2024

Stopper la suppression de l’argent liquide : voici comment y parvenir !

Partout dans le monde, la mafia financière mondiale est en train de mettre en place de nouveaux systèmes de paiement numériques. Utiliser de l’argent liquide devient de plus en plus difficile. Tout le monde n’accepte pas ces plans sans résistance et certains, par leur résistance, les ont fait échouer…

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Vaccins pédiatriques “classiques”: résidus toxiques, nanoparticules métalliques et ADN étranger

Dans un article précédent, nous avons rapporté les observations du Dr Ana Mihalcea dans la vidéo “Qu’y a-t-il dans les vaccins Covid?“. Cette vidéo a suscité beaucoup de réactions, certaines mettant en avant un manque de rigueur scientifique de la part du Dr Ana Mihalcea. Comme annoncé, nous publierons prochainement d’autres documents qui convergent et/ou contestent ses affirmations.

Lire l’article

Voir également l’interview de Senta Depuydt par Nexus il y a trois ans. Elle revient sur son article pémonitoire publié dans ce même magazine en 2019.

https://crowdbunker.com/v/tsHhNVxTnX

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Conférence-Débat sur le thème de la Jeunesse

Samedi 26 octobre prochain à Saintes toute la journée à l’Auditorium de la salle Saintonge.
Ouverture des portes à 8 h 30, début de la conférence à 9 h et final vers 18 h/18 h 30

Le thème de la Jeunesse étant plus que jamais d’actualité (vaccinations Gardasil-9, Beyfortus, vaccinations à ARN-M, éducation à la sexualité à l’école, dysphorie de genre, alimentation, écrans, sommeil …), nous vous invitons à venir très nombreux assister à cette conférence et échanger avec nos intervenants qui se feront un plaisir de nous apporter tous les conseils, informations et précisions utiles sur ces différents sujets tellement importants pour l’avenir de nos Jeunes.
Des intervenants de grande qualité et des thèmes riches et très diversifiés auxquels viendront se rajouter quelques activités et animations artistiques.
L’entrée est gratuite avec une participation « au chapeau » suivant les possibilités de chacun (participation libre et en conscience).

Le collectif de Saintes.

Contact/renseignements :

– Jacqueline NEVEUX – 06 43 03 84 85 – neveux.jacqueline@yahoo.com

– Céline GARNIER – uniquement par mail – zebcel@wanadoo.fr

– Michel REGNEAULT – 06 74 50 98 46 – michelregneault@orange.fr

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Dangers des nouveaux vaccins : Jean-Marc Sabatier s’explique chez Karl Zéro

Dans une interview accordée à Karl Zéro, le chercheur Jean-Marc Sabatier alerte sur les risques des vaccins à ARN messager auto-amplifiants en développement et donne des conseils pour renforcer son immunité naturellement.

Les nouveaux vaccins à ARN messager inquiètent

Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, met en garde contre les vaccins à ARN messager auto-amplifiant actuellement en développement. Selon lui, cette nouvelle technologie est « la pire de toutes » et « la plus dangereuse » car elle permettrait une production continue et non maîtrisée de protéine Spike dans l’organisme.
Le chercheur explique que contrairement aux vaccins ARNm actuels, les versions auto-amplifiantes contiennent un complexe enzymatique capable de répliquer l’ARN messager indéfiniment. « On ne maîtrise strictement rien, ni la quantité de protéine Spike produite, ni les endroits où ça va aller », dit-il.

Des conseils pour renforcer son immunité naturellement

Face à ces risques, Jean-Marc Sabatier recommande de renforcer son immunité naturellement. Il conseille notamment :

  • Une supplémentation en vitamine D (3000 à 8000 UI/jour selon le poids)
  • Du magnésium (300 mg/jour)
  • Du zinc (15-25 mg/jour)
  • De la vitamine C à haute dose en cas de Covid long (3-4g/jour)
  • Des antioxydants comme la N-acétylcystéine ou le glutathion
  • Des oméga-3 (2g/jour)

Le chercheur insiste sur l’importance de la vitamine D, capable selon lui d’activer jusqu’à 2000 gènes protecteurs dans l’organisme.
Bien que ces recommandations ne constituent pas une prescription médicale, elles visent à optimiser le fonctionnement du système immunitaire face aux nouveaux défis sanitaires.

Source : idj infodujour

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En France on détruit les médecins pour des raisons politiques

Il n’est pas dans l’habitude de l’AIMSIB de s’épancher sur les malheurs de ses membres dès lors qu’ils se trouvent en butte avec les représentants du pouvoir actuel. Voici néanmoins l’histoire consternante vécue par le Dr Vincent Reliquet, membre fondateur et rédacteur en chef de notre site. Après dix ans à son poste, les sanctions pleuvent : ordinales, fiscales, administratives. Prochaine condamnation prévue le jeudi 10 octobre 2024 : rembourser la Sécurité Sociale d’actes dispensés pour soulager voire complètement guérir des centaines de malades totalement abandonnés à leurs souffrances physiques, ainsi que des médicaments utilisés pour y parvenir. Voici par quelle violence un État de non-droit peut gérer ses contradicteurs : en l’absence de faute pénale répréhensible, on organise froidement leur ruine financière. Bon visionnage.

Voir la vidéo : https://www.aimsib.org/2024/10/06/en-france-on-detruit-les-medecins-pour-des-raisons-politiques/

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Lancement en octobre d’une nouvelle génération de vaccin Covid dit “auto-amplificateur”

Ces nouveaux vaccins sont suspectés de se répandre jusque dans l’organisme des personnes non-vaccinées.

Déployée au Japon depuis le 1er octobre lors de la campagne de vaccination annuelle contre le Covid, une nouvelle génération de vaccin ARNm appelé auto-amplificateur ou répliquant (en anglais self-amplifying vaccines ou “sa-ARNm” ou “Replicon”) est suspectée de se répandre jusque dans l’organisme des personnes non-injectées.

Une nouvelle génération de vaccin

Le Japon a été le premier pays au monde à approuver ces nouveaux vaccins “sa-ARNm” en novembre 2023.

Le vaccin dénommé ARCT-154, développé par la société de biotechnologie américaine Arcturus Therapeutics, représenterait une version plus élaborée du vaccin par comparaison avec les injections à ARNm utilisées ces dernières années. Dans ce nouveau produit, l’ARNm synthétique non seulement ordonne aux cellules de produire la protéine Spike considérée comme toxique par de nombreux scientifiques, mais produit également des copies de lui-même à l’intérieur des cellules.

Lors d’une conférence de presse, le Dr. Murakami Yasufumi expliquait que ce type de vaccin auto-amplificateur utilise une fonction d’auto-réplication appelée réplicase pour répliquer l’ARNm dans le corps, mais sans la fonction de frein. Ainsi le receveur continue à produire de grandes quantités de protéine de pointe. Il a également été souligné que les composants du vaccin peuvent être transmis du receveur à d’autres personnes ou animaux.

Cette possibilité de transmission du vaccin sa-ARNm chez des personnes qui n’auraient pas reçu d’injection soulève l’inquiétude des scientifiques.

Le Dr Miki Gibo présente une étude publiée dans Cell dans laquelle des scientifiques ont découvert que les parties du vaccin continuaient d’augmenter à l’intérieur des cellules après l’injection. Ensuite, les composants du vaccin peuvent se propager et entrer également dans de nouvelles cellules. Ce phénomène se produit à cause de la libération par les cellules de nanoparticules appelées vésicules extracellulaires, qui contiennent des exosomes. Ces nanoparticules peuvent transporter des éléments du vaccin, d’une cellule à une autre, et peuvent être transmis d’un être humain à un autre à travers les fluides corporels (salive, transpiration, larmes…).

Un problème déjà existant

Il apparaîtrait que les premiers vaccins Covid à ARNm permettaient déjà une transmission d’une personne vaccinée à une autre non vaccinée. Ce procédé que l’on peut appeler “vaccins à propagation automatique”, ou encore “vaccine shedding” en anglais, existe depuis le début des années 2000 et était appliqué au départ sur les populations d’animaux sauvages (cf pages 47-48).

À la suite de la crise Covid, des documents provenant de Pfizer (cf pages 67-69) ont révélé clairement que les personnes vaccinées pouvaient exposer les personnes non vaccinées à des risques de contamination par inhalation ou contact cutané. Le protocole des essais de phase I/II/III de Pfizer sur les vaccins ARNm Covid-19 (démarré en mai 2020) mentionne la possibilité de passage du produit de personne injectée vers une personne non injectée. La possibilité d’une réaction indésirable au vaccin ou d’effets secondaires suite à ces expositions est également mentionnée.

Les travaux scientifiques d’Hélène Banoun, pharmacienne, biologiste et ancienne chercheuse Inserm, ont démontré également que la transmission de l’ARNm et de la protéine Spike issus des anciens vaccins Covid, des personnes vaccinées vers les non vaccinées était une réalité. Son travail a été soutenu et relayé au niveau international par le Dr Peter McCullough. Hélène Banoun détaille dans son article les processus d’excrétion et de pénétration de l’ARNm et de la protéine Spike, transportés notamment par les nanoparticules lipidiques. Les voies d’excrétion de ces éléments, chez les personnes vaccinées, sont les fluides corporels (sueur, expectoration), l’inhalation, la peau, ainsi que par voie orale (via le lait maternel). Elle précise que le processus de pénétration de l’ARNm et de la protéine Spike, chez les individus non vaccinés, passe également par ces mêmes voies (transcutanée et inhalation).

Bien que la technologie du “vaccine shedding” soit vraisemblablement déjà existante dans les premiers vaccins Covid, le lancement des nouveaux vaccins Covid sa-ARNm est loin d’être anodin. En premier lieu, cette nouvelle génération de vaccins tend vers la légalisation d’une vaccination de la population sans son consentement. Puisque si la transmission de ces nouveaux vaccins d’une personne à l’autre est confirmée, il suffirait de vacciner un faible pourcentage de la population pour en vacciner le plus grand nombre, comme cela se pratique depuis 20 ans sur les animaux sauvages.

En second lieu, les vaccins et thérapies géniques “sa-ARNm” apparaissent plus élaborés et puissants que les anciennes versions, puisqu’une dose réduite de produit suffit pour atteindre le même objectif de vaccination. Donc si les vaccins classiques favorisent la transmission d’un virus dit “atténué” auprès de la population non-vaccinée et si les vaccins à ARNm conventionnels transmettent l’ARNm synthétique et d’autres composants du vaccin, la nouvelle génération de vaccin “sa-ARNm” transmet quant à elle en plus l’ARNm auto-amplificateur synthétique.

L’inquiétude des scientifiques

Des médecins et des professeurs d’université japonais ont exprimé de sérieuses inquiétudes concernant les vaccins sa-ARNm.

Lors d’une conférence de presse, le Dr Murakami Yasufumi, professeur émérite à l’Université des sciences de Tokyo, a déclaré que le vaccin Replicon contre la souche mutante JN.1 prévu pour l’automne posait de sérieux problèmes:

Le vaccin Replicon est un vaccin auto-amplifiant, créé par génie génétique (ARNm) que l’humanité n’a jamais connu auparavant.

Le Dr Murakami a demandé que le vaccin ne soit pas lancé tant que sa sécurité n’a pas été confirmée.

Le 12 septembre dernier lors d’une autre conférence de presse, c’est le député japonais Ryuhei Kawada qui a exprimé son profond scepticisme quant au lancement en octobre du vaccin ARCT-154 auprès de la population japonaise âgée de plus de 60 ans.

Ce député a également souligné le besoin urgent d’arrêter le déploiement de ce vaccin. Il a également rappelé la nécessité d’une enquête approfondie sur les effets indésirables des vaccins expérimentaux à ARNm déjà existants. Il a insisté sur la transparence de la part des responsables de la santé publique, affirmant la nécessité de:

Garantir une enquête et une vérification approfondies pour apporter un soulagement aux victimes du vaccin à ARNm qui ont subi un préjudice important.

Pendant la conférence de presse, Mika Tsutomi, journaliste et auteure internationale de renom, a noté les conflits d’intérêt existants au sein du ministère de la Santé japonais qui a approuvé le lancement du vaccin ARCT-154 :

En examinant les membres du Conseil des affaires pharmaceutiques (du ministère de la Santé) en novembre dernier, 3 membres sur 16 ont des liens commerciaux avec des sociétés pharmaceutiques.

Le Dr Yasufumi Murakami a averti que si le déploiement du vaccin Replicon se déroule comme prévu:

En octobre, le Japon a le potentiel de déclencher une catastrophe mondiale.

Avec l’approbation des vaccins sa-ARNm, le Japon se situe au cœur de la controverse qui entoure ces nouveaux produits, tandis que de plus en plus de scientifiques font entendre leur voix pour réclamer le besoin urgent de transparence et de responsabilité.

Source : Essentiel News

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Pourquoi ?

63 questions sur le covid-19 qui attendent une réponse.

  1. Pourquoi ne nous a-t-on pas dit que le SARS-COV-2 avait été breveté par Moderna en 2018 ?
  2. Pourquoi Moderna a-t-elle produit 100 000 doses de « vaccin » anti-COVID en 2019 avant le début de la pandémie ?
  3. Pourquoi, contre toute évidence scientifique, le confinement et les masques ont-ils été utilisés ?
  4. Pourquoi nous a-t-on dit que le « vaccin » reste dans le bras, alors qu’il s’accumule dans tout le corps ?
  5. Pourquoi le test PCR a-t-il été recommandé alors qu’il n’est pas conçu à des fins diagnostiques ?
  6. Pourquoi les définitions de « vaccin » et d’« immunité collective » ont-elles été modifiées avant l’épidémie de COVID-19 ?
  7. Pourquoi une pandémie a-t-elle été déclarée alors que le taux de mortalité était proche de celui de la grippe ?
  8. Pourquoi les tests de génotoxicité, de tératogénicité et de cancérogénicité n’ont-ils pas été effectués, et pourtant nous a-t-on dit que le « vaccin » était sûr ?
  9. Pourquoi n’y a-t-il pas eu de suivi adéquat de toutes les personnes injectées lors de l’utilisation d’un nouveau produit de thérapie génique ?
  10. Pourquoi les médecins et le public n’ont-ils pas été rappelés à l’importance de signaler les effets indésirables de ces « vaccins » génétiques expérimentaux ?
  11. Pourquoi a-t-on recommandé un « vaccin » en pleine pandémie, alors qu’il est contre-indiqué en vaccinologie ?
  12. Pourquoi un « vaccin » a-t-il été recommandé à ceux qui avaient une immunité naturelle, par principe supérieure ?
  13. Pourquoi une nouvelle thérapie génique a-t-elle été lancée après trois mois, au lieu des dix ans requis ?
  14. Pourquoi ne nous a-t-on pas dit que, dans l’essai Pfizer, plus de personnes sont mortes dans le groupe vacciné ?
  15. Pourquoi nous a-t-on dit que ces injections étaient « sûres et efficaces » alors que les preuves ne le confirmaient pas ?
  16. Pourquoi les voix scientifiques « dissidentes » ont-elles été – et sont-elles – discréditées, punies et emprisonnées ?
  17. Pourquoi les médecins ont-ils été, pour la première fois dans l’histoire, découragés de traiter une maladie et invités à attendre un vaccin ?
  18. Pourquoi les traitements précoces ont-t-il été découragés, alors que nous savons qu’ils constituent l’outil le plus important pour lutter contre toute maladie infectieuse ?
  19. Pourquoi des médicaments efficaces et très sûrs comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine ont-ils été discrédités et même interdits ?
  20. Pourquoi les laboratoires ont-ils refusé que leurs données soient publiées pendant 75 ans ?
  21. Pourquoi a-t-on recommandé des injections, des masques et des confinements aux enfants alors qu’on savait qu’ils n’étaient pas gravement atteints et ne propageaient pas le COVID ?
  22. Pourquoi les injections COVID ont-elles été recommandées pendant la grossesse, alors que plus de 80 % des bébés ont été perdus lors des essais chez les femmes vaccinées au 1er trimestre ?
  23. Pourquoi l’autorisation d’urgence a-t-elle été confirmée alors que plus de 2 000 personnes sont décédées dans les 90 jours suivant le déploiement des « vaccins »  ?
  24. Pourquoi n’y a-t-il pas de tollé scientifique après la publication de plus de 3 500 articles démontrant les effets secondaires des injections anti-COVID ?
  25. Pourquoi les conflits d’intérêts sont-ils tolérés parmi les autorités médicales, alors que la FDA, l’EMA et l’OMS sont financées à 80-90 % par l’industrie ?
  26. Pourquoi n’y a-t-il pas eu d’éducation adéquate des médecins, des patients et du public, et donc aucune possibilité de consentement éclairé ?
  27. Pourquoi et comment les médias ont-ils été convaincus de pousser le même agenda à l’échelle mondiale ?
  28. Pourquoi des protocoles médicaux efficaces, qui existent depuis 2020, ont-ils été interdits et déclarés illégaux ?
  29. Pourquoi ne nous informe-t-on pas des décès inutiles qui ont été attribués au COVID mais qui ont en réalité été causés par des mesures iatrogènes (ex : Midazolam, ventilation) réalisées début 2020 ?
  30. Pourquoi le rôle crucial du statut en vitamine D, de l’alimentation et du microbiome n’a-t-il pas été communiqué, alors que ces mesures auraient pu prévenir près de 100 % des décès COVID ?
  31. Pourquoi une procédure médicale a-t-elle été imposée à des personnes contre leur volonté, alors que la déclaration de Nuremberg s’y oppose ?
  32. Pourquoi les recherches sur le gain de fonction, comme celles portant sur le COVID-19, ne sont-elles pas interdites dans le monde entier ?
  33. Pourquoi un produit à base d’ARNm est-il encore utilisé, alors que nous savons que l’ARNm est incorporé dans le génome humain et entraîne la production d’autres protéines inconnues ?
  34. Pourquoi le concept d’ARNm, qui a échoué, n’a-t-il pas été arrêté, alors que l’on sait qu’il augmente la probabilité que le receveur contracte le COVID-19, démontrant ainsi une efficacité négative ?
  35. Pourquoi ces injections continuent-elles d’être recommandées, alors qu’au moins 17 millions de personnes seraient mortes à cause d’elles ?
  36. Pourquoi n’y a-t-il pas d’enquête sur les décès excédentaires et l’augmentation des taux de cancer, de problèmes cardiaques…, qui ont commencé en 2021 et non en 2020 ?
  37. Pourquoi les décès inexpliqués ne sont-ils pas attribués par défaut au « vaccin » conformément à la règle qui prévaut en pharmacovigilance ?
  38. Pourquoi les autorités sanitaires refusent-elles de communiquer les données de mortalité toutes causes confondues par statut vaccinal ?
  39. Pourquoi le Gouvernement n’a-t-il jamais révélé que le « vaccin » avait entraîné des décès ?
  40. Pourquoi les parents ne sont-ils pas informés que les myocardites vaccinales peuvent être fatales ?
  41. Pourquoi la population n’est-elle pas informée que 48 % des participants sont décédés d’une mort subite lors des six premiers mois de l’essai ?
  42. Pourquoi les autorités ne peuvent-elles pas fournir d’études sur le nombre de vies sauvées par le « vaccin », hormis une modélisation ?
  43. Pourquoi les laboratoires et les régulateurs ont-ils commencé par nier que les « vaccins » Pfizer et Moderna contenaient de l’ADN oncogène et pourquoi refusent-ils de réanalyser les flacons ?
  44. Comment savent-ils qu’ils ne déclenchent pas de cancers alors que le temps de développement d’un cancer est beaucoup plus long, sauf pour les turbocancers dont ils nient l’existence ?
  45. Pourquoi affirment-ils qu’elles ne peuvent pas déclencher de cancers alors qu’ils reconnaissent que les cancers explosent depuis que 80 % de la population a été vaccinée ?
  46. Pourquoi un produit présentant au moins 10 mécanismes cancérogènes ne pourrait-il pas provoquer des cancers ?
  47. Pourquoi les laboratoires investissent-ils massivement dans des traitements anticancéreux utilisant cette technologie ?
  48. Pourquoi les laboratoires n’ont-ils toujours pas démenti le nouveau mécanisme vaccinal qui expliquerait l’ensemble des effets indésirables ?
  49. Pourquoi, en 2020, a-t-on vacciné publiquement les politiques pour convaincre que les injections étaient sûres et pourquoi, dès 2021, était-il complotiste de penser qu’elles pourraient ne pas l’être ?
  50. Pourquoi la procédure d’alerte (black box) de la FDA n’a pas été déclenchée suite au décès de personnes vaccinées dans les minutes ou les heures suivant une injection ?
  51. Pourquoi les autorités continuent-elles à recommander les injections alors que l’essai clinique final a officiellement démontré en 2023 qu’elles offraient une efficacité négative ?
  52. Pourquoi a-t-on imposé le « vaccin » aux femmes enceintes alors que Pfizer a démontré en 2020 que l’hydroxychloroquine est sûre pendant la grossesse ?
  53. Pourquoi a-t-on également imposé le « vaccin » aux patients atteints d’un cancer alors que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont des anticancéreux et que plus de 500 études affirment qu’elles sont efficaces contre le COVID ?
  54. Pourquoi l’essai pédiatrique Pfizer comptait-il 4 526 enfants au démarrage et 992 après la deuxième dose selon le rapport de la FDA ?
  55. Pourquoi Pfizer n’a-t-il pas publié les résultats de l’essai clinique, annoncés pour mai 2021, qui était supposé démontrer que le « vaccin » n’entraîne pas de stérilité masculine ?
  56. Pourquoi la date de clôture de l’essai clinique Pfizer sur le risque de myocardite est-elle repoussée régulièrement ?
  57. Pourquoi le « vaccin » a-t-il été homologué définitivement sans attendre le résultat des essais imposés lors de l’autorisation d’urgence ?
  58. Pourquoi a-t-il fallu créer 400 nouveaux types de maladies en 2020 pour enregistrer les événements indésirables ?
  59. Pourquoi le volume d’événements indésirables enregistrés pour les « vaccins » COVID est-il supérieur à celui enregistré en 50 ans pour l’ensemble des autres vaccins réunis ?
  60. Pourquoi ce volume rapporté au nombre de doses injectées est-il supérieur à celui de n’importe quel autre vaccin ?
  61. Pourquoi 78 % des décès enregistrés dans le VAERS américain depuis 1990 sont-ils associés aux « vaccins » COVID ?
  62. Pourquoi faut-il attendre 14 jours pour être considéré comme vacciné alors que 40 % des décès enregistrés dans le VAERS se sont produits pendant cette période ?
  63. Pourquoi la population n’est-elle pas informée que le produit qui a été injecté n’est pas celui qui a été homologué ?

Source

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Pétition “Transparence vaccins Covid-19”

Mails adressés aux signataires de la pétition “Transparence vaccins Covid-19”. Action en justice menée par Palace Legal.

Mail du 3/10/2024

Le 17 juillet 2024, nous avons obtenu gain de cause devant le Tribunal de l’Union européenne contre l’opacité de la Commission von der Leyen #1 sur les contrats d’achats et les noms des négociateurs.

Mais la Commission exerce aujourd’hui un double recours devant la Cour de Justice de l’Union contre cette victoire et les 2.089 requérants représentés en 1ère instance : d’une part la Commission intente un pourvoi au fond (que vous pouvez consulter ici), d’autre part elle intente une action en référé en vue d’être dispensée temporairement de divulguer les noms des négociateurs des contrats d’achat des “vaccins” Covid-19, le temps que la Cour statue au fond.

Bref, la Commission von der Leyen #2 met les bouchées doubles pour maintenir l’opacité initiée par… la Commission von der Leyen #1. Notamment, la Commission semble très gênée à l’idée que la lumière puisse être faite sur les noms des négociateurs des contrats d’achat.

Compte tenu du caractère exceptionnel de cette affaire, nous vous offrons la possibilité d’intervenir volontairement en soutien à la victoire des 2.089 requérants qui nous avaient mandatés en première instance. Nous vous représenterons pro bono, c’est-à-dire gratuitement.

En intervenant par plusieurs milliers à cette procédure, vous ferez passer un message clair à la Commission européenne :

Vous êtes nombreux et vous ne lâcherez rien.

Maître Arnaud Durand
Avocat au Barreau de Paris

Mail du 8/10/2024

En première instance, vous étiez 2.089 citoyens à être représentés devant le Tribunal.

Devant la Cour, vous serez… plus de 3.500 citoyens ! C’est une situation inédite puisque normalement ce nombre aurait dû baisser.

C’était sans compter sur l’intervention volontaire des autres signataires de la Pétition qui ont accepté de venir soutenir, devant la Cour, la victoire obtenue en première instance. Ainsi, au 8 octobre 2024 à 11h30, émergent les chiffres suivants :
– 1.152 requérants initiaux à nous avoir mandatés pour leur défense devant la Cour
– 2.358 intervenant volontaires

Attention, si vous ne nous avez pas encore mandatés (nous ne réclamons aucun honoraire pour ce faire), il ne reste plus que quelques jours pour vous rendre ici et valider le mandat.

La Commission européenne ne pourra donc pas compter sur un épuisement des citoyens, bien au contraire.

En outre, compte tenu des peurs, bien que manifestement irrationnelles, exprimées par la Commission à ce qu’une divulgation au grand public des noms des négociateurs constituerait un risque pour « l’intégrité physique et psychique des agents » (!) (nous citons la Commission), nous proposons que seul le premier requérant d’entre vous, qui est à l’origine de la pétition et de ce procès, reçoive les déclarations d’absence de conflits d’intérêts des négociateurs des contrats d’achat, et conserve les secrètes le temps que la Cour de Justice statue au fond sur le pourvoi intenté par la Commission.

Maître Arnaud Durand
Avocat au Barreau de Paris

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Traité sur les pandémies : le GBM, le FMI et l’OMS intensifient leur lobbying

Le Fonds monétaire international (FMI), le Groupe de la Banque mondiale (GBM) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ont décidé de renforcer leur coopération en matière de préparation aux pandémies. Leur objectif est de soutenir les pays dans leurs efforts de prévention, de détection et de réponse aux menaces de santé publique à travers le Fonds fiduciaire pour la résilience et la durabilité du FMI, les soutiens financier et technique de la Banque mondiale, ainsi que l’expertise de l’OMS sur le terrain. Même si la trame narrative du Covid est morte, les instances sanitaires continuent de maintenir un discours de la peur, sur une probable prochaine pandémie.

Lire l’article

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Indice de production dans les services – Services funéraires (NAF rév. 2, niv. classe poste 96.03) 010769571

Les indices de production dans les services permettent de mesurer, mensuellement, et de façon précoce l’évolution de l’activité dans les secteurs des services marchands. Ils constituent à ce titre une information essentielle pour le suivi du cycle conjoncturel. Ils relèvent du règlement européen n°2019/2152 (EBS-regulation).
En ce qui concerne l’explosion de l’activité funéraire à partir de 2021, le graphique est assez explicite…
Source : Insee

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La technologie des « vaccins » à ARN messager ne fonctionne pas

Source : le point critique

Quatre ans et plusieurs milliers d’études après le début de la campagne expérimentale de « vaccination » contre le COVID-19, l’heure est au bilan. Deux scientifiques ont condensé l’état des connaissances acquises sur la technologie des vaccins à ARN messager, utilisée depuis 2020 par les laboratoires Pfizer et Moderna, dans un document de deux pages. Nous en présentons ici une traduction en français.

Le document original, disponible en anglais, a été rédigé par le Dr Alexandra Henrion-Caude et le Dr Klaus Steger. Il est télécharchable sur le site de l’association Médecins et scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie (MWGFD). La version française que nous proposons est accessible en téléchargement en bas de cette page.

Ce support didactique, clair et intégralement sourcé expose le gouffre qui sépare ce que ces injections font réellement et ce qu’elles étaient censées faire – et surtout ne pas faire. Il est destiné aussi bien aux personnes, vaccinées ou non, qui souhaitent comprendre à quel point la communauté scientifique et médicale s’est fourvoyée, qu’aux médecins qui ont suivi les ordres et qui ont injecté à l’aveugle leurs patients. L’occasion leur est donnée de corriger ce document s’ils estiment qu’il ne reflète pas l’état de la science.

1. On vous dit : « C’est un vaccin », mais ce n’est pas vrai

  • Ce n’est pas un « vaccin », car il répond à tous les critères d’un produit issu du génie génétique[1]. Il contient de l’ARNm modifié produit synthétiquement et emballé dans des nanoparticules lipidiques qui ont la capacité de transfecter nos cellules.
  • Ce n’est pas un « vaccin », car il circule dans notre corps et dans nos cellules sans être perçu comme étranger, contrairement aux particules des vaccins conventionnels[2].
  • Ce n’est pas un « vaccin », car en 2021, l’objectif de la vaccination a été révisé et sa définition a changé. Selon la nouvelle « norme », les « vaccins » ne doivent pas créer une immunité spécifique contre une maladie, mais seulement susciter une réponse immunitaire, même si cette réponse est non spécifique ou indésirable[3].
  • Ce n’est pas un « vaccin », car dès son entrée dans nos cellules, l’ARNm modifié pirate nos cellules pour les forcer à produire des protéines étrangères, dont la nature est en partie imprévisible[4].
  • Ce n’est pas un « vaccin », car après avoir reçu une injection d’ARNm, nous sommes toujours considérés comme « non vaccinés ». Il faudra encore deux semaines avant que les autorités médicales ne vous considèrent comme « vacciné ». Par conséquent, les rapports sur les effets indésirables (y compris l’hospitalisation et le décès) qui peuvent survenir au cours des deux premières semaines suivant la vaccination ne seront tout simplement pas comptabilisés, s’ils sont signalés. De même, il est difficile de plaider en faveur d’une quelconque demande d’indemnisation.
  • Ce n’est pas un « vaccin », car il est prévu que vous receviez régulièrement des injections de rappel. Ces injections répétées entraînent la production ininterrompue de l’antigène, voire de plusieurs antigènes[4]. Cela diffère d’une infection naturelle, dans laquelle l’antigène envahit notre corps de manière occasionnelle et transitoire. Cette présentation continue du même antigène affaiblit inévitablement notre système immunitaire[5].

2. On vous dit : « C’est de l’ARNm », mais ce n’est pas vrai

Ce n’est pas de l’ARN messager (ARNm), c’est de l’ARNm modifié (ARNmod)[6],[7]. Cet ARNmod imite l’ARNm, mais possède des caractéristiques complètement différentes :

  • Ce n’est pas de l’ARNm, car il est composé d’un nouveau code génétique synthétique. Une lettre du code génétique, le U, qui est l’uridine naturelle, est systématiquement remplacée par Psi, qui est la Nl-méthyl-pseudouridine (mΨ) synthétique.
  • C’est de l’ARN modifié, car on ne sait pas s’il se dégrade et quand il se dégrade. La transformation de U en Psi rend le modRNA moins inflammatoire et augmente sa longévité, qui passe de quelques heures à plusieurs mois. Les effets possibles de ces modifications sur les régulations épigénétiques et post-traductionnelles sont pour la plupart inconnus. Contrairement à l’ARNm naturel, qui se dégrade rapidement, l’ARNm des « vaccins » COVID-19 a été détecté dans le sang jusqu’à 28 jours[8] et dans les tissus jusqu’à huit semaines après l’injection[9]. Il a été démontré que la protéine de pointe produite par l’ARNm modifié injecté circule dans le sang jusqu’à six mois après l’injection[10].
  • C’est de l’ARN modifié, car la séquence a également été modifiée en augmentant la teneur en G (guanine) et en C (cytosine). C’est ce qu’on appelle « l’optimisation des codons », mais cette substitution supprime le système immunitaire inné, ce qui est également très problématique puisqu’il représente la première ligne de défense contre les micro-organismes envahissants[11].

Il contient de l’ADN en plus de l’ARNm modifié

  • C’est également de l’ADN, ce qui est tout à fait inattendu. De grandes quantités d’ADN contaminant ont été retrouvées dans le vaccin[12], dont les effets sont inquiétants en l’état de nos connaissances scientifiques, présentant des régulations altérées et un risque d’intégration dans notre génome[13]. Ces contaminants résultent d’un changement dans le processus de fabrication. Dans le processus initial, utilisé pour les essais cliniques, l’ARNm modifié était produit par transcription in vitro à partir d’ADN synthétique suivi d’une amplification PCR propre. Dans le processus modifié, utilisé sur la population pour les campagnes de « vaccination » par les gouvernements, l’ARN viral transcrit à l’envers en ADN était cloné dans des plasmides bactériens, entraînant la contamination du produit par un mélange d’ADN bactérien et d’ADN viral[14].

3. On vous dit : « Le vaccin restera dans votre muscle », mais ce n’est pas vrai

  • Le « vaccin » n’a jamais été conçu pour rester dans le muscle, mais pour passer dans la circulation sanguine, les ganglions lymphatiques et même le lait maternel.
  • Les nanoparticules lipidiques, qui enveloppent l’ARNm, ne restent pas dans la circulation sanguine comme c’est le cas avec un vaccin conventionnel. Au contraire, elles peuvent pénétrer dans n’importe quelle cellule de notre corps, y compris dans des organes clés tels que le cœur, le cerveau, le foie, les reins, les poumons, la rate, l’estomac, les ovaires et les testicules[15],[16].
  • Les nanoparticules lipidiques sont hautement inflammatoires et toxiques. Par conséquent, des injections répétées augmenteront les dommages causés à nos cellules, voire leur mort[17].
  • Un effet indésirable grave prédominant est la myocardite et la péricardite, c’est-à-dire l’inflammation du cœur, en particulier chez les jeunes. Cette inflammation résulte probablement d’une attaque auto-immune contre les cellules du cœur qui ont reçu les particules injectées et exprimé la protéine spike[18],[19].

4. On vous dit : « La technologie de l’ARNm permet de produire le messager désiré », mais ce n’est pas vrai

  • Le « Les vaccins sont sûrs » n’était qu’un mensonge depuis le début, car il était impossible d’anticiper ce que notre corps, transformé en « usine », produirait en termes d’antigènes et de quantité d’antigènes. Aucun dosage sûr ne peut être proposé puisque personne n’est en mesure d’anticiper la dose qui sera produite par nos cellules.
  • La technologie ARNm aboutit à la production de produits insensés aux effets biologiques totalement imprévisibles[4]. La substitution du « U » par le « Psi » dans le code génétique de l’ARNm entraîne un décalage dans la lecture du triplet qui sert normalement à assembler l’acide aminé correspondant de la future protéine par les ribosomes. Par exemple, si un messager lit ALE-XAN-DRA, chacun de ces trois triplets codant pour un acide aminé spécifique, le décalage de trame conduira à une lecture de LEX-AND-RA. La protéine résultante sera totalement différente et raccourcie, puisque « RA » est incomplet pour coder un troisième acide aminé. Le résultat est au mieux neutre, au pire létal, et dans tous les cas non-soi.

5. On vous dit : « L’ARNm ne peut pas être intégré dans l’ADN », mais ce n’est pas vrai

  • Le « vaccin » ARNm peut manifestement s’intégrer dans l’ADN, car la séquence correspondant à un fragment de l’ARN modifié du « vaccin » injecté a été trouvée dans les cellules sanguines du patient[20].
  • L’ARNm du « vaccin » peut manifestement être transcrit en sens inverse dans l’ADN, car il a été démontré que l’exposition de cellules humaines cultivées à l’ARNm « vaccin » activait LINE-1, qui fournit une transcriptase inverse, transformant l’ARNm « vaccin » en ADN[21].
  • En outre, l’ARNm codant pour la protéine spike a été trouvé de manière inattendue dans le noyau[22].
  • Les contaminants d’ADN trouvés dans les injections d’ARN modifié de BioNTech/Pfizer contiennent une séquence de virus de singe, à savoir la séquence du promoteur du virus simien 40 (SV40), qui est connue pour améliorer le transport de l’ADN dans le noyau. Cela augmente encore le risque d’intégration de cet ADN étranger dans le génome de nos cellules, avec des conséquences imprévisibles[23].
  • Si un tel événement se produit dans les cellules germinales mâles ou femelles impliquées dans la fécondation, le génome de la progéniture sera également modifié.
  • Toute intégration génomique d’une séquence dérivée d’un « vaccin » entraînera probablement l’expression d’un gène étranger et une régulation aberrante des gènes. Cette dernière peut entraîner l’activation d’oncogènes ou l’inactivation de gènes suppresseurs de tumeurs, deux phénomènes qui favorisent le cancer. Ce risque est aggravé par l’immunosuppression observée chez de nombreuses personnes « vaccinées », qui implique une défense immunitaire insuffisante contre les cellules tumorales. Il peut en résulter un « turbo-cancer ».
  • Selon le résumé officiel des caractéristiques du produit[19, p. 18] approuvé par l’EMA et la Commission européenne : « Aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n’a été réalisée ».

C’est la technologie des « vaccins » ARNm elle-même qui pose problème

L’ARNm synthétiquement modifié (ARNm) injecté détourne nos cellules en les forçant à produire des protéines étrangères. Certaines ont été conçues pour être produites (c’est-à-dire la protéine Spike dans le cas des injections de COVID-19), tandis que d’autres ne l’ont pas été. Ces dernières résultent de la fragmentation de l’ARNm et du décalage de la traduction. La production n’a pas d’interrupteur et peut affecter n’importe quel organe. En conséquence, notre système immunitaire détruira des cellules auparavant saines. Deux caractéristiques essentielles de l’ARNm naturel sont déformées :

Premièrement, l’ARNm naturel présente une expression spécifique à la cellule, ce qui garantit un ajustement en temps réel. En revanche, les nanoparticules lipidiques délivrent l’ARNm de manière totalement aveugle.

L’ADN est souvent appelé le « livre de la vie ». Il se trouve exclusivement dans le noyau, sauf pendant la division cellulaire. L’alphabet blanc est composé de 26 lettres, mais l’ADN ne comprend que 4 lettres : A (adénine), T (thymine, remplacée dans l’ARNm par U (uridine)), G (guanine) et C (cytosine).

Par le processus appelé « transcription », les gènes situés sur l’ADN sont copiés dans l’ARNm avec les lettres correspondantes. L’ARNm sort du noyau, où il peut être lu par les ribosomes et converti en protéines par le processus appelé traduction. L’ADN peut être comparé à un livre de pâtisserie, l’ARNm à une recette spécifique et la protéine au gâteau qui en résulte.

Les cellules remplissent des tâches variées (par exemple, les cellules de la peau par rapport aux neurones) et ont donc besoin d’ensembles de protéines spécifiques à la cellule (c’est-à-dire les gâteaux). Ces ensembles de protéines sont constamment ajustés dans le temps et dans l’espace, en fonction de l’âge et de l’activité, que nous dormions, mangions, fassions de l’exercice, buvions de l’alcool ou prenions des médicaments. Dans ce système, toute production d’une protéine étrangère consomme non seulement de l’énergie supplémentaire, mais perturbe également le bon déroulement des activités de nos cellules.

Deuxièmement, la production naturelle d’ARNm est soumise à une régulation extrêmement précise et a une durée de vie courte, ce qui garantit une adaptation rapide à des conditions de vie changeantes. Contrairement à cela, les ARNm synthétiques sont conçus pour renforcer la protéine sans interrupteur.

Contrairement à l’ARNm modifié, la longévité de l’ARNm naturel est étroitement régulée. Elle peut être naturellement réduite par différents mécanismes, tels que :

  • une rétroaction négative qui réduit ou arrête la production d’ARNm supplémentaire,
  • la régulation par des microARN qui agissent souvent d’une manière spécifique à la cellule,
  • des enzymes de dégradation de l’ARN (RNases) qui dégradent l’ARNm.

Télécharger ou consulter le document : Technologie des « vaccins » à base d’ARNm : GAME OVER

Références

[1] Banoun H. mRNA: Vaccine or Gene Therapy? The Safety Regulatory Issues. Int J Mol Sci. 2023 Jun 22;24(13):10514. https://doi.org/10.3390/ijms241310514.

[2] BioNTech. Our mRNA Platforms – revolutionizing vaccine technology. www.biontech.com/int/en/home/pipeline-and-products/platforms/our-mrna-platforms.html.

[3] Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Immunization: The Basics. Last reviewed: September 1, 2021. https://www.cdc.gov/vaccines/vac-gen/imz-basics.htm.

[4] Mulroney TE, Pöyry T, Yam-Puc JC, Rust M, Harvey RF, Kalmar L,  et al. N1-methylpseudouridylation of mRNA causes +1 ribosomal frameshifting. Nature. 2024 Jan;625(7993):189-94. https://doi.org/10.1038/s41586-023-06800-3.

[5] Irrgang P, Gerling J, Kocher K, Lapuente D, Steininger P, Habenicht K, et al. Class switch toward noninflammatory, spike-specific IgG4 antibodies after repeated SARS-CoV-2 mRNA vaccination. Sci Immunol. 2023 Jan 27;8(79):eade2798. https://doi.org/10.1126/sciimmunol.ade2798.

[6] BioNTech. Our mRNA Platforms – revolutionizing vaccine technology. www.biontech.com/int/en/home/pipeline-and-products/platforms/our-mrna-platforms.html.
« Nous utilisons de l’ARNm modifié par des nucléosides (modRNA) pour nos candidats RiboCytokines, qui contiennent des blocs de construction modifiés d’origine naturelle conférant une stabilité accrue et une immunogénicité réduite afin de minimiser les réactions immunitaires indésirables et de prolonger la durée de production des protéines – deux défis majeurs dans le développement de produits thérapeutiques sûrs et efficaces à base d’ARNm. »

[7] Granados-Riveron JT, Aquino-Jarquin G. Engineering of the current nucleoside-modified mRNA-LNP vaccines against SARS-CoV-2. Biomed Pharmacother. 2021 Oct;142:111953. https://doi.org/10.1016/j.biopha.2021.111953.

[8] Castruita JAS, Schneider UV, Mollerup S, Leineweber TD, Weis N, Bukh J, et al. SARS-CoV-2 spike mRNA vaccine sequences circulate in blood up to 28 days after COVID-19 vaccination. APMIS. 2023 Mar;131(3):128-32. https://doi.org/10.1111/apm.13294.

[9] Röltgen K, Nielsen SCA, Silva O, Younes SF, Zaslavsky M, Costales C, et al. Immune imprinting, breadth of variant recognition, and germinal center response in human SARS-CoV-2 infection and vaccination. Cell. 2022 Mar 17;185(6):1025-1040.e14. https://doi.org/10.1016/j.cell.2022.01.018.

[10] Brogna C, Cristoni S, Marino G, Montano L, Viduto V, Fabrowski M, et al. Detection of recombinant Spike protein in the blood of individuals vaccinated against SARS-CoV-2: Possible molecular mechanisms. Proteomics Clin Appl. 2023 Nov;17(6):e2300048. https://doi.org/10.1002/prca.202300048.

[11] Seneff S, Nigh G, Kyriakopoulos AM, McCullough PA. Innate immune suppression by SARS-CoV-2 mRNA vaccinations: The role of G-quadruplexes, exosomes, and MicroRNAs. Food Chem Toxicol. 2022 Jun;164:113008. https://doi.org/10.1016/j.fct.2022.113008.

[12] McKernan K, Helbert Y, Kane LT, McLaughlin S. Sequencing of bivalent Moderna and Pfizer mRNA vaccines reveals nanogram to microgram quantities of expression vector dsDNA per dose. 2023 Sept 25. https://doi.org/10.31219/osf.io/b9t7m.

[13] Nichols WW, Ledwith BJ, Manam SV, Troilo PJ. Potential DNA Vaccine Integration into Host Cell Genome. Ann N Y Acad Sci. 1995 Nov 27;772:30-9. https://doi.org/10.1111/j.1749-6632.1995.tb44729.x

[14] European Medicines Agency (EMA). COVID-19 mRNA Vaccine: Risk Management Plan. Version no 13.0. First published: 23/12/2020. https://www.ema.europa.eu/en/documents/rmp/comirnaty-epar-risk-management-plan_en.pdf.

[15] Bahl K, Senn JJ, Yuzhakov O, Bulychev A, Brito LA, Hassett KJ, et al. Preclinical and Clinical Demonstration of Immunogenicity by mRNA Vaccines against H10N8 and H7N9 Influenza Viruses. Mol Ther. 2017 Jun 7;25(6):1316-1327. http://dx.doi.org/10.1016/j.ymthe.2017.03.035.

[16] Mörz M. A Case Report: Multifocal Necrotizing Encephalitis and Myocarditis after BNT162b2 mRNA Vaccination against COVID-19. Vaccines (Basel). 2022 Oct 1;10(10):1651. https://doi.org/10.3390/vaccines10101651.

[17] Ndeupen S, Qin Z, Jacobsen S, Bouteau A, Estanbouli H, Igyártó BZ. The mRNA-LNP platform’s lipid nanoparticle component used in preclinical vaccine studies is highly inflammatory. iScience. 2021 Dec 17;24(12):103479. https://doi.org/10.1016/j.isci.2021.103479.

[18] Li M, Wang X, Feng J, Feng Z, Li W, Ya B. Myocarditis or Pericarditis Following the COVID-19 Vaccination in Adolescents: A Systematic Review. Vaccines (Basel). 2022 Aug 15;10(8):1316. https://doi.org/10.3390/vaccines10081316.

[19] EMA. Comirnaty : Résumé des caractéristiques du produit. https://www.ema.europa.eu/fr/documents/product-information/comirnaty-epar-product-information_fr.pdf.

[20] Dhuli K, Medori MC, Micheletti C, Donato K, Fioretti F, Calzoni A, et al. Presence of viral spike protein and vaccinal spike protein in the blood serum of patients with long-COVID syndrome. Eur Rev Med Pharmacol Sci. 2023 Dec;27(6 Suppl):13-19. https://doi.org/10.26355/eurrev_202312_34685. NDLR : L’article a été rétracté en mars 2024.

[21] Aldén M, Olofsson Falla F, Yang D, Barghouth M, Luan C, Rasmussen M, De Marinis Y. Intracellular Reverse Transcription of Pfizer BioNTech COVID-19 mRNA Vaccine BNT162b2 In Vitro in Human Liver Cell Line. Curr Issues Mol Biol. 2022 Feb 25;44(3):1115-26. https://doi.org/10.3390/cimb44030073.

[22] Ørskov ER, Fraser C. The effects of processing of barley-based supplements on rumen pH, rate of digestion and voluntary intake of dried grass in sheep. Br J Nutr. 1975 Nov;34(3):493-500. https://doi.org/10.1017/s0007114575000530.

[23] McKernan K. Executive Summary of the FDA VRBPAC presentation on dsDNA contamination in mRNA vaccines. 2023 Jul 07. https://anandamide.substack.com/p/executive-summary-of-the-fda-vrbpac.

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Pour la réinscription urgente du Dr Denis Agret au tableau de l’ordre des médecins France

Le Dr Agret sollicite votre soutien en signant cette pétition pour sa réinscription au tableau de l’ordre des Médecins et l’arrêt des poursuites et sanctions manifestement et particulièrement disproportionnées que l’État (Ministère de la Santé) et l’Ordre des médecins lui font subir.

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Le Covid Index : un outil pour retrouver les articles et recherches scientifiques censurés

L’Index Covid est le meilleur moteur de recherche disponible pour toute personne enquêtant sur le COVID-19. Avec ce site Web intuitif, vous pouvez interroger une vaste base de données avec des liens vers des sources d’informations , telles que des manuscrits scientifiques, des témoignages d’experts et des publications officielles. L’Index Covid fournit également d’importants extraits textuels de chaque source, afin que vous puissiez rapidement évaluer sa pertinence par rapport à votre demande spécifique.

Accéder au site
Pour les non anglophones utiliser un traducteur en ligne (Google translate, Translate Web Page…)

Index COVID : un nouvel outil de recherche facilite la recherche de « sciences censurées »

Children’s Health Defense (CHD) héberge une nouvelle initiative, The Covid Index, un répertoire de ressources scientifiques sur le COVID-19 géré par des bénévoles, allant des articles de revues évaluées par des pairs aux comptes de dénonciateurs.

par Michael Nevradakis, Ph.D.

27 septembre 2024

Children’s Health Defense (CHD) héberge une nouvelle initiative, The Covid Index , un répertoire de ressources scientifiques sur le COVID-19 géré par des bénévoles, allant des articles de revues évaluées par des pairs aux comptes de dénonciateurs.

Les créateurs de l’index le décrivent comme « une science et une expertise censurées » qui sont « catégorisées, extraites et consultables ».

Ursula Conway, présidente de la section Arizona du CHD , est l’une des bénévoles impliquées dans l’initiative. Elle a déclaré au Defender que le Covid Index « est un outil de recherche, un guide de référence rapide » qui « élimine » la censure en ligne .

Kim Bare, un autre volontaire du projet, a déclaré que l’Index Covid s’apparente à « un catalogue de fiches en ligne… de sources d’informations liées principalement au COVID ».

L’épidémiologiste M. Nathaniel Mead est également impliqué dans ce projet. Il a déclaré au Defender : « Seules les contributions de scientifiques accrédités et de professionnels de la santé sont incluses, en prenant soin d’exclure les opinions de non-experts. »

« Les allégations des lanceurs d’alerte peuvent également être incluses, à condition que les sources elles-mêmes possèdent les qualifications nécessaires et soient en mesure de fournir des preuves crédibles pour étayer leurs affirmations », a déclaré Mead.

Il a déclaré que la base de données comprend également « des examens et des analyses qui aident à élucider les différents types de subterfuges utilisés pour induire en erreur le grand public et les communautés médicales ».

Objectif : rendre « l’information scientifique plus accessible » à un « public plus large »

L’idée de The Covid Index est née en 2021, lorsque l’un des bénévoles impliqués dans le projet, qui porte le pseudonyme de «Juror No. 8» — une référence au film classique « 12 Angry Men » — a élaboré un document — « COVID -19 : La science que nous devrions connaître .

Le document, hébergé par la Fédération nationale de la santé , est organisé par sujet et sert « de ressource de référence pour toute personne curieuse de connaître la science et les données qui sous-tendent ces positions à contre-courant » liées au COVID-19.

Le document a été à l’origine du développement d’une base de données de recherche en ligne de ressources accréditées remettant en question les positions dominantes sur le COVID-19. Conway a déclaré que l’objectif était de « rendre l’information plus accessible et facilement accessible à un public beaucoup plus large ».

Cela a conduit à la formation d’une équipe indépendante de bénévoles et à la recherche d’une organisation hôte pour le site Web – CHD étant finalement sélectionné.

Brian Hooker, Ph.D., directeur scientifique du CHD, a déclaré au Defender :

« CHD est très enthousiaste à l’idée d’aider à maintenir et à étendre cette ressource grâce à des bénévoles qui continueront à aider à examiner et à résumer la littérature relative au virus, au vaccin et à d’autres détails de la pandémie. »

Une « contre-réponse » à la « censure des médias »

La censure des articles scientifiques remettant en question les récits largement répandus liés au COVID-19 s’est récemment intensifiée, avec le retrait ou la suppression d’articles approuvés par le processus d’évaluation par les pairs.

Mead a déclaré que l’indice Covid est une réponse à la censure généralisée des articles scientifiques qui remettaient en question les récits traditionnels liés au COVID-19, à la réponse à la pandémie et aux vaccins contre le COVID-19.

« Les rétractations contraires à l’éthique d’articles de revues évaluées par des pairs n’étaient que trop fréquentes après 2020 et représentent une forme de censure très insidieuse », a déclaré Mead. « Même les articles de la plus haute qualité scientifique technique seront retirés s’ils remettent en question la position du complexe biopharmaceutique . »

« L’indice Covid expose la nature fallacieuse de rhétoriques telles que « la science est établie » ou « il existe un fort consensus scientifique sur la sécurité et l’efficacité des vaccins contre la COVID » », a ajouté Mead.

Conway a déclaré que l’indice Covid « contourne les limitations de la censure pour apporter la vraie science au peuple ».

Mead a déclaré qu’il s’agissait d’une contre-réponse nécessaire à la « censure médiatique des critiques des agences de santé publique pour leurs stratégies pandémiques ratées » et qu’il avait le potentiel d’agir comme un témoignage public d’une telle censure. Il a dit :

« Ces articles peuvent encore être cités dans l’Index Covid, et nous sommes en train de rédiger des paragraphes explicatifs pour aider les utilisateurs de l’Index à mieux comprendre le contexte de chaque rétractation, c’est-à-dire pourquoi les rétractations étaient dénuées de fondement ou manquaient de justification.

« Cette partie de l’Index Covid est encore en chantier, mais elle pourrait être un moyen très utile de conserver une trace de cet aspect de la censure du complexe bio-pharmaceutique, ainsi qu’un référentiel des articles qui ont été rejetés simplement parce qu’ils menaçaient la sécurité. L’agenda du cartel COVID.

Bare a déclaré que si un article inclus dans l’index est ensuite supprimé d’Internet, il peut également potentiellement rester dans l’index. « Pour les articles qui sont académiquement ou scientifiquement valables mais qui ont disparu pour diverses raisons, nous allons sur la Wayback Machine et trouvons une URL pour la source d’information et ajoutons une entrée pour celle-ci. »

« Nous avons été témoins d’un degré étonnant de fraude, de corruption et d’abus à l’ère du COVID », a déclaré le juré n°8. « En fin de compte, nous espérons que l’Indice Covid pourra aider à responsabiliser les auteurs. »

Rendre la science censurée plus accessible

Mais plus que simplement contourner les censeurs en ligne et hors ligne, les bénévoles impliqués dans le projet ont déclaré au Defender que les informations contenues dans la base de données sont organisées et présentées de manière accessible à un public non scientifique.

Les « extraits clés » que les bénévoles de The Covid Index sélectionnent pour chaque ressource indexée constituent un élément important de cet effort.

« Les extraits clés mettent en évidence les parties les plus importantes de l’étude, ou représentent les passages de la source d’information qui ont amené le contributeur à décider que la source est suffisamment importante pour être incluse dans l’indice Covid », a déclaré Bare.

La bénévole Jenna Ellis a déclaré que cette conservation est le résultat d’un effort collectif.

« Nous examinons [les ressources potentielles] pour voir si cela vaut la peine d’être inclus dans l’index », a déclaré Ellis au Defender. « Nous veillons à ce que nos mots-clés de recherche soient sélectionnés… afin qu’ils soient facilement trouvables par quelqu’un qui vient rechercher différents articles. »

Bare a déclaré que le public peut contribuer à ces efforts.

Si les gens « souhaitent contribuer de manière régulière, le site Web est configuré de manière à ce que les contributeurs puissent s’inscrire et ajouter eux-mêmes des entrées d’index potentielles via un formulaire sur le site Web », a déclaré Bare. Les personnes intéressées peuvent cliquer ici pour plus d’informations.

« Dans la mesure où nous pouvons augmenter le nombre de contributeurs exigeants, alors le contenu de l’indice Covid augmente et donc sa valeur augmente – et cela déterminera qui l’utilise, à quel point il est utile aux gens », a déclaré Conway.

Michael Nevradakis, Ph.D.

Michael Nevradakis, Ph.D.

Michael Nevradakis, Ph.D., basé à Athènes, en Grèce, est journaliste principal pour The Defender et fait partie de la rotation des animateurs de l’émission « Good Morning CHD » de CHD.TV.

Source

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L’ivermectine comme antiviral à large spectre

Source

L’ivermectine, une petite molécule lactone macrocyclique, approuvée par la Food and Drug Administration américaine pour les infections parasitaires, a fait l’objet d’une attention renouvelée au cours des huit dernières années en raison de son potentiel apparemment prometteur en tant qu’antiviral. Elle a été identifiée lors d’un criblage chimique à haut débit comme inhibant la reconnaissance de la protéine intégrase du virus de l’immunodéficience humaine-1 (VIH-1) de localisation nucléaire par le complexe d’importine hétérodimérique (IMP) α/β1 de l’hôte, et il a depuis été démontré qu’elle se lie directement à IMPα pour induire des changements conformationnels qui empêchent sa fonction normale de médiation de l’importation nucléaire de protéines virales et hôtes clés. De manière intéressante, les expériences de culture cellulaire montrent une action antivirale robuste contre le VIH-1, le virus de la dengue (DENV), le virus Zika, le virus du Nil occidental, le virus de l’encéphalite équine vénézuélienne, le virus Chikungunya, le virus de la pseudorage, l’adénovirus et le SRAS-CoV-2 (COVID-19). Des essais cliniques de phase III sur l’homme ont été réalisés pour le virus de la dengue et plus de 50 essais sont actuellement en cours dans le monde pour le virus du SRAS-CoV-2. Cette mini-analyse examine l’intérêt de l’ivermectine comme agent antiviral à large spectre dirigé contre l’hôte pour une série de virus, dont le SRAS-CoV-2.

1. Introduction

Le prix Nobel de médecine 2015 reconnaît la contribution fondamentale de Campbell et Ōmura en termes de « médicament miracle » ivermectine, une lactone macrocyclique 22,23-dihydroavermectine B produite par la bactérie Streptomyces avermitilis [ 1 ], comme nouveau traitement contre les « infections causées par des parasites ascaris » ; ceci aux côtés de Tu Youyou pour son travail fondamental sur l’artémisinine et le paludisme [ 2 ]. Découverte en 1975, l’ivermectine a été commercialisée avec succès à partir de 1981 pour des indications d’infection parasitaire chez les animaux, puis approuvée pour un usage humain pour une activité contre l’onchocercose (cécité des rivières) en 1987. Elle a depuis été utilisée avec succès pour traiter un certain nombre d’infestations humaines par des vers parasites responsables de la cécité des rivières/filariose, de la strongyloïdose/ascaridiase, d’ectoparasites responsables de la gale, de la pédiculose et de la rosacée [ 1 , 3 ]. Des applications plus récentes incluent la lutte contre les insectes médiateurs d’infection, tels que le paludisme [ 1 , 3 , 4 , 5 ]. L’ivermectine figure sur la liste modèle des médicaments essentiels de l’Organisation mondiale de la santé [ 6 ].

Depuis 2012, de nombreux rapports ont fait état de propriétés antivirales de l’ivermectine [ 4 , 5 , 7 , 8 , 9 , 10 , 11 , 12 , 13 , 14 , 15 , 16 , 17 ] contre un nombre croissant de virus à ARN, notamment le virus de l’immunodéficience humaine (VIH)-1, la grippe, les flavirus tels que le virus de la dengue (DENV) et le virus Zika (ZIKV) et, plus particulièrement, le SARS-CoV-2 (COVID-19) [ 17 ]. Les preuves de son activité contre les virus à ADN sont plus limitées, mais englobent la pseudorage, le polyome et les adénovirus [ 18 , 19 , 20 ]. Français La base de l’activité antivirale à large spectre de l’ivermectine semble être liée au fait que l’ivermectine se lie à, et inhibe, le rôle de transport nucléaire de la protéine importine α (IMPα) de l’hôte [ 11 , 18 , 20 ], qui est connue pour servir de médiateur à l’importation nucléaire de diverses protéines virales et de facteurs clés de l’hôte, mais d’autres actions antivirales possibles de l’ivermectine ont été proposées (par exemple, [ 12 ]), y compris dans le cas du SARS-CoV-2 (par exemple, [ 21 , 22 ]). Cette mini-revue résumera le poids des preuves de l’activité antivirale à large spectre de l’ivermectine et la base de son activité dirigée contre l’IMPα à la lumière de la possibilité que l’ivermectine puisse être un antiviral d’une utilité critique dans la crise actuelle du SARS-CoV-2 [ 6 , 17 ].

2. L’ivermectine comme agent antiparasitaire approuvé par la Food and Drug Administration des États-Unis

Il est difficile de surestimer l’impact de l’ivermectine en tant qu’agent thérapeutique pour lutter contre diverses maladies parasitaires [ 1 , 2 , 3 , 4 , 5 , 6 ]. Elle est administrée en une seule dose orale annuelle (par exemple, 150 ou 200 μg/kg, respectivement) pour traiter l’onchocercose et la strongyloïdose. La filariose lymphatique est traitée de la même manière dans les zones d’endémie avec une dose une fois par an (300-400 μg/kg), ou alternativement une dose biannuelle (150-200 μg/kg) [ 23 ]. Le mode d’action antiparasitaire documenté de l’ivermectine consiste à potentialiser la neurotransmission médiée par le GABA et à se lier aux canaux Cl glutamate-dépendants des invertébrés pour provoquer la paralysie et la mort du parasite [ 24 ]. La sélectivité vient du fait que l’ivermectine ne pénètre pas facilement dans le système nerveux central (SNC) des mammifères, où le GABA fonctionne comme neurotransmetteur [ 24 ].

Des doses allant jusqu’à 2000 µg/kg sont bien tolérées chez les patients atteints d’infections parasitaires [ 23 , 25 ], l’analyse des 11 premières années d’administration massive d’ivermectine (Mectizan) à l’échelle mondiale indiquant une incidence cumulée d’un cas d’effet secondaire indésirable grave par million [ 4 , 26 ]. De même, bien que la résistance aux médicaments puisse survenir chez les animaux, aucune résistance n’a encore été confirmée chez l’homme depuis plus de 25 ans. Sur la base de ces éléments de preuve, l’ivermectine est incontestablement un agent antiparasitaire sûr et puissant susceptible d’être utilisé comme tel pendant longtemps dans le futur [ 1 , 4 ].

3. L’ivermectine comme agent de ciblage IMPα avec une activité antivirale

Le transport vers et depuis le noyau est essentiel au fonctionnement des cellules et des tissus eucaryotes, et joue un rôle clé dans l’infection virale, où une stratégie courante utilisée par les virus consiste à antagoniser la réponse antivirale cellulaire [ 14 , 27 ]. Les médiateurs dépendants du signal de ciblage de ce transport sont les membres de la superfamille de protéines IMP, dont il existe de multiples formes α et β [ 14 , 27 ]. La voie médiée par l’hétérodimère IMPα/β1 est la voie la mieux caractérisée par laquelle les protéines de l’hôte, y compris les membres des familles de transducteurs de signal et activateurs de transcription (STAT) et de facteurs de transcription NF-κB (nuclear factor kappa-light-chain-enhancer of enabled B cells), pénètrent dans le noyau par des pores nucléaires intégrés à l’enveloppe nucléaire. Un grand nombre de protéines virales (par exemple, [ 27 , 28 ]) utilisent également cette voie (voirFigure 1), où IMPα dans l’hétérodimère IMPα/β1 joue le rôle d’adaptateur de reconnaissance du signal de ciblage spécifique, tandis qu’IMPβ1 joue les principaux rôles nucléaires de liaison/translocation à travers les pores nucléaires et de libération de la cargaison d’importation nucléaire dans le noyau (Figure 1) [ 27 ].

Figure 1

Schéma montrant le rôle de l’IMPα dans le transport nucléaire des protéines hôtes et virales, et le mécanisme d’inhibition par l’ivermectine. ( a ) Les protéines hôtes, telles que les membres des familles de facteurs de transcription STAT ou NF-κB, se localisent dans le noyau par l’action de l’hétérodimère IMPα/β1, où la région « IBB » (liaison IMPβ) de l’IMPα (ligne courbe verte) est liée par IMPβ1 pour permettre la reconnaissance de la cargaison par IMPα dans l’hétérodimère ; IMPβ1 assure ensuite le transport du complexe trimérique à travers le pore nucléaire (NPC, complexe de pore nucléaire) intégré dans l’enveloppe nucléaire (NE) dans le noyau. Ceci est suivi d’une libération dans le noyau pour permettre aux facteurs de transcription d’effectuer une fonction normale dans la régulation transcriptionnelle, y compris dans la réponse antivirale. IMPα ne peut assurer l’import nucléaire dans l’hétérodimère qu’avec IMPβ1. ( b ) En cas d’infection virale, des protéines virales spécifiques (par exemple, NS5 dans le cas du DENV, du ZIKV, du WNV) capables d’interagir avec IMPα utilisent l’hétérodimère IMPα/β1 pour accéder au noyau et antagoniser la réponse antivirale [ 14 , 27 , 28 ]. Ceci est essentiel pour permettre une production optimale de virus comme le montrent les études mutagènes et inhibitrices. Les protéines du SARS-CoV-2 qui peuvent accéder au noyau des cellules infectées n’ont pas été examinées (voir la section 3 ). ( c ) Le composé de ciblage de l’IMPα, l’ivermectine, se lie à l’IMPα (site de liaison représenté par une pastille rouge) à la fois dans l’hétérodimère IMPα/β pour le dissocier et à l’IMPα libre pour l’empêcher de se lier à l’IMPβ1, bloquant ainsi l’importation nucléaire de NS5 [ 11 ]. GW5074 (voirTableau 1) s’est avéré présenter un mécanisme similaire [ 29 ].

L’importance du ciblage nucléaire des protéines virales vers le noyau dans le cycle infectieux a été démontrée pour un certain nombre de virus. Les analyses mutagènes, par exemple, montrent que la reconnaissance spécifique par IMPα est essentielle à la localisation nucléaire de diverses protéines virales, telles que la protéine non structurale (NS) 5 du virus de la dengue (DENV) [ 30 ] ; de manière significative, le virus de la dengue, qui présente la même interaction réduite de NS5 avec IMPα, est fortement atténué, soulignant l’importance de l’interaction NS5-IMPα pour l’infection par la dengue. Comme cela a été démontré depuis en utilisant une gamme de petites molécules différentes, l’importance critique de cette interaction pour l’infection par la dengue est la base du fait que plusieurs petites molécules distinctes qui perturbent la reconnaissance de la protéine NS5 par IMPα sont capables de limiter l’infection par la dengue [ 7 , 8 , 11 , 29 , 31 ]. Français Dans le cas de l’ivermectine, cette activité s’étend à un grand nombre de virus différents (voir ci-dessous) [ 7 , 8 , 9 , 10 , 11 , 12 , 13 , 14 , 15 , 16 , 17 ], y compris le SARS-CoV-2 [ 18 ]. Les protéines du SARS-CoV-2 qui peuvent accéder au noyau des cellules infectées n’ont pas été examinées en détail mais, en ce qui concerne les coronavirus apparentés, il a été démontré que la protéine ORF6 (Open Reading Frame 6) du SARS-CoV-1 se lie à IMPα [ 32 ], et il est connu que l’ORF4b du MERS-CoV (Middle Eastern Respiratory Syndrome Coronavirus) accède au noyau de manière dépendante du NLS [ 33 ]. Les recherches en cours permettront d’établir lesquels des ORF du SARS-CoV-2 peuvent jouer des rôles comparables et être des cibles potentielles de l’impact de l’ivermectine sur IMPα.

Nous avons identifié l’ivermectine en 2011 dans un criblage à haut débit de preuve de principe utilisant des protéines exprimées de manière recombinante et une bibliothèque de 1200 composés pour les inhibiteurs de la reconnaissance de l’intégrase du VIH-1 (IN) par IMPα/β1 [ 34 ] ; des inhibiteurs spécifiques ciblant directement IMPα/β1 (comme l’ivermectine) et non IN (comme le budénoside) ont été identifiés à l’aide d’une stratégie de contre-criblage imbriqué [ 34 , 35 ]. Parmi plusieurs composés confirmés ultérieurement comme étant actifs contre IMPα/β1 et possédant une activité antivirale en conséquence [ 7 , 14 , 29 , 36 ], l’ivermectine a été la mieux caractérisée à cet égard et s’est avérée avoir des activités à large spectre, dont un certain nombre sont résumées dansTableau 1. Il a été initialement démontré qu’il inhibait l’importation nucléaire non seulement de l’IN, mais aussi de l’antigène tumoral de grande taille du virus simien SV40 (T-ag) et d’autres cargaisons dépendantes de l’IMPα/β1 (mais pas de l’IMPβ1), ce qui est cohérent avec l’idée que l’IMPα (et non l’IN) est la cible directe [ 34 , 35 ]. Des travaux ultérieurs ont confirmé cela, avec la capacité de l’ivermectine à inhiber l’accumulation nucléaire de divers hôtes différents, y compris NF-kB p65 [ 37 ] et des protéines virales démontrées dans des systèmes cellulaires transfectés et infectés (voirTableau 1) [ 14 , 34 ]. La capacité de l’ivermectine à inhiber la liaison de l’IMPα aux protéines virales NS5 et T-ag a également été confirmée dans un contexte cellulaire en utilisant la technique de complémentation par fluorescence biomoléculaire [ 11 ].

Tableau 1

Propriétés in vitro des inhibiteurs d’IMPα avec effets antiviraux.

ComposéAction documentée sur IMPα 3Antiviral contre 4Concentration inhibitrice (dosage)/Réduction de 5 fois
Ivermectine 1Inhibe l’interaction in vitro de l’IMPα avec le VIH-IN [ 34 ], DENV2 NS5 (1 μM) [ 7 , 11 ], T-ag [ 31 ], Hendra V (15 μM) [ 13 ], IMPβ1 (7 μM) [ 11 ] Inhibe l’interaction de l’IMPα avec T-ag et NS5 dans un contexte cellulaire tel que visualisé par BiFc quantitatif [ 11 ] Inhibe la CoIP des lysats cellulaires d’IMPα avec T-ag, Adenovirus EIA [ 20 ] Inhibe l’accumulation nucléaire dans un contexte cellulaire des protéines virales reconnues par IMPα/β1 mais pas par β1 telles que T-ag [ 7 , 16 ], DENV2 NS5 [ 7 ], VEEV Capsid [ 16 ], adénovirus E1A [ 20 ], PSV UL42 [ 18 ] ainsi que les cargaisons de l’hôte (voir [ 15 , 30 ]) Réduit la localisation nucléaire dans les cellules infectées de la capside du VEEV [ 9 ] et de l’adénovirus E1A [ 20 ]Coronavirus
SARS-CoV-2
VIH-1 (VSV-G-pseudotypé NL4-3.Luc.RE-HIV)
VLP de la grippe (mutants d’échappement A/MxA de la grippe aviaire)
Flavivirus :
YFV (17D)
DENV1 (EDEN-1)
DENV2 (NGC)
DENV2 (EDEN-2)
DENV3 (EDEN-3)
DENV4 (EDEN-4)
WNV (NY99)
WNV (MRM61C)
ZIKV (Asie/Îles Cook/2014)
Alphavirus :
Virus du chikungunya (CHIKV-Rluc)
Sindbis (HR)
Virus de la forêt de Semliki
VEEV (TC83)
Hendra (virus Hendra/Australie/Cheval/1994)
Virus à ADN
Adénovirus (HAdV-C5)
Adénovirus (HAdV-B3)
Polyomavirus BK (BKPyV)
Pseudorage
EC 50 = 2,2/2,8 μM (qPCR/virus libéré/associé aux cellules) [ 17 ] 5000 fois
50 μM > 2 fois (luciférase) [ 7 ]
10 μM d’inhibition totale (luciférase) [ 10 ]
EC 50 = 5/0,5 nM (CPE/qPCR) [ 12 ]
3 μM > 50 000 fois (pfu) [ 15 ]
EC 50 = 2,3/3 μM (CFI, 2 hôtes) [ 8 ]
EC 50 = 0,7 μM (qPCR) [ 12 ]
EC 50 = 0,4/0,6 μM (pfu/qPCR) [ 11 ]
50 μM d’inhibition totale (pfu) [ 7 ]
EC 50 = 2,1/1,7 μM (CFI, 2 hôtes) [ 8 ]
EC 50 = 1,7 μM (CFI) [ 8 ]
EC 50 = 1,9 μM (CFI) [ 8 ]
EC 50 = 4 μM (qPCR) [ 12 ]
EC 50 = 1/0,5 μM (pfu/qPCR) [ 11 ]
EC 50 = 1,3/1,6 μM (pfu/qPCR) [ 11 ]
EC 50 = 1,9/0,6 μM (luciférase, 2 hôtes)
3 μM > 5000 fois (pfu) [ 15 ]
3 μM > 1000 fois (pfu) [ 15 ]
3 μM > 200 fois (pfu) [ 15 ]
1 μM environ 20 fois (pfu) [ 9 ] EC 50
est. = 2 μM (TCID/luciférase) [ 13 ] EC 50 = environ 2,5 μM ; 10 μM 20 fois (qPCR) [ 20 ] 10 μM environ 8 fois (qPCR) [ 20 ] EC 50 est. 1,5 μM (PFU/CPE/qPCR) [ 19 ] EC 50 est. environ 0,8 μM 1 000 fois [ 18 ]



Gossypol 2Inhibe l’interaction in vitro de l’IMPα avec le virus Hendra V (10 μM) [ 14 ] Inhibe l’accumulation nucléaire de NS5 dans les cellules infectées par le WNV [ 36 ]WNV (MRM61C)
Hendra (virus Hendra/Australie/Cheval/1994)
10 μM 100 fois (pfu) [ 36 ]
10 μM (TCID/luciférase) [ 14 ]
GW5074Inhibe l’interaction in vitro de IMPα avec DENV2 NS5 (5 μM) [ 29 ], Hendra (V 15 uM) [ 13 ], IMPβ1 (10 μM) [ 29 ] Inhibe l’accumulation nucléaire dans les cellules infectées par le DENV2 de NS5 [ 29 ]DENV2 NGC
ZIKV (Asie/Îles Cook/2014)
WNV (MRM61C)
CE 50 = 0,5/1 (pfu/PCR) [ 29 ]
CE 50 = 0,3/0,6 (pfu/PCR) [ 29 ]
CE 50 = 5/7 (pfu/PCR) [ 29 ]

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1 Agent antiparasitaire à large spectre approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, notamment contre les infestations par les vers parasites et les ectoparasites responsables de la gale, de la pédiulose et de la rosacée [ 1 , 3 ]. 2 Abandonné comme contraceptif masculin humain en raison d’effets secondaires [ 38 , 39 ]. 3 Inhibe l’activité hélicase (test basé sur FRET) du DENV2, du YFV et du WNV NS3 (IC 50 0,2–0,5 μM) [ 12 ]. 4 Les entrées entre parenthèses indiquent les souches/constructions virales utilisées. 5 Estimation estimée.

Français Bien que le ciblage de l’IMPα par l’ivermectine ait été clairement soutenu par de nombreuses années de recherche (voir également ci-dessous), la liaison directe à l’IMPα n’a été formellement démontrée que récemment à l’aide d’un ensemble de techniques biophysiques, notamment la thermostabilité, l’ultracentrifugation analytique et le dichroïsme circulaire (CD) [ 11 ]. Il est important de noter que les études CD/thermostabilité indiquent que la liaison de l’ivermectine par l’IMPα induit un changement structurel, qui est probablement la base de l’incapacité de l’IMPα à se lier aux cargaisons d’importation nucléaire virale. De manière frappante, le changement structurel semble également altérer l’hétérodimérisation de l’IMPα avec l’IMPβ1 [ 11 ] ; l’IMPα seul ne peut pas assurer la médiation de l’importation nucléaire, seulement dans l’hétérodimère avec l’IMPβ1. Ainsi, l’ivermectine inhibe l’importation nucléaire non seulement en empêchant la reconnaissance du signal par l’IMPα, mais aussi en garantissant que le complexe IMPα/β1 essentiel pour assurer la médiation du transport ultérieur à travers le pore nucléaire ne se forme pas. Il est intéressant de noter que GW5074 (voirTableau 1) semble avoir un mécanisme presque identique à celui de l’ivermectine pour se lier à IMPα afin d’induire des changements structurels qui empêchent à la fois la reconnaissance de la cargaison et l’interaction spécifique avec IMPβ1 [ 29 ] ; il n’existe pas de telles données pour le GSP (voirTableau 1), qui est censé avoir un impact sur le site de liaison NLS de l’IMPα et empêcher la reconnaissance de la cargaison plus directement (manuscrit en préparation).

4. L’ivermectine comme antiviral

Étant donné que de nombreux virus sont connus pour dépendre de l’importation nucléaire de protéines virales spécifiques dépendante de l’IMPα/β1 pour une infection robuste [ 14 , 27 , 28 ], il a été confirmé dans un ensemble d’études in vitro que l’ivermectine était active pour limiter l’infection par une gamme de différents virus à ARN [ 10 , 14 ], y compris le VIH-1 [ 7 ], le DENV (les quatre sérotypes) et les flavivirus apparentés [ 8 , 11 , 12 ], la grippe et les alphavirus tels que le virus de l’encéphalite équine vénézuélienne (VEEV) et le chikungunya [ 9 , 15 , 16 ] (voirTableau 1); il est également actif contre les virus à ADN [ 18 , 19 , 20 ]. Des études récentes indiquent qu’il s’agit d’un puissant inhibiteur du SARS-CoV-2 [ 17 ].

Un aspect frappant de cette activité antivirale est que, lorsqu’elle est déterminée, la CE 50 pour l’inhibition virale telle qu’évaluée par une gamme de techniques différentes se situe dans la gamme basse des μM (voir colonne de droite,Tableau 1), ce qui s’aligne parfaitement avec son activité d’inhibition de la reconnaissance des cargaisons d’importation nucléaire virale par IMPα (voir en haut de la colonne de gauche,Tableau 1). L’implication claire est que le mécanisme d’inhibition de la production de virus infectieux dans le cas de tous les virus répertoriés dansTableau 1se fait en grande partie en ciblant IMPα pour empêcher son rôle dans l’import nucléaire, et des protéines virales en particulier (voirFigure 1). De manière significative, deux autres petites molécules (GW5074 et gossypol) qui semblent cibler IMPα de manière très similaire pour empêcher sa fonction d’importation nucléaire [ 29 ] ont des propriétés antivirales comparables [ 13 , 29 , 36 ], ce qui est cohérent avec l’idée que la protéine hôte IMPα est un contributeur clé à l’infection par un certain nombre de virus médicalement importants.

5. L’ivermectine comme antiviral en clinique

L’un des plus grands défis de la recherche antivirale, comme dans de nombreuses autres disciplines, est de passer des expériences en laboratoire aux études précliniques/cliniques, la question du dosage étant un véritable défi [ 6 ]. Cependant, il est important de souligner l’évidence dans ce contexte : les activités antivirales de l’ivermectine documentées dansTableau 1ont été obtenus à partir d’expériences de laboratoire impliquant en grande partie des multiplicités d’infection élevées, généralement non physiologiques, et des cultures de monocouches cellulaires, souvent de lignées cellulaires telles que les cellules Vero (rein de singe vert africain, altéré dans la production d’interféron α/β) qui ne sont pas cliniquement pertinentes. De toute évidence, les résultatsTableau 1car les valeurs EC 50 faibles en μM ne doivent pas être interprétées au-delà du fait qu’elles révèlent une activité antivirale robuste et dose-dépendante dans le système de modèle cellulaire utilisé, et il serait naïf de s’efforcer d’obtenir des concentrations en μM d’ivermectine en clinique sur la base de ces valeurs.

Un élément clé à prendre en compte dans toute intervention clinique utilisant l’ivermectine est son mécanisme d’action dirigé vers l’hôte (IMPα). Les agents dirigés vers l’hôte qui ont un impact sur les activités cellulaires essentielles au bon fonctionnement doivent être testés avec prudence ; bien que l’ivermectine ait un profil de sécurité établi chez l’homme [ 23 , 25 ] et soit approuvée par la Food and Drug Administration américaine pour un certain nombre d’infections parasitaires [ 1 , 3 , 5 ], elle cible une fonction de l’hôte qui est incontestablement importante dans la réponse antivirale, et le titrage d’une grande partie du répertoire IMPα d’une cellule/d’un tissu/d’un organe est susceptible d’entraîner une toxicité. Dans cette optique, un agent dirigé vers l’hôte peut être un « élément déterminant » dans le traitement d’une infection virale, peut-être dans les premiers stades de l’infection ou même à titre prophylactique (voir section 6 ) pour maintenir la charge virale à un niveau bas afin que le système immunitaire de l’organisme ait la possibilité de monter une réponse antivirale complète [ 11 , 17 ].

Le véritable potentiel de l’ivermectine en tant qu’antiviral pour traiter l’infection ne peut bien sûr être démontré que dans le cadre d’études précliniques/cliniques. Les études précliniques comprennent un modèle de souris infectée par la pseudorage mortelle (PRV) qui a montré qu’une dose (0,2 mg/kg) 12 h après l’infection protégeait 50 % des souris, ce qui pouvait être porté à 60 % en administrant de l’ivermectine au moment de l’infection [ 18 ]. Outre les nombreux essais cliniques actuellement en cours sur le SARS-CoV-2 (voir ci-dessous), la seule autre étude rapportée jusqu’à présent concerne un essai de phase III sur l’infection par le virus de la dengue [ 40 ]. Près de 70 % de la population mondiale dans plus de 120 pays est actuellement menacée par des infections à flavivirus transmises par les moustiques, avec environ 100 millions d’infections symptomatiques par le virus de la dengue et jusqu’à 25 000 décès par an dus à la dengue hémorragique [ 41 , 42 ], malgré des programmes sophistiqués de lutte antivectorielle à grande échelle. Quant au virus ZIKV étroitement apparenté (à l’origine de grandes épidémies dans les Amériques en 2015/2016), la pénurie de traitements antiviraux et les difficultés à développer des vaccins efficaces entravent la lutte contre la maladie. Les données cliniques publiées sous forme préliminaire pour l’essai de phase III en Thaïlande [ 40 ] indiquent une activité antivirale ; une dose quotidienne (0,4 mg/kg) s’est avérée sûre et a une efficacité virologique, mais aucun bénéfice clinique clair n’a été signalé, potentiellement en raison du moment de l’intervention. Les auteurs ont conclu qu’une modification du schéma posologique était nécessaire pour garantir un bénéfice clinique [ 40 ]. Cette étude souligne à la fois le potentiel de l’ivermectine à réduire la charge virale dans un contexte clinique et met en évidence la complexité d’une intervention rapide et de schémas posologiques efficaces pour obtenir un réel bénéfice clinique sur le terrain.

6. Un traitement viable contre le SRAS-CoV-2 ?

Malgré les efforts déployés dans de nombreux domaines, la pandémie actuelle de SARS-CoV-2 a désormais éclipsé l’épidémie de grippe porcine en termes de nombre d’infections (approchant rapidement les 30 millions) et de décès (> 930 000) dans le monde. La recherche d’antiviraux contre le SARS-CoV-2 par le biais du réemploi de médicaments existants s’est avérée difficile (par exemple, voir [ 43 , 44 , 45 , 46 , 47 ]), l’un des aspects importants du réemploi étant le besoin perçu d’atteindre des niveaux thérapeutiques dans les poumons. La modélisation pharmacocinétique publiée basée à la fois sur les niveaux d’ivermectine atteignables dans le sérum humain à partir d’un dosage standard de traitement parasitaire et sur des expériences robustes sur de grands animaux où les niveaux pulmonaires d’ivermectine peuvent être mesurés, indique que les concentrations d’ivermectine sont 10 fois supérieures à la CE 50 d’environ 2,5 μM indiquée par des expériences in vitro (Tableau 1) sont probablement réalisables dans les poumons dans le cas du SARS-CoV-2 [ 48 ] ; la modélisation basée sur différentes hypothèses prédit des valeurs plus faibles, mais souligne la stabilité à long terme de l’ivermectine dans les poumons (pendant plus de 30 jours) sur la base de données animales [ 49 ]. Il convient également de noter que des formulations liquides pour l’administration intraveineuse d’ivermectine à action prolongée ont été décrites, l’administration par aérosol étant également en cours de développement, pour permettre à l’administration d’ivermectine d’atteindre des concentrations encore plus élevées pour lutter contre le SARS-CoV-2, tandis que l’utilisation de l’ivermectine en association avec d’autres agents peut améliorer l’efficacité à des doses plus faibles.

Il existe actuellement plus de 50 essais dans le monde qui testent le bénéfice clinique de l’ivermectine pour traiter ou prévenir le SRAS-CoV-2 (voirTableau 2).

Tableau 2

Résumé des essais cliniques actuels utilisant l’ivermectine pour le SRAS-CoV-2.

Titre, URLStatut 1N 2Interventions 3CommencerEmplacements
1Effet de l’ivermectine sur la réplication du SRAS-CoV-2 chez les patients atteints de COVID-19 ;
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04381884
R45Ivermectine 0,6 mg/kg QD plus SC vs. SC18.5.20CEMIC, Buenos Aires, Ciudad de Buenos Aires, Argentine
2Thérapie combinée à l’ivermectine et au nitazoxanide pour le traitement de la COVID-19 ;
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04360356
New York100Ivermectine 0,2 mg/kg une fois plus NZX 500 mg BID pendant 6 jours vs. SC20.5.20Université de Tanta, Égypte
3Comparaison de l’ivermectine et du placebo pour le traitement des patients atteints de la forme légère à modérée de la COVID-19 ;
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04429711
R100Ivermectine 12–15 mg/jour pendant 3 jours vs. Placebo12.5.20Centre médical Sheba, Ramat-Gan, Israël
4Hydroxychloroquine et ivermectine pour le traitement de l’infection à COVID-19 ;
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04391127
R200Ivermectine 12 mg (< 80 kg) ou 18 mg (> 80 kg) une fois contre HCQ 400 mg BID pendant 1 jour puis 200 mg BID pendant 4 jours contre placebo4.5.20José Manuel Arreola Guerra, Aguascalientes, Mexique
5Efficacité de l’ivermectine chez les patients adultes atteints de la COVID-19 à un stade précoce.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04405843
New York400Ivermectine 0,3 mg/kg par jour pendant 5 jours vs. Placebo20.6.20Colombie
6L’ivermectine dans le traitement des patients atteints de la COVID-19.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04425707
R100Ivermectine (dose non indiquée) vs. SC vs. Ivermectine (dose non indiquée) plus SC9.6.20Hôpitaux d’isolement et de référence pour les patients atteints de COVID-19, Le Caire, Égypte
7Efficacité et sécurité de l’ivermectine et de la doxycycline en association ou en IVE seule chez les patients infectés par la COVID-19 ;
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04407130
E72Ivermectine 0,2 mg/kg une fois plus 200 mg de DOC le jour 1 suivi de 100 mg de DOC deux fois par jour pendant 4 jours contre Ivermectine 0,2 mg/kg une fois par jour pendant 5 jours contre Placebo16.6.20Icddr, B, Dhaka, Bangladesh
8Efficacité de l’ivermectine comme traitement d’appoint chez les patients atteints de la COVID-19.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04343092
C100Ivermectin 0.2 mg/kg once weekly plus HCQ 400 mg QD plus ATM 500 mg QD vs. HCQ 400 mg QD plus ATM 500 mg QD18.4.20General Directorate of Medical City, Bagdad, Baghdad, Iraq
9COVidIVERmectin: Ivermectin for Treatment of Covid-19 (COVER).
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04438850
NY102Ivermectin 0.6 mg/kg QD for 5 days vs. Ivermectin 1.2 mg/kg QD for 5 days vs. Placebo20.6.20Negrar, Verona, Italy; Bologna, Italy; Milan, Italy; Rovereto, Italy; Turin, Italy; Barcelona, Spain; Madrid, Spain
10Efficacy, Safety and Tolerability of Ivermectin in Subjects Infected With SARS-CoV-2 With or Without Symptoms (SILVERBULLET).
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04407507
NY66Ivermectin 12 mg/day for 3 days plus paracetamol 500 mg QID for 14 days vs. Placebo plus paracetamol 500 mg QID for 14 days20.6.20Investigacion Biomedica para el Desarrollo de Farmacos S.A. de C.V., Mexico
11Sars-CoV-2/COVID-19 Ivermectin Navarra-ISGlobal Trial (SAINT).
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04390022
R24Ivermectin 0.4 mg/kg once vs. Placebo14.5.20Clinica Universidad de Navarra, Pamplona, Navarra, Spain
12A Comparative Study on Ivermectin and Hydroxychloroquine on the COVID19 Patients in Bangladesh.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04434144
C116Ivermectin 0.2 mg/kg once plus DOC 100 mg BID for 10 days vs. HCQ 400 mg day 1 then 200 mg BID for 9 days plus ATM 500 mg/day for 5 days2.5.20Chakoria Upazilla Health Complex, Cox’s Bazar, Bangladesh
13Ivermectin vs Combined Hydroxychloroquine and Antiretroviral Drugs (ART) Among Asymptomatic COVID-19 Infection (IDRA-COVID19).
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04435587
NY80Ivermectin 0,6 mg/kg daily for 3 days vs. HCQ 400 mg BID Day 1 then 200 mg BID for 4 days plus Darunavir/ritonavir (400 mg/100 mg) BID for 5 days20.7.20Siriraj Hospital, Bangkok Noi, Bangkok, Thailand
14IVERMECTIN Aspirin Dexametasone and Enoxaparin as Treatment of Covid 19.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04425863
A100Ivermectin 5 mg/mL oral to be repeated 1 week later (dose unlisted)1.5.20Hospital Eurnekian, Buenos Aires, Argentina
15A Preventive Treatment for Migrant Workers at High-risk of Covid-19.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04446104
R5000Ivermectin 12 mg once vs. HCQ 400 mg day 1 then 200 mg/day for 42 days vs. Zinc 80 mg/day plus vitamin C 500 mg/day for 42 days vs. Povidone-iodine throat spray TID for 42 days vs. Vitamin C 500 mg/day for 42 days13.5.20Tuas South Dormitory, Singapore, Singapore
16New Antiviral Drugs for Treatment of COVID-19.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04392427
NY100Ivermectin (dose unlisted) plus NZX (dose unlisted) plus ribavirin 200 mg or 400 mg vs. Control (untreated)20.5.20Mansoura University, Mansoura, Select A State Or Province, Egypt
17Early Treatment With Ivermectin and LosarTAN for Cancer Patients With COVID-19 Infection (TITAN).
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04447235
NY176Ivermectin 12 mg once plus losartan 50 mg/day for 15 days vs. Placebo20.7.20Instituto do Cancer do Estado de São Paulo, Brazil
18Ivermectin in Treatment of COVID-19.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04445311
R100Ivermectin daily (dose unlisted) for 3 days plus SC vs. SC31.5.20Waheed Shouman, Zagazig, Sharkia, Egypt
19Efficacy of Ivermectin in COVID-19.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04392713
R100Ivermectin 12 mg once plus SC vs. SC15.4.20Combined Military Hospital Lahore, Lahore, Punjab, Pakistan
20Ivermectin and Doxycycine in COVID-19 Treatment.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04403555
NY40Ivermectin (dose unlisted) plus DOC (dose unlisted) vs. CQ (dose unlisted)1.6.20Sherief Abd-Elsalam, Tanta, Egypt
21The Efficacy of Ivermectin and Nitazoxanide in COVID-19 Treatment.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04351347
R300Ivermectin (dose unlisted) vs. Ivermectin (dose unlisted) plus NZX (dose unlisted) vs. Ivermectin (dose unlisted) plus CQ (dose unlisted)16.6.20Tanta University, Tanta, Egypt
22Prophylactic Ivermectin in COVID-19 Contacts.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04422561
C 4304Ivermectin 15 mg (40–60 kg), 18 mg (60–80 kg) or 24 mg (> 80 kg) per day, 2 doses 72 h apart vs. Control (untreated)31.5.20Zagazig University, Zagazig, Sharkia, Egypt
23Max Ivermectin- COVID 19 Study Versus Standard of Care Treatment for COVID 19 Cases. A Pilot Study.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04373824
R50Ivermectin 0.2 mg/kg daily for 2 days plus SC vs. SC25.4.20Max Super Speciality hospital, Saket (A unit of Devki Devi Foundation), New Delhi, Delhi, India
24A Study to Compare the Efficacy and Safety of Different Doses of Ivermectin for COVID-19 (IFORS)
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04431466
NY64Ivermectin 0.1 mg/kg once vs. Ivermectin 0.1 mg/kg day 1 and repeated after 72 h vs. Ivermectin 0.2 m/kg once vs. Ivermectin 0.2 mg/kg day 1 and repeated after 72 h vs. SC1.7.20Hospital Univeristário da Universidade Federal de São Carlos (HU-UFSCar), São Carlos, São Paulo, Brazil
25Novel Agents for Treatment of High-risk COVID-19 Positive Patients
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04374019
R240Ivermectin 12 mg (<75 kg) or 15 mg (>75 kg) daily for 2 days vs. HCQ 600 mg/day for 14 days plus ATM 500 mg day 1 then 250 mg/day for 4 days vs. Camostat Mesilate 200 mg TID for 14 days vs. Artemesia annua 50 mg TID for 14 days1.5.20University of Kentucky Markey Cancer Center, Lexington, Kentucky, United States
26Ivermectin-Azithromycin-Cholecalciferol (IvAzCol) Combination Therapy for COVID-19 (IvAzCol)
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04399746
R30Ivermectin 6 mg/day on days 0, 1, 7 and 8 plus ATM 500 mg/day 4 days plus Cholecalciferol 400 IU BID for 30 days vs. Control (untreated)15.3.20Outpatient treatment, Mexico City, Mexico
27USEFULNESS of Topic Ivermectin and Carrageenan to Prevent Contagion of Covid 19 (IVERCAR)
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04425850
A 51195Ivermectin (topical for oral mucosae) plus iota carrageenan (topical for oral mucosae) 5 times per day plus PPE vs. PPE only1.6.20Hospital Eurnekian, Buenos Aires, Argentina
28Novel Regimens in COVID-19 Treatment
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04382846
NY80Ivermectin plus CQ (dose unlisted) vs. Ivermectin plus NZX (dose unlisted) vs. Ivermectin plus NZX plus ATM (dose unlisted) vs. NZX and ATM (dose unlisted)8.5.20Tanta University, Egypt
29Anti-Androgen Treatment for COVID-19
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04446429
NY254Ivermectin 0.2 mg/kg QD plus ATM 500 mg QD vs. Ivermectin 0.2 mg/kg QD plus ATM 500 mg QD plus Dutasteride 0.5 mg QD26.6.20Corpometria Institute, Brasilia, Brazil
30A Real-life Experience on Treatment of Patients With COVID 19
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04345419
R120Ivermectin (dose unlisted) vs. CQ (dose unlisted) vs. Favipiravir (dose unlisted) vs. NZX (dose unlisted) vs. Niclosamide (dose unlisted) vs. other drugs (oseltamivir or combination of above, dose unlisted)16.6.20Tanta university hospital, Tanta, Egypt
31Worldwide Trends on COVID-19 Research After the Declaration of COVID-19 Pandemic (observational)
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04460547
NY200Completed interventional vs. completed observational studies on Ivermectin, Convalescent Plasma, HCQ, DAS181, or Interferon 1A25.7.20Qassim University, Saudi Arabia
32Trial of Combination Therapy to Treat COVID-19 Infection
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04482686
NY300Ivermectin (dose unlisted) day 1 and 4 plus DOC (dose unlisted) for 10 days plus Zinc for 10 days plus Vitamin D3 for 10 days plus Vitamin C for 10 days vs. Placebo22.7.20ProgenaBiome, California, USA
33Randomised clinical trial of ivermectin for treatment and prophylaxis of COVID-19
https://www.clinicaltrialsregister.eu/ctr-search/trial/2020-001994-66/ES
O266Ivermectin (dose unlisted) vs. Placebo8.5.20Fundació Assistencial Mútua Terrassa, Spain
34Multicenter, randomized, double-blind, placebo-controlled study investigating efficacy, safety and tolerability of ivermectin HUVE-19 in patients with proven SARS-CoV-2 infection (COVID-19) and manifested clinical symptoms.
https://www.clinicaltrialsregister.eu/ctr-search/trial/2020-002091-12/BG
O120Ivermectin 0.4 mg/kg plus SC vs. Placebo plus SC5.5.20Bulgaria (9 sites)
35Efficacy of hydroxychloroquine, ciclesonide and ivermectin in treatment of moderate covid-19 illness: an open-label randomised controlled study (EHYCIVER-COVID)
http://ctri.nic.in/ClinicaltrialsCTRI/2020/04/024948
NY120Ivermectin 12 mg/day for 7 days vs. Ciclesonide 0.2 mg/kg BID for 7 days vs. HCQ 400 mg BID Day 1 then 200 mg BID for 6 days vs. SC15.5.20New Delhi, India
36A Phase IIB open label randomized controlled trial to evaluate the efficacy and safety of Ivermectin in reducing viral loads in patients with hematological disorders who are admitted with COVID 19 infection
http://ctri.nic.in/ClinicaltrialsCTRI/2020/04/025068
NY50Ivermectin 3 mg (15–24 kg) or 6 mg (25–35 kg) or 9 mg (36–50 kg) or 12 mg (51–65 kg) or 15 mg (66–79 kg) or 0.2 mg/kg (80 kg) once vs. SC27.5.20Christian Medical College Vellore, TAMIL NADU, India
37Interventional study to assess the efficacy of Ivermectin with standard of care treatment versus standard of care in patients of COVID-19 at R D Gardi Medical College, Ujjain, India
http://ctri.nic.in/ClinicaltrialsCTRI/2020/04/025224
NY50Ivermectin 12 mg/day for 2 days plus SC vs. SC24.5.20R D Gardi Medical College, Ujjain, Madhya Pradesh, India
38Study to assess the efficacy of Ivermectin as prophylaxis of COVID 19 among health care workers and COVID 19 contacts in Ujjain, India;
http://ctri.nic.in/ClinicaltrialsCTRI/2020/04/025333
NY2000Ivermectin 12 mg/day (adult) or 6 mg/day (children) for 2 days vs. Control27.5.20R D Gardi Medical College, Ujjain, Madhya Pradesh, India
39Randomised Controlled Trial of Ivermectin in hospitalised patients with COVID19 (RIVET-COV).
http://ctri.nic.in/ClinicaltrialsCTRI/2020/04/026001
NY60Ivermectin single dosing of 0.2 mg/kg vs. Ivermectin 0.4 mg/kg vs. Ivermectin 0.8 mg/kg vs. Ivermectin 1.6 mg/kg vs. Ivermectin 2 mg/kg vs. SC25.6.20New Delhi, India
40A Prospective, randomized, single centred, open labelled, two arm, placebo-controlled trial to evaluate efficacy and safety of Ivermectin drug in patients infected with SARS-CoV-2 virus;
http://ctri.nic.in/ClinicaltrialsCTRI/2020/04/025960
NY100Ivermectin 12 mg/day for 3 days vs. SC18.6.20Symbiosis University Hospital and Research Centre, Maharashtra, India
41A Clinical Trial to Study the Efficacy of “Ivermectin” in the prevention of Covid-19. A Single Arm Study.
http://ctri.nic.in/ClinicaltrialsCTRI/2020/04/026232
NY50Ivermectin 0.2 mg/kg once10.7.20DVFM, Andhra Pradesh, India
42Ivermectin Nasal Spray for COVID19 Patients.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04510233
NY60Ivermectin nasal spray (1 mL) in each nostril BID vs. Ivermectin oral (6 mg) TID vs. SC10.8.20Tanta University, Tanta, Egypt
43Outpatient use of ivermectin in COVID-19.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04530474
NY200Ivermectin 0.15–0.2 mg/kg (max 12 mg) once vs. Placebo26.8.20Temple University Hospital, Philadelphia, USA
44Ivermectin to prevent hospitilizations in COIVD-19.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04529525
R500Ivermectin 12 mg (48–80 kg) or 18 mg (80–110 kg) or 24 mg (>100 kg) at inclusion and again at 24h vs. Placebo21.8.20Ministry of Public Health, Province of Corrientes, Argentina
45Clinical trial of ivermectin plus doxycycline for the treatment of confirmed Covid-19 infection.
https://ClinicalTrials.gov/show/NCT04523831
R400Ivermectin 6 mg and doxycycline 100 mg BID for 5 days vs. Placebo19.8.20Dhaka Medical College, Dhaka Bangladesh
46Pilot study to evaluate the potential of ivermectin to reduce COVID-19 transmission.
https://www.clinicaltrialsregister.eu/ctr-search/trial/2020-001474-29/ES
O24Ivermectin (dose unlisted) vs. Placebo8.5.20Clinica Universidad de Navarra, Pamplona, Spain
47Dose-Finding study of Ivermectin treatment on patients infected with Covid-19: A clinical trial.
https://en.irct.ir/trial/47012
A125Ivermectin 0.2 mg/kg single dose plus SC vs. Ivermectin 0.2 mg/kg day 1, 2, 5 plus SC vs. Placebo plus SC vs. Ivermectin 0.4 mg/kg day 1 and 0.2 mg/kg day 2, 5 vs. SC4.5.20Qazvin University of Medical Sciences, Qazvin, Iran
48In vivo use of ivermectin (IVR) for treatment for corona virus infected patients: a randomized controlled trial.
http://www.chictr.org.cn/showprojen.aspx?proj=54707
NY60Ivermectin single dose 0.2 mg/kg vs. Placebo10.6.20Rayak Hospital, Riyaq, Lebanon
49A randomized clinical trial study, comparison of the therapeutic effects of Ivermectin, Kaletra and Chloroquine with Kaletra and Chloroquine in the treatment of patients with coronavirus 2019 (COVID-19).
http://en.irct.ir/trial/48444
A60Ivermectin 0.15–0.2 mg/kg single dose day 1 plus HCQ 200 mg day 1 plus Lopinavir/Ritonavir 400/100 mg days 2–6 vs. HCQ 200 mg day 1 plus Lopinavir/Ritonavir 400/100 mg days 2-630.5.20Ahvaz Razi Hospital, Ahvaz, Iran
50A double-blind clinical trial to repurpose and assess the efficacy and safety of ivermectin in COVID-19.
http://isrctn.com/ISRCTN40302986
R45Ivermectin 6 mg every 3.5 days for 2 weeks vs. Ivermectin 12 mg every 3.5 days for 2 weeks vs. Placebo23.4.20Lagos University Teaching Hospital, Lagos, Nigeria
51Effectiveness of Ivermectin in the Treatment of Coronavirus Infection in Patients admitted to Educational Hospitals of Mazandaran in 2020.
https://en.irct.ir/trial/49174
R60Ivermectin 0.2 mg/kg once plus SC vs. SC21.5.20Bouali Hospital, Sari, Iran
52Subcutaneous Ivermectin in Combination With and Without Oral Zinc and Nigella Sativa: a Placebo Randomized Control Trial on Mild to Moderate COVID-19 Patients.
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/study/NCT04472585
R40Ivermectine 0,2 mg/kg injection sous-cutanée tous les 2 jours plus SC vs. Ivermectine 0,2 mg/kg injection sous-cutanée tous les 2 jours plus 80 mg/kg Nigella Sativa orale QD plus SC vs. Ivermectine 0,2 mg/kg injection sous-cutanée tous les 2 jours plus 20 mg Sulfate de zinc oral TID plus SC vs. Placebo plus SC14.7.20Hôpital Cheikh Zayed, Lahore, Pakistan
53Étude pragmatique « CORIVER » : l’ivermectine comme traitement antiviral pour les patients infectés par le SARS-COV2 (COVID-19).
https://www.clinicaltrialsregister.eu/ctr-search/trial/2020-001971-33/ES
O45Ivermectine 0,2–0,4 mg/kg (régime non répertorié) vs. HCQ 400 mg vs. ATM 500 mg vs. Placebo22.7.20Hôpital universitaire Virgen de las Nieves, Grenade, Espagne
54Efficacité et sécurité de l’ivermectine pour la prévention de l’infection par le Covid-19 chez le personnel de santé colombien à tous les niveaux de soins, pendant la pandémie de 2020 : un essai clinique contrôlé randomisé.
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/record/NCT04527211
New York550Ivermectine 0,2 mg/kg par semaine pendant 7 semaines vs. Placebo7.9.20Université pontificale Javeriana, Valle Del Cauca, Colombie

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1 R, Recrutement, NY, Pas encore de recrutement, A, Actif ne recrutant pas, C, Terminé, E, Inscription sur invitation, O, en cours 2 Nombre de patients 3 SC, soins standard, QD, une fois par jour, BID, deux fois par jour, QID, 4 fois par jour, TID, 3 fois par jour, EPI, équipement de protection individuelle, vs. versus, HCQ, hydroxychloroquine (l’approbation de la Food and Drug Administration américaine a été annulée pour la COVID-19) [ 44 , 45 ] ; DOC, doxycycline ; CQ, chloroquine, ATM, Azithromycine, NZX, Nanozoxide 4 Les données brutes pour les contacts familiaux étroits asymptomatiques de patients COVID confirmés montrent que 2 doses d’ivermectine à 72 h d’intervalle ont entraîné la déclaration de symptômes d’infection par le SRAS-CoV-2 chez seulement 7,4 % des 203 sujets, contrairement aux sujets témoins non traités, dont 58,4 % ont signalé des symptômes ; preuve de prophylaxie. Les résultats préliminaires pour 1195 sujets sont compatibles avec la prophylaxie [ 50 ].

Il s’agit notamment de variations sur les thérapies combinées (voir [ 51 , 52 ]), les schémas posologiques et les protocoles prophylactiques. En ce qui concerne ce dernier, les résultats préliminaires de l’étude NCT04422561 récemment achevée (Tableau 2, n° 22), qui examine les contacts familiaux asymptomatiques de patients COVID confirmés, montrent que deux doses d’ivermectine à 72 heures d’intervalle entraînent seulement 7,4 % des 203 sujets signalant des symptômes d’infection par le SRAS-CoV-2, ce qui contraste fortement avec les sujets témoins non traités, dont 58,4 % ont signalé des symptômes, soulignant le potentiel de l’ivermectine comme prophylactique. Il faut espérer que les résultats des essais cliniques randomisés rigoureux répertoriés dansTableau 2Des études seront menées dans les prochains mois pour prouver que l’ivermectine est « la solution idéale » pour traiter ou non l’infection par la COVID-19. Dans ce contexte, il convient de noter que l’ivermectine a déjà été approuvée pour le traitement du SRAS-CoV-2 chez l’homme par la République du Pérou [ 53 ] et dans la région du nord-est de Beni en Bolivie [ 54 ].

7. Conclusions

Une réponse instinctive lors du développement d’agents antiviraux est de s’efforcer d’obtenir une spécificité élevée, ce qui rend l’idée d’agents ciblant spécifiquement un composant ou une fonction virale particulière attrayante, car, idéalement, ils évitent la possibilité d’impacter la fonction de l’hôte. Cependant, la forte propension des génomes viraux, et en particulier ceux des virus à ARN, à muter et à évoluer signifie que la sélection pour la résistance peut être trop répandue (par exemple, pour le VIH). Il est important de noter que la spécificité élevée d’un agent pour un virus particulier signifie également inévitablement que son utilité contre un virus distinct peut être limitée ou inexistante. Ainsi, il n’est pas surprenant que des antiviraux réutilisés actifs contre la grippe ou le VIH, par exemple, puissent s’avérer efficaces contre des flavivirus ou des coronavirus éloignés.

En revanche, les antiviraux dirigés vers l’hôte peuvent être réutilisés plus facilement, tant que les virus en question s’appuient sur la même voie/fonction de l’hôte pour une infection robuste, simplement parce que la voie/fonction de l’hôte ciblée est la même [ 14 , 28 ]. Bien que la complication potentielle ici soit le tropisme tissulaire viral (par exemple, le sang ou le poumon dans le cas d’infections virales systémiques ou respiratoires) et les considérations pharmacocinétiques qui l’accompagnent, la sélection de la résistance virale est largement contournée dans ce scénario. Tant que la toxicité n’est pas un problème, les agents dirigés vers l’hôte ont ainsi le potentiel d’être de véritables agents à large spectre contre divers virus différents qui s’appuient sur une voie hôte commune. Le fait que tant de virus s’appuient sur l’importation nucléaire dépendante de l’IMPα/β1 pour une infection robuste ([ 14 , 27 , 28 ] et voir ci-dessus) signifie que les agents ciblant cette voie ont un véritable potentiel pour être des antiviraux à large spectre. Après des décennies d’utilisation sur le terrain, l’ivermectine « répond clairement aux critères » en termes de sécurité humaine, mais il faudra attendre les prochains mois pour savoir si elle sera la molécule qui prouvera ce principe, d’une manière ou d’une autre, pour savoir sans équivoque dans le cas du SRAS-CoV-2.

Remerciements

Nous remercions Andrew Owen (Université de Liverpool, Royaume-Uni), Anudeep Talagavadi Channaiah (Topiwala National Medical College et BYL Nair Charitable Hospital, Inde) et Joe Mymryk (Université de Western Ontario, Ontario) pour avoir partagé leurs publications récentes.

Abréviations

VIH-1, virus de l’immunodéficience humaine ; VLP, particule de type viral ; PSV, virus de la pseudorage ; T-ag, grand antigène T du SV40 ; VSV-G, glycoprotéine du virus de la stomatite vésiculaire ; YFV (virus de la fièvre jaune) ; WNV, virus du Nil occidental ; DENV, virus de la dengue ; ZIKV, virus Zika ; VEEV, virus de l’encéphalite équine vénézuélienne ; PCR, réaction en chaîne par polymérase (génomes viraux) ; CPE, effet cytopathogène (cellule hôte) ; pfu, unités formant des plaques (virus infectieux) ; CFI, test de fluorescence cellulaire (immunomarquage du virus) ; TCID, dose infectieuse en culture tissulaire (estimation de la charge virale basée sur le CPE).

Contributions des auteurs

Conceptualisation : DAJ ; rédaction — préparation de la version originale : DAJ, KMW ; rédaction — révision et édition : DAJ, KMW Tous les auteurs ont lu et accepté la version publiée du manuscrit.

Financement

Les auteurs reconnaissent le soutien financier du National Health and Medical Research Council Australia (Senior Principal Research Fellowship APP1002486/APP1103050) au DAJ

Conflits d’intérêts

Nous confirmons qu’il n’y a aucun conflit d’intérêt associé à cette publication, ni aucun soutien financier significatif à ce travail qui aurait pu influencer son résultat.

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Supers médecins : insensibles au covid et indemnes des potentiels effets secondaires des vaccins

Par Gérard Maudrux
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Des professions ont été plus exposées que d’autres au covid. Parmi celles-ci, les professions de santé, qui ont été amenées à côtoyer plusieurs patients contaminés tous les jours, pendant des mois. Il est logique que ces professions aient été plus contaminées et aient payé un plus lourd tribut que d’autres dans cette épidémie, d’autant plus que la protection de ces professions a été complètement négligée par les autorités.

La Caisse de Retraite des Médecins de France (CARMF) publie chaque année son rapport d’activité assorti des dernières statistiques. J’attendais avec impatience les derniers chiffres pour faire le bilan de cette épidémie dans cette profession, la plus exposée face à la maladie et face aux effets indésirables possibles des vaccins, parfois graves voire mortels, car en théorie vaccinée à 100 %.

Dès le début de la crise, avec le président de la caisse, nous avions pensé qu’il était intéressant de suivre de près cette profession, savoir combien attrapaient la maladie, qui prenait quoi comme traitement et quels en étaient les résultats. Tous étaient bien placés pour remplir de bons dossiers, et la caisse était également bien placée pour colliger tous ces dossiers, recevant en premier toute déclaration d’affection nécessitant un arrêt de travail.

Malheureusement ce désir de connaissance de ce qui pouvait se faire à l’heure où il n’y avait pas de traitement connu, n’était pas partagé par tous. Une demande avait été faite le 24 mars 2020 au ministre qui n’a pas répondu, pas plus qu’il n’a répondu à la relance du 3 avril, alors que dans le même temps il répondait favorablement à un de ses amis neurologue grenoblois pour la prise d’hydroxychloroquine. L’Ordre des médecins, informé par politesse, a eu une réponse immédiate défavorable. Il ne fallait donc pas savoir ce qui pouvait donner des résultats positifs, et grande nouveauté en médecine, cacher ce qui pourrait marcher.

Alors aujourd’hui, si on ne peut toujours pas savoir si les médecins se sont soignés et avec quoi, on en connaît au moins le résultat précis avec le recul, et le résultat est impressionnant. L’adage veut que les cordonniers soient les plus mal chaussés, les médecins font exception. Si la population française et mondiale a connu une mortalité covid de 0,2 %, et connaissent une surmortalité post covid importante en cours d’investigation, les médecins de France n’ont connu ni mortalité liée à la maladie, ni surmortalité post-covid, c’est même le contraire alors qu’ils auraient dû payer un plus lourd tribut. Soit ce sont des surhommes (et femmes), soit ils ont été bien traités.

LES CHIFFRES

Voici la mortalité des médecins cotisants, au nombre de 124 433 au 1 juillet 2023, population non négligeable et statistiquement significative. On constate au vu des 4 années pré-covid et des 4 années post covid que l’épidémie n’a eu strictement aucune incidence, avec même baisse moyenne des décès de 10 % !

Pour regarder ces chiffres, il faut savoir que depuis toujours la caisse établit ses statistiques du 1 juillet au 30 juin de l’année suivante. Ainsi les 167 décès de 2023, ne sont pas ceux du 1er janvier au 31 décembre 2023, mais du 1er juillet 2022 au 30 juin 2023. Ainsi 2020 n’englobe que la première vague de 2020, les suivantes sont sur 2021 qui en aura vu 3.

Ces chiffres sont bruts et non lissés : on pourrait penser que 2020 a vu 30 décès de plus dus au covid, mais 2019 est une année exceptionnelle. Si on prend la moyenne des 4 années précédentes (2016-2019), soit 183 décès/an, il n’y a pas eu d’augmentation avec 179 décès en 2020. Ceci sur la mortalité globale, car on ne peut nier quelques décès covid, mais pas plus que toute autre cause de décès, car sans aucune incidence sur cette mortalité globale.

Même si l’on admet 23 décès supplémentaires recensés par la CARMF fin juin 2020 (« du » ou « avec » le covid… ), 23/124 000, cela fait donc 0,018 % de mortalité, soit 10 fois moins que les autres populations, et 15 à 20 fois moins si l’on tient compte de l’âge des médecins (cf infra). Aucun décès supplémentaire pour 2021, (toujours dans la moyenne des 5 années précédentes), alors que de juillet 2020 à juillet 2021 la France a comptabilisé 6 fois plus de décès covid qu’au cours du premier semestre 2020. 

Au total, au 30 juin 2023, la France aura comptabilisé 168 000 décès mention covid (source Santé Publique France) pour une population de 52 millions de plus de 40 ans, soit 0,3 %. Ce taux appliqué à la population médicale active aurait dû donner 372 décès, or l’analyse des décès sur cette période ne montre pas de surmortalité. Pire la population médicale est dans une tranche d’âge où la mortalité en population générale se situe plus à 0,4-0,5 %. 7 % des actifs ont plus de 70 ans, 30 % entre 60 et 70 ans, et 25 % de 50 à 60 ans, soit près des 2/3 ont plus de 50 ans (62 %).

Les médecins ne connaissent pas non plus de surmortalité post covid ces trois dernières années. Au contraire, il y a baisse de la mortalité globale de 11 % (166 décès en moyenne pour 2021-2023, contre 187 décès en moyenne pour 2016-2020).

D’autres éléments sont à préciser :

Y a-t-il baisse de la population médicale pouvant expliquer en partie une baisse de la mortalité ? Non. 123 144 cotisants en 2016, 124 433 en 2023.

Y a-t-il un rajeunissement des médecins pouvant expliquer en partie une baisse de la mortalité ? Non. Âge moyen des décès en 2016 : 60,4 ans, 2023 : 61,2 ans. Par contre âge moyen des cotisants en 2020 : 53 ans, en 2023 : 51,5 ans.

Précisons également que ces chiffres concernent les médecins actifs cotisants. Les médecins retraités actifs ne sont pas dans cette cohorte, et nous n’avons malheureusement pas le décompte des décès dans cette catégorie. Il y a juste en 2020 que la CARMF signale en fin de période (juin 2020) 3 décès covid pour 12 598 retraités en activité, soit 0,024 % de décès pour un âge moyen de près de 71 ans, soit encore 30 fois moins pour la tranche d’âge équivalente dans la population nationale. En 2023 il y avait 13 074 médecins en cumul retraite/activité (âge moyen 71,7 ans).

Les médecins retraités ont-ils été autant touchés que la population générale ? Non. De 1 502 décès sur 62 490 retraités en 2016, soit 2,4 %, on passe à 2 052 décès en 2023 sur 89 361 retraités, soit 2,3 %. Moyenne 2016-20219 = 2,4 % ; moyenne 2020-2023 = 2,4 %. Âge moyen des retraités : 73,3 ans en 2016, 74,3 ans en 2023. Âge moyen au décès des retraités : 83,5 ans en 2016, 84 ans en 2023. Les médecins retraités vivent plus vieux, meurent plus tard, la dernière crise n’a eu aucune incidence sur cette population.

TRÊVE D’HYPOCRISIE

Non les médecins ne sont pas des surhommes, ce sont des gens comme vous et moi, ni plus solides, ni plus fragiles. Pour expliquer pourquoi les médecins ont eu 10 à 20 fois moins de décès que prévu, arrêtons de nous voiler la face, regardons les choses en face et cessons toute hypocrisie. Nous savons ce qu’ont fait les médecins : ils ne se sont pas laissés mourir sans traitement, ils ne sont pas bêtes et ne sont pas non plus des anges.

Croyez-vous vraiment qu’en cas d’infection, ils n’ont rien pris sinon du Doliprane, attendant d’appeler le Samu quand cela allait mal, et qu’ils ont demandé à un collègue de les mettre au Rivotril sans rien essayer avant si cela tournait mal ? Soyons sérieux. Chacun y est allé de sa petite recette et il est regrettable que les autorités aient volontairement empêché que l’on sache qui a pris quoi, afin que la population ne puisse bénéficier d’aucun traitement possiblement efficace. On s’en doutait à la lecture du livre d’Agnès Buzyn, mais Patrick Pelloux a été très clair : ils ont tous pris de l’hydroxychloroquine.

OUVRIR (Télématin 3 avril 2020)

J’ai un ami médecin qui devrait être mort aujourd’hui s’il avait suivi les consignes gouvernementales, du « Conseil scientifique », de l’Académie de médecine et de bien d’autres qui vous veulent du bien (qu’ils disent !). Il cochait 7 cases concernant les facteurs de risques, tous au maximum. Entre autres : 80 ans lorsqu’il a été contaminé, obèse 129 Kg, hémiplégique en fauteuil roulant depuis des années, hypertendu, diabétique. Sous Doliprane, c’était la mort certaine. Une fois le résultat positif reçu, il a pris Ivermectine (que je lui ai conseillé), Hydroxychloroquine (que son cousin urgentiste lui a conseillé, ni lui ni moi n’étions au courant des 2 conseils) et Azithromycine. 

Il s’en est très bien sorti, et si vous ne me croyez pas, son dossier est consultable à l’Hôpital de jour du HUG de Genève où il a passé 24 heures. Fidèle correspondant quand j’étais en activité, pilier qui m’a secondé dans l’aventure SOS Retraite m’ayant porté à la présidence de la caisse de retraite, 84 ans et toujours là, je lui dédie ce billet. Il a montré qu’il ne faut jamais baisser les bras.  Par contre sa femme, avec un seul facteur de risque (problèmes pulmonaires), contaminée 24 heures plus tard, elle a refusé ces traitements (médecin CNRS, des bêtises ces traitements,..), et a passé 3 semaines en réanimation et 3 mois à l’hôpital, sortant sous oxygène. Elle ne doit d’être en vie que grâce au refus d’intubation et parce qu’un autre cousin a fait arrêter une sédation mise en place. Ce couple fait la démonstration que se contenter de Doliprane, inefficace rappelons le, peut être très dangereux, et qu’il y a d’autres options efficaces, même dans les pires cas.

Quand on traite, même dans les pires cas, cela marche. Les mêmes résultats ont été obtenus dans les ehpads sur des populations à risques, et il n’y a aucune publication négative sur cette population traitée.

Même chose pour la surmortalité constatée dans le monde entier, en cours d’investigation, avec comme seule cause commune avancée par certains : les vaccins. Population vaccinée à 100 % de vaccinés et aucune surmortalité constatée chez les médecins, contredisant cette hypothèse. Alors là encore, ne nous voilons pas la face. Je ne dis pas qu’ils ont fait semblant de se vacciner, et si c’est le cas combien l’ont fait, personne n’en sait rien et n’en saura rien, je constate simplement que, le cas échéant, ils étaient les mieux placés pour le faire. Après chacun peut penser ce qu’il veut.

Ils étaient aussi les mieux placés pour savoir qu’il y avait des risques. J’en veux pour preuve ce qui s’est passé au Conseil de l’Ordre des Médecins de la Moselle au tout début des vaccinations. J’ai entre les mains des mails envoyés par cet Ordre aux professions de santé. 

Ils avaient organisé une première séance de vaccinations pour les professions de santé, un succès, 500 vaccinés avec Pfizer. Ils ont donc voulu récidiver, en proposant début février 2021 une nouvelle séance, prévue pour 500 personnes, l’ARS leur délivrant cette fois de l’Astra Zeneca.

Mail du 16 février 2021 : 

« Mon précédent mail vous proposait une nouvelle campagne de vaccination organisée par votre conseil les 6 et 7 mars prochains, avec le vaccin ASTRA ZENECA. 

On ne peut pas dire que ce vaccin a rencontré un franc succès puisque seules quarante inscriptions nous sont parvenues.

Par contre, le passage de Mr VERAN à Metz il y quelques jours a semble-t-il permis de débloquer certains stocks de vaccins.

Nous vous proposons donc aux mêmes dates de vous vacciner au siège du conseil avec le vaccin PFIZER.

Nous ouvrons cette vaccination aux médecins mais aussi aux conjoints et au personnel des cabinets, infirmières. »

Mail du 17 février 2021 :

« Nous avons dépassé notre capacité à vacciner en à peine 24 heures. Merci de ne plus envoyer vos demandes d’inscription car nous ne pourrons pas les prendre en compte. »

Mail du 18 février 2021 :

« Hier soir nous avons eu confirmation de notre dotation… nous disposerons d’environ 500 doses de vaccins Pfizer, et nous aurons aussi le même nombre de doses à J21. »

C’est la preuve que les médecins savaient dès les premières semaines ce qu’ils injectaient aux patients, n’en voulant pas pour eux-mêmes. Les vaccins refusés par les médecins (AstraZeneca), car présentant des risques, ont donc été réservés aux patients. Tout ceci organisé par les garants et la police de l’éthique médicale : l’Ordre des médecins, l’ARS, et semble-t-il sur intervention d’Olivier Véran, cité dans le mail de l’Ordre, pour inverser les vaccins.

Pour ces vaccins, ils savaient qu’il y avait des risques, ont-ils tous pris ces risques ? Cela ne se voit pas dans les chiffres, ou alors c’est qu’il n’y avait strictement aucun risque. Mais alors, quelle est donc cette nouvelle épidémie masquée, responsable de surmortalité et de sous-natalité, dont la profession médicale est naturellement protégée ?

À vous de vous faire votre propre opinion, tous les chiffres sont disponibles, vérifiables ICI. Ils démontrent que sur une population âgée de 210 000 personnes (actifs + retraités), avec 4 ans de recul, le covid traité n’est pas plus méchant qu’une bonne grippe.

Supers médecins : insensibles au covid et indemnes des potentiels effets secondaires des vaccins Lire la suite »

Le contexte médical occidental en 2023 – Partie I

Première partie (sur trois parties) de la présentation du contexte médical occidental actuel et de l’urgence qu’il y a à s’intéresser à la diététique, à la médecine et à la pharmacopée chinoises.
Par Patrick Ledrappier, Président co-fondateur de Libre Consentement Éclairé
Retrouvez les autres parties et vidéos sur la chaîne Médecine et Diététique Chinoises

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L’Ivermectine pourrait vaincre la résistance à la chimiothérapie des turbo cancers causés par les vaccins à ARNm

Note : le partage de cet article n’a qu’une valeur informative. Une exploration plus approfondie de son propos est laissée à l’appréciation du lecteur.
Traduction : Translate Web Pages
Source

Un oncologue, chercheur en cancer et auteur a récemment partagé une étude selon laquelle les turbo-cancers résistants à la chimiothérapie causés par les vaccins à ARNm du coronavirus de Pfizer et Moderna Wuhan (COVID-19) peuvent être vaincus par l’ivermectine, un médicament antiparasitaire controversé connu pour atténuer les symptômes de virus tels que Comme le coronavirus. Les autorités sanitaires ont démenti cette information et n’ont pas autorisé ni approuvé son utilisation chez l’homme à cette fin.

Dans un bulletin d’information Substack, le Dr William Makis a cité un article de 2020 (par Juarez et al) sur les effets antitumoraux de l’ivermectine à des concentrations cliniquement réalisables où il s’est avéré qu’elle soutenait son développement clinique en tant que médicament anticancéreux repositionné.

Selon l’étude, à une dose humaine de deux mg/kg, l’ivermectine peut avoir des effets anticancéreux tels que l’arrêt du cycle cellulaire (inhiber la prolifération), l’inhibition préférentielle des cellules souches cancéreuses, la synergie avec plusieurs médicaments de chimiothérapie et l’inhibition de la croissance tumorale. dans un modèle murin de cancer du sein.

L’ivermectine a été testée à deux mg/kg/jour, ce qui correspond à une concentration in vitro d’environ 5 µM. Ils ont découvert que le médicament s’attaque aux cellules souches cancéreuses, qui ont tendance à être résistantes à la chimiothérapie.

« L’ivermectine a un effet de déplétion préférentiel sur la population de cellules souches cancéreuses », ont inclus les auteurs dans la recherche. « Nous avons observé que parmi toutes les lignées cellulaires évaluées, une diminution de la viabilité cellulaire et de la clonogénicité est plus évidente dans les cellules cancéreuses que dans leur population parentale. »

Il a également révélé que les lignées cellulaires cancéreuses les plus sensibles étaient celles de l’ovaire, du sein, du glioblastome (cerveau), du poumon, du côlon, du carcinome épidermoïde utérin (SCC), du cancer hépatocellulaire, du sein triple négatif (TNBC), du pancréas et de l’endomètre.

Pendant ce temps, les moins sensibles étaient l’ostéosarcome, l’estomac et le mélanome.

De plus, selon l’étude, les lignées cellulaires de lymphome et de leucémie semblent être plus résistantes à l’ivermectine, mais le médicament a un impact significatif sur la capacité de ces cellules à former des colonies. (Connexe : l’ivermectine peut « tuer les cellules cancéreuses » et stimuler la réponse immunitaire, suggèrent les experts de la santé .)

Makis a en outre souligné qu’il s’agissait de la première étude qu’il avait vue qui avait testé jusqu’à 28 types de cancer avec l’ivermectine.

« Pas étonnant que cela soit caché au public », a-t-il commenté.

NOUVEL ARTICLE : IVERMECTINE Testé contre 28 types de cancer – quels cancers étaient les plus sensibles à l’ivermectine ? Lesquels étaient les moins sensibles ?

Un groupe de recherche du Mexique a étudié l’ivermectine dans le cancer

Article : 2020 (Juarez et al) – Effets antitumoraux de l’ivermectine sur le plan clinique… pic.twitter.com/xWhgEBa1uv

– William Makis MD (@MakisMD) 26 août 2024

La FDA a supprimé les publications sur les réseaux sociaux décourageant l’utilisation de l’ivermectine pour le COVID-19, mais les médias grand public semblent avoir manqué cela.

En mars dernier, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a accepté de supprimer définitivement ses publications sur les réseaux sociaux exhortant les gens à éviter d’utiliser l’ivermectine pour le COVID-19.

L’une des pages que l’agence a supprimée était une page qui disait : « Dois-je prendre de l’ivermectine pour prévenir ou traiter le COVID-19 ? Non. » Il a également supprimé des messages, dont un qui disait : « Vous n’êtes pas un cheval. Tu n’es pas une vache. Sérieusement, vous tous. Arrêtez ça.

Cette décision a été prise à la suite d’un procès avec règlement déposé auprès d’un tribunal fédéral du Texas qui a ordonné à l’agence de supprimer une autre page intitulée « Pourquoi vous ne devriez pas utiliser l’ivermectine pour traiter ou prévenir le COVID-19 dans les 21 jours ».

L’article indiquait que l’ivermectine n’était ni autorisée ni approuvée pour prévenir ou traiter le COVID-19 chez les humains ou les animaux. Il affirme également que les preuves ne soutiennent pas l’efficacité de l’ivermectine contre le coronavirus.

Le 2 juin 2022, les docteurs Paul Marik, Mary Talley Bowden et Robert Apter ont intenté une action en justice contre la FDA et son secrétaire Robert Califf, ainsi que contre le ministère de la Santé et des Services sociaux et son secrétaire Xavier Becerra. Ils ont accusé la FDA de s’immiscer dans leur capacité à exercer la médecine. Le procès a d’abord été rejeté au motif que la FDA jouissait d’une « immunité souveraine ». Cependant, la Cour d’appel américaine du cinquième circuit a annulé la décision du tribunal inférieur, déclarant que « la FDA n’est pas un médecin » et que « même des doses de conseils médicaux personnalisés de la taille d’un tweet dépassent l’autorité statutaire de la FDA ».

L’ivermectine est approuvée depuis longtemps pour une utilisation chez les animaux et les humains. Chez l’homme, le médicament est recommandé pour traiter les infections parasitaires telles que la cécité des rivières, l’infestation par les vers filiformes, l’éosinophilie tropicale, l’infestation par les ascaris, les trichures, la filariose (également appelée éléphantiasis) et la loase.

Sur X, anciennement Twitter, le Dr Mary Talley Bowden a écrit : « Cette affaire historique crée un précédent important en limitant la portée excessive de la FDA dans la relation médecin-patient. »

De plus, le candidat indépendant à la présidentielle, Robert F. Kennedy Jr, a déclaré dans un tweet : « La FDA a un parti pris contre de nombreuses thérapies génériques et/ou naturelles à faible coût et à faible potentiel de profit. Serait-ce dû au fait que la moitié de son financement provient de Big Pharma ?

L’ivermectine n’est pas un cas exceptionnel. La FDA a un parti pris contre de nombreuses thérapies génériques et/ou naturelles à faible coût et à faible potentiel de profit. Serait-ce dû au fait que la moitié de son financement provient de Big Pharma ? https://t.co/LxpqLuvb6A

– Robert F. Kennedy Jr (@RobertKennedyJr) 22 mars 2024

Le politicien australien Craig Kelly a également qualifié la FDA de « corrompue », déclarant qu’elle avait « du sang sur les mains ».

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Les sources de cet article incluent :

Makismd.substack.com

HindustanTimes.com

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