Imaginez que vous êtes à la caisse d’un supermarché, et que vos achats vous sont refusés, parce que vous avez dépassé votre quota mensuel autorisé pour certains produits. Imaginez qu’un employé du gouvernement puisse appuyer sur un simple bouton et désactiver votre compte en banque instantanément. Imaginez que l’argent que vous avez sur votre compte a désormais une date d’expiration, et que si vous ne le dépensez pas, il finit par disparaitre.
Ce petit guide donne des informations pratiques et théoriques sur les vaccins infantiles obligatoires et recommandés. Il est destiné aux parents inquiets des risques de la vaccination. L’État français a rendu obligatoire 11 vaccins (depuis 2018) pour l’entrée dans toute “collectivité d’enfants” (crèche, garderie, école, garderie, colonies de vacances). L’instruction est obligatoire à 3 ans. Beaucoup de parents sont désemparés face au dilemme de la vaccination face à la santé de leur enfant. Il a été réalisé par deux collectifs de citoyens et soignants de Paris et d’Aix-en-Provence, qui défendent la sécurité des vaccins et la liberté vaccinale.
Ils sont en train de débarquer. Après les vaccins à ARN messager (ARNm), voici les vaccins à ARN messager auto-amplifiant (ARNma). Depuis avril 2024, ils sont utilisés en France pour la vaccination des poules et des canards d’élevage contre la grippe aviaire. Le mois dernier, c’est l’Agence européenne du médicament qui a donné sa bénédiction au premier vaccin humain à ARNma contre le Covid. Annoncés sûrs et efficaces, ces produits ont plutôt de quoi soulever des inquiétudes.
◆ Encore le Covid ?!
Qui, de nos jours, se vaccine encore contre le Covid-19 ? On peut sérieusement se le demander. Les campagnes d’incitation de l’Assurance maladie, en tout cas, se poursuivent. Depuis l’automne, le site Ameli recommande aux personnes à risque de forme grave de se faire injecter la nouvelle version du vaccin Comirnaty de Pfizer/BioNTech adaptée au variant JN.1, celui qui dominerait actuellement en France et dans le monde.
Pendant ce temps, et presque en douce, l’Agence européenne du médicament (EMA) a donné un avis favorable, le 12 décembre dernier, au premier vaccin à ARN messager auto-amplifiant (ARNma) contre le SARS-CoV-2.
◆ L’alerte de Jean-Marc Sabatier sur ces nouveaux vaccins
Le sujet de la vaccination anti-Covid est donc loin d’être enterré pour les autorités de santé. Quant à celui des injections à ARNma, il ne fait (malheureusement) que commencer.
Le 29 février 2024, nous avions publié une interview du Dr Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, spécialisé en biologie cellulaire et en microbiologie. Il tirait la sonnette d’alarme sur les dangers potentiels des nouveaux vaccins à ARNm en développement, notamment ceux à ARNm auto-amplifiant (ou auto-répliquant) et trans-amplifiant, dont il expliquait les mécanismes.
⇒ Lire notre article du 29/02/2024 :
◆ Le Kostaive à ARNma, déjà autorisé au Japon
À l’époque, le Japon venait d’approuver le premier vaccin à ARNma contre le SARS-CoV-2, l’ARCT-154, également le premier vaccin humain utilisant cette technologie à être approuvé dans le monde. Vendu sous le nom commercial de Kostaive (dont le principe actif est le zapomeran), ce vaccin a été mis au point par la société états-unienne Arcturus Therapeutics, basée à San Diego en Californie.
Un an plus tard, c’est donc au tour de l’Agence européenne du médicament de lui donner son feu vert, sans qu’on ne sache trop ce qui a motivé l’avis favorable du comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’EMA, le document publié étant particulièrement succinct. Même si le dossier doit encore passer entre les mains de la Commission européenne pour être définitivement validé, il y a peu de chance que celle-ci aille à l’encontre de l’agence. L’autorisation de mise sur le marché est donc quasiment actée.
◆ Un vaccin efficace, avec des effets indésirables légers, selon l’EMA
Selon l’avis du CHMP, « le bénéfice de Kostaive en primo-vaccination contre le Covid-19 a été démontré dans une vaste étude dans laquelle les adultes ont reçu soit deux doses de Kostaive, soit un placebo. Par rapport au placebo, la vaccination avec Kostaive a entraîné une réduction de la proportion de patients ayant développé un Covid-19 symptomatique entre une semaine et trois mois après la deuxième dose de vaccin. » Une autre étude plus petite aurait, par ailleurs, montré l’efficacité de Kostaive en tant que vaccin de rappel, suite à une primovaccination faite avec un autre vaccin.
Le CHMP indique également que « les effets indésirables les plus couramment observés sont les réactions au site d’injection (douleur et sensibilité), l’arthralgie, la myalgie, les maux de tête, les vertiges, la fatigue, les frissons et la pyrexie ».
◆ Les vaccins à ARNm se sont pourtant révélés peu sûrs et peu efficaces
Si l’on se fie à cet avis, le nouveau vaccin Kostaive serait donc à la fois efficace et sans danger, tout comme le sont toujours officiellement les vaccins à ARN messager déjà sur le marché, alors qu’ils n’ont objectivement prouvé ni leur efficacité ni leur sécurité.
On ne compte plus, en effet, les vaccinés ayant développé un ou plusieurs Covid symptomatiques, parfois sévères, malgré leur soi-disant protection vaccinale. Quant aux effets indésirables graves, parmi lesquels on trouve de nombreux cas de décès, les chiffres de pharmacovigilance et plusieurs associations de victimes (Verity France, Où est mon cycle ?, AAVIC Team…) sont là pour en témoigner.
◆ Une technologie jamais remise en question par les autorités
Ce qui choque le plus dans cet avis de l’EMA est que jamais n’est remise en question la technologie de l’ARNm, sur laquelle on peut pourtant avoir de sérieux doutes.
Rappelons brièvement que l’ARNm contenu dans les vaccins anti-Covid code pour la protéine Spike du virus SARS-CoV-2. Injecté, cet ARNm est censé pénétrer dans nos cellules pour y être lu et traduit en acides aminés, afin que nos cellules fabriquent elles-mêmes cette protéine Spike, qui sera ensuite détectée par notre système immunitaire pour fabriquer les antigènes correspondants.
◆ Les erreurs de lecture problématiques de l’ARNm vaccinal
Or, comme le soulignait Jean-Marc Sabatier dans notre article cité plus haut, « cette technologie n’est pas du tout maîtrisée, on en a eu confirmation avec l’étude publiée dans Nature le 6décembre 2023, montrant des problèmes de lecture et de traduction de l’ARNm vaccinal en protéines ».
Plus précisément, l’uridine de synthèse utilisée dans l’ARNm des vaccins n’est pas toujours bien lue par nos cellules et ces erreurs de lecture aboutissent à la fabrication de protéines autres que la Spike. Les conséquences de cette production erratique de protéines inconnues pourraient, à terme, s’avérer délétères.
⇒ Lire notre article du 18/12/2023 :
◆ Une production de Spike incontrôlée
De plus, ajoutait Jean-Marc Sabatier, « on se rend compte que la production de protéine Spike, qui devait être limitée, n’est pas du tout contrôlée.On a détecté de la Spike vaccinale dans le sang de personnes vaccinées jusqu’à 15 mois après leur dernière injection, ce qui suggère que ces personnes continuent à en produire. »
Le cardiologue américain Peter McCullough faisait le même constat lors de son intervention au Parlement européen en septembre 2023, où il a déclaré que « pas une seule étude ne montre que l’ARN messager est dégradé » dans le corps humain, une fois injecté. Et s’il n’est pas dégradé, cela signifie qu’il continue à servir pour produire aussi bien de la Spike que d’autres protéines inconnues.
◆ Le risque d’avoir en soi une machine infernale ?
Avec les vaccins à ARNm auto-amplifiant, ce processus incontrôlé risque d’être pire encore. À travers cette nouvelle technologie, notre corps n’est plus seulement transformé en usine de production de la Spike, mais également en usine de production d’ARN messagers, puisqu’une fois injectés, ceux-ci vont s’auto-répliquer à l’intérieur de nos cellules !
Sur le papier, ces ARNm auto-amplifiants sont censés se dégrader au bout d’un certain temps. Mais si, encore une fois, ils ne se dégradent pas comme prévu, le risque est qu’ils se reproduisent indéfiniment et que nos cellules fabriquent tout aussi indéfiniment de la Spike ou d’autres protéines, sans que personne ne puisse stopper cette machine infernale.
◆ Peu de recul et aucune prudence
Alors que la prudence devrait être de mise face à ces nouvelles technologies vaccinales, on voit qu’il n’en est rien et que les autorités de santé continuent de donner leur approbation à des produits qui nécessiteraient à l’évidence une meilleure maîtrise et de nombreuses années de recul.
De manière tout aussi inquiétante, les vaccins à ARNm auto-amplifiant sont désormais également utilisés en médecine vétérinaire.
◆ Quels risques pour les consommateurs de canards vaccinés à l’ARNma ?
Depuis avril 2024, le Respons AI H5 du laboratoire Ceva Santé animale est ainsi administré en France aux poules et aux canards d’élevage, dans le cadre de la campagne de vaccination obligatoire contre la grippe aviaire de souche H5. Avec quels risques pour les consommateurs ? Aucun, selon le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire.
La pharmacienne biologiste Hélène Banoun, qui vient de publier sur le site de l’Aimsib un article consacré à ce sujet, n’en est pas si convaincue. « Aucun test n’a été effectué sur la capacité de ce produit génique à être transmis au consommateur de viande de canard », souligne-t-elle, avant d’expliquer les raisons pour lesquelles, selon elle, « si la viande est mal cuite […], le consommateur peut théoriquement être “vacciné” par cet ARNm destiné au canard. »
Le jour où Éloïse a reçu sa deuxième dose de vaccin, sa vie a complètement basculé. Avant dynamique et sans antécédent, elle multiplie aujourd’hui les pathologies cardiaque, rénales, et neurologique. En un an, elle a déjà subi une trentaine de malaise et plusieurs opérations chirurgicale. Aujourd’hui c’est toute sa vie qui est remise en question. Elle se bat aujourd’hui pour que les conséquences du vaccin soient rendus publiques. Même chez Al Jazeera on commence à ouvrir les yeux.
Attention, affaire lamentable ! C’est l’histoire d’une dame sans histoire âgée de 30 ans qui développe les signes caractéristiques de la maladie de Charcot quelques jours après une seconde administration du vaccin anti-Covid de Pfizer, et que le centre de pharmacovigilance déclarera imputable à cette injection. Publication de la nouvelle dans la presse locale et c’est immédiatement le drame, on déprogramme l’article en extrême urgence. Depuis quand une décision d’imputabilité d’un centre de pharmacovigilance ne peut pas faire l’objet d’une nouvelle journalistique, depuis quand les sujets sanitaires sont-ils tous gérés par destruction de la liberté d’informer ? Courage Madame « Mélanie », bonne lecture.
Le 30 décembre dernier, France Bleu Auvergne faisait paraître un article sous le titre : « Première reconnaissance officielle, pour une Moulinoise, atteinte de la maladie de Charcot après un vaccin anti-covid ».
Cet article n’est resté en ligne que quelques heures pour, finalement, faire l’objet d’une dépublication en fin de journée.
Cette succession d’événements a été suffisante pour enflammer les réseaux sociaux, mais aussi les rédactions de presse (tous supports confondus).
Il ne pouvait en être autrement pour un sujet « hyper » clivant. Nous avons, en effet, d’un côté les défenseurs acharnés d’un vaccin anti-covid, dont ils sont absolument certains qu’il ne peut pas être à l’origine de pathologies très graves, comme la maladie de Charcot, et de l’autre côté, non pas comme cela est présenté de façon simpliste, ceux que certains nomment les « antivax », mais des personnes qui, depuis qu’elles ont été vaccinées contre la Covid, en 2021, 2022 … ont déclenché des pathologies plus ou moins graves dont les médecins ne pouvaient expliquer le déclenchement soudain.
Une question s’est alors légitiment posée : et si les vaccins anti-covid étaient à l’origine de la détérioration de mon état de santé ? Il semble pourtant qu’il soit, en France, interdit de se poser cette simple question.
Pire, si vous posez cette question, vous êtes immédiatement diabolisé et taxé de complotiste. C’est ainsi la meilleure façon de faire taire, non pas toute critique, mais toute tentative visant à émettre des doutes quant à un discours officiel dont les chiens de garde persistent à affirmer, de façon sentencieuse, que les vaccins anti-covid ne présentent aucun risque, ou, en tout cas, pas de risque grave pour la santé.
Des vigies semblent donc scruter la moindre apparition d’articles sur le sujet, comme pour mieux réagir à des affirmations qui pourraient remettre en cause un discours officiel, quitte à se comporter comme des maîtres censeurs.
Concrètement, que s’est-il passé le 30 décembre dernier ?
France Bleu Auvergne fait paraître un article, pourtant très neutre, et sans parti pris, qui fait suite à un long entretien avec Mélanie, jeune femme âgée de 35 ans, atteinte de la maladie de Charcot. Cet article avait le grand mérite de montrer la solitude et la détresse des malades atteints de telles pathologie et de leur famille, surtout quand ils cherchent à comprendre pourquoi.
Il convient ici de préciser que la maladie de Charcot, aussi connue sous le nom de sclérose latérale amyotrophique (SLA), est une maladie neurodégénérative. C’est une maladie rare (extrêmement rare chez les personnes comme Mélanie qui, au moment du diagnostic, avait 31 ans) dont la prévalence est de 2,7 sur 100 000.
La sclérose latérale amyotrophique (SLA), est une maladie grave qui entraîne le décès de la personne dans un délai de 3 à 5 ans en moyenne, après l’apparition de la maladie, principalement en raison de l’atteinte des muscles responsables de la respiration. Il convient encore de préciser qu’à ce stade des recherches scientifiques, les causes de la maladie de Charcot demeurent inconnues dans 90 % des cas (on parle de cas sporadiques). En revanche, des causes héréditaires de la maladie de Charcot ont pu être mises en évidence dans 10 % des cas.
Mais quel est l’apport de cet article, à l’origine de tant de réactions ?
Il est écrit : « C’est bien le vaccin anti-Covid, qu’elle a reçu, en 2021, qui est à l’origine de la maladie de Charcot (de Mélanie) …/… La pharmacovigilance vient de la reconnaître (…) ».
Ces seules affirmations ont mis le feu aux poudres
Devant les vives réactions des lecteurs de cet article, principalement sur les réseaux sociaux, la Direction de France Bleu a décidé de mettre un terme de façon brutale à un débat dont, manifestement, elle ne veut pas, en le dépubliant. Le même média tente alors de s’en justifier : « Un article qui évoquait la reconnaissance d’un lien entre la maladie de Charcot et le vaccin de Pfizer/BioNTech contre le Covid-19. Cet article avait été publié à partir d’informations parcellaires, ayant entraîné une erreur d’interprétation ».
France Bleu reconnaît, alors, qu’il s’agit là d’une information sensible mais, dans son grand courage, qu’elle ne veut pas participer » à la propagation de fausses informations ». De préciser, encore, qu’il ne s’agit en aucun cas de censure, en d’autre temps, sous d’autres régimes, la presse d’État n’aurait pas fait mieux.
Mais ce média va plus loin en se livrant, alors, à une diffusion de vérités toutes relatives, il affirme : – « Les autorités sanitaires françaises n’ont jamais confirmé de lien entre la vaccination contre la Covid-19 et la sclérose latérale amyotrophique (SLA, maladie de Charcot). La responsabilité du vaccin dans l’apparition de la maladie de la patiente évoquée n’a, à ce jour, pas été reconnue »,
De minimiser enfin le rôle de la pharmacovigilance en précisant : « C’est l’ANSM qui tranche, et non un organisme de pharmacovigilance. Et à ce jour, l’ANSM n’a pas communiqué sur un quelconque lien entre la maladie de Charcot et le vaccin Pfizer contre la Covid-19. »
Qu’en est-il réellement ? Ces objections sont-elles recevables ?
Non.
Sur le premier point : la non reconnaissance d’un lien entre la SLA de Mélanie et le vaccin Pfizer contre la Covid.
Si France Bleu avait eu le souci de vérifier ses informations, nous lui aurions présenté la fiche établie par le centre de pharmacovigilance qui a traité le cas de Mélanie. Ce média aurait vu que dans les jours qui ont suivi une deuxième injection (juin 2021), Mélanie a été victime de fasciculations. Un mois après, ont été constatées des atteintes neurologiques. Au mois de septembre 2022, était posé le diagnostic d’une SLA. En conclusion, il est écrit : – « Diagnostic de SLA dont les premiers signes se sont manifestés quelques jours après la D2 de Comirnaty»
Le pharmacovigilant note : « L’imputabilité retenue en l’espèce est établie selon la méthode française officielle de 1985 publiée par Bégaud et al. (Bulletin officiel du ministère chargé de la santé n° 84/50 fr 1985) et réactualisée par le Cercle de Réflexion sur l’imputabilité en 2011 (publié dans Théraphie 2011 ; 66:517- 25). Les éventuels scores d’imputabilité qui auront été retenus sont établis sans préjudice des éléments d’investigation qui pourraient être effectués dans le cadre de procédures juridiques ou amiables d’indemnisations ».
Nous précisons ici que Mélanie n’avait aucun antécédent médical, et que le facteur héréditaire a été écarté.
Donc, contrairement à ce qu’affirme France Bleu, la SLA, contractée par Mélanie est bien imputable au vaccin Pfizer contre la COVID et cette imputabilité a bien été confirmée par une autorité sanitaire.
Il convient de ne pas minimiser, comme France Bleu, le rôle et l’importance des centre régionaux de pharmacovigilance qui ont une mission dévolue par le Ministère de la Santé.
À ce titre, la pharmacovigilance a pour mission la surveillance des médicaments et la prévention du risque d’effets indésirables résultant de leur utilisation, que ce risque soit potentiel ou avéré après commercialisation. Dans ce cadre, la pharmacovigilance met en place des enquêtes et des études pour analyser les risques et participer à la mise en place et au suivi des plans de gestion des risques. La pharmacovigilance s’appuie sur une base réglementaire nationale et européenne : lois, décrets, directives, bonnes pratiques de pharmacovigilance publiées par arrêté. Dans notre cas d’espèce, nous avons eu confirmation par le CRPV que le cas de Mélanie a été remonté à l’ANSM avec pour commentaire : « ce dossier a été remonté à l’ANSM en proposant un « cas marquant », ce qui signifie que nous souhaitons appuyer l’attention de l’ANSM sur les cas de SLA déclarés après vaccination contre la Covid-19 ». Au moment où a été rédigé l’article, l’ANSM était informée.
Nous précisons encore qu’au niveau de l’association AAVIC TEAM, dont fait partie Mélanie, nous avons au moins un deuxième cas identique.
Quant au rôle de l’ANSM défendu par France Bleu et sur le fait que ce soit elle qui tranche et non la pharmacovigilance. Si, effectivement, c’est elle qui tranche, comment peut-on imaginer aujourd’hui, sur ce cas, et à la lumière des protocoles d’examens qui ont été mis en œuvre pour établir cette imputabilité, qu’elle puisse dire autrement ? Il semble impossible qu’elle puisse avoir un avis contraire à la lumière des résultats qui lui seront présentés. Mieux, il va être de son devoir de prendre en considération le risque d’effets indésirables graves, et examiner les options permettant de prévenir les risques ou les réduire, au besoin, pour prendre des mesures appropriées. À partir de là, il convient que certaines attitudes doctes soient abandonnées.
Cette réponse méritait d’être apportée, d’autant plus qu’à la suite de ces articles, certains ont cru bon publier à leur tour des articles inutilement blessants et confinant à la diffamation.
Un, en particulier, a retenu notre attention, celui publié le 2 janvier 2025 par le Journal International de Médecine. Cet article odieux, qui brille par son absence de contenu et une compassion de façade,
n’a pour finalité que de décrédibiliser les associations, dont AAVIC TEAM, qui tentent d’aider ces malades qui, après des injections contre la COVID, se trouvent dans une situation d’errance médicale insupportable. Nous parlons en particulier au niveau de cette association, de plusieurs centaines de personnes dont la vie a été bouleversée : pathologies graves, perte d’autonomie, perte d’emploi, situation financière précaire … aussi l’absence d’empathie de certains « vaccinolâtres » écervelés leur est insupportable. D’ailleurs, et à la suite d’Hannah Arendt, nous affirmons que « la mort de l’empathie humaine est l’un des premiers signes et le plus révélateur d’une culture sur le point de sombrer dans la barbarie ».
Notre combat est d’aider ces malades à faire éclater la vérité, à ce qu’ils soient pris en charge comme il se doit et qu’ils soient indemnisés à hauteur des préjudices qui sont les leurs.
Le dernier combat de Mélanie est d’être la porte-parole de ces malades, et de faire entendre leur voix.
Organisées par Cher Atout Cœur, le samedi 1er février 2025 de 9 h à 18 h, auront lieu au Centre des Congrès de VIERZON les deuxièmes Rencontre Citoyennes Internationales avec près de 60 associations et collectifs présents.
Ouvert au public avec participation libre en conscience. Réflexions sur l’Intelligence Artificielle au service de la médecine. Les effets indésirables des vaccins Covid et réalité du Covid Long.
Durant les trois années qu’a duré la crise dite sanitaire, nous avons été submergés d’annonces officielles, de décisions autoritaires et des discours prétendument « scientifiques » qui se sont imposés à nous comme des dogmes.
Mais aujourd’hui, les faits commencent à parler, et ils racontent une toute autre histoire.
Une intervention faite le 7/11/2023. 14 mois plus tard, le sénat ne semble toujours pas vouloir prendre la mesure de l’hécatombe qui sévit dans les pays occidentaux. Les autorités de Santé s’enfoncent même davantage aujourd’hui dans l’absurde et l’expérimentation délétère en ajoutant pour nos enfants trois nouveaux vaccins obligatoires aux onze mis en place en 2017. https://sante.gouv.fr/prevention-en-sante/preserver-sa-sante/vaccination/vaccins-obligatoires/article/de-nouveaux-vaccins-obligatoires-pour-les-nourrissons Il est grand temps que la médecine et la science s’extraient de la soumission et de l’hypnose pour retrouver une autonomie cérébrale.
Mélanie, une jeune femme atteinte de la maladie de charcot suite au vaccin Pfizer : interview d’Alain Maupas le père de Mélanie et de Mathieu Dubois Président de l’association AAVIC Team.
Dans le podcast de Joe Rogan, Mark Zuckerberg explique comment le gouvernement Biden a fait pression sur son réseau social pour qu’il censure des contenus pendant la pandémie de Covid-19.
Le Digital Services Act ou DSA est désormais actif dans l’Union européenne depuis l’été dernier. Cette organisation, ignorant la volonté des peuples européens, a décidé de se doter des moyens efficaces pour lutter contre ce qu’elle appelle la « désinformation » et des publications aux contenus « illicites » ! Evidemment, on se pose sur le champ la question de savoir ce qui est « licite » ? Il va de soi, et tout le monde l’aura compris depuis bien longtemps, qu’il s’agit d’un instrument de contrôle, de censure des informations qui ne sont pas en parfaite symbiose avec le discours idéologique mondialiste des serviteurs de la Trilatérale, les Léo-straussiens et autres Forum Economique Mondial (FEM), Bri, Dolder Club, Bilderberg … etc. Ces gens conduisent le monde vers un Nouvel Ordre Mondial enfin advenu dans toute son ampleur et prévu par l’Agenda 2030 ayant planifié dans le détail les mesures successives permettant cet avènement de la dictature absolue, « le meilleur des mondes », une sorte de confinement indéfini pour tous les peuples strictement autorisés à vivre dans la seule mesure d’une soumission inconditionnelle…
La liberté d’expression n’est pas compatible avec un Nouvel Ordre Mondial : l’UE, dont la seule raison d’être est celle de servir ce projet, fait donc tout ce qui est possible pour appliquer le plan concocté par les tyrans du mondialisme. Les peuples de l’Union européenne ont été pris en otage par ses dirigeants qu’ils n’ont pas mandatés …
Avec l’arrivée des nouveaux élus aux Etats-Unis, on remarque que Meta et Instagram ont mis fin à la censure qu’ils pratiquaient sous le contrôle des plus grands « démocrates » de la planète !
Et voilà que l’UE de son côté se met à faire le contraire de ce qui se passe aux USA.
Le DSA exige des plates-formes numériques une censure acharnée sous peine de sanctions pouvant infliger une perte de 6% de leur chiffre d’affaires annuel.
Le DSA va utiliser des outils comme NewsGuard pour exercer sa dictature. Cette dernière société est une entreprise privée qui joue un rôle de chien de garde au service du système de censure. NewsGuard évalue tous les sites d’information et contrôle leur alignement sur l’idéologie dominante seule tolérée par le DSA. Cette société s’est donnée le pouvoir d’attribuer des notes de « crédibilité » à tous les médias et particulièrement aux sites alternatifs qui proposent une lecture plus objective de l’information en promotionnant la liberté d’expression désormais proscrite dans l’Union européenne. Les limiers de NewsGuard se permettent d’agir sans le moindre mandat des peuples qu’ils prétendent contrôler en ignorant leurs droits ! Qui a donné à ces gens un tel pouvoir, avec quelle légitimité ?
Tout média qui sera jugé dans ses publications non conforme aux critères idéologiques de la « vérité » définie par le DSA , sera pénalisé financièrement, étranglé et à terme éliminé. Les revenus publicitaires seront réduits via des mécanismes de dévalorisation commandés par les algorithmes de service !
Mis à part l’expérience des Grecs puis celle de l’Odénossonie en Amérique du Nord avant l’arrivée des colons européens, puis celle du Chiapas dont la devise déclare que : « Dans une véritable démocratie, c’est le peuple qui commande et c’est l’État qui obéit« , il n’existe pas de démocraties pouvant sérieusement se donner ce titre. On se souvient du discours historique de Sieyès du 7 septembre 1789 : « Le peuple… dans un pays qui n’est pas une démocratie – et la France ne saurait l’être –, le peuple ne peut parler, ne peut agir que par ses représentants. » Depuis longtemps, les médias inféodés au système, comme les politiques, ne cessent de faire croire que nous sommes en démocratie alors que nous ne l’avons jamais été. La démocratie a été systématiquement et volontairement confondue avec les libertés publiques et privées !
Mais les libertés publiques et privées c’était encore beaucoup trop : il fallait réduire ces libertés à néant, faute de quoi il n’était pas possible d’envisager un Nouvel Ordre Mondial incompatible avec les idées de démocratie et de libertés …
L’esprit critique, le sens de l’objectivité, la voix des sciences, la sagesse de l’expérience et le simple bon sens, tout cela n’est pas recevable par les inquisiteurs du DSA qui appliquent la censure à l’encontre de tous ceux qui sont jugés hérétiques, schismatiques, idolâtres, divergents, non alignés, « complotistes », récalcitrants, opposants voire « terroristes », « climato-sceptiques » ou « menaces pour la sécurité des États » etc …
En revanche, l’AFP qui doit faire figure d’organisme de référence de la vérité, est grassement rémunérée pour que tout ce qu’elle transmet soit strictement conforme à l’idéologie mondialiste.
Ainsi le débat public n’a pas lieu puisqu’il est totalement orienté dans une seule direction. Les opinions divergentes ne sont donc pas accessibles ou difficilement accessibles pour le grand nombre qui est maintenu dans sa bulle d’informations stérilisées et univoques.
Le DSA est donc bien « Le ministère de la vérité » ayant traversé la fiction pour devenir réalité !
Nous sommes officiellement manipulés, orientés à ne penser que dans un sens : celui du mondialisme qui s’impose brutalement à tous.
Le DSA n’est pas autre chose qu’un instrument de censure et de contrôle idéologique, une expression violente de la dictature des « élites » mondialistes non élues et qui décident pour tous ce que sera la vie de tous.
Conclusion
Quoi qu’il arrive, nous pouvons et devons contourner la censure. Il y a des Plates-formes comme Odysee.com ou CrowdBunker.com en France qui relaient les informations censurées et militent intelligemment pour la liberté d’expression.
Le site mondialisation.ca est une référence pour la liberté d’expression, l’information objective, non censurée.
Il est donc toujours possible de contourner le dispositif des inquisiteurs: leur maltraitance, leur persécution, leurs interdits, leurs sanctions et leurs bûchers et s’informer correctement ! Finalement, le problème n’est pas de savoir si l’on peut s’informer, mais si l’on veut vraiment s’informer!
La servitude volontaire est une faiblesse chez ceux qui se sont exposés trop longtemps au dressage psychologique en acceptant la facilité de l’information fast-food des télévisions et des autres médias inféodés, baxtérisés à l’argent public pour certains et pour les autres, formatés à l’idéologie mondialiste dont leurs propriétaires milliardaires sont les gourous !
Nous, les Européens, pouvons-nous accepter le totalitarisme d’un « ministère de la vérité » ? Pouvons-nous tolérer le retour de l’inquisition? Toutes ces créations de l’Union européenne ne sont ni légitimes, ni acceptables éthiquement comme humainement ! Nous avons le devoir de boycotter ces institutions, de les mettre en échec, de les combattre par tous les moyens et de les détruire en se moquant de leur prétention!
Femme de 59 ans présentant une thrombose veineuse profonde étendue et une thromboembolie pulmonaire 7 jours après une première dose du vaccin à ARNm Pfizer-BioNTech BNT162b2 COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34117206/
Images TEP numériques 68 Ga-DOTATOC d’infiltrats de cellules inflammatoires dans la myocardite après vaccination avec le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34746968/
Un cas de polyradiculoneuropathie démyélinisante aiguë avec paralysie faciale bilatérale après le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 :. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34272622/
Un cas de polyradiculoneuropathie démyélinisante aiguë avec paralysie faciale bilatérale après vaccination ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34272622/
Un cas d’encéphalopathie aiguë et d’infarctus du myocarde sans élévation du segment ST après vaccination avec l’ARNm-1273 : effet indésirable possible : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34703815/
Un cas de vascularite associée aux ANCA après vaccination AZD1222 (Oxford-AstraZeneca) contre le SRAS-CoV-2 : victime ou causalité ? : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34416184/
Un cas de purpura thrombocytopénique idiopathique après une dose de rappel du vaccin COVID-19 BNT162b2 (Pfizer-Biontech) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34820240/
Un cas de syndrome de Guillain-Barré ataxique sensoriel avec des anticorps anti-GM1 d’immunoglobuline G après la première dose du vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 (Pfizer) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34871447/
Un cas de présentation clinique légère inhabituelle de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin COVID-19 avec thrombose de la veine splanchnique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34843991/
Une série de cas de péricardite aiguë après vaccination contre le COVID-19 dans le contexte de rapports récents en Europe et aux États-Unis : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34635376/
Une série de cas de réactions cutanées au vaccin COVID-19 dans le département de dermatologie de l’Université de Loma Linda : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34423106/
Un regard sur le rôle de l’immunohistochimie post-mortem dans la compréhension de la physiopathologie inflammatoire de la maladie COVID-19 et des événements indésirables thrombotiques liés au vaccin : une revue narrative : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34769454/
Un trouble thrombocytopénique prothrombotique ressemblant à une thrombocytopénie induite par l’héparine après vaccination contre le coronavirus-19 : https://europepmc.org/article/PPR/PPR304469
Un cas rare d’un homme asiatique d’âge moyen atteint de thrombose veineuse cérébrale après la vaccination contre le COVID-19 AstraZeneca : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34274191/
Un cas rare de thrombose veineuse cérébrale et de coagulation intravasculaire disséminée temporellement associée à l’administration du vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33917902/
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Névrite optique/chiasme bilatéral aigu bilatéral avec myélite transversale extensive longitudinale dans la sclérose en plaques stable de longue date après vaccination à base de vecteur contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34131771/
Encéphalopathie hyperactive aiguë après vaccination contre le COVID-19 avec réponse spectaculaire à la méthylprednisolone : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34512961/
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Lésion myocardique aiguë après vaccination contre le COVID-19 : rapport de cas et examen des preuves actuelles de la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34219532/
Lésion myocardique aiguë après vaccination contre le COVID-19 : rapport de cas et examen des preuves actuelles provenant de la base de données du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34219532/
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Infarctus du myocarde aigu avec élévation du segment ST secondaire à une thrombose immunitaire induite par le vaccin avec thrombocytopénie (VITT) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34580132/
Une lymphadénopathie supraclaviculaire d’apparition aiguë coïncidant avec une vaccination intramusculaire à ARNm contre le COVID-19 peut être liée à la technique d’injection du vaccin, Espagne, janvier et février 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33706861/
Interactions de l’adénovirus avec les plaquettes et la coagulation et syndrome de thrombocytopénie auto-immune associé au vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34407607/
Interactions de l’adénovirus avec les plaquettes et la coagulation et syndrome de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induit par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34407607/
Effets indésirables signalés après la vaccination contre le COVID-19 dans un hôpital de soins tertiaires, centrés sur la thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34092166/
Effets indésirables signalés après la vaccination contre le COVID-19 dans un hôpital de soins tertiaires, axés sur la thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34092166/
Événements indésirables liés à l’injection du COVID pouvant survenir chez les enfants. Une lymphadénopathie supraclaviculaire d’apparition aiguë coïncidant avec la vaccination intramusculaire à ARNm contre le COVID-19 peut être liée à la technique d’injection du vaccin, Espagne, janvier et février 2021 : https://pubmed.ncbi .nlm.nih.gov/33706861/
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Réactions allergiques, y compris anaphylaxie, après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 – États-Unis, 14-23 décembre 2020 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33444297/
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Myocardite lymphocytaire prouvée par biopsie après la première vaccination par ARNm du COVID-19 chez un homme de 40 ans : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34487236/
Myocardite lymphocytaire prouvée par biopsie après première vaccination avec l’ARNm du COVID-19 chez un homme de 40 ans : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34487236/
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Thrombose du sinus veineux central avec hémorragie sous-arachnoïdienne après vaccination par ARNm contre le COVID-19 : ces rapports sont-ils simplement une coïncidence : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34478433/
Thrombose du sinus veineux central avec hémorragie sous-arachnoïdienne après vaccination par ARNm contre le COVID-19 : ces rapports sont-ils simplement une coïncidence : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34478433/
Thrombose des sinus veineux cérébraux après vaccination contre le COVID-19 : Prise en charge neurologique et radiologique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34327553/
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Thrombose du sinus veineux cérébral négative pour les anticorps anti-PF4 sans thrombocytopénie après immunisation avec le vaccin COVID-19 chez un homme indien âgé non comorbide traité avec une anticoagulation conventionnelle à base d’héparine-warfarine : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov /34186376/
Thrombose du sinus veineux cérébral négative pour les anticorps anti-PF4 sans thrombocytopénie après immunisation avec le vaccin COVID-19 chez un homme indien âgé et non comorbide traité avec une anticoagulation conventionnelle à base d’héparine-warfarine :. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1871402121002046 .
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Commentaires sur la thrombose après vaccination : la séquence leader de la protéine Spike pourrait être responsable de la thrombose et de la thrombocytopénie médiée par les anticorps : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34788138
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Vaccin contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) dans le lupus érythémateux systémique et la vascularite associée aux anticorps anti-cytoplasmiques des neutrophiles : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33928459/
Le vaccin contre la maladie à coronavirus 2019 imite les métastases ganglionnaires chez les patients subissant un suivi pour un cancer de la peau : une étude monocentrique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34280870/
La vaccination COV2-S peut révéler une thrombophilie héréditaire : thrombose massive du sinus veineux cérébral chez un jeune homme ayant une numération plaquettaire normale : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34632750/
La lymphadénopathie induite par la vaccination à ARNm contre le COVID-19 imite la progression du lymphome sur la TEP/TDM au FDG : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33591026/
Lymphadénopathie post-vaccination au COVID-19 : rapport sur les résultats cytologiques de biopsie par aspiration à l’aiguille fine : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34432391/
Vaccination contre le COVID-19 et lymphadénopathie cervicale inférieure dans une clinique de deux semaines pour les tumeurs du cou : un audit de suivi : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33947605/
Lymphadénopathie induite par la vaccination COVID-19 dans une clinique spécialisée d’imagerie mammaire en Israël : analyse de 163 cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34257025/
Vaccination COVID-19 : informations sur la survenue de thromboses artérielles et veineuses à partir des données de VigiBase : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33863748/
Thrombose immunitaire induite par le vaccin COVID-19 avec thrombocytopénie thrombotique (VITT) et nuances de gris dans la formation de thrombus : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34624910/
Lymphadénopathie axillaire et cervicale liée au vaccin COVID-19 chez les patientes atteintes d’un cancer du sein actuel ou antérieur et d’autres tumeurs malignes : résultats d’imagerie transversale sur IRM, tomodensitométrie et TEP-CT : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/ 34719892/
Lymphadénopathie axillaire liée au vaccin COVID-19 chez les patientes atteintes d’un cancer du sein : série de cas avec revue de la littérature : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34836672/
COVID-19 : les leçons de la tragédie norvégienne doivent être prises en compte dans la planification du lancement du vaccin dans les pays les moins développés/en développement : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34435142/
Rapport cumulatif d’événements indésirables d’anaphylaxie suite à des injections de vaccin à ARNm COVID-19 (Pfizer-BioNTech) au Japon : rapport du premier mois : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34347278/
Effets indésirables cutanés de 35 229 doses du vaccin COVID-19 Sinovac et AstraZeneca COVID-19 : une étude de cohorte prospective chez les agents de santé : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34661934/
Vascularite lymphoïde cutanée après administration de la deuxième dose d’AZD1222 (Oxford-AstraZeneca) Syndrome respiratoire aigu sévère Vaccin contre le coronavirus 2 : hasard ou causalité : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34726187/
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Céphalée retardée après la vaccination contre le COVID-19 : un signe avant-coureur d’une thrombose veineuse cérébrale induite par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34535076/
Diagnostic et traitement de la thrombose du sinus veineux cérébral avec thrombopénie thrombotique immuno-immune induite par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33914590/
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Voulez-vous encore plus de preuves ? Voici 140 références à des événements indésirables liés à l’injection de COVID qui peuvent survenir chez les enfants. Une lymphadénopathie supraclaviculaire aiguë coïncidant avec la vaccination intramusculaire à ARNm contre le COVID-19 peut être liée à la technique d’injection du vaccin, Espagne, janvier et février 2021 : https https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33706861/
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Traitement endovasculaire de la thrombose du sinus veineux cérébral et de la thrombocytopénie induites par le vaccin après vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19 : rapport de trois cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34782400/
Épidémiologie et caractéristiques cliniques de la myocardite/péricardite avant l’introduction du vaccin à ARNm COVID-19 chez les enfants coréens : une étude multicentrique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34402230/
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Exacerbation fatale du syndrome de thrombopénie thrombotique induite par ChadOx1-nCoV-19 après un traitement initial réussi avec des immunoglobulines intraveineuses : justification de la surveillance des taux d’immunoglobulines G : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34382387/
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Première dose des vaccins ChAdOx1 et BNT162b2 contre la COVID-19 et événements thrombocytopéniques, thromboemboliques et hémorragiques en Écosse : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34108714/
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L’administration immédiate d’immunoglobulines intraveineuses à haute dose, suivie d’un traitement direct avec des inhibiteurs de la thrombine, est cruciale pour la survie en cas de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin.
Des immunoglobulines intraveineuses à haute dose immédiate, suivies d’un traitement direct avec des inhibiteurs de la thrombine, sont cruciales pour la survie dans la thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin VITT adenoviral à vecteur Sars-Covid-19 avec thrombose veineuse du sinus cérébral et de la veine porte : https://pubmed. ncbi.nlm.nih.gov/34023956/
Thrombose immunitaire et thrombopénie (VITT) associées au vaccin COVID-19 : recommandations diagnostiques et thérapeutiques pour un nouveau syndrome : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33987882/
Épidémies de maladie à médiation immunitaire ou nouvelle apparition de maladie chez 27 sujets après vaccination par ARNm/ADN contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33946748/
Épidémies de maladie à médiation immunitaire ou maladie d’apparition récente chez 27 sujets après vaccination par ARNm/ADN contre le SRAS-CoV-2 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33946748/
Pratiques de vaccination et risque d’anaphylaxie : une mise à jour actuelle et complète des données de vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34269740/
La mémoire immunologique chez les patients atteints de COVID-19 léger et les donneurs non exposés révèlent des réponses persistantes des lymphocytes T après une infection par le SRAS-CoV-2 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33777028/
Étude observationnelle en milieu hospitalier sur les troubles neurologiques chez des patients récemment vaccinés avec des vaccins à ARNm contre la COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34688190/
Incidence des accidents vasculaires cérébraux ischémiques aigus après vaccination contre le coronavirus en Indonésie : série de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34579636/
Risque accru d’urticaire/œdème de Quincke après la vaccination par l’ARNm BNT162b2 contre le COVID-19 chez les agents de santé prenant des inhibiteurs de l’ECA : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34579248/
Induction et exacerbation du lupus érythémateux cutané subaigu après une vaccination contre le SRAS-CoV-2 à base d’ARNm ou de vecteur adénoviral : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34291477/
Inflammation et activation plaquettaire après les vaccins contre la COVID-19 : mécanismes possibles à l’origine de la thrombocytopénie et de la thrombose immunitaires induites par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34887867/
Aperçus d’un modèle murin de myopéricardite induite par le vaccin à ARNm COVID-19 : l’injection intraveineuse accidentelle d’un vaccin pourrait-elle induire une myopéricardite ?
Aperçus d’un modèle murin de myopéricardite induite par le vaccin à ARNm COVID-19 : l’injection intraveineuse accidentelle d’un vaccin pourrait-elle induire une myopéricardite : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34453510/
Hémorragie intracérébrale et thrombocytopénie après le vaccin AstraZeneca COVID-19 : défis cliniques et diagnostiques de la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34646685/
Hémorragie intracérébrale associée à une thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin après la vaccination ChAdOx1 nCOVID-19 chez une femme enceinte : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34261297/
Hémorragie intracérébrale due au syndrome de thrombose avec thrombopénie après vaccination contre le COVID-19 : premier cas mortel en Corée : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34402235/
L’injection intraveineuse du vaccin à ARNm contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) peut induire une myopéricardite aiguë dans un modèle murin : https://t.co/j0IEM8cMXI
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Apparition d’une myocardite aiguë de type infarctus après la vaccination contre le COVID-19 : juste une coïncidence accidentelle ou plutôt une myocardite auto-immune associée à la vaccination ? : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34333695/
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Un an après un cas bénin de COVID-19 : la plupart des patients conservent une immunité spécifique, mais un patient sur quatre souffre encore de symptômes à long terme https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34362088/
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Anticorps pathologiques contre le facteur plaquettaire 4 après vaccination avec ChAdOx1 nCoV-19. Cet article précise : « En l’absence de pathologies prothrombotiques antérieures, 22 patients présentaient une thrombocytopénie aiguë et une thrombose, principalement une thrombose veineuse cérébrale, et 1 patient présentait une thrombocytopénie isolée et un phénotype hémorragique » : https://www.nejm.org/doi /full/10.1056/NEJMoa2105385?query=TOC&fbclid=IwA R2ifm2TQjetAMb42YRRUlKEeqCQe-lDasIWvjMgzHHaItbuPbu6n7NlG3cic.
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Insuffisance surrénalienne primaire associée à la thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin Oxford-AstraZeneca ChAdOx1 nCoV-19 (VITT) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34256983/
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Microparticules procoagulantes : un lien possible entre la thrombocytopénie immunitaire induite par le vaccin (VITT) et la thrombose veineuse des sinus cérébraux : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34129181/
Vascularite associée aux anticorps cytoplasmiques anti-neutrophiles induite par le propylthiouracile après une vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34451967/
Vascularite associée aux anticorps anti-cytoplasmiques neutrophiles induite par le propylthiouracile après la vaccination contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34451967/
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Takeda, M., Ishio, N., Shoji, T., Mori, N., Matsumoto, M. et Shikama, N. (2021). Myocardite à éosinophiles après la vaccination contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). Circ J. est ce que je:10.1253/circj.CJ-21-0935. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34955479
Équipe, CC-R., Alimentation et drogue, A. (2021). Réactions allergiques, y compris l’anaphylaxie après réception de la première dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 – États-Unis, 14-23 décembre 2020. MMWR Morb Mortal Wkly Rep, 70(2), 46-51. est ce que je:10.15585/mmwr.mm7002e1. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/33444297
La nouvelle plateforme vaccinale à ARNm contre la COVID-19 et la myocardite : des indices sur le mécanisme sous-jacent possible : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34312010/
Les rôles des plaquettes dans la coagulopathie associée au COVID-19 et la thrombopénie thrombotique immuno-immune induite par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34455073/
Cette étude conclut que : « Le vaccin était associé à un excès de risque de myocardite (1 à 5 événements pour 100 000 personnes). Le risque de cet événement indésirable potentiellement grave et de nombreux autres événements indésirables graves a considérablement augmenté après l’infection par le SRAS-CoV-2 : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2110475
Cette étude conclut que : « Le vaccin était associé à un excès de risque de myocardite (1 à 5 événements pour 100 000 personnes). Le risque de cet événement indésirable potentiellement grave et de nombreux autres événements indésirables graves a considérablement augmenté après l’infection par le SRAS-CoV-2 : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2110475?query=featured_home
Thompson, MG, Burgess, JL, Naleway, AL, Tyner, H., Yoon, SK, Meece, J., . . . Gaglani, M. (2021). Prévention et atténuation du Covid-19 avec les vaccins BNT162b2 et ARNm-1273. N Engl J Med, 385(4), 320-329. est ce que je:10.1056/NEJMoa2107058. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34192428
Perfusion de thromboaspiration et fibrinolyse pour la thrombose portomésentérique après administration du vaccin AstraZeneca COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34132839/
Perfusion de thromboaspiration et fibrinolyse pour la thrombose portomésentérique après administration du vaccin AstraZeneca COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34132839/
Thrombocytopénie et thrombose splanchnique après vaccination avec Ad26.COV2.S traitées avec succès par shunt portosystémique intrahépatique transjugulaire et thrombectomie : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/ajh.26258
Thrombocytopénie avec accident vasculaire cérébral ischémique aigu et hémorragie chez un patient récemment vacciné avec un vaccin COVID-19 à vecteur adénoviral : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33877737/
Thrombocytopénie avec accident vasculaire cérébral ischémique aigu et hémorragie chez un patient récemment vacciné avec un vaccin COVID-19 à vecteur adénoviral :. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33877737/
Thrombocytopénie, y compris thrombocytopénie immunitaire après avoir reçu des vaccins à ARNm contre la COVID-19, signalée au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34006408/
Thrombose et syndrome respiratoire aigu sévère Vaccins contre le coronavirus 2 : thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34237213/
Syndrome de thrombose et de thrombocytopénie provoquant une occlusion carotidienne symptomatique isolée après le vaccin COVID-19 Ad26.COV2.S (Janssen) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34670287/
Thrombose dans la maladie artérielle périphérique et la thrombocytopénie thrombotique après la vaccination adénovirale contre le COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34649281/
Thrombose avec syndrome de thrombocytopénie (TTS) après vaccination avec AstraZeneca ChAdOx1 nCoV-19 (AZD1222) COVID-19 : une analyse risque-bénéfice pour les personnes <60 % analyse risque-bénéfice pour les personnes de <60 ans en Australie : https://pubmed. ncbi.nlm.nih.gov/34272095/
Thrombose avec syndrome de thrombopénie (STT) après vaccination avec AstraZeneca ChAdOx1 nCoV-19 (AZD1222) COVID-19 : une analyse risque-bénéfice pour les personnes < 60 %.
Thrombose avec syndrome de thrombocytopénie (STT) après la vaccination contre la COVID-19 par AstraZeneca ChAdOx1 nCoV-19 (AZD1222) : analyse risque-bénéfice pour les personnes de moins de 60 ans : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34272095/
Événements indésirables thrombotiques signalés pour les vaccins Moderna, Pfizer et Oxford-AstraZeneca contre la COVID-19 : comparaison de l’occurrence et des résultats cliniques dans la base de données EudraVigilance : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34835256/
Événements thrombotiques après vaccination contre le COVID-19 chez les personnes de plus de 50 ans : résultats d’une étude de population en Italie : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34835237/
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Paralysie oculomotrice transitoire après administration du vaccin messager ARN-1273 pour la diplopie du SRAS-CoV-2 après le vaccin COVID-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34369471/
Thrombocytopénie transitoire avec auto-anticorps plaquettaires spécifiques aux glycoprotéines après vaccination avec Ad26.COV2.S : rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34516272/
Traitement de l’accident vasculaire cérébral ischémique aigu associé à la thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34461442/
Truong, DT, Dionne, A., Muniz, JC, McHugh, KE, Portman, MA, Lambert, LM, . . . Newburger, JW (2021). Myocardite cliniquement suspectée liée temporellement à la vaccination contre le COVID-19 chez les adolescents et les jeunes adultes. Circulation. est ce que je:10.1161/CIRCULATIONAHA.121.056583. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34865500
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Deux cas de maladie de Basedow après vaccination SARS-CoV-2 : un syndrome auto-immun/inflammatoire induit par les adjuvants : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33858208/
Les interférons de type I comme mécanisme potentiel reliant les vaccins à ARNm contre la COVID-19 à la paralysie de Bell : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33858693/
Rapports de cas américains de thrombose du sinus veineux cérébral avec thrombocytopénie après vaccination avec Ad26.COV2.S, 2 mars-21 avril 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33929487/
Umei, T., Kishino, Y., Shiraishi, Y., Inohara, T., Yuasa, S. et Fukuda, K. (2021). Récidive de myopéricardite après vaccination par ARNm COVID-19 chez un adolescent de sexe masculin. CJC ouvert. est ce que je:10.1016/j.cjco.2021.12.002. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34904134
Lymphadénopathie axillaire unilatérale liée au vaccin COVID-19 : modèle d’IRM mammaire de dépistage permettant une évaluation bénigne : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34325221/
Lymphadénopathie unilatérale après vaccination contre le COVID-19 : un plan de prise en charge pratique pour les radiologues de toutes spécialités : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33713605/
Résultats d’imagerie uniques de fantosmie neurologique après la vaccination Pfizer-BioNtech COVID-19 : un rapport de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34096896/
Rapports de cas américains de thrombose du sinus veineux cérébral avec thrombopénie après vaccination avec Ad26.COV2.S (contre le covid-19), du 2 mars au 21 avril 2020 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33929487/
Thrombocytopénie et thrombose associées au vaccin : endothéliopathie veineuse conduisant à une micro-macrothrombose veineuse combinée : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34833382/
Thrombose veineuse cérébrale et thrombocytopénie induites par le vaccin.
Thrombose immunitaire induite par le vaccin et syndrome de thrombocytopénie après vaccination contre le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère à vecteur adénovirus : une nouvelle hypothèse sur les mécanismes et les implications pour le développement futur d’un vaccin : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34664303/
Thrombocytopénie immunitaire thrombotique immunitaire induite par le vaccin (TTIV) : une nouvelle entité clinicopathologique aux présentations cliniques hétérogènes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34159588/
Thrombocytopénie immunitaire thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT) : cibler les mécanismes pathologiques avec les inhibiteurs de la tyrosine kinase de Bruton : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33851389/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT) : une nouvelle entité clinicopathologique aux présentations cliniques hétérogènes : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34159588/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin et thrombose du sinus veineux cérébral après la vaccination contre le covid-19 ; une revue systématique : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34365148/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin provoquant une forme sévère de thrombose veineuse cérébrale avec un taux de mortalité élevé : une série de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34393988/
Thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin provoquant une forme grave de thrombose veineuse cérébrale avec un taux de mortalité élevé : une série de cas : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34393988/
Thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin après vaccination Ad26.COV2.S chez un homme présentant une thromboembolie veineuse aiguë : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34096082/
Thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin : le lien insaisissable entre la thrombose et les vaccins contre le SRAS-CoV-2 à base d’adénovirus : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34191218/
Réactivation du virus varicelle-zona et du virus de l’herpès simplex après vaccination contre le COVID-19 : examen de 40 cas dans un registre dermatologique international : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34487581/
Réactions cutanées vésiculobulleuses induites par le vaccin à ARNm COVID-19 : à propos de quatre cas et revue de la littérature : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34236711/
Vidula, MK, Ambrose, M., Glassberg, H., Chokshi, N., Chen, T., Ferrari, VA et Han, Y. (2021). Myocardite et autres complications cardiovasculaires des vaccins COVID-19 à base d’ARNm. Cureus, 13(6), e15576. est ce que je:10.7759/cureus.15576. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/34277198
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Jeune homme atteint de myocardite après une vaccination par ARNm contre la maladie à coronavirus ARNm-1273-2019 (COVID-19) : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34744118/
Zimmermann, P. et Curtis, N. (2020). Pourquoi le COVID-19 est-il moins grave chez les enfants ? Un examen des mécanismes proposés sous-tendant la différence de gravité liée à l’âge des infections par le SRAS-CoV-2. Arch Dis Enfant. est ce que je:10.1136/archdischild-2020-320338. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/33262177
Marisa et son équipe lancent une plateforme d’écoute pour les victimes d’effets indésirables des vaccins. Cette initiative, née de l’écoute des besoins réels des personnes affectées, vise à offrir un espace sécurisé où les victimes peuvent exprimer leurs souffrances sans jugement.
La plateforme, accessible au 09 72 129 808 ou par email à sos.ecouteei@proton.me est opérationnelle de 10h à 22h à partir du 6 janvier 2025. Les bénévoles, formés par des psychologues, assurent une écoute bienveillante et orientent les appelants vers des associations de victimes et des ressources locales.
Cette initiative, financée par les bénévoles eux-mêmes, espère recevoir des dons pour améliorer ses services. Marisa souligne l’importance de l’écoute empathique comme premier pas vers la guérison, et appelle à la solidarité pour soutenir cette cause essentielle.
Cette fois j’y serai! Merci de partager l’information, y compris à vos amis européens, ceci nous concerne tous!
Frédéric Baldan, Notre Bon Droit, le parti germanophone « Vivant », la Pologne, la Hongrie et plus de mille parties civiles citoyennes ont intenté un procès contre Ursula Von der Leyen, dans le cadre de la négociation des contrats Pfizer et BioNtech, pendant la crise Covid. Le 6 janvier 2025 un jugement devrait enfin être prononcé.
L’action a été introduite auprès des tribunaux belges et devrait normalement pouvoir être jugée par la justice de notre pays. Mais l’EPPO, le parquet de justice de l’Union européenne tente de s’immiscer dans ce procès pour forcer nos juges à leur transmettre l’affaire. Si la Belgique se dessaisit au profit de l’UE, les plaignants perdront leur chance. Si, au contraire elle confirme sa compétence, l’action pourra poursuivre son cours et d’autres plaignants de différents pays pourront encore venir grossir les rangs des indignés.
L’audience de ce 6 janvier est donc d’une importance capitale.
Venez nombreux manifester votre présence.
Rappel:
En avril 2023, le lobbyiste belge Frédéric Baldan a déposé une plainte pénale avec constitution de partie civile auprès du tribunal de Liège contre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, pour des actes graves et potentiellement illégaux dans la gestion des contrats de vaccins COVID-19.
Pourquoi cette plainte ?
En avril 2021, des révélations ont indiqué que Mme von der Leyen aurait négocié directement, sans mandat explicite des États membres, un contrat d'achat de vaccins avec le groupe Pfizer, représentant des milliards d'euros. Ces négociations, menées via des échanges de SMS avec le PDG de Pfizer, Albert Bourla, ont été critiquées pour leur manque de transparence. De plus, la suppression présumée de ces SMS soulève des questions sur la destruction de documents publics.
Ce que cela signifie :
L’Office du Procureur Européen (EPPO), chargé de lutter contre la fraude affectant les intérêts financiers de l’UE, a déclaré lors d’une audience publique qu’aucune victime identifiable ne pouvait être déterminée dans cette affaire, rendant les faits difficiles à établir juridiquement. Cette position néglige une réalité fondamentale : nous, citoyens européens, sommes les victimes directes de ces décisions opaques, quel que soit notre statut vaccinal.
En devenant plaignants, nous affirmons que ces agissements nous ont lésés collectivement :
• Nos impôts ont financé des contrats passés dans des conditions opaques, contraires aux principes de bonne gouvernance.
• Nous avons été soumis à des décisions sanitaires contraires aux droits fondamentaux et à la Charte des Doits fondamentaux de l’UE, ainsi qu’à des décisions financières prises sans transparence ni concertation.
• Notre confiance envers les institutions européennes, garantes de la démocratie et de la justice, a été profondément ébranlée.
Un appel à tous les citoyens de l’UE
Cette plainte, initiée en Belgique, dépasse nos frontières nationales : elle concerne tous les Européens. En élargissant cette action à l’échelle de l’Union, nous pouvons démontrer que les citoyens européens refusent de rester passifs face à des abus qui affectent leurs droits, leurs finances et leur santé.
Ce que nous demandons :
• La tenue d’une enquête pénale indépendante des institutions de l’UE:
Nous exigeons qu’une enquête approfondie et impartiale soit menée pour faire toute la lumière sur les actes reprochés à Ursula Von Der Leyen et aux responsables impliqués. Cette enquête doit garantir la transparence et répondre aux attentes des citoyens européens.
• La contestation de la légitimité de l’EPPO pour ce dossier :
Bien que l’Office du Procureur Européen (EPPO) soit officiellement chargé de la lutte contre les infractions portant atteinte aux intérêts financiers de l’Union, nous remettons en question sa capacité à traiter ce dossier pour plusieurs raisons :
o Conflit d’intérêts institutionnel : L’EPPO est étroitement lié aux institutions européennes, ce qui soulève des doutes sur sa capacité à enquêter de manière indépendante sur des faits impliquant la présidente de la Commission européenne, l’une des figures centrales du pouvoir exécutif de l’UE.
o Position de l’EPPO lors d’une audience publique : L’EPPO a déclaré qu’il n’existait « aucune victime identifiable » dans cette affaire, une affirmation que nous contestons fermement. Chaque citoyen européen, quel que soit son statut vaccinal, a été de à la transparence démocratique.
o Les limites des missions de l’EPPO : Les compétences de l’EPPO se concentrent sur les fraudes affectant le budget européen. Or, dans ce dossier, les contrats de vaccins ont été honorés financièrement par chaque État membre, individuellement, et non par un financement direct de l’Union européenne. Ursula Von Der Leyen elle-même l’a admis : pas un euro du budget de l’UE n’a été utilisé pour ces contrats. Cela rend inadaptée la juridiction de l’EPPO pour traiter ces infractions potentielles.
Ensemble, nous avons la responsabilité de protéger nos droits fondamentaux mais aussi un modèle de société qui replace la justice, la transparence et l’équité au centre de la gouvernance. Ce n’est qu’en nous mobilisant que nous pourrons exiger des comptes et restaurer la confiance dans nos institutions.
Rejoignez-nous et rejoignez Frédéric Baldan pour défendre nos droits face aux lobbies pharmaceutiques.
Voir aussi France-Soir : 📽UrsulaGates : en plus des plaintes visant Ursula von der Leyen, Frédéric Baldan et Diane Protat annoncent lors de leur conférence de presse avoir porté plainte contre Laura Kövesi, cheffe de l’EPPO, le parquet européen.
De nombreuses personnes « vaccinées » anti-COVID-19 sont stupéfaites aujourd’hui de découvrir ce que sont réellement les ARN messagers qui prennent le contrôle de la production de leurs cellules ainsi que de la quantité d’ARN messagers introduit à chaque injection (14 000 milliards pour Pfizer-BioNTech et 47 000 milliards pour le Moderna). Ils se demandent pourquoi leur injecteur n’a pas abordé ces sujets avec eux avant qu’ils donnent leur consentement libre et éclairé mais aussi ceux de l’absence totale d’essais cliniques et des effets secondaires connus au jour de l’injection. Certains injectés ont entendu parler de turbo cancer, myocardite, péricardite, maladie de Hashimoto et de Basedow, maladie auto-immune, diabète, thrombose, Guillain-Barré, Creutzfeld-Jakob, maladie de Charcot (SLA), Parkinson, démence, Alzheimer, épilepsie, Cholestase, SIBO, SAMA, SAM, hypo-kaliémie, etc. et ressentent en permanence une « épée de Damoclès » au-dessus de leur tête.
De nombreuses personnes ressentent une atteinte de leur consentement libre et éclairé à l’injection par leur injecteur et s’interrogent aujourd’hui sur les éventuels recours.
Une autre question se pose également sur l’obligation vaccinale, notamment pour les enfants, au regard du consentement libre et éclairé.
Nous interrogeons donc Maître JOSEPH, Doyen des avocats au barreau de Grenoble, afin de répondre à ces questions.
PG : Maître, quelles sont les obligations d’un injecteur (médecins, pharmaciens, soignants etc.) avant d’administrer un « vaccin » à une personne ?
Maître Joseph : Il y a notamment quatre grandes obligations qui sont imposées à l’injecteur.
1) Obligation pour l’injecteur d’informer la personne avant l’injection :
Cette obligation est d’abord contenue dans l’alinéa 2 de l’article 5 de la Convention d’Oviedo ratifiée par la France le 13 décembre 2011 et entrée en vigueur le 1 avril 2012 :
« Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques » ;
Elle est ensuite, également présente dans l’alinéa premier de l’article L1111-2 du code de la santé publique :
[… ] Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent […] ;
Enfin, dans l’arrêt du 3 juin 2010, publié au bulletin (pourvoi n° 09-13.591) la première Chambre civile de la Cour de cassation a rendu une décision en la fondant sur articles 16 et 16-3, alinéa 2, du code civil :
« Il résulte des articles 16 et 16-3, alinéa 2, du code civil que toute personne a le droit d’être informée préalablement aux investigations, traitements ou actions de prévention proposés, des risques inhérents à ceux-ci, et que son consentement doit être accueilli par le praticien, hors le cas où son état rend nécessaire une intervention thérapeutique à laquelle elle n’est pas à même de consentir.»
2) Obligation pour l’injecteur d’informer la personne sur les autres solutions possibles :
Cette obligation est présente dans l’alinéa premier de l’article L1111-2 du code de la santé publique :
[… ] Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les conséquences prévisibles en cas de refus. [… ] ;
3) Sur la base des informations communiquées à la personne, obligation est faite à l’injecteur de recueillir expressément de ladite personne son consentement libre et éclairé :
Cette obligation est contenue dans l’alinéa premier de l’article 5 de la Convention d’Oviedo précitée :
« Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. »
Elle est aussi contenue dans l’alinéa 3 de l’article Article L1111-4, du code de la santé publique :
« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »
4) En cas de litige, repose alors sur l’injecteur la charge de la preuve des trois obligations précitées.
L’injecteur a dès lors l’obligation de démontrer par tous moyens la délivrance desdites informations ainsi que le recueillement du consentement libre et éclairé.
Attention, le code de la Santé publique inverse explicitement la charge de la preuve dans cette hypothèse, qui incombe alors à l’injecteur.
En effet comme nous l’indiquel’alinéa 7 de l’article L1111-2du code de la santé publique :
« En cas de litige, il appartient au professionnel ou à l’établissement de santé d’apporter la preuve que l’information a été délivrée à l’intéressé dans les conditions prévues au présent article. Cette preuve peut être apportée par tout moyen. »
PG : Quelles informations l’injecteur doit-il fournir à la personne avant de recueillir son consentement libre et éclairé ?
Maître Joseph : Il ressort de la lettre du ministre de la santé OLIVIER VÉRAN envoyée au président de l’Ordre des médecins en date du 23 décembre 2020, que « la responsabilité des médecins ne pourra pas être engagée au motif qu’ils auraient délivré une information insuffisante aux patients sur les effets indésirables méconnus à la date de vaccination ».
Ainsi, si cette responsabilité ne peut, certes, pas être engagée au motif d’une information insuffisante portant sur des effets méconnus à la date d’injection mais il apparait évident que cette responsabilité sera dès lors engagée par le Juge en cas d’information insuffisante portant sur des effets connus à la date de vaccination !
Ainsi, au regard de ce syllogisme évident, il apparait indispensable à l’injecteur d’indiquer à la personne toutes les informations pertinentes connues au jour de l’injection.
Nous entendons ainsi :
– Tous les bénéfices du « vaccin » ;
– Si la substance à injecter à fait, ou non , l’objet d’essais cliniques et à quel endroit la personne peut les consulter ;
– La technologie vaccinale proposée et ses mécanismes d’action comme par exemple s’il s’agit d’un virus atténué (vaccins traditionnel) ou s’il s’agit d’un vaccin à ADN recombiné ou ARN messagers ou bien ARN messagers auto-répliquant / auto-amplifiant. Dans les cas des ARN messagers (codage génétique) l’injecteur doit dès lors expliquer à la personne son mécanisme (prise de contrôle de la production cellulaire afin de produire une des protéines signature du virus) et la quantité d’ARN messager injectés ainsi que la quantité d’ARN messagers injectée par le produit.
Or, dès les premiers mois de la campagne de vaccination COVID-19, le nombre de déclarations d’effets indésirables enregistrés à la pharmacovigilance, était colossal par rapport aux vaccins classiques : en mai 2021, 37.000 déclarations dont 26% graves au bout de 5 mois : du jamais vu !!
PG : Quels sont les risques pour un injecteur dans l’impossibilité d’apporter la preuve que toutes les informations pertinentes ont été délivrées et que le consentement libre et éclairé a été obtenu ?
Maître Joseph : Le risque est que la personne insuffisamment informée puisse donc ester en justice contre son injecteur sur le fondement de la responsabilité délictuelle de l’article 1240 du code civil (ancien article 1382) pour, notamment, obtenir des dommages et intérêts au titre de :
Son préjudice moral de ne pas avoir été informé correctement avant l’injection et donc pour le non-respect de son consentement éclairé, qui a donc été vicié.
Ainsi, dans son arrêt du 3 juin 2010, publié au bulletin, (pourvoi n° 09-13.591) la première Chambre civile de la Cour de cassation précise :
« Dès lors, le non-respect du devoir d’information qui en découle, cause à celui auquel l’information était légalement due, un préjudice que le juge ne peut, sur le fondement de l’article 1382 du code civil, laisser sans réparation » ;
Son préjudice physique et de souffrance (pretium doloris) relatifs aux complications post-vaccinales qui ne seraient jamais advenues si l’injecteur lui avait correctement et explicitement communiqué toutes les informations indispensables avant qu’il ne donne son consentement libre et éclairé et se fasse injecter.
PG : Quels sont donc les recours civils possibles pour les personnes injectées par le « vaccin » COVID-19 ?
Maître Joseph : Le recours en responsabilité délictuelle, tel que je viens de vous l’expliquer dans les réponses précédentes avec la spécificité que la charge de la preuve est inversée, se traduira par le fait que toute personne lésée pourra légalement exiger de son injecteur la démonstration qu’elle a été correctement et suffisamment informée et que son consentement à la fois libre et éclairé a été recueilli de façon non viciée.
Il s’agit d’une action indemnitaire consistant à demander au Juge des dommages et intérêts pour le préjudice subi, en raison de la faute de l’injecteur liée au défaut d’information et au non-respect du consentement libre et éclairé qui constitue une faute civile à même d’engager la responsabilité pécuniaire de l’injecteur au sens de l’article 1240 du code civil (ancien 1382).
Je précise toutefois que cette action doit être menée rapidement car elle se prescrit par 10 ans, s’agissant d’un problème de responsabilité médicale (art. L1142-28 du Code de la Santé Publique)
PG :Quelles sont les obligations d’un injecteur concernant les vaccins obligatoires, notamment ceux des enfants ?
Maître Joseph : L’obligation vaccinale ne retire en rien les obligations déontologiques de l’injecteur et à ce titre, l’obligation d’information et de recueillir le consentement libre et éclairé :
Ainsi, il incombe à l’injecteur :
A) D’informer l’enfant et son tuteur légal de tous bénéfices et risques de l’injection du produit à injecter ainsi que de la singularité des technologies employées (virus inactivé, virus atténué, vaccins à protéine(s) recombinante(s), ARN messagers, ARN messagers auto-répliquants / auto-amplifiants etc.), tout comme leur mécanisme d’action, ainsi que le précise la Convention d’OVIEDO soumettant l’injecteur à l’obligation de délivrer « une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention » ;
B) D’obtenir de l’enfant et/ou de son tuteur légal un consentement libre et éclairé.
PG : Que se passe-il quand l’enfant et/ouson tuteur légal ne donne pas de consentement libre et éclairé et donc refuse le produit à injecter ?
Maître Joseph : Le refus porte sur le produit et non sur le principe de l’injection obligatoire. De même, un produit qui n’a pas fait l’objet d’essais cliniques ne peut en aucun cas servir de base à une vaccination obligatoire sinon l’Etat serait en contradiction avec les principes énoncés dans le Code de NUREMBERG. C’est une formalité nécessaire au regard des principes fondamentaux d’ordre constitutionnels.
Rappelons aussi que l’injecteur ne peut pas passer outre un refus de consentement que la personne peut retirer à tout moment (Convention d’Oviedo) sauf à se rendre coupable d’une atteinte à l’intégrité physique qui pourrait relever outre du contentieux disciplinaire de l’injecteur mais aussi de sa responsabilité civile ainsi que je l’ai évoqué précédemment.
En effet, si le produit proposé pour l’injection obligatoire, est notamment dépourvu d’essais cliniques légaux sur chaque vaccins et adjuvants mais aussi, sur « l’effet cocktail » de plusieurs vaccins et « l’effet cocktail » des adjuvants (nature et diversité des adjuvants et surtout interaction entre eux pouvant mener à des effets délétères graves) et/ou présente des effets secondaires graves, la non délivrance d’un consentement libre et éclairé sur le « produit » ne doit pas être considéré comme un refus de se soumettre à l’obligation vaccinalemais comme un refus de se soumettre à une atteinte à l’intégrité physiqueforcée et un excès de pouvoir de l’autorité publique qui doit impérativement relever du contrôle du Juge dans un état de droit.
Rappelons qu’en vertu de l’article 66 de la Constitution de 1958, l’autorité judiciaire est « gardienne de la liberté individuelle ».
Pierre Chaillot « On a vu une chute de natalité dans les pays qui ont massivement vacciné, on a une trace statistique hyper nette et hyper forte. Pile au moment où l’on vaccine les femmes enceintes on voit une surmortalité néonatale précoce » Source : X
Nous portons à votre connaissance les faits suivants : I – L’article 49 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018 et son décret d’application ont fortement modifié les articles du Code de la Santé Publique relatifs aux obligations vaccinales et leur modalité pour les enfants. Ces obligations vaccinales ont été élargies du DTP à 11 vaccins, soumettant l’entrée en collectivité à ces injections.
Or cet article 49 stipule au paragraphe V « Une évaluation de l’impact de l’élargissement des obligations vaccinales est réalisée par le Gouvernement chaque année à compter du dernier trimestre 2019. Elle est rendue publique. »
Cinq ans plus tard, malgré la demande de la part de la LNPLV, aucun document n’a été transmis. Ces évaluations existent-elles ? Pourquoi ne sont-elles pas communiquées ?
Comment dès lors examiner les impacts sanitaires, sociaux, sociétaux, environnementaux et financiers de ces nouvelles obligations ? Impossible de vérifier si c’était une bonne décision pour nos enfants.
II – Les 29 mars et 27 juillet 2023, la Haute autorité de santé (HAS) a publié deux actualisations des recommandations et obligations vaccinales des professionnels.
Dans la première, la HAS préconise que : – « La vaccination DTP soit fortement recommandée chez les étudiants et professionnels, sauf à Mayotte où elle devrait rester obligatoire… », soit la levée de l’obligation.
– « Pour l’hépatite B,(…) l’obligation d’immunisation concernant les étudiants soit maintenue à l’identique. »
– « La vaccination contre la Covid-19 soit fortement recommandée. » Cette obligation a été suspendue par le décret n° 2023-368 du 13 mai 2023.
Dans la seconde recommandation, la HAS préconise que : – les recommandations de vaccination contre la coqueluche, la grippe, l’hépatite A et la varicelle soient maintenues, – « Une obligation d’immunisation contre la rougeole soit mise en place pour les étudiants et professionnels pour lesquels cette vaccination est actuellement recommandée. » Ce vaccin n’existant pas en monovalent, cela serait de fait une obligation déguisée des valences rubéole et oreillons.
Tout comme le calendrier vaccinal, ces préconisations pourront évoluer chaque année pour suivre l’actualité épidémiologique des maladies, rendant difficile le contrôle des immunisations par les personnes habilitées à le faire (écoles, crèches, médecins, etc.). Bien trop souvent encore, ces dernières confondent vaccinations obligatoires et recommandés, ce qui complique les démarches de nos concitoyens pour avoir accès aux collectivités ou à un emploi.
III – La crise covidienne a révélé d’innombrables problèmes sur notre système de santé et les conséquences désastreuses des décisions politiques prises pour y faire face. Nous n’en retiendrons que deux. – L’obligation vaccinale contre le SRAS-CoV-2 des soignants, pompiers et autres professionnels de santé et leur suspension a privé de ressources des dizaines de milliers de personnes dont certaines furent réduites à la mendicité. Elle a aussi privé nos concitoyens de professionnels compétents pour gérer les flux des malades ou blessés, entraînant davantage la France dans une récession sanitaire. Tout cela pour un vaccin reconnu aujourd’hui comme peu efficace contre la transmission. Pire, des professionnels atteints de covid mais vaccinés ont continué à soigner des malades parce que réquisitionnés pour manque de personnel. À cela, s’ajoute la coercition du passe sanitaire puis vaccinal qui a obligé la population à s’inoculer un produit expérimental, souvent contre son gré. – Les thromboses, troubles de la fertilité et cardiaques (myocardites, péricardites…) sont les effets indésirables les plus documentés et les plus courants des vaccins covid. Outre les frais de soins qu’ils entraînent pour la collectivité, l’ONIAM (Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux, des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales) a commencé à indemniser les victimes des inoculations covid, aux frais du contribuable donc, puisque qu’il y a eu obligation vaccinale. De plus, les contrats avec les fabricants exonèrent ceux-ci de toute responsabilité.
IV – Par décision du 7 septembre 2023, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a classé « sur la liste I des substances vénéneuses, les médicaments à usage humain contenant tout ou parties des bactéries ou des virus suivants sous toutes leurs formes et quels que soient leur groupe, leur souche ou leur variant : • Bordetella pertussis ; • Haemophilus influenzae ; • Leptospira icterohaemorrhagiae ; • Neisseria meningitidis ; • Salmonella typhi ; • Streptococcus pneumoniae ; • Virus de l’encéphalite japonaise ; • Virus de la fièvre jaune ; • Virus de l’hépatite B ; • Virus des oreillons ; • Virus de la poliomyélite ; • Virus de la rougeole ; • Virus de la rubéole ; • Virus de la vaccine »
Neuf de ces microbes correspondent aux obligations vaccinales pédiatriques (Bordetella pertussis, Haemophilus influenzae, Neisseria meningitidis, Streptococcus pneumoniae, Virus de l’hépatite B, Virus des oreillons, Virus de la poliomyélite, Virus de la rougeole,Virus de la rubéole), deux aux obligations des professionnels de santé et assimilés (Virus de l’hépatite B, Virus de la poliomyélite) et le Virus de la fièvre jaune correspond à l’obligation vaccinale des habitants ou voyageurs pour la Guyane.
En résumé, dix des vaccins obligatoires en France viennent d’être classés sur la liste I des substances vénéneuses définies par l’article L.5132-6 du code de la santé publique. Or, ce dernier indique que : « Les listes I et II mentionnées au 4° de l’article L. 5132-1 comprennent : 2° Les médicaments à usage humain susceptibles de présenter directement ou indirectement un danger pour la santé ; 3° Les médicaments à usage humain contenant des substances dont l’activité ou les effets indésirables nécessitent une surveillance médicale ; 5° Tout autre produit ou substance présentant pour la santé des risques directs ou indirects.
La liste I comprend les substances ou préparations, et les médicaments à usage humain et produits présentant les risques les plus élevés pour la santé »
Il est inconcevable d’obliger les personnes, à plus forte raison des bébés, à recevoir un vaccin qui présente autant de risques, sans faire une réelle étude du bénéfice/risque individuel. L’obligation vaccinale devient donc une aberration au vu de ces derniers éléments.
Pour toutes ces raisons, nous réclamons l’abrogation de toutes les obligations vaccinales, pour toute la population, civils ou militaires, sur tous les territoires français.
Ligue Nationale Pour le Liberté des Vaccinations Info Vaccins France
Nous avions interviewé Mélanie Maupas, atteinte par la maladie de Charcot depuis sa seconde injection Pfizer, pendant les Rencontres citoyennes autour des effets indésirables du Covid long et des vaccins organisées à Vierzon en février 2023. Nous découvrions alors AAVIC TEAM, l’association dont elle est la vice-présidente aux côtés de son papa Alain, avec qui nous nous sommes entretenus. Il nous a annoncé qu’après plusieurs années, Mélanie a enfin été reconnue comme victime de l’injection anti-Covid par la pharmacovigilance française. Mais le combat n’est pas fini…
◆ De l’errance médicale et du déni
En 2022, Mélanie Maupas partageait son effroyable expérience sur la page Facebook de l’association Verity France après sa deuxième injection anti-Covid. Il a fallu un an et demi d’errance médicale avant que le diagnostic ne tombe : “Ce lundi 7novembre 2022, le diagnostic tombe. On m’annonce que j’ai la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou plus connue, la maladie de Charcot. L’annonce a été brutale pour moi, ma famille et mes amis… À ce jour, il n’y a que ma jambe droite qui n’est pas touchée… La neurologue me dit que cette maladie est tombée du ciel, ce n’est pas l’injection, mais il faut quand même que je déclare mes symptômes à la pharmacovigilance… Logique?”
◆ Un chemin courageux parsemé d’épreuves
Le parcours d’un malade qui souhaite informer l’État français des effets secondaires potentiellement liés à un médicament peut être littéralement semé d’embûches administratives et juridiques, en plus des symptômes de la maladie. “Au départ, Mélanie a fait elle-même une déclaration auprès de la pharmacovigilance. Elle n’a eu aucun retour. C’est grâce à l’association Solidekla qui aide les malades à monter les dossiers. Un médecin a envoyé le dossier de Mélanie à la pharmacovigilance, avec une vingtaine de rapports de médecins, des scanners, IRM, analyses de sang, etc.”, nous explique Alain Maupas.
◆ Un lien de causalité difficilement envisageable
Rares sont les soignants qui osent écrire ce qu’ils pensent tout bas. Il faut dire que les représailles en France contre ceux qui ne suivent pas la doxa peuvent être féroces. Alain poursuit : “Hormis celui de la pharmacovigilance, aucun médecin ne s’est aventuré à rédiger un rapport faisant officiellement un lien de causalité entre le vaccin et l’état de Mélanie. Ils n’ont pu qu’écrire que ‘suite à l’injection, Mélanie est tombée malade’, mais pas que ‘Mélanie est tombée malade à cause du vaccin’.” “La pharmacovigilance a donc gravi une marche et enfin reconnu l’évidence. Cela nous motive à continuer, et voulons que la France suive le même chemin que l’Allemagne, l’Angleterre ou la Belgique en reconnaissant davantage les erreurs commises pendant la crise sanitaire et les effets secondaires des injections anti-Covid, tout comme ceux du Covid lui-même.”
⇒ Voir notre entretien avec Mélanie Maupas en février 2023 à Vierzon :
◆ Une victoire mais encore beaucoup à faire
Deux ans plus tard, après un parcours juridique éprouvant, “Mélanie a enfin été reconnue comme victime du vaccin Comirnaty de Pfizer par la pharmacovigilance il y a un mois et demi environ”, comme nous le rapporte son papa Alain Maupas. “C’est la deuxième personne de notre association à l’avoir été, mais c’est encore trop peu. Dans l’association, nous comptons 22 personnes touchées par la maladie de Charcot encore en vie. Deux sont déjà décédées et celles qui vont de plus en plus mal aujourd’hui sont toutes âgées entre 21 et 50ans. Dans le service neurologique d’un grand hôpital, ils m’ont confié sans pour autant pouvoir me l’attester par écrit par peur de poursuites, que le nombre de cas de maladies de Charcot auxquels ils font face a augmenté de plus de 20% entre 2021 et 2022, et de 22% entre 2022 et 2023. Aujourd’hui, ils font état de plus 800 patients atteints par cette maladie en deux ans, du jamais vu dans ce service.”
◆ Une procédure en cours
Lorsque nous demandons le document officiel de pharmacovigilance à Alain, il nous répond ne pas pouvoir nous le fournir à la demande de son avocat, Régis Senet, puisqu’une procédure juridique est en cours. “Nous allons porter plainte contre X au civil et ce document de pharmacovigilance sera ajouté au dossier. Il ne peut être pour l’instant divulgué. Le dossier de Mélanie Maupas sera envoyé sous peu avec une vingtaine d’autres dossiers e au procureur.”
“Après avoir été reçus au Parlement, nous devions être reçus par le ministre de la Santé, notamment grâce au soutien du député Yannick Monnet, mais il y a eu la dissolution. Puis, alors que nous attendions la réponse de la nouvelle ministre, le Premier ministre, Michel Barnier, est parti. De quoi retarder à nouveau l’échéance. À croire qu’ils le font exprès, qu’ils sentent le vent tourner et qu’ils ne veulent pas faire face à leurs responsabilités.”.
Mélanie Maupas pendant l’été 2023
◆ Un état de santé de plus en plus fragile
Quand nous l’avions rencontrée en février 2023, Mélanie arrivait encore à se déplacer elle-même en fauteuil roulant. Aujourd’hui, même si elle garde son sourire, elle passe la plupart de son temps alitée et ne supporte pas la position assise très longtemps. Alain nous confie, ému : “Son état se détériore. Nous venons d’avoir rendez-vous pour son protocole de fin de vie… Elle ne peut plus rien faire seule, comme je le lui ai dit récemment, elle est redevenue mon bébé.”
Mélanie a pourtant essayé une multitude de remèdes, qu’ils soient allopathiques ou non, testés et approuvés ou en cours d’étude. “Mélanie a notamment essayé le traitement expérimental Himalaya qui était voué à faire stagner la maladie ou mieux. Nous avons eu un gros espoir, car cela fonctionnait bien pour notre fille qui faisait partie du panel de 387 patients. Mais comme il y a eu parmi eux des cas d’effets secondaires, et alors que Mélanie elle n’en a eu aucun et souhaitait le poursuivre, ils ont ‘selon la loi’ arrêté le protocole d’essai! Quand il s’agit d’un essai vaccinal sur la population, on ne prend pas autant de précautions!” s’indigne Alain. “II y aura bientôt un nouveau traitement à partir des cellules du corps du patient qui va être expérimenté à Lille, mais comme nous habitons dans le Sud, Mélanie ne pourra le tester alors qu’il semble très prometteur.”
◆ Des victimes esseulées à aider
“Nous sommes là pour notre fille, elle est notre priorité. Nous avons investi sans regret nos économies pour que la maison lui soit accessible et pour tous ses frais de santé et juridiques. Certaines victimes, en revanche, ne sont pas entourées et se retrouvent seules dans une grande souffrance physique et psychologique. Avec l’association, nous faisons du mieux que nous pouvons pour les aider, mais comme l’association ne pourra défiscaliser les dons que dans un an, beaucoup de gens qui aimeraient donner ne donnent pas alors qu’il y a un grand besoin.”
Comme le lui ont expliqué certains médecins, même si cette maladie est très souvent incurable, il arrive qu’il se produise des guérisons soudaines, inexpliquées et définitives. Nous ne pouvons que souhaiter à Mélanie que cela lui arrive, elle qui se bat du mieux qu’elle peut contre la maladie, les autorités qui ne veulent pas reconnaître leurs erreurs et pour les autres victimes comme elle…
Voilà un article qui ne manquera pas d’attiser l’incrédulité agressive de certains car bien sûr que oui, certains dispositifs générateurs d’ondes admettent bien de larges capacités thérapeutiques, possiblement bien supérieures au potentiel accessible à la simple chimie du médicament conventionnel. Depuis quand et pour quoi faire, c’est Sylvie Henry-Réant, membre du conseil scientifique AIMSIB, qui a répondu pour nous aux questions posées par Esther Einrich : oublier Flexner et le massacre culturel qu’il a réussi à infuser dans nos esprits ? Bonne lecture.
Esther Einrich : Bonjour Sylvie, tu es formatrice en physique appliquée à la biologie au sein d’Aton Atl depuis 2015. Ton expertise va nous aider à mieux comprendre les possibilités thérapeutiques offertes par l’emploi des ondes sur le corps humain. Nous avons tous entendu parler des machines utilisées en Russie, en Allemagne, en Pologne, en Bulgarie, et dans bien d’autres pays, les praticiens s’en servent depuis longtemps pour soigner l’inflammation, l’arthrose, gérer les suites postopératoires, pallier la douleur, résorber les fractures, renforcer le système immunitaire, réduire les tumeurs, estomper la dépression… Tu veux bien nous faire un bref rappel historique des premières découvertes scientifiques en la matière ?
Sylvie Henry-Réant : L’utilisation d’ondes sur le corps humain date de la nuit des temps. Des hiéroglyphes en Égypte montrent que la baguette de sourcier était utilisée. Au temps des Lumières, Messmer envoyait des ondes et du magnétisme sur les personnes pour les soigner. La vibration sonore a également été utilisée pour soigner les populations en Afrique (tam-tams et tambours, vagues de la mer…). Beaucoup plus tard, c’est Lakhovsky qui a été le précurseur en France. Il pensait que « les maladies ont pour cause un déséquilibre oscillatoire cellulaire provoqué par des causes extérieures ou intérieures ». En conséquence, il suffisait de rééquilibrer les champs entre nos cellules et les ondes cosmiques pour soigner les maladies. Pour Lakhovsky, il n’a jamais été question de détruire les cellules malades, mais de les aider à retrouver leurs oscillations habituelles, leurs propres fréquences de vibration.
Lakhovsky, entre 1930 et 1940, a guéri des cancers en phase terminale avec un bon taux de réussite. L’appareil demande de la prudence à l’utilisation, car il émet des ondes sous un très haut voltage (basse puissance) et les antennes qui ne doivent pas être touchées, sont très accessibles. Il existe actuellement en France un appareil fonctionnel en banlieue parisienne. Suite à Lakhovsky, il y a eu une quantité impressionnante de techniciens, ingénieurs, thérapeutes qui ont créé des machines de rééquilibrage, basées sur différents principes théoriques. On peut en citer quelques-unes. Celle du Dr Voll fait de l’électro-acupuncture. La machine Mora est basée sur un principe de radiesthésie où un système électronique est censé enregistrer l’émanation ondulatoire de la personne, en inverser la phase pour la lui renvoyer afin d’annuler le système dysfonctionnel. Il y a également des machines à ondes pulsées (0 – 100 Hz) pour guérir des problèmes essentiellement articulaires ou inflammatoires. Un certain nombre de médecins ont écrit des ouvrages sur le sujet pour vanter leurs réussites mais rares sont ceux qui, comme le Dr Georges Dussert, décrivent suffisamment les caractéristiques des ondes utilisées pour que ce soit exploitable.
L’histoire a joué son rôle dans le développement de la médecine par les ondes. En Russie, sous un régime communiste dès 1917, il y avait peu de moyens financiers au service du peuple, et une industrie chimique misérable : beaucoup de travaux en santé se sont portés sur l’emploi des ondes, remède idéal, bon marché. Des appareils russes ont ensuite commencé à être commercialisés en Europe. Ils ont aussi été copiés par des chercheurs européens qui ont proposé un certain nombre de modèles.
En Europe, à la fin de la guerre de 1914, la situation est autre : il faut recycler les outils de production des substances chimiques toxiques utilisés pendant la guerre. Les entreprises de la chimie cherchent à maintenir leur chiffre d’affaires, ce qu’elles font en commercialisant des médicaments et des produits phytosanitaires. Les principaux actionnaires de ces industries et les banques associées font des pieds et des mains pour supprimer les médecines alternatives non chimiques en Europe. Après des années de combats, ils ont réussi à faire en sorte que la phytothérapie ne soit plus reconnue en France, et finalement, en 2018, à éjecter l’homéopathie. Toutes les techniques alternatives à base d’ondes développées en 1914 et 1940 ont été considérées comme du charlatanisme. Aux États-Unis, le rapport Flexner, établi en 1910 pour l’institut Carnegie, a eu pour conséquence d’ostraciser toutes les techniques médicales non conformes aux standards du modèle européen de médecine.
Malgré cela, en Europe les appareils de « soins ondulatoires » commencent à se développer dans les années 1960 et il y a une forte progression depuis les années 2000.
Depuis Lakhovsky beaucoup pensent donc que des étoiles aux cellules du corps humain, l’univers est régi par les vibrations et leur flux. Sonothérapie, thérapies utilisant les ondes électromagnétiques, médecine informationnelle, bio-résonance, thérapies utilisant les ondes lumineuses sont quelques exemples de pratiques qui agissent sur les vibrations et leur flux, mais elles ne fonctionnent pas toutes de la même façon, peux-tu nous aider à y voir plus clair ?
Pour essayer de s’y retrouver au sein de toutes ces ondes thérapeutiques, il faut revenir aux fondamentaux : – Qu’est-ce qu’une onde ? – Quelles sont ses principales caractéristiques ?
Une onde est quelque chose qui oscille avec une certaine amplitude. Si ce qui oscille est une pression, ce sont des ondes de type sonore (ou un tremblement de terre !) ; si ce qui oscille est un champ électrique ou magnétique, ce sont les ondes électromagnétiques. Ce sont les deux principales ondes utilisées en thérapie. Les ondes électromagnétiques (EM) sont extrêmement nombreuses et se caractérisent par leurs fréquences qui peuvent aller de quelques fractions de Hertz jusqu’à des milliards, voire des milliers de milliards de Hertz. Voici un spectre des différentes ondes électromagnétiques qui peuvent exister afin de pouvoir s’y retrouver.
Selon leur utilisation, les ondes EM se répartissent dans les domaines suivants : • 20 à 20 000 Hz (spectre des ondes sonores audibles) • courant électrique et communication sur ses lignes : 50 à 33 000 Hz • de 20 000 Hz à 1 MHz (spectre des ondes ultrasonores ) • ondes radios entre 200 kHz jusqu’à 200/300 MHz • ondes intermédiaires (micro-ondes) de l’ordre du GHz, utilisées comme porteuses pour le Wi-fi, les radars, les fours à micro-ondes. Elles ont la propriété de chauffer tellement qu’elles permettent la cuisson. • infrarouges : 1012 Hz à 1013,5 Hz • lumière visible autour de 1013,5-14 Hz • ultra-violets : 1015 Hz • rayons X, puis les ondes cosmiques
Nous comprenons que les ondes interagissent sur le vivant de façon différente selon leurs caractéristiques, elles peuvent ainsi affaiblir, tuer, guérir ou régénérer selon le cas. Comment agissent-elles sur le vivant ?
• Les ondes de fréquences très élevées, UV haute fréquence, rayon X, gamma, et cosmiques vont avoir des effets délétères sur la structure physiologique, et sont toujours toxiques. • certains ultraviolets sont utilisés par la peau pour fabriquer de la vitamine D. Leur intensité et la durée d’exposition doivent être limitées sous peine de causer des brûlures. • Les ondes visibles sont plutôt bénéfiques à condition que leur densité ne soit pas trop élevée sinon on peut avoir un effet énergétique trop important. • Les ondes infrarouges sont bénéfiques. Ce sont celles avec lesquelles on se chauffe, et évidemment quand c’est trop, c’est trop. Et si on met les mains dans le feu, on se brûle. • Les ondes GHz sont utilisées comme porteuses pour la téléphonie, le wifi, le Bluetooth, la 5G. Qui utilise un téléphone, ou est proche d’une antenne, est irradié d’ondes avec des fréquences variables allant du MHz au GHz. Les ondes GHz interagissent avec l’eau du corps. Elles engendrent une rotation des molécules d’eau. C’est l’eau qui bout dans les fours à micro-ondes. L’exposition à une densité trop importante de ces ondes provoque la cuisson. Si la puissance n’est pas trop forte, il y aura une perturbation cellulaire, mais l’être impacté y survivra. • Les ondes d’une fréquence plus faible de l’ordre du MHz, peuvent interagir avec certains processus vitaux, notamment avec les pulses générés par les courants ioniques du corps au travers des canaux protéiques dans les membranes. Cette interaction est fonction de la façon dont la fréquence des ondes EM externes est calée avec la fréquence des pulses ioniques internes et la façon dont la protection naturelle du corps intervient. • Les ondes à plus basses fréquences, dans le domaine du son, peuvent interagir directement avec les processus vivants. Elles sont utilisées à des fins thérapeutiques, notamment dans les cabinets de kinésithérapie pour le renforcement osseux.
Les protéodies ou musique des protéines est un concept créé par le physicien français Joël Sternheimer dans les années 1960-1980. Il a découvert que les ondes de matières associées aux acides aminés qui composent une protéine, peuvent être transposées dans la gamme tempérée de Bach. Les notes ainsi obtenues, jouées selon l’ordre où elles se présentent dans la protéine, correspondent à une musique, la protéodie. Certaines se retrouvent dans des œuvres classiques. Par exemple, dans le Printemps de Vivaldi, on retrouve une grande partie de la musique associée à l’actine, particulièrement active au printemps. L’émission d’une protéodie active ou inhibe le fonctionnement de la protéine qui y est associée. La protéodie est quelque chose de très très puissant, pouvant être bénéfique mais facilement très toxique. ◦ Certaines plantes peuvent émettre de façon bénéfique, des parties de protéodies : voir les travaux de Jean Thoby.
• Les ondes très basses fréquences, en dessous de 1 000 Hz, sont associées au courant électrique et de ses harmoniques, à certains protocoles de courants porteurs en lignes (CPL). Le courant électrique du réseau domestique, c’est 50 Hz. Mais sur nos réseaux électriques se trouvent toutes sortes de fréquences allant jusqu’à 5 000 Hz, voire des pulses aux environs de 32 000 Hz. Ces fréquences parasites sont induites par les transformateurs, et par le CPL. Le CPL est un protocole de télécommunication utilisé pour faire passer internet sur le réseau électrique ou généré par le Linky et la domotique. Le CPL n’est pas arrêté par les compteurs électriques. Ces fréquences interfèrent aussi avec notre fonctionnement biologique. Certaines sont même utilisées en thérapie. La différence entre les fréquences parasites sur nos lignes électriques et la thérapie est le mode opératoire. Les fréquences parasites sont diffusées de façon arbitraire et en quasi continu. En thérapie, la fréquence et sa modulation sont choisies avec soin et appliquées sur une durée limitée. Une dose trop élevée est néfaste.
Si dans mes cours j’explique pourquoi et comment les différents types d’ondes interagissent avec le vivant et l’humain en particulier, les thérapeutes n’ont pas attendu de le savoir pour les utiliser. Comme pour les plantes médicinales, ils ont utilisé leur intuition et la méthode essai – réussite – erreur pour établir leurs protocoles.
Effectivement il y a plusieurs appareils de soin disponibles sur le marché, sur quels critères se baser pour faire le bon choix ?
Il existe actuellement sur le marché pléthore de machines qui ont toutes des spécificités différentes voire des machines qui ont toutes les spécificités possibles pour être sûr de couvrir tous les besoins et choix des clients.
1 – Des machines utilisent les champs magnétiques, fixes ou pulsés, les micro-courants, continus ou pulsés ou les ondes électromagnétiques mono-fréquence ou pulsées. 2 – D’autres machines mettent en avant « les ondes scalaires », mot mystérieux qui en « jette ». Le mot vient de traductions erronées du russe. Il faudrait parler d’ondes de torsion, qui est un type d’onde différent des ondes électromagnétiques usuelles, liées à une ou des configurations particulières d’états de spins électroniques.
Autant le fonctionnement des machines de type 1 est mis en évidence facilement, autant le fonctionnement des machines de type 2 est compliqué à constater. Actuellement, à en croire les constructeurs, chaque appareil peut fonctionner sur tous les modes existants ou presque. Toutefois, il existe encore des machines spécifiques, plus adaptées à un mode de fonctionnement qu’un autre. Pour bien utiliser tous ces appareils, il me semble nécessaire d’avoir une bonne connaissance de la physiologie et de connaître l’effet des différentes ondes sur le corps, et ce qu’on peut en attendre. Le vrai problème est de trouver les bonnes références ! Il existe des bases de données d’origines diverses, où des fréquences thérapeutiques sont données. Toutefois il y a peu d’études où tous les paramètres des soins sont donnés, et avec tous les résultats, bons et moins bons. La quasi-totalité des utilisateurs (soignants) qui publient ne donnent leurs observations que sur les cas positifs et on n’a aucune idée des taux d’échec. Il reste difficile d’évaluer a priori les chances de succès d’un soin.
Et si on parlait des appareils qui fonctionnent de façon très ciblée, en mesurant le degré de cohérence / décohérence des fonctions vitales d’un patient ?
Lakhovsky disait que les cellules avaient une fréquence propre sur laquelle elles oscillaient et que, quand elles étaient décalées de cette fréquence, leur fonctionnement variait de légèrement à totalement défectueux. Dire que les cellules ont une fréquence propre signifie que tous les organites à l’intérieur de la cellule sont en cohérence de phase avec cette fréquence. Tous les systèmes intérieurs de la cellule fonctionnent en harmonie, en phase. C’est comme dans un orchestre, quand il y a un chef d’orchestre qui donne le rythme, et que tous les musiciens sont en cohérence de phase pour générer une harmonie. C’est un peu ce qui va se passer dans la cellule. Dans le cas contraire, la dysharmonie engendre un dysfonctionnement.
Comment recadrer des cellules en décohérence ? L’hypothèse est : lorsqu’une cellule n’est plus complètement en cohérence de phase, il va y avoir des organites dans la cellule qui ne vont pas tout à fait être en phase, sans être toutefois trop décalés sinon cela ne fonctionnerait plus du tout. On envoie une onde proche de la cohérence de phase de la cellule en question, ou un pulse qui est équivalent à plusieurs ondes, de phase et de fréquence très proches. Les cellules vont capter la fréquence qui leur est propre (comme une antenne) et vont se ré-harmoniser sur cette fréquence. De façon pratique, l’appareil envoie un pulse, puis est censé recapturer ce qui est réfléchi ou réémis par le corps. L’appareil considère que la fréquence absorbée est la fréquence de cohérence qu’il indiquera au thérapeute. Le soin consistera à envoyer cette fréquence qui a été mesurée sur la personne, ou à envoyer un pulse qui contient les fréquences possiblement valables pour ré-harmoniser le corps. Ce principe est théorique et hypothétique. La capacité des appareils à le faire demande une vérification.
Une dernière question importante : comment s’assurer qu’il n’y a pas d’effets délétères toxiques avec les techniques utilisées ?
En vérifiant les effets secondaires liés à la technique, si la personne se sent mal ou bien. C’est comme pour un médicament chimique, ce n’est pas parce qu’il s’agit d’ondes que c’est inoffensif. La toxicité des ondes provient d’un excès, ou de l’envoi de fréquences non adaptées qui entrave un processus biologique. Actuellement beaucoup de personnes deviennent électro-sensibles à cause du développement fabuleux de la téléphonie.
Dans le domaine des ondes radios et des micro-ondes en 1940, le bruit ambiant était d’un certain niveau. Actuellement le niveau est de l’ordre de 1021 fois plus élevé, le tout en 80 ans.
Il était seulement de 1018 plus élevé en 2016 et on a pris un facteur 1 000 à cause de la 4G et de la 5G. Où va-t-on s’arrêter ? Il est clair que nous nous adaptons mais avec des défaillances biologiques qu’on attribue à divers facteurs, en particulier au vieillissement de la population. Toutefois, on s’aperçoit que les jeunes (0-40 ans) actuellement sont bien plus malades que leurs parents, grands-parents et arrières grands-parents ne l’étaient au même âge.
Une interview réalisée par Ronald Guillaumont (rédacteur de Profession-Gendarme) et par Jean-Luc DUHAMEL (Juriste).
PG : Que pensez-vous du recours à la nouvelle technologie d’ARN messager répliquants auto-amplifiants afin d’immuniser les canards et les poules contre la grippe aviaire ?
J-P J : Il me semble important que nos représentants se saisissent du sujet en toute urgence au regard des enjeux de santé publique et environnementaux en interrogeant le premier ministre ou le ministre de l’agriculture, lors des questions parlementaires. En effet, le 27 août 2024, un « vaccin » à ARN messager auto répliquant (donc peut-être susceptible de transmettre la maladie, comme c’est la cas chez les humains pour le vaccin Covid), a fait l’objet d’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU). Cette ATU concerne essentiellement les poules, le canard mulard, le canard de barbarie et le canard Pékin.
Ceci fait suite à un projet intitulé PREVENT (PRomoting and Enabling Vaccination Efficiently, Now and Tomorrow), un ambitieux projet qui vise à aider 150.000 petits producteurs de volailles en Afrique à devenir « plus productifs, plus efficaces et ainsi développer leurs entreprises« . Une initiative portée par Ceva Santé Animale (1er laboratoire vétérinaire français et 5e au monde) et GALVmed (organisation à but non lucratif) et soutenue par la fondation Bill & Melinda Gates.
Nombreux sont ceux qui se sont interrogés sur la question suivante : Et si l’ARN passait dans la chaine alimentaire, quel temps de cuisson serait-il nécessaire pour la détruire ? Pour répondre à cette question une méthode d’évolution in vitro a été utilisée, la méthode « SELEX » (Systematic Evolution of Ligands by Exponential enrichement), grâce à laquelle il a été constaté que les molécules d’ARN résistaient à 80° pendant 65 heures. Certes, on peut supposer qu’à 180° (température de cuisson d’une pizza) ce temps serait réduit à 24 heures.
Au moins, le côté positif est que l’on est sûr que le canard sera bien cuit…
Les questions qui se posent sont donc multiples et il est important de les poser de la façon suivante :
QUESTIONS PARLEMENTAIRES A POSER AU PROCHAIN PREMIER MINISTRE EN RAISON DE SON CARACTÈRE INTERMINISTERIEL :
L’ANSES a récemment délivré une ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) au laboratoire CEVA Santé Animale pour son produit génique à ARN messager répliquant auto-amplifiants (CEVA RESPONS AI H5) censé être destiné à immuniser les canards et les poules contre la grippe (influenza) aviaire (ATU 90053).
Il est indiqué dans cet ATU que cette substance génique contient dans ses excipient(s) une quantité très importante de Squalène (max 375 micro-grammes pour 20 micro litres de substance génique).
Or, lors de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 DE 2009, le squalène a été mis en cause, car le produit utilisé à l’époque qui en contenait, a entraîné des centaines de cas de narcolepsie, et d’autres pathologies graves, ce qui a amené l’arrêt de la campagne de vaccination. L’inquiétude n’est donc pas théorique.
Le Squalène possède une résistance à la chaleur extrêmement élevée. Ce fait constitue une question préoccupante concernant la résistance des ARN messager répliquants auto-amplifiants à la cuisson et la possible contamination de la chaine alimentaire française et de l’environnement.
D’autres questions se posent concernant les autres excipients notamment les lipides cationiques mais aussi concernant la composition du diluant.
Questions 1:
Compte tenu du nombre colossal de déclarations d’effets indésirables à la pharmacovigilance, concernant la technologie ARN messagers, notamment lors de la vaccination contre le Covid 19, (près de 200.000, dont 50.000 graves, soit 1.200 fois plus de déclarations que pour le vaccin classique contre la grippe), alors que les gouvernements précédents ont scandaleusement nié cet état de fait, déclenchant l’indignation de centaines de médecins qui avaient, comme tout citoyen, accès aux chiffres officiels, pouvez vous nous confirmer que la PROGRAMMATION GÉNÉTIQUE des ARN messagers fournis par le laboratoire CEVA Santé Animale a été contrôlée par une autorité indépendante et dans l’affirmative , où peut-on trouver les résultats ?
Question 2 :
Pouvez vous nous confirmer que la composition du diluant fourni par le laboratoire CEVA Santé Animale ou autre fournisseur a été analysée / contrôlée par une autorité indépendante et, dans l’affirmative, laquelle, et où peut-on trouver les résultats ?
Question 3:
Afin d’écarter toute question de risque de contamination environnementale et alimentaire à travers l’ingestion d’ARN messager répliquants auto-amplifiants qui pourraient éventuellement se répliquer dans l’organisme du consommateur et causer ainsi une grave crise environnementale et de santé publique à l’avenir, Pouvez vous nous confirmer qu’un contrôle minutieux et systématique sur la présence résiduelle desdits ARN messagers répliquants auto-amplifiants est réalisé après abattage?
Question 4:
Pouvez vous nous confirmer que la délivrance de cette ATU répond notamment aux exigences prescrites par l’article 5 de la Charte de l’environnement de valeur constitutionnelle ainsi qu’à l’article 13 de la Convention d’Oviedo, de valeur supra-législative, portant sur le « but d’introduire une modification du génome de la descendance » ?
Question 5 :
Pouvez vous nous confirmer que des essais cliniques ont été effectués, et, dans l’affirmative , où peut-on trouver les résultats ?
Question 6 :
Au regard de l’article 7 de la Charte de l’environnement et de l’article 15 de la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, toutes deux de valeur constitutionnelle, pourquoi n’y a-t-il eu aucune transparence, ni aucune concertation sur cette nouvelle technologie utilisée sur les animaux ?
Question 7 :
Qui contrôlera le codage génétique des ARN messagers des animaux « vaccinés » au sein des pays membres du Mercosur ?
Question 8 :
Compte tenu des graves interrogations que suscite cette mesure, notamment concernant le risque de violation des art 5 et 7 de la Charte de l’environnement, et de l’art. 13 de la Convention d’Oviedo, dans le cas où les réponses aux questions précédentes seraient négatives, ne serait-il pas prudent, en vertu du principe de précaution, de décider d’un moratoire concernant cette vaccination, jusqu’à ce que toutes les réponses aient été apportées à ces questions?
La question est d’autant plus urgente que le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a récemment recommandé l’autorisation d’un nouveau vaccin COVID-19 à ARNm auto-amplificateur appelé Kostaive. Ce vaccin, développé par Arcturus Therapeutics Europe B.V., utilise la technologie de l’ARNm auto-amplificateur pour produire une réponse immunitaire plus forte. La recommandation du CHMP intervient malgré certaines préoccupations en matière de sécurité, mais ils estiment que les avantages l’emportent sur les risques. (Ne joue-ton pas à la roulette russe ?)
Je rappelle que :
–L’article 15 de la Déclaration Des Droits de l’Homme et du Citoyen dispose :
« La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. »
– L’article 5 de la Charte de l’Environnement dispose que :
« Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertaine en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution et dans leurs domaines d’attributions, à la mise en oeuvre de procédures d’évaluation des risques et à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage. »
– L’article 13 de la Convention d’OVIEDO stipule :
Interventions sur le génome humain
« Une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise quepour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a paspour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. »
– L’article 7 de la Charte de l’Environnement dispose que :
« Toute personne a le droit, dans les conditions et les limites définies par la loi, d’accéder aux informations relatives à l’environnement détenues par les autorités publiques et de participer à l’élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l’environnement. »
Je rajouterai notamment les observations du Dr. Jean-Marc SABATIER, éminent spécialiste de ces questions, qui constate que les injections d’ARN messager, appelées faussement « VACCINS », ne sont pas des virus atténués afin de permettre au système immunitaire de reconnaitre le vrai virus en cas d’infection mais un CODAGE GÉNÉTIQUE qui pénètre les cellules et prend le contrôle de leur production, un peu comme un piratage informatique.
L’ARN messager injecté est une microscopique « bandelette biologique » sur laquelle il y a des cases (nucléotides). Chaque case contient une des lettres suivantes A, U, G, C. Les « bandelettes biologiques » (ARN messagers) injectées lors du COVID-19 contenaient environ 4300 nucléotides, soit 4300 lettres.
Comme en informatique, la composition du codage (A, G, A, C, U, U etc pour les 4300 cases ou C, U, U, A, G, A, etc ) détermine la ou les protéines que la cellule doit alors produire. La protéine qui devrait être produite est une des protéines fixées sur l’enveloppe du virus permettant ainsi au système immunitaire de reconnaître ce virus en cas d’infection.
A, G, A, C, U, U etc (environ 4300 lettres) vont produire la protéine X
C, U, U, A, G, A etc (environ 4300 lettres) vont produire la protéine Y
Ces 4300 lettres de la « bandelette biologique » que le ribosome (tête de lecture) de la cellule décode) forment le message de l’ARNm.
Ces ARN messagers sont transportés par le sang et pénètrent notamment dans les cellules des organes traversés (cœur, cerveau, reins, poumons, foie, organes reproducteurs etc) et prennent le contrôle de la production de protéine à l’intérieur de chaque cellule.
Pour le COVID-19, les quantités « astronomiques » d’ARN messagers injectés étaient approximativement de 14 000 milliards par injection pour le Pfizer-BioNtech et 47 000 milliards par injection pour le Moderna, causant les effets secondaires graves qu’on connait aujourd’hui.
De surcroît, une étude du 6 décembre 2023 parue dans la revue NATURE a démontré que le codage génétique des « vaccins » COVID-19 a été manipulé (neutralisation du « U », décalant ainsi toute la chaîne des 4300 lettres définissant la protéine à produire) et produisait donc une ou plusieurs autres protéines que la SPIKE qui constitue la signature du VIRUS du COVID-19, le SARS-Cov-2. Nous ne savons toujours pas aujourd’hui pourquoi les fabricants ont voulu produire une ou plusieurs autres protéines que la SPIKE avec cette manipulation du codage génétique.
Quelles étaient la ou les protéines fantômes produites ?
Quel était le but des fabricants de ces injections ?
Quels sont leurs effets délétères ou mortels et est-ce que ces manipulations génétiques des ARN messagers concernaient tous les « VACCINS » ?
Nous ne savons toujours pas aujourd’hui pourquoi les autorités de santé n’ont pas fait contrôler le codage génétique de ces injections avant de décider de faire injecter les français.
Cette technologie a aujourd’hui évolué. D’ARN messager simple, ils sont passés à la nouvelle technologie des ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS.
Sommairement, un ARN messager AUTO-RÉPLIQUANT AUTO-AMPLIFIANT prenant le contrôle de la production de chacune de nos cellules est désormais capable de se répliquer et de se dupliquer tout seul !
Combien d’ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS circuleront alors dans notre sang au bout d’une semaine à partir de cet ARN messager de départ ? 100, 1000, 1 000 000, plus ? Aucune information sur ce sujet ne nous est donnée de la part des autorités de santé. Aucune transparence n’est faite sur cette question cruciale, notamment au regard de ses conséquences potentielles sur la santé, la contagiosité et l’environnement.
Un autre point inquiétant vient de ce que ces ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS contiennent de deux à cinq fois plus de cases (nucléotides, donc de lettres), entre 8600 et 21500 cases (c’est comme quand on augmente la taille du disque dur d’un ordinateur).
Cette augmentation de capacité de codage donne la possibilité aux fabricants de ces injections de faire produire par les cellules humaines ou animales plusieurs types de protéines par ARN messager (qui va se répliquer indéfiniment ?).
Sans aborder les effets secondaires potentiellement délétères voire mortels, par effets directs ou par contamination par la nourriture ou l’ingestion ou encore l’inhalation de ces nouveaux ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS, aucun contrôle n’est en vue au regard de la programmation génétique des ARN messagers par une autorité indépendante.
C’est donc avec ces nouveaux ARN messagers AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS qu’ils ont commencé depuis quelques mois à injecter les animaux destinés à l’alimentation des français !
Etant donné l’ensemble des risques avérés extrêmement inquiétant provenant du monde entier sur ce type d’injections ARN messagers simples ou AUTO-RÉPLIQUANTS / AUTO-AMPLIFIANTS, et au regard des principes de précaution et de transparence a valeur constitutionnelle, ainsi que de la convention d’OVIEDO ratifiée par la France, il est urgent que les représentants du Peuple français contraignent les autorités sanitaires françaises à l’adoption immédiate d’ un MORATOIRE portant sur l’ensemble du territoire français.
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