octobre 2024

Bill Gates face à un tribunal Néerlandais

Source : Profession Gendarme

C’est bien le tribunal néerlandais de Leeuwarden qui jugera si le milliardaire mégalomane Bill Gates, avec 16 autres accusé.es, est responsable des graves dommages causés à 7 citoyen.nes des Pays-Bas par l’injection de prétendus »vaccins » anti-Covid19 dont ni la sûreté ni l’efficacité n’étaient prouvées pendant la prétendue pandémie.

Les 7 citoyen.nes des Pays-Bas qui ont déposé une plainte le 10 juillet 2023 contre 16 personnalités et contre l’état des Pays-Bas affirment avoir été trompé.es par toutes les informations provenant du gouvernement, du milieu médical, des firmes pharmaceutiques et de la fondation Bill & Melinda Gates : ces personnes ordinaires ont cru à la dangerosité extrême du nouveau coronavirus chinois, elles avaient confiance dans les vaccins, elles se sont fait injecter le produit expérimental de Pfizer et elles sont tombées malades ensuite. Une de ces personnes est décédée après le dépôt de la plainte l’an dernier. Une autre était représentée par son père car, après avoir été injectée, elle est tombée malade et ne peut plus parler.

Au contraire des 16 autres accusé.es, Bill Gates n’a pas répondu aux griefs de la plainte : il a préféré, étant citoyen des États-Unis et ne résidant pas aux Pays-Bas, soulever l’incompétence du juge néerlandais. Celui-ci devait examiner cette question avant de se pencher sur le fond du dossier. Il y a donc eu une audience publique le 18 septembre 2024 au tribunal de district de Leeuwarden : elle a duré 1h.30 et certaines victimes ont pu s’exprimer.

Bill Gates n’était pas présent. Il était représenté par un avocat du prestigieux cabinet Pels Rijcken, qui n’a pas manqué de taxer les plaignant.es de complotistes…

Le jugement a été rendu le 16 octobre 2024 et c’est une première victoire, selon les deux avocats de l’association Recht Oprecht qui assistent les 6 victimes des injections : beaucoup trop de juges aux Pays-Bas soutiennent encore le programme des injections et ont du mal à croire à leur nocivité. Me Arno van Kessel constate que le jugement du tribunal a clairement enregistré les fondements des conclusions des plaignant.es. L’avocate française Me X, qui a publié deux vidéos Youtube sur ce sujet, pense elle aussi que c’est un bon signe, car le tribunal a pris la peine, dans son jugement de 9 pages, de rappeler les faits, de détailler l’argumentation des victimes, avant d’expliquer pourquoi la responsabilité de Bill Gates devait être examinée en même temps que celle des 15 autres accusé.es et celle de l’état néerlandais lui-même. S’il avait voulu mettre Gates hors de cause, il aurait pu simplement arguer de sa citoyenneté étatsunienne qui empêchait de le juger aux Pays-Bas.

L’examen de ce jugement est celui de l’avocate française Me X dans sa vidéo du 21 octobre 2024.

I. Rappel des faits et des griefs

Lorsque la pandémie de Covid-19 a été déclarée au printemps 2020, différentes mesures ont été adoptées aux Pays-Bas, dont le port du masque et un programme national de vaccination anti-Covid19. Le Premier ministre Mark Rutte, familier du Forum de Davos, a reçu de Klaus Schwab une lettre datée du 20 octobre 2020 : Schwab lui demandait de veiller que le projet de réforme post-Covid19 exposé dans son livre (la Grande Réinitialisation) soit mené à bien aux pays-Bas ; Schwab indiquait que les injections de  »vaccin anti-Covid19 » étaient cruciales pour la réussite du projet.

Mark Rutte avait également reçu fin 2020 une invitation à la réunion annuelle du FEM en mai 2021 et le jugement du tribunal de Leeuwarden cite un extrait de cette invitation :

« Cette réunion annuelle sera la première occasion pour les dirigeants des gouvernements et des entreprises de se réunir à nouveau et de concevoir une voie de relance commune et de reconstruire une société plus résiliente, plus cohésive et plus durable. Elle s’appuiera sur le processus de la Grande Réinitialisation (Great Reset), une mobilisation sans précédent d’idées concrètes issues de groupes d’action, de plate-formes et autres initiatives du forum pour façonner le monde de l’après Covid-19. »

Le jugement rappelle les faits concernant Bill Gates : ses liens avec l’organisation GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et l’immunisation), l’OMS et le Forum économique mondial (FEM) ou Forum de Davos dirigé par Klaus Schwab. Statutairement, l’objectif du Forum de Davos est : « la réunion de leadeurs du business, de chefs de gouvernement et de dirigeants économiques dans une communauté globale, s’engageant à améliorer l’état du monde. » Cette « amélioration du monde » a notamment été formulée par Klaus Schwab en juillet 2020 dans son livre Covid-19 : la Grande Réinitialisation (ou Great Reset).

En tant que directeur de la Fondation Bill & Melinda Gates et contributeur au budget de l’OMS, Bill Gates a depuis 20 ans largement financé des programmes de vaccination dans le monde et ses déclarations publiques font la promotion de tous les vaccins. Concernant les prétendus  »vaccins » expérimentaux contre le Covid-19, le juge néerlandais rappelle que, le 3 décembre 2020, lors d’une entrevue avec Bill Gates sur la chaîne étatsunienne NBC News qui fut ensuite publiée sur Youtube, le philanthrope milliardaire avait déclaré : « Il semble que presque tous les vaccins vont être un succès. »

Le juge rappelle que les plaignant.es lui demandent de constater que l’état des Pays-Bas et les 16 personnalités accusées ont manœuvré de façon illégale pour induire la population en erreur et l’amener à accepter les injections, alors qu’ils savaient ou auraient dû savoir que ces injections n’étaient ni sûres ni efficaces. Ce faisant, les accusé.e ont permis (selon les plaignant.es) de mettre en œuvre le projet de la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab : une réorganisation totale des sociétés humaines : « Dans cette réorganisation, tous les facteurs qui affectent la vie humaine sont soumis à un changement forcé par le FEM et l’ONU : la caractéristique de ce changement forcé est qu’il est planifié et présenté comme justifié parce que le monde souffrirait de crises majeures qui ne pourraient être résolues que par une intervention mondiale, centralisée et rigoureuse. L’une de ces grandes crises majeures serait la pandémie de Covid19. »

Toujours selon les plaignant.es, l’ensemble des accusé.es a pris des mesures illégales en vue d’amener la population à accepter des injections censées les protéger contre un virus allégué, ce qui a provoqué de graves préjudices pour les 7 victimes une fois reçues les injections.

II. La compétence du juge néerlandais pour cause de « connexité ».

Pour décider si le tribunal néerlandais de Leeuwarden peut juger le citoyen étasunien Bill Gates avec les 16 autres accusé.es, le juge va utiliser deux moyens de droit, l’un national et l’autre européen.

L’article 7§1 du Code de procédure civil néerlandais dit que, si un tribunal néerlandais possède juridiction sur un parmi plusieurs défendeurs dans un même dossier, alors il a juridiction sur tous les autres, à condition qu’il y ait une telle connexité entre les plaintes contre les différents défendeurs que cela justifie l’opportunité de ne pas séparer les accusés.

Puis, pour renforcer cette disposition nationale et parce qu’il n’existe aucun traité spécifique entre les USA et les Pays-Bas, le juge a cherché dans les règles communes du droit international privé relatif à la compétence judiciaire, et notamment dans la jurisprudence de la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE).

« Selon la jurisprudence de la cour de justice de l’union européenne, il y a connexité lorsque :

  1. la demande est fondée sur le même complexe de faits
  2. les demandes sont juridiquement si étroitement liées qu’on ne peut raisonnablement s’attendre à ce que le demandeur fasse traiter son affaire par différents tribunaux.

Si les deux conditions sont remplies, on peut supposer que le traitement commun des créances (les demandes des plaignants) est justifié pour des raisons d’efficacité et que l’exigence de prévisibilité est remplie. »

Le tribunal de Leeuwarden, ayant examiné tous les faits qui étaient reprochés aux 17 personnes (morales et physiques) citées dans la plainte de Recht op Recht, expose alors ceci.

« Les plaignant.es fondent leur plainte contre les défendeurs sur le fait que ceux-ci, en tant que groupe international, ont agi illégalement à leur égard. Les défendeurs, et donc Bill Gates, font partie d’un groupement international de personnes individuelles, entités juridiques et autres entités qui, dans le cadre de la mise en œuvre d’un projet appelé « Covid19 : the Great Reset » ont induit les gens en erreur afin de leur faire accepter des injections de vaccins anti-Covid19, alors qu’ils savaient ou auraient dû savoir que ces injections n’étaient ni sûres ni efficaces. »

Il résulte de la plaidoirie de Bill Gates que celui-ci a compris de la même manière la position des plaignant.es. Notamment, « les plaignant.es soutiennent que Bill Gates a commis cette tromperie au niveau international en publiant sur Youtube deux vidéos en avril et décembre 2020 : dans ces vidéos, Bill Gates aurait fait de fausses déclarations respectivement sur la nécessité des injections anti-Covid19 et sur leur sûreté pour la population. Parce que Bill Gates pouvait prévoir que ces actions collectives pourraient créer des dommages tels que ceux subis par les plaignant;es, il est, selon les plaignant;es, responsable de ces dommages en vertu du code civil hollandais. »

Le juge poursuit : « Bill Gates peut considérer que les actes illégaux qui lui sont reprochés différent des actes illégaux reprochés aux autres défendeurs ; mais cela ne change rien au fait que, pour les plaignant.es, toutes ces actions ont été accomplies par un groupe et que le fondement des réclamations doit d’abord évaluer si, comme le prétendent les plaignant.es et comme Bill Gates le conteste, il existe un groupe international de personnes physiques, de personnes morales et autres entités qui, dans le cadre de la mise en œuvre d’un projet appelé « Covid19 : the Great Reset », ont amené des personnes à recevoir des injections anti-Covid19 dont elles savaient ou auraient dû savoir qu’elles n’étaient ni sûres ni efficaces.

Il existe un risque qu’un jugement séparé des réclamations contre les défendeurs conduise à des jugements contradictoires sur cet ensemble de faits, qui est le même pour tous les défendeurs et qui constitue la base de leur prétendue responsabilité dans un délit collectif.

Au vu du cadre susmentionné, la cohérence requise entre la réclamation contre Bill Gates et celles contre les autres défendeurs est donc établie. Le tribunal de Leeuwarden a donc une compétence internationale pour entendre la plainte contre Bill Gates sur la base de l’article 7§1 du Code de procédure civile néerlandais. »

Par ailleurs, puisque William Henry Gates III a eu tort de tenter d’échapper à un procès en contestant la compétence du tribunal, il a été condamné à payer les frais juridiques en tant que partie perdante, soit 1 406,00 € (frais d’avocats et frais procéduraux supplémentaires) que Gates doit payer dans les 14 jours. Ce jugement du 16 octobre 2024 est provisoirement exécutoire et détermine que l’affaire sera remise à l’ordre du jour le 27 novembre 2024 pour une conclusion de réponse de la part de Bill Gates.

L’avocate française Me X. qui a fait l’analyse de ce jugement dans sa vidéo du 21 octobre 2024 résume ainsi le raisonnement du juge néerlandais : puisque les plaintes des sept citoyen.nes des Pays-Bas contre les 17 défendeurs sont fondées sur le même ensemble de faits et sont donc liées par  »connexité », et puisqu’un tribunal indépendant ne peut permettre d’aboutir à une situation où la décision qui serait rendue à l’étranger contre Bill Gates et aux Pays-Bas contre les autres accusés seraient contradictoires – car cela porterait préjudice à l’ensemble des plaignant.es qui accusent Bill Gates au même titre que les autres –, alors il est nécessaire de juger Bill Gates devant le même tribunal néerlandais qui jugera les autres accusé.es.

Jocelyne Chassard

Sources :

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Jury : Les travailleurs licenciés pour avoir refusé le vaccin contre le COVID-19 recevront plus d’un million de dollars chacun

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale

Les responsables des transports ferroviaires de la région de la baie de Californie ont été condamnés à verser plus de 7 millions de dollars aux employés des transports qui avaient été licenciés parce qu’ils avaient refusé de se faire vacciner contre le COVID-19 il y a plusieurs années.

Le 23 octobre, un jury fédéral du tribunal de district du nord de la Californie a donné raison à six anciens employés de la société de transport régional de la baie de San Francisco (BART) qui avaient refusé de se faire vacciner pour des raisons religieuses.

BART a été condamné à verser au groupe plus de 7,8 millions de dollars, chaque individu recevant entre 1,2 et 1,5 million de dollars, a déclaré le 24 octobre le Pacific Justice Institute, qui représentait les travailleurs des transports en commun dans le procès. L’institut, un cabinet d’avocats qui représente les six anciens employés depuis 2022, a déclaré que le jury de huit personnes a délibéré pendant deux jours cette semaine avant de rendre le verdict qui a accordé les indemnités aux employés.

Il y a environ une semaine, le jury fédéral a également déterminé que BART n’avait pas réussi à prouver qu’il avait subi une contrainte excessive en refusant des aménagements aux anciens employés dans cette affaire.

Le 23 octobre, le jury a en outre estimé que les six employés s’étaient acquittés de la charge de démontrer qu’il existait un conflit entre leurs croyances religieuses et la vaccination obligatoire de BART, qui a été mis en œuvre en 2021.

Selon le cabinet d’avocats, le jury a également accepté les chiffres avancés par les plaignants pour les pertes de salaire qu’ils ont subies après avoir perdu leur emploi. Le jury a ensuite ajouté 1 million de dollars chacun à ces chiffres, a indiqué le cabinet, qualifiant le verdict de « tremblement de terre juridique ».

« Les employés des chemins de fer ont choisi de perdre leur gagne-pain plutôt que de renier leur foi. Cela montre en soi la sincérité et la profondeur de leurs convictions », a déclaré Kevin Snider, avocat en chef de l’Institut de la justice du Pacifique, qui était l’avocat principal du procès. « Après près de trois ans de lutte, ces travailleurs essentiels ont le sentiment d’avoir été entendus et compris par le jury et sont ravis et soulagés par le verdict.

Le cabinet d’avocats a déclaré : « Au cours du procès, les jurés ont entendu des témoignages convaincants d’employés dévoués. L’un des plaignants avait travaillé pendant plus de 30 ans pour BART, avec 10 ans d’assiduité parfaite, avant d’être licencié sans ménagement. Une autre était en arrêt de travail depuis des mois, sans date de retour prévue, lorsqu’elle a été licenciée ».

Les avocats de BART ont fait valoir que les nombreux employés qui n’étaient pas d’accord pour recevoir le vaccin avaient des raisons laïques, et non religieuses. Mais le jury n’a pas accepté ces arguments, selon le Pacific Justice Institute.

Le mandat de vaccination a été approuvé par le conseil d’administration de BART en octobre 2021 et stipulait que tous les employés devaient être vaccinés contre le COVID-19. Il permettait à certains employés d’être exemptés du vaccin, notamment pour des raisons religieuses.

Un an plus tard, les employés de BART ont intenté une action collective en justice, accusant l’opérateur de refuser des accommodements religieux en violation de la législation de l’État.

Le juge de district William Alsup, qui a présidé le procès contre BART, a décidé que les politiques de l’opérateur ne violaient pas le droit à la liberté religieuse des employés, selon une ordonnance qu’il a rendue en mars.

Une autre ordonnance rendue par Alsup en janvier indiquait que BART avait reçu 188 demandes d’exemption et d’accommodement religieux, et que 40 d’entre elles avaient choisi de ne pas aller jusqu’au bout de la procédure. Ces personnes ont été licenciées ou ont finalement été vaccinées.

« La classe putative des plaignants échoue parce que ses membres ont peu en commun au-delà de leur demande d’accommodement religieux », a déclaré le juge dans son ordonnance. « Ils ne partagent pas une objection religieuse commune. Ils ne partagent pas une vocation ou un ensemble de droits contractuels. Ils ne présentent pas un ensemble similaire d’aménagements potentiels et de charges associées. Ils ne présentent pas les mêmes préoccupations en matière de santé et d’exposition. »

« Les aménagements potentiels n’ont pas d’incidence sur le même groupe de travailleurs. Ces travailleurs n’ont pas les mêmes droits négociés ».

Epoch Times a contacté BART pour obtenir des commentaires le 25 octobre mais n’a pas reçu de réponse avant l’heure de publication. Le porte-parole de l’opérateur ferroviaire, James Allison, a déclaré au média local SFGate qu’il n’avait « aucun commentaire » à faire sur le verdict.

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Turbo-cancers, maladies auto-immunes et pathologies neurologiques survenant après la vaccination ARNm anti-covid

Autour du déferlement prochain de preuves accablantes concernant les fraudes gravissimes qui ont entouré la mise sur le marché de certains produits à ARNm, il demeure toujours aussi nécessaire et aussi difficile d’en évaluer les effets indésirables, tous soigneusement niés, donc camouflés. Voici le témoignage exceptionnel d’une courageuse pathologiste allemande, Ute Krüger, qui a décidé de communiquer autour de son expérience professionnelle amassée pendant toutes ces années COVID. C’est accablant et pourtant rien ne bouge, on continue imperturbablement à promouvoir ces injections pour soi-disant protéger les populations occidentales contre… l’hiver. Jusqu’à quand la cécité, voir la corruption la plus échevelée? Bonne lecture.

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Stopper la suppression de l’argent liquide : voici comment y parvenir !

Partout dans le monde, la mafia financière mondiale est en train de mettre en place de nouveaux systèmes de paiement numériques. Utiliser de l’argent liquide devient de plus en plus difficile. Tout le monde n’accepte pas ces plans sans résistance et certains, par leur résistance, les ont fait échouer…

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Vaccins pédiatriques “classiques”: résidus toxiques, nanoparticules métalliques et ADN étranger

Dans un article précédent, nous avons rapporté les observations du Dr Ana Mihalcea dans la vidéo “Qu’y a-t-il dans les vaccins Covid?“. Cette vidéo a suscité beaucoup de réactions, certaines mettant en avant un manque de rigueur scientifique de la part du Dr Ana Mihalcea. Comme annoncé, nous publierons prochainement d’autres documents qui convergent et/ou contestent ses affirmations.

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Voir également l’interview de Senta Depuydt par Nexus il y a trois ans. Elle revient sur son article pémonitoire publié dans ce même magazine en 2019.

https://crowdbunker.com/v/tsHhNVxTnX

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Conférence-Débat sur le thème de la Jeunesse

Samedi 26 octobre prochain à Saintes toute la journée à l’Auditorium de la salle Saintonge.
Ouverture des portes à 8 h 30, début de la conférence à 9 h et final vers 18 h/18 h 30

Le thème de la Jeunesse étant plus que jamais d’actualité (vaccinations Gardasil-9, Beyfortus, vaccinations à ARN-M, éducation à la sexualité à l’école, dysphorie de genre, alimentation, écrans, sommeil …), nous vous invitons à venir très nombreux assister à cette conférence et échanger avec nos intervenants qui se feront un plaisir de nous apporter tous les conseils, informations et précisions utiles sur ces différents sujets tellement importants pour l’avenir de nos Jeunes.
Des intervenants de grande qualité et des thèmes riches et très diversifiés auxquels viendront se rajouter quelques activités et animations artistiques.
L’entrée est gratuite avec une participation « au chapeau » suivant les possibilités de chacun (participation libre et en conscience).

Le collectif de Saintes.

Contact/renseignements :

– Jacqueline NEVEUX – 06 43 03 84 85 – neveux.jacqueline@yahoo.com

– Céline GARNIER – uniquement par mail – zebcel@wanadoo.fr

– Michel REGNEAULT – 06 74 50 98 46 – michelregneault@orange.fr

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Dangers des nouveaux vaccins : Jean-Marc Sabatier s’explique chez Karl Zéro

Dans une interview accordée à Karl Zéro, le chercheur Jean-Marc Sabatier alerte sur les risques des vaccins à ARN messager auto-amplifiants en développement et donne des conseils pour renforcer son immunité naturellement.

Les nouveaux vaccins à ARN messager inquiètent

Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, met en garde contre les vaccins à ARN messager auto-amplifiant actuellement en développement. Selon lui, cette nouvelle technologie est « la pire de toutes » et « la plus dangereuse » car elle permettrait une production continue et non maîtrisée de protéine Spike dans l’organisme.
Le chercheur explique que contrairement aux vaccins ARNm actuels, les versions auto-amplifiantes contiennent un complexe enzymatique capable de répliquer l’ARN messager indéfiniment. « On ne maîtrise strictement rien, ni la quantité de protéine Spike produite, ni les endroits où ça va aller », dit-il.

Des conseils pour renforcer son immunité naturellement

Face à ces risques, Jean-Marc Sabatier recommande de renforcer son immunité naturellement. Il conseille notamment :

  • Une supplémentation en vitamine D (3000 à 8000 UI/jour selon le poids)
  • Du magnésium (300 mg/jour)
  • Du zinc (15-25 mg/jour)
  • De la vitamine C à haute dose en cas de Covid long (3-4g/jour)
  • Des antioxydants comme la N-acétylcystéine ou le glutathion
  • Des oméga-3 (2g/jour)

Le chercheur insiste sur l’importance de la vitamine D, capable selon lui d’activer jusqu’à 2000 gènes protecteurs dans l’organisme.
Bien que ces recommandations ne constituent pas une prescription médicale, elles visent à optimiser le fonctionnement du système immunitaire face aux nouveaux défis sanitaires.

Source : idj infodujour

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En France on détruit les médecins pour des raisons politiques

Il n’est pas dans l’habitude de l’AIMSIB de s’épancher sur les malheurs de ses membres dès lors qu’ils se trouvent en butte avec les représentants du pouvoir actuel. Voici néanmoins l’histoire consternante vécue par le Dr Vincent Reliquet, membre fondateur et rédacteur en chef de notre site. Après dix ans à son poste, les sanctions pleuvent : ordinales, fiscales, administratives. Prochaine condamnation prévue le jeudi 10 octobre 2024 : rembourser la Sécurité Sociale d’actes dispensés pour soulager voire complètement guérir des centaines de malades totalement abandonnés à leurs souffrances physiques, ainsi que des médicaments utilisés pour y parvenir. Voici par quelle violence un État de non-droit peut gérer ses contradicteurs : en l’absence de faute pénale répréhensible, on organise froidement leur ruine financière. Bon visionnage.

Voir la vidéo : https://www.aimsib.org/2024/10/06/en-france-on-detruit-les-medecins-pour-des-raisons-politiques/

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Lancement en octobre d’une nouvelle génération de vaccin Covid dit “auto-amplificateur”

Ces nouveaux vaccins sont suspectés de se répandre jusque dans l’organisme des personnes non-vaccinées.

Déployée au Japon depuis le 1er octobre lors de la campagne de vaccination annuelle contre le Covid, une nouvelle génération de vaccin ARNm appelé auto-amplificateur ou répliquant (en anglais self-amplifying vaccines ou “sa-ARNm” ou “Replicon”) est suspectée de se répandre jusque dans l’organisme des personnes non-injectées.

Une nouvelle génération de vaccin

Le Japon a été le premier pays au monde à approuver ces nouveaux vaccins “sa-ARNm” en novembre 2023.

Le vaccin dénommé ARCT-154, développé par la société de biotechnologie américaine Arcturus Therapeutics, représenterait une version plus élaborée du vaccin par comparaison avec les injections à ARNm utilisées ces dernières années. Dans ce nouveau produit, l’ARNm synthétique non seulement ordonne aux cellules de produire la protéine Spike considérée comme toxique par de nombreux scientifiques, mais produit également des copies de lui-même à l’intérieur des cellules.

Lors d’une conférence de presse, le Dr. Murakami Yasufumi expliquait que ce type de vaccin auto-amplificateur utilise une fonction d’auto-réplication appelée réplicase pour répliquer l’ARNm dans le corps, mais sans la fonction de frein. Ainsi le receveur continue à produire de grandes quantités de protéine de pointe. Il a également été souligné que les composants du vaccin peuvent être transmis du receveur à d’autres personnes ou animaux.

Cette possibilité de transmission du vaccin sa-ARNm chez des personnes qui n’auraient pas reçu d’injection soulève l’inquiétude des scientifiques.

Le Dr Miki Gibo présente une étude publiée dans Cell dans laquelle des scientifiques ont découvert que les parties du vaccin continuaient d’augmenter à l’intérieur des cellules après l’injection. Ensuite, les composants du vaccin peuvent se propager et entrer également dans de nouvelles cellules. Ce phénomène se produit à cause de la libération par les cellules de nanoparticules appelées vésicules extracellulaires, qui contiennent des exosomes. Ces nanoparticules peuvent transporter des éléments du vaccin, d’une cellule à une autre, et peuvent être transmis d’un être humain à un autre à travers les fluides corporels (salive, transpiration, larmes…).

Un problème déjà existant

Il apparaîtrait que les premiers vaccins Covid à ARNm permettaient déjà une transmission d’une personne vaccinée à une autre non vaccinée. Ce procédé que l’on peut appeler “vaccins à propagation automatique”, ou encore “vaccine shedding” en anglais, existe depuis le début des années 2000 et était appliqué au départ sur les populations d’animaux sauvages (cf pages 47-48).

À la suite de la crise Covid, des documents provenant de Pfizer (cf pages 67-69) ont révélé clairement que les personnes vaccinées pouvaient exposer les personnes non vaccinées à des risques de contamination par inhalation ou contact cutané. Le protocole des essais de phase I/II/III de Pfizer sur les vaccins ARNm Covid-19 (démarré en mai 2020) mentionne la possibilité de passage du produit de personne injectée vers une personne non injectée. La possibilité d’une réaction indésirable au vaccin ou d’effets secondaires suite à ces expositions est également mentionnée.

Les travaux scientifiques d’Hélène Banoun, pharmacienne, biologiste et ancienne chercheuse Inserm, ont démontré également que la transmission de l’ARNm et de la protéine Spike issus des anciens vaccins Covid, des personnes vaccinées vers les non vaccinées était une réalité. Son travail a été soutenu et relayé au niveau international par le Dr Peter McCullough. Hélène Banoun détaille dans son article les processus d’excrétion et de pénétration de l’ARNm et de la protéine Spike, transportés notamment par les nanoparticules lipidiques. Les voies d’excrétion de ces éléments, chez les personnes vaccinées, sont les fluides corporels (sueur, expectoration), l’inhalation, la peau, ainsi que par voie orale (via le lait maternel). Elle précise que le processus de pénétration de l’ARNm et de la protéine Spike, chez les individus non vaccinés, passe également par ces mêmes voies (transcutanée et inhalation).

Bien que la technologie du “vaccine shedding” soit vraisemblablement déjà existante dans les premiers vaccins Covid, le lancement des nouveaux vaccins Covid sa-ARNm est loin d’être anodin. En premier lieu, cette nouvelle génération de vaccins tend vers la légalisation d’une vaccination de la population sans son consentement. Puisque si la transmission de ces nouveaux vaccins d’une personne à l’autre est confirmée, il suffirait de vacciner un faible pourcentage de la population pour en vacciner le plus grand nombre, comme cela se pratique depuis 20 ans sur les animaux sauvages.

En second lieu, les vaccins et thérapies géniques “sa-ARNm” apparaissent plus élaborés et puissants que les anciennes versions, puisqu’une dose réduite de produit suffit pour atteindre le même objectif de vaccination. Donc si les vaccins classiques favorisent la transmission d’un virus dit “atténué” auprès de la population non-vaccinée et si les vaccins à ARNm conventionnels transmettent l’ARNm synthétique et d’autres composants du vaccin, la nouvelle génération de vaccin “sa-ARNm” transmet quant à elle en plus l’ARNm auto-amplificateur synthétique.

L’inquiétude des scientifiques

Des médecins et des professeurs d’université japonais ont exprimé de sérieuses inquiétudes concernant les vaccins sa-ARNm.

Lors d’une conférence de presse, le Dr Murakami Yasufumi, professeur émérite à l’Université des sciences de Tokyo, a déclaré que le vaccin Replicon contre la souche mutante JN.1 prévu pour l’automne posait de sérieux problèmes:

Le vaccin Replicon est un vaccin auto-amplifiant, créé par génie génétique (ARNm) que l’humanité n’a jamais connu auparavant.

Le Dr Murakami a demandé que le vaccin ne soit pas lancé tant que sa sécurité n’a pas été confirmée.

Le 12 septembre dernier lors d’une autre conférence de presse, c’est le député japonais Ryuhei Kawada qui a exprimé son profond scepticisme quant au lancement en octobre du vaccin ARCT-154 auprès de la population japonaise âgée de plus de 60 ans.

Ce député a également souligné le besoin urgent d’arrêter le déploiement de ce vaccin. Il a également rappelé la nécessité d’une enquête approfondie sur les effets indésirables des vaccins expérimentaux à ARNm déjà existants. Il a insisté sur la transparence de la part des responsables de la santé publique, affirmant la nécessité de:

Garantir une enquête et une vérification approfondies pour apporter un soulagement aux victimes du vaccin à ARNm qui ont subi un préjudice important.

Pendant la conférence de presse, Mika Tsutomi, journaliste et auteure internationale de renom, a noté les conflits d’intérêt existants au sein du ministère de la Santé japonais qui a approuvé le lancement du vaccin ARCT-154 :

En examinant les membres du Conseil des affaires pharmaceutiques (du ministère de la Santé) en novembre dernier, 3 membres sur 16 ont des liens commerciaux avec des sociétés pharmaceutiques.

Le Dr Yasufumi Murakami a averti que si le déploiement du vaccin Replicon se déroule comme prévu:

En octobre, le Japon a le potentiel de déclencher une catastrophe mondiale.

Avec l’approbation des vaccins sa-ARNm, le Japon se situe au cœur de la controverse qui entoure ces nouveaux produits, tandis que de plus en plus de scientifiques font entendre leur voix pour réclamer le besoin urgent de transparence et de responsabilité.

Source : Essentiel News

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Pourquoi ?

63 questions sur le covid-19 qui attendent une réponse.

  1. Pourquoi ne nous a-t-on pas dit que le SARS-COV-2 avait été breveté par Moderna en 2018 ?
  2. Pourquoi Moderna a-t-elle produit 100 000 doses de « vaccin » anti-COVID en 2019 avant le début de la pandémie ?
  3. Pourquoi, contre toute évidence scientifique, le confinement et les masques ont-ils été utilisés ?
  4. Pourquoi nous a-t-on dit que le « vaccin » reste dans le bras, alors qu’il s’accumule dans tout le corps ?
  5. Pourquoi le test PCR a-t-il été recommandé alors qu’il n’est pas conçu à des fins diagnostiques ?
  6. Pourquoi les définitions de « vaccin » et d’« immunité collective » ont-elles été modifiées avant l’épidémie de COVID-19 ?
  7. Pourquoi une pandémie a-t-elle été déclarée alors que le taux de mortalité était proche de celui de la grippe ?
  8. Pourquoi les tests de génotoxicité, de tératogénicité et de cancérogénicité n’ont-ils pas été effectués, et pourtant nous a-t-on dit que le « vaccin » était sûr ?
  9. Pourquoi n’y a-t-il pas eu de suivi adéquat de toutes les personnes injectées lors de l’utilisation d’un nouveau produit de thérapie génique ?
  10. Pourquoi les médecins et le public n’ont-ils pas été rappelés à l’importance de signaler les effets indésirables de ces « vaccins » génétiques expérimentaux ?
  11. Pourquoi a-t-on recommandé un « vaccin » en pleine pandémie, alors qu’il est contre-indiqué en vaccinologie ?
  12. Pourquoi un « vaccin » a-t-il été recommandé à ceux qui avaient une immunité naturelle, par principe supérieure ?
  13. Pourquoi une nouvelle thérapie génique a-t-elle été lancée après trois mois, au lieu des dix ans requis ?
  14. Pourquoi ne nous a-t-on pas dit que, dans l’essai Pfizer, plus de personnes sont mortes dans le groupe vacciné ?
  15. Pourquoi nous a-t-on dit que ces injections étaient « sûres et efficaces » alors que les preuves ne le confirmaient pas ?
  16. Pourquoi les voix scientifiques « dissidentes » ont-elles été – et sont-elles – discréditées, punies et emprisonnées ?
  17. Pourquoi les médecins ont-ils été, pour la première fois dans l’histoire, découragés de traiter une maladie et invités à attendre un vaccin ?
  18. Pourquoi les traitements précoces ont-t-il été découragés, alors que nous savons qu’ils constituent l’outil le plus important pour lutter contre toute maladie infectieuse ?
  19. Pourquoi des médicaments efficaces et très sûrs comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine ont-ils été discrédités et même interdits ?
  20. Pourquoi les laboratoires ont-ils refusé que leurs données soient publiées pendant 75 ans ?
  21. Pourquoi a-t-on recommandé des injections, des masques et des confinements aux enfants alors qu’on savait qu’ils n’étaient pas gravement atteints et ne propageaient pas le COVID ?
  22. Pourquoi les injections COVID ont-elles été recommandées pendant la grossesse, alors que plus de 80 % des bébés ont été perdus lors des essais chez les femmes vaccinées au 1er trimestre ?
  23. Pourquoi l’autorisation d’urgence a-t-elle été confirmée alors que plus de 2 000 personnes sont décédées dans les 90 jours suivant le déploiement des « vaccins »  ?
  24. Pourquoi n’y a-t-il pas de tollé scientifique après la publication de plus de 3 500 articles démontrant les effets secondaires des injections anti-COVID ?
  25. Pourquoi les conflits d’intérêts sont-ils tolérés parmi les autorités médicales, alors que la FDA, l’EMA et l’OMS sont financées à 80-90 % par l’industrie ?
  26. Pourquoi n’y a-t-il pas eu d’éducation adéquate des médecins, des patients et du public, et donc aucune possibilité de consentement éclairé ?
  27. Pourquoi et comment les médias ont-ils été convaincus de pousser le même agenda à l’échelle mondiale ?
  28. Pourquoi des protocoles médicaux efficaces, qui existent depuis 2020, ont-ils été interdits et déclarés illégaux ?
  29. Pourquoi ne nous informe-t-on pas des décès inutiles qui ont été attribués au COVID mais qui ont en réalité été causés par des mesures iatrogènes (ex : Midazolam, ventilation) réalisées début 2020 ?
  30. Pourquoi le rôle crucial du statut en vitamine D, de l’alimentation et du microbiome n’a-t-il pas été communiqué, alors que ces mesures auraient pu prévenir près de 100 % des décès COVID ?
  31. Pourquoi une procédure médicale a-t-elle été imposée à des personnes contre leur volonté, alors que la déclaration de Nuremberg s’y oppose ?
  32. Pourquoi les recherches sur le gain de fonction, comme celles portant sur le COVID-19, ne sont-elles pas interdites dans le monde entier ?
  33. Pourquoi un produit à base d’ARNm est-il encore utilisé, alors que nous savons que l’ARNm est incorporé dans le génome humain et entraîne la production d’autres protéines inconnues ?
  34. Pourquoi le concept d’ARNm, qui a échoué, n’a-t-il pas été arrêté, alors que l’on sait qu’il augmente la probabilité que le receveur contracte le COVID-19, démontrant ainsi une efficacité négative ?
  35. Pourquoi ces injections continuent-elles d’être recommandées, alors qu’au moins 17 millions de personnes seraient mortes à cause d’elles ?
  36. Pourquoi n’y a-t-il pas d’enquête sur les décès excédentaires et l’augmentation des taux de cancer, de problèmes cardiaques…, qui ont commencé en 2021 et non en 2020 ?
  37. Pourquoi les décès inexpliqués ne sont-ils pas attribués par défaut au « vaccin » conformément à la règle qui prévaut en pharmacovigilance ?
  38. Pourquoi les autorités sanitaires refusent-elles de communiquer les données de mortalité toutes causes confondues par statut vaccinal ?
  39. Pourquoi le Gouvernement n’a-t-il jamais révélé que le « vaccin » avait entraîné des décès ?
  40. Pourquoi les parents ne sont-ils pas informés que les myocardites vaccinales peuvent être fatales ?
  41. Pourquoi la population n’est-elle pas informée que 48 % des participants sont décédés d’une mort subite lors des six premiers mois de l’essai ?
  42. Pourquoi les autorités ne peuvent-elles pas fournir d’études sur le nombre de vies sauvées par le « vaccin », hormis une modélisation ?
  43. Pourquoi les laboratoires et les régulateurs ont-ils commencé par nier que les « vaccins » Pfizer et Moderna contenaient de l’ADN oncogène et pourquoi refusent-ils de réanalyser les flacons ?
  44. Comment savent-ils qu’ils ne déclenchent pas de cancers alors que le temps de développement d’un cancer est beaucoup plus long, sauf pour les turbocancers dont ils nient l’existence ?
  45. Pourquoi affirment-ils qu’elles ne peuvent pas déclencher de cancers alors qu’ils reconnaissent que les cancers explosent depuis que 80 % de la population a été vaccinée ?
  46. Pourquoi un produit présentant au moins 10 mécanismes cancérogènes ne pourrait-il pas provoquer des cancers ?
  47. Pourquoi les laboratoires investissent-ils massivement dans des traitements anticancéreux utilisant cette technologie ?
  48. Pourquoi les laboratoires n’ont-ils toujours pas démenti le nouveau mécanisme vaccinal qui expliquerait l’ensemble des effets indésirables ?
  49. Pourquoi, en 2020, a-t-on vacciné publiquement les politiques pour convaincre que les injections étaient sûres et pourquoi, dès 2021, était-il complotiste de penser qu’elles pourraient ne pas l’être ?
  50. Pourquoi la procédure d’alerte (black box) de la FDA n’a pas été déclenchée suite au décès de personnes vaccinées dans les minutes ou les heures suivant une injection ?
  51. Pourquoi les autorités continuent-elles à recommander les injections alors que l’essai clinique final a officiellement démontré en 2023 qu’elles offraient une efficacité négative ?
  52. Pourquoi a-t-on imposé le « vaccin » aux femmes enceintes alors que Pfizer a démontré en 2020 que l’hydroxychloroquine est sûre pendant la grossesse ?
  53. Pourquoi a-t-on également imposé le « vaccin » aux patients atteints d’un cancer alors que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont des anticancéreux et que plus de 500 études affirment qu’elles sont efficaces contre le COVID ?
  54. Pourquoi l’essai pédiatrique Pfizer comptait-il 4 526 enfants au démarrage et 992 après la deuxième dose selon le rapport de la FDA ?
  55. Pourquoi Pfizer n’a-t-il pas publié les résultats de l’essai clinique, annoncés pour mai 2021, qui était supposé démontrer que le « vaccin » n’entraîne pas de stérilité masculine ?
  56. Pourquoi la date de clôture de l’essai clinique Pfizer sur le risque de myocardite est-elle repoussée régulièrement ?
  57. Pourquoi le « vaccin » a-t-il été homologué définitivement sans attendre le résultat des essais imposés lors de l’autorisation d’urgence ?
  58. Pourquoi a-t-il fallu créer 400 nouveaux types de maladies en 2020 pour enregistrer les événements indésirables ?
  59. Pourquoi le volume d’événements indésirables enregistrés pour les « vaccins » COVID est-il supérieur à celui enregistré en 50 ans pour l’ensemble des autres vaccins réunis ?
  60. Pourquoi ce volume rapporté au nombre de doses injectées est-il supérieur à celui de n’importe quel autre vaccin ?
  61. Pourquoi 78 % des décès enregistrés dans le VAERS américain depuis 1990 sont-ils associés aux « vaccins » COVID ?
  62. Pourquoi faut-il attendre 14 jours pour être considéré comme vacciné alors que 40 % des décès enregistrés dans le VAERS se sont produits pendant cette période ?
  63. Pourquoi la population n’est-elle pas informée que le produit qui a été injecté n’est pas celui qui a été homologué ?

Source

Pourquoi ? Lire la suite »

Pétition “Transparence vaccins Covid-19”

Mails adressés aux signataires de la pétition “Transparence vaccins Covid-19”. Action en justice menée par Palace Legal.

Mail du 3/10/2024

Le 17 juillet 2024, nous avons obtenu gain de cause devant le Tribunal de l’Union européenne contre l’opacité de la Commission von der Leyen #1 sur les contrats d’achats et les noms des négociateurs.

Mais la Commission exerce aujourd’hui un double recours devant la Cour de Justice de l’Union contre cette victoire et les 2.089 requérants représentés en 1ère instance : d’une part la Commission intente un pourvoi au fond (que vous pouvez consulter ici), d’autre part elle intente une action en référé en vue d’être dispensée temporairement de divulguer les noms des négociateurs des contrats d’achat des “vaccins” Covid-19, le temps que la Cour statue au fond.

Bref, la Commission von der Leyen #2 met les bouchées doubles pour maintenir l’opacité initiée par… la Commission von der Leyen #1. Notamment, la Commission semble très gênée à l’idée que la lumière puisse être faite sur les noms des négociateurs des contrats d’achat.

Compte tenu du caractère exceptionnel de cette affaire, nous vous offrons la possibilité d’intervenir volontairement en soutien à la victoire des 2.089 requérants qui nous avaient mandatés en première instance. Nous vous représenterons pro bono, c’est-à-dire gratuitement.

En intervenant par plusieurs milliers à cette procédure, vous ferez passer un message clair à la Commission européenne :

Vous êtes nombreux et vous ne lâcherez rien.

Maître Arnaud Durand
Avocat au Barreau de Paris

Mail du 8/10/2024

En première instance, vous étiez 2.089 citoyens à être représentés devant le Tribunal.

Devant la Cour, vous serez… plus de 3.500 citoyens ! C’est une situation inédite puisque normalement ce nombre aurait dû baisser.

C’était sans compter sur l’intervention volontaire des autres signataires de la Pétition qui ont accepté de venir soutenir, devant la Cour, la victoire obtenue en première instance. Ainsi, au 8 octobre 2024 à 11h30, émergent les chiffres suivants :
– 1.152 requérants initiaux à nous avoir mandatés pour leur défense devant la Cour
– 2.358 intervenant volontaires

Attention, si vous ne nous avez pas encore mandatés (nous ne réclamons aucun honoraire pour ce faire), il ne reste plus que quelques jours pour vous rendre ici et valider le mandat.

La Commission européenne ne pourra donc pas compter sur un épuisement des citoyens, bien au contraire.

En outre, compte tenu des peurs, bien que manifestement irrationnelles, exprimées par la Commission à ce qu’une divulgation au grand public des noms des négociateurs constituerait un risque pour « l’intégrité physique et psychique des agents » (!) (nous citons la Commission), nous proposons que seul le premier requérant d’entre vous, qui est à l’origine de la pétition et de ce procès, reçoive les déclarations d’absence de conflits d’intérêts des négociateurs des contrats d’achat, et conserve les secrètes le temps que la Cour de Justice statue au fond sur le pourvoi intenté par la Commission.

Maître Arnaud Durand
Avocat au Barreau de Paris

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Traité sur les pandémies : le GBM, le FMI et l’OMS intensifient leur lobbying

Le Fonds monétaire international (FMI), le Groupe de la Banque mondiale (GBM) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ont décidé de renforcer leur coopération en matière de préparation aux pandémies. Leur objectif est de soutenir les pays dans leurs efforts de prévention, de détection et de réponse aux menaces de santé publique à travers le Fonds fiduciaire pour la résilience et la durabilité du FMI, les soutiens financier et technique de la Banque mondiale, ainsi que l’expertise de l’OMS sur le terrain. Même si la trame narrative du Covid est morte, les instances sanitaires continuent de maintenir un discours de la peur, sur une probable prochaine pandémie.

Lire l’article

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Indice de production dans les services – Services funéraires (NAF rév. 2, niv. classe poste 96.03) 010769571

Les indices de production dans les services permettent de mesurer, mensuellement, et de façon précoce l’évolution de l’activité dans les secteurs des services marchands. Ils constituent à ce titre une information essentielle pour le suivi du cycle conjoncturel. Ils relèvent du règlement européen n°2019/2152 (EBS-regulation).
En ce qui concerne l’explosion de l’activité funéraire à partir de 2021, le graphique est assez explicite…
Source : Insee

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La technologie des « vaccins » à ARN messager ne fonctionne pas

Source : le point critique

Quatre ans et plusieurs milliers d’études après le début de la campagne expérimentale de « vaccination » contre le COVID-19, l’heure est au bilan. Deux scientifiques ont condensé l’état des connaissances acquises sur la technologie des vaccins à ARN messager, utilisée depuis 2020 par les laboratoires Pfizer et Moderna, dans un document de deux pages. Nous en présentons ici une traduction en français.

Le document original, disponible en anglais, a été rédigé par le Dr Alexandra Henrion-Caude et le Dr Klaus Steger. Il est télécharchable sur le site de l’association Médecins et scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie (MWGFD). La version française que nous proposons est accessible en téléchargement en bas de cette page.

Ce support didactique, clair et intégralement sourcé expose le gouffre qui sépare ce que ces injections font réellement et ce qu’elles étaient censées faire – et surtout ne pas faire. Il est destiné aussi bien aux personnes, vaccinées ou non, qui souhaitent comprendre à quel point la communauté scientifique et médicale s’est fourvoyée, qu’aux médecins qui ont suivi les ordres et qui ont injecté à l’aveugle leurs patients. L’occasion leur est donnée de corriger ce document s’ils estiment qu’il ne reflète pas l’état de la science.

1. On vous dit : « C’est un vaccin », mais ce n’est pas vrai

  • Ce n’est pas un « vaccin », car il répond à tous les critères d’un produit issu du génie génétique[1]. Il contient de l’ARNm modifié produit synthétiquement et emballé dans des nanoparticules lipidiques qui ont la capacité de transfecter nos cellules.
  • Ce n’est pas un « vaccin », car il circule dans notre corps et dans nos cellules sans être perçu comme étranger, contrairement aux particules des vaccins conventionnels[2].
  • Ce n’est pas un « vaccin », car en 2021, l’objectif de la vaccination a été révisé et sa définition a changé. Selon la nouvelle « norme », les « vaccins » ne doivent pas créer une immunité spécifique contre une maladie, mais seulement susciter une réponse immunitaire, même si cette réponse est non spécifique ou indésirable[3].
  • Ce n’est pas un « vaccin », car dès son entrée dans nos cellules, l’ARNm modifié pirate nos cellules pour les forcer à produire des protéines étrangères, dont la nature est en partie imprévisible[4].
  • Ce n’est pas un « vaccin », car après avoir reçu une injection d’ARNm, nous sommes toujours considérés comme « non vaccinés ». Il faudra encore deux semaines avant que les autorités médicales ne vous considèrent comme « vacciné ». Par conséquent, les rapports sur les effets indésirables (y compris l’hospitalisation et le décès) qui peuvent survenir au cours des deux premières semaines suivant la vaccination ne seront tout simplement pas comptabilisés, s’ils sont signalés. De même, il est difficile de plaider en faveur d’une quelconque demande d’indemnisation.
  • Ce n’est pas un « vaccin », car il est prévu que vous receviez régulièrement des injections de rappel. Ces injections répétées entraînent la production ininterrompue de l’antigène, voire de plusieurs antigènes[4]. Cela diffère d’une infection naturelle, dans laquelle l’antigène envahit notre corps de manière occasionnelle et transitoire. Cette présentation continue du même antigène affaiblit inévitablement notre système immunitaire[5].

2. On vous dit : « C’est de l’ARNm », mais ce n’est pas vrai

Ce n’est pas de l’ARN messager (ARNm), c’est de l’ARNm modifié (ARNmod)[6],[7]. Cet ARNmod imite l’ARNm, mais possède des caractéristiques complètement différentes :

  • Ce n’est pas de l’ARNm, car il est composé d’un nouveau code génétique synthétique. Une lettre du code génétique, le U, qui est l’uridine naturelle, est systématiquement remplacée par Psi, qui est la Nl-méthyl-pseudouridine (mΨ) synthétique.
  • C’est de l’ARN modifié, car on ne sait pas s’il se dégrade et quand il se dégrade. La transformation de U en Psi rend le modRNA moins inflammatoire et augmente sa longévité, qui passe de quelques heures à plusieurs mois. Les effets possibles de ces modifications sur les régulations épigénétiques et post-traductionnelles sont pour la plupart inconnus. Contrairement à l’ARNm naturel, qui se dégrade rapidement, l’ARNm des « vaccins » COVID-19 a été détecté dans le sang jusqu’à 28 jours[8] et dans les tissus jusqu’à huit semaines après l’injection[9]. Il a été démontré que la protéine de pointe produite par l’ARNm modifié injecté circule dans le sang jusqu’à six mois après l’injection[10].
  • C’est de l’ARN modifié, car la séquence a également été modifiée en augmentant la teneur en G (guanine) et en C (cytosine). C’est ce qu’on appelle « l’optimisation des codons », mais cette substitution supprime le système immunitaire inné, ce qui est également très problématique puisqu’il représente la première ligne de défense contre les micro-organismes envahissants[11].

Il contient de l’ADN en plus de l’ARNm modifié

  • C’est également de l’ADN, ce qui est tout à fait inattendu. De grandes quantités d’ADN contaminant ont été retrouvées dans le vaccin[12], dont les effets sont inquiétants en l’état de nos connaissances scientifiques, présentant des régulations altérées et un risque d’intégration dans notre génome[13]. Ces contaminants résultent d’un changement dans le processus de fabrication. Dans le processus initial, utilisé pour les essais cliniques, l’ARNm modifié était produit par transcription in vitro à partir d’ADN synthétique suivi d’une amplification PCR propre. Dans le processus modifié, utilisé sur la population pour les campagnes de « vaccination » par les gouvernements, l’ARN viral transcrit à l’envers en ADN était cloné dans des plasmides bactériens, entraînant la contamination du produit par un mélange d’ADN bactérien et d’ADN viral[14].

3. On vous dit : « Le vaccin restera dans votre muscle », mais ce n’est pas vrai

  • Le « vaccin » n’a jamais été conçu pour rester dans le muscle, mais pour passer dans la circulation sanguine, les ganglions lymphatiques et même le lait maternel.
  • Les nanoparticules lipidiques, qui enveloppent l’ARNm, ne restent pas dans la circulation sanguine comme c’est le cas avec un vaccin conventionnel. Au contraire, elles peuvent pénétrer dans n’importe quelle cellule de notre corps, y compris dans des organes clés tels que le cœur, le cerveau, le foie, les reins, les poumons, la rate, l’estomac, les ovaires et les testicules[15],[16].
  • Les nanoparticules lipidiques sont hautement inflammatoires et toxiques. Par conséquent, des injections répétées augmenteront les dommages causés à nos cellules, voire leur mort[17].
  • Un effet indésirable grave prédominant est la myocardite et la péricardite, c’est-à-dire l’inflammation du cœur, en particulier chez les jeunes. Cette inflammation résulte probablement d’une attaque auto-immune contre les cellules du cœur qui ont reçu les particules injectées et exprimé la protéine spike[18],[19].

4. On vous dit : « La technologie de l’ARNm permet de produire le messager désiré », mais ce n’est pas vrai

  • Le « Les vaccins sont sûrs » n’était qu’un mensonge depuis le début, car il était impossible d’anticiper ce que notre corps, transformé en « usine », produirait en termes d’antigènes et de quantité d’antigènes. Aucun dosage sûr ne peut être proposé puisque personne n’est en mesure d’anticiper la dose qui sera produite par nos cellules.
  • La technologie ARNm aboutit à la production de produits insensés aux effets biologiques totalement imprévisibles[4]. La substitution du « U » par le « Psi » dans le code génétique de l’ARNm entraîne un décalage dans la lecture du triplet qui sert normalement à assembler l’acide aminé correspondant de la future protéine par les ribosomes. Par exemple, si un messager lit ALE-XAN-DRA, chacun de ces trois triplets codant pour un acide aminé spécifique, le décalage de trame conduira à une lecture de LEX-AND-RA. La protéine résultante sera totalement différente et raccourcie, puisque « RA » est incomplet pour coder un troisième acide aminé. Le résultat est au mieux neutre, au pire létal, et dans tous les cas non-soi.

5. On vous dit : « L’ARNm ne peut pas être intégré dans l’ADN », mais ce n’est pas vrai

  • Le « vaccin » ARNm peut manifestement s’intégrer dans l’ADN, car la séquence correspondant à un fragment de l’ARN modifié du « vaccin » injecté a été trouvée dans les cellules sanguines du patient[20].
  • L’ARNm du « vaccin » peut manifestement être transcrit en sens inverse dans l’ADN, car il a été démontré que l’exposition de cellules humaines cultivées à l’ARNm « vaccin » activait LINE-1, qui fournit une transcriptase inverse, transformant l’ARNm « vaccin » en ADN[21].
  • En outre, l’ARNm codant pour la protéine spike a été trouvé de manière inattendue dans le noyau[22].
  • Les contaminants d’ADN trouvés dans les injections d’ARN modifié de BioNTech/Pfizer contiennent une séquence de virus de singe, à savoir la séquence du promoteur du virus simien 40 (SV40), qui est connue pour améliorer le transport de l’ADN dans le noyau. Cela augmente encore le risque d’intégration de cet ADN étranger dans le génome de nos cellules, avec des conséquences imprévisibles[23].
  • Si un tel événement se produit dans les cellules germinales mâles ou femelles impliquées dans la fécondation, le génome de la progéniture sera également modifié.
  • Toute intégration génomique d’une séquence dérivée d’un « vaccin » entraînera probablement l’expression d’un gène étranger et une régulation aberrante des gènes. Cette dernière peut entraîner l’activation d’oncogènes ou l’inactivation de gènes suppresseurs de tumeurs, deux phénomènes qui favorisent le cancer. Ce risque est aggravé par l’immunosuppression observée chez de nombreuses personnes « vaccinées », qui implique une défense immunitaire insuffisante contre les cellules tumorales. Il peut en résulter un « turbo-cancer ».
  • Selon le résumé officiel des caractéristiques du produit[19, p. 18] approuvé par l’EMA et la Commission européenne : « Aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n’a été réalisée ».

C’est la technologie des « vaccins » ARNm elle-même qui pose problème

L’ARNm synthétiquement modifié (ARNm) injecté détourne nos cellules en les forçant à produire des protéines étrangères. Certaines ont été conçues pour être produites (c’est-à-dire la protéine Spike dans le cas des injections de COVID-19), tandis que d’autres ne l’ont pas été. Ces dernières résultent de la fragmentation de l’ARNm et du décalage de la traduction. La production n’a pas d’interrupteur et peut affecter n’importe quel organe. En conséquence, notre système immunitaire détruira des cellules auparavant saines. Deux caractéristiques essentielles de l’ARNm naturel sont déformées :

Premièrement, l’ARNm naturel présente une expression spécifique à la cellule, ce qui garantit un ajustement en temps réel. En revanche, les nanoparticules lipidiques délivrent l’ARNm de manière totalement aveugle.

L’ADN est souvent appelé le « livre de la vie ». Il se trouve exclusivement dans le noyau, sauf pendant la division cellulaire. L’alphabet blanc est composé de 26 lettres, mais l’ADN ne comprend que 4 lettres : A (adénine), T (thymine, remplacée dans l’ARNm par U (uridine)), G (guanine) et C (cytosine).

Par le processus appelé « transcription », les gènes situés sur l’ADN sont copiés dans l’ARNm avec les lettres correspondantes. L’ARNm sort du noyau, où il peut être lu par les ribosomes et converti en protéines par le processus appelé traduction. L’ADN peut être comparé à un livre de pâtisserie, l’ARNm à une recette spécifique et la protéine au gâteau qui en résulte.

Les cellules remplissent des tâches variées (par exemple, les cellules de la peau par rapport aux neurones) et ont donc besoin d’ensembles de protéines spécifiques à la cellule (c’est-à-dire les gâteaux). Ces ensembles de protéines sont constamment ajustés dans le temps et dans l’espace, en fonction de l’âge et de l’activité, que nous dormions, mangions, fassions de l’exercice, buvions de l’alcool ou prenions des médicaments. Dans ce système, toute production d’une protéine étrangère consomme non seulement de l’énergie supplémentaire, mais perturbe également le bon déroulement des activités de nos cellules.

Deuxièmement, la production naturelle d’ARNm est soumise à une régulation extrêmement précise et a une durée de vie courte, ce qui garantit une adaptation rapide à des conditions de vie changeantes. Contrairement à cela, les ARNm synthétiques sont conçus pour renforcer la protéine sans interrupteur.

Contrairement à l’ARNm modifié, la longévité de l’ARNm naturel est étroitement régulée. Elle peut être naturellement réduite par différents mécanismes, tels que :

  • une rétroaction négative qui réduit ou arrête la production d’ARNm supplémentaire,
  • la régulation par des microARN qui agissent souvent d’une manière spécifique à la cellule,
  • des enzymes de dégradation de l’ARN (RNases) qui dégradent l’ARNm.

Télécharger ou consulter le document : Technologie des « vaccins » à base d’ARNm : GAME OVER

Références

[1] Banoun H. mRNA: Vaccine or Gene Therapy? The Safety Regulatory Issues. Int J Mol Sci. 2023 Jun 22;24(13):10514. https://doi.org/10.3390/ijms241310514.

[2] BioNTech. Our mRNA Platforms – revolutionizing vaccine technology. www.biontech.com/int/en/home/pipeline-and-products/platforms/our-mrna-platforms.html.

[3] Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Immunization: The Basics. Last reviewed: September 1, 2021. https://www.cdc.gov/vaccines/vac-gen/imz-basics.htm.

[4] Mulroney TE, Pöyry T, Yam-Puc JC, Rust M, Harvey RF, Kalmar L,  et al. N1-methylpseudouridylation of mRNA causes +1 ribosomal frameshifting. Nature. 2024 Jan;625(7993):189-94. https://doi.org/10.1038/s41586-023-06800-3.

[5] Irrgang P, Gerling J, Kocher K, Lapuente D, Steininger P, Habenicht K, et al. Class switch toward noninflammatory, spike-specific IgG4 antibodies after repeated SARS-CoV-2 mRNA vaccination. Sci Immunol. 2023 Jan 27;8(79):eade2798. https://doi.org/10.1126/sciimmunol.ade2798.

[6] BioNTech. Our mRNA Platforms – revolutionizing vaccine technology. www.biontech.com/int/en/home/pipeline-and-products/platforms/our-mrna-platforms.html.
« Nous utilisons de l’ARNm modifié par des nucléosides (modRNA) pour nos candidats RiboCytokines, qui contiennent des blocs de construction modifiés d’origine naturelle conférant une stabilité accrue et une immunogénicité réduite afin de minimiser les réactions immunitaires indésirables et de prolonger la durée de production des protéines – deux défis majeurs dans le développement de produits thérapeutiques sûrs et efficaces à base d’ARNm. »

[7] Granados-Riveron JT, Aquino-Jarquin G. Engineering of the current nucleoside-modified mRNA-LNP vaccines against SARS-CoV-2. Biomed Pharmacother. 2021 Oct;142:111953. https://doi.org/10.1016/j.biopha.2021.111953.

[8] Castruita JAS, Schneider UV, Mollerup S, Leineweber TD, Weis N, Bukh J, et al. SARS-CoV-2 spike mRNA vaccine sequences circulate in blood up to 28 days after COVID-19 vaccination. APMIS. 2023 Mar;131(3):128-32. https://doi.org/10.1111/apm.13294.

[9] Röltgen K, Nielsen SCA, Silva O, Younes SF, Zaslavsky M, Costales C, et al. Immune imprinting, breadth of variant recognition, and germinal center response in human SARS-CoV-2 infection and vaccination. Cell. 2022 Mar 17;185(6):1025-1040.e14. https://doi.org/10.1016/j.cell.2022.01.018.

[10] Brogna C, Cristoni S, Marino G, Montano L, Viduto V, Fabrowski M, et al. Detection of recombinant Spike protein in the blood of individuals vaccinated against SARS-CoV-2: Possible molecular mechanisms. Proteomics Clin Appl. 2023 Nov;17(6):e2300048. https://doi.org/10.1002/prca.202300048.

[11] Seneff S, Nigh G, Kyriakopoulos AM, McCullough PA. Innate immune suppression by SARS-CoV-2 mRNA vaccinations: The role of G-quadruplexes, exosomes, and MicroRNAs. Food Chem Toxicol. 2022 Jun;164:113008. https://doi.org/10.1016/j.fct.2022.113008.

[12] McKernan K, Helbert Y, Kane LT, McLaughlin S. Sequencing of bivalent Moderna and Pfizer mRNA vaccines reveals nanogram to microgram quantities of expression vector dsDNA per dose. 2023 Sept 25. https://doi.org/10.31219/osf.io/b9t7m.

[13] Nichols WW, Ledwith BJ, Manam SV, Troilo PJ. Potential DNA Vaccine Integration into Host Cell Genome. Ann N Y Acad Sci. 1995 Nov 27;772:30-9. https://doi.org/10.1111/j.1749-6632.1995.tb44729.x

[14] European Medicines Agency (EMA). COVID-19 mRNA Vaccine: Risk Management Plan. Version no 13.0. First published: 23/12/2020. https://www.ema.europa.eu/en/documents/rmp/comirnaty-epar-risk-management-plan_en.pdf.

[15] Bahl K, Senn JJ, Yuzhakov O, Bulychev A, Brito LA, Hassett KJ, et al. Preclinical and Clinical Demonstration of Immunogenicity by mRNA Vaccines against H10N8 and H7N9 Influenza Viruses. Mol Ther. 2017 Jun 7;25(6):1316-1327. http://dx.doi.org/10.1016/j.ymthe.2017.03.035.

[16] Mörz M. A Case Report: Multifocal Necrotizing Encephalitis and Myocarditis after BNT162b2 mRNA Vaccination against COVID-19. Vaccines (Basel). 2022 Oct 1;10(10):1651. https://doi.org/10.3390/vaccines10101651.

[17] Ndeupen S, Qin Z, Jacobsen S, Bouteau A, Estanbouli H, Igyártó BZ. The mRNA-LNP platform’s lipid nanoparticle component used in preclinical vaccine studies is highly inflammatory. iScience. 2021 Dec 17;24(12):103479. https://doi.org/10.1016/j.isci.2021.103479.

[18] Li M, Wang X, Feng J, Feng Z, Li W, Ya B. Myocarditis or Pericarditis Following the COVID-19 Vaccination in Adolescents: A Systematic Review. Vaccines (Basel). 2022 Aug 15;10(8):1316. https://doi.org/10.3390/vaccines10081316.

[19] EMA. Comirnaty : Résumé des caractéristiques du produit. https://www.ema.europa.eu/fr/documents/product-information/comirnaty-epar-product-information_fr.pdf.

[20] Dhuli K, Medori MC, Micheletti C, Donato K, Fioretti F, Calzoni A, et al. Presence of viral spike protein and vaccinal spike protein in the blood serum of patients with long-COVID syndrome. Eur Rev Med Pharmacol Sci. 2023 Dec;27(6 Suppl):13-19. https://doi.org/10.26355/eurrev_202312_34685. NDLR : L’article a été rétracté en mars 2024.

[21] Aldén M, Olofsson Falla F, Yang D, Barghouth M, Luan C, Rasmussen M, De Marinis Y. Intracellular Reverse Transcription of Pfizer BioNTech COVID-19 mRNA Vaccine BNT162b2 In Vitro in Human Liver Cell Line. Curr Issues Mol Biol. 2022 Feb 25;44(3):1115-26. https://doi.org/10.3390/cimb44030073.

[22] Ørskov ER, Fraser C. The effects of processing of barley-based supplements on rumen pH, rate of digestion and voluntary intake of dried grass in sheep. Br J Nutr. 1975 Nov;34(3):493-500. https://doi.org/10.1017/s0007114575000530.

[23] McKernan K. Executive Summary of the FDA VRBPAC presentation on dsDNA contamination in mRNA vaccines. 2023 Jul 07. https://anandamide.substack.com/p/executive-summary-of-the-fda-vrbpac.

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Pour la réinscription urgente du Dr Denis Agret au tableau de l’ordre des médecins France

Le Dr Agret sollicite votre soutien en signant cette pétition pour sa réinscription au tableau de l’ordre des Médecins et l’arrêt des poursuites et sanctions manifestement et particulièrement disproportionnées que l’État (Ministère de la Santé) et l’Ordre des médecins lui font subir.

Signer la pétition

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Le Covid Index : un outil pour retrouver les articles et recherches scientifiques censurés

L’Index Covid est le meilleur moteur de recherche disponible pour toute personne enquêtant sur le COVID-19. Avec ce site Web intuitif, vous pouvez interroger une vaste base de données avec des liens vers des sources d’informations , telles que des manuscrits scientifiques, des témoignages d’experts et des publications officielles. L’Index Covid fournit également d’importants extraits textuels de chaque source, afin que vous puissiez rapidement évaluer sa pertinence par rapport à votre demande spécifique.

Accéder au site
Pour les non anglophones utiliser un traducteur en ligne (Google translate, Translate Web Page…)

Index COVID : un nouvel outil de recherche facilite la recherche de « sciences censurées »

Children’s Health Defense (CHD) héberge une nouvelle initiative, The Covid Index, un répertoire de ressources scientifiques sur le COVID-19 géré par des bénévoles, allant des articles de revues évaluées par des pairs aux comptes de dénonciateurs.

par Michael Nevradakis, Ph.D.

27 septembre 2024

Children’s Health Defense (CHD) héberge une nouvelle initiative, The Covid Index , un répertoire de ressources scientifiques sur le COVID-19 géré par des bénévoles, allant des articles de revues évaluées par des pairs aux comptes de dénonciateurs.

Les créateurs de l’index le décrivent comme « une science et une expertise censurées » qui sont « catégorisées, extraites et consultables ».

Ursula Conway, présidente de la section Arizona du CHD , est l’une des bénévoles impliquées dans l’initiative. Elle a déclaré au Defender que le Covid Index « est un outil de recherche, un guide de référence rapide » qui « élimine » la censure en ligne .

Kim Bare, un autre volontaire du projet, a déclaré que l’Index Covid s’apparente à « un catalogue de fiches en ligne… de sources d’informations liées principalement au COVID ».

L’épidémiologiste M. Nathaniel Mead est également impliqué dans ce projet. Il a déclaré au Defender : « Seules les contributions de scientifiques accrédités et de professionnels de la santé sont incluses, en prenant soin d’exclure les opinions de non-experts. »

« Les allégations des lanceurs d’alerte peuvent également être incluses, à condition que les sources elles-mêmes possèdent les qualifications nécessaires et soient en mesure de fournir des preuves crédibles pour étayer leurs affirmations », a déclaré Mead.

Il a déclaré que la base de données comprend également « des examens et des analyses qui aident à élucider les différents types de subterfuges utilisés pour induire en erreur le grand public et les communautés médicales ».

Objectif : rendre « l’information scientifique plus accessible » à un « public plus large »

L’idée de The Covid Index est née en 2021, lorsque l’un des bénévoles impliqués dans le projet, qui porte le pseudonyme de «Juror No. 8» — une référence au film classique « 12 Angry Men » — a élaboré un document — « COVID -19 : La science que nous devrions connaître .

Le document, hébergé par la Fédération nationale de la santé , est organisé par sujet et sert « de ressource de référence pour toute personne curieuse de connaître la science et les données qui sous-tendent ces positions à contre-courant » liées au COVID-19.

Le document a été à l’origine du développement d’une base de données de recherche en ligne de ressources accréditées remettant en question les positions dominantes sur le COVID-19. Conway a déclaré que l’objectif était de « rendre l’information plus accessible et facilement accessible à un public beaucoup plus large ».

Cela a conduit à la formation d’une équipe indépendante de bénévoles et à la recherche d’une organisation hôte pour le site Web – CHD étant finalement sélectionné.

Brian Hooker, Ph.D., directeur scientifique du CHD, a déclaré au Defender :

« CHD est très enthousiaste à l’idée d’aider à maintenir et à étendre cette ressource grâce à des bénévoles qui continueront à aider à examiner et à résumer la littérature relative au virus, au vaccin et à d’autres détails de la pandémie. »

Une « contre-réponse » à la « censure des médias »

La censure des articles scientifiques remettant en question les récits largement répandus liés au COVID-19 s’est récemment intensifiée, avec le retrait ou la suppression d’articles approuvés par le processus d’évaluation par les pairs.

Mead a déclaré que l’indice Covid est une réponse à la censure généralisée des articles scientifiques qui remettaient en question les récits traditionnels liés au COVID-19, à la réponse à la pandémie et aux vaccins contre le COVID-19.

« Les rétractations contraires à l’éthique d’articles de revues évaluées par des pairs n’étaient que trop fréquentes après 2020 et représentent une forme de censure très insidieuse », a déclaré Mead. « Même les articles de la plus haute qualité scientifique technique seront retirés s’ils remettent en question la position du complexe biopharmaceutique . »

« L’indice Covid expose la nature fallacieuse de rhétoriques telles que « la science est établie » ou « il existe un fort consensus scientifique sur la sécurité et l’efficacité des vaccins contre la COVID » », a ajouté Mead.

Conway a déclaré que l’indice Covid « contourne les limitations de la censure pour apporter la vraie science au peuple ».

Mead a déclaré qu’il s’agissait d’une contre-réponse nécessaire à la « censure médiatique des critiques des agences de santé publique pour leurs stratégies pandémiques ratées » et qu’il avait le potentiel d’agir comme un témoignage public d’une telle censure. Il a dit :

« Ces articles peuvent encore être cités dans l’Index Covid, et nous sommes en train de rédiger des paragraphes explicatifs pour aider les utilisateurs de l’Index à mieux comprendre le contexte de chaque rétractation, c’est-à-dire pourquoi les rétractations étaient dénuées de fondement ou manquaient de justification.

« Cette partie de l’Index Covid est encore en chantier, mais elle pourrait être un moyen très utile de conserver une trace de cet aspect de la censure du complexe bio-pharmaceutique, ainsi qu’un référentiel des articles qui ont été rejetés simplement parce qu’ils menaçaient la sécurité. L’agenda du cartel COVID.

Bare a déclaré que si un article inclus dans l’index est ensuite supprimé d’Internet, il peut également potentiellement rester dans l’index. « Pour les articles qui sont académiquement ou scientifiquement valables mais qui ont disparu pour diverses raisons, nous allons sur la Wayback Machine et trouvons une URL pour la source d’information et ajoutons une entrée pour celle-ci. »

« Nous avons été témoins d’un degré étonnant de fraude, de corruption et d’abus à l’ère du COVID », a déclaré le juré n°8. « En fin de compte, nous espérons que l’Indice Covid pourra aider à responsabiliser les auteurs. »

Rendre la science censurée plus accessible

Mais plus que simplement contourner les censeurs en ligne et hors ligne, les bénévoles impliqués dans le projet ont déclaré au Defender que les informations contenues dans la base de données sont organisées et présentées de manière accessible à un public non scientifique.

Les « extraits clés » que les bénévoles de The Covid Index sélectionnent pour chaque ressource indexée constituent un élément important de cet effort.

« Les extraits clés mettent en évidence les parties les plus importantes de l’étude, ou représentent les passages de la source d’information qui ont amené le contributeur à décider que la source est suffisamment importante pour être incluse dans l’indice Covid », a déclaré Bare.

La bénévole Jenna Ellis a déclaré que cette conservation est le résultat d’un effort collectif.

« Nous examinons [les ressources potentielles] pour voir si cela vaut la peine d’être inclus dans l’index », a déclaré Ellis au Defender. « Nous veillons à ce que nos mots-clés de recherche soient sélectionnés… afin qu’ils soient facilement trouvables par quelqu’un qui vient rechercher différents articles. »

Bare a déclaré que le public peut contribuer à ces efforts.

Si les gens « souhaitent contribuer de manière régulière, le site Web est configuré de manière à ce que les contributeurs puissent s’inscrire et ajouter eux-mêmes des entrées d’index potentielles via un formulaire sur le site Web », a déclaré Bare. Les personnes intéressées peuvent cliquer ici pour plus d’informations.

« Dans la mesure où nous pouvons augmenter le nombre de contributeurs exigeants, alors le contenu de l’indice Covid augmente et donc sa valeur augmente – et cela déterminera qui l’utilise, à quel point il est utile aux gens », a déclaré Conway.

Michael Nevradakis, Ph.D.

Michael Nevradakis, Ph.D.

Michael Nevradakis, Ph.D., basé à Athènes, en Grèce, est journaliste principal pour The Defender et fait partie de la rotation des animateurs de l’émission « Good Morning CHD » de CHD.TV.

Source

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