20 décembre 2024

Mélanie Maupas, touchée par la maladie de Charcot, enfin reconnue comme victime du vaccin Pfizer anti-Covid par la pharmacovigilance

Source : Nexus

Nous avions interviewé Mélanie Maupas, atteinte par la maladie de Charcot depuis sa seconde injection Pfizer, pendant les Rencontres citoyennes autour des effets indésirables du Covid long et des vaccins organisées à Vierzon en février 2023. Nous découvrions alors AAVIC TEAM, l’association dont elle est la vice-présidente aux côtés de son papa Alain, avec qui nous nous sommes entretenus. Il nous a annoncé qu’après plusieurs années, Mélanie a enfin été reconnue comme victime de l’injection anti-Covid par la pharmacovigilance française. Mais le combat n’est pas fini…

◆ De l’errance médicale et du déni

En 2022, Mélanie Maupas partageait son effroyable expérience sur la page Facebook de l’association Verity France après sa deuxième injection anti-Covid. Il a fallu un an et demi d’errance médicale avant que le diagnostic ne tombe : “Ce lundi 7 novembre 2022, le diagnostic tombe. On m’annonce que j’ai la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou plus connue, la maladie de Charcot. L’annonce a été brutale pour moi, ma famille et mes amis… À ce jour, il n’y a que ma jambe droite qui n’est pas touchée… La neurologue me dit que cette maladie est tombée du ciel, ce n’est pas l’injection, mais il faut quand même que je déclare mes symptômes à la pharmacovigilance… Logique ?

◆ Un chemin courageux parsemé d’épreuves

Le parcours d’un malade qui souhaite informer l’État français des effets secondaires potentiellement liés à un médicament peut être littéralement semé d’embûches administratives et juridiques, en plus des symptômes de la maladie. “Au départ, Mélanie a fait elle-même une déclaration auprès de la pharmacovigilance. Elle n’a eu aucun retour. C’est grâce à l’association Solidekla qui aide les malades à monter les dossiers. Un médecin a envoyé le dossier de Mélanie à la pharmacovigilance, avec une vingtaine de rapports de médecins, des scanners, IRM, analyses de sang, etc.”, nous explique Alain Maupas.

◆ Un lien de causalité difficilement envisageable

Rares sont les soignants qui osent écrire ce qu’ils pensent tout bas. Il faut dire que les représailles en France contre ceux qui ne suivent pas la doxa peuvent être féroces. Alain poursuit : “Hormis celui de la pharmacovigilance, aucun médecin ne s’est aventuré à rédiger un rapport faisant officiellement un lien de causalité entre le vaccin et l’état de Mélanie. Ils n’ont pu qu’écrire que ‘suite à l’injection, Mélanie est tombée malade’, mais pas que ‘Mélanie est tombée malade à cause du vaccin’.” “La pharmacovigilance a donc gravi une marche et enfin reconnu l’évidence. Cela nous motive à continuer, et voulons que la France suive le même chemin que l’Allemagne, l’Angleterre ou la Belgique en reconnaissant davantage les erreurs commises pendant la crise sanitaire et les effets secondaires des injections anti-Covid, tout comme ceux du Covid lui-même.

⇒ Voir notre entretien avec Mélanie Maupas en février 2023 à Vierzon :

◆ Une victoire mais encore beaucoup à faire

Deux ans plus tard, après un parcours juridique éprouvant, “Mélanie a enfin été reconnue comme victime du vaccin Comirnaty de Pfizer par la pharmacovigilance il y a un mois et demi environ”, comme nous le rapporte son papa Alain Maupas. “C’est la deuxième personne de notre association à l’avoir été, mais c’est encore trop peu. Dans l’association, nous comptons 22 personnes touchées par la maladie de Charcot encore en vie. Deux sont déjà décédées et celles qui vont de plus en plus mal aujourd’hui sont toutes âgées entre 21 et 50 ans. Dans le service neurologique d’un grand hôpital, ils m’ont confié sans pour autant pouvoir me l’attester par écrit par peur de poursuites, que le nombre de cas de maladies de Charcot auxquels ils font face a augmenté de plus de 20 % entre 2021 et 2022, et de 22 % entre 2022 et 2023. Aujourd’hui, ils font état de plus 800 patients atteints par cette maladie en deux ans, du jamais vu dans ce service.

◆ Une procédure en cours

Lorsque nous demandons le document officiel de pharmacovigilance à Alain, il nous répond ne pas pouvoir nous le fournir à la demande de son avocat, Régis Senet, puisqu’une procédure juridique est en cours. “Nous allons porter plainte contre X au civil et ce document de pharmacovigilance sera ajouté au dossier. Il ne peut être pour l’instant divulgué. Le dossier de Mélanie Maupas sera envoyé sous peu avec une vingtaine d’autres dossiers e au procureur.

Après avoir été reçus au Parlement, nous devions être reçus par le ministre de la Santé, notamment grâce au soutien du député Yannick Monnet, mais il y a eu la dissolution. Puis, alors que nous attendions la réponse de la nouvelle ministre, le Premier ministre, Michel Barnier, est parti. De quoi retarder à nouveau l’échéance. À croire qu’ils le font exprès, qu’ils sentent le vent tourner et qu’ils ne veulent pas faire face à leurs responsabilités.”.

Mélanie Maupas pendant l’été 2023

◆ Un état de santé de plus en plus fragile

Quand nous l’avions rencontrée en février 2023, Mélanie arrivait encore à se déplacer elle-même en fauteuil roulant. Aujourd’hui, même si elle garde son sourire, elle passe la plupart de son temps alitée et ne supporte pas la position assise très longtemps. Alain nous confie, ému : “Son état se détériore. Nous venons d’avoir rendez-vous pour son protocole de fin de vie… Elle ne peut plus rien faire seule, comme je le lui ai dit récemment, elle est redevenue mon bébé.

Mélanie a pourtant essayé une multitude de remèdes, qu’ils soient allopathiques ou non, testés et approuvés ou en cours d’étude. “Mélanie a notamment essayé le traitement expérimental Himalaya qui était voué à faire stagner la maladie ou mieux. Nous avons eu un gros espoir, car cela fonctionnait bien pour notre fille qui faisait partie du panel de 387 patients. Mais comme il y a eu parmi eux des cas d’effets secondaires, et alors que Mélanie elle n’en a eu aucun et souhaitait le poursuivre, ils ont ‘selon la loi’ arrêté le protocole d’essai ! Quand il s’agit d’un essai vaccinal sur la population, on ne prend pas autant de précautions !” s’indigne Alain. “II y aura bientôt un nouveau traitement à partir des cellules du corps du patient qui va être expérimenté à Lille, mais comme nous habitons dans le Sud, Mélanie ne pourra le tester alors qu’il semble très prometteur.

◆ Des victimes esseulées à aider

Nous sommes là pour notre fille, elle est notre priorité. Nous avons investi sans regret nos économies pour que la maison lui soit accessible et pour tous ses frais de santé et juridiques. Certaines victimes, en revanche, ne sont pas entourées et se retrouvent seules dans une grande souffrance physique et psychologique. Avec l’association, nous faisons du mieux que nous pouvons pour les aider, mais comme l’association ne pourra défiscaliser les dons que dans un an, beaucoup de gens qui aimeraient donner ne donnent pas alors qu’il y a un grand besoin.”

Comme le lui ont expliqué certains médecins, même si cette maladie est très souvent incurable, il arrive qu’il se produise des guérisons soudaines, inexpliquées et définitives. Nous ne pouvons que souhaiter à Mélanie que cela lui arrive, elle qui se bat du mieux qu’elle peut contre la maladie, les autorités qui ne veulent pas reconnaître leurs erreurs et pour les autres victimes comme elle…

Pour connaître l’association AAVIC TEAM et adhérer : https://aavicteam.com/

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Depuis la nuit des temps, des ondes pour soigner

Source : AIMSIB

Voilà un article qui ne manquera pas d’attiser l’incrédulité agressive de certains car bien sûr que oui, certains dispositifs générateurs d’ondes admettent bien de larges capacités thérapeutiques, possiblement bien supérieures au potentiel accessible à la simple chimie du médicament conventionnel. Depuis quand et pour quoi faire, c’est Sylvie Henry-Réant, membre du conseil scientifique AIMSIB, qui a répondu pour nous aux questions posées par Esther Einrich : oublier Flexner et le massacre culturel qu’il a réussi à infuser dans nos esprits ? Bonne lecture. 

Esther Einrich : Bonjour Sylvie, tu es formatrice en physique appliquée à la biologie au sein d’Aton Atl depuis 2015. Ton expertise va nous aider à mieux comprendre les possibilités thérapeutiques offertes par l’emploi des ondes sur le corps humain. Nous avons tous entendu parler des machines utilisées en Russie, en Allemagne, en Pologne, en Bulgarie, et dans bien d’autres pays, les praticiens s’en servent depuis longtemps pour soigner l’inflammation, l’arthrose, gérer les suites postopératoires, pallier la douleur, résorber les fractures, renforcer le système immunitaire, réduire les tumeurs, estomper la dépression… Tu veux bien nous faire un bref rappel historique des premières découvertes scientifiques en la matière ?

Sylvie Henry-Réant : L’utilisation d’ondes sur le corps humain date de la nuit des temps. Des hiéroglyphes en Égypte montrent que la baguette de sourcier était utilisée. Au temps des Lumières, Messmer envoyait des ondes et du magnétisme sur les personnes pour les soigner. La vibration sonore a également été utilisée pour soigner les populations en Afrique (tam-tams et tambours, vagues de la mer…). Beaucoup plus tard, c’est Lakhovsky qui a été le précurseur en France. Il pensait que « les maladies ont pour cause un déséquilibre oscillatoire cellulaire provoqué par des causes extérieures ou intérieures ». En conséquence, il suffisait de rééquilibrer les champs entre nos cellules et les ondes cosmiques pour soigner les maladies. Pour Lakhovsky, il n’a jamais été question de détruire les cellules malades, mais de les aider à retrouver leurs oscillations habituelles, leurs propres fréquences de vibration.

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Lakhovsky, entre 1930 et 1940, a guéri des cancers en phase terminale avec un bon taux de réussite. L’appareil demande de la prudence à l’utilisation, car il émet des ondes sous un très haut voltage (basse puissance) et les antennes qui ne doivent pas être touchées, sont très accessibles. Il existe actuellement en France un appareil fonctionnel en banlieue parisienne.
Suite à Lakhovsky, il y a eu une quantité impressionnante de techniciens, ingénieurs, thérapeutes qui ont créé des machines de rééquilibrage, basées sur différents principes théoriques. On peut en citer quelques-unes. Celle du Dr Voll fait de l’électro-acupuncture. La machine Mora est basée sur un principe de radiesthésie où un système électronique est censé enregistrer l’émanation ondulatoire de la personne, en inverser la phase pour la lui renvoyer afin d’annuler le système dysfonctionnel. Il y a également des machines à ondes pulsées (0 – 100 Hz) pour guérir des problèmes essentiellement articulaires ou inflammatoires. Un certain nombre de médecins ont écrit des ouvrages sur le sujet pour vanter leurs réussites mais rares sont ceux qui, comme le Dr Georges Dussert, décrivent suffisamment les caractéristiques des ondes utilisées pour que ce soit exploitable.

L’histoire a joué son rôle dans le développement de la médecine par les ondes. En Russie, sous un régime communiste dès 1917, il y avait peu de moyens financiers au service du peuple, et une industrie chimique misérable : beaucoup de travaux en santé se sont portés sur l’emploi des ondes, remède idéal, bon marché. Des appareils russes ont ensuite commencé à être commercialisés en Europe. Ils ont aussi été copiés par des chercheurs européens qui ont proposé un certain nombre de modèles.

En Europe, à la fin de la guerre de 1914, la situation est autre : il faut recycler les outils de production des substances chimiques toxiques utilisés pendant la guerre. Les entreprises de la chimie cherchent à maintenir leur chiffre d’affaires, ce qu’elles font en commercialisant des médicaments et des produits phytosanitaires.
Les principaux actionnaires de ces industries et les banques associées font des pieds et des mains pour supprimer les médecines alternatives non chimiques en Europe. Après des années de combats, ils ont réussi à faire en sorte que la phytothérapie ne soit plus reconnue en France, et finalement, en 2018, à éjecter l’homéopathie. Toutes les techniques alternatives à base d’ondes développées en 1914 et 1940 ont été considérées comme du charlatanisme. Aux États-Unis, le rapport Flexner, établi en 1910 pour l’institut Carnegie, a eu pour conséquence d’ostraciser toutes les techniques médicales non conformes aux standards du modèle européen de médecine.

Malgré cela, en Europe les appareils de « soins ondulatoires » commencent à se développer dans les années 1960 et il y a une forte progression depuis les années 2000.

Depuis Lakhovsky beaucoup pensent donc que des étoiles aux cellules du corps humain, l’univers est régi par les vibrations et leur flux. Sonothérapie, thérapies utilisant les ondes électromagnétiques, médecine informationnelle, bio-résonance, thérapies utilisant les ondes lumineuses sont quelques exemples de pratiques qui agissent sur les vibrations et leur flux, mais elles ne fonctionnent pas toutes de la même façon, peux-tu nous aider à y voir plus clair ?

Pour essayer de s’y retrouver au sein de toutes ces ondes thérapeutiques, il faut revenir aux fondamentaux :
– Qu’est-ce qu’une onde ?
– Quelles sont ses principales caractéristiques ?

Une onde est quelque chose qui oscille avec une certaine amplitude. Si ce qui oscille est une pression, ce sont des ondes de type sonore (ou un tremblement de terre !) ; si ce qui oscille est un champ électrique ou magnétique, ce sont les ondes électromagnétiques. Ce sont les deux principales ondes utilisées en thérapie. Les ondes électromagnétiques (EM) sont extrêmement nombreuses et se caractérisent par leurs fréquences qui peuvent aller de quelques fractions de Hertz jusqu’à des milliards, voire des milliers de milliards de Hertz.  Voici un spectre des différentes ondes électromagnétiques qui peuvent exister afin de pouvoir s’y retrouver.

Selon leur utilisation, les ondes EM se répartissent dans les domaines suivants :
• 20 à 20 000 Hz (spectre des ondes sonores audibles)
• courant électrique et communication sur ses lignes : 50 à 33 000 Hz
• de 20 000 Hz à 1 MHz (spectre des ondes ultrasonores )
• ondes radios entre 200 kHz jusqu’à 200/300 MHz
• ondes intermédiaires (micro-ondes) de l’ordre du GHz, utilisées comme porteuses pour le Wi-fi, les radars, les fours à micro-ondes. Elles ont la propriété de chauffer tellement qu’elles permettent la cuisson.
• infrarouges : 1012 Hz à 1013,5 Hz
• lumière visible autour de 1013,5-14 Hz
• ultra-violets : 1015 Hz
• rayons X, puis les ondes cosmiques

freq ondes

Nous comprenons que les ondes interagissent sur le vivant de façon différente selon leurs caractéristiques, elles peuvent ainsi affaiblir, tuer, guérir ou régénérer selon le cas. Comment agissent-elles sur le vivant ?

• Les ondes de fréquences très élevées, UV haute fréquence, rayon X, gamma, et cosmiques vont avoir des effets délétères sur la structure physiologique, et sont toujours toxiques.
• certains ultraviolets sont utilisés par la peau pour fabriquer de la vitamine D. Leur intensité et la durée d’exposition doivent être limitées sous peine de causer des brûlures.
• Les ondes visibles sont plutôt bénéfiques à condition que leur densité ne soit pas trop élevée sinon on peut avoir un effet énergétique trop important.
• Les ondes infrarouges sont bénéfiques. Ce sont celles avec lesquelles on se chauffe, et évidemment quand c’est trop, c’est trop. Et si on met les mains dans le feu, on se brûle.
• Les ondes GHz sont utilisées comme porteuses pour la téléphonie, le wifi, le Bluetooth, la 5G. Qui utilise un téléphone, ou est proche d’une antenne, est irradié d’ondes avec des fréquences variables allant du MHz au GHz. Les ondes GHz interagissent avec l’eau du corps. Elles engendrent une rotation des molécules d’eau. C’est l’eau qui bout dans les fours à micro-ondes. L’exposition à une densité trop importante de ces ondes provoque la cuisson. Si la puissance n’est pas trop forte, il y aura une perturbation cellulaire, mais l’être impacté y survivra.
• Les ondes d’une fréquence plus faible de l’ordre du MHz, peuvent interagir avec certains processus vitaux, notamment avec les pulses générés par les courants ioniques du corps au travers des canaux protéiques dans les membranes. Cette interaction est fonction de la façon dont la fréquence des ondes EM externes est calée avec la fréquence des pulses ioniques internes et la façon dont la protection naturelle du corps intervient.
• Les ondes à plus basses fréquences, dans le domaine du son, peuvent interagir directement avec les processus vivants. Elles sont utilisées à des fins thérapeutiques, notamment dans les cabinets de kinésithérapie pour le renforcement osseux.

Les protéodies ou musique des protéines est un concept créé par le physicien français Joël Sternheimer dans les années 1960-1980. Il a découvert que les ondes de matières associées aux acides aminés qui composent une protéine, peuvent être  transposées dans la gamme tempérée de Bach. Les notes ainsi obtenues, jouées selon l’ordre où elles se présentent dans la protéine,  correspondent à une musique, la protéodie. Certaines se retrouvent dans des œuvres classiques. Par exemple, dans le Printemps de Vivaldi, on retrouve une grande partie de la musique associée à l’actine, particulièrement active au printemps. L’émission d’une protéodie active ou inhibe le fonctionnement de la protéine qui y est associée. La protéodie est quelque chose de très très puissant, pouvant être bénéfique mais facilement très toxique.
◦ Certaines plantes peuvent émettre de façon bénéfique, des parties de protéodies : voir les travaux de Jean Thoby.

• Les ondes très basses fréquences, en dessous de 1 000 Hz, sont associées au courant électrique et de ses harmoniques, à certains protocoles de courants porteurs en lignes (CPL). Le courant électrique du réseau domestique,  c’est 50 Hz. Mais sur nos réseaux électriques se trouvent toutes sortes de fréquences allant jusqu’à 5 000 Hz, voire des pulses aux environs de 32 000 Hz. Ces fréquences parasites sont induites par les transformateurs, et par le CPL. Le CPL est un protocole de télécommunication utilisé pour faire passer internet sur le réseau électrique ou généré par le Linky et la domotique. Le CPL n’est pas arrêté par les compteurs électriques. Ces fréquences interfèrent aussi avec notre fonctionnement biologique. Certaines sont même utilisées en thérapie. La différence entre les fréquences parasites sur nos lignes électriques et la thérapie est le mode opératoire. Les fréquences parasites sont diffusées de façon arbitraire et en quasi continu. En thérapie, la fréquence et sa modulation sont choisies avec soin et appliquées sur une durée limitée. Une dose trop élevée est néfaste.

Si dans mes cours j’explique pourquoi et comment les différents types d’ondes interagissent avec le vivant et l’humain en particulier, les thérapeutes n’ont pas attendu de le savoir pour les utiliser.
Comme pour les plantes médicinales, ils ont utilisé leur intuition et la méthode essai – réussite – erreur pour établir leurs protocoles.

Effectivement il y a plusieurs appareils de soin disponibles sur le marché, sur quels critères se baser pour faire le bon choix ?

Il existe actuellement sur le marché pléthore de machines qui ont toutes des spécificités différentes voire des machines qui ont toutes les spécificités possibles pour être sûr de couvrir tous les besoins et choix des clients.

1 – Des machines utilisent les champs magnétiques, fixes ou pulsés, les micro-courants, continus ou pulsés ou les ondes électromagnétiques mono-fréquence ou pulsées.
2 – D’autres machines mettent en avant « les ondes scalaires », mot mystérieux qui en « jette ». Le mot vient de traductions erronées du russe. Il faudrait parler d’ondes de torsion, qui est un type d’onde différent des ondes électromagnétiques usuelles, liées à une ou des configurations particulières d’états de spins électroniques.

Autant le fonctionnement des machines de type 1 est mis en évidence facilement, autant le fonctionnement des machines de type 2 est compliqué à constater. Actuellement, à en croire les constructeurs, chaque appareil peut fonctionner sur tous les modes existants ou presque. Toutefois, il existe encore des machines spécifiques, plus adaptées à un mode de fonctionnement qu’un autre. Pour bien utiliser tous ces appareils, il me semble nécessaire d’avoir une bonne connaissance de la physiologie et de connaître l’effet des différentes ondes sur le corps, et ce qu’on peut en attendre. Le vrai problème est de trouver les bonnes références ! Il existe des bases de données d’origines diverses, où des fréquences thérapeutiques sont données. Toutefois il y a peu d’études où tous les paramètres des soins sont donnés, et avec tous les résultats, bons et moins bons. La quasi-totalité des utilisateurs (soignants) qui publient ne donnent leurs observations que sur les cas positifs et on n’a aucune idée des taux d’échec. Il reste difficile d’évaluer a priori les chances de succès d’un soin.

Et si on parlait des appareils qui fonctionnent de façon très ciblée, en mesurant le degré de cohérence / décohérence des fonctions vitales d’un patient ?

Lakhovsky disait que les cellules avaient une fréquence propre sur laquelle elles oscillaient et que, quand elles étaient décalées de cette fréquence, leur fonctionnement variait de légèrement à totalement défectueux. Dire que les cellules ont une fréquence propre signifie que tous les organites à l’intérieur de la cellule sont en cohérence de phase avec cette fréquence. Tous les systèmes intérieurs de la cellule fonctionnent en harmonie, en phase. C’est comme dans un orchestre, quand il y a un chef d’orchestre qui donne le rythme, et que tous les musiciens sont en cohérence de phase pour générer une harmonie. C’est un peu ce qui va se passer dans la cellule. Dans le cas contraire, la dysharmonie engendre un dysfonctionnement.

Comment recadrer des cellules en décohérence ? L’hypothèse est : lorsqu’une cellule n’est plus complètement en cohérence de phase, il va y avoir des organites dans la cellule qui ne vont pas tout à fait être en phase, sans être toutefois trop décalés sinon cela ne fonctionnerait plus du tout. On envoie une onde proche de la cohérence de phase de la cellule en question, ou un pulse qui est équivalent à plusieurs ondes, de phase et de fréquence très proches. Les cellules vont capter la fréquence qui leur est propre (comme une antenne) et vont se ré-harmoniser sur cette fréquence. De façon pratique, l’appareil envoie un pulse, puis est censé recapturer ce qui est réfléchi ou réémis par le corps. L’appareil considère que la fréquence absorbée est la fréquence de cohérence qu’il indiquera au thérapeute. Le soin consistera à envoyer cette fréquence qui a été mesurée sur la personne, ou à envoyer un pulse qui contient les fréquences possiblement valables pour ré-harmoniser le corps. Ce principe est théorique et hypothétique. La capacité des appareils à le faire demande une vérification.

Une dernière question importante : comment s’assurer qu’il n’y a pas d’effets délétères toxiques avec les techniques utilisées ?

En vérifiant les effets secondaires liés à la technique, si la personne se sent mal ou bien. C’est comme pour un médicament chimique, ce n’est pas parce qu’il s’agit d’ondes que c’est inoffensif. La toxicité des ondes provient d’un excès, ou de l’envoi de fréquences non adaptées qui entrave un processus biologique. Actuellement beaucoup de personnes deviennent électro-sensibles à cause du développement fabuleux de la téléphonie.

Dans le domaine des ondes radios et des micro-ondes en 1940, le bruit ambiant était d’un certain niveau. Actuellement le niveau est de l’ordre de 1021 fois plus élevé, le tout en 80 ans.

Il était seulement de 1018 plus élevé en 2016 et on a pris un facteur 1 000 à cause de la 4G et de la 5G. Où va-t-on s’arrêter ? Il est clair que nous nous adaptons mais avec des défaillances biologiques qu’on attribue à divers facteurs, en particulier au vieillissement de la population. Toutefois, on s’aperçoit que les jeunes (0-40 ans) actuellement sont bien plus malades que leurs parents, grands-parents et arrières grands-parents ne l’étaient au même âge.

Sylvie Henry-Réant
Décembre 2024

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