a-t-il pas d’enquête sur les décès excédentaires et l’augmentation des taux de cancer, de problèmes cardiaques…, qui ont commencé en 2021 et non en 2020 ?
  37. Pourquoi les décès inexpliqués ne sont-ils pas attribués par défaut au « vaccin » conformément à la règle qui prévaut en pharmacovigilance ?
  38. Pourquoi les autorités sanitaires refusent-elles de communiquer les données de mortalité toutes causes confondues par statut vaccinal ?
  39. Pourquoi le Gouvernement n’a-t-il jamais révélé que le « vaccin » avait entraîné des décès ?
  40. Pourquoi les parents ne sont-ils pas informés que les myocardites vaccinales peuvent être fatales ?
  41. Pourquoi la population n’est-elle pas informée que 48 % des participants sont décédés d’une mort subite lors des six premiers mois de l’essai ?
  42. Pourquoi les autorités ne peuvent-elles pas fournir d’études sur le nombre de vies sauvées par le « vaccin », hormis une modélisation ?
  43. Pourquoi les laboratoires et les régulateurs ont-ils commencé par nier que les « vaccins » Pfizer et Moderna contenaient de l’ADN oncogène et pourquoi refusent-ils de réanalyser les flacons ?
  44. Comment savent-ils qu’ils ne déclenchent pas de cancers alors que le temps de développement d’un cancer est beaucoup plus long, sauf pour les turbocancers dont ils nient l’existence ?
  45. Pourquoi affirment-ils qu’elles ne peuvent pas déclencher de cancers alors qu’ils reconnaissent que les cancers explosent depuis que 80 % de la population a été vaccinée ?
  46. Pourquoi un produit présentant au moins 10 mécanismes cancérogènes ne pourrait-il pas provoquer des cancers ?
  47. Pourquoi les laboratoires investissent-ils massivement dans des traitements anticancéreux utilisant cette technologie ?
  48. Pourquoi les laboratoires n’ont-ils toujours pas démenti le nouveau mécanisme vaccinal qui expliquerait l’ensemble des effets indésirables ?
  49. Pourquoi, en 2020, a-t-on vacciné publiquement les politiques pour convaincre que les injections étaient sûres et pourquoi, dès 2021, était-il complotiste de penser qu’elles pourraient ne pas l’être ?
  50. Pourquoi la procédure d’alerte (black box) de la FDA n’a pas été déclenchée suite au décès de personnes vaccinées dans les minutes ou les heures suivant une injection ?
  51. Pourquoi les autorités continuent-elles à recommander les injections alors que l’essai clinique final a officiellement démontré en 2023 qu’elles offraient une efficacité négative ?
  52. Pourquoi a-t-on imposé le « vaccin » aux femmes enceintes alors que Pfizer a démontré en 2020 que l’hydroxychloroquine est sûre pendant la grossesse ?
  53. Pourquoi a-t-on également imposé le « vaccin » aux patients atteints d’un cancer alors que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont des anticancéreux et que plus de 500 études affirment qu’elles sont efficaces contre le COVID ?
  54. Pourquoi l’essai pédiatrique Pfizer comptait-il 4 526 enfants au démarrage et 992 après la deuxième dose selon le rapport de la FDA ?
  55. Pourquoi Pfizer n’a-t-il pas publié les résultats de l’essai clinique, annoncés pour mai 2021, qui était supposé démontrer que le « vaccin » n’entraîne pas de stérilité masculine ?
  56. Pourquoi la date de clôture de l’essai clinique Pfizer sur le risque de myocardite est-elle repoussée régulièrement ?
  57. Pourquoi le « vaccin » a-t-il été homologué définitivement sans attendre le résultat des essais imposés lors de l’autorisation d’urgence ?
  58. Pourquoi a-t-il fallu créer 400 nouveaux types de maladies en 2020 pour enregistrer les événements indésirables ?
  59. Pourquoi le volume d’événements indésirables enregistrés pour les « vaccins » COVID est-il supérieur à celui enregistré en 50 ans pour l’ensemble des autres vaccins réunis ?
  60. Pourquoi ce volume rapporté au nombre de doses injectées est-il supérieur à celui de n’importe quel autre vaccin ?
  61. Pourquoi 78 % des décès enregistrés dans le VAERS américain depuis 1990 sont-ils associés aux « vaccins » COVID ?
  62. Pourquoi faut-il attendre 14 jours pour être considéré comme vacciné alors que 40 % des décès enregistrés dans le VAERS se sont produits pendant cette période ?
  63. Pourquoi la population n’est-elle pas informée que le produit qui a été injecté n’est pas celui qui a été homologué ?

Source

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Pétition “Transparence vaccins Covid-19”

Mails adressés aux signataires de la pétition “Transparence vaccins Covid-19”. Action en justice menée par Palace Legal.

Mail du 3/10/2024

Le 17 juillet 2024, nous avons obtenu gain de cause devant le Tribunal de l’Union européenne contre l’opacité de la Commission von der Leyen #1 sur les contrats d’achats et les noms des négociateurs.

Mais la Commission exerce aujourd’hui un double recours devant la Cour de Justice de l’Union contre cette victoire et les 2.089 requérants représentés en 1ère instance : d’une part la Commission intente un pourvoi au fond (que vous pouvez consulter ici), d’autre part elle intente une action en référé en vue d’être dispensée temporairement de divulguer les noms des négociateurs des contrats d’achat des “vaccins” Covid-19, le temps que la Cour statue au fond.

Bref, la Commission von der Leyen #2 met les bouchées doubles pour maintenir l’opacité initiée par… la Commission von der Leyen #1. Notamment, la Commission semble très gênée à l’idée que la lumière puisse être faite sur les noms des négociateurs des contrats d’achat.

Compte tenu du caractère exceptionnel de cette affaire, nous vous offrons la possibilité d’intervenir volontairement en soutien à la victoire des 2.089 requérants qui nous avaient mandatés en première instance. Nous vous représenterons pro bono, c’est-à-dire gratuitement.

En intervenant par plusieurs milliers à cette procédure, vous ferez passer un message clair à la Commission européenne :

Vous êtes nombreux et vous ne lâcherez rien.

Maître Arnaud Durand
Avocat au Barreau de Paris

Mail du 8/10/2024

En première instance, vous étiez 2.089 citoyens à être représentés devant le Tribunal.

Devant la Cour, vous serez… plus de 3.500 citoyens ! C’est une situation inédite puisque normalement ce nombre aurait dû baisser.

C’était sans compter sur l’intervention volontaire des autres signataires de la Pétition qui ont accepté de venir soutenir, devant la Cour, la victoire obtenue en première instance. Ainsi, au 8 octobre 2024 à 11h30, émergent les chiffres suivants :
– 1.152 requérants initiaux à nous avoir mandatés pour leur défense devant la Cour
– 2.358 intervenant volontaires

Attention, si vous ne nous avez pas encore mandatés (nous ne réclamons aucun honoraire pour ce faire), il ne reste plus que quelques jours pour vous rendre ici et valider le mandat.

La Commission européenne ne pourra donc pas compter sur un épuisement des citoyens, bien au contraire.

En outre, compte tenu des peurs, bien que manifestement irrationnelles, exprimées par la Commission à ce qu’une divulgation au grand public des noms des négociateurs constituerait un risque pour « l’intégrité physique et psychique des agents » (!) (nous citons la Commission), nous proposons que seul le premier requérant d’entre vous, qui est à l’origine de la pétition et de ce procès, reçoive les déclarations d’absence de conflits d’intérêts des négociateurs des contrats d’achat, et conserve les secrètes le temps que la Cour de Justice statue au fond sur le pourvoi intenté par la Commission.

Maître Arnaud Durand
Avocat au Barreau de Paris

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Indice de production dans les services – Services funéraires (NAF rév. 2, niv. classe poste 96.03) 010769571

Les indices de production dans les services permettent de mesurer, mensuellement, et de façon précoce l’évolution de l’activité dans les secteurs des services marchands. Ils constituent à ce titre une information essentielle pour le suivi du cycle conjoncturel. Ils relèvent du règlement européen n°2019/2152 (EBS-regulation).
En ce qui concerne l’explosion de l’activité funéraire à partir de 2021, le graphique est assez explicite…
Source : Insee

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Pour la réinscription urgente du Dr Denis Agret au tableau de l’ordre des médecins France

Le Dr Agret sollicite votre soutien en signant cette pétition pour sa réinscription au tableau de l’ordre des Médecins et l’arrêt des poursuites et sanctions manifestement et particulièrement disproportionnées que l’État (Ministère de la Santé) et l’Ordre des médecins lui font subir.

Signer la pétition

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Le Covid Index : un outil pour retrouver les articles et recherches scientifiques censurés

L’Index Covid est le meilleur moteur de recherche disponible pour toute personne enquêtant sur le COVID-19. Avec ce site Web intuitif, vous pouvez interroger une vaste base de données avec des liens vers des sources d’informations , telles que des manuscrits scientifiques, des témoignages d’experts et des publications officielles. L’Index Covid fournit également d’importants extraits textuels de chaque source, afin que vous puissiez rapidement évaluer sa pertinence par rapport à votre demande spécifique.

Accéder au site
Pour les non anglophones utiliser un traducteur en ligne (Google translate, Translate Web Page…)

Index COVID : un nouvel outil de recherche facilite la recherche de « sciences censurées »

Children’s Health Defense (CHD) héberge une nouvelle initiative, The Covid Index, un répertoire de ressources scientifiques sur le COVID-19 géré par des bénévoles, allant des articles de revues évaluées par des pairs aux comptes de dénonciateurs.

par Michael Nevradakis, Ph.D.

27 septembre 2024

Children’s Health Defense (CHD) héberge une nouvelle initiative, The Covid Index , un répertoire de ressources scientifiques sur le COVID-19 géré par des bénévoles, allant des articles de revues évaluées par des pairs aux comptes de dénonciateurs.

Les créateurs de l’index le décrivent comme « une science et une expertise censurées » qui sont « catégorisées, extraites et consultables ».

Ursula Conway, présidente de la section Arizona du CHD , est l’une des bénévoles impliquées dans l’initiative. Elle a déclaré au Defender que le Covid Index « est un outil de recherche, un guide de référence rapide » qui « élimine » la censure en ligne .

Kim Bare, un autre volontaire du projet, a déclaré que l’Index Covid s’apparente à « un catalogue de fiches en ligne… de sources d’informations liées principalement au COVID ».

L’épidémiologiste M. Nathaniel Mead est également impliqué dans ce projet. Il a déclaré au Defender : « Seules les contributions de scientifiques accrédités et de professionnels de la santé sont incluses, en prenant soin d’exclure les opinions de non-experts. »

« Les allégations des lanceurs d’alerte peuvent également être incluses, à condition que les sources elles-mêmes possèdent les qualifications nécessaires et soient en mesure de fournir des preuves crédibles pour étayer leurs affirmations », a déclaré Mead.

Il a déclaré que la base de données comprend également « des examens et des analyses qui aident à élucider les différents types de subterfuges utilisés pour induire en erreur le grand public et les communautés médicales ».

Objectif : rendre « l’information scientifique plus accessible » à un « public plus large »

L’idée de The Covid Index est née en 2021, lorsque l’un des bénévoles impliqués dans le projet, qui porte le pseudonyme de «Juror No. 8» — une référence au film classique « 12 Angry Men » — a élaboré un document — « COVID -19 : La science que nous devrions connaître .

Le document, hébergé par la Fédération nationale de la santé , est organisé par sujet et sert « de ressource de référence pour toute personne curieuse de connaître la science et les données qui sous-tendent ces positions à contre-courant » liées au COVID-19.

Le document a été à l’origine du développement d’une base de données de recherche en ligne de ressources accréditées remettant en question les positions dominantes sur le COVID-19. Conway a déclaré que l’objectif était de « rendre l’information plus accessible et facilement accessible à un public beaucoup plus large ».

Cela a conduit à la formation d’une équipe indépendante de bénévoles et à la recherche d’une organisation hôte pour le site Web – CHD étant finalement sélectionné.

Brian Hooker, Ph.D., directeur scientifique du CHD, a déclaré au Defender :

« CHD est très enthousiaste à l’idée d’aider à maintenir et à étendre cette ressource grâce à des bénévoles qui continueront à aider à examiner et à résumer la littérature relative au virus, au vaccin et à d’autres détails de la pandémie. »

Une « contre-réponse » à la « censure des médias »

La censure des articles scientifiques remettant en question les récits largement répandus liés au COVID-19 s’est récemment intensifiée, avec le retrait ou la suppression d’articles approuvés par le processus d’évaluation par les pairs.

Mead a déclaré que l’indice Covid est une réponse à la censure généralisée des articles scientifiques qui remettaient en question les récits traditionnels liés au COVID-19, à la réponse à la pandémie et aux vaccins contre le COVID-19.

« Les rétractations contraires à l’éthique d’articles de revues évaluées par des pairs n’étaient que trop fréquentes après 2020 et représentent une forme de censure très insidieuse », a déclaré Mead. « Même les articles de la plus haute qualité scientifique technique seront retirés s’ils remettent en question la position du complexe biopharmaceutique . »

« L’indice Covid expose la nature fallacieuse de rhétoriques telles que « la science est établie » ou « il existe un fort consensus scientifique sur la sécurité et l’efficacité des vaccins contre la COVID » », a ajouté Mead.

Conway a déclaré que l’indice Covid « contourne les limitations de la censure pour apporter la vraie science au peuple ».

Mead a déclaré qu’il s’agissait d’une contre-réponse nécessaire à la « censure médiatique des critiques des agences de santé publique pour leurs stratégies pandémiques ratées » et qu’il avait le potentiel d’agir comme un témoignage public d’une telle censure. Il a dit :

« Ces articles peuvent encore être cités dans l’Index Covid, et nous sommes en train de rédiger des paragraphes explicatifs pour aider les utilisateurs de l’Index à mieux comprendre le contexte de chaque rétractation, c’est-à-dire pourquoi les rétractations étaient dénuées de fondement ou manquaient de justification.

« Cette partie de l’Index Covid est encore en chantier, mais elle pourrait être un moyen très utile de conserver une trace de cet aspect de la censure du complexe bio-pharmaceutique, ainsi qu’un référentiel des articles qui ont été rejetés simplement parce qu’ils menaçaient la sécurité. L’agenda du cartel COVID.

Bare a déclaré que si un article inclus dans l’index est ensuite supprimé d’Internet, il peut également potentiellement rester dans l’index. « Pour les articles qui sont académiquement ou scientifiquement valables mais qui ont disparu pour diverses raisons, nous allons sur la Wayback Machine et trouvons une URL pour la source d’information et ajoutons une entrée pour celle-ci. »

« Nous avons été témoins d’un degré étonnant de fraude, de corruption et d’abus à l’ère du COVID », a déclaré le juré n°8. « En fin de compte, nous espérons que l’Indice Covid pourra aider à responsabiliser les auteurs. »

Rendre la science censurée plus accessible

Mais plus que simplement contourner les censeurs en ligne et hors ligne, les bénévoles impliqués dans le projet ont déclaré au Defender que les informations contenues dans la base de données sont organisées et présentées de manière accessible à un public non scientifique.

Les « extraits clés » que les bénévoles de The Covid Index sélectionnent pour chaque ressource indexée constituent un élément important de cet effort.

« Les extraits clés mettent en évidence les parties les plus importantes de l’étude, ou représentent les passages de la source d’information qui ont amené le contributeur à décider que la source est suffisamment importante pour être incluse dans l’indice Covid », a déclaré Bare.

La bénévole Jenna Ellis a déclaré que cette conservation est le résultat d’un effort collectif.

« Nous examinons [les ressources potentielles] pour voir si cela vaut la peine d’être inclus dans l’index », a déclaré Ellis au Defender. « Nous veillons à ce que nos mots-clés de recherche soient sélectionnés… afin qu’ils soient facilement trouvables par quelqu’un qui vient rechercher différents articles. »

Bare a déclaré que le public peut contribuer à ces efforts.

Si les gens « souhaitent contribuer de manière régulière, le site Web est configuré de manière à ce que les contributeurs puissent s’inscrire et ajouter eux-mêmes des entrées d’index potentielles via un formulaire sur le site Web », a déclaré Bare. Les personnes intéressées peuvent cliquer ici pour plus d’informations.

« Dans la mesure où nous pouvons augmenter le nombre de contributeurs exigeants, alors le contenu de l’indice Covid augmente et donc sa valeur augmente – et cela déterminera qui l’utilise, à quel point il est utile aux gens », a déclaré Conway.

Michael Nevradakis, Ph.D.

Michael Nevradakis, Ph.D.

Michael Nevradakis, Ph.D., basé à Athènes, en Grèce, est journaliste principal pour The Defender et fait partie de la rotation des animateurs de l’émission « Good Morning CHD » de CHD.TV.

Source

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