Est-il possible que les Français de moins de 45 ans aient connu plus de décès en 2021 que les années précédentes ? Et que cette mortalité :
– n’ait rien à voir avec le Covid…
– Et ait tout à voir avec la gestion de l’épidémie, en particulier les campagnes de vaccination de masse ?
C’est la question archi-brûlante que se posent plus de 900 chercheurs, universitaires, professionnels de santé et de droit à la suite du Dr Laurent Toubiana.
Ce dernier, épidémiologiste désormais bien connu, s’est vu refusé par le Sénat l’accès aux données des décès toutes causes confondues en lien avec le statut vaccinal…[1]
Seules ces données permettraient de faire la lumière complète sur la mortalité anormale enregistrée chez les moins de 45 ans en France et dans de nombreux pays européens.
Ces informations permettraient d’écarter ou de confirmer l’hypothèse d’un vaccin dangereux.
En effet, sachant que la moyenne des décès du Covid s’établit à 82 ans[2], il n’est guère possible d’attribuer un quelconque effet significatif du Covid sur la mortalité des moins de 45 ans…
Or c’est bien ce qu’enregistre le site Euromomo[3], qui surveille la mortalité européenne : une surmortalité anormale chez les 15-44 ans en 2021…
-> Ces décès supplémentaires sont-ils dus aux injections ARN ?
-> Ou faut-il aller chercher une explication ailleurs ?
Il est impossible de tirer des conclusions tant que le Sénat refuse de révéler cette information pourtant disponible dans le Système National des Données de Santé (SNDS)[4].
En ouvrant les données des décès toutes causes confondues en lien avec le statut vaccinal, les chercheurs pourront dire si les 15-44 ans vaccinés ont connu une mortalité supérieure ou inférieure à celle des 15-44 ans non-vaccinés.
Il est fondamental que ces données puissent être ouvertes avant le premier tour de l’élection présidentielle.
Comment juger le bilan du Président sortant si une telle information n’est pas analysée, discutée et révélée aux électeurs ?
Le Gouvernement et les Parlementaires ont rendu la vaccination quasi obligatoire en France, en affirmant que les vaccins étaient sûrs et efficaces. Qu’ont-ils à craindre ?
N’est-ce pas là l’occasion rêvée de faire taire les “complotistes” et les vaccino-sceptiques ?
Devant ce manque de transparence de nos autorités, j’ai décidé de soutenir la demande de Laurent Toubiana et des 900 chercheurs, et je vous demande, cher lecteur, de la soutenir avec moi, afin que ces données soient révélées aux citoyens français AVANT les élections présidentielles.
Seule une mobilisation populaire de grande ampleur peut les convaincre de revenir sur leur refus d’ouvrir ces accès !